#télé-information
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être lui c’est devoir répondre à une heure du matin à la question à quel niveau je suis handicapée sociale tu penses ? en me disant que je ne le suis pas et que je suis très intelligente parce que juste avant il m’avait dit un truc que j’avais pas compris et que je comprends souvent rien aux trucs qu’on me dit et aux références comme si j’étais toujours à côté de la plaque même dans mes relations avec les gens simplement où j’ai l’impression d’interagir toujours bizarrement mais il m’a dit que j’étais juste pas internet coded donc j’ai cherché ce que j’étais coded il m’a dit tu es calée films rock concerts et musiques cool que personne ne connaît mais du coup je me suis dit que c’était nul parce que je me sens seule dans mon truc et ça m’a mené à la réflexion que oui j’ai jamais eu les codes de tout le monde car mes parents m’ont éduqué comme des mormons mais rock et un peu snob sur les bords à ne pas trop aimer les trucs populaires à avoir une vieille télé avec juste six chaînes internet super tard et des téléphones portables encore plus tard à nous donner des références que personne ne connaît sauf des gens de quarante ans un peu snobs et du coup je crois que je suis simplement mormon rock snob coded et je ne sais pas quoi faire de cette information
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"Suis-moi"
Louis Bloom x GNreader
notes : j'ai essayé de tout faire pour garder un gender neutral reader pour cette première publication ! ;)
! warnings : manipulation, crimes, sang, language cru, voyeurisme, violence
résumé : tu rêves de rejoindre une entreprise depuis plusieurs années et ce jour devient enfin réalité lorsque tu rencontres le patron, Louis Bloom.
1950 mots
- Description à la deuxième personne
Deux ans que tu essayes en vain d’obtenir ce job, via des candidatures envoyées, des courriers papiers ou même des déplacements réels. La réponse est toujours la même : “pas besoin de personnels”. Tu rêves d’être dans ses voitures, de tenir cette caméra, de le voir.
Tout a commencé devant la télé de tes parents, un dimanche soir comme les autres. Ta mère voulait absolument regarder les informations, tout l’inverse de ton père qui avait posé un casque sur ses oreilles, toi, tu ne t’en préoccupais pas réellement, tu préférais t’occuper du repas. Mais une musique a fait relevé ton regard de la planche à découper, un bandeau rouge prenait la moitié de l’écran télévisé, en gros une phrase apparut : “interruption spéciale”. Un journaliste expliqua une situation qu’il décrivait de sanglante, il glissa rapidement quelques mots pour prévenir des images potentiellement choquantes qui allaient suivre. Soudain, un corps inerte fut montré en gros plan, une voix en fond expliquait le contexte mais tu n’écoutais déjà plus. Ton esprit était comme absorbé par cette vision. Le sang sur le sol, les lumières bleues, les ombres paniquées, et puis, cette précision dans le mouvement de caméra, cette gestuelle fluide et non tremblante, comme un poisson dans l’eau, passant dans un banc de sardines déchiquetées. Le flash de la caméra fut activé et tu laissas échapper un couinement, que ta mère prit pour de la peur.
« Tu as raison c’est affreux, quelle honte de montrer ce genre de choses à la télé, rouspéta-t-elle en attrapant la télécommande »
L’écran devint noir sous tes yeux, mais tu eus le temps d’y lire une dernière chose, peut-être la plus importante : “Video Production News”.
Depuis ce jour, ton but est de te faire engager par cette entreprise. Tu as toujours aimé faire des vidéos, de ta famille principalement mais aussi beaucoup de la ville, des bâtiments, rues, voitures, pelouses, tout ce qui pouvait attirer ton oeil tu le filmais. Pour ton seizième anniversaire ta tante avait acheté une caméra, ta première vraie caméra, que tu as épuisé jusqu’à sa dernière seconde de vie. Aujourd’hui, tu peux compter au moins quatre caméras dans ton tiroir de commode, chacune utilisée pour différentes raisons. Malgré tout ça, tu ne parviens pas à rentrer dans cette entreprise, alors tu dois te contenter de filmer pour quelques marques qui font appel à toi via ton site internet. Tes parents te soutiennent dans ton projet, même si au fond ils espèrent que tu laisses tomber cette idée folle. Tu n’as pas vraiment d’amis proches, ils finissent tous par partir car tu ne passes pas assez de temps avec eux. Mais depuis ton enfance tu n’as jamais été proche des autres enfants, ils t’agaçaient avec leurs cris stridants et leurs petites mains tactiles. Tu n’as jamais été très tactile de toute façon, le contact physique est précieux à tes yeux, il doit être fait avec des personnes proches et importantes, comme tes parents par exemple. C’est aussi pour cette raison que tu n’as pas d’animaux de compagnie, pas que tu n’aimes pas ça, tu ne te sens simplement pas à la hauteur de prendre soin d’un être dépendant de toi. Alors ton appartement est assez vide, peu de décorations et de meubles, juste ce dont tu as besoin. Ton seul plaisir coupable est les vêtements, tu aimes beaucoup t’habiller et tu prends souvent tout ton temps devant le miroir pour le faire. Ton armoire est sûrement pleine à craquer mais tu te réconfortes en te disant que toi au moins tu portes absolument tout ce qu’elle contient contrairement à ta tante qui accumule sans utiliser. Ton père aime dire que tu es quelqu’un de très précis et déterminé, c’est aussi pour ça que depuis ce matin tu attends dans ta voiture que l’immense bâtiment Video Production News ouvre ses portes. Et ta patience finira par payer.
Tu passes les portillons de sécurité, pour la douzième fois, continuant ton chemin. Dans un coin, deux hommes sont assis et parlent, dans l’autre la femme qui gère l’accueil soupire en te voyant arriver.
« Bonjour Myriam, belle journée n’est-ce-pas ? Ta voix enjouée la fit rouler des yeux »
« Il pleut depuis hier soir, je n'appelle pas ça une belle journée, rétorqua-t-elle en lançant un regard ennuyé vers l’extérieur »
« La pluie offre de superbes images, elle créait des reflets n’importe où, ton sourire fit soupirer davantage la femme en face, ne penses-tu pas que je serais incroyable dans cette entreprise ? Aller laisses moi avoir ne serait-ce qu’un petit entretien avec le patron »
Derrière ses écrans, Myriam secoue la tête de gauche à droite, mais ta détermination reste entière.
« Tu prends donc les décisions pour lui ? Je ne trouve pas ça très professionnel de ta part, n’est-il pas assez grand pour décider ? La fossette qui creuse ta joue gauche attire le regard de la secrétaire alors tu continues, il pourrait sûrement te mettre à la porte pour ça non ? Je pense que si, j’ai entendu dire qu’il était très exigeant et je le suis aussi, je reviendrais Myriam tu le sais donc laisses moi le voir, s’il te plait »
Un silence passe entre vous deux, Myriam attrape nerveusement sa lèvre inférieure entre ses dents avant de se pencher vers le téléphone à sa droite. Un éclat d’espoir traverse tes iris lorsqu’elle porte l’appareil à son oreille, tu peux entendre la sonnerie retentir, une, deux, trois fois.
« Bonjour monsieur je- oui je sais excusez-moi, Myriam gratta nerveusement son cou, oui une personne souhaiterait vous rencontrer dans le cadre d’un entretien d’embauche, mh oui exactement, plusieurs fois oui, d’accord je fais transmettre, au revoir monsieur Bloom »
Ton pouls n’a certainement jamais été aussi puissant, Myriam repose le téléphone sur son socle et te regarde avec ennui.
« Aujourd’hui quatorze heures, devant le bâtiment »
Tu as passé une heure et demie dans ta chambre à choisir la tenue, sortant toutes tes vestes, chaussures et même chaussettes, tout doit être parfait. Et comme toujours, tu as réussi à rendre ton apparence parfaite dans le miroir.
Le vent est froid, tu préfères laisser tes mains dans tes poches de veste. Tu as quinze minutes d’avance mais ça te rassure, comme ça tu as le temps de t'habituer à l’environnement, voir les points faibles et forts, mais surtout le voir arriver.
Louis Bloom, dirigeant de l’entreprise Video Production News depuis plusieurs années, cinq précisément. Il contrôle tout cet endroit à lui seul, pas d’assistant, seulement des équipes qu’il envoie à travers la ville et ses alentours pour filmer tous les accidents et crimes qu'il estime précieux. D’après ce que tu as trouvé sur lui, il est difficile de le voir physiquement dans le bâtiment principal, bien qu’il y passe beaucoup de temps il aime filmer lui-même les plus grands “chefs-d’œuvre de son entreprise”, comme il était décrit dans l’article que tu as lu. Tu as vu des photos de lui, toujours dans un cadre professionnel. En fait, tu n’as absolument rien trouvé qui ne soit pas professionnel à son sujet. Aucun profil sur les réseaux sociaux ni de proches pouvant publier des photos de lui. Il n’est jamais vraiment accompagné, seulement entouré de ses employés ou bien seul avec sa caméra. Tu as enregistré une photo de lui dans ton téléphone, juste une, pour la regarder sur le chemin et te préparer à affronter ce regard bleu. Malheureusement, aucun entraînement ne peut préparer à Louis Bloom, et tu allais vite le comprendre.
Dans sa voiture rouge, Louis t’observait derrière ses lunettes de soleil, son pouce massant sa cuisse dans de lents mouvements. Il était ici depuis une heure, attendant de te voir arriver. Il n’avait pas été surpris en voyant ton avance, tu étais toujours en avance pour l’ouverture du bâtiment, depuis le début, dans ta petite voiture noire aux roues salles, avec ce regard, le même qu’à présent. Il devait par contre avoué avoir été surpris de ta détermination. Toutes les semaines, un courrier portant ton nom arrivait sur son bureau, il ne le lisait pas, il préférait te regarder l’écrire depuis ton salon. Ta patience, il l’apprécie également. La façon dont tu ajustes tes cadres photos dans ta chambre presque tous les soirs, il n’arrive jamais à te quitter des yeux lorsque tu le fais. Puis ton doux visage fatigué lorsque tu te retiens de t’endormir dans le canapé, il doit toujours fermer les yeux après pour reprendre son souffle, tu sembles si docile dans cette position, ça le rend dingue. Comme maintenant, tu attends, tu l’attends lui et seulement lui, et ça le fait vriller. Mais il doit se calmer, il faut qu’il se calme, car c’est le moment le plus important dans le processus.
Tes joues brûlent légèrement avec le froid, ton corps est pourtant bouillant d’impatience. Plusieurs personnes sont entrées et sorties du bâtiment depuis ton arrivée, quelques-unes t’ont souris et tu leur a sûrement répondu. Le sol est encore mouillé de la pluie qu’il a dû supporter, tes chaussures laissent de légères marques humides sur les endroits secs du trottoir, tu t’amuses à y dessiner un cœur avec. Mais un son proche te fait relever la tête de ton dessin.
« Je suis heureux de voir que tu sembles être quelqu’un de créatif, c’est une qualité que je recherche »
Ton cœur rate un battement en voyant monsieur Bloom devant toi. Tu as vu qu’il fait un mètre quatre-vingt deux mais quelque chose en le voyant te fait te sentir minuscule. Un sourire étire ses lèvres, marquant au passage deux grosses fossettes dans ses joues creusées, et tu te rends compte qu’il faut que tu parles.
« J’avais hâte de vous rencontrer monsieur, j’espère que je ne prends pas un temps que vous auriez pu placer ailleurs, tu articules clairement en faisant ton possible pour ne pas détourner ton regard de lui »
Dans un mouvement rapide, il enlève ses lunettes noires et les accroche à son col de chemise. Tu parviens à maintenir tes lèvres fermées, même si l’envie de laisser ta mâchoire tomber au sol est très grande. Ses yeux sont encore plus grands en vrai, plus brillants, bleus et surtout, plus transperçant. Un frisson passe dans ta nuque, et au fond de ton esprit une voix s’inquiète de l’aura angoissante que dégage cet homme, mais tu ne peux t’empêcher de serrer les cuisses.
« Je place toujours mon temps dans les meilleurs endroits, son regard ne te quitte pas une seule seconde, et j’apprécie que tu te soucis de mon emploi du temps, tu accumules les bons points »
Une chaleur agréable passe dans ton corps, tu souris poliment à l’homme qui te fait face, tout en espérant que tes yeux ne trahissent pas ton surplu de joie.
« J’aurais juste une question pour toi, une seule et unique question mais prends le temps d’y répondre, mes questions sont toujours importantes et cruciales, tu dois le savoir dès à présent »
Louis observe ton corps réagir merveilleusement bien à ses mots, ton buste est légèrement penché vers lui et ton cou à porter, tous ces signes qu'inconsciemment tu lui envoies lui font perdre la tête. Il doit se contenir, tellement se contenir, pour ne pas te plaquer contre le mur et te faire pleurer sous ses baisers, détruire ce sourire angélique et massacrer l’innocence que tu émanes, pour que tout le monde comprennent que tu n’es à présent qu’une épave, une poupée que seul lui contrôle du bout des doigts.
« Serais-tu capable de me suivre en pleine nuit si je t’appelais ? »
Une lumière traverse tes yeux, rapide, mais il a pu la voir et il sait la réponse, il connaît la suite maintenant, il adore la suite.
« Oui, oui je vous suivrais, monsieur Bloom »
#louis bloom x reader#jake gyllenhaal#jake gyllenhaal x reader#jake gyllenhaal characters#lou bloom#gn reader#lou bloom x reader#night call#nightcrawler#jake gyllenhaal x gnreader#louis bloom x gnreader#gender neutral reader#nightcrawler 2014
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depuis que je suis partie à l'université il y a 8 ans, pour toutes les élections, chaque dimanche soir de résultats, à 19h50 j'appelle mes parents et je regarde en facetime les résultats sur leur télé tout en suivant les réseaux sociaux et les informant des résultats en détail
ma tradition préférée au milieu de tout ce cirque
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Rien De Sérieux - Natasha "Phoenix" Trace
Top Gun Maverick Masterlist
Résumé : Trois fois où tu flirtes avec Natasha et une fois où tu confesses tes sentiments.
Warnings : Angst, fin heureuse, consommation d'alcool (consommez l'alcool avec modération), vomissements, confession sous les effets de l'alcool, sous-entendus de sex mais rien d'explicite, dites-moi si j'en ai oublié d'autres.
Nombre de mots : 5k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Flirting With Her par Sir Babygirl
-Au célibat ! cries-tu avant de boire un shot cul sec avec tes deux amies Sarah et Alison.
Un bruit résonne au moment où tu poses le verre avec force sur la table. L’alcool te brûle la gorge, mais tu pousses un léger cri de victoire. Ce soir, tu célèbres ton célibat comme tu l’as annoncé haut et fort.
Tu as été en couple pendant près de trois ans avant que ton ex se sépare car elle a trouvé quelqu’un de mieux que toi, apparemment. Tu ne vas pas mentir, il y a une semaine, tu étais une épave. Tu étais inconsolable, tu ne sortais que pour le travail et tu restais devant ta télé à ne rien faire. Finalement, grâce aux nombreux discours encourageants de tes deux meilleures amies, tu as réalisé que c’était sa perte et non la tienne. C’est pourquoi ce soir tu veux célébrer le fait d’être célibataire et sans attache.
-Je vais enfin pouvoir faire ce que j’ai toujours voulu faire et je vais le faire sans prise de tête, annonces-tu avec joie. Je vais pouvoir m’éclater, sortir autant que je le veux, être tranquille. Tu as raison, Sarah, c’est la meilleure chose qui pouvait m’arriver. Et moi, je vous le dis, je vais m’éclater…, continues-tu alors que tes yeux se posent sur une femme aux cheveux noirs, avec elle, par exemple. Elle est magnifique.
-La phase célibataire aura duré longtemps, rigole Alison alors que tu continues à fixer la femme.
-Qui a dit que je voulais me mettre en couple ?
-Tu viens de flasher sur elle.
-Et alors ? Rien ne dit que ça va être sérieux.
-Mais tu fais que dans le sérieux, contredit Sarah.
-Plus maintenant, déclares-tu alors que tu recommandes un shot.
-T’es sûre de ce que tu veux faire ?
-Totalement ! Elle est dans la Navy, expliques-tu en pointant son uniforme, elle ne doit pas être là pour longtemps autrement dit, si ça se passe bien, tant mieux et si ça se passe mal, je n’aurai pas à m’inquiéter de la recroiser. C’est tout bénéf’.
-Eh bien, vas-y ! t’encourage Alison.
-Et comment ! t’exclames-tu avant de boire ton nouveau shot.
Tu t’assures que tes vêtements soient en place avant d’aller au bar sous les encouragements de tes amies. Tu t’adresses d’abord à Penny et payes un verre. Tu attends patiemment que Penny donne le verre à la femme et explique que ça vient de ta part. Quand Penny part s’occuper des autres clients, la brune te regarde avec un sourire avant de boire une gorgée. Tu prends cela comme un bon signe donc tu te lèves et tu vas t'asseoir à ses côtés.
-Merci pour le verre. Bon choix, commente-t-elle en buvant un peu plus.
-Ravie que ça te plaise. Je m’appelle Y/N et toi ?
-Natasha.
-C’est quoi ton callsign ?
Natasha te regarde surprise suite à ta question, ne s’attendant pas à ce que tu t’intéresses à ce détail.
-Phoenix, informe Natasha avec un sourire confiant.
-Je parie que tu portes bien ton callsign.
-A toi de me le dire. Qu’est-ce qui t’amène ici ce soir ? questionne-t-elle, intriguée.
-Je profite de ma nouvelle liberté et toi ?
-Rien de spécial, juste la détente après le travail.
-Tu es ici pour un déploiement ?
-Oui, je reste que deux semaines. Je veux en profiter un maximum.
-Je veux également en profiter un maximum, déclares-tu avec un sourire dragueur. Tu devrais nous rejoindre, mes amies et moi. On va jouer aux fléchettes, tu es la bienvenue.
-Je viendrai.
Tu souris à Natasha puis retournes vers tes amis, la bouche grande ouverte simulant un cri de joie. Tes amies t’assoment de questions dès que tu les rejoins à la table et tu leur réponds sans perdre de temps.
-Je vous le dis, à la fin de cette soirée, j’ai au moins son numéro !
Et tu as même eu plus.
Le lendemain, tu te réveilles dans une chambre inconnue, les bras de Natasha enroulés autour de ta taille. Comprenant que tu n’es pas rentrée après votre moment à deux, tu t’insultes mentalement. Tu ne sais pas si tu devrais attendre qu’elle se réveille ou partir tout de suite. Tu débats pendant quelques secondes avant de venir à la conclusion qu’il est préférable de fuir maintenant, surtout car tu as du travail qui t’attend.
Doucement, tu t’extirpes des bras de Natasha et récupères tes habits au sol. Tu t’habilles en quatrième vitesse avant de marcher vers la sortie. Quand tu es sur le point d’ouvrir la porte, tu soupires de soulagement quand la voix de Natasha résonne derrière toi. Tu sursautes et te retournes vers elle, une main sur le cœur.
-Je ne pensais pas que tu étais le genre à partir comme une voleuse, rigole-t-elle.
-Oh, eh bien, je me disais que tu ne voudrais pas que je reste plus longtemps. En fait, je…, tentes-tu d’expliquer avant de t’avouer vaincue, j’admets que je connais pas trop les conventions des plans d’un soir. C’est la première fois que je fais ça.
-Ravie d’avoir été la première. Et pour info, selon les personnes, ça peut différer, mais personnellement, ça ne me dérange pas si tu veux rester un peu plus longtemps.
-Compris. Mais, je vais devoir y aller. J’ai du travail à faire, informes-tu, triste de devoir la quitter si vite.
-Pas de soucis. Tu vas sortir comme ça ?
Suite à sa question, tu baisses le regard sur ta tenue, ne comprenant pas sa critique. Certes, on devine que tu n’as pas une tenue habituelle pour un dimanche matin, mais elle ne paraît pas si moche. Tu ne vois pas le problème. Phoenix quitte le lit avant d’ouvrir son armoire.
-Il fait froid le matin. Tiens, tu peux prendre ma veste, dit-elle en te tendant le vêtement.
-Je suis pas sûre que je pourrais te la rendre avant que tu partes.
-Ce n’est pas grave. Au moins, ça me fera une excuse pour te renvoyer un message quand je serai dans le coin à nouveau.
-Merci pour la veste, alors.
Natasha te sourit avec tendresse pendant que tu enfiles la veste. Tu n’oses pas bouger pendant quelques secondes, admirant une dernière fois le visage de Natasha avant de partir. Tu veux mémoriser son visage car, même si elle t’as dit qu’elle t’enverra un message quand elle reviendra, tu en doutes. Vous avez flirté, vous avez accroché, vous avez passé un moment intime agréable, mais vous n’êtes qu’une histoire d’un soir. Et puis, tu ne penses pas être prête pour commencer quoi que ce soit.
Quand tu détaches enfin tes yeux de Natasha, tu fermes le vêtement avant d’ouvrir la porte. Natasha te demande de lui envoyer un message quand tu seras rentrée chez toi. Tu lui promets de le faire avant de la saluer.
Et, la seconde où tu arrives chez toi, tu te saisis de ton téléphone pour la prévenir :
Message de toi à Natasha, 7h36 :
Je suis bien arrivée. Merci encore pour la veste, je te promets de te la rendre quand tu reviendras…
Ou pas ;)
Six mois se sont écoulés depuis ta rencontre avec Natasha. Après ton message quand tu étais arrivée chez toi, elle t’avais répondu par un simple “contente que tu sois bien arrivée. À bientôt :)” puis, plus rien. Tu ne pouvais pas t’attendre à autre chose. Après tout, vous n’aviez partagé qu’une nuit ensemble. Il n’empêche que tu avais ressenti un léger pincement au cœur en réalisant son manque de message.
Par conséquent, tu as tout fait pour laisser cette histoire derrière toi. Même si tu la recroisais par hasard, rien ne se passerait, c’est une certitude. Tu dois continuer ta vie tranquillement où, ces derniers temps, tu as pris de nouvelles habitudes. L’une d’entre elles étant d’aller au Hard Deck une fois par semaine avec tes amies. Contrairement à quand tu étais plus jeune, tu apprécies maintenant mieux une soirée où tu t’amuses avec tes proches, une boisson alcoolisée en mains. Tu as fait quelques nouvelles rencontres, mais rien qui ne puisse arriver à la cheville de ce que tu avais ressenti en voyant Natasha.
Ce week-end là n’étant pas différent des autres, tu te retrouves au Hard Deck. Tu rigoles avec tes amies quand une serveuse vient te servir un cocktail que tu n’as pas commandé. Quand elle te dit qu’on te l’a offert et que tu découvres Natasha au loin, tu n’en crois pas tes yeux. Tu ne pensais plus la revoir. Elle te fait un signe avec son propre verre avant de boire une gorgée. Tu lui rends le geste et bois ton verre. À côté de Natasha, Bradley la regarde faire avant de soupirer, désespéré par la situation.
-Tu devrais aller lui parler au lieu de tenir une stupide distance de sécurité.
-On ne s’est pas vu pendant six mois, je voulais m’assurer qu’elle était encore intéressée avant de faire quoique ce soit.
-Maintenant que tu sais que c’est le cas, va la voir, ordonne-t-il en tentant de pousser Phoenix dans ta direction.
-Elle est avec ses amies.
-Et ça ne l’a pas dérangée la dernière fois pour venir te parler. Je comprends pas Natasha, t’as jamais été comme ça auparavant.
-Je sais ! s’exclame-t-elle, énervée contre elle-même. Et je déteste savoir que je réfléchis autant. J’ai l’impression d’être toi.
-C’était gratuit. Ce n’était même pas sérieux ce que vous aviez, tu n’as pas à te faire des nœuds au cerveau. Allez, va lui parler.
-Et lui dire quoi ?
-J’en sais rien, moi ! J’ai pas eu une aventure avec elle. Si tu veux pas lui parler, invite la à danser alors, propose Bradley, agacé.
-Personne est en train de danser.
-Dans moins d’une minute, ça ne sera plus le cas. Va la rejoindre, je m’occupe du reste.
Natasha boit d’une traite son verre avant de marcher vers toi avec un faux air confiant. De son côté, Bradley se dirige vers le piano, attendant le moment parfait pour commencer à jouer.
Tu parles avec Sarah qui est en face de toi quand Alison attire ton attention en te donnant un léger coup dans les côtes. Tu regardes ton amie, les sourcils froncés alors qu’elle te fait un signe de regarder de l’autre côté. Au même moment où tu tournes la tête, Natasha arrive en face de toi et Bradley commence à jouer les premières notes de Great Balls Of Fire. Les personnes du bar se mettent à danser instantanément alors que Natasha te tend sa main avec un sourire.
-On danse ?
Pour simple réponse, tu lui prends la main. Tu te lèves de ta chaise et suis Natasha qui t’amène vers le piano, tes amies sur tes talons. Vous accompagnez Bradley au chant alors que Natasha et toi dansez sans vous souciez du monde qui vous entoure. Vous rigolez, vous vous faites tournez chacun votre tour jusqu’à la dernière note de la chanson.
Quand Bradley termine de chanter, Natasha garde ta main dans la sienne. Vous vous regardez avec un grand sourire.
-Je ne savais pas que tu étais de retour. Tu ne m’as pas envoyé de message, déclares-tu, encore surprise.
-J’allais le faire, je viens juste d’arriver.
-Tu restes là pendant combien de temps ?
-Trois semaines.
-Donc on a un peu plus de temps que la dernière fois. Il faut en profiter pour rattraper le temps perdu. J’espère que j’aurai le temps pour te rendre ta veste, même si je dois t’avouer que j’aimerais bien la garder, mais tu peux toujours venir chez moi pour essayer de la récupérer, proposes-tu avec un regard dragueur.
-Je le ferai. Au moins, cette fois, je serai sûre que tu ne partiras pas comme une voleuse, rigole Natasha et tu lèves les yeux au ciel, faussement énervée.
-Tu ne vas pas me lâcher avec ça, hein ?
-Non.
Malgré toi, ton cœur fond en regardant le sourire malicieux de Natasha. Tu ne veux pas l’avouer, mais elle t’a manqué. Toi qui pensais l’avoir oubliée, tu réalises que tu étais loin de la réalité. Mais il faut croire que tu n’étais pas la seule. Tu es rassurée de constater que tu l’as marquée autant qu’elle t’a marqué, mais tu ne voulais pas t’attacher à quelqu’un de nouveau de sitôt.
Cependant, tu laisses derrière toi ces sentiments conflictuels le restant de la soirée, profitant de ce moment avec Natasha et apprenant à mieux la connaître.
Comme il y a six mois auparavant, après quelques commentaires dragueurs, Natasha se retrouve dans ton lit, tes bras autour de son corps.
Message de Natasha à toi, 21h05 :
Hey, je suis de retour en ville. Tu es libre ce soir ?
Tu regardes le message de Natasha pendant plusieurs minutes, ignorant quoi répondre. Tu es, effectivement, libre ce soir-là, mais tu ne sais pas si c’est une bonne idée. Depuis vos retrouvailles au Hard Deck il y a trois mois, vous vous êtes revues à de nombreuses reprises et tu dois avouer que tes sentiments pour elle sont de plus en plus forts.
Au début, tu as pensé que ça serait un simple béguin passager, mais elle hante ton esprit et tu n’attends que le moment où tu la reverras. Certes, votre relation est plus physique qu’émotionnelle, mais tu prends tout ce qu’elle veut bien te donner. Malgré toi, elle a réussi à laisser son nom sur tes lèvres et tu te languis de l’avoir dans tes bras. Tu aimerais plus, cependant ce n’est pas son cas, tu en es à peu près certaine. Tu devrais garder tes distances avec Natasha, ça serait préférable. Ainsi, tu pourras éviter ton cœur de se briser à nouveau, surtout pour une relation inexistante.
Tu dois lui mentir et dire que tu ne peux pas la voir. C’est ce qui est mieux pour toi. C’est ce que tu vas faire. Tu vas rester loin d’elle.
Tu n’es pas restée loin d’elle.
Sans vraiment savoir comment, tu t’es retrouvée dans la chambre d’hôtel de Natasha, vos vêtements se sont retrouvés au sol et vous vous êtes retrouvées dans le lit. Une partie de toi t’insulte de tous les noms pour ne pas avoir écouté ton côté rationnel, mais actuellement, c’est le cadet de tes soucis.
Dans les bras de Natasha, vous discutez sur divers sujets et tu réalises que si vous aviez une réelle chance, vous pourriez avoir une belle histoire d’amour. Vous avez de nombreux points communs et votre vision sur le monde et le futur sont similaires. Tu aurais pu avoir un beau futur avec Natasha. Cependant, après chaque moment intime passé ensemble, Natasha te rappelle bien que vous n’irez jamais plus loin que des nuits partagées ensemble.
-Je suis contente de t’avoir rencontré, tu sais, commence Natasha en te serrant un peu plus contre elle. À cause de mon boulot, ça a toujours été compliqué de former des relations, mais avec toi c’est simple, sans prise de tête. On ne cherche pas du sérieux donc ce qu’on a nous suffit.
-Ouais, c’est vrai que c’est bien. Je profite à fond de ma vie de célibataire pour la première fois de ma vie, affirmes-tu en cachant ta déception.
-Tu sais le jour où tu auras rencontré quelqu’un qui en vaut la peine, tu pourras me le dire. Je comprendrai si tu voulais qu’on coupe tout contact.
-De même pour toi .
-Tu n’as pas à t’inquiéter de mon côté.
-Tu ne veux pas de relation sérieuse ? Jamais ? questionnes-tu en la regardant dans les yeux.
-C’est pas que je n’en veux pas, c’est que c’est plus simple comme ça. Je ne pourrais jamais réellement donner à une autre personne la relation qu’elle mérite alors autant gagner du temps. Et puis, les relations à distance, ce n’est pas vraiment mon truc et je ne veux pas demander à la personne de tout plaquer pour moi, déclare-t-elle comme si c’était une évidence.
-Mais certaines personnes arrivent à trouver un équilibre entre le boulot et leur couple.
-Tu as raison. Je ne sais juste pas si je trouverai cette personne un jour.
En entendant sa phrase, ton cœur se serre. Natasha vient de te faire une bonne piqûre de rappel. Tu dois t’éloigner d’elle. Elle ne veut pas de relation sérieuse et même si elle en voulait une, clairement tu n’es pas la personne qu’elle aime. Elle t’a dit les yeux dans les yeux qu’elle n’avait pas trouvé une personne qui valait la peine d’avoir une relation.
Tu retiens les larmes du mieux que tu peux en la regardant. Quand tu réalises que tu ne vas pas y arriver, tu éclaircis ta gorge avant de te relever et récupérer tes affaires au sol.
-Je… Je dois y aller. Je travaille tôt demain, annonces-tu en enfilant ton haut.
-On peut aller se coucher maintenant si tu veux.
-Non, je dois rentrer chez moi. Je n’ai pas mes affaires.
-On pourra se revoir dans les jours à venir ?
-Je ne pense pas, je suis plutôt occupée en ce moment, mens-tu en remontant la braguette de ton pantalon. Je… Salut, bégayes-tu.
Tu ne laisses pas le temps à Natasha de te dire au revoir et tu fuis sa chambre d’hôtel. Tu cherches tes clés de voiture dans ton sac à main alors que tes larmes s’agglutinent dans tes yeux. Tes larmes finissent par couler quand tu quittes le parking.
Tu le savais. Tu savais que tu allais finir avec un cœur brisé si tu continuais et ça ne t’a pas arrêté. Pourquoi faut-il que tu aies un cœur si fragile ? Pourquoi faut-il que tu t’attaches aux personnes aussi facilement ? Pourquoi ne peux-tu garder une distance émotionnelle ? Natasha y arrive très bien, alors pourquoi pas toi ?
En arrivant chez toi, tes pleurs se sont calmés, même si tes joues sont encore mouillées. Tu te prépares pour aller te coucher et avant de t’installer dans ton lit, tu prends ton téléphone. Tu es sur le point d’ouvrir tes contacts quand tu reçois un message de Natasha.
Message de Natasha à toi, 00h30 :
J’espère que la prochaine fois on aura un peu plus de temps :)
Tu n’as pas la force de répondre. À contrecœur, tu supprimes la conversation puis tu supprimes son numéro - non sans hésiter pendant quelques secondes. Tu reposes ton téléphone et tentes de trouver le sommeil malgré ton cœur en mille morceaux.
Quatre mois sont passés depuis ta dernière fois avec Natasha et tu t’en es plus ou moins remise.
Enfin, si on prend en compte ton état actuel, on dirait que tu en souffres encore. Dire que tu es saoule serait un euphémisme. Tu ignores combien de verres tu as bu au total mais tu sais que si tu essayes de marcher, tu vas tomber. Et tout ça, à cause d’un maudit message. Techniquement, tu aurais pu passer outre ce message. N’ayant plus le numéro de Natasha, il était indiqué comme venant d’un numéro inconnu et elle ne disait rien de spécial. Son message était un simple et innocent "hey 😘", mais ça a suffi pour comprendre qui était l’expéditrice et te faire souffrir au passage. Tu pensais que tu avançais enfin et ta réaction te prouve que ce n'était qu'une impression.
Tu es seule à ta table même si tu es venue avec ton amie Sarah. Elle est actuellement en train de danser avec un homme qu'elle vient de rencontrer. Au départ, elle ne voulait pas te laisser seule, sachant que tu noies ton chagrin. Toutefois, tu lui as assuré qu'elle pouvait s'amuser sans culpabiliser alors que tu commandais un sixième verre.
Tes yeux fixent tes mains tenant le verre alors que tu te perds dans tes pensées. Tu n'aurais pas dû commencer cette relation avec Natasha. C'est la phrase qui tourne en boucle dans ta tête depuis que tu as quitté sa chambre d'hôtel.
Le lendemain de votre dernière fois, tu étais allée voir tes amies et avait déversé toute ta tristesse dans leurs bras. Toutes les deux, elles t'ont affirmé que tu devais passer à autre chose, comme tu le craignais. Une partie de toi espérait qu'elles t'encourageraient à te battre pour ta potentielle relation avec Natasha. Malheureusement, tes amies sont réalistes.
Tu continues de boire ton verre lentement quand tu sens la présence de quelqu'un à tes côtés. En tournant la tête, tu vois Natasha et tu te dis que tu ne devrais pas finir ta boisson. Ton état d'ébriété est si fort que tu commences à avoir des hallucinations. Tu ne pensais pas ça possible.
-Hey, comment ça va ?
Ce n'est peut-être pas une hallucination finalement. La voix de Natasha te semble bien réelle.
-Oh, salut ! t'exclames-tu en tentant d'être naturelle.
-J'imagine que c'est pas ton premier verre.
-Eh bien, c'est possible. Probable.
-Tu crois pas que tu devrais rentrer ? Tu es venue seule ? questionne-t-elle en cherchant une de tes amies du regard.
-Avec Sarah.
-Tu veux que je te ramène chez toi ?
-Non, je vais attendre Sarah, te dépêches-tu de répondre, te rappelant que tu dois garder tes distances.
-Elle m'a l'air occupée, constate Natasha en voyant ton amie. Attends ici.
Sans que tu puisses l'arrêter, Natasha s'éloigne de toi et va retrouver Sarah. Tu la vois lui parler et ton amie te regarde avant de hocher la tête, réticente. Rapidement, Natasha revient vers toi et enlève ton verre de tes mains. Tu t'apprêtes à protester quand elle t'aide à te relever.
-Allez, on rentre.
-Mais je dois rentrer avec Sarah, t’opposes-tu.
-Je l'ai prévenue que je te ramène, t’informe-t-elle, te surprenant.
-Elle a accepté ?
Tu n'aurais pas pensé que Sarah aurait accepté, sachant qu'elle ne cesse de te répéter que tu dois absolument oublier Natasha. Ton état doit être encore plus pathétique que tu ne le croyais.
-Vu à quel point tu es bourrée, on s'est dit que c'était préférable de te ramener chez toi maintenant. Allez, viens.
N'ayant pas la force de te battre, tu cèdes et suis Natasha dans sa voiture. Une fois attachées, Natasha démarre. Ta tête collée contre la vitre de la voiture, tu contemples la nuit, tes pensées tout embrouillées.
Après quelques minutes, tu détaches tes yeux du ciel et regardes Natasha. Tu admires chaque centimètre de sa peau alors qu'elle est concentrée sur la route.
-Tu es vraiment magnifique, déclares-tu sans préambule.
-Oh, euh, merci, répond Natasha, gênée.
-Comment tu peux être si magnifique ? Et ce n'est pas tout ! Tu es aussi intelligente, drôle et encore pleins d'autres qualités.
-Pourquoi est-ce que j'ai l'impression que c'est des accusations ? demande-t-elle en entendant ton ton rempli de reproches.
-Parce que si tu étais moins parfaite ça serait plus simple.
-Je suis loin d'être parfaite. Et qu'est-ce que tu veux dire par "ça serait plus simple"?
-Arrête la voiture, rétorques-tu en sentant une envie de vomir monter.
-Quoi ?
-Arrête la voiture ! Gare toi !
La voiture est à peine à l'arrêt que tu es déjà sortie. Tu peux tout juste faire deux pas avant de vider le contenu de ton estomac. Natasha vient rapidement derrière toi et tient tes cheveux. Quand tu as fini de vomir, tu respires pendant quelques secondes avant de te redresser, une expression honteuse sur ton visage.
-Désolée, c’était pas sexy.
-Ce n’est pas grave. Tu te sens mieux ? s’inquiète-t-elle en examinant ton visage.
-Ça m’a fait du bien de vomir.
-Tiens, te dit Natasha en te donnant un mouchoir. Je crois que j’ai une bouteille d’eau dans ma voiture et des pastilles à la menthe, tu en veux ?
-Je veux bien, s’il te plait.
Pendant que tu t'essuies la bouche, Natasha va chercher de l’eau et une pastille. Quand elle te tend la bouteille, tu te rinces rapidement la bouche avant de mettre la pastille dans ta bouche. Vous restez debout encore quelques minutes, voulant s’assurer que ton ventre ne va pas continuer à se vider.
-Tu te sens prête à repartir ? questionne-t-elle en caressant ta joue.
-Je crois, oui, mais conduis doucement, c’est plus sûr.
-Dis-moi si tu as besoin qu’on s’arrête à nouveau.
Délicatement, Natasha te prend la main et t’accompagne vers la voiture. Cette fois, tu restes silencieuse tout le long du trajet. Tu es concentrée sur le paysage et Natasha n’ose pas perturber tes pensées. Au fur et à mesure de la route, tes paupières deviennent lourdes et tu finis par t’endormir.
Quand Natasha arrive chez toi, elle te réveille doucement. Tu grognes légèrement avant d’ouvrir les yeux. Natasha te soutient jusqu’à ta porte alors que tu dors debout. Elle t’amène dans la salle de bain où elle t’aide à te préparer pour aller te coucher - et où tu peux enfin aller te laver les dents. Quand tu es prête, vous allez dans ta chambre et tu t’allonges sans attendre une seconde. Tu t’installes confortablement pendant que Natasha positionne la couverture comme il faut sur toi. Elle s’apprête à partir quand tu serres sa main.
-Reste, murmures-tu avec des yeux endormis. Je ne veux pas être seule.
-Je reste là, je vais juste dormir sur le canapé.
-S’il te plaît, reste avec moi, insistes-tu en tentant de la tirer vers toi.
-Tu en es sûre ?
Pour simple réponse, tu hoches la tête. Natasha enlève ses chaussures et son pantalon, restant seulement avec ses sous-vêtements et son tee-shirt avant de te rejoindre dans le lit. Allongée sur le côté, tu cherches la main de Natasha. Elle comprend ce que tu veux et place sa main autour de ta taille, plaquant ton dos contre son torse. À son touché, tu lâches un soupir d’apaisement.
-Au fait, il faut vraiment que je te rende ta veste, dis-tu avec une voix endormie. Je ne peux plus la garder tout comme je ne devrais pas t’avoir aussi proche de moi, continues-tu, faisant froncer les sourcils de Natasha. Je tiens à toi, tu sais. Plus que je ne le devrais. Je t’aime bien, Nat’.
Et sur ces mots, tu t’endors. Derrière toi, Natasha se demande si elle a bien entendu ce que tu murmurais et surtout si tu le pensais. Après tout, ce n’est peut-être que les effets de l’alcool ? Cependant, elle ne peut empêcher un sourire de prendre place sur ses lèvres avant de resserrer son étreinte autour de ton corps.
Le lendemain matin, tu te réveilles avec une des plus grosses gueules de bois de ta vie. Tu as définitivement passé l’âge pour boire autant sans en affronter les effets. Tu ouvres doucement les yeux, craignant que la lumière du jour ne te les brûle. Heureusement, il y a assez de lumière pour te permettre de voir sans te faire mal. En jetant un coup d'œil à ta table de nuit, tu trouves un verre d’eau et un médicament que tu prends sans te faire prier après t’être assise.
Quand tu reposes le verre, la porte de ta salle de bain s’ouvre sur Natasha, te faisant froncer les sourcils instantanément. Tu ne te rappelles pas d'être rentrée avec elle. En voyant la panique dans tes yeux, Natasha se rapproche de toi avec un sourire rassurant.
-Il ne s’est rien passé. Je t’ai aidé à rentrer chez toi cette nuit.
-Oh, d’accord. Et Sarah, elle sait que…
-Elle sait, oui. Je l’avais prévenue avant qu’on parte. Comment tu te sens aujourd’hui ? demande Natasha en s’installant en face de toi sur le lit.
-Comme si j’avais trop bu hier soir, rigoles-tu et elle fait de même.
-Je peux imaginer. Tu te rappelles de quelque chose, par rapport à hier soir ? questionne-t-elle, une pointe de peur dans sa voix
-Euh, quelques passages, mais…
Tu t’arrêtes dans ta phrase alors que tu essayes de te rappeler de la soirée d’hier. Certains passages sont plus flous que d’autres, mais un est très net. Ta confession avant que tu ne t’endormes. Tes joues chauffent et tes mains deviennent moites. Tu espères de tout coeur que Natasha n’ait rien entendu. Toutefois, son regard appuyé te fait comprendre que tes espoirs sont vains.
-Dis-moi que je n’ai pas dit ça. Est-ce qu’on peut faire comme si je n’avais rien dit ?
-Pourquoi ? demande-t-elle sans comprendre.
-Parce que c’est gênant et parce que ça ne pourrait pas fonctionner entre nous.
-Qui te dit que ça ne pourrait pas ?
-Toi, déclares-tu comme une évidence. Tu as dit que tu ne voulais pas d’une relation sérieuse ou d’une relation à distance.
-C’est pour ça que tu ne réponds pas à mes messages ?
-A quoi ça aurait servi ? A part à me faire mal au coeur, dis-tu en évitant son regard. Je sais que j’ai dit que je ne voulais rien de sérieux quand on a commencé à se voir et c’était vrai au début, mais j’aime passer du temps avec toi, être à tes côtés, t’écouter parler même si je sais que je ne devrais pas. J’aurais dû mettre un terme à notre relation quand mes sentiments ont changé. Je comprendrais si tu ne voulais plus me parler, chuchotes-tu, les larmes te montant aux yeux.
-Y/N…, commence-t-elle en te prenant la main. Je suis désolée de t’avoir donné l’impression que je ne voulais pas de toi. J’ai paniqué quand j’ai réalisé mes sentiments. Je pensais que tu ne voulais rien de sérieux alors j’ai essayé de garder mes distances tout en restant proche de toi et je t’ai blessé. Je suis désolée. Mais je veux une relation sérieuse avec toi. Et peu importe, s’il y a la distance, je veux essayer avec toi, car tu en vaut la peine. Je tiens à toi, confesse Natasha, te faisant relever les yeux vers elle.
-Ne dis pas ça pour me faire sentir bien, j’étais ivre quand je l’ai dit et…
Les lèvres de Natasha sont sur les tiennes avant que tu puisses ajouter un autre mot. Surprise, il te faut un temps avant de répondre à son baiser. Les mains de Natasha trouvent leur chemin jusqu’à tes hanches alors que les tiennent se perdent dans ses cheveux. Vous vous embrassez quelques secondes avant de vous séparer. Tu gardes les yeux fermés un peu plus longtemps, appréciant ce sentiment. Ce n’est peut-être pas la première fois que tu embrasses Natasha, mais ce baiser est différent de ceux que vous avez pu partager.
-Tu me crois maintenant quand je te dis que je tiens à toi aussi ou il te faut plus de preuves ?
-Je crois qu’il m’en faut encore d’autres, oui, souris-tu avec un regard amoureux.
-Dans ce cas-là, alors…, reprend Natasha avant de poser ses lèvres sur les tiennes à nouveau.
Top Gun Maverick Masterlist
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Shortened Words in French (Apocope) Part 1
See Part 0
The following shortened words are really common, and I would argue, could be used in formal setting as well as informal.
(I guess the full version is always better, but "kinésithérapeute" is too long, I'm not saying that)
- L'actualité -> L'actu // the news ; current affairs
- Adolescent -> ado // teenager
- Amphithéâtre -> amphi // amphitheatre
(J'ai cours en amphi dans une heure // I have a lecture in an hour)
- Climatisation -> clim // air conditioning
- Diapositive -> diapo // slide show (presentation) or the slide
- Le Baccalauréat -> le Bac // French High School Diploma
(Note : La BAC is "Brigade anti-criminalité" aka Anti-Crime Squad)
- Récréation -> récré // recess
- Exposition -> expo // exhibition
- Exercice -> exo // exercise
- Introduction -> intro // introduction/preface
- fluorescent -> fluo // fluorescent (adj)
Note : Fluo could also refer to an "highlighter" (not the makeup thingy but the colored pen) also called "surligneur" in French
Tu peux me prêter ton fluo s'il te plait ? // Can you lend me your highlighter please?
- professionnel -> pro // professional
- gymnastique -> gym // gymnastics
- professeur -> prof // teacher
- publicitié -> pub // advertisement (ad)
- information -> info // information
- kilogramme -> kilo // kilogram
- microphone -> micro // microphone (mic)
- photographie -> photo // picture (pic)
- télévision -> télé // television
- promotion -> promo // promotion ; discount
Note : "promo" can't be used to refer to a change of work position.
To promote something = faire la promotion de qqc ou faire la promo de qqc ; 50% de promo = a 50% discount
- Names of school subject often shortened :
Géographie -> géo // geography
Biologie -> bio // biology
économie -> éco // economics
philosophie -> philo // philosophy
Mathématiques -> maths // mathematics (math)
(For some reason there is an "s" in "maths" in French)
- Names of medical professionnals often shortened :
Ophtalmologue -> ophtalmo // ophthalmologist
Gynécologue -> gynéco // gynecologist
Dermatologue -> dermato // dermatologist
Ostéopathe -> ostéo // osteopath
Kinésithérapeute -> kiné // physiotherapist
Note : Please don't say "gastro" if you want to say "gastro-entérologue" (gastroentorologist) , gastro = stomach bug
- Sport names :
football -> foot // soccer
volley-ball -> volley // volleyball
basket-ball -> basket // basketball
Note : baskets could also refer to shoes in French
handball -> hand [not pronounced as the English "hand"] // handball
Final Note :
You're technically not supposed to write any of the shortened version down but if you're texting and using them in the plural, I would suggest putting an "s" at the end, it looks better !
"des ados", "des profs", "des kinés", "les pubs"...
See part 2
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L'autre truc fun de Babylon Babies c'est comment une énorme partie de ce qui est important dans ce bouquin n'arrive pas aux personnages mais leur parvient par les médias ou la technologie. La première moitié c'est intégralement l'histoire de mercenaires surarmés qui attendent dans un appartement pourri / une salle d'attente de médecin / le bureau d'un contact local, et regardent la télé ou lisent des magazines pour passer le temps, et tout le paysage géopolitique de l'intrigue nous vient d'un résumé de ce qu'ils y apprennent. Et leur employeur joue avec un simulateur de conflits sur son ordinateur et vérifie ensuite si les informations sur le vrai conflit en cours correspond à ses simulations, mais la plupart du temps on nous décrit la simulation plutôt que le conflit. Il y a sûrement quelque chose de typiquement "Maurice Dantec en 2002" là-dedans que je n'arrive pas vraiment à verbaliser, et il faut que je réessaie de rentrer dans Satellite Sisters après ça parce que ça avait l'air de vraiment prendre une approche différente sur précisément le rapport à l'information, et. smth smth le cyberpunk et le concept de flux. On représente facilement le foisonnement d'information et l'idée de "junk news" dans la SF et le cyberpunk en particulier, à grand coups d'écrans publicitaires qui clignotent et de présentateurs télé qui parlent trop vite dans un décor trop coloré, mais en fait, ça fonctionne aussi (ça fonctionne mieux ?) ce foisonnement d'information de fond, correcte et bien présentée, mais juste, trop spécialisée ou trop decontextualisée pour servir à autre chose qu'à remplir le vide jusqu'au moment où le puzzle est complet.
Le goût de l'immortalité que j'ai prévu de relire après faisait quelque-chose de semblable avec ses digressions me semble-t-il, alors, c'est peut-être typique de la manière de conceptualiser l'information et la mondialisation au début des années 2000, on en reparlera d'ici là si je remarque quelque-chose.
#je me rappelle à peu près comment babylon babies finit aussi et je crois pas que l'information serve au personnage autant qu'au lecteur#il y a quelque chose de cynique dedans. au final est-ce que c'est plus utile de 'comprendre' un conflit a l'étranger#que de lire des conneries sur facebook#si tu ne peux rien faire de l'information et jamais la remettre dans son contexte ?#mais on verra si c'est vraiment ça.#babylon babies
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Les vrais dangers qui nous menacent
Perdus et éperdus entre les crises prétendues sanitaires, en réalité inventées, et celles, dites sociétales --tout aussi factices et fabriquées-- qui assassinent toute vie en société... entre la guerre russo-ukrainienne télécommandée et nos gouvernants dont le progressisme détruit (et pas pour du mieux) ce qui n'a pas besoin de l'être... entre une ‘’migration’’ jamais vue dans l'histoire et qui, pour la première fois, se revendique ''de substitution'' (ce qui est nié, contre toute évidence, par la ''bien-pensance’’ assassine)... et, donc, des idées maso-mortifères --mais absurdes-- qui s'imposent partout et contre toute intelligence... nous imaginions avoir vu le pire...
Que nenni ! je suis tombé, le week-end dernier, sur un article qui m'a ouvert les yeux –jusque là ''grand fermés'' : toute une catégorie d''experts'' sans nul doute compétents, en deux mots comme il se doit, s'agissant de cette confrérie (idem) si envahissante, a ou ont décrété, ''tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais'', l'arrivée d' ''un grand bouleversement astrologique qui va tous nous toucher''... Depuis, vous n'imaginez pas ''dans quel état j'erre'', entre panique, affolement, frayeur, effroi, inquiétude, voire... crainte et tremblements, pour faire croire que je lis Kierkegaard... C'est que, démontrait cet article avec une rigueur exactement scientifique (on croirait du Delfraissy ou du Fischer, c'est tout dire !) : ''En ces temps de mensonges et de crise, il est temps de prendre conscience que 2023 sera une année ponctuée de hauts et de bas'' (sic ! Ça, c’est une vraie bonne nouvelle !), même si certains astrologues/logistes illogiques ajoutent : ''...en fonction de la position des planètes'', sur laquelle notre influence, on peut le dire, est réduite ! (NB : la gravité du sujet justifie un texte un peu plus long. Pardon)
Chers Amis-lecteurs, je suis particulièrement fier de contribuer à votre salut, en vous informant illico sur les dangers épouvantables qui vous attendent, puisque ''Un homme ou une femme averti en vaut deux'' : à deux, il est plus facile de prendre la célèbre position ''de la tortue'' pratiquée dans les armées romaines et les livres d'Astérix... Car ce qui est certain, c'est que, comme le disait à peu près la Fontaine dans ''les Animaux malades de la peste'', ''nous ne mourrons pas tous, mais tous serons frappés'' : la racine du mal qui nous menace est d'une autre tessiture que nos habituels variants variés, flanqués d'une lettre grecque : ici, c'est du lourd,...
Après deux années dans le signe du Verseau (ce qui fait de lui le seul coupable du confinement ?), Saturne a rejoint, le mardi 7 mars 2023, le signe du --ou des-- Poissons dans lequel il va rester près de trois ans. Or les vrais ''Experts'' (dans le genre des ''médecins de plateau'' et les généraux 2R à la retraite qui empoisonnent nos soirées en charentaises devant la ''télé''), précisent bien que cette planète a une grande importance car, contrairement à la Lune par exemple, elle se déplace très lentement et son influence ne se limite donc (?) pas à l'humeur et aux actions des signes astrologiques : ''elle a une réelle influence sur les énergies globales du monde et sur la société dans son ensemble''. Je vais vous expliquer tout ça, ou plutôt je vais essayer de décrypter l'imbitable volapük des dits (et dix) ‘'experts'’.
Suivez-moi : ''pendant les 2 années où elle était encore en Verseau, Saturne avait pu réactiver certaines peurs et angoisses au niveau collectif.'' (NB : ça commence fort, et ça en rappelle, des souvenirs récents !). Les valeurs de sécurité –''que représente Saturne'', tout le monde sait ça-- et de liberté (''du registre du Verseau'', elle, cqfd) ont pu entrer en conflit. Mais voilà que Saturne entre en Poissons, ce qui pourrait être synonyme de "sobriété" (il n'y a plus d'essence ? plus rien dans les rayons des hypermarchés ? la viande est trop chère ? C'est la faute aux Poissons !) et de ''prises de conscience liées aux grandes questions actuelles : l'économie, les problèmes climatiques''.... Donc (?), précisent les ''experts'' (aussi garantis SGDG que ceux qui blatèrent n'importe quoi à propos du covid ou de l'Ukraine), ''Saturne, qui structure et encadre, pourrait permettre de concrétiser des rêves et utopies des Poissons''. (je vais derechef et d'heureux-chef demander à mon cher poisson rouge quels sont ses rêves !). Et ils nous rassurent (Ouf ! On n'en pouvait plus !) : ''Des grands voleurs et menteurs pourraient être démasqués'' et ''plus de clarté pourrait être apportée sur de grandes questions, des rumeurs ou des théories''... . (Tremblez, ô Ministres improbes... Craignez la justice astrale, ô accusateurs sans cause des ''complotistes'', ô suspendeurs en suspens des ''suspendus'' pendus, ô confineurs masqués de nos heures de grande solitude sans aucune sollicitude...).
En français vernaculaire, ce galimatias devient : ''le confinement était inscrit dans les astres (?), et nombre de français ont cru que le drame covidique annoncé était vrai... On s'est foutu de leur gueule en les terrorisant et en leur mentant effrontément... Mais une prise de conscience est en cours (Macron, Véran, et autres coupables... ''traversez donc la rue'' et changez de job, avant qu'il ne soit trop tard !)... et l'impunité actuelle des menteurs sériels ne durera pas toujours... car on voit revenir en pleine lumière des vérités qui étaient dites ''complotistes'', au temps où Big Brother régnait. Quant aux pénuries, c'est la faute aux Poissons !)''.
Si on pense au mal que se sont donné nos gouvernants pour faire croire que tout français qui ne croit plus à leurs balivernes et à leurs énormités serait ou est un ''complotiste'' (dont le nombre total atteindrait donc 70 à 80 % de la population, puisque seul un tout petit 20 % (les myopes, les aveugles, les têtus...) ose encore dire croire aux bobards que nous imposent les soi-disant ennemis du mot complot, qui sont en réalité ceux qui ont inventé le concept, et ils le pratiquent ''non-stop''). Or, sans que personne ne nous ait prévenus et sans même s'auto-signer une ''Autorisation dérogatoire d'aller faire pipi'', Saturne entre en Poissons, en ce moment-même. L''heure est grave. Il faut le répéter avec l'accent du même nom : ce bouleversement astro et logique va tous nous toucher, de près ou de près...
Mais c'est là que ça se corse, comme disait Napoléon : si la planète Saturne a une influence sur le zodiaque, elle a également un impact sur chaque signe astrologique, donc sur le vôtre et sur le mien, aussi ! Tout dépend de sa position. ‘’Saturne, synonyme de sagesse et de rigueur, représente le travail, les contraintes, le cadre et la confiance en soi (donc : sagesse et rigueur = travail et contraintes ? Vive la folie et le n'importe quoi, alors !), et ''lorsqu'il était dans le signe du Verseau, il a donc permis aux Gémeaux, au Bélier et au Sagittaire de se débarrasser de ce qui ne leur convenait plus'' (je ne vois pas le rapport...sauf ‘’Ben voyons...’’ !). ''En revanche, il a pu être frustrant pour le Lion, le Taureau et le Scorpion, ces deux dernières années'' – trois bestioles qu'il est sage, pourtant, de ne pas trop ''titiller''.
Et voilà que tout-à-coup, ''en entrant dans les Poissons, il permet au Cancer, au Scorpion, au Taureau et au Capricorne de se structurer et de poser les fondations de leur futur''. Attention néanmoins aux Poissons (d'élevage et de pleine mer), à la Vierge (qui joue les Sainte Nitouche) et au Sagittaire, (ça, c'est moi, entre autres) qui risquent de s'empêtrer dans des situations floues ou fausses (c'est déjà fait depuis longtemps, pour moi ! Et pour la ''révolte des retraites'' aussi). ''Pour les trois prochaines années il va falloir clarifier et concrétiser'' ! (NDLR : ça, c’est concret).
En 2023, précisent les horoscopes, ''les planètes vont offrir des opportunités à tous les signes du Zodiaque'' (je suis bien content, car personne ne s'y attendait !). ''En fonction de la position des astres, des influences positives toucheront les signes astrologiques, et des énergies plus difficiles à vivre pourront également impacter le quotidien des signes'', ce qui est clair comme de l'eau de roche, non ? Les mêmes ajoutent : ''Pas d'inquiétude : il s'agit simplement d'influences qui nous forcent à nous remettre en question et déterminer ce qui est réellement bon pour nous''... ce qui est encore plus limpide ! 2023 est donc une grande année –tout le monde l'avait compris, ''s'pa ?''-- qui inaugure un nouveau cycle de 22 ans (Chic ! J'aurai 110 ans, pile ! A moi, les petites anglaises !). Pourtant, cette nouvelle position (comme dit le Kama-Soutra), qui annonce un changement de vie pour le Verseau, suscite des inquiétudes pour les Poissons, du côté finances (Aïe ! Pauvres pêcheurs bretons !) et aussi –ce qui n'est pas sympa-- une fatigue pour le Sagittaire (NB : Pourquoi lui ? J’ai pas envie ! c’ pas juste)
Mais ce n'est pas tout : ''La planète Pluton a passé près de deux décennies dans le signe du Capricorne qu'elle a enfin quitté le 23 mars 2022. Cet astre a rejoint le signe du Verseau dans lequel il va faire quelques allers-retours tout au long de l'année (si RER-B et SNCF ne sont pas en grève) et va s'y installer définitivement en 2024''. Les mois qui viennent vont donc être riches en bouleversements et en changements inattendus pour le Verseau. Sa vie sentimentale (du Verseau, pas de Pluton ! 'Faut suivre, quoi !) risque d'être secouée, surtout entre le printemps et l'automne à cause d'une opposition à Vénus. (dont je me demandais, justement, où elle était passée ! Ouf !). Devant ce déferlement de forces –chtoniennes à en être ‘’mélenchtoniennes’’-- autant se jeter dans le grand bain... et serrer les dents.
Je vous avais prévenus : il s'agit là de l'un des bouleversements les plus importants dans nos vies. Nous sommes devant le changement le plus iso-tellurique qui puisse frapper l'humanité, et il n'est pas dans notre pouvoir d'échapper à cette grande faux du destin... Et que tout ça soit... ‘’tout faux’, justement, n'est pas grave, mais ça valait bien de rigoler cinq minutes... on n'en a pas si souvent l'occasion, par les temps qui courent... pour éviter les grenades lacrymogènes et les coups de Tonfa ! Ste Soline, priez pour nous !
H-Cl
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La Foule
Parfois j'écris des poème en prose (avec, sans doute, plein de fôtes)... Oui ça m'arrive aussi... Comme celui-là :
LA FOULE
Maison de toile sur l’évidence des écrits transbahutés vers l’indifférence
Je reconnais en toi l’antre des hardis bandits qui volent aussi bien les biens réels qu’irréels
Et je vais y mettre le feu d’une torche écriture et d’encre rouge
Je vais venger l’armée de zombies qui jadis croulait sous le devoir des autres
Ces pauvres gens abrutis par les nappes de dentelles sur télévision ouverte 24h sur 24
Cette crasse télé 7 jours, cette boue d’insectes grouillant dans les méandres des rebuts des foires Comme je hais ma famille
Pourtant je veux la venger
Car si crapoteuse qu’elle fût, elle n’avait pas le choix n’ayant ni arme ni droit
Ça ne servira à rien mais dans cette vie injustifiée et absurde, on peut danser sur certains cadavres Ça fait passer le temps plus gentiment
Je dégueule cette bouillie informe que l’on nomme la société humaine faite de salmigondis et de bavette de convenance
Je dégueule ce fruit pourri que certains appellent l’amour et qui n’est encore qu’une distinction de classe qui fait croire aux lumières qu’elles sont la nuit et les éléphants des danseuses
Je dégueule cette éducation alignée qui range les gens par boite de 12 avec l’inscription appropriée « laids » « beaux » « gros » et « maigres »
Ces parchemins qui ne veulent rien dire, ces bouts de bois que l’on donne comme de la coke aux illuminées de compétition
Ce monde si petit et grouillant, cette fourmilière à merde de lombrics qui font les élus du peuple Y’aurait-il pas des coups de piolet qui se perdent ?
Des pions à butter ?
Juste pour rien
Pour danser
Danser danser danser danser
Tournebouler sur la mappemonde avant de crever sous le soleil
Mais y’a toujours des chanteurs qui t’expliqueront que c’est eux qui ont raison
Que tu ne sers à rien
Qu’il faut ranger ta guitare et ta bonne gueule et retrouver ton usine à clous
Des bourgeois émancipés qui surfe sur le fumier humains pour faire briller leur empathie
Je t’en foutrais moi des « je vais t’expliquer la vie, t’as rien compris » et des « t’inquiète pas c’est tout aussi joli, la pénombre »
Eux aussi j’aimerais les voir sous mes pas de danse
Les sourires brillant des mangeurs de bonnes chairs, les ceux qui savent où se trouve la bonne bouteille et le bon chef d’orchestre pour diriger tout ça
Comme ceux qui s’imaginent subversifs enterrés dans une petite salle d’exposition avec leur coupe de champagne et de jazz à la main
Les rambos efféminés de la littérature et du spectacle
Finalement on est bien seul nous autre la foule
14 Novembre 2022, Eric MIE
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Qu’as tu ressenti lors de ta participation aux manifs ? Quel est ton opinion sur les black bloc ? Et sur la violence faite aux photographes qui couvrent les manifs ? Et sur la manière dont les manifs sont médiatisées généralement ?
J'avoue que ça fait toujours un petit frisson de voir autant de gens réunis, une telle convergence. Même si elle n'est que partielle et momentanée, c'est un sentiment agréable. Au-delà de ça, je trouve ça très chiant d'être en manif ! Surtout comme hier, à marcher sous la pluie, c'était pas l'activité la plus dingue de ma fin de semaine :)
Je ne pense rien de particulier des black blocs, je ne suis pas très sûre d'avoir bien cerné de quoi il s'agit réellement d'ailleurs.
Quant à la couverture médiatique des manif, je ne pourrais pas en dire grand chose vu que je ne regarde pas la télé ! J'écoute parfois les informations à la radio et bien souvent, ça se contente d'annoncer des chiffres. C'est peut-être critiquable, une manifestation ne pouvant se réduire à une simple somme de ses participants mais d'un autre côté, c'est aussi ce qui nous intéresse en premier lieu, de savoir si la manifestation "a réussi" au regard de l'ampleur de la mobilisation.
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Writevember day 4 - (Presque) Une demande en mariage (1157 mots)
“Allez, Lyo…”
“Non !”
“Enfin, sors !”
“Hors de question !”
“Tu ne vas quand même pas passer ta vie enfermé dans les toilettes du club de théâtre ?” rouspète Nolan en tambourinant sur la porte verrouillée desdites toilettes.
“Je vais me gêner, tiens !”
“Il faudra bien que tu sortes pour manger… Et puis, quelqu’un finira bien par avoir besoin de les utiliser,” tente de raisonner Louis - tout en farfouillant dans les placards du club pour trouver un double des clefs.
“M’en fout ! Ma vie est foutue, je sortirai pas !”
“Moi j’ai trouvé ça mignon,” marmonne Nolan, laissant enfin la porte tranquille. De toute façon, ce n’est pas comme s’il aurait pu la défoncer, du haut de ses un mètre soixante-cinq pour quarante-cinq kilos.
“Je peux comprendre que Lyo ait été… surpris, on va dire, mais il n’y a pas mort d’homme. Et puis, au fond, Lynn a juste sous-entendu les choses. Elle n’a techniquement rien dit qui permettrait de t’identifier,” Louis rappelle - toujours à la recherche des clefs, malgré que son gabarit à lui aurait pu lui permettre de faire quelques dégâts à la porte. Mais bon, il a mis du vernis neuf ce matin, et ce n’est pas une énième crise de nerf d’un des membres du club de théâtre qui le poussera à ruiner sa manucure.
De l’autre côté de la porte barricadée des toilettes neutres du club de théâtre - toilettes neutres, parce que personne au club de théâtre ne se souvient de leur désignation d’origine, et ce sont les seules toilettes à cet étage du bâtiment de toute façon - Lyo, le visage enfoui dans ses mains, n’est pas vraiment d’accord avec la vision des choses de ses amis.
La journée avait pourtant bien commencé ; un rayon de soleil ce matin, un chat croisé sur le chemin de l’université, des cours relativement intéressants ce jour-ci, et puis pour la réunion hebdomadaire du club de théâtre, Lyo avait préparé des muffins aux pépites de chocolat que les membres du club se sont arrachés…
Et puis il a fait l’erreur de vérifier les informations sportives.
Pourtant c’est quelque chose qu’il fait régulièrement ! A chaque fois que Lynn part en compétition, et qu’il ne l’accompagne pas, c’est à dire souvent ces derniers temps - il est difficile de justifier des horaires aménagés pour un étudiant de dernière année quand ce n’est pas lui qui participe aux compétitions…
Donc à chaque fois que Lynn part en tournois de judo à un bout ou l’autre de la planète - ou juste du pays - Lyo a pris l'habitude de regarder rapidement entre deux cours les résultats et le suivi de la compétition. Pour voir où elle en est. Si elle a gagné. Ce genre de choses.
Sauf que tout à l’heure, quand il a monté le volume de son téléphone pour entendre l’interview de Lynn à la fin de la compétition - une médaille d’or autour du cou, laissant peu de doute à son classement aux mondiaux - il est tombé des nues !
Parce que, une fois le blabla sur la motivation et le parcours sportif et éducatif terminé, le présentateur à demandé à Lynn quels étaient ses prochains objectifs, et au lieu de parler des prochains Jeux Olympiques… Elle s’est tournée vers la caméra, a fait un clin d’oeil, et a joyeusement annoncé qu’elle se verrait bien “prendre une pause” pour “se concentrer sur sa vie personnelle” et notamment “un mariage rapidement, un gosse ensuite, comme ça c’est fait et je pourrais reprendre les entraînements pour les JO d’ici à deux ans environs”.
Elle a dit ça ! En live ! A la télé ! Sur une chaîne diffusée à l’internationale !
Certes, elle n’a pas expressément donné le nom et l’adresse de Lyo, mais enfin, c’est tout de même lui qui est concerné ! (Et si ce n’est pas le cas, Lynn aura de sérieuses explications à donner…)
Une (presque) demande en mariage ! Comme ça ! Sans prévenir !
Et bien évidemment, tout cela alors que Lynn est à plusieurs milliers de kilomètres, et donc qu’avec le décalage horaire elle doit actuellement être en train de dormir du sommeil des justes, pendant que Lyo est lui enfermé dans les toilettes du club de théâtre, en train d’avoir une crise existentielle !
Où est la justice en ce bas-monde ?!
Le visage toujours enfoui dans ses mains, Lyo pousse un petit gémissement pitoyable.
Qu’est-ce qu’il est censé faire, maintenant ? Comment diable continuer le cours normal de sa vie pendant encore trois jours - trois jours entiers ! - jusqu’au retour de Lynn ? Et comment osera-t-il lui faire face, après ça ?!
Est-ce qu’elle va revenir avec un énorme bouquet de roses, et refaire une vraie demande en public, à l’université ? Est-ce que c’est Lyo qui est supposé préparer cela ?
Et il refuse de ne serait-ce que penser à évoquer la fin de sa phrase sur “un gosse”, parce qu’il est déjà rouge comme une pivoine, et il est presque sûr qu’il va exploser comme une cocotte minute mal aérée s’il commence à réfléchir à tout cela !
“Je pense que tu te prends la tête pour pas grand chose,” la voix de Louis (guère étouffée par les deux centimètres de porte en vieux mélaminé) reprends. “Après tout, Lynn sait très bien que tu n'es pas vraiment à l’aise en étant le centre de l'attention. Si réelle demande en mariage il y a, elle préparera quelque chose de plus privé. Cosy. Un bon resto ou alors un film romantique au cinéma, ce genre de choses.”
“Ou si elle fait un truc “public”, ce sera plutôt avec nous et tous vos autres amis. Pas devant des caméras, en tout cas,” Nolan ajoute.
Lyo ose enfin relever un peu la tête.
Ils n’ont pas tort.
C’est juste… Ils sont en couple depuis un moment, c’est vrai, et se connaissent depuis plus longtemps encore, mais le mariage ? Ça lui paraît si brusque. Si soudain ! Ils sont encore tous deux à l’université - en dernière année, il est vrai, Lynn ayant dû faire quelques semestres supplémentaires à cause de ses horaires aménagées pour les compétitions.
Imaginer préparer un mariage en même temps qu’ils valident leurs derniers cours… Lyo frissonne. Beaucoup trop stressant !
Des pas juste de l’autre côté de la porte, un bruit de clef dans la serrure - oh. Louis a fini par trouver le double des clefs des toilettes.
La porte s’entrouvre, un rayon de lumière venant éclairer le visage embarrassé de Lyo.
“Allez, sors de là. Attends quelques heures et tu pourras appeler Lynn et l’engueuler pour son coup de pub, et lui demander une bague de fiançailles avec un diamant quatorze carats pour s’excuser,” Louis ricane.
“J’ai pas besoin d’un diamant,” Lyo marmonne, mais il s’exécute, laissant enfin les toilettes libres.
“Quitte à épouser Lynn, tu devrais en demander un. Ou même plusieurs. Et comme ça, ça te servira de fond d’urgence en cas de divorce, si tu te retrouves seul avec les gosses,” Nolan ironise.
Le bruit que fait Lyo en entendant cela est similaire à celui d’une théière oubliée sur le feu.
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Cyril Hanouna, de la télévision aux étoiles : une mission martienne inédite
Cyril Hanouna, de la télévision aux étoiles : une mission martienne inédite https://infoscoop.fr/wp-content/uploads/info-scoop-linformation-nattend-pas-les-meilleurs-scoops-et-toute-lactualite-en-france-et-a-linternational-sont-sur-info-scoop-49.webp Dans un tournant inattendu, l'animateur télé français Cyril Hanouna est choisi par la NASA pour représenter la France dans une mission sur Mars. Ses entraînements rocambolesques et ses tweets en direct depuis l'espace tiennent le monde en haleine. #CyrilHanouna, #Entraînement, #Espace, #MissionMars, #NASA, #Tweet https://infoscoop.fr/informations/insolite/cyril-hanouna-de-la-television-aux-etoiles-une-mission-martienne-inedite/
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IL NE SUFFIT PAS DE PRIER POUR ÊTRE EXAUCÉ/3
Dieu répond toujours à nos prières mais ne les exauce pas toujours. Lorsque nous prions et que Dieu ne nous accorde pas ce que nous Lui avons demandé c'est une réponse à notre prière. Soit ce n'est pas sa volonté soit ce n'est pas le temps pour nous de recevoir la chose soit encore nous prions en étant dans la rébellion vis à vis de sa Parole. Dans tous les cas nous devons apprendre à rendre grâce à Dieu pour ce qu'IL nous accorde et pour ce qu'IL ne nous accorde pas lorsque nous le lui demandons dans la prière. Sachez aussi que Dieu ne nous donne pas toujours ce que nous Lui demandons où IL ne nous donne pas toujours de la manière dont nous espérons recevoir de Lui. Parfois même Dieu commence par nous enlever quelque chose avant de nous exaucer afin que ce qu'IL nous donne ne soit suivi d'aucun chagrin. Dieu est un excellent Père qui sait donner de bonnes choses à ses enfants. Malheureusement nous ne demandons pas toujours les bonnes choses à Dieu . C'est le Saint Esprit qui nous revelle ce que nous devons demander à Dieu car c'est Lui qui a notre destinée entre ses mains. Beaucoup se sont mariés avec la mauvaise personne et en subissent les conséquences. Beaucoup ont accepté un travail qui paye bien mais sont persécutés dans leur travail au point où ils ont perdu leur paix et leur joie. Dans ces temps de la fin, bon nombre de prières ne sont pas exaucées parce que la majeure partie du temps elles sont contraires à la volonté de Dieu. L'incrédulité aussi est un facteur de non accomplissement de la prière car certains prient et annulent eux même leur prière en ayant des paroles négatives sur leur situation. Par exemple si quelqu'un prie pour la guérison et qu'après il écoute des personnes ou des informations à la télé ou sur les réseaux au sujet de sa maladie dite incurable par les hommes, vous constaterez que sa foi en sera affectée. Il va lui même changer sa prière et la transformer en prière d'incrédulité. N'oublions pas que tout ce qui sort de notre bouche est une forme de prière prière. Donc si après avoir demandé la guérison nous disons que nous ne serons pas guéri nous annulons nous même notre prière. Il est écrit que nous avons reçu le pouvoir de lier et de délier. Tout chrétien peut soit délier sa vie soit la lier par les paroles de sa bouche provenants des pensées de son cœur. Nous avons un exemple dans Nombres 14 versets 1 à 3 où le peuple d'Israël a murmuré contre Moïse et Aaron et ont déclaré de leur bouche : Que ne sommes nous morts dans le pays d'Égypte ou que ne sommes nous morts dans ce désert ! Pourquoi l'Éternel nous fait-il aller dans ce pays où nous tomberons par l'épée où nos femmes et nos enfants deviendront une proie ? .... Dieu avait promis à ce peuple de leur donner Canaan mais ils ont montré leur incrédulité par des paroles négatives. Dieu a exaucé leur prière en déclarant dans Nombres 14 versets 28 à 35 . IL leur a été fait selon leur prière, selon les paroles qu'ils ont sorties de leur bouche. N'est ce pas ce que nous faisons bien souvent ? Nous prions puis nous voyons une difficulté devant nous et nous remettons en question les promesses de Dieu. C'est vrai que Dieu est fidel à sa Parole mais si nous sommes incrédules le Saint Esprit ne manifesté pas les promesses de Dieu dans notre vie. Que chacun de nous s'examine quant à sa manière de prier afin de voir les exaucements de nos prières...
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C'est Pas Juste - Steve Rogers
Drabble Masterlist
Résumé : Steve ne comprend pas pourquoi tu pleures la mort d'un certain Jack.
Warnings : grossesse, mention de la fin du Titanic, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 995
Version anglaise
Tu éteins la télé alors que de grosses larmes coulent sur tes joues. Tu n'essayes même pas de les essuyer pendant que tu poses le bol de pop corns sur la petite table devant toi. Alors que ta respiration se fait de plus en plus saccadée, tu caresses ton ventre de femme enceinte de cinq mois, espérant que ça va t’aider à te calmer. Steve apparaît dans le salon et accourt vers toi en entendant tes sanglots. Il te prend dans ses bras et tente de te calmer, en vain.
-Y/N, qu’est-ce qui se passe ? demande-t-il, inquiet.
-C’est pas juste, Steve, murmures-tu, les lèvres tremblantes. Il méritait pas de mourir.
-Qui est mort ?
-Jack ! t’écris-tu comme si c’était évident. Il aurait dû vivre. Il aurait dû avoir une longue et heureuse vie avec Rose. Ils méritaient d’être heureux ensemble. Ils s’aimaient. Pourquoi est-ce qu’ils ont pas fait plus attention à ce maudit iceberg ? Tout aurait pu être évité. Et puis, il y avait de la place sur cette putain de planche !
Steve ne réagit pas à ton juron, trop préoccupé par ton état émotionnel. Ignorant quoi dire, il continue à caresser ton dos. Il ne sait pas qui sont Jack et Rose, mais il devine qu’ils sont des proches, car tu es totalement bouleversée. Tu sanglotes encore dans ses bras pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce que l’arrivée de Sam et Bucky vous interrompent.
-Wow, qu’est-ce qu'il se passe ici ?
Pour répondre à la question de Sam, Steve hausse les épaules pour montrer qu’il est tout aussi perdu. En entendant la voix de tes amis, tu te sépares de ton mari. Tu t’excuses indiquant que tu as besoin de mouchoirs laissant les trois hommes ensemble.
-C’était quoi ça ? questionne Bucky, perdu.
-Je crois que l’un de ses amis est décédé. Un certain Jack.
-Tu le connais ?
-Non, répond Steve à Sam. Ils étaient peut-être amis d’enfance ? suppose-t-il, tentant de donner du sens à ce que tu lui as dit. En tout cas, il serait mort à cause d’un iceberg et il aurait laissé derrière lui sa partenaire du nom de Rose. Elle a aussi dit qu’il y avait de la place sur la planche.
-Quoi ? demande Bucky, comprenant encore moins la situation.
En comprenant la réelle raison de tes pleurs, Sam ne peut s’empêcher d’exploser de rire. Les deux super-soldats le regardent, choqués de voir Sam s’esclaffer à l’annonce d’un décès. Sam continue de rigoler pendant quelques minutes. Quand il arrive enfin à se calmer, Sam tape amicalement l’épaule de Steve.
-C’est pas son ami, Steve, lui assure-t-il avec un sourire.
-Quoi, tu le connais, ce Jack ?
-J’arrive pas à croire que j’ai oublié de te dire de le regarder. Jack, Jack Dawson, ça vient du film Titanic, informe Sam.
-Pourquoi est-ce que ce nom me dit quelque chose ? s’interroge Bucky, cherchant dans ses anciens souvenirs.
-C’est pas le bateau qui avait coulé en 1912 ? Ma mère m'en avait parlé, déclare Steve à son ami d’enfance.
-Oui, c’est ça !
-Bref, les coupe Sam, ils ont fait un film sur cette tragédie en 1997 et il y a une histoire d’amour entre Jack et Rose. Jack meurt à la fin alors que Rose vit sa vie comme Jack lui avait dit de le faire. Et à en juger par les popcorns sur la table, je dirais que Y/N vient tout juste de terminer de le regarder, explique-t-il, en montrant le bol.
-Attends, elle est dans cet état à cause d’un film ? Steve questionne.
-Les hormones, se moque Bucky.
-Ce film détruit tout le monde, lui rétorque Sam, presque outré. Toi aussi, tu serais en train de chialer, malgré tes airs de grincheux qui déteste la vie.
-J’en suis pas si sûr.
Bucky et Sam partent alors en débat tandis que Steve s’éloignent de ses amis pour te retrouver dans ta chambre. En ouvrant la porte, il te voit assise sur ton lit, un mouchoir en main. Il vient à tes côtés et met son bras autour de tes épaules.
-Comment tu vas ? demande-t-il d’une voix douce.
-Je m’en remettrai comme à chaque fois que je vois ce film, déclares-tu en reniflant. Je viens de réaliser que tu ne dois même pas savoir de quoi je t’ai parlé.
-Sam m’a tout expliqué. Mais je ne vais pas mentir, je me suis inquiété, j’ai vraiment cru que t’avais perdu un ami, t’informe Steve, te faisant rire.
-Désolée, j’étais juste tellement triste par rapport à la fin et avec mes hormones, j’ai l’impression que c’est pire.
-Tant que personne n'est mort, affirme Steve d’un air léger et tu tournes vers lui, vexée.
-Jack est mort, Steve ! Fictionnel ou pas, sa mort est sérieuse.
-Pardon, s’excuse-t-il en se retenant de rire. Quand tu auras accouché de notre magnifique bébé, commence Steve en touchant ton ventre, on regardera le film ensemble. Par contre, Sam et Bucky risquent de s’incruster, car Sam pense que Bucky va pleurer et Bucky ne pense pas que ça sera le cas.
-C’est vraiment des enfants, pouffes-tu en levant les yeux au ciel.
-Ça fait un entraînement.
Steve pose ses lèvres sur les tiennes et vous vous embrassez pendant quelques instants jusqu’à ce que Sam et Bucky apparaissent dans ta chambre bruyamment, vous demandant une réponse à leur dispute. Steve roule des yeux alors que tu rigoles face à leur gaminerie.
Finalement, moins de cinq mois plus tard, pendant que votre bébé dort, Steve, Sam, Bucky et toi organisez une soirée spéciale Titanic. Même sans tes hormones de femme enceinte, tu pleures dès le moment où le Titanic heurte l’iceberg alors que Steve et Sam commencent à pleurer quand Rose est dans le canot avant qu’elle saute pour retrouver Jack. Quant à Bucky, il reste silencieux toute la fin du film, mais quand vous rallumez la lumière, vous pouvez voir ses yeux rouges et ses joues mouillées. Sam tend sa main à Bucky et avec agacement, il lui donne un billet de vingt dollars.
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Avis de tempête à la 7TV qui risque de changer de propriétaire.
Maimouna Ndour Faye est trainé en justice par un homme d’affaire de la « vente » de la licence de la 7TV. Selon les informations, elle doit 90 millions FCFA à l’homme d’affaires qui lui a vendu la télé. → A LIRE AUSSI : Amadou Ba « tué » dans le « Macky »… Combattu par Sonko et Karim…Il échappe à la mise à mort Evoqué au tribunal, elle a perdu son bras de fer judiciaire. Alors, la…
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MARDI 30 JUILLET 2024 (Billet 1 / 3)
Vous connaissez notre avis depuis dimanche matin sur le défilé de la Cérémonie d’Ouverture des Jeux Olympiques de Paris. Mais au final, ne boudons pas notre plaisir, les « plus » l’ont largement emporté sur les « moins ».
Marina ayant épousé un homme qui n’est pas très « sport à la télé » (ni trop d’ailleurs « sport tout court »), est donc une des rares femmes en ce moment à ne pas entendre dans la maison tonitruer des commentaires sortant d’une télé allumée toute la journée !
Il faut pourtant reconnaître que certains sports ne nous laissent pas indifférents, bien au contraire et que, un peu (beaucoup ?) chauvins, nous ne sommes pas du tout insensibles aux médailles obtenues par nos athlètes.
Mais comment faire le tri dans les dizaines et dizaines d’horaires et de disciplines proposés tout au long de ces Jeux ?
Sur un mail envoyé par notre Mairie du XVe nous avons lu un petit article élogieux sur l’Application Officielle des JO, à télécharger sur smartphone, tablette ou PC.
Nous l’avons fait et, pourtant plus que béotiens en la matière, nous l’avons trouvée très pratique.
Peut-être que tous nos lecteurs/abonnés la connaissent et s’en servent déjà mais au cas où, vous trouverez ci-dessous un petit topo récapitulatif et à la fin du Billet, le lien pour la télécharger.
NB 1 On a adoré la danse, très « Crazy Sign », d’Antoine Dupont et toute l’équipe de Rugby à 7 après leur Médaille d’Or.
NB 2 Et dans les commentaires, nous avons trouvé hier soir génial l’adjectif attribué par un journaliste à la victoire au 400m 4 nages, en 4 min 02s 95, de notre nageur Léon Marchand : une performance « STRATOSPHÉRIQUE !!! »
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