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Rétrospective de l'année (2019)
Wow. 2019. Je ne sais même pas où commencer. Cette année était importante pour La Poison et La Pomme. Nous avons terminé deux grand projets et nous avons débuté deux autres. Nous avons travaillé et collaboré avec beaucoup de jeunes personnes - oratrices, orateurs, graphistes, youtubeurs, cinéastes, photographes; nous avons grandi notre équipe à travers les emplois d’été et les stagiaires; et nous avons laissé un impact sur le plan environnemental au Canada.
Les Forces de la Nature
2019 était l’année terminale pour ce grand projet qui a lancé notre organisme. « Les Forces de la Nature: L’Enfant de Gaïa » est une allégorie remplie de magie et de danger qui explore notre connexion avec la nature. Cette oeuvre, issue d’un travail d’équipe, vise à promouvoir la protection de l’environnement et ce à travers les péripéties de personnages hétéroclites. Nous avons commencé ce projet en 2017. Ça fait deux ans. Nous avons travaillé sur ce projet pour deux ans! C’est fou ça!
Mais oui. Je me rappelle ce jour-là en juillet 2017 quand j’ai téléphoné à Sam afin de lui parler de m’aider écrire une bande dessinée. Tout d’abord, nous avons cherché le financement. J’ai assisté au sommet Génération Plein Air par MEC où j’ai partagé mon idée devant un panel des gens importants de MEC. J’ai eu 3 minutes de les convaincre et je n’y ai pas réussi. Mon idée était trop différente. Trop « out of the box ». Mais j’ai fait des bons ami(e)s et je suis resté au contact.
Quelques mois plus tard, en janvier 2018, j’ai reçu deux bonnes nouvelles: (1) MEC a décidé de financer mon idée; et (2), je venais d’être accepté joindre la première cohorte de Portail océan. Avec ce parrainage, nous avons écrit, révisé, rérévisé et rérérévisé un texte rempli d’amour pour la lectrice/le lecteur, pour la nature et pour l’ensemble de la jeunesse canadienne. Nous avons intégré nos âmes dans les mots, nos esprits dans les phrases et nos coeurs dans le message.
En janvier 2019, nous avons reçu les illustrations d’Andie Lafrentz et nous étions en train de bosser pour rérédiger le texte dans la langue de Molière (pas une traduction, mais une écriture à nouveau) pour assurer que notre histoire était disponible pour le Canada dans son entier avec ses deux langues officielles. Vickie Arsenault s’est joint à l’équipe afin de nous aider. Après la finalisation des textes dans les deux langues, on était prêt de tout mettre ensemble. Ceci était le travail de Sara Qarizada, graphiste extraordinaire de l’Université OCAD. Nous avons également décidé d’offrir une version audio, encore pour être plus inclusif. Nous avons envie de partager l’histoire avec celles et ceux qui ne peuvent pas, ou qui n’aiment pas lire. Pour la voix en anglais, nous étions chanceux d’obtenir Zico He, youtubeur de Toronto; et pour la voix en français, c’était Gabriel Tougas, cinéaste franco-manitobain.
En avril 2019, nous étions prêts et le 2 avril 2019, nous avons lancé notre livre. Voici où vous pouvez le trouver.
Dans le cadre du lancement de notre livre, nous avons organisé deux fêtes: une à Edmonton, et l’autre à Montréal. Les deux étaient des grands succès et je suis reconnaissant de tout le monde qui nous a aidé dans la planification et l’exécution des événements.
Projet Snorkel
Cette année j’ai eu le grand plaisir de travailler avec mon ami Curtis Onaczyszyn et son amie Taylor Penzes! Faisant partie de la nouvelle cohorte de Portail océan, Taylor a conceptualisé l’idée d’un projet visant à nettoyer les lits des rivières et des bassins-versants au sud-ouest de l’Ontario: Projet Snorkel.
Ils sont venu me voir et ensemble, nous avons ajouté quelques éléments: une serie sur YouTube pour sensibiliser les gens sur ce qu’ils ont trouvé dans leurs sessions de nettoyage; un rapport après chaque nettoyage pour renseigner la municipalité en charge sur le statut de la nature sur sa protection, fournissant quelques conseils pour maintenir la propreté de l’endroit; et, un nettoyage communautaire pour rassembler la communauté locale autour de leur bassin-versant.
Ce projet a été choisi parmi des milliers autour du monde pour faire partie d’une exposition de la créativité jeunesse pour combattre les changements climatiques au sein du Sommet Action Climat à New York City! Curtis et Taylor ont touché plus de 40 jeunes personnes à travers l’été et leur travail ont affecté de centaines de personnes.
Personnel
En avril, nous avons eu le plaisir d'accueillir Vivian Walsh comme notre responsable de réseaux sociaux! Elle a pris contrôle de nos comptes Instagram et Facebook ainsi que notre blogue!
En octobre, trois nouvelles stagiaires se sont joint à l’équipe: Emily Hachmer, Shayna Cacciotti et Helen Mauch. Elles sont engagées pour nous aider construire nos projets pour l’année 2020. Donc, restez à l'affût!
#teampoison teamapple#rétrospective#de#l'année#nature#conservation#ProjectSnorkel#ProjetSnorkel#L'enfant de Gaia#Les Forces de la Nature#2019#2020
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How destigmatizing waste and the dumpster can help save the planet
A few weeks back I shared a Swap Saturday post to our social media that suggested participants in the next climate strike source their materials from the recycling bins, or dumpsters, rather than buying new poster board. You see, I was raised by a man that may as well have “one man’s trash is another man’s treasure” tattooed across his chest. So, finding use from materials that someone else has deemed garbage is not foreign to me. That’s why it only made sense to me when I saw it really popularizing as a phenomenon in mainstream environmental conversation. Search dumpster diving on YouTube and you will find a plethora of videos of people sifting through dumpster bins, primarily behind shopping centres and apartment complexes. Environmentalists have been endorsing dumpster diving in mainstream conversation for its circular economic properties. The circular economy is an economic model that has been proposed to replace the traditional linear model (i.e. make, use, dispose) for one that works to help save the planet from ecological collapse. The model proposes “we keep resources in use for as long as possible, extract the maximum value from them whilst in use, then recover and regenerate products and materials at the end of each service life.”
The concept of reusing ‘waste’ for new products is hardly new. In fact, in 2013, Waste Management, “North America’s largest environmental solutions provider and leading residential recycler,'' announced they would be transitioning from a waste collection company to a ‘resource management’ company, responsible for the breakdown and reuse of materials. Transitioning to a resource management company exemplifies the idea of a circular economy for it bonds (or connects) the end of the production chain with the very beginning of the production chain, as depicted in the graphic above. Considering the company responsible for collecting the waste is now interested in having materials that can be repurposed for profits, rather than materials that cannot easily be repurposed and, therefore, bring no value to the company, leads to increased pressure on the producers to use better materials. By better, I mean materials that can be easily repurposed so that they can be used once again. Moreover, Waste Management could incentivize producers to only use materials that can be repurposed through a working partnership. Having the beginning of the production chain linked to the end of the production chain is central to the idea of a circular economy.
Back in 2013, Jo Confino conversed with long-time environmentalist William McDonough addressing the immediate demands for alternative conversation about waste, and how reshaping mainstream conversation is necessary for a healthier planet (find the article here). According to Confino, “waste implies that the material has been contaminated - it is dirty and may bring me harm if I am to use it.” In their conversation, McDonough recommends omitting the use of waste in reference to used materials altogether. Flash forward six years and we are at last seeing a shift in mainstream conversation about waste, in that there is an obvious attempt to significantly disrupt how people think of items as contaminated to instead thinking of them as having the potential for reuse. This is largely a result of the euphemistic language widely employed by environmentalists. For example, an environmentalist named Talara Blackwood of Australia refers to herself as an “urban forager” (watch her interview here) in reference to her work searching for and repurposing materials that have been deemed ‘waste’. Ideally, by reshaping how society interacts with what is considered garbage, as a whole, we should see a significant decrease in the amount of material sent to landfills.
All in all, decoding society’s disgust for garbage is essential in understanding how best to influence societal change in the repurposing of materials. Understanding the perceived relationship between individuals and waste is absolutely necessary for positively influencing that relationship in the environment’s favour. This is not to say that you won’t find some gnarly items in dumpster bins and that precautions shouldn’t be taken - always wear gloves and good shoes if sifting through dumpster bins - but it is to say that there are “diamonds in the rough” and that not nearly all materials that end up in dumpsters, and landfills, should be there. Like any systemic change, dumpster diving and destigmatizing waste is a movement that started with just a few people. Luckily, we are starting to witness these values being adopted by society at large and I am eager to see how this phenomenon of dumpster diving contributes to decreasing the amount of reusable material sent to landfills.
Sources:
1. http://gearedforgreen.com/plastic-recycling/recycling-for-industry/
2. http://www.wrap.org.uk/about-us/about/wrap-and-circular-economy
3. https://www.theguardian.com/sustainable-business/dumpster-diving-design-for-waste-free-world
4. https://www.youtube.com/watch?v=jKOdETMjkLA
5. https://www.wm.com/us/en/myhome
6. https://www.greenbiz.com/article/dumpster-diving-garbage-gold
7. https://www.planetforward.org/idea/gross-and-unpopular-but-a-must-to-help-the-planet-dumpster-diving
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Introduction to Helen
Ever since I was very young, I have been so fortunate to be immersed in nature so much so that I have now created a strong and everlasting relationship with the environment. My family property backs onto a preservation park, which is where I grew up exploring nature. I spent most of my childhood leisure time outdoors, running through the forest, watching the seasons change, and building bridges and forts along the creekside. My family vacations were camping vacations. Yes, I know, I think that camping is a vacation. I’ve explored many of Ontario’s provincial parks, especially enjoying the new Provincial Park passport collecting badges and stickers. It encourages me to get out and see even more. My family and I have also explored and camped in the eastern Canadian maritime provinces; my favorites were visiting Newfoundland and exploring the tides at Hopewell Rocks. These journeys are what I look forward to almost every day.
Little trips like visiting Gatineau Park on a weekend to go on a hike are the things that keep me going when it gets tough. Nature is so important to me that if I need a place to calm down and regenerate, any area with even a semblance of nature, be it a tree or river, are the features of nature that I am drawn to. Taking the time to sit and breathe amongst nature is just one of the simple things one can do to keep on track.
I document my visits to nature with various art forms, mostly through photography. I tend to only focus on the natural elements, often avoiding any and all traces of humanity from appearing in my photos, the same goes for most traditional art I produce. I do this because when I go to a natural area, I am not there for the people, I am there for the landscapes and the flora and fauna. Documenting wilderness is important to me. Capturing nature in its unedited, uninterrupted form is what I seek out in my photography. That’s not saying I don’t take photos of people whom I love, I just keep those more for myself rather than sharing them with the world.
Since many may not have been so fortunate to establish connections with the natural world as I had while growing up, I want to be able to share my love for nature and the environment with others in the hopes that we can all help change the world for the better. My love for the natural world is something that I wish to be able to share, and, in doing so, encourage other people to build their own connections. We all come from nature and no matter the places we live or the things we do, we all should have the opportunity to return to it.
I am currently attending the University of Ottawa and working hard to get a BA in Environmental Studies.
Instagram: snap.shot.of.life
#teampoison#teamapple#newteammember#nature#conservation#photography#introduction#camping#provincial park#nouvellemembre
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Introduction to Shayna Cacciotti
Hello! My name is Shayna. I am a student at the University of Ottawa, studying Geography and Geomatics with a minor in Indigenous Studies. I hope to one day be a high school teacher! I am a new research assistant for La poison et la pomme, working on a very exciting project with my partner, Emily. In the summers I work as a beekeeper and during the school year I work in outdoor retail. I love the outdoors and all the experiential learning opportunities that can be found spending time outside. I find that time outside can be healing and calming, or heart-pounding and challenging, and I value both of these experiences equally.
I spend most of my time doing homework, but when I am able to claw my way out from under the pile of readings (wow, am I a slow reader), I like to do a lot of things: painting, drawing, embroidery, yoga, running, climbing, nature walks, everything! I also love spending time with my family, my friends, and my pets. Continuous learning is a must, as I believe it is the most important part of life and personal growth. If you aren’t learning, what are you doing?
In the past, I have worked as an outdoor educator and I loved the freedom and organic learning children, youth and adults alike were able to partake in. I was able to see kids explore new leadership opportunities that had otherwise not been within their reach in traditional school settings. This experience reaffirmed what I had already known about the power of nature, and it was incredibly enriching.
My favourite activities to do outside include hiking and backpacking, running and just hanging out, enjoying the space around me. There is something about type two fun – the fun that is really not fun during the activity but always seems more fun in memory – that is especially intoxicating. Working incredibly hard just to bring yourself from point A to point B for literally no reason at all is weirdly… thrilling. Nothing else in the world matters! The freedom of allowing myself to be in nature without any other distractions is like a factory reset for my emotional and psychological health.
I plan to bring the love I have for nature into my work with LPLP, and I am grateful for the experience and creative freedom we get to exercise working with a young organization. I am excited for what’s to come and for the learning, growing and challenges we will get to accomplish along the way. It was a pleasure to meet you!
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Le Déchétarisme
Image: La planche gagnante, signée Jaques Goldstyn, illustre le sujet de la maîtrise de Gabrielle Tanguay.
Dumpster diving, ou comme on dit dans le bon français, le déchétarisme, le glanage alimentaire ou le trésordure, est l’acte de fouiller dans les poubelles des magasins de grande distribution et des restaurants. Ceci afin de réduire les coûts impliqués dans la vie et/ou soutenir une économie circulaire — le recyclage à son meilleur. Cependant, cette pratique est trempée de stigmas sociaux.
D’abord, on commence par la terminologie. En anglais, le terme « Dumpster diving » est un terme polyvalent. Le moment que vous cherchez dans les déchets pour quelque chose, c’est le dumpster diving ; mais en français, en tant que la belle langue compliquée de Molière qu’on connait et qu’on adore, il y a des nuances. Le « glanage alimentaire » est par rapport à la nourriture, le dumpster diving dans le contexte de chercher un repas. Le « trésordure » essaie de comprendre le concept de fouiller dans les poubelles sans un but précis, vous ne cherchez rien en particulier. Vous êtes ouvert(e) à tous afin d’obtenir un trésor. Et puis, nous avons « le déchétarisme » qui donne nom aux personnes qui font le dumpster diving.
Vivian, notre stagiaire ici à La Poison et La Pomme (vous pouvez lire un peu sur elle ici), a lancé son initiative « samedi de swap ». Un jour par semaine, elle nous encourage de changer une facette de notre vie afin de vivre plus en harmonie avec la nature. Une semaine, elle a suggéré le déchétarisme et comme réaction automatique, j’étais dégouté. Pourquoi ?
Le déchétarisme contient les éléments de classicisme : l’idée des pauvres personnes qui ont besoin de fouiller dans les poubelles des riches afin de survivre ; les sans-abris qui ont besoin de glaner pour la nourriture ; bref, c’est vu comme une action des gens ayant une mauvaise réputation socioculturelle, des gens défavorisés. Il y a un élément de racisme. C’est une action qui est souvent liée à l’ethnicité la plus défavorisée dans une société, souvent (au Canada) les autochtones à l’ouest et les noir.e.s à l’est.
Donc après un moment d’hésitation, j’ai décidé de me rappeler de la fois où je me suis installé à Calgary après avoir trouvé mon premier boulot suit à mes études de baccalauréat. L’entreprise qui m’a embauché était en train de déménager et elle m’a offert tous leurs anciens meubles (elles avaient l’intention de les jeter) et j’ai accepté, très content d’épargner un peu d’argent. Quelle est la différence de cette situation et le déchétarisme ? Le fait que j’ai intercédé avant que ces meubles soient arrivés à la poubelle ?
Il faut toujours évaluer nos perspectives afin de comprendre pourquoi on méprise quelque chose. Macklemore, avec sa chanson Thrift Shop, a rendu les friperies cools. Maintenant c’est la tendance d’aller aux friperies lorsqu’on a besoin de vêtements ou même seulement pour faire la lèche vitrine. Cette fois-ci, on demande aux gens de recycler d’autres affaires, de profiter des poubelles afin de trouver de vrais trésors.
Donc, êtes-vous prêt(e) à relever le défi ?
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Souvenirs du Proje[c]t Snorkel · Memories of Proje[c]t Snorkel
C’est difficile à croire qu’au fil des cinq mois, l'idée du Proje[c]t Snorkel s'est transformé pour devenir réalité. Rétrospectivement, à travers toutes les épreuves et tous les succès que nous avons eu au long du projet, je peux honnêtement dire que j'ai grandi au niveau personnel et au niveau professionnel. En travaillant sur les multiples brouillons d'une proposition du projet, sur un communiqué de presse, sur les demandes de subvention, et sur des rapports, j’ai appris à prendre conscience des perspectives d’autres afin d’adapter ma façon d’écrire pour faciliter leur compréhension. Une grande victoire m’est arrivée le jour lorsque le Proje[c]t Snorkel a reçu une subvention financière de TakingItGlobal, voici la preuve que tout ce travail d'écriture en valaient la peine.
La Poison et La Pomme est un organisme bilingue et par conséquent, après avoir reçu l’approbation des documents en anglais, ce fut l’heure de les traduire en français. Au début, c’était sans doute un grand défi, mais après chaque document, le travail est devenu plus facile - mais bien sûr ça aide d’avoir quelqu'un qui révise mon travail dans les deux langues! Et regardez, maintenant j'écris un article de blogue en français! Après quatre mois, je ne suis pas encore très à l'aise en parlant la langue, mais montrez-moi un débutant qui est? Après toutes les heures que j’ai passé en étudiant le français, je trouve que je suis plus confiant en lisant la langue pour le moment. Cette capacité de la lire m’a beaucoup aidé quand j’avais besoin de finaliser les contrats pour la prestation de services. C’est beaucoup moins épuisant que quand j’avais besoin d’utiliser WordReference pour comprendre chaque mot. L’embauchement des contractuels était également une nouvelle expérience pour moi. J’étais nerveux au début, mais après l’avoir fait, ce dernier ne me semblait plus si mauvais.
La partie de ce projet qui m’a étonné le plus est à quel point la gestion des événements est difficile. J'ai pensé que ce dernier serait beaucoup plus facile qu'il s'est avéré être. J’ai pensé que beaucoup de gens seraient intéressés à nos événements communautaires. Apparemment personne se présentera s’ils ne sont pas au courant de l'événement. La commercialisation de l'événement jouait un grand rôle dans notre succès. J’avais besoin d’apprendre à approcher les municipalités, les organisations comme le Grand nettoyage des rivages Canadiens, et les organes de presse à partager nos événements. Après tous les courriels et appels téléphoniques, nous avons réussi à obtenir des entrevues avec un journal et deux stations radio. Ce fut la première entrevue de radio que je n'ai jamais faite! Je me suis senti déjà malade à l'avance et pendant l’entrevue, j’étais un peu nerveux, mais en général l'entrevue s'est bien passée. La deuxième entrevue de radio s'est déroulée beaucoup mieux que la première. D’ailleurs, être sur la radio, c'était aussi l'une des ambitions de ma vie.
Après la commercialisation pour les événements de nettoyage ont été complétés, c'était l'heure de diriger l'événement. Comme n'importe quoi en vie, la première fois n'est généralement pas la meilleure. Pendant le premier accueil pour un événement communautaire, nous avons manqué de structure et ce n'était pas le mieux organisé... mais au fil et à mesure que le temps passait, je me suis habitué à gérer les événements et j’ai appris de chaque événement précédent afin de l’appliquer aux événements futurs.
Dans l'ensemble, d’être responsable du projet était très difficile parce qu'il y avait toujours de travail à faire: la rédaction d’un rapport, le correspondance par courriel, j’en passe. La journée au travail semblait de ne jamais terminer, mais c’était seulement parce que je voulais la réussite du présent projet. Quand ceci est arrivé, je me suis senti récompensé en tant que responsable et chef du projet. C'est aussi valorisant de voir à quel point les bénévoles qui ont assisté à nos événements communautaires ont été affectés - particulièrement celles et ceux qui ont fait leur premier nettoyage avec nous. Je suis heureux que c’est avec nous, Projet Snorkel, qu’ils ont eu cette nouvelle expérience dans la nature. Moi aussi, je pouvais apprécier la ligne de partage des eaux cet été en faisant le nettoyage avec la plongée avec masque et tuba (snorkelling). L’image des poissons dans leur habitat naturel me rend souriant et j’ai beaucoup profité de la saison estivale. Cependant, j’ai eu peur deux fois dans l'eau à cause de quelques écrevisses aventureuses. En réfléchissant sur ce projet né de passion, je suis ravie de voir à quel point ce projet a eu un impact positif sur les bassins hydrographiques du sud-ouest de l'Ontario et les communautés où nous avons visité!
- Curtis, Proje[c]t Snorkel
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My Summer as the Intern · Mon été comme stagiaire
Hello! My name is Vivian Walsh and I am The Poison and The Apple’s summer intern. Although I have not yet formally introduced myself on the blog, I have been working with the organization as their social media coordinator for about four months now. It has been a true pleasure to have grown with the organization; to see the content evolve simultaneously with the growing following has been an absolute thrill. I am grateful for this opportunity for I feel that very few opportunities would have provided me with half the experience I have acquired in my short time with The Poison and The Apple because very few organizations would have given me as much autonomy over my work as Sam and Chúk have. With this responsibility, I have been given the opportunity to make mistakes and learn from them in a proactive manner. I am so thankful to Chúk and Sam for trusting me with managing their brand identity, I can’t wait to see how the organization continues to evolve.
A little about me: I was born and raised in Ottawa, Ontario. I am currently a student at the University of Ottawa studying Public Relations. I have always felt deeply connected to nature — my soul feels revitalized the moment I stop and acknowledge my natural surroundings, no matter where that may be. In my life, nature, of any form, is therapeutic. Although I constantly crave an escape from my urban dwellings, a walk in the local park always cures my city blues. Because I depend so heavily on nature for my personal wellbeing, protecting natural environments has always been of the utmost importance in my life. The mission of The Poison and The Apple to foster this same sense of responsibility to protect nature among all youth is what initially attracted me to the organization. Reinforcing the relationship between individuals and their natural surroundings is, in my opinion, the only hope for our environment; I have found that only when people feel personally threatened will they act.
This summer while working for The Poison and The Apple, I was granted the opportunity to see areas of the country I had not previously visited. Very soon after starting my position with the organization, we hosted our launch event of Gaia’s Child in Edmonton, which I attended. The trip was a whirlwind — I left Ottawa at 6:00 am on Sunday, May 19th, attended the launch event all day on the 20th of May, and then flew out of Edmonton at 1:00 am that evening. Although the trip was quick, I had SO much fun! I got to explore downtown Edmonton, meet new friends, and assisted in the fantastic launch event of Gaia’s Child! The event had a great turnout and the weather was perfect. It was a thrill to collaborate with the Edmonton and Area Land Trust for their bee workshop, FREE Fitness with their outdoor Bootcamp and the local MEC with their refreshment tent + scavenger hunt! I’m still in awe that this trip even happened — it often feels like a dream. I’m especially thankful to Sam’s sister and her sister’s partner for inviting me to stay in their home during my trip, and to Sam, for inviting me to come.
Nearly immediately after completing the Edmonton launch event for Gaia’s Child, it was time to begin preparing for the Montréal launch event, which occurred in early June. The Montréal event was a much different experience; I stayed alone in a hotel and had more free time than I had in Edmonton. This was my first time traveling completely alone and man oh man did I enjoy myself! It was a whole new experience being able to go anywhere and do anything, whenever I wanted! The first night of the trip I spent on a patio in Old Montreal drinking cocktails*, eating fancy food*, and working on my computer — it was a real ‘treat yourself’ moment and I LOVED it. The event was a great success; we had a survival workshop led by Laura Newman, a bike repair workshop led by MEC, refreshments provided by Chez Robin, and a group run led by Coureurs Montréal. Despite the rain, the event had a fantastic turnout. I quite enjoyed seeing how differently Sam and Chúk ran their respective events but how they were both uniquely successful and fun.
My final excursion of the summer was attending the Proje(c)t Snorkel cleanup in Brantford, ON, which happened in late July. Two of my friends came with me on the trip, one of which was from Brantford and invited us to stay in her parents’ home for the weekend. Friday afternoon we loaded up my mom’s car and headed down the 401 for Brantford. The cleanup happened to be on an extremely hot day, which limited the amount of time we were able to spend actually cleaning up. It was hard to breathe, let alone pick up garbage, but somehow we laughed the whole way through. We collected multiple bags full of garbage and even retrieved two abandoned shopping carts from the shoreline. We were rewarded with pizza, lemonade, and more laughing after the cleanup. The Brantford cleanup had the biggest turnout of Proje(c)t Snorkel’s cleanups and it was a blast! It’s been an absolute delight working with both Taylor and Curtis this summer. I admire how they always maintained an optimistic outlook and were extremely diligent throughout the entirety of their project; it is because of their consistent hard work that the project was such a success.
I am so thankful that I get to extend my internship with The Poison and The Apple for another four months. In a time when the global political landscape is a terrifying dichotomy between acknowledging/acting on the climate crisis and perpetuating the climate crisis, while we all watch our most vital natural lands burn and our planet chokes on the waste of our consumerism, I feel empowered working for an organization with the goal of mobilizing youth to resist and fight for necessary change. I’m excited to see just what a united front of youth can accomplish for this country and the world at large.
**this evening was not funded by the organization.
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Introduction to · Introduction à Taylor Penzes
Hi, I’m Taylor!
For the past few months, I’ve been working under The Poison and The Apple, as a co-founder of Project Snorkel. In this blog, I’ll be touching on where I’ve come from, why it was important to create Project Snorkel, as well as the impact that Project Snorkel and the team at The Poison and The Apple has left on me.
I recently graduated into the rewarding field of Social Work, once I started my university career, I found myself wanting to create my own business – something that bridges the gap between social work and the environment, somewhere where people could use nature as their wholistic healer.
Over my four years studying at Wilfrid Laurier University, I noticed the parks were littered with waste, beaches were covered with plastic water bottles, and trails were peppered with cans. Everywhere people were allowed to go to for free was not well taken care of.
I wanted to bring people together with the environment, but our environment has also been so damaged by people, and I didn’t think our land had healed from our dangerous impacts.
But what about the underwater environment? As a past river guide, I noticed that the rivers were polluted with shopping carts, beer cans, food wrappings. These items were found both where outdoor hobbyists went through daily, but also remotely, where it’s unlikely to find any human activity.
Our shoreline collects everything that the floats on the water’s surface, but what about items that sink or that are too heavy to be carried away with floods?
Curtis, Project Snorkel’s co-founder and I spent last summer travelling throughout the country. We dove under waterfalls, where items easily became out of grasp from the owner’s hand. We collected over 15 things in a span of 15 minutes and decided to invest in an underwater metal detector to help us find things that lie beneath the substrate.
Curtis and Chuk met in the Ocean Bridge 2018 cohort after a memorable wilderness expedition in Haida Gwaii. Since then, they’ve been inseparable since and I’ve gotten to know Chuk both on a personal and professional level which I feel very grateful for.
After being accepted into the 2019 Ocean Bridge cohort, I developed friendships that would lend me the support I needed to bring Project Snorkel to light.
After reaching out to Chuk about this opportunity, he welcomed us to our team with open arms; we’ve gotten to be a very close-knit small team and I feel inspired by the work that Samantha and Chuk have done at The Poison and The Apple. Their perseverance and determination to make this non-for-profit be successful is like no other.
I’ve also been introduced to some kindred souls throughout the project: Vivian Walsh and Sam Kilpatrick have been a bright light in bringing Project Snorkel to the surface. Vivian has worked with us to organize our posts, schedules and timelines whilst Sam has photographed our cleanups so beautifully. Who knew picking up garbage could look so good?
As for logistics, with Chùk’s help, Curtis and I were able to register under his non-for-profit to apply for federal and provincial funding. We are mentored, pushed to reach outside of our comfort zones and guided throughout this process by both Chuk and Sam and are very thankful for the connections that we have made throughout this process.
Over the past few cleanups, we’ve brought together family, friends and new friends in both our home community of Brantford and remotely. We’ve also had a surprise visit from one of my fellow cohort members, Brody. I’ve been enjoying bringing together people who wouldn’t normally attend events like this, yet seeing their eyes light up when they hit a “GOLD MINE” of garbage aka my uncle Shawn.
The Poison and The Apple has brought together inspiring, bright, innovative people and has brought us together to create friendships and connections that will last.
Through it all, the team has been able to connect and hear one another out in times of happiness and frustration- we’re all in it together.
As for Project Snorkel, we have our last cleanup happening tomorrow morning in Goderich Ontario. We are both sad and excited, but it’s time to start a new chapter of our life (p.s. speaking of chapters, The Forces of Nature is available for download) and bring new ideas to the surface.
We absolutely cannot wait to see what new initiatives The Poison and The Apple brings to the table in the future and how they can help our beautiful home, Canada.
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Joel Dragon Smith et la Nature
L'événement le plus marquant de ma vie, qui m'a valu le plus grand amour et le plus grand respect pour la terre et les animaux, a été le moment où ma famille se rendait dans le chalet de mes grands-parents sur la rivière Taltson. Nous y avons séjourné chaque automne pendant quelques semaines depuis ma naissance. Notre cabine est inaccessible sauf par hydravion, ce qui en fait le voyage annuel ultime pour se connecter à la terre. La nature entoure la cabane en rondins pour des kilomètres et des kilomètres. il est situé à une pause dans la rivière. Ainsi, lorsque nous prenons le bateau, nous pouvons descendre un long lac appelé Deskataway ou remonter la rivière Taltson. Nous chassons et pêchons pour nous nourrir. Les animaux sont nombreux. La faune est toujours un plaisir à voir et les rencontres impressionnantes avec eux sont fréquentes mais toujours excitantes. Un de ces souvenirs dont je me souviendrai toujours est celui qui s'est passé pendant une voyage, lorsque nous avons eu une belette qui traînait autour de notre cabine. Nous avons adoré avoir le petit animale enjoué autour. Lorsque nous avons eu notre orignal qui nourrirait notre famille jusqu'à l'année prochaine, nous lui avons mis un tronçon de viande derrière la cabane. Environ 15 pieds en arrière était notre bécosse. Je laissais toujours la porte ouverte quand je prenais des merdes, et un après-midi, alors que je travaillais, mon ami a trouvé son petit cadeau! Nous l'avions partiellement alourdi par un morceau de béton et il ne pouvait pas l'enlever. Je me suis assis sur le pot et je l'ai regardé lutter pendant environ 5 minutes jusqu'à ce qu'il obtienne enfin gratuitement! Maintenant, il le tire envers arrière, les fesses en premier, droit vers moi! C'était une lutte pour lui car le morceau de viande était plus gros que lui et assez hilarant à regarder! Il la poussa jusqu'à la porte ouverte de la bécosse, sans avoir la moindre idée que j'étais même là. Des expériences comme celle-ci me procurent beaucoup de joie. La nature est fascinante, remplie d'émerveillement et de beauté. Être dans la brousse me laisse toujours épanouie. Il me donne les meilleurs dors et les rêves les plus vifs.
J'aime la nature parce qu'elle augmente les sentiments agréables et réduit les émotions négatives. D’être dans la nature me permet d'atteindre mon plein potentiel. La nature m’apporte du réconfort et mon âme s’épanouit à l'intérieur. Sortir et s'éloigner des constructions humaines est l'un des moyens les plus efficaces que je connaisse pour me vider l'esprit et me échoué de la complexité de nos vies humaines quotidiennes. Jouer est très important pour moi et jouer à l’extérieur a toujours été le plus enrichissant pour moi. Je suis très actif, et la nature est le terrain de jeu idéal! l'imagination et la créativité peuvent fonctionner librement. Les cordes à linge se transforment en filets de volleyball, les bâtons en clubs de golf. En vieillissant, j'ai développé des passions qui m'emmenaient dehors, des passions qui me mettaient au défi mentalement et physiquement. Ils me poussent à repousser constamment mes propres limites. J'adore le snowboard, le wakeboard et le skateboard. Ces passions me gardent autour de la nature tout en faisant ce que j'aime. En plus des sentiments bénéfiques que la nature me procure, ces activités que je fais dans la nature augmentent la valeur que je reçois. Je suis toujours heureux de consacrer mon énergie et ma concentration à ces sports, améliorant constamment mes compétences de manière créative et saine, tout en m'amusant! Bien que beaucoup personnes ne croient pas que sauter à une trentaine de pieds sur une planche à neige tout en tournant un double revers pour un atterrissage à plat aussi paisible, mais pour moi, la méditation est l’adrénaline complétée par la nature.
J'apporte également mon amour pour le plein air dans ma vie professionnelle, en aidant les autres à faire l'expérience au dehors de manière positive. Je suis entraîneur de snowboard auprès d'enfants de Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest. Cela me procure une grande satisfaction d’encourager les enfants de jeune âge à trouver quelque chose qu’ils aiment à l’extérieur. Je travaille aussi avec ma sœur, Chloé sous un programme appelé Bush Kids, qui amène les enfants à l’extérieur une fois par semaine pendant toute la journée, au lieu de leurs salles de classe, ce qui leur permet de faire l’expérience d’une éducation basée sur la recherche en plein air. Le travail principal que je fais concerne d’une entreprise créée par ma mère il y a quelques années, appelée Aurora Heat. Nous croyons fermement en une vie en harmonie avec le monde naturel. Nous créons des produits traditionnels pour la chaleur qui sont naturels, réutilisables et durables! Nos produits phares sont des chauffe-mains et des réchauffeurs de pied en fourrure de castor rasée. Il fait bon d'apporter des produits de fourrure inspirés de mon héritage et de ma culture autochtone au publique. La personne moyenne est tout simplement incapable d'accéder à la fourrure pour se réchauffer de cette façon sans notre entreprise. Nos produits sont incroyablement efficaces. Ils permettent à nos clients de rester à l’aise à l’extérieur sans être découragé par le froid de nos hivers Canadiens. Toutes les bonnes choses que la nature peut faire pour votre bien-être seront aspirées si vous avez froid! Visitez notre site web auroraheat.ca pour obtenir le votre! Restez au chaud, peeps!
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Introducing Project Snorkel • Présentation du Projet Snorkel
We are delighted to present you with our newest initiative: Project Snorkel. Project Snorkel is an initiative led by Taylor Penzes and Curtis Onaczyszyn and will include cleanups hosted in six different locations over the span of three months this summer. The selection of locations for the cleanups was based on the popularity of the watershed for outdoor recreational activity. Locations include Woodstock, ON, Tilsonburg, ON, Port Burwell, ON, Turkey Point, ON, Brantford, ON, Grand Bend, ON, and Goderich, ON.
Project Snorkel is a grassroots operation with the intention of reinforcing the relationships of the local people with their waterways. The project emphasizes stewardship and outdoor recreation while ensuring an inclusive and welcoming atmosphere. The project aims to foster a comfortable atmosphere to encourage members of the community to learn about and care for their waterways, therefore cultivating a deep-rooted relationship with the waterway.
Considering the amount of waste found on waterbeds is generally unknown to those using the waterways, Project Snorkel aims to educate individuals on the impact of the debris while fostering a relationship between individuals and the water. This relationship aims to encourage a sense of obligation to protect and maintain the waterways for future generations to enjoy. As a result of the inclusive nature of the project, the mission of the project is not limited to fostering relationships between individuals and their waterways, but is instead devoted to building relationships between entire communities and their local waterways. This will be accomplished through community cleanups and an active media presence, in turn enlightening the community on stewardship and environmental consciousness.
In short, Project Snorkel will:
Engage and increase outdoor activity in local communities through community shoreline cleanups.
Identify aquatic species that may be invasive or new to the waterway
Educate the community on the harmful effects of waste in our waterways.
Deepen the communities sense of value towards the waterways.
Provide a place of safety to those who are interested in meeting others who are concerned about environmental awareness.
Provide an inclusive and welcoming environment for all people.
Provide valuable education about conservation and environmental stewardship through an engaging social media presence.
As an environmental project, the waste we collect will be properly sorted into recycling, garbage, hazardous waste and scrap metal. The team will then properly disposed of in the correct facilities.
Stay tuned on our social media accounts to learn of the next cleanup event and how to get involved in the project!
Check out their first Youtube video here: https://www.youtube.com/watch?v=oL0wrtjIwwM
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Nous sommes ravis de vous présenter notre nouvelle initiative: Projet Snorkel. Le Projet Snorkel est une initiative dirigée par Taylor Penzes et Curtis Onaczyszyn qui comprendra des nettoyages dans six endroits différents au cours de trois mois de l'été. Le choix des sites de nettoyage a été fondé sur la popularité du bassin hydrographique pour les activités récréatives de plein air. Les emplacements comprennent Woodstock, ON, Tilsonburg, ON, Port Burwell, ON, Turkey Point, ON, Brantford, ON, Grand Bend, ON, et Goderich, ON.
Le projet Snorkel est une opération de base dont l'objectif est de renforcer les relations de la population locale avec ses voies navigables. Le projet met l'accent sur l'intendance et les loisirs de plein air tout en assurant une atmosphère inclusive et accueillante. Le projet vise à favoriser une atmosphère confortable afin d'encourager les membres de la communauté à apprendre à connaître et à prendre soin de leurs voies navigables, cultivant ainsi une relation profondément enracinée avec la voie navigable.
Considérant que la quantité de déchets trouvée sur les lits d'eau est généralement inconnue par ceux qui utilisent les voies navigables, le Projet Snorkel vise à éduquer les individus sur l'impact des débris tout en favorisant une relation entre les individus et l'eau. Cette relation vise à encourager un sentiment d'obligation de protéger et d'entretenir les voies navigables pour que les générations futures puissent en profiter. En conséquence de la nature inclusive du projet, la mission du projet ne se limite pas à favoriser les relations entre les individus et leurs voies navigables, mais se consacre plutôt à établir des relations entre des communautés entières et leurs voies navigables locales. Pour y parvenir, on procédera à des nettoyages communautaires et à une présence active des médias, ce qui éclairera la communauté sur la gérance et la conscience environnementale.
En bref, le Projet Snorkel va:
Engager et accroître l'activité de plein air dans les communautés locales en nettoyant les rives des communautés.
Identifier les espèces aquatiques qui peuvent être envahissantes ou nouvelles dans la voie navigable.
Sensibiliser la communauté aux effets néfastes des déchets dans nos cours d'eau.
Approfondir le sentiment de valeur de la collectivité à l'égard des voies navigables.
Offrir un lieu sûr à ceux qui sont intéressés à rencontrer d'autres personnes préoccupées par la sensibilisation à l'environnement.
Offrir un environnement inclusif et accueillant pour tous.
Offrir une éducation précieuse sur la conservation et la gérance de l'environnement par le biais d'une présence engageante dans les médias sociaux.
Comme projet environnemental, les déchets que nous collectons seront correctement triés en recyclage, ordures, déchets dangereux et ferraille. L'équipe s'en débarrassera dans les installations appropriées.
Restez à l'écoute sur nos comptes de médias sociaux pour en savoir plus sur le prochain événement de nettoyage et sur la façon de vous engager dans ce projet!
Retrouvez leur première vidéo de Youtube ici: https://www.youtube.com/watch?v=oL0wrtjIwwM
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Les/The Forces de la/of Nature: L’Enfant de Gaïa/Gaïa’s Child
“It was the middle of the day, yet the sun was nowhere to be found. The land had been cloaked with a sense of perpetual despair and darkness for a week now. Throughout the entire country, the skies were filled with looming thunderclouds, yet no rain ever came. It was just dull and grey. Often, black butterflies could be seen flapping their large obscure wings as the horror they carried with them lay untold. Each flap brought a sinister hissing sound that pierced the heart of all those who heard it with an immediate sense of dread.”
- Excerpt from The Forces of Nature: Gaia’s Child
« Midi sonna, mais le soleil était introuvable. Depuis une semaine, la terre était recouverte d’un sentiment de désespoir et d’obscurité perpétuel. Dans le pays tout entier, le ciel était rempli de nuages orageux menaçants, mais aucune goutte de pluie ne tombait. C’était simplement gris. On voyait des papillons noirs qui battaient leurs grandes ailes obscures, alors que l’horreur qu’ils avaient emportée était indescriptible. Chaque battement apportait un sifflement sinistre qui perçait le cœur de toutes celles et tous ceux qui l’entendaient avec un sentiment d’appréhension immédiat. »
- Un extrait de « Les Forces de la Nature: L’Enfant de Gaïa »
It is with great pleasure that The Poison and The Apple announces the release of our first publication, “The Forces of Nature: Gaia’s Child,” an exciting and fantastical allegory that explores our connection with nature through diverse characters and ways in which we can become better stewards of the environment.
C’est avec grand plaisir que La Poison et La Pomme annonce la sortie de sa première publication: « Les Forces de la Nature: L’Enfant de Gaïa », une allégorie remplie de magie et de danger qui explore notre connexion avec la nature. Cette œuvre, issue d’un travail d’équipe, vise à promouvoir la protection de l’environnement et ce à travers les péripéties de personnages hétéroclites.
Supported by MEC Outdoor Nation and Ocean Wise’s Ocean Bridge programme, we came up with the idea to create an illustrated story to raise ocean literacy, environmental awareness and encourage young Canadians of all backgrounds to get outdoors and connect with nature in their own way.
Avec le soutien de Génération Plein Air de MEC et le programme Portail océan d’Ocean Wise, nous ont eu l’idée de créer une histoire illustrée afin de sensibiliser les adolescents et les jeunes adultes canadiennes et canadiens sur les connaissances des océans (Ocean Literacy) et l’importance de notre environnement. Ce livre a pour but d’encourager les Canadiennes et les Canadiens de toutes les origines à profiter du plein air afin de se connecter avec la nature de leur propre manière.
Inspired by our work on The Nature Playbook, we aimed to further the message that nature is for everyone and we all have our own unique ways of connecting. Gaia’s Child is geared towards the often forgotten oceans. We hope to use imagination to give the reader a way to connect with the nature and get them to act in the interest of the environment.
Inspiré par notre travail sur « Sortons jouer dans la Nature », cette offre aux gens des suggestions sur des manières de se connecter avec leur environnement naturel, tout en soulignant l’importance de se connaître de se connecter de sa propre façon. En mettant l’accent sur les océans qui sont souvent oubliés, l’auteur et l’auteure veulent se servir de l’imagination des lectrices et lecteurs afin que ceux-ci trouvent leur propre chemin pour profiter pleinement de la nature et se connecter avec celle ci. Nous sont persuadés qu’en se connectant avec la nature, tous les individus développeront leur pouvoir d’agir dans l’intérêt de l’environnement.
The Forces of Nature features a league of superheroes that are brought together by a personification of Canadian nature who requests their aid in saving Canada from villains hindering Canadians from getting outdoors. The story is geared towards teens and young adults so that it is able to address challenges this audience feels in attempting to connect with blue and green spaces. Through the multiple characters, the illustrated story also aims to address representation, allowing people to see themselves in nature through seeing people who look like them as the superheroes.
Les Forces de la Nature est un groupe de super-héroïnes et de super-héros qui ont été choisis par la personnification de la nature canadienne afin de sauver le Canada des méchantes et des méchants qui empêchent les Canadiennes et les Canadiens de profiter du plein air. Cette histoire a été écrite pour les adolescents et les jeunes adultes pour qu’on s’adresse aux défis que cette tranche d’âge se relève en essayant d’approcher des espaces bleus et verts. Cette histoire utilise ses divers personnages pour répondre au besoin de la représentation au plein air, permettant ainsi les lectrices et les lecteurs de se voir dans la nature à travers ces super-héroïnes et ces super-héros qui leur ressemblent.
The story also seeks to touch upon the United Nations Sustainable Development Goal 3: Ensure healthy lives and promote well-being for all, at all ages. Connecting with nature has statistically been shown to make human beings happier and healthier. It is believed to reduce stress, lower blood pressure, strengthen the immune system, and much more. Reciprocally, studies also show that connecting youth with nature leads to adults who want to conserve nature and biodiversity.
La présente histoire vise aussi à atteindre l’Objectif 3 des Objectifs de développement durable : Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge. Le contact avec la Nature est montré d’être statistiquement une source de bonheur et de bien-être. Passer du temps dans la nature a de nombreux effets bénéfiques sur la santé physique et mentale. Ce dernier ne favorise pas seulement l’activité physique, mais également la réduction du stress, l’amélioration de la tension artérielle et le fonctionnement du système immunitaire. De façon réciproque, les études prouvent qu’en rapprochant les gens de la nature, on suscite chez eux le désir de protéger et de conserver la nature et la biodiversité.
As the lead authors we teamed up with a wonderful crew of young people from across Canada, all under the age of thirty, who worked hard to put this book together. We worked with artist Andie Lafrentz from Edmonton, Alberta; graphic designer Sara Qarizada from Toronto, Ontario; French editor Vickie Arsenault from Lorraine, Québec; Zico He from Toronto, Ontario, who read the English version of the audiobook; and, Gabriel Tougas from Winnipeg, Manitoba, who is the voice of the French version of the audiobook.
Pour créer cette allégorie, nous, l’auteur et l’auteure, ont fait équipe avec un groupe de jeunes Canadiennes et Canadiens issus de partout au pays. Toutes et tous, ayant moins de 30 ans, ont travaillé fort(e)s afin de réaliser cet oeuvre: l’artiste Andie Lafrentz d’Edmonton, en Alberta; la graphiste Sara Qarizada de Toronto, en Ontario; Rédactrice francophone Vickie Arsenault de Lorraine, au Québec; Zico He de Toronto, en Ontario, qui est la voix de la version anglaise du livre audio; et Gabriel Tougas de Winnipeg, au Manitoba, qui est la voix de la version française du livre audio.
Gaia’s Child is free to download and available through the following platforms. Les Forces de la Nature est maintenant disponible gratuitement sur les plateformes suivantes:
Electronic book format/ Livre électronique:
Kobo (English/anglais): https://www.kobo.com/ca/en/ebook/the-forces-of-nature-1 Kobo (French/français): https://www.kobo.com/ca/fr/ebook/les-forces-de-la-nature
Issuu: https://issuu.com/lplp.tpta/docs/digital_bilingual_book
Audiobook format/ Livre audio:
Soundcloud (English/anglais): https://soundcloud.com/lplp-tpta/sets/the-forces-of-nature-gaias-child Soundcloud (French/français): https://soundcloud.com/lplp-tpta/sets/les-forces-de-la-nature-lenfant-de-gaia
Podomatic: https://forcesofnature.podomatic.com/
Spotify: https://open.spotify.com/show/0BFueshf3hzO6i3RhPurIB
And available for a nominal price here/ et pour une somme symbolique ici:
Electronic book format/ Livre électronique:
Kindle (English/anglais): https://www.amazon.ca/dp/B07PGW8J5J/ Kindle (French/français): https://www.amazon.ca/Forces-Nature-LEnfant-Gaïa-French-ebook/dp/B07PKW37BH
In order to celebrate this achievement, The Poison and The Apple will be hosting two bilingual launch events: one in Edmonton, Alberta on May 20 and the other in Montréal, Québec on June 13 . Details can be found on the our social media channels or through the company website.
Pour souligner et fêter le lancement de « Les Forces de la Nature: L’Enfant de Gaïa », La Poison et La Pomme organisera deux fêtes bilingues, le 20 mai une à Edmonton, en Alberta, et l’autre le 13 juin à Montréal, au Québec. Les détails seront disponibles sur les réseaux sociaux de l’organisme et sur son site Web.
#teampoison#teamapple#goodtimesoutside#onserejointdehors#portailocéan#oceanbridge#JeunesEnAction#risingyouth#LeadersDAujourdhui#leaderstoday
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Meet Andie Lafrentz
It is our great pleasure to introduce Andie Lafrentz, the amazingly talented artist we’ve had the opportunity to work closely with over the past several months on our newest project. Launching spring 2019, The Forces of Nature: Gaia’s Child features Andie’s work and we can’t wait for you to see it!
This week on the blog Andie shares how nature inspires her art. Check it out below and be sure to follow her on Instagram @art.and.laf.
With love,
The Poison and The Apple
Yggdrasil - The Tree of Life (acrylic, Norway)
My artwork has always been inspired by the nature and landscapes around me.
Since I was around 5 years old, I remember waking up early so that I could colour. If I didn’t know what to draw, I would simply step outside, where I could find a myriad of things - the colourful fall leaves, a cool insect, or a cute little bird.
Growing up in rural Alberta, trips out to the mountains like Banff or Jasper was like stepping into a different realm. The mountains offered tranquility, escape, and a touch of mystery. The energy surrounding them was something I rarely experienced when I was away from them, and I always left in awe, with a full heart and creative mind.
Swiss Alps - Matterhorn Mountain (watercolour)
The sea is no different - watching the waves wash up to the shore, hearing the sound the water makes and how it moves is one of the most effective ways for me to get over "artist’s block’’.
Whenever I’ve been stressed, needed a good think, or just wanted to find inspiration, I would look to the sea or the mountains.
As I grew older and moved to different countries in Europe, this only solidified. In Norway, the mountains were endless and I had some of my best ideas take place while I was there.
In France and Ireland, I lived right by the ocean, and this meant that I always had a place to clear my mind when I needed to re-spark my imaginations.
I was approached by Le Poison et La Pomme/The Poison and The Apple in the late summer of 2018 about helping illustrate Gaïa’s Child with them.
During the time I was working with them on this project, I was also moving back to Canada from Ireland. I transitioned from one ocean to another; the Atlantic to the Pacific. I cannot stress enough how vital sitting by the sea was to maintaining momentum while illustrating.
The Claddagh - Galway, Ireland (watercolour)
There is no doubt in my mind of the positive impact being out in nature can have on the mind, heart and well being - especially when it comes to creativity.
Though I’m in Canada for the time being, I’m not completely sure where I’ll end up living for good yet - maybe I’ll stay here, though hopefully I’ll end up back in Europe; I guess it doesn’t really matter. As long as I have a view of mountains or I can dip my feet in the sea, I will find inspiration wherever I am.
Andie Lafrentz
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Introduction à Emily Hachmer
Salut tout le monde ! Moi, je suis Emily Hachmer et je suis une des nouvelles bénévoles pour La Poison et La Pomme. Je serai une assistante de recherche et j’ai hâte de commencer les travaillaux. Je suis une étudiante de troisième année à l’université d’Ottawa dans le programme des études environnementales avec un mineur de l’administration publique. Je viens de Muskoka, Ontario, alors j’étais née au bord de la nature. J’ai une connexion fondamentale avec la nature et spécifiquement les forêts.
Le but de ma vie est de protéger la terre. Je sais que c’est une phrase optimiste et une phrase un peu folle, mais je veux le faire et puis je vais changer le monde. J’ai de grandes expectations pour ma vie, mais je pense que ce n’est pas impossible. Rien est impossible. Je veux travailler pour le gouvernement canadien pour faire le changement dans les politiques environnementales. Je pense que les organisations non gouvernementaux, comme La Poison et La Pomme, sont aussi tellement important parce que le gouvernement ne peut pas tout faire. J’ai hâte de faire les projets avec cette organisation et de changer le monde!
Un peu à propos de moi est mes expériences naturelles: La première fois que j’ai fait du camping, j’ai eu 6 semaines. Je faisais du camping chaque année avec ma famille. J’ai fait du camping en températures chaud (35 °C) et froid (-42 °C). J’ai fait du camping dans toutes les saisons, et dans 9/10 province du Canada (j’ai encore besoin d’aller à Terre-Neuve et Labrador). Je sais que j’ai beaucoup de privilèges pour faire les choses en haute. Je ne veux pas que toutes les personnes aient la même connexion avec la nature de moi, mais avec La Poison et La Pomme, je veux que tous trouvent leur propre connexion.
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Introducing F.R.E.E. Fitness
This week on the blog we’d like to introduce one of our launch event partners. On May 20, 2019 F.R.E.E. Fitness will be joining us for the official Edmonton launch of Gaia’s Child to host an awesome outdoor bootcamp! This week Tony Nguyen, co-founder of F.R.E.E. Fitness, is here to tell us about his connection with nature in both business and his personal life.
My name is Tony Nguyen and I’ve made it my mission to give back to the people of the community. I was highly involved in athletics while completing my Bachelor of Science in Kinesiology at the University of Augustana. I’ve always been incredibly enthusiastic about health and wellness, specifically fitness and nutrition. However, my true passion lies in meeting new people and developing meaningful relationships. After completing my undergraduate degree, I moved to Edmonton to open my personal training company with my training partners to help contribute to our community.
Our company is called F.R.E.E. Fitness. We offer a “pay how you feel” pay model to make fitness accessible to everyone. We offer this service because we care about your health without putting a price on our service. People tell us how badly they want to get into shape, but often do not have the guidance, knowledge and finances to make it happen. We’re here to help!
On top of our personal training service, we run free outdoor boot camps, stair runs and yoga classes to demonstrate that fitness can be fun and rewarding as it allows for newcomers to feel welcomed. We want fitness to be accessible to everyone by creating a warm environment for people to feel comfortable, and what better way then to exercise when it’s beautiful outside.
Some of my fondest moments and memories that I have involve fishing with my friends and family in the Yukon. My favourite way to connect with nature is to go on fishing trips. It doesn’t matter what the weather is like or if we’re catching fish. If we’re outside and spending time together, we really enjoy each other’s company. I was introduced to the sport of fishing by my father at the age of 4. I remember catching a rainbow trout half the size of my body! I am so thankful for my father for taking me on weekly fishing and camping trips; because of him, I love spreading the joy of being outside in nature.
My wife and I continue to spend time in nature often going on walks together. It’s our favourite way to catch up and reconnect. We also participate in outdoor soccer leagues and go for runs on the regular! I also cycle to work 5 times a week. Edmonton has developed new bike lanes which makes cycling highly convenient!
Tony Nguyen
Want to learn more about F.R.E.E. Fitness? Check them out here:
Website: http://freefitnessinc.com/
Email: [email protected]
Instagram: @f.r.e.e.fit
Facebook: @freefitnessinc
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One Step at a Time
By Jay Matsushiba
Each day, we can access huge amounts of information and connect with people across the globe. Every moment, we spend plugged into new stories, tragedies and gossip. Information communications technology has profoundly changed our world, and in many amazing and beautiful ways. We can build new relationships with places and people almost anywhere. But sometimes, it doesn't help an anxious mind like mine.
Many contemporary struggles are arbitrary and are hard to understand. We're expected to study hard in school, find a job, buy a fancy car and a call a shiny new condo home in order to fulfill some set path set by societal notions of success. I feel lost, distracted and unsatisfied from the societal pressures and the continuous stream of other’s highlight reels.
I needed an escape from it all, so I took a walk.
I was in the eleventh grade. I was struggling in school, having just transferred into an intense new program. I was stressed chasing grade after grade, suffocating under the pressure of someone else’s idea of success.
My friend organized a backpacking trip to hike the famous Juan de Fuca trail on Vancouver Island. She invited me, along with a few other friends. Together, this group of five teenagers were going to take on this adventure. This was the first time many of us had gone backpacking. We were totally on our own for the very first time. No parents, no guides, with only our own limited skills, abilities and mental fortitude to make it through. We had to hike 8 hours on the first day to get to our planned campsite. No big deal right? We were all fit, young and thought it’d be just a healthy challenge. In hindsight, we probably should have realized that hiking 20 km of the "Most Difficult" section was going to be tough. The first two hours of the trail were gorgeous, as we hiked along the beach. The magnificent Pacific Ocean to our left, as far as the eye can see, lined by a forest of gorgeous Red Cedars on our right. But as soon as our spirits seemed to rise, the beach trail ran out. We were instead greeted by this wall of towering evergreen trees. In the gaps, one tilted sign read out "Juan de Fuca Trail".
An incredibly steep trail greeted us, and disappeared into the forest. We needed to drag ourselves and our over-packed bags over this hill. As we lugged our way up, one of the first things we noticed was the dust. The people at the front would kick up the dust with every step, only for us in the back to breathe it in, building up in our eyes, noses and throats. And when it was my turn at the front, it was impossible to avoid kicking it up, since the fine silt seemed to cover absolutely everything. The hills seemed like they would never end. We fought the heat, dehydration, and dust as we climbed hill after hill. Every hill just lead to another, and each one we climbed seemed taller than the last. Our thighs burned, our calves trembled and it got to the point where our legs literally stopped working, and started collapsing underneath the weight of ourselves and our bags. Yet at this point, we were still hours from our campsite. What we planned to hike in 6 hours dragged into almost 10, and I did not think we could finish that trail. Eventually, on one of our many breaks, one of us said to us “I can’t go any further, I can’t do it. You guys can go ahead without me and I’ll catch up.” But at that moment, without any of us speaking a word, we unpacked his bag. We took some his load, his food, his tent, and repacked into our own, so that he could keep going. So that we could keep going. Even though all of us were exhausted, in pain, and with legs that barely worked, we still were willing to carry more so that we could finish the trail together. And finish the trail we did. Finally, as daylight was running out, we made it to our beach campsite. I swear, that view was the most beautiful scene that I have ever seen, with the sun disappearing into the Pacific Ocean. As we sat around the campfire and enjoyed our instant mashed potatoes, I could not help but have a huge grin on my face.
I have never been so alone.
Three years later, I found myself in the same boat yet again. Lost, uncertain and frustrated with who I was as a person. My anxious mind was running laps, nitpicking at every failure and mistake I made. I needed another escape from it all, doing something that made me feel alive. I decided to hike the entirety of East Beach of Naikoon Provincial Park in Haida Gwaii. I also decided to do it entirely alone, relying on no one else to get me through.
I was dropped off in Tlell for my first ever solo wilderness trip. I was scared, cold, wet and worst of all, absolutely completely alone. In many ways, it felt like a repetition of my very first backpacking trip. It was my first solo trip, being so independent from the rest of society.
I met only a few on the first day, then no one until the last night of my hike. I had the opportunity to spend the four days entirely to myself. I stayed in a rickety little cabin for the first couple of nights. I felt terrified to open the door into nature for the first time. I held onto this tiny hut, clinging onto any semblance of human civilization. I almost turned around after another day holed up in the shelter, feeling too overwhelmed at the prospect of continuing further away from the comfort of other people and connection to civilization. After another night, I finally crawled out of the hut and decided to keep going. I was frustrated by my weakness and hesitancy on the trail. I wanted to prove to myself that I could be my own strength, that I could stand on my own.
The fourth day was the hardest day of hiking in my entire life. I spent the night in a leaky, unstable tent. All night, all I could think of was everything that could go wrong from here on. I could twist my ankle, break my leg, run into an aggressive bear, or even be trampled by a feral cow. The tent did not provide much reassurance, and I awoke the next morning determined to not spend another night in the tent. I set a goal: the next cabin, forty kilometers away.
I hiked over 15 hours that day, starting at 6:30 AM and finally arriving at the cabin at 9:30 PM. It was physically and emotionally grueling, pushing my mind and body to the absolute limit. I had to fight myself to continue with every step. I could have taken a break whenever I wanted, stopped and set up camp, or even turned around and take the easy way out. In that moment, I controlled that decision, and I chose the hardest one. While terrified by a bull cow on the beach, tides threatening to drown me and total exhaustion, I conquered my goal that day. I conquered it for me. I realize now that even during my solo trip, I was never truly alone. The whole team, my family, my friends were cheering me on to get through the journey. Everyone was with me, one step at a time. Even strangers extended their generosity as I hitchhiked down from Tow Hill to Queen Charlotte. People believed in me, then I finally believed in myself.
My time in nature showed me that I am strong and I am brave.
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Bushkids
By Chloe Dragon Smith
Je veux commencer avec un histoire à propos de notre terre, eau, ciel, plantes, animaux, et peuples. C’est un histoire de connection et de l’amour. C’est un histoire à propos de la chose qui nous unir, et la seule chose que nous pouvons jamais perdre.
Nous sommes la Nature. We are Nature.
We are the water; our bodies are ninety percent water. We are the sky; our bodies need oxygen to breathe. We are the earth; other animals and plants sustain our bodies, giving us strength. We are Nature, no matter where we come from, and no matter what else we are. To connect with Nature is to connect with ourselves.
Bushkids is a land-based learning pilot program offered in Yellowknife that ran this winter from January to May. Children ages 6-10 participate Tuesdays — all day — regardless of the weather. And believe me, weather in Yellowknife in January can be something to contend with!
Ce programme est différente des autres programmes d'éducation à l'environnement dans la mesure que c’est très dépendent sur le lieu - ça implique un accès régulier et répété au même espace naturel. Cela crée des relations avec la terre qui évolue et s'approfondit avec le temps. Dans ce cas, Bushkids est situé dans une petite zone boisée dans la ville de Yellowknife.
The teaching approach is child-directed, emergent and inquiry-based. This means that the Bushkids activities vary depending on the season, changes in the landscape, animals that visited the night before, trees that blew down, different items offered by the educators, tools and loose parts for building and creating, the children who attend, how long the group has been together, and, most importantly, what interests the children.
Parfois, ce modèle de éducation (souvent appelé école du forêt et de la nature) est considéré commençant dans les années 1950 au Danemark, mais ces principes ont été pratiqués depuis beaucoup plus longtemps. Apprendre dehors n'est pas nouveau. Les peuples autochtones du monde entier, y compris le Nord, ont enseigné sur la terre pendant des milliers d'années. Nous avons la chance d'avoir une solide base de connaissances traditionnelles et des cultures qui soutiennent cette façon d'apprendre, encore aujourd'hui. Nous avons des aînés et d'autres détenteurs de connaissances qui partagent des compétences traditionelles, comme le nettoyage et la cuisson des animaux, récolte de la sève d’épinette, et creation des pièges.
We have an opportunity in the north to work with northern cultures and peoples to develop programs that reflect a northern way of life, and to integrate this into public education. Bushkids truly does represent a way of life. It is meant to seamlessly integrate into learning, life, work.
We cannot forget that we are part of this system of Earth. We as people have the ability to contribute to the success of ecosystems, cultivate abundancy, and have healthy relationship with the land. We do not have to cut ourselves off from the land to survive, in fact I see it as the opposite. We need to consciously think about how to understand ourselves as part of Nature. Bushkids is based on this understanding.
If you would like to learn more about Bushkids or get in touch with Chloe, please reach out to us at [email protected].
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