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TERMINATOR GENISYS (2015) Il suffit de regarder l’inexpressif acteur Jai Courtney -DIE HARD 5 (2013)- sur cette “vignette” de review pour comprendre le sentiment d’incompréhension relatif au visionnage de TERMINATOR GENISYS -ou 5- qui nous envahit durant la totalité de ce long-métrage de Alan Taylor: que voulez-vous attendre de plus de la part du réalisateur de THOR - THE DARK WORLD (2013), film qui fût soumis à de longues sessions de reshoots tant il s’avéra mauvais, selon les exécutifs de chez MARVEL. Bon, on va pas vous la refaire, TERMINATOR (1984) est avant tout l’œuvre de James Cameron, licence-pilier du film de science-fiction qui commença à s’effriter à partir de son troisième épisode, dès lors que Monsieur ALIENS (1986) abandonna son poste: on se souvient de l’essai à moitié raté SALVATION (2009) de McG, pas terrible mais pas non plus indigeste au point d’en vomir son pop-corn en salles -quoique-... Bref, TERMINATOR revient en 2015, dans un format reboot, avec toutes les craintes inhérentes à ce genre de projet: déployant une armada de clins d’œil et autres séquences de fan-service destinées à rassurer les fans de la première heure de la franchise, GENISYS ne fait pas dans la subtilité, à commencer par son casting assez ridicule. Schwarzy est plus que vieux -son personnage tenant plus de la relique que de la légende-, la facialement difforme -yeux et bouche- mais bonne actrice Emilia Clarke -Daenerys de GAME OF THRONES (2011-201?) en guise de Sarah Connor jeunette, et le pire du pire, ce foutu Jai Courtney en Kyle Reese, “fils de” John Connor -et aussi de John McClane-, personnage épilé sans âme ni charisme faisant partie de ce trio au centre de l’histoire. Sous couvert de temporalité alternative maladroite -on n’est pas tous scénaristes du MCU-, GENISYS introduit un “nouveau” Skynet, ainsi qu’un nouveau modèle hybride de Terminator, et recycle à l’écœurement 90% des codes de la saga: complètement à côté de la plaque, le long-métrage oublie ses origines sans pour autant se les réapproprier, noyé dans des saynettes de dialogues sans aucun sens, et des explications soi-disant scientifiques sensées justifier ce bordel temporel idiot. Ah oui, y’a PLEIN d’action, mais rien ne se tient: le prix à payer sera cette version numérique d’Arnold sautant d’un hélicoptère pour en détruire un autre en fondant en piqué, ou pire, ces figurants en arrière-plan sourds -Une série d’explosions à vingt mètres? On a rien entendu!-... Et ce n’est que le sommet de l’iceberg du Problème qu’est GENISYS, qui en fait des tonnes en essayant de regrouper toute la série TERMINATOR ET PLUS en deux heures de torture totale, faisant passer l’immonde remake de ROBOCOP (2014) pour une promenade de santé. Putain, vous voyez ce que que GENISYS me force à écrire, quand même... Des twists de merde, un propos à côté de la plaque, des punchlines qui se répètent d’un protagoniste à un autre, GENISYS est une purge absolue pour le connaisseur, un divertissement tout juste consommable pour le néophyte, et une diarrhée crépitante projetée au visage du fan légitime: néanmoins, on contemple ce désastre en riant, car c’est la seule arme que nous, public, possédons pour résister face aux machines, cette industrie mécanique qui tente de soumettre notre humanité à cet esclavage cinématographique. Comme d’hab, oublions ce mal, car le bien est déjà fait: il nous restera éternellement TERMINATOR et la version longue de sa suite, le bien-nommé JUDGMENT DAY (1991), pour nous prouver cette logique de pensée, bien réelle. Jai Courtney, on ne t’aime pas. Allez, poubelle! PROBLEME /20

[grimaldi805]

♪♫ Me cambiaron la historia con esta movie, Me hicieron un DejaVu :) 👍 @schwarzenegger #TerminatorGenisys #Terminator5 #TerminatorMovie #TerminatorGenisysMovie #ArnoldSchwarzenegger #JohnConnor #SarahConnor #KyleReese #DejaVu #OnlyAtTarget ♡♡ (en Target)

[manleysmoviesreview]

Procrastinator Stina leaving the Terminator Genisys poster in the back seat; it's been a couple weeks now. One day I'll put it in my office.