#trousse à pharmacie portable
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Tout ce que vous devez vous rappeler lorsque vous campez
Le camping est une activité formidable, mais tout le monde ne le voit pas de cette façon. Il y a certains stigmates associés au camping, comme les dangers potentiels que la nature peut apporter. Il n'y a pas lieu d'avoir peur du camping, tant que vous avez suffisamment de connaissances. L'article suivant contient des conseils utiles sur le camping. Planifiez en conséquence lorsqu'il s'agit de nourriture. Il est difficile de faire de la place dans votre voiture pour toute la nourriture dont vous avez besoin. Cependant, une bonne alimentation est cruciale lorsque vous êtes dans les bois. De plus, les articles qui sont assez peu coûteux dans votre magasin local ont souvent un prix plus élevé près des sites de camping. En apportant suffisamment de nourriture, vous économiserez de l'argent et vous garderez tous les membres de votre famille de bonne humeur. La navigation est la clé lorsqu'il est question de camping. Il est important de savoir où vous êtes et comment retourner à la civilisation si vous vous perdez. Apportez toujours une carte de la région et une boussole pour vous aider. Vous pouvez aussi utiliser un GPS d'extérieur qui vous donnera des informations de navigation, ainsi que des informations supplémentaires telles que l'altitude. La façon dont vous vous préparerez déterminera si votre voyage de camping sera amusant ou s'il sera dangereux. C'est une mauvaise idée d'aller camper sans être préparé. Si vous campez à un nouvel endroit, assurez-vous de vous renseigner sur la géographie, le climat et la faune locale afin d'être prêt à faire face à tout danger.
Apportez une boîte contenant des fournitures essentielles lorsque vous allez camper. Incluez des choses comme des allumettes, une lampe de poche, des outils de cuisine et un nettoyant pour les mains. Préparez-vous à l'avance. Pensez à toutes les choses dont vous pourriez avoir besoin quelques jours avant de partir en voyage, surtout si vous êtes loin de tout magasin. Lorsque vous arrivez à votre emplacement de camping, la première chose à faire est de commencer à ramasser du bois pour votre feu. Vous n'en aurez pas envie plus tard, et si vous attendez la nuit, vous aurez plus de mal à trouver le type de bois dont vous avez besoin pour faire du feu. Fais-le tout de suite. Envisagez d'acheter des talkies-walkies bon marché à emporter lors de votre prochain voyage de camping en Nouvelle-Zélande afin de pouvoir rester en contact avec tous les membres de votre groupe dans les régions où la réception des téléphones portables n'est pas disponible. Cela peut être particulièrement important si vous campez avec des enfants et que vous devez suivre leurs déplacements. Apportez une trousse de premiers soins. Le camping, c'est amusant. Il peut aussi être un peu dangereux. Soyez toujours prêt. Les petites égratignures et les éruptions cutanées peuvent être particulièrement fréquentes dans la nature. Apportez une trousse de premiers soins d'urgence remplie de tout ce dont vous pourriez avoir besoin. Vous serez heureux de l'avoir fait si quelque chose tourne mal. Beaucoup de gens sont dissuadés de camper parce qu'ils doivent dormir sur le sol, mais vous n'avez pas à être mal à l'aise lorsque vous allez camper. Arrêtez-vous à la pharmacie locale et achetez des flotteurs de piscine peu coûteux. Ces flotteurs sont beaucoup plus confortables que le sol pour dormir et vous garderont au sec et en hauteur. Ce n'est pas parce que votre tente est étiquetée comme étant imperméable que vous devez compter sur elle pour vous garder au sec lorsqu'il pleut. Prévoyez quelques bâches extra-larges camping à emporter avec vous. Utilisez-en une pour la poser sur le sol sous votre tente et gardez-en une sèche pour couvrir votre tente s'il semble qu'il va pleuvoir fort. N'oubliez pas vos ustensiles de cuisine. Vous aurez besoin de casseroles, poêles, ustensiles et plats pour cuisiner et manger. Assurez-vous de bien vérifier que vous avez bien emballé ces fournitures avant de quitter la maison. Vous ne voulez pas tout préparer pour votre premier repas et vous apercevoir que vous avez laissé votre casserole à la maison.
Si c'est la première fois que vous partez en voyage de camping ? Avant de l'emporter pour votre premier voyage, entraînez-vous à monter votre tente. De cette façon, vous saurez ce dont vous avez besoin pour monter votre tente. Cela vous aidera également à accomplir la tâche rapidement et efficacement une fois que vous arriverez à votre emplacement de camping, même s'il fait presque nuit. Si vos enfants sont avec vous, établissez très tôt une routine quotidienne. Cela les aidera à s'adapter à leur nouvel environnement et à passer un bon moment. Essayez de respecter une certaine heure de coucher et de prendre vos repas à peu près à la même heure chaque jour. Vos enfants seront plus heureux, et vous le serez aussi. Un frisbee est un jouet idéal pour se divertir en camping. Il est facile à emballer et amusant. Mais en plus de son utilisation comme jeu, c'est aussi un excellent moyen de renforcer une assiette en papier. Il suffit de placer l'assiette au milieu du frisbee à l'heure des repas et l'assiette ne s'affaissera pas, peu importe la taille de votre hamburger. Après avoir lu les conseils de camping dans cet article, personne ne devrait voir le camping sous un jour négatif. Le camping doit être vu comme une activité merveilleuse, et non comme un danger potentiel. Si vous vous souvenez de ce que vous avez lu ici, vous devriez pouvoir camper en toute sécurité sans aucun problème.
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15 conseils pour voyager avec un bébé
EMBALLAGE
1. Peut-il tenir dans un tuc tuc?
Si vous envisagez de rester à plus d'un endroit pendant votre voyage, vous vous rendrez un grand service en n'apportant pas tout le matériel et les jouets pour bébés de chez vous. N'oubliez pas que vous devriez pouvoir placer tous vos bagages dans un taxi, un bateau ou même parfois un tuc tuc.
2. Le strict nécessaire
À part les vêtements pour bébés, les sucettes, les biberons et d’autres objets évidents, voici quelques points que nous avons trouvés utiles pendant notre voyage:
• Un porte-bébé - nous aimons notre Ergo.
• Une poussette parapluie - assurez-vous qu’elle peut s’allonger complètement, nous utilisons Chicco Liteway.
• Une chaise de bébé portable - une excellente invention que vous pouvez monter sur n’importe quelle chaise.
• Un gardien de bébé - pour que vous puissiez vous détendre à la plage pendant que votre bébé fait la sieste.
• Moustiquaire - certains endroits ont déjà des moustiquaires, mais s’ils ne le font pas, vous serez heureux d’avoir apporté le vôtre. Nous avons mis un grand filet sur notre lit et un petit filet sur la poussette d’Elsa.
• Gruau instantané - vous pouvez le trouver dans tous les supermarchés d’Asie, mais il est difficile de trouver le type non sucré que nous utilisons.
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3. Juste au cas où
Assurez-vous de savoir où appeler si votre bébé tombe malade. Si ce n’est pas une urgence, apportez le numéro de téléphone ou l’email du pédiatre de votre bébé. Il est plus facile de poser des questions et de ne pas avoir à s'inquiéter de malentendus linguistiques. Nous avons créé une petite pharmacie de voyage naturelle qui nous a souvent aidés durant notre voyage.
• Viburcol - solution orale de Heel (grippe, rhume, fièvre, infections mineures, coliques)
• Perles de Ferrum Phosphoricum (grippe, infections)
• Gouttes probiotiques de Biogaia (stimulent les systèmes digestif et immunitaire)
• crème Traumeel de Heel (soulagement de la douleur et problèmes de peau, morsures, éruptions cutanées, etc.)
• crème à base de fleurs de Bach (problèmes de peau, plaies, morsures, éruptions cutanées, etc.)
• Spray à base de plantes de Spenglersan (soulagement de la douleur, renforcement immunitaire)
• Pulvérisation d'huile de citronnelle (remède mosqiuto non toxique en provenance d'Asie). Nous vaporisons les vêtements d’Elsa le soir avant qu’elle ne les porte, s’il ya beaucoup de moustiques.
• Mini trousse de secours
• Soulagement des gouttes de suspension de fièvre
• Sels de réhydratation orale
DANS L'AVION
4. Ayez une bouteille prête
Si vous n’allaitez pas, ayez toujours une bouteille de lait maternisé (ou de ce qu’ils boivent) à portée de main lorsque vous montez dans l’avion. Ils devraient boire pendant les décollages et les atterrissages pour aider à prévenir les douleurs aux oreilles.
5. Nouveaux jouets dans l'avion
Vous savez qu'il faut toujours au moins 30 minutes d'attente dans l'avion avant le décollage. Ces minutes peuvent être assez difficiles pour les parents, car les bébés n’aiment normalement pas rester assis immobiles avec la ceinture de sécurité. Nous apportons toujours de tout petits jouets que nous ne lui montrerons pas avant de prendre l'avion. Ils la tiennent habituellement occupée et assise immobile pendant cette période.
6. Ne manquez pas de collations
Apportez de nombreuses collations (fruits, œufs durs, porridge instantané, smoothies aux fruits (ceux d'Alex & Phil sont agréables) ou similaires, biscuits au riz, avocat, carottes, choux, etc.). Leur donner une collation est toujours un bon truc pour éviter qu’ils ne se mettent soudain à crier de faim. Nous avons appris cela après être restés dans un embouteillage avec une Elsa affamée. De nos jours, nous ne quittons jamais la maison sans collations dans notre sac.
LOGEMENT
7. Soyez pointilleux sur votre place
Lorsque vous avez un bébé, vous passerez beaucoup de temps supplémentaire dans votre chambre d'hôtel, votre maison ou votre bungalow. Assurez-vous de choisir un endroit où vous vous sentirez à l'aise. Si vous êtes en vacances à la plage, il pourrait être intéressant de trouver un emplacement en front de mer. De cette façon, vous pourrez nager et vous détendre au soleil pendant que votre bébé dort.
8. Garde-les près
Si vous vous déplacez beaucoup, votre bébé pourrait se sentir un peu en danger. Toujours leur montrer quand vous arrivez à un nouvel endroit. Et, s'ils ont du mal à dormir, laissez-les dormir dans votre lit. De cette façon, ils se sentiront toujours en sécurité, où que vous soyez dans le monde.
EN MANGEANT
9. Sauter le menu
Même dans les endroits les plus reculés d’Asie, nous avons trouvé des menus pour enfants dans les restaurants, mais comme nous ne donnons pas de sucre, de viande, de pâtes ou de pain blanc à Elsa, nous n’avons jamais rien trouvé de bon sur eux. Notre meilleur conseil est de parler au serveur ou au chef (s'ils parlent anglais) et d'expliquer ce que votre bébé aime. Ils peuvent presque toujours réparer quelque chose de délicieux, même si ce n'est pas sur le menu.
10. Manger tôt… ou tard
Amener un bébé au restaurant ne doit pas être synonyme de problèmes. Il suffit de le faire selon leurs conditions. Même si cela vous semble un peu gênant de dîner vers 17h-18h, dans un restaurant à moitié vide, c’est généralement votre meilleure chance de dîner sans pleurer. Vous n’avez pas à attendre pour la nourriture, en plus il ya beaucoup d’espace pour jouer.
Si vous préférez cependant manger tard. Donnez à votre bébé quelque chose à manger à la maison, puis installez-le dans la poussette avec un biberon et espérons-le, il dormira pendant que vous pourrez profiter d'un dîner romantique et tranquille.
11. Essayez le luxe local
Si votre bébé mange des aliments solides, laissez-le essayer de la noix de coco fraîche, des fruits du dragon, du pomelo, du litchi, à la fois comme fruit et comme jus. Ces trucs sont tellement meilleurs que les biscuits pour bébés, les jus de fruits en bouteille et le pain.
AUTRE
12. à tour de rôle
Les vacances sont synonymes de détente et, comme les petits bébés ont besoin de beaucoup d’attention, il n’est pas toujours facile de trouver le temps de lire un livre ou tout simplement de s’endormir. Nous nous sommes relayés pour prendre soin d’Elsa afin que l’autre ait une heure de détente totale.
13. Laissez vos règles à la maison
Les choses sont différentes lorsque vous voyagez, vous rencontrez de nouveaux défis auxquels vous n’avez jamais fait face. La meilleure façon de le gérer est d’essayer d’être ouvert et d’adapter ce qui se passe. De cette façon, vous économiserez beaucoup d'argent en vous disputant et en vous inquiétant. Normalement, nous essayons d'empêcher Elsa de mettre des choses dans sa bouche, mais après son premier jour à la plage, nous avons réalisé qu'il était impossible de l'empêcher de "manger" le sable. Et après environ une semaine de consommation de sable, elle s’aperçut enfin que cela n’avait pas très bon goût.
14. Les plus douces baby-sitters au monde
Nous avons presque oublié de mentionner ce qui frappe le plus lorsque vous voyagez en Asie. Ils aiment les enfants! Ils aiment sérieusement les enfants! Surtout en Thaïlande. Nous n'avons jamais rien vu de tel auparavant. Un vieil homme a arrêté sa voiture au milieu de la route juste pour sortir en courant, pincer la joue d’Elsa et prendre une photo d’elle. Dans les restaurants, au moins cinq serveurs se portent volontaires pour emmener votre bébé dans la cuisine, pendant que vous pourrez savourer votre repas en paix.
15. Fais-le!
N'ayez pas peur du genre de problèmes que vous pourriez rencontrer. Voyager est une expérience incroyable, et vous ne finissez jamais par le regretter. Alors qu'attendez-vous pour commencer à économiser et à réserver ce voyage.
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Toute les image sont tirées soit de Google Google image, soit des reseaix sociaux de Danny Pino ou de sa femme Lilly Pino.
Dans cette Fanfictions de la série les Mayans M.C. vous allez découvrir un personnage qui vous fera voyager dans le passé de Miguel et qui vous fera découvrir une autre facette de lui que vous ne connaissez peut pas pas encore.
Fiction Mayans M.C. :
Des Retrouvailles Merveilleuses.
Chapitre 1 : Un Voyage Dans les Souvenirs.
Paris, la ville la plus romantique du monde, il est 21h et il fait nuit. Miguel, son épouse Emily et leurs fils Cristobal, sortent de l’avion a l’aéroport de Roissy. A penne sortie de l’avion, Miguel repense à la dernière fois qu’il est venu à Paris. Pour son voyage de noce de son premier mariage, il y a 15 ans. Ils vont à leurs hôtels, durant le trajet Miguel regarde le paysage de Paris. Il est nostalgique de son dernier voyage à Paris avec son ex-femme Rosalita. Son fils Cristobal est émerveillé par toute les lumières de Paris. Sa femme Emily regarde Miguel, voit qu’il est dans ses pensées et dit :
- Miguel ? Ça va mon chéri ?
Miguel reprend ses esprits, regarde Emily et dit :
- Oui, Paris n’a pas changé. Elle est aussi belle que dans mon souvenir.
- Tu ne me l’as jamais dit, que tu étais déjà venu à Paris.
- C’était pour notre voyage de noce avec la mère de Carmélita.
- Tu ne m’as jamais parlé de ta vie d’avant. Avec Carmélita et sa mère.
- Je n’ai pas très envie d’en parler. Et il n’y a pas grand-chose à dire.
- Je sais que c’est douloureux pour toi de parlé d’elles, mais j’aimerais beaucoup que tu m’en parle un jour.
Miguel n’a pas le temps de répondre qu’ils arrivent à l’hôtel. Un portier ouvre la portière du côté d’Emily. Quand ils entrent dans le hall de l’hôtel, Miguel a l’impression de se retrouver 15 ans en arrière. En regardant se qui se trouve autour de lui Miguel aperçoit une femme devant les ascenseurs qui ressemble à son ex-femme Rosalita. Persuadé qu’il se trompe il va a l’accueil, la réceptionniste le regarde et dit :
- Bonsoir monsieur, je peux vous aider ?
- Bonsoir, j’ai réservé une suite avec deux chambres.
- A quel nom ?
- Miguel Galindo.
- D’accord, patienter quelques instants je vais voir si la suite est prête.
La réceptionniste passe un coup de téléphone. Cristobal ses endormie dans les bras d’Emily. Miguel les regarde, Emily et lui se sourit. Quelques secondes plus tard la réceptionniste raccroche et dit :
- Monsieur Galindo, votre suite est prête. Un bagagiste va vous y conduire avec vos bagages. Voici vos deux clés magnétiques.
- Très bien merci.
Un bagagiste amène Miguel et Emily a leurs suites. Il dépose leurs bagages, Miguel lui donne un pourboire de 50 dollars et le bagagiste s’en vas. Emily couche Cristobal dans la chambre de bébé. Miguel appelle Dita pour la prévenir qu’ils sont bien arrivés. Une fois le petit couché, Emily sert deux verres de bourbon pour Miguel et elle. Une fois l’appelle terminer, Miguel raccroche, pose son portable sur la table basse du petit salon de la suite et s’installe sur le canapé a coté d’Emily. Il prend son verre, boit une gorgée et dit :
- Je sais que tu voudrais connaitre certaine chose de quand j’étais marier avec Rosalita mais rien que d’en parler j’ai l’impression de me prendre une balle dans le cœur.
- Je sais, ta mère m’as dit à qu’elle point sa a était difficile pour ton ex et toi après la mort de votre fille.
- Carmélita était tous pour nous. Elle réunissait toute la famille. Et sa mère, elle était un peu notre roc. Elle était la plus forte de la famille. On était unis. Quand mon père et Carmélita sont mort, Rosalita n’avait plu la force de sortir de notre lit pendant plusieurs jours, elle était sous calmant tellement elle pleurait tous les jours. Elle ne mangeait plu, ne buvait plu. De mon coté je me suis plus concentré sur le faite de venger mon père et Carmélita. Alors au bout d’un mois quand elle a commencé à avoir à nouveau la force de se lever je n’étais là pour elle et on a eu une la dispute qui a tous détruit. On ses tous les deux rendu compte que l’on été devenu deux étrangers. Alors on a décidé de divorcé et elle a quitté la ville. Tous les endroits où on avait nos habitudes lui rappelait Carmélita. C’était trop dure pour elle de rester à Santo Padre.
- C’est compréhensible, elle a perdu sa fille et elle a failli vous perdre aussi ta mère et toi. Ta mère m’a un peu expliqué la situation de ce jour-là.
- Elle me l’avait dit. Qu’est-que ma mère t’as dit ?
- Elle m’a dit que quand on vous a tiré dessus, la petite et ton père ont été tuer et que t’as mère et toi vous êtes tombé dans le coma pendant une semaine. Elle a dû tous géré.
- Dévente l’as aidé et heureusement que Marcus était là pour elle et moi aussi. Le dernier mois de notre mariage, j’ai été le plus nul des maris et je le regrette depuis ce jour-là.
Miguel regarde Emily, lui caresse le visage et dit :
- Cristobal et toi vous avez été ma deuxième chance. S
Emily lui sourit, ils s’embrassent et vont dans la chambre. Ils font l’amour et s’endorment dans les bras l’un de l’autres.
Chapitre 2 : Une Visite Inattendue.
Le lendemain matin, il est encore tôt quand le soleil se lève sur Paris. Miguel et Emily sont réveillé par le petit Cristobal qui pleure dans son lit gêner par la lumière du soleil qui élimine sa chambre a travers les rideaux de la fenêtre. Miguel se lève et vas voir son fils. Il le prend dans ses bras en le rassurant, en collant la tête de Cristobal contre son torse, Miguel sens que le petit est chaud. Inquiet Miguel appelle Emily et dit :
- J’ai l’impression que Cristobal a de la fièvre.
Emily met sa main sur le front de Cristobal, a la même impression que son mari et dit :
- Il est chaud, je vais voir dans la salle de bain s’il n’y a pas un thermomètre.
Emily va à la salle de bain, vérifie dans la salle de bain. Pas de thermomètre, elle appelle la réception pour qu’ils en montent un. Pendant ce temps Miguel essaye de calmer Cristobal qui continue de pleurer. Quelques minutes plus tard, un employé de l’hôtel arrive avec une trousse a pharmacie. Emily prend la trousse et l’employé repart. Elle prend la température de Cristobal. Verdict, le petit a 39,5°c de fièvre. Miguel berce son fils, Emily appelle la réception a nouveau pour qu’ils leurs envoi un médecin. Miguel berce Cristobal depuis 1 heure, quand la concierge de l’hôtel arrive avec un médecin. Emily ouvre la porte, le médecin entre et Emily dit :
- Bonjour docteur, désolé de vous faire venir si tôt.
- Ce n’est pas grave madame. Qui doit-je examiné ?
- Notre fils de 1 ans, Cristobal. Quand mon mari est allé le voire se matin il était en pleur et quand on lui a pris la température il avait 39,5°c de fièvre.
- Vous avez pris sa température il y a combien de temps ?
- Il y a 1 heure environ.
- D’accord, je vais l’examiner et on avisera ensuite.
- Très bien.
Le médecin entre dans la chambre du petit, le petit est pleur et Miguel essaye de le calmer sans succès. Le médecin dit :
- Bonjour monsieur, je vais examiner ce petit et voir se qui ne vas pas. Vous pouvez l’allonger sur la table à langer s’il vous plait.
- D’accord, son fait plus d’une heure qu’il pleure comme ça.
Miguel allonge Cristobal sur la table à langer, le médecin l’examine. Le petit pleur. Quelques minutes plus tard le Médecin dit :
- Ce petit a les fronches encombrer. Vous êtes arrivé quand ?
- Hier soir, on est directement venu de l’aéroport. Le vol a été long.
- Vous venez d’où ?
- De Californie.
- Oui, effectivement c’est un long voyage, surtout pour un enfant de cet âge. Il a dû attraper froid dans l’avion ou a l’aéroport, ils mettent toujours la climatisation à fond. Je vais lui prescrire du doliprane en sirop. A lui donné matin, midi et soir pendant une semaine. Je vous conseille de le gardé au chaud ici. Si la fièvre ne tombe pas, vener me voir à mon cabinet.
Le médecin fait une ordonnance pour le petit. Il range son matériel et tend sa carte de visite à Emily. Miguel a réussi a calmé le petit, le médecin s’en vas. Miguel dit :
- Reste ici avec Cristobal, je vais aller chercher son médicament.
- D’accord, fait attention.
- Comme toujours.
Emily prend Cristobal dans ses bras, Miguel et Nestor partent. Arrivé dans le hall de l’hôtel Miguel aperçoit à nouveau la même femme brune qui ressemble a Rosalita. Toujours de dos, il ne peut pas être sûr que c’est bien Rosalita. Elle est assise à une table du restaurant de l’hôtel avec un homme en face d’elle et une jeune fille a coté d’elle. Miguel regarde dans leurs directions espérant voire le visage de la femme. Nestor voit que Miguel est intrigué, met sa main sur l’épaule de Miguel et dit :
- Qu’est-que tu regardes comme ça ?
Miguel se tourne vers Nestor et dit :
- Oh rien, hier j’ai vu une pharmacie à côté. En espérant qu’elle soit ouverte.
Ils vont à la pharmacie à côté de l’hôtel. Après avoir acheté le médicament pour Cristobal ils retournent à l’hôtel. Quand ils arrivent devant l’entrée de l’hôtel, la femme qui ressemble beaucoup a Rosalita sort de l’hôtel accompagné de la jeune fille avec qui elle était au restaurant. Miguel regarde la femme et reconnais le visage de Rosalita. Elle lève la tête vers Miguel et le reconnais tout de suite. Elle lui sourit, leurs fait un coucou de la main. Miguel lui sourit à son tour, Miguel et Nestor s’approche d’elle et Rosalita fait un bisou sur le front de la jeune fille. Puis la jeune fille s’en vas, Rosalita regarde Miguel et Nestor qui s’approche d’elle. Face a face Rosalita et Miguel se regardent et Miguel dit :
- Tu es toujours aussi belle.
- Merci, toi aussi tu n’as pas changé. Toi non plus Nestor.
Nestor sourit et dit :
- Merci, Princesse.
Miguel se tourne vers Nestor, lui tend le paquet de médicament et dit :
- Nestor va apporter sa à Emily et dit lui que j’arrive.
- Ok, a la prochaine princesse.
Nestor prend Rosalita dans ses bras pour lui dire aurevoir et s’en vas. Miguel et Rosalita le regarde partir et Rosalita dit :
- Sa fais combien de temps que l’on ses pas vue ?
- 10 ans, sa fais bizarre.
- Qu’est-qui est bizarre ?
- On se retrouve ici devant l’hôtel où on est descendu lors de notre voyage de noce…
- Il y a 15ans. Tu es ici en voyage d’affaire ?
- Non, je suis en vacances avec ma femme Emily et notre fils. On est arrivé hier soir. Et Cristobal est malade du coup je suis sortie acheter un médicament pour lui.
- Tu lui as donné le prénom de ton frère.
- Oui et toi, tu es à Paris pour qu’elle raison ?
- Je vie ici, je sors avec le directeur de l’hôtel et la jeune fille qui était avec moi toute a l’heur est sa fille de 15 ans. On est proche elle et moi.
- Tu es toujours décoratrice d’intérieur ?
- Oui, j’ai refait la décoration de la plupart des suite et chambres de l’hôtel. Je vis dans une des suites en ce moment, mon immeuble est en travaux et comme je travaille de chez moi. Je ne peux pas accueillir mes clients chez moi. Franck m’a gentiment laissé une suite le temps que les travaux soit fini. On peut dire que tous roulent pour moi. Et toi les affaires, ça se passe bien ?
- Oui, sa ne change pas.
- Mon père m’as dit pour Dévente et le pacte avec le procureur. Ils t’ont fait le même coup qu’ils avaient fait ton père il y a 10 ans ?
- Exactement le même, ils ont menacé d’arrêté ma femme et d’envoyer notre fils en orphelina. Mais ils ne sont pas au courant de l’alliance avec les rebelles.
- Les enfoirés, qu’est-que tu comptes faire ?
- Je vais jouer le jeu et le moment venu, nous attaquerons.
- J’espère que ton plan réussira. Et j’espère aussi que le procureur ne sait pas que j’ai des liens avec vous en dehors que je suis la fille de ton conseiller.
- Ne t’en fait pas pour ça, le seul lien qu’ils ont entre nous, c’est le fait que tu es mon ex-femme et que ton père travaille pour moi. En ce qui concerne les affaires tu n’apparais nulle part. Ton père et moi, on a fait le nécessaire.
- Ça me rassure, de savoir que je peux toujours compter sur chacun d’autre vous.
- Tu seras toujours l’une des notre et sa ne changera jamais.
- Je suis heureuse de savoir que sur ce sujet-là. Rien n’a changé avec les années.
Rosalita et Miguel se sourit, elle regarde l’heure sur sa montre et voie 9h00. Elle Regarde Miguel et dit :
- Je suis désolé mais je vais devoirs te laissé. J’ai un rendez-vous d’affaire dans une demi-heure.
- Je comprends, Je vais monter voire comment vas Cristobal.
- Je serais ravi de les rencontrer, on se verras peut-être plus tard.
- Je te les présenterais, je suis heureux de t’avoirs revu.
- Moi aussi, sa m’a fait plaisir.
Ils se prennent dans les bras l’un de l’autre, Rosalita lui fait un bisou sur la joue et Miguel lui fait un bisou sur le front. Rosalita part en voiture a son rendez-vous. Miguel rejoint Emily et ses hommes. Quand Miguel entre dans la suite Emily berce Cristobal dans la chambre du petit. Nestor s’approche de Miguel et dit :
- Vous avez discuté longtemps Rosa et toi.
- Oui, j’ai été ravis de la revoir. Elle n’a pas changé, elle est toujours aussi belle. Elle s’inquiétait de savoir si Potter pouvait faire un lien avec elle dans nos affaires. Je lui ai dit que Marcus et moi on avait fait en sortent que non. Pour Potter, les seuls liens qu’elle a avec nous c’est le fait qu’elle est mon ex-femme et que Marcus soit son père.
- Elle a dit quoi ?
- Qu’elle est rassurée de savoir qu’elle peut compter sur nous.
- Toujours.
Ils sourient, Miguel vas voire Emily dans la chambre, elle met Cristobal dans son lit. Le petit ses endormies. Miguel prend sa femme dans ses bras, tous les deux regardent leurs fils dormir. Quelques secondes plus tard, Ils sortent de la chambre. Ils s’embrassent et Emily dit :
- Nestor m’as dit que vous aviez croisé une vieille amie.
- Oui, mon ex-femme Rosalita, elle a une suite ici le temps que son immeuble soit en travaux. Elle sort avec le directeur de l’hôtel.
- Et vous avez discuté de quoi ?
- De tous, elle m’a raconté ce qu’elle est devenue et j’ai fait pareil. Elle serait ravie de vous rencontrer Cristobal et toi.
- On pourrait l’inviter à dîner, elle et son petit ami.
- Bonne idée, je vais voir avec elle si ses possibles.
- Ok.
Ils s’embrassent, Emily part prendre une douche et Miguel s’installe sur l’un des canapés pour lire un livre.
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Internat (vrac)
Parfois la violence de nos rapports me frappe : je rentre dans ma chambre et il y a deux hommes après mon colocataire encore plus pédé que moi, ils lui renversent son lit et lui tirent le pantalon, je leur dis de partir, j’en cogne un contre le radiateur pour me faire entendre, par habitude.
Trois heures du matin, je croise un futur polytechnicien qui fume à la fenêtre, il a enroulé un t-shirt mouillé autour du détecteur de fumée comme on nous y a initié, il me dit On a une vie de merde hein, il ajoute que la plomberie, ça lui aurait plu finalement, chacun retourne à son ouvrage, lui à sa mécanique des fluides, moi à ma version de latin, je crois qu’il me plaît mais je n’ai pas le temps de l’aimer.
Mon colocataire ne peut pas empêcher son érection quand il voit les sports-études partir à la douche, un jour qu’ils s’en aperçoivent, ils demandent Alors Benjamin, on te fait bien bander hein ?, Tu veux me la mettre ou me la sucer ? etc.
Délégué de l’internat je vais voir le proviseur pour réclamer un étage réservé aux filles, il me dit non, qu’elles vont nous déconcentrer, je pense à tous les hommes avec qui je me suis masturbé, les mêmes à qui j’envoie des SMS en cours de philo le portable caché dans la trousse, ceux qui attendent le couvre-feu pour traverser l’internat nus leurs couettes sur le dos, ça me fait ricaner, je prends deux heures de colle.
Mickaël m’a traité de sale pédé avant qu’on s’embrasse deux mois plus tard dans le noir de la salle d’études, je pensais que je tenais là ma vengeance mais en allant me coucher, je n’étais vengé de rien du tout, je n’exultais pas, je n’avais même pas envie de l’embrasser moi Mickaël.
Je me rappelle l’étonnement quand j’ai découvert ces hommes engourdis de la vie : ils semblent n’être affectés par rien, nulle trace du passage du temps, leurs souvenirs n’ont aucun poids, des gouffres, ils sont comme des grandes étendues d’eau qui se referment vite sur les pierres qu’on leur lance, la surface est lisse, sans sillage, pas d’indice de blessures en dedans, le monde glisse sur eux, ils me font peur.
Ivres à cinq heures du matin, on surprend le pion autoritaire en train de se masturber énergiquement sous la douche, un tout petit sexe s’agite entre ses deux doigts, on rigole bien.
Je fais l’amour avec un garçon qui prie beaucoup et que j’aime beaucoup, je vois ses larmes juste après, il me dit que Dieu nous a vus, je dis Franchement je pense pas, Il a d’autres choses à voir dans le monde mais j’y connais rien après, je me crois drôle ou spirituel, il me met dehors, il ne m’adresse plus jamais la parole, je l’entends pleurer derrière la porte, pleurer et prier.
Coincé dehors avec les autres, j’ai bu et froid, un garçon se dévoue et passe son propre manteau autour de mes épaules comme les amants à leurs femmes dans les films, alors je me rends compte que je ne suis pas un garçon, les pédés ne sont pas des hommes, non, je suis la fille du groupe, d’ailleurs personne d’autre que moi n’a la trousse à pharmacie, ne stocke le pain et la confiture pour les redistribuer aux privés de cantine, ne sait recoudre un bouton ou un fond de couette, le rôle de la maman que j’ai endossé automatiquement dans une société exclusivement masculine, en attendant le rôle de la putain que je jouerai plus tard.
Ce personnage de la pom-pom girl écervelée qui couche avec le premier venu, c’est moi, c’est moi quand il lui dit « Je ne t’aime pas » juste après, c’est moi quand tout le monde se moque d’elle parce que c’est évident qu’il ne l’aime pas, c’est moi quand elle déplore sa naïveté allongée sur son lit, combien elle l’a aimé et combien il ne l’a pas aimée, elle lui a tout donné même sa virginité, je ne me suis jamais senti aussi féminin que dans ce malheur, cette déception qu’ils couchent avec moi comme ça pour essayer comme ils essaieraient de se branler dans un gant plein de coquillettes chaudes, moi j’y ai pensé pendant des jours, des nuits et eux ils y ont pensé deux minutes, je me promets comme la pom-pom girl que ça ne se reproduira plus (hélas, ça se reproduira).
On n’a pas grand chose en commun nous ruraux exilés, mais on a au moins un ami qui s’est pendu dans la cabane pas loin du lac et deux autres qui sont morts ivres dans leur voiture une nuit de samedi à dimanche, le petit bouquet dans le virage au pied du platane quand on revient au pays, avec un papier papillonnant au bord du fossé où on lit À mon ami, À mon fiancé ou À mon fils chéri.
Il y en a bien quelques-uns dont je n’oublierai pas la tendresse, le grand qui sentait toujours la lessive, le moyen et sa parure de draps à imprimés dauphins sur soleil couchant, le petit avec une marque de bronzage sur la nuque même en hiver, ils sortent avec des femmes maintenant.
Le tout premier jour dans la grande salle, le discours de la proviseure est entrecoupé de plusieurs « les bizutages seront punis », plus tard dans ma chambre fraîchement aménagée fait irruption Umit qui me lance T’as vu, ils ont parlé de l’année dernière, il veut m’impressionner, il continue en disant que plusieurs ��lèves de prépa HEC ont déshabillé un nouveau et qu’ils lui ont éjaculé dans les cheveux, qu’ils l’ont enfermé dehors et qu’il est allé chercher de l’aide en s’essuyant comme il pouvait, qu’il avait du mal à supporter les réflexions après, Ça te coule dans les oreilles petit pédé, Tu feras gaffe il t’en reste un peu au coin de la bouche, qu’il n’a pas supporté finalement, qu’il a laissé un message vocal à sa mère, qu’il s’est défenestré du septième étage, qu’il est tombé juste devant la cantine, qu’il est mort sur le coup.
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Notre voyage touche à sa fin… Vous qui nous avez accompagné, qui avez savouré, peut être maintenant êtes vous tentés par l’aventure. Voici quelques conseils : - Prévoyez large question budget ! Mais faites attention à toutes vos dépenses dès le début. Prévoir large pour ne pas devoir renoncer à certaines visites ou activités, pouvoir avancer la caution de 5000 $ du camping car ou des frais d’hospitalisation… Soyez vigilants aux déplacements qui reviennent chers et faites vôtre la maxime d’Alexandre Poussin, « Voir moins mais voir mieux. » - Achetez votre billet Tour du Monde via une agence telle : Connaisseurs du Voyage (un peu plus cher, mais super horaires et compagnies, changements quasi impossibles), Travel Nation (plébiscité par de nombreux tourdumondistes) ou ZipWorld. - Mais ne réservez aucun autre vol, faites le au fur et à mesure… - Plus généralement, organisez votre voyage… le moins possible ! En fonction de vos visites, lectures, rencontres, propres expériences, vos envies changeront. Il y a aussi beaucoup d’impondérables : intempéries, indisponibilité, maladie, mal des montagnes, sous qui viennent à manquer… Partout on trouve très facilement de quoi dormir, découvrir, organiser la suite… Le lâcher prise, l’improvisation, l’ouverture vers l’imprévu et l’inconnu, sont la grande richesse d’un tour du monde. Vous aurez le temps maintenant, alors savourez. - Réservez la première nuit puis négocier les suivantes sur place (pour économiser les commissions booking, pouvoir changer d’avis). Ne pas oublier l’option airbnb valable dans certaines grandes villes, le campervan quand il vous faudra beaucoup bouger… - Coté sac à dos, voyagez léger. Encore une fois vous trouverez partout ce qui vous manque. Nos vêtements techniques ont peu été utiles et les gadgets jamais utilisés telle la paille pour filtrer l’eau. D’autres voyageurs sont partis avec gamelle pliable, bouchon d’évier, oreillers, sac isotherme ou économe… dont nous nous sommes parfaitement passés. Utilisez des trousses transparentes pour tout organiser et vite tout trouver. - Coté informatique nous recommandons un ordi portable, une tablette, un seul téléphone avec votre numéro français (pour recevoir les SMS de nos banques pour confirmer un paiement), 2 liseuses, un appareil photo compact mais performant et un disque dur externe avec plein de films ! Nous ont manqué une go pro pour faire des photos sous l’eau et des mini enceintes. - Coté pharmacie : partez très léger, on trouve tout partout, et oui vous l’avez compris ! - Enfin, coté CB, l’idéal est de partir avec 2 cartes de 2 comptes différents, idéalement 3. Une bonne solution mais pas testée semble être la carte Revolut. Voici quelques applications utiles : dashlane (pour mémoriser tous ses mots de passe, top !), j'aime lire store, maps.me (carte hors ligne, indispensable !), xe.com (pour convertir les monnaies, utiles !), carte du ciel (pour se repérer dans les étoiles), wiki camps et campermate (pour trouver les lieux où installer sa tente). - Bref retour sur nos destinations : attention l’Argentine est devenue un pays cher et la Patagonie est hors de prix, réservez tôt un campervan pour le désert d’Atacama car il y a peu d’offre, l’Australie est grande soyez donc modeste pour le parcours afin d’apprécier, prenez des guides au Macchu Pichu ou encore à Angkor car ça change tout, fuyez Bali où le tourisme a tout pourri.
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J’ai fait, défait et refait mon sac (A. de Baecque)
Depuis deux jours, signe de mon impatience, de ma passion de l’ordre et du classement, j’ai fait, défait et refait mon sac, et j’ai dedans :
4 shorts de marche ; 4 polos ; 3 chemises ; 1 pantalon de marche ; 4 paires de chaussettes de ville ; 6 caleçons ; 1 maillot de bain ; 1 paire de baskets légères ; 1 paire de chaussures de montagne Garmont (Vetta Mont) aux pieds ; 1 casquette ; 1 bob ; 2 paires de lunettes (1 aux verres transparents, 1 aux verres fumés) ; 1 paire de lunettes de soleil de type « glacier » ; 1 lampe frontale ; 1 trousse à pharmacie ; 1 trousse de toilette ; 1 sac de couchage ; 1 cape de pluie ; 1 couverture de survie ; 1 cordelette ; 1 ordinateur portable Mac ; 1 téléphone portable Samsung ; 1 journal de marche ; 4 livres sur la routo ; 13 cartes IGN traversées par ma routo transhumante ; 1 chéquier ; 1 carte bleue ; 1 passeport ; 2 bouteilles d’eau ; 1 couteau suisse ; quelques sachets de thé pour thermos de la fin du pique-nique… À Arles, je dois acheter, avant mon départ : 1 polaire rouge ; trois ou quatre feutres noirs ; 1 tube de Mir pour la lessive à la main ; 1 grande bouteille d’eau de 2 litres ; 2 boîtes d’Efferalgan ; 3 boîtes de « seconde peau » Compeed ; 3 boîtes d’ampoules Exforge pour mon cœur. Prendre deux cents euros au guichet automatique.
(Ma transhumance. Carnets de routo, p.37-38)
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Randonnée en famille : confort et hydratation
Stanislaw Mikulski/shutterstock.com
Petite balade de 2 heures ou escapade à la journée. La randonnée est un plaisir de l’été, à partager entre amis ou en famille. Pour en profiter sans risquer de désagréments, suivez les conseils du Dr Catherine Kabani, médecin de la Fédération française de Randonnée. Matériel et anticipation sont les maîtres mots de votre préparation.
Si elle ne nécessite pas d’entraînement physique spécifique, la randonnée estivale requiert un minimum de préparation. Pour commencer, le matériel est important. « Choisissez de bonnes chaussures de marche et assurez-vous que les enfants sont eux aussi bien chaussés », recommande le Dr Kabani. Ce conseil est essentiel car « des enfants mal chaussés risquent de se blesser et d’être dégoûtés de la randonnée ».
Les adultes peuvent se munir de bâtons pour la marche afin de « soulager les genoux ». Ensuite, choisissez un sac à dos confortable, « bien réglé pour ne pas avoir mal aux épaules ». Dans celui-ci vous pourrez emporter de l’eau en quantité suffisante, ainsi que quelques fruits secs ou biscuits pour les pauses. « L’eau est très importante pour éviter toute déshydratation, en particulier chez les plus jeunes », insiste Catherine Kabani.
En matière de protection solaire, « prévoyez un chapeau ou une casquette pour chacun, ainsi qu’une crème à indice élevé, à renouveler toutes les deux heures », souligne-t-elle. Même si le soleil est voilé. Une petite trousse à pharmacie pour la « bobologie » ainsi qu’un téléphone portable chargé complèteront la panoplie.
Le choix du bon parcours
Combien de temps doit durer la balade ? Comment choisir la distance à parcourir ? « Pour le cas où vous partiriez en famille, tout dépend de l’âge des enfants », explique le Dr Kabani. « Il n’y a pas d’âge pour la randonnée. Les tout-petits peuvent être dans le dos de leurs parents et dès 3 ou 4 ans, il est possible de marcher jusqu’à 2 heures. » Toutefois, attention d’étudier le parcours en amont, en prenant en compte la (...)
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La Marche pour la première fois
Comme je le disais depuis le début, je n’ai jamais fait de la randonnée dans ma vie. Mes voyages étaient organisés par mes parents (ou mon chéri), je n’ai pas eu à régler les problèmes d’hébergement, de nourritures ou d’eau. Là, malgré la présence de mon mari, les questions se posent de fur et à mesure et m’inquiètent progressivement.
Les journées à Katmandou passent tranquillement avec la découverte du quartier routard de Thamel, de la cuisine népalaise (momos, chowmein et dhal-bhat) et de Boudhanath, pleine de monde mais calme dans l’âme. Je ne réalise donc pas encore la dureté de la marche qui m’attend lorsque nous partons de Katmandou.
Le trajet en bus pour Kakarvita puis Tharpu est long. Les vendeurs de billets de bus sont aussi arnaqueurs à l’occasion, il faut donc rester vigilant et savoir négocier sans trop faire chauffer l’ambiance. D’après Abidin (et cela se confirme peu de temps après dans la montagne où l’on ne le cache même plus), un népalais porte souvent un couteau sur lui.
Katmandou ainsi que le confort s’éloignent, ce qui signifie aussi la difficulté de communication car peu gens parlent anglais dans les villages. Si la chance nous permet de croiser quelqu’un qui parle cette langue internationale, les questions « Where are you come from ? What is your purpose in Nepal ? » sont inévitables. Et puis bien sûr, les villageois pensent que je suis népalaise vu mon visage asiatique noirci de soleil et de poussière. Ils essaient de me parler dans leur langue tellement souvent que j’en suis un peu fatiguée. Chambres faites de planches de bois, simples dhal-bhat et manque d’électricité sont notre quotidien. Les toilettes sont souvent communes à plusieurs familles et se trouvent à plusieurs mètres de la maison principale. La douche ? Ah non, il n’y en a pas ! Mais surtout, comment je me laverai à l’eau glacée quand il fait si froid la nuit ? Et puis la salle de bain est une chose tellement luxueuse ici qu’ils n’en possèdent même pas une pour tout le village.
Une autre chose inattendue, les fruits sont extrêmement rares. Il nous arrive souvent de cuisiner nous-même le déjeuner avec de simples nouilles instantanées, qui cuisent vite (et donc consomment peu de gaz, qui nous est très limité du fait du poids) mais qui nous donnent terriblement soif après. C’est donc pas très pratique pour un trek mais nous n’avons pas d’autre solution. Nos sacs sont lourds de plein choses qui paraissent inutiles (et le sont si l’on s’en tient à l’essentiel), mais du coup je ne pourrais pas vous raconter tout cela, puisque je l’envoie de l’ordinateur portable que l’on a porté tout au long ! Ah le serpent qui se mord la queue. Je suis usée par de grosses journées de marche. Avec ma petite taille, suivre la cadence d’Abidin, qui mesure 1m82, ce n’est pas évident. Les montées abruptes où l’on doit grimper sur les pierres, des fois même utiliser les mains, je ne les attendais pas. En vérité, j’ai eu un choc quand j’ai réalisé que nous devions aller à Phalut (3450m d’altitude) au bout 2 jours de marche seulement : souffle court, presque de l’asthme, douleur aux jambes et épaules, froid humide. Heureusement que notre trousse à pharmacie est bien fournie et que le Diamox, le paracétamol et un peu de corticoïdes m’ont aidée. Mon entrainement de vélo ne m’aide pas beaucoup malheureusement. Les engueulades commencent dans la fatigue et la peur d’être en retard par rapport à la tombée de la nuit. J’en suis vraiment triste et ne veux pas que cette situation menace notre trek, voire notre relation. Je propose à Abidin que nous devons se mettre d’accord sur chaque étape, ce qui n’était pas le cas avant Sablakhu (où c’est plutôt l’itinéraire suivi par une néerlandaise et qui l’a partagé sur internet, qu’on suivait à la lettre).
Il faut préciser aussi que les chemins de trek parfois traversent les champs ou passent dans la cour de chez quelqu’un. Pour moi, vietnamienne, cela a été très étonnant au début. Je ne pensais pas pouvoir passer si facilement dans la propriété de quelqu’un. Plusieurs fois, nous nous perdons dans la forêt en n’ayant pas trouvé le chemin exact. Une petite erreur peut nous coûter très cher : une fois, à une bifurcation en Y, alors qu’il n’y avait personne, malgré la carte et le GPS, nous avons choisi le mauvais sentier. Nous avons perdu une heure et il nous a fallu remonter les 200m descendus. J’ai eu tellement peur d’être coincée au milieu de la nature que quand on a retrouvé le chemin, j’ai eu les larmes aux yeux. Une grande leçon ! S’ajoute à toutes ces galères le manque d’hygiène qui me gêne de plus en plus. Je n’ai aucune idée comment font les autres femmes en trek, mais personnellement, je m’y adapte très mal. Comment seront-ils, les jours suivants ?
Heureusement, nous sommes réchauffés en permanence par la générosité humaine : Dès le premier jour nous sommes invités à boire le thé alors que nous ne faisons que passer dans le hameau de Musepa. Le lendemain, un berger à Lempokhari nous offre un toit et du riz : il n’accepte même pas les quelques roupies que nous voulons lui donner. Avec quelques pauvres mots népalais appris sur le tas, nous essayons de se parler et puis rigolons énormément. D’après ce que je comprends, le berger fabrique une sorte de fromage et en vend au marché. Quelques jours après, alors que la nuit tombe presque, dans l’ambiance d’un mariage à Sablakhu, nous sommes hébergés gratuitement chez un bouddhiste qui nous accompagne longuement le lendemain pour nous montrer le bon chemin. Le bonheur se répète à Tellok quand encore une fois, l’hébergement est gratuit chez une famille d’un vieux villageois qui nous a croisés par hasard sur la route. Son fils parle bien anglais et ses petits enfants sont vifs et aimables. D’ailleurs, les meilleurs dhal-bhat que j’ai mangés étaient cuisinés dans ces deux familles. Je peux encore parler de Orakpa, un tout petit village perdu entre Kande Bhanjyang et Phedi, où nous sommes encore une fois hébergés gratuitement chez une mère élevant seule ses cinq filles adorables. La barrière de la langue empêche toute discussion, mais le plaisir est là, partagé. Certes, la misère règne dans ce pays mais là où elle est plus forte, les gens sont plus généreux et aident plus facilement les autres.
Pour conclure, je souhaite que mes jambes, mes épaules et ma tête tiennent bon pour que la suite soit faite de belles découvertes et que nous puissions continuer le GHT.
Thanh Nhan
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VetdL 1 - La valise
Trainant en t-shirt sur mon lit, je m’étirai comme un chat, plongée avec plaisir dans le dernier livre de ma série bit-lit préférée. Le ventilateur faisait entendre son doux ronronnement dans le studio, brassant l’air chaud et lourd. Je m’en accommodais néanmoins, concentrant toute mon attention sur le récit de romance vampirique dans lequel je m’étais abîmée.
Mon téléphone se mit à vibrer, et j’hésitai un court instant, me demandant si cela valait bien la peine de faire l’effort de tendre le bras. En soupirant bruyamment, je décrochai.
« - Salut Juliette ! Alors, prête pour demain ?! » s’enthousiasma Assia, d’une voix si surexcitée que j’éloignai le combiné de mon oreille un instant. Je grommelai une vague réponse, trop accablée par la chaleur et son énergie débordante, qui menaçait de me donner le vertige. « - Ma valise est enfin prête. J’ai pris un peu de tout, mais j’ai entendu dire qu’il faisait chaud aussi en Roumanie. Oh, et pas la peine de prendre du gel douche – shampooing – dentifrice, j’ai des grands formats. On partagera. J’ai aussi pris une trousse à pharmacie… »
Mes lèvres s’étirèrent en un sourire tandis que j’écoutais sa litanie ininterrompue. C’est à peine si elle reprenait sa respiration. Taquine, je l’interrompis :
« - Tu as bien pensé au pieu, j’espère ? »
« - Evidemment, qu’est-ce que tu crois ? J’ai même pris de l’ail en poudre figure-toi ! » Persiffla-t-elle, d’un ton qui se voulait condescendant mais qui laissait transparaître son amusement. « Enfin bref, j’appelais surtout pour te dire de décoller tes jolies fesses de ton matelas et de faire ta valise. » insista-t-elle en détachant chaque mot.
« - Et qu’est-ce qui te dit qu’elle n’est pas fin prête ? »
« - La valise. Maintenant. » assena-t-elle.
« - Pff, tu me connais trop bien ! Mais j’ai encore le temps je te signale. Plusieurs heures même ! » répondis-je d’un ton faussement contrarié, jetant un œil vers le sac à dos qu’elle m’avait offert à mon anniversaire. Un chouette sac à dos, avec une bonne contenance, pratique et neuf. Neuf… et vide.
Je l’entendis renifler avec mépris à l’autre bout du fil.
« - Ne compte pas sur moi pour te prêter mes culottes si tu as oublié les tiennes. »
« - Hmm… Bon, c’est pas tout ça mais j’ai une valise à faire. » rétorquai-je, un franc sourire aux lèvres.
« - … Toi alors ! »
Et elle raccrocha la première, tandis que je riais doucement.
Reposant le portable, j’observais mon backpack abandonné depuis mai dans un coin de la pièce. Avec un soupir théâtral, je décollai mon corps du lit. « Oui, il va être temps de faire la valise… Bon... » Et tandis que j’ouvrais l’unique placard du studio à la volée et entassais son contenu sur le lit pour trier, je repensai aux circonstances qui nous avaient amenées à faire ce voyage.
Je venais tout juste de finir ma licence d’histoire, et avais envie de m’offrir un voyage pour la fêter. Fan comme je l’étais de vampires – mes goûts littéraires et cinématiques en attestaient – la Transylvanie m’était apparue comme la destination évidente. J’en avais parlé un peu autour de moi, mais seule Assia avait paru enthousiaste à l’idée de ce périple. Loin d’être une amoureuse des suceurs de sang, elle était surtout éprise de voyages. Nous nous connaissions depuis le lycée, et je savais qu’elle rêvait – véritablement rêvait – de partir loin de cette ville étouffante qui l’avait vue naître. Ses parents n’avaient pas les moyens de lui offrir cette évasion. Aussi avait-t-elle sauté sur l’occasion quand je lui avais proposé de m’accompagner.
Nous avions économisé toutes deux depuis décembre, sur les bourses et le job à mi-temps. J’avais un petit budget moi aussi, alors nous avions décidé de partir à l’aventure, nos sacs à dos et la tente pour seuls bagages.
Et alors que je finissais la valise, qui ne contenait rien d’autre que quelques vêtements, deux paires de chaussures, des affaires de toilettes et une romance de vampires, je me surpris à sourire de toutes mes dents. Comme si je réalisais seulement à cet instant que j’allais visiter cette terre de légende qui me faisait tant fantasmer. « Que cette folle aventure commence ! »
#writer#écriture#storytelling#ami#transylvanie#vampire#surnaturel#enquête#thriller#voyage#légende#bitlit
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Vacances Bali | Que mettre dans sa valise ?
Votre départ pour Bali approche et vous ne savez pas quoi mettre dans votre valise ? Pas de panique, nous allons vous aider !
Bali est l’île d’Indonésie la plus convoitée par les voyageurs. Ici, tous les ingrédients sont rassemblés pour passer des vacances Bali de rêve, et pour cause : il fait beau et chaud quasiment toute l’année alors inutile d’apporter des vêtements différents en fonction des saisons. Voici une liste de nos essentiels, adapté à un climat chaud et humide.
Vacances Bali | Que mettre dans sa valise ?
Indispensables
Passeport
Billets d’avion
Documents de voyage
Carte de crédit, monnaie liquide
Téléphone portable
Permis de conduire international
Vêtements
Serviette microfibre
Hauts légers
Bas légers
Tee shirt à manches longues (au cas où)
Tenue habillée pour sortir
Pyjama
Chaussettes / sous-vêtements
Paire de tongs
Tenue adaptée à la pratique du sport si vous prévoyez de faire des treks
Paire de chaussures fermées (parfait si vous louez un scooter ou faites des activités physiques)
K-way (si vous voyagez de novembre à mars)
Inutile de vous encombrer avec des habits longs. Si vous prévoyez de visiter des temples, vous pourrez emprunter un sarong sur place.
Aussi, sachez qu’à Bali vous trouverez des « Laudry » dans tous les coins de rue. Vous pourrez donc faire laver vos vêtements rapidement et pour trois fois rien.
Enfin, si vous oubliez un de vos indispensables durant vos vacances Bali, vous pourrez facilement trouver sur l’île votre bonheur.
Accessoires
Sac en bandoulière ou sac banane
Sac de plage
Sac à dos
Porte-monnaie
Lunettes de soleil
Casquette
Chargeurs de vos appareils
Batterie portable
Appareil photo
Cadenas
Boules quies
Hygiène
Crème solaire (privilégiez de la haute protection)
Crème hydratante après-soleil
Savon, shampoing
Brosse à dents, dentifrice
Brosse à cheveux
Coupe ongle, lime
Rasoir
Élastiques pour cheveux
Coton, cotons tige
Déodorant
Mouchoirs en papier, lingette
Anti-moustiques
Trousse à pharmacie (aspirine, coton, désinfectant, pansement, collyre)
Tampons, serviettes hygiéniques
Pensez à mettre tous vos liquides dans des sacs hermétiques afin d’éviter une éventuelle catastrophe dans votre valise.
Quelques conseils de dernière minute
Avant le départ pour votre voyage Bali, assurez-vous de ne pas dépasser le poids indiqué sur vos billets d’avion
Voyagez léger ! Ne remplissez pas intégralement votre valise de départ afin de ramener quelques souvenirs
Faites des copies ou envoyez-vous par e-mail vos documents importants (passeport, billets d’avion)
Alors, prêt pour le grand départ pour vos vacances Bali ?
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