#très gnan gnan au début
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tir groupé 1982
#tir groupé#Jean-Claude Missiaen#gerard lanvin#michel constantin#véronique genest#roland blanche#pierre william glenn#très gnan gnan au début#le dernier tiers est nettement mieux#revenge movie#6/10
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ô biblio, biblio, pourquoi es-tu biblio ?
Un ami dit souvent que l’école, ce devrait être comme l’hôpital : il faut y aller quand on en a besoin. Généralement, il fait des longues digressions convaincantes mais ce n’est pas le sujet ici. Et pour nous, s’il y a un endroit où on va quand on a besoin de choses qui concernent ce qu’on a envie d’apprendre, c’est la bibliothèque. Ou plutôt plusieurs.
Et tout près de chez nous, il y a 4 bibliothèques hyperactives (deux sont très proches de chez nous). Au début, nous allions à la grosse ville du département pour faire le plein mais cela avait de moins en moins de sens (pour moi en tout cas) au fur et à mesure de ma découverte de ces bibliothèques toutes proches.
Et ce qui est génial, c’est la relation qui se noue avec les personnes qui s’en occupent. Vraiment une relation d’aide à l’apprentissage (”qu’est-ce qu’on a sur la deuxième guerre mondiale ? clic, clic, clic, et ça, je peux le réserver”). Et ces derniers temps, c’est P. qui fournit les petites comme moi & Crépon en livres. Elle accompagne nos lubies. Elle m’autorise à emprunter 100 livres (oui, elle a confiance...). Alors avec les filles, on lit des beaux et grands livres (comme, en ce moment, une version illustrée de Vendredi ou la Vie Sauvage de Michel Tournier, dont je parlerais peut-être plus tard). Ce serait peu dire que P. participe activement à l’apprentissage avancée de la lecture de Chipie. Elle choisit même des livres qu’elle met dans notre panier et les choix sont vraiment pertinents (en fait, ça veut dire que Chipie et Galipette aiment ça).
J’en choisis deux.
D’abord.
Docteur Enigmus est un détective un peu old school mais il nous fait bien creuser les méninges. En 2 ou 3 pages, quelques indices, et situations énoncées, on doit élucider qui a fait quoi. C’est parfois facile et parfois bien rude. Ce sont les légendaires problèmes de maths (mais en mieux). Et qu’on soit fan des casses-têtes ou non, c’est intéressant de dérouler des logiques, des mécanismes de pensées pour trouver le criminel à la petite semaine (ou échouer mais établir des raisonnements dingues !).
Second choix : il y a le roman graphique (c’est comme ça qu’on dit ?) qui s’appelle Verte, écrit par Marie Desplechin et dessiné par Magali Le Huche.
C’est l’histoire simple et compliquée d’une jeune fille qui ne veut pas devenir sorcière comme sa mère. Le récit est puissant, fin et intelligent : vie des femmes et des mères sans hommes - et sans glorification desdits hommes, jeune fille qui se veut se construire indépendante sans sentimentalisme gnan-gnan. Alors Chipie l’a dévoré, et plusieurs fois. P., à notre ravissement nous a donc pris la suite (dont Crépon est un peu déçue... quant à Chipie...?).
En somme, on est très heureuses et heureux d’être bien entouré-e-s comme ça...! Et cela participe activement à la construction de nos savoirs et de la diffusion de ceux-là dans les espaces familiaux comme élargis. Pour dire une banalité, les bibliothèques sont pour nous des lieux de savoirs et d’échanges indispensables... Et c’est encore mieux quand ce sont de chouettes personnes qui s’en occupent !
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Les semaines se finissent en musique.
Après un triple tentative (un triple échec) de vous montrer les photos de (la magnifique!) Huancaya, je m’avoue aujourd’hui vaincue.Il est temps d’avoir Facebook ! On y est allés sur un weekend, c’est à 8 heures de route en enchaînant deux bus [ndlr : à échelle péruvienne, c’est juste à côté]. Les trois premières jusqu’à Cañete, petite ville plus au sud sur la côte, et les cinq suivantes dans un combi qui s’élance vers les montagnes.
Et qui dit relief, dit …. ?
Cumbia andine, mon amour.
Petite parenthèse pour qui veut encore bien l’entendre, la cumbia andine c’est le mal incarné. Née de la découverte de son alliance rythmique fondatrice (« Tchi tchi poum, tchi tchi poum » ou « pou-poum tchi, pou-poum tchi »), la cumbia réunit de la guitare électrique, un mauvais synthé, un chant désagréable à l’oreille et des paroles gnan-gnan. Les us et coutumes locaux exigent qu’on l’écoute très fort, que ce soit chez soi, dans les lieux publics ou dans les transports.
L’attachement émotionnel du peuple andin à l’égard de ce bruit maléfique explique leur préférence pour le respect de la tradition et donc pour les chansons qui se ressemblent toutes. C’est à tel point que je n’arrive à les distinguer les unes des autres que par leur contenu sémantique qui ne vole jamais bien haut : si la demoiselle parle de chagrin d’amour alors qu’elle venait de trouver celui de sa vie deux phrases avant, c’est qu’on est passés au titre suivant.
SPOIL ALERT: Si de Cañete à Huancaya il y avait cinq heures de bus, pour le retour aussi tu le paies 40 soles et 5 heures de cumbia, hein. On n’est pas là pour déconner. Andréa a néanmoins détaché une chanson de la cacophonie (exploit). La piste réunit tous les critères qui m’insupportent, c’est donc pour des raisons inexpliquées qu’on l’écoute, qu’on la chante, qu’on la crie et qu’on la danse depuis des jours. Je vous laisse la découvrir ici.
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La fine équipe
On devine aisément qu’Andréa, c’est la seule fille de la photo (si ce n’est pas le cas pour toi, consulte). On s’entend vraiment bien et on rigole beaucoup. Elle a un rire vraiment communicatif, elle connait plein de musiques du monde entier qu’on saurait pas deviner comment que c’est qu’elle les a découvertes, elle dit “tarpin" toutes les trois phrases (”c’est tarpin bon, c’est tarpin cher, c’est tarpin beau…”) quand elle souhaite être plus précise qu’en disant “c’est d’la bombe” et elle adore les pâtes et le chocolat, et voue une passion démesurée aux Kékés (les gâteaux d’ici).
Tout à gauche, il y a Simon. C’est le dernier volontaire arrivé, en gestion de projets. Au début il était un peu pénible, maintenant il est vraiment drôle. Il est en rogne tous les deux jours « parce qu’il ne peut pas faire de sport » (il rejette complètement l’idée d’en trouver un autre que celui qu’il a décidé de faire), il adore manger des trucs industriels et dégueux, la musique de merde, il ne trouve jamais de place pour ses jambes dans le bus, et il adore dire des autres que ce sont des clochards. Il a aussi notamment confirmé à plusieurs reprises l’intuition que nous avions quant aux murs du « dépa » (notre appartement) : l’insonorisation n’a jamais fait partie des préoccupations des gens qui l’ont construit.
On avait déjà commencé à soupçonner l’affaire quand Chris, mon deuxième coloc au pantalon rose sur la photo, s’exerçait au trombone dans sa chambre. Fana de fanfare, il écoute des sons de cuivres dès qu’il n’a pas la bouche dedans, il demande « je m’suis garé où ? » en parlant de l’endroit où il a posé son verre, et il fait des blagues gentillettes et absurdes. Il est le seul d’entre nous à posséder et mettre des fringues en état d’usure plus avancé que celles des enfants de l’association, et à être assez insouciant pour se rendre au travail à vélo et sans casque #MadMan
Ça va faire un mois qu’on est tous les quatre au dépa. On s’est pas choisis mais une très bonne ambiance règne, on s’entend bien et on fait une bonne équipe ! Avec celle-ci, j’ai retrouvé un rythme d’enchaînement de soirées oublié et pris goût à ce qui m’ennuie en France, genre les bars de nuit et autres boîtes. Entre la cacophonie des jours et les rythmes nocturnes je commence à m’inquiéter pour mon capital auditif. Cette semaine, je me donne comme mission de trouver de quoi les protéger, et de rassembler tout ce qui fait mon bonheur en playlists.
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Ce groupe a part exemple fait le bonheur de la fusion de nos anniversaires, à moi et Andréa :D Je vous remercie d’ailleurs pour tous les messages que j’ai reçu, ça m’a fait grand plaisir les enfants !
Bisous d’amour sur vos fesses, toujours.
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