#théâtre de rue
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artdecoandmodernist · 2 years ago
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1922 Vladimir Barjansky (1892 Odessa - 1968 Nice) Art Deco Cover illustration Program booklet for Theatre Gaite Lyrique (The Théâtre de la Gaîté on the rue Papin), (Gaîté-Lyrique) in Paris.
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philoursmars · 1 year ago
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Bon, n'étant pas très mobile, difficile de créer des posts avec de nouvelles photos. Je reviens donc à mon projet de présenter l'intégralité de mes photos, projet interrompu à l'année 2017. Je vais donc essayer de clore cette année 2017. Et elle sera close par Marseille aux vacances de Noël.
Les Deux premières : l'Avenue de la République
Les 3 suivantes : la Canebière
la dernière : la Rue du Théâtre Français
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artspaume · 4 months ago
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Programme double : Limbes et L'Éclat de nos chairs / Théâtre de la Ville (CA)
Mardi 12 novembre 20 h 00 Ce programme double proposé par Lorganisme mobilise de jeunes professionnels de la danse et des métiers du spectacle de l’ensemble de la chaîne de production (interprète, œil extérieur, lumière, son, costumes et direction technique). Pour la première édition de ce projet qui se veut un tremplin pour la relève, les équipes travaillent sous la direction de Caroline…
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elmaxlys · 2 months ago
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Aaah, la Piscine est un classique ! ❤ Sinon il y aussi la Manufacture, musée du textile (il y a une section textile à la Piscine mais c'est pas pareil u_u)
Si t'es sport, il y a le vélodrome de l'arrivée du Paris-Roubaix. Et si tu aimes bien les trucs reconvertis, en plus de la Piscine -> musée, il y a l'Usine -> centre commercial outlet xD (ils ont refait la cheminée il y a quelques années, elle était plus belle avant, maintenant elle fait trop moderne, mais vu qu'il fait noir tôt en hiver, ils l'allument et j'avoue ça vaut le coup d'oeil ^^) (et en plus c'est juste à côté du vélodrome mdr tu peux faire les deux d'un coup)
Et puis sinon la place de Roubaix est jolie aussi, l'hôtel de ville est sublime. Entre la place et la Piscine, avenue Lebas, il y a une librairie jeunesse et inclusive : ils font aussi salon de thé et salon de jeu, l'ambiance est chouette pour le goûter par ex (Librairie Combo)
Idem, niveau parc, le parc Barbieux est très beau mais j'ai jamais été en hiver.
J'ajoute parce que j'y repense mais il y a une expo Raphaël aux Beaux Arts jusque février !!
Je vais être de visite à Lille prochainement, ce sera la première fois que j'y mettrai les pieds, est-ce que vous auriez des recommendations de lieux, cafés, restos ou autres trucs à faire ou visiter ? :-)
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chic-a-gigot · 3 months ago
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L'Art et la mode, no. 33, vol. 36, 16 octobre 1915, Paris. Mlle Depressle, du Théâtre Impérial Michel, de Pétrograd. Habillée par Tollmann, 35, rue de Miromesnil. Bibliothèque nationale de France
Robe en mousseline de soie rose incrustée de Malines; bretelles de velours "saphir" terminées par des roses. (Dress in pink silk muslin inlaid with Malines; straps of "sapphire" velvet finished with roses.)
"Camargo" Robe en tulle noir drapé, garnie de jais et de girandoles. (Dress in draped black tulle, trimmed with jet and girandoles.)
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suburbangothic-rp · 5 months ago
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suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
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66degrees-north · 2 months ago
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La nuit tombe sur le village isolé de Selkirk, à seulement quelques miles au nord du cercle polaire, drapant les lieux d’une irréelle lumière bleutée. Rapidement, un épais brouillard se déverse dans les rues, de ceux que même les phares jaunes des rares pick-ups dehors peinent à percer. Les horloges n’indiquent que quinze heures passées de quelques minutes. Pourtant, déjà, une obscurité totale enveloppe Selkirk ; ici, dès les premières morsures de l’hiver, le jour disparaît. Sous les lampadaires à la lueur vacillante, la ville semble retenir son souffle, comme si elle craignait d’être entendue. La nuit, murmure-t-on ici, est un voile mystérieux et trompeur, que l’on arpente avec prudence. On raconte qu’elle est le théâtre d’étranges phénomènes, dont seuls un esprit frappeur pourrait avoir le secret, à moins que ce ne soit l’obscurité elle-même. Des ampoules qui éclatent. Des horloges qui s’emballent. Des blizzards qui se lèvent. Des craquements qui semblent s'élever de sous nos pieds. On dit aussi que lors du solstice d’hiver, elle devient plus sombre encore, plus vivante, et insuffle ses ténèbres dans les esprits. On chuchote des histoires, de celles qui ne se disent qu’au coin du feu, dans la chaleur incertaine d’un refuge. Quand on sait que les sifflements dehors ne sont probablement rien de plus que le vent. Probablement… Au-dessus des têtes danse une aurore boréale. Ses reflets miroitent sur la neige, et le temps semble suspendu, figé au cœur de cette nuit polaire où l'obscurité semble prête à dévorer ce qu’il reste de lumière.
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mx-indrik · 4 months ago
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Our contribution to the Théatre de Vampires: an IWTV Fanzine.
Costumes: Lestat – @somevagrantchild Louis – @mx-indrik
Excerpts Written Together: UnwillingDevil on AO3 | Let Me Have it All on AO3
Photography: @monstersinthecosmos taken at Rue Royale & Jackson Square, New Orleans
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Le Pigeon et l’Homme. Sur le pavé froid et mouillé d’une ruelle de Paris, un homme gisait, oublié du monde. Ses haillons trahissaient une misère profonde, et son visage, marqué par le froid, portait l’ombre d’un destin brisé. Autour de lui, les passants passaient, pressés, insensibles, absorbés par les méandres de leur propre existence. Mais du haut d’un toit, un œil brillant observait cette scène. Un pigeon, humble créature des cieux, se tenait là. Son plumage gris semblait absorbé par la pâleur du ciel hivernal, et pourtant, en lui brûlait une lumière. Ce pigeon n’était pas ordinaire : il portait en son cœur une noblesse que peu d’hommes possèdent. Voyant l’homme abandonné, il descendit en une volée d’ailes, et se posa doucement à ses côtés. Là, il vit la détresse. L’homme, au bord de l’inconscience, murmura : Laissez-moi. Paris n’a plus besoin de moi. Mais le pigeon, dans son silence, avait entendu mille histoires. Et dans son instinct, il comprit qu’un geste devait être fait. Il battit ses ailes avec force, saisit les pans du manteau de l’homme entre ses serres, et dans un effort titanesque, il s’éleva. Oh, que dire de cette vision le ciel de Paris s’ouvrit comme un poème. Un pigeon, frêle et déterminé, portait un homme, lourd de douleur, à travers les brumes de la ville. Les toits d’ardoise devinrent spectateurs, et les cheminées, témoins muets d’un miracle. Il le déposa enfin sur un banc, sous la lumière vacillante d’un réverbère. Là, il vola en quête d’aide, et trouva une vieille femme, marchande de fleurs, qui passait avec un panier d’herbes. Elle s’arrêta, interloquée. Que fais-tu là, oiseau des rues ? demanda-t-elle en voyant le pigeon qui voletait autour d’elle avec insistance. Elle suivit son étrange guide, et trouva l’homme affaissé. Avec douceur, elle le ranima, partageant son pain et son vin. L’homme, éveillé, croisa le regard du pigeon perché non loin, comme un ange discret. Était-ce toi ? murmura-t-il, les larmes aux yeux. Le pigeon, dans un battement d’ailes, s’éleva vers le ciel, disparaissant parmi les étoiles naissantes. Et ainsi, dans cette nuit parisienne, un simple oiseau avait rappelé à un homme sa propre valeur, et à une ville son humanité. Car Paris, sous ses façades de pierre, est un théâtre d’ombres et de lumière, où même les plus humbles peuvent devenir héros, et où les cieux abritent des cœurs plus vastes qu’ils ne le laissent paraître. Barbesànthiel
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Une sculpture le passage de Fredrik Raddum
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kvetchlandia · 7 months ago
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Man Ray Marcel Proust on His Deathbed, Paris 1922
Mais, quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir. Et dès que j’eus reconnu le goût du morceau de madeleine trempé dans le tilleul que me donnait ma tante (quoique je ne susse pas encore et dusse remettre à bien plus tard de découvrir pourquoi ce souvenir me rendait si heureux), aussitôt la vieille maison grise sur la rue, où était sa chambre, vint comme un décor de théâtre.
(When from a long-distant past nothing subsists, after the people are dead, after the things are broken and scattered, still, alone, more fragile, but with more vitality, more unsubstantial, more persistent, more faithful, the smell and taste of things remain poised a long time, like souls, ready to remind us, waiting and hoping for their moment, amid the ruins of all the rest; and bear unfaltering, in the tiny and almost impalpable drop of their essence, the vast structure of recollection. And once again I had recognized the taste of the crumb of madeleine soaked in her decoction of lime-flowers which my aunt used to give me (although I did not yet know and must long postpone the discovery of why this memory made me so happy), immediately the old gray house upon the street, where her room was, rose up like the scenery of a theater.)
-- Marcel Proust, "À la recherche du temps perdu - Du côté de chez Swann" (In Search of Lost Time or a A Remembrance of Things Past - Swann's Way), 1913
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ethernaldivide · 1 month ago
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LE CONTEXTE
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╰─ - ̗̀ CITATION Les étoiles nous ont offert un pouvoir illimité. Mais au lieu de nous unir, elles nous ont divisés. Désormais, une guerre silencieuse façonne notre avenir.
╰─ - ̗̀ AN 3087 Au cœur d’un monde fracturé, New Astralis est la capitale mondiale, une mégapole titanesque où les contrastes atteignent leur paroxysme. Dans les hauteurs vertigineuses, les élites vivent parmi les étoiles, dans des gratte-ciels qui transpercent les nuages, baignés d’une lumière artificielle parfaite. En bas, sous un ciel permanent de néons et de pluies acides, les masses survivent dans des bidonvilles labyrinthiques, entre gangs violents et désespoir palpable.
L’apparition des Failles Cosmiques, ces portails célestes mystérieux, a transformé New Astralis en épicentre mondial de la lutte pour le contrôle de l’Ether, une énergie aussi fascinante que destructrice. Cette ressource a redéfini la ville, la rendant à la fois l’objet de toutes les convoitises et le théâtre d’une guerre silencieuse.
Deux forces principales façonnent l’avenir de New Astralis :
𝐓𝐇𝐄 𝐇𝐄𝐋𝐈𝐗 𝐂𝐎𝐍𝐆𝐋𝐎𝐌𝐄𝐑𝐀𝐓𝐄
Progression ou extinction. Depuis ses tours fortifiées, Helix contrôle la ville d’une main de fer. Ils dominent l’approvisionnement énergétique, supervisent une armée cybernétique et imposent un ordre brutal au nom du progrès.
𝐓𝐇𝐄 𝐄𝐓𝐇𝐄𝐑𝐄𝐀𝐋 𝐂𝐎𝐋𝐋𝐄𝐂𝐓𝐈𝐕𝐄
L’Ether ne se possède pas, il se ressent. Dans les sanctuaires cachés de la ville, le Collectif Ethéré rassemble ses adeptes. Ils voient en l’Ether un don sacré, à protéger et à respecter, et se battent pour libérer New Astralis de l’industrialisation oppressante.
Entre ces deux superpuissances, les bas-fonds grouillent de vie, d’opportunités et de dangers. Les mercenaires, gangs, et citoyens ordinaires prospèrent dans un équilibre précaire, jouant tantôt Helix, tantôt le Collectif, pour tirer leur épingle du jeu.
Sabotages, espionnage, assassinat : les rues de New Astralis sont devenues un champ de bataille invisible où chaque acteur, qu’il le veuille ou non, a un rôle à jouer. Dans cette ville où tout est à vendre et où la loyauté est une denrée rare, une seule certitude demeure : l’Ether est roi.
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cheminer-poesie-cressant · 1 month ago
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La rue nous voyait vieillir.
Elle ne changeait pas.
Et notre amour de jeunesse
restait le témoin de nos regards constants
dans son propre théâtre.
.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(vendredi 14 octobre 2005)
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philoursmars · 2 years ago
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Marseille. La Rue Thubaneau.
Il y a dans cette rue une boutique de brocante de théâtre assez extraordinaire : “Accès Décor” ! 
Quant à la chapelle dont la croix semble un écho aux antennes de télévision, c’est en fait l’arrière de l’Eglise de la Mission de France.
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artspaume · 7 months ago
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ÉRIC-EMMANUEL SCHMITT -Madame Pylinska et le secret de Chopin / Théâtre de la Ville (Longueuil)
Madame Pylinska et le secret de Chopin Après plusieurs années d’absence, Éric-Emmanuel Schmitt est de retour avec la pièce de théâtre musical Madame Pylinska et le secret de Chopin. Dans ce monologue autobiographique et drôle où il fait vivre plusieurs personnages colorés, il explore l’œuvre de Chopin en compagnie de Nicolas Stavy, pianiste de réputation internationale, sautant de pièces…
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inthiseverymoment · 3 days ago
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silhouettes emerging: chapter i
the interview begins.
iwtv oc, this chapter ~1.4k
backstory time babyyyyyyyyyyyyyy!
i always found the typical formatting of multi-paragraph monologues to be a bit odd, but there def won't be as many of those once we dive into the flashbacks in proper. next chapter, i promise-for now, gotta set this story up
enjoy!!
prologue fic masterlist chapter ii
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Twenty Twenty-Three (The Next Day), New York City, United States of America
“You okay?”
She didn’t hear him. Unblinking, she found herself staring at the journalist’s laptop. The book surely didn’t include everything; there must be so much more in there, and the desire to know overwhelmed her-
“Earth to the soprano?”
“...Right.”
“Louis burned my laptop after what happened in Dubai. So the one in front of us isn’t ‘the’ one, if that’s what you’re thinking.”
They were in his apartment for the full interview, away from the prying ears of the city, and Isabelle was beginning to wonder whether the impulse to tell her story was indeed as good as she’d thought. It was a remnant of her human life, the self-righteousness that many called naive, the instinct to always get the truth out no matter the cost, to be included.
But her time at the Théâtre des Vampires was something she largely looked back on with shame, a shame that had grown even darker when she’d learned everything behind the horrors that had happened there once she had disappeared.
Do I really want my name on this?
I saved myself, I got out, but didn’t do anything to actually stop them once I was gone.
Despite the near-century of vampirism under her belt, her frozen state of early-twenties idealism still perpetually burned in constant guilt.
“I’ve thought a lot about Louis since your book, actually,” she said, remembering the conversation at hand. “Calling himself the ‘reticent vampire’, refusing to drain humans at the beginning, every grasp to hang onto humanity. I know how that feels.”
Daniel only nodded as he set up the microphone, and after a moment of semi-awkward silence Isabelle spoke again.
“I did like the part where Lestat killed the tenor.”
“I’ll tell him for you.”
She wasn’t quite sure what that meant.
It must have been easier for Louis and Armand-they always had the upper hand.
Being around so few vampires for so long, as she had generally isolated herself from them after leaving the Théâtre in a desperate attempt to live as human a life as possible, it was easy to almost forget the depth of her powers. Although she and Daniel had the same ancient blood within them, she had been around for quite a while longer, and she swore to herself to remember all that she held.
Daniel sat across from her and, on her nod, hit his space bar.
“I’m here with the vampire Isabelle de la Rue, who has a few corrections against the increasingly unreliable account of the vampire Armand. Namely, that he had, indeed, made another vampire prior to our last years’ interview, who now…sits in front of me.”
He blinked, as if still getting used to that idea himself.
“Ms. de la Rue, how long have you been dead?”
“Nice opening question,” she smiled.
“Hasn’t failed me yet.”
Then, with a polite laugh and something of a hum-
If I can face myself enough to say it all out loud, I suppose that’s the first step.
She took a breath.
Here we go.
“I was born in 1914. A typical story: small-town girl, only child, cloying upbringing, the arts as escapism. I was one of very, very few kids in my area growing up, and those who were there never liked me much. Too sensitive, they said, which of course only made me even more so. I liked school, because it was the one place I could be absolutely certain I was doing the right thing and no one could tell me otherwise. To be the only one who solved an equation or understood Shakespeare almost made up for watching them make plans with each other right in front of me. I didn’t know what I had done wrong there, and no one bothered to tell me; looking back, it probably had to do with wanting it too much. My parents and the adults in the neighborhood saw my struggle as being above my peers, especially when I started to sing and play the piano. But I didn’t want their ‘isolated gifted girl’ pity. I wanted to find people like me.”
“A desire for community so great that it left you vulnerable to a murder coven.”
“We’ll get to that,” came her half-shaking laugh. “I grew up, and grew extremely tired of the labels. Besides my writing, I didn’t have much of a chance to figure things out beyond what my family and the town put on me; I was only seen for what I could do, not who I was.
“And, contrary to popular belief, I always knew who I was.
“I needed to get out.”
“And Paris was ‘out’?”
“Eventually. Once my parents realized that no ‘polite young man’ from our town would look at me long enough to take me off their hands, they allowed me to go off and try my fortune as a performer, and I was gone before I could finish the word goodbye.
“In all that loneliness of childhood, my hope lay in tales of the great salons of 1920s Paris, where artists and thinkers would come together to create. That idea of a room draped in burgundy and pearls, wine and quotes flowing, relationships forming and breaking and healing all within a few hours, perfume and jazz in the air mingling with the light of endless stars-that romanticized ideal was all I had. A place where I could imagine not having to worry about what was right, a place to live in each moment. That was what I wanted.
“I wasn’t entirely surprised at the disillusionment that followed. At each theater or music club where I did manage to get an audition, I would come at it with the utmost hope, ready to make a home out of each dusty chair and creaky floorboard, but there was always something keeping me from it. Too tall, too eager, couldn’t kick high enough-that’s all par for the industry-but there was often a lot more going on. A leading lady that I had taken a few dance classes with spread rumors that I was an escaped thief, got her manager and her many friends to believe it, and there went my hope of artistic community. One director-clearly abusive, judging by the haunted eyes of the chorus girls I saw in passing-said he didn’t hire uglies with a mouth on them so he wouldn’t hire me, that people paid to see the girls shut up and look pretty. The most powerful theatre producing team of the time told me they couldn't figure out what to do with me-which is fine-but what stuck with me for decades was being told that they thought I hadn't figured myself out either.
"Racist producers I refused to work with, places steeped in favoritism where an outsider couldn’t even get a foot in the door, one place that apparently just didn't want redheads on their stage-simply put, I could not find a job.”
“You were a starving artist.”
“Precisely. And without even the friend group to make a La Bohème.”
“So your very last option…”
She nodded.
“And back then, the Théâtre wasn’t exactly the way it had become by the time Louis and Claudia got there. When the victim was killed, the other vampires didn’t immediately appear all at once and swarm, they’d have their fill offstage; for the initial draining, it was going for more of an intimate moment, just Santiago and whoever it was and a single violin. The stories got kitschier over time-audiences didn’t want to think at the theater quite as much during the war, but beforehand, most of the plays were actually quite lovely.”
“Lovely save for the nightly murder,” Daniel deadpanned. “A wonder that someone so caught up in morals, so desperate to be ‘absolutely certain of doing the right thing’, would wind up there of all places.”
She wasn’t sure how she looked at him then, something between a glare and a plea, but it must have had some kind of effect.
“And I’m about to hear the real story?” he continued after a moment.
Near-solemnly, she let out a breath.
Isabelle was aware that both she and Daniel knew what it was to be frozen in amber, to be caught in an entrancing web of both fabricated deceit and real sympathy. She wanted him to know that she would tell the truth.
She wanted him to know that she was not the same as her maker.
She also wanted to prove that to herself.
“I promise.”
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chic-a-gigot · 2 months ago
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La Mode illustrée no. 46, 12 novembre 1865, Paris. Toilettes des Magasin du Louvre, 164 Rue de Rivoli. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Toilette de théâtre. Robe en poult-de-soie jaune d'or; le bas de la jupe est garni avec des entre-deux en dentelle noire composés de médaillons ovales, traversés perpendiculairement de distance en distance par des médaillions de même forme, mais plus grands, qui unissent les deux entre-deux et les dépassent; grand bournous (sp?) en dentelle noire. Chapeau composé de bandes de velours blanc, alternant avec des bouillonnés en crêpe rouge; brides rouges.
Theatre ensemble. Dress in golden yellow poult-de-silk; the bottom of the skirt is trimmed with black lace entre-deux composed of oval medallions, crossed perpendicularly at intervals by medallions of the same shape, but larger, which unite the two entre-deux and exceed them; large shawl in black lace. Hat composed of bands of white velvet, alternating with bouillonnés in red crepe; red straps.
Première robe en poult de soie blanc, bordée avec un étroit volant tuyauté, surmonté d'un dessin composé de trèfles exécutés en lacet d'or. Robe en velours bleu clair, bordée avec une frange de chenille bleue, mélangée de boules en or; cette robe est relevée devant et sur les côtés, et fixée sur la première robe par des cordelières bleues et or, formant un large trèfle terminé par des glands; corsage décolleté en poult de soie blanc, garni d'une broderie en tulle blanc; corselet en velours bleu, boutonné devant avec trois boutons d'or, encadré avec une corde bleue et or; manches courtes, bouillonnées en tulle. Coiffure antique avec diadème et bandelettes en or chaînette en or, retenant au cou une croix d'or. Gants blancs à quatre boutons (très-longs par conséquent).
First dress in white poult-de-soie, edged with a narrow piped flounce, topped with a design composed of trefoils executed in gold lace. Dress in light blue velvet, edged with a fringe of blue chenille, mixed with gold balls; this dress is raised in front and on the sides, and fixed on the first dress by blue and gold cords, forming a large clover finished with tassels; low-cut bodice in white poult-de-soie, trimmed with white tulle embroidery; blue velvet bodice, buttoned in front with three gold buttons, framed with a blue and gold cord; short sleeves, bubbled in tulle. Antique hairstyle with tiara and gold bands, gold chain, holding a gold cross at the neck. White gloves with four buttons (very long consequently).
Dernière remarque. La robe de velours forme une longue queue par derrière.
Last remark. The velvet dress forms a long tail at the back.
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