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#symptômes de carence en protéines
fitnessmith · 8 months
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Toutes les carences avec les régimes sans glucides ou cétogène
Vous faites un régime pauvre en glucides ou cétogène et vous êtes inquiet des risques de carences ? Parfait, nous allons en parler dans cet article. Ici, je parlerais surtout du régime pauvre à très pauvre en glucides de type cétogène, pas de la diète cétogène pour les épileptiques qui n’est pas adaptée au sport et à la perte de poids. Le régime pauvre en glucides ou cétogène adapté à la…
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yaminahsaini · 8 months
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J’avais re eu une consultation avec le docteur qui m’avait prescrit la prise de sang pour re contrôler Bartonella etc…Je vais donc vous résumer le rdv et les résultats. Tout d’abord mes globules blanc affichent quasi à chaque fois qu’ils sont élevés depuis toujours.. Ça prouve juste que mon corps lutte constamment contre des infections. Ensuite j’ai des anticorps antinucléaires ultra élevés (encore plus que la dernière fois). Le docteur m’a dit que ça montre une maladie auto-immune (du coup les anticorps m’attaquent moi au lieu de me défendre). Et elle m’a dit qu’on ne pouvait rien faire face à cela mise à part supprimer totalement le lait de vache et le gluten. D’ailleurs durant le rdv on a recontacté la diététicienne pour voir où en est le fait d’avoir de nouvelles poches de nutritions, et ça avance enfin! Je vous expliquerais dans une prochaine publication. Pour continuer avec les résultats, j’ai plusieurs carences. Elle m’a donc prescrit : du zinc, du fer et de la vitamine D à prendre tous les jours. Je suis également en manque de protéines mais ça j’en aurais plus avec les nouvelles poches de nutrition. Arrive désormais le plus important ! Les résultats de la Bartonella! Le docteur était tout autant surprise que moi de voir que je suis négatif ! Alors que j’étais extrêmement positif à la Bartonellose (aux IgG et IgM), et là plus rien! Au début le docteur m’avait dit que ça ne voulait rien dire car ça peut être un faux négatif étant donné que lorsque le système immunitaire est trop faible, la bactérie peut se cacher (surtout bartonella qui s’adapte très bien). Et surtout, même en étant négatif, je dois au moins avoir les anticorps qui apparaissent! Mais là aucune trace que mon corps a lutté contre ça. Je lui ai ensuite rappelé mon traitement des USA qui se base sur phagothérapie (elle avait oubliée), et m’a dit que c’était vraiment très bien que j’ai pu avoir l’opportunité de bénéficier de ça! Et que si j’en avais les moyens, le continuer ne serait que bénéfique. Car pour rappel le traitement des États-Unis est justement fait pour tout éradiquer, d’où le fait que je n’ai même plus les anticorps. Après malheureusement il existe énormément d’espèces de Bartonella. Moi on m’a seulement contrôlé la plus basique : Bartonella henselae. Hors aux États-Unis ont m’en a trouvé 4 espèces. Est-ce que tout a bien été éradiqué ? Je ne sais pas car pour être sûre il faudrait faire des tests plus poussé, qui ne sont pas pris en charge et très coûteux.. En tout cas on part du principe que je n’ai plus la Bartonella et c’est déjà très prometteur comme avancé !! Ce qu’il faudrait c’est éliminé les infections une part une. Mais même ainsi le corps garde énormément de dégâts, de toxine. Le docteur me disait que face à cela il faut faire du sauna, de l’oxygénothérapie hyperbare.. bref tout ce que je faisais aux États-Unis car c’est extrêmement bénéfique pour rebooster son corps! Heureusement que je peux au moins faire l’oxygénothérapie hyperbare gratuitement en France grâce à de superbes personnes!! Après encore une fois tout cela est trop coûteux… Malheureusement pour s’en sortir avec ce genre de maladie, il faut les moyens et surtout s’y connaître bien. Nous avons reparlé de mes réactions aux antibiotiques, évidemment elle a tout de suite compris mon problème et m’a dit que tous mes symptômes s’amplifient car je suis infesté de bactéries jusqu’au bout de ma tête et que le moindre antibiotique est une aggression pour eux.. Le docteur m’a donc re prescrit un antibiotique juste comme test au cas où je tolère cette fois-ci. Car ça ne pourrait être que bénéfique d’éliminer ce qui est néfaste. J’ai vraiment peur de le prendre car les effets sont intolérables.. Bon, le Dr m’a dit de ne surtout pas tout commencé en même temps (fer, zinc, nouvelle nutrition etc..) comme ça si j’ai des effets secondaires, on saurait de quoi ça vient. D’ailleurs on a refais le point sur tous mes symptômes, elle évoquait certains symptômes que j’ai au quotidien dont je ne savais même pas que c’était lyme ! Ça faisait vraiment du bien de se sentir comprise!
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La Vitamine B12 peut aider à soigner une grave maladie intestinale. D’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique "Nature Metabolism", la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin : la rectocolite hémorragique. Vitamine B12 : elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale 6 clés pour prendre soin de votre microbiote Au même titre que les protéines, les lipides, les glucides et les minéraux, les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Elles permettent en effet de faire fonctionner nos cellules correctement, de réguler le métabolisme ou de faciliter la libération d'énergie. Il existe 13 vitamines différentes, réparties en deux groupes : les vitamines hydrosolubles (vitamine C et vitamines B) et les vitamines liposolubles (vitamines A, D, E et K). 8 épices améliorent la santé du microbiome intestinal →A lire aussi Foie : la vitamine B12 pourrait prévenir la maladie du foie gras La vitamine B12 (cobalamine) est une vitamine hydrosoluble nécessaire aux cellules nerveuses et aux globules rouges. Elle est ainsi essentielle au fonctionnement de notre cerveau, de notre système nerveux et à la formation du sang. Elle intervient par ailleurs dans la synthèse de l'ADN, qui supporte le code génétique des cellules. Une carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie, mais aussi à des problèmes neurologiques. B12 en carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie Misez sur les fruits et légumes régulièrement Par ailleurs, d’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique Nature Metabolism, la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI) : la rectocolite hémorragique. La régénération des tissus - également appelée médecine régénérative - se réfère à la reconstruction des tissus et des organes endommagés afin de les soigner ou de les remplacer. Ces tissus et ces organes peuvent avoir été endommagés par le vieillissement, des traumatismes, des maladies ou des anomalies congénitales. La médecine régénérative est néanmoins toujours assez expérimentale. Elle cherche à utiliser la régénération des tissus pour traiter des maladies comme les cardiopathies, les fractures osseuses, les maladies du cartilage, les pancréatites et les MICI. “La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries” Faites une liste de ce que vous mangez Les auteurs de l’étude parue dans Nature Metabolism ont démontré, chez un modèle atteint de rectocolite hémorragique, que les cellules intestinales qui essaient de se réparer elles-même bénéficient d’une supplémentation en vitamine B12. Dans les colonnes de la revue spécialisée Medical News Today, l’un des scientifiques à l’origine de cet article, le chercheur en biomédecine Manuel Serrano, explique les mécanismes à l’oeuvre : “Si le métabolisme de l’hôte change, cela affecte le microbiote, et vice versa. Nous avons découvert que pendant la reprogrammation, chez les souris, le microbiote connaît des changements qui sont des signes d’un manque de vitamine B12. La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries.” Vitamine B12 elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale →A lire aussi Recettes jus moringa Vase Entreprise : “Énergie Naturelle, Santé Authentique !” 🌿🥤 Par le passé, plusieurs études avaient déjà montré que la vitamine B12 aide le corps à se réparer en stimulant les tissus neurologiques dont il a besoin pour restaurer les muscles, ou après que les nerfs ont été endommagés, par exemple après un traumatisme au cerveau. La vitamine B12 joue également un rôle protecteur pour la santé osseuse.
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sports-100-buzz · 5 months
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La Vitamine B12 peut aider à soigner une grave maladie intestinale. D’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique "Nature Metabolism", la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin : la rectocolite hémorragique. Vitamine B12 : elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale 6 clés pour prendre soin de votre microbiote Au même titre que les protéines, les lipides, les glucides et les minéraux, les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Elles permettent en effet de faire fonctionner nos cellules correctement, de réguler le métabolisme ou de faciliter la libération d'énergie. Il existe 13 vitamines différentes, réparties en deux groupes : les vitamines hydrosolubles (vitamine C et vitamines B) et les vitamines liposolubles (vitamines A, D, E et K). 8 épices améliorent la santé du microbiome intestinal →A lire aussi Foie : la vitamine B12 pourrait prévenir la maladie du foie gras La vitamine B12 (cobalamine) est une vitamine hydrosoluble nécessaire aux cellules nerveuses et aux globules rouges. Elle est ainsi essentielle au fonctionnement de notre cerveau, de notre système nerveux et à la formation du sang. Elle intervient par ailleurs dans la synthèse de l'ADN, qui supporte le code génétique des cellules. Une carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie, mais aussi à des problèmes neurologiques. B12 en carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie Misez sur les fruits et légumes régulièrement Par ailleurs, d’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique Nature Metabolism, la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI) : la rectocolite hémorragique. La régénération des tissus - également appelée médecine régénérative - se réfère à la reconstruction des tissus et des organes endommagés afin de les soigner ou de les remplacer. Ces tissus et ces organes peuvent avoir été endommagés par le vieillissement, des traumatismes, des maladies ou des anomalies congénitales. La médecine régénérative est néanmoins toujours assez expérimentale. Elle cherche à utiliser la régénération des tissus pour traiter des maladies comme les cardiopathies, les fractures osseuses, les maladies du cartilage, les pancréatites et les MICI. “La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries” Faites une liste de ce que vous mangez Les auteurs de l’étude parue dans Nature Metabolism ont démontré, chez un modèle atteint de rectocolite hémorragique, que les cellules intestinales qui essaient de se réparer elles-même bénéficient d’une supplémentation en vitamine B12. Dans les colonnes de la revue spécialisée Medical News Today, l’un des scientifiques à l’origine de cet article, le chercheur en biomédecine Manuel Serrano, explique les mécanismes à l’oeuvre : “Si le métabolisme de l’hôte change, cela affecte le microbiote, et vice versa. Nous avons découvert que pendant la reprogrammation, chez les souris, le microbiote connaît des changements qui sont des signes d’un manque de vitamine B12. La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries.” Vitamine B12 elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale →A lire aussi Recettes jus moringa Vase Entreprise : “Énergie Naturelle, Santé Authentique !” 🌿🥤 Par le passé, plusieurs études avaient déjà montré que la vitamine B12 aide le corps à se réparer en stimulant les tissus neurologiques dont il a besoin pour restaurer les muscles, ou après que les nerfs ont été endommagés, par exemple après un traumatisme au cerveau. La vitamine B12 joue également un rôle protecteur pour la santé osseuse.
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reussir-a-tout-prix · 5 months
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La Vitamine B12 peut aider à soigner une grave maladie intestinale. D’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique "Nature Metabolism", la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin : la rectocolite hémorragique. Vitamine B12 : elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale 6 clés pour prendre soin de votre microbiote Au même titre que les protéines, les lipides, les glucides et les minéraux, les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Elles permettent en effet de faire fonctionner nos cellules correctement, de réguler le métabolisme ou de faciliter la libération d'énergie. Il existe 13 vitamines différentes, réparties en deux groupes : les vitamines hydrosolubles (vitamine C et vitamines B) et les vitamines liposolubles (vitamines A, D, E et K). 8 épices améliorent la santé du microbiome intestinal →A lire aussi Foie : la vitamine B12 pourrait prévenir la maladie du foie gras La vitamine B12 (cobalamine) est une vitamine hydrosoluble nécessaire aux cellules nerveuses et aux globules rouges. Elle est ainsi essentielle au fonctionnement de notre cerveau, de notre système nerveux et à la formation du sang. Elle intervient par ailleurs dans la synthèse de l'ADN, qui supporte le code génétique des cellules. Une carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie, mais aussi à des problèmes neurologiques. B12 en carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie Misez sur les fruits et légumes régulièrement Par ailleurs, d’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique Nature Metabolism, la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI) : la rectocolite hémorragique. La régénération des tissus - également appelée médecine régénérative - se réfère à la reconstruction des tissus et des organes endommagés afin de les soigner ou de les remplacer. Ces tissus et ces organes peuvent avoir été endommagés par le vieillissement, des traumatismes, des maladies ou des anomalies congénitales. La médecine régénérative est néanmoins toujours assez expérimentale. Elle cherche à utiliser la régénération des tissus pour traiter des maladies comme les cardiopathies, les fractures osseuses, les maladies du cartilage, les pancréatites et les MICI. “La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries” Faites une liste de ce que vous mangez Les auteurs de l’étude parue dans Nature Metabolism ont démontré, chez un modèle atteint de rectocolite hémorragique, que les cellules intestinales qui essaient de se réparer elles-même bénéficient d’une supplémentation en vitamine B12. Dans les colonnes de la revue spécialisée Medical News Today, l’un des scientifiques à l’origine de cet article, le chercheur en biomédecine Manuel Serrano, explique les mécanismes à l’oeuvre : “Si le métabolisme de l’hôte change, cela affecte le microbiote, et vice versa. Nous avons découvert que pendant la reprogrammation, chez les souris, le microbiote connaît des changements qui sont des signes d’un manque de vitamine B12. La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries.” Vitamine B12 elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale →A lire aussi Recettes jus moringa Vase Entreprise : “Énergie Naturelle, Santé Authentique !” 🌿🥤 Par le passé, plusieurs études avaient déjà montré que la vitamine B12 aide le corps à se réparer en stimulant les tissus neurologiques dont il a besoin pour restaurer les muscles, ou après que les nerfs ont été endommagés, par exemple après un traumatisme au cerveau. La vitamine B12 joue également un rôle protecteur pour la santé osseuse.
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devenirmilliardaire · 5 months
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La Vitamine B12 peut aider à soigner une grave maladie intestinale. D’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique "Nature Metabolism", la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin : la rectocolite hémorragique. Vitamine B12 : elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale 6 clés pour prendre soin de votre microbiote Au même titre que les protéines, les lipides, les glucides et les minéraux, les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Elles permettent en effet de faire fonctionner nos cellules correctement, de réguler le métabolisme ou de faciliter la libération d'énergie. Il existe 13 vitamines différentes, réparties en deux groupes : les vitamines hydrosolubles (vitamine C et vitamines B) et les vitamines liposolubles (vitamines A, D, E et K). 8 épices améliorent la santé du microbiome intestinal →A lire aussi Foie : la vitamine B12 pourrait prévenir la maladie du foie gras La vitamine B12 (cobalamine) est une vitamine hydrosoluble nécessaire aux cellules nerveuses et aux globules rouges. Elle est ainsi essentielle au fonctionnement de notre cerveau, de notre système nerveux et à la formation du sang. Elle intervient par ailleurs dans la synthèse de l'ADN, qui supporte le code génétique des cellules. Une carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie, mais aussi à des problèmes neurologiques. B12 en carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie Misez sur les fruits et légumes régulièrement Par ailleurs, d’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique Nature Metabolism, la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI) : la rectocolite hémorragique. La régénération des tissus - également appelée médecine régénérative - se réfère à la reconstruction des tissus et des organes endommagés afin de les soigner ou de les remplacer. Ces tissus et ces organes peuvent avoir été endommagés par le vieillissement, des traumatismes, des maladies ou des anomalies congénitales. La médecine régénérative est néanmoins toujours assez expérimentale. Elle cherche à utiliser la régénération des tissus pour traiter des maladies comme les cardiopathies, les fractures osseuses, les maladies du cartilage, les pancréatites et les MICI. “La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries” Faites une liste de ce que vous mangez Les auteurs de l’étude parue dans Nature Metabolism ont démontré, chez un modèle atteint de rectocolite hémorragique, que les cellules intestinales qui essaient de se réparer elles-même bénéficient d’une supplémentation en vitamine B12. Dans les colonnes de la revue spécialisée Medical News Today, l’un des scientifiques à l’origine de cet article, le chercheur en biomédecine Manuel Serrano, explique les mécanismes à l’oeuvre : “Si le métabolisme de l’hôte change, cela affecte le microbiote, et vice versa. Nous avons découvert que pendant la reprogrammation, chez les souris, le microbiote connaît des changements qui sont des signes d’un manque de vitamine B12. La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries.” Vitamine B12 elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale →A lire aussi Recettes jus moringa Vase Entreprise : “Énergie Naturelle, Santé Authentique !” 🌿🥤 Par le passé, plusieurs études avaient déjà montré que la vitamine B12 aide le corps à se réparer en stimulant les tissus neurologiques dont il a besoin pour restaurer les muscles, ou après que les nerfs ont été endommagés, par exemple après un traumatisme au cerveau. La vitamine B12 joue également un rôle protecteur pour la santé osseuse.
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baitibindja · 5 months
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La Vitamine B12 peut aider à soigner une grave maladie intestinale. D’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique "Nature Metabolism", la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin : la rectocolite hémorragique. Vitamine B12 : elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale 6 clés pour prendre soin de votre microbiote Au même titre que les protéines, les lipides, les glucides et les minéraux, les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Elles permettent en effet de faire fonctionner nos cellules correctement, de réguler le métabolisme ou de faciliter la libération d'énergie. Il existe 13 vitamines différentes, réparties en deux groupes : les vitamines hydrosolubles (vitamine C et vitamines B) et les vitamines liposolubles (vitamines A, D, E et K). 8 épices améliorent la santé du microbiome intestinal →A lire aussi Foie : la vitamine B12 pourrait prévenir la maladie du foie gras La vitamine B12 (cobalamine) est une vitamine hydrosoluble nécessaire aux cellules nerveuses et aux globules rouges. Elle est ainsi essentielle au fonctionnement de notre cerveau, de notre système nerveux et à la formation du sang. Elle intervient par ailleurs dans la synthèse de l'ADN, qui supporte le code génétique des cellules. Une carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie, mais aussi à des problèmes neurologiques. B12 en carence peut mener aux symptômes typiques de l'anémie Misez sur les fruits et légumes régulièrement Par ailleurs, d’après une étude publiée le 16 novembre 2023 dans la revue scientifique Nature Metabolism, la vitamine B12 accélère la réparation des tissus, notamment dans le traitement d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI) : la rectocolite hémorragique. La régénération des tissus - également appelée médecine régénérative - se réfère à la reconstruction des tissus et des organes endommagés afin de les soigner ou de les remplacer. Ces tissus et ces organes peuvent avoir été endommagés par le vieillissement, des traumatismes, des maladies ou des anomalies congénitales. La médecine régénérative est néanmoins toujours assez expérimentale. Elle cherche à utiliser la régénération des tissus pour traiter des maladies comme les cardiopathies, les fractures osseuses, les maladies du cartilage, les pancréatites et les MICI. “La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries” Faites une liste de ce que vous mangez Les auteurs de l’étude parue dans Nature Metabolism ont démontré, chez un modèle atteint de rectocolite hémorragique, que les cellules intestinales qui essaient de se réparer elles-même bénéficient d’une supplémentation en vitamine B12. Dans les colonnes de la revue spécialisée Medical News Today, l’un des scientifiques à l’origine de cet article, le chercheur en biomédecine Manuel Serrano, explique les mécanismes à l’oeuvre : “Si le métabolisme de l’hôte change, cela affecte le microbiote, et vice versa. Nous avons découvert que pendant la reprogrammation, chez les souris, le microbiote connaît des changements qui sont des signes d’un manque de vitamine B12. La vitamine B12 est essentielle pour les mammifères et pour les bactéries.” Vitamine B12 elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale →A lire aussi Recettes jus moringa Vase Entreprise : “Énergie Naturelle, Santé Authentique !” 🌿🥤 Par le passé, plusieurs études avaient déjà montré que la vitamine B12 aide le corps à se réparer en stimulant les tissus neurologiques dont il a besoin pour restaurer les muscles, ou après que les nerfs ont été endommagés, par exemple après un traumatisme au cerveau. La vitamine B12 joue également un rôle protecteur pour la santé osseuse.
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omagazineparis · 5 months
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Quels sont les aliments les plus riches en magnésium
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Le magnésium est connu comme un excellent anti-stress. Mais, possède de nombreux bienfaits : prévient les problèmes cardiovasculaires, participe au métabolisme des acides gras, améliore le sommeil et réduit la fatigue chronique. Voici le top 10 des aliments les plus riches en magnésium.    Le magnésium est un oligo-élément qui intervient dans les réactions biochimiques indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Il se trouve principalement dans les dents, les os, les muscles, les tissus ainsi que dans le foie. Un apport suffisant en magnésium garantit donc une dentition saine et une bonne ossature. Le magnésium aide également à combattre les troubles du sommeil et à lutter contre la fatigue. Chez les femmes, un apport suffisant en magnésium soulage et prévient les douleurs prémenstruelles. Même si les aliments riches en magnésium est essentiel à l’organisme, le corps ne pourra pas le produire lui-même . Pour rester en parfaite santé, il est important de consommer des aliments qui en contiennent le plus.  Qu’est-ce qui se passe en cas de carence en magnésium ? La carence en magnésium est un problème fréquent. Quelques symptômes physiques peuvent se faire ressentir. Les plus fréquents sont ainsi le stress, l’irritabilité, l’insomnie, la fatigue au réveil et en fin de journée, les crampes musculaires et les tremblements spontanés des paupières ou de la lèvre. Si ces signes apparaissent, il est plus judicieux d’effectuer une prise de sang pour vérifier le déficit en magnésium.  Quels sont les aliments à consommer pour faire le plein de magnésium ? Le cacao Le cacao et le chocolat noir (supérieur à 70 %) sont des bonnes sources de magnésium. Si vous voulez faire le plein de magnésium, préférez la poudre de cacao à la tablette de chocolat noir. Dans 100 g de poudre de cacao, vous trouverez 410 mg de magnésium alors que dans 100 g d’une tablette de chocolat noir, il y a seulement 110 mg de magnésium. Vous voyez que la poudre de cacao reste le meilleur choix pour combler vos besoins en magnésium. Toutefois, n’hésitez pas à craquer un carré de chocolat pour préserver votre santé et pour vous faire plaisir.  Les oléagineux Les fruits oléagineux sont connus pour leurs richesses en éléments nutritifs, notamment en fibre et en oméga-3. Ils font également partie des meilleures sources de magnésium. Amandes, noix de cajou, noisettes, noix du brésil, ils sont tous des aliments riches en riches en magnésium. Une poignée de fruits oléagineux par jour constitue une bonne collation. Les légumes secs Les légumes secs ou légumineuses sont riches en fibres, en glucides, en protéines et en minéraux, y compris le magnésium. Par exemple, une portion de 200 g d’haricot sec apporte jusqu’à 120 mg de magnésium. Au-delà de leur richesse en éléments nutritifs, les légumes secs comme les lentilles, les haricots et les pois chiches coûtent moins cher et se conservent plus longtemps.  Les poissons gras, un des aliments les plus riches en magnésium Les poissons gras sont les meilleures sources d’acides gras polyinsaturés. Mais ils fournissent également un excellent apport en magnésium. Pour éviter l’ingestion de fortes doses de métaux lourds, optez pour les petits poissons gras comme les sardines ou les maquereaux. En moyenne, 100 g de sardine à l’huile égouttée renferment 38.8 μg de magnésium. Afin de profiter de ses bienfaits et de combler vos besoins journaliers en magnésium, vous pouvez servir les sardines à l’apéritif ou en salade. Faites-vous plaisir ! A lire aussi : La recette de la rentrée : équilibrée et gourmande | Les légumes-feuilles Les légumes aux feuilles vertes sont savoureux et bourrés de nutriments, y compris le magnésium. Ils sont aussi très riches en fibres, calcium, fer, vitamine B9 et antioxydants. Ces éléments agissent ensemble pour prévenir le vieillissement prématuré des cellules, lutter contre le cancer, le diabète et améliorer la santé cardiovasculaire. Épinard, cresson, rapini…ces légumes sont très stables et se consomment de différentes manières : en soupe, dans un sauté ou avec des pâtes. Pour faire le plein de magnésium, intégrez donc au moins une portion (une demi-tasse de légumes-feuilles cuits), dans votre plat quotidien.  Les céréales complètes, pour une bonne dose de magnésium Les céréales complètes, brutes ou en germe sont une source importante de magnésium. Elles sont dites complètes, car le grain est conservé avec son enveloppe. C’est notamment dans cette partie que les fibres, les protéines végétales, les vitamines et les minéraux se trouvent. Les céréales raffinées ou non complètes, auxquelles l’enveloppe extérieure a été ôtée, sont donc pauvres en nutriments et en magnésium. Si vous voulez faire une cure avec des aliments riches en magnésium, privilégiez le pain complet, le sarrasin, le quinoa ou encore le blé complet. Une portion de 100 g de sarrasin apporte ainsi 230 mg de magnésium.  Les bananes Quand une personne souffre de fatigue, de trouble du sommeil, de stress ou autres symptômes associés à la carence en magnésium, la banane est toujours recommandée. En effet, 100 g de banane frais apportent environ 35 mg de magnésium. Une quantité qui n’est pas importante par rapport aux autres aliments, mais c’est suffisant pour compléter les besoins journaliers. Si vous ne trouvez pas des bananes fraîches, optez pour sa forme séchée qui est encore plus riche en magnésium. Une portion de 100 g en fournit près de 105 mg.  Les graines de coriandres Les graines de coriandre sont d'excellentes sources de magnésium. Une portion de 100 g contient 330 μg de magnésium. En tant qu’épice, les graines de coriandre entrent ainsi dans la composition de différents plats comme les plats à base de curry, les tajines, les couscous, le pain d’épices, les soupes, les plats de viande, ou encore la salade de champignons.  A lire également : Comment perdre du poids de façon naturelle ? Les bigorneaux Ce sont des minuscules coquillages, cachés au fond de leur coquille. Les bigorneaux sont parmi les coquillages les plus riches en magnésium. Une portion de 100 g contient plus de 300 μg. Afin d’exploiter ses incroyables bienfaits sur la santé, il faut les cuire dans de l’eau bouillante pendant six minutes.  Les graines de citrouille Les graines de citrouille sont bourrées de minéraux, nutriments et antioxydants. Une demi-tasse de graines de citrouilles fournit ainsi la totalité des apports journaliers recommandés pour le magnésium. À consommer crues, rôties ou écalées, les graines de citrouille contribuent positivement à plusieurs fonctions physiologiques. On peut par exemple citer la formation des dents et d’os, le pompage du cœur et la relaxation des vaisseaux sanguins.  Read the full article
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ka9oukeuktakal · 1 year
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A woman waits for a consultation at the Star of the Sun Health Centre in the Monrovia township of West Point on April 29, 2016. - Young mothers in the impoverished Monrovia township of West Point rely on the services of the health centre to secure proper care during the anti-natal, delivery and post natal phases of the pregnancy. Liberia, who is recovering from both a devastating civil war and a equally severe Ebola epidemic is one world nations with the highest adolescent pregnancy rate. (Photo by MARCO LONGARI / AFP) « Pour tomber enceinte plus rapidement, essayez la spiruline ». C’est le titre d’un article publié sur le site afriquefemme.com. L’article parle des bienfaits de la spiruline (utilisée ici comme complément alimentaire) et comment elle favorise une grossesse rapide. « (…) La fertilité est parfois mise à mal par nos modes de vie trop stressants (…). Une carence en fer notamment peut perturber les cycles menstruels, diminuant les chances pour voir arriver un enfant », explique l’article. Et de poursuivre : « une carence en vitamine E peut diminuer la fertilité, tant chez l’homme que chez la femme : cette vitamine est en effet essentielle dans le bon renouvellement des cellules, et dans la vitalité de nos cellules reproductives. Ainsi, une carence en vitamine E peut entraîner chez l’homme une réduction de la mobilité des spermatozoïdes, entraînant des difficultés d’ovulation (…)». fact-checking_kafunel.com-Capture « Pour tomber enceinte plus rapidement, essayez la spiruline » (afriquefemme.com)« Cette déclaration est fausse. Il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse » (Pr Blami Dao gynécologue obstétricien burkinabé, également Directeur technique Afrique de l’Ouest et centrale à Jhpiego) «Il n’y a pas d’éléments probants qui prouveraient que la consommation de spiruline favoriserait une grossesse » (Dr Oumar Gassama, gynécologue obstétricien à l’hôpital Aristide le Dantec de Dakar). Recherché par Diomma Dramé Qu’est-ce que la spiruline ? Selon une thèse de doctorat en pharmacie soutenue en 2016 par Abou Tine et intitulée Évaluation de la supplémentation en spiruline chez la femme enceinte et allaitante à Dakar, il est mentionné que la spiruline est une algue microscopique qui pousse naturellement dans les lacs chauds et alcalins du Tchad et du Mexique. Ses caractéristiques biologiques font qu’elle se situe à la frontière du monde bactérien et du monde végétal. C’est une bactérie parce que appartenant au groupe cyanobactéries (ou algue bleue) et un végétal parce que étant une micro-algue puisant son énergie de la photosynthèse, écrit l’auteur de la thèse. « La spiruline est consommée comme complément alimentaire « bon pour la santé ». Elle contribue à purifier le sang, à réduire le taux de cholestérol et aide à l’absorption des minéraux. Elle combat le stress et régule le taux de globules blancs et la glycémie. Dans les cas d’hypoglycémie, la spiruline, prise entre les repas, aide à stabiliser le taux de sucre dans le sang grâce à sa richesse en protéine », explique le document. Selon toujours l’étude, la spiruline améliore la vision nocturne et améliore l’endurance physique. Elle est également bonne pour les voies respiratoires, en atténuant les symptômes de l’asthme. Elle prévient l’anémie et aide à la digestion et l’assimilation des aliments. Il n’a pas été écrit dans le document qu’elle pouvait aider à tomber enceinte rapidement. Pas de lien avec la fertilité « Cette déclaration est fausse. Il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse », déclarent le Dr Oumar Gassama, gynécologue obstétricien à l’hôpital Aristide le Dantec de Dakar et le Pr Blami Dao gynécologue obstétricien burkinabé, également Directeur technique Afrique de l’Ouest et centrale à Jhpiego, (une organisation internationale de santé à but non lucratif affiliée à la Johns Hopkins University aux Etats-unis). Le Dr Gassama assure qu’il n’y a pas de relation entre spiruline et grossesse en termes d
’évidences scientifiques. «Il n’y a pas d’éléments probants qui prouveraient que la consommation de spiruline favoriserait une grossesse », soutient-il. Selon lui, la meilleure démarche à faire pour une femme qui a des difficultés à procréer, c’est d’aller voir un gynécologue « pour faire l’état des lieux, situer le problème et définir si elle peut prendre une grossesse spontanément ou non ». Ce qu’il faut pour tomber enceinte Il faut que les conjoints soient normaux sur le plan anatomique et sur le plan fonctionnel.  « Ce qui veut dire, qu’il faut que la femme ait un utérus et des ovaires normaux. Qu’ils puissent avoir des rapports sexuels réguliers et normaux. Que le mari ait du sperme en quantité suffisante avec un nombre suffisant de spermatozoïdes pour que la femme puisse tomber enceinte », indique le Dr Gassama. « C’est un ensemble de conditions qui intéressent aussi bien la femme que l’homme », résume le Pr Dao. L’âge également compte, selon les gynécologues. Le Dr Gassama explique que les ovaires sont beaucoup plus fonctionnels si la femme est relativement jeune. Mais, à partir de 37 ans, on assiste à un déclin de la réserve ovarienne. « Cela veut dire que tout ce qui est follicule ovarienne va diminuer à partir de 37 ans, et on peut avoir des problèmes de fertilité », dit-il. Il faut également éviter certaines infections ou maladies gynécologiques, telles que les Infections sexuellement transmissibles (IST), qui, ignorées ou négligées, peuvent faire beaucoup de dégâts à l’appareil génital, prévient le Pr Dao. « Beaucoup de femmes ignorent qu’elles sont malades jusqu’au jour où elles consultent et parfois c’est trop tard ». Conclusion : Il n’y a pas de preuve médicale que la spiruline favorise une grossesse rapide Dans un article paru sur afriquefemme.com il est mentionné que consommer de la spiruline est bon pour la fertilité et peut augmenter les chances de tomber enceinte. Les gynécologues Dr Oumar Gassama et le Pr Blami Dao déclarent que cette déclaration est fausse. Ils soutiennent qu’il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse. Et que si un couple éprouve des difficultés à concevoir, la meilleure démarche à faire, est d’aller consulter un gynécologue.
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Saviez-vous que vous mangez du chrome sans le savoir, et que c'est bon pour la santé ?
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Le chrome est un élément essentiel souvent méconnu, mais dont le rôle dans notre santé est indéniable. De manière inconsciente, nous consommons quotidiennement du chrome, car il se trouve dans divers aliments de notre alimentation habituelle. Dans cet article, nous explorerons les bienfaits du chrome et l'importance d'un apport adéquat de cet élément. Le chrome : un élément indispensable à notre organisme Dans les méandres complexes de la biologie humaine, peu de gens sont conscients du rôle joué par le chrome dans notre organisme. Or, cette trace d'élément est indispensable à notre bien-être et revêt de nombreux bienfaits pour préserver une santé optimale. Un soutien précieux à l'insuline Le premier rôle du chrome est son interaction avec l'insuline car il aide cette hormone cruciale à opérer correctement dans notre organisme. En régulant le métabolisme des glucides, le chrome contribue à maintenir un taux de sucre sanguin stable. Il est donc principalement bénéfique pour les personnes atteintes de diabète ou celles qui cherchent à prévenir cette maladie. Lire aussi : Les premiers symptômes du diabète qui devraient vous alerter Une régulation du cholestérol A part son impact sur la régulation de la glycémie, le chrome se révèle aussi essentiel dans la gestion du cholestérol dans notre corps. Cet élément joue un rôle de régulateur en influençant les niveaux de cholestérol. Il favorise particulièrement l'augmentation du "bon" cholestérol (HDL) tout en réduisant les niveaux du "mauvais" cholestérol (LDL). Cette capacité à maintenir un équilibre sain du cholestérol dans notre système cardiovasculaire est un élément crucial pour la prévention des maladies cardiovasculaires, qui représentent une préoccupation majeure dans notre société moderne. Vous découvrirez dans cette vidéo, entre autre, que les quantités nécessaires peuvent varier selon le genre et les pays : La nécessité d'un apport adéquat en chrome Même s'il est essentiel à notre santé, des carences en chrome peuvent se produire. Certaines personnes, surtout celles souffrant de troubles alimentaires, d'un métabolisme altéré ou d'une alimentation déséquilibrée, peuvent présenter un déficit en chrome. Prévenir la carence Les symptômes courants de cette carence comprennent une mauvaise tolérance au glucose, une résistance à l'insuline et une augmentation du risque de développer un diabète de type 2. La meilleure façon de garantir un apport suffisant en chrome est de suivre une alimentation équilibrée et variée, riche en sources naturelles de cet élément. Les légumes, les fruits, les grains entiers, les produits de la mer et les viandes maigres sont autant de choix judicieux pour maintenir un niveau de chrome optimal dans notre organisme. Voir également : La levure de blé et l'edamame : Découvrez ces deux protéines végétales Les aliments riches en chrome Peu de gens en ont conscience, mais notre consommation quotidienne de chrome se fait de manière inconsciente. Figurez-vous que cet élément se trouve naturellement dans une variété d'aliments que nous mangeons régulièrement. La viande et les produits de la mer Les amateurs de viande peuvent être rassurés car diverses viandes comme le bœuf, le poulet et le porc contiennent naturellement du chrome. Certains poissons, à savoir : le saumon, le thon, ou les crevettes et les crabes, sont aussi des sources naturelles de chrome. Les œufs et les légumes Les œufs, avec leur jaune délicieusement riche, sont une source de chrome souvent négligée. Pour le cas des légumes, les crucifères, particulièrement les brocolis et les haricots verts, sont non seulement riches en nutriments, mais renferment du chrome bénéfique pour notre organisme. Les noix et les céréales Ceux qui aiment grignoter des noix pourraient être ravis de savoir que les amandes, les noix de cajou et les noisettes fournissent une quantité nécessaire de chrome. Et pour ceux qui préfèrent les céréales, les options telles que le blé entier, l'orge et le riz brun contiennent aussi une quantité appréciable de chrome. En faisant preuve de créativité dans nos choix alimentaires et en explorant différentes sources de chrome, nous pouvons non seulement satisfaire nos papilles gustatives, mais aussi soutenir activement notre santé globale. ________ Important : Nous conseillons à tous les visiteurs de notre site web de consulter un médecin en cas de problème de santé. Retrouvez toutes les infos santé et bien-être sur notre page Google Actualités ou sur notre page Pinterest. Read the full article
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ouyander · 1 year
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A woman waits for a consultation at the Star of the Sun Health Centre in the Monrovia township of West Point on April 29, 2016. - Young mothers in the impoverished Monrovia township of West Point rely on the services of the health centre to secure proper care during the anti-natal, delivery and post natal phases of the pregnancy. Liberia, who is recovering from both a devastating civil war and a equally severe Ebola epidemic is one world nations with the highest adolescent pregnancy rate. (Photo by MARCO LONGARI / AFP) « Pour tomber enceinte plus rapidement, essayez la spiruline ». C’est le titre d’un article publié sur le site afriquefemme.com. L’article parle des bienfaits de la spiruline (utilisée ici comme complément alimentaire) et comment elle favorise une grossesse rapide. « (…) La fertilité est parfois mise à mal par nos modes de vie trop stressants (…). Une carence en fer notamment peut perturber les cycles menstruels, diminuant les chances pour voir arriver un enfant », explique l’article. Et de poursuivre : « une carence en vitamine E peut diminuer la fertilité, tant chez l’homme que chez la femme : cette vitamine est en effet essentielle dans le bon renouvellement des cellules, et dans la vitalité de nos cellules reproductives. Ainsi, une carence en vitamine E peut entraîner chez l’homme une réduction de la mobilité des spermatozoïdes, entraînant des difficultés d’ovulation (…)». fact-checking_kafunel.com-Capture « Pour tomber enceinte plus rapidement, essayez la spiruline » (afriquefemme.com)« Cette déclaration est fausse. Il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse » (Pr Blami Dao gynécologue obstétricien burkinabé, également Directeur technique Afrique de l’Ouest et centrale à Jhpiego) «Il n’y a pas d’éléments probants qui prouveraient que la consommation de spiruline favoriserait une grossesse » (Dr Oumar Gassama, gynécologue obstétricien à l’hôpital Aristide le Dantec de Dakar). Recherché par Diomma Dramé Qu’est-ce que la spiruline ? Selon une thèse de doctorat en pharmacie soutenue en 2016 par Abou Tine et intitulée Évaluation de la supplémentation en spiruline chez la femme enceinte et allaitante à Dakar, il est mentionné que la spiruline est une algue microscopique qui pousse naturellement dans les lacs chauds et alcalins du Tchad et du Mexique. Ses caractéristiques biologiques font qu’elle se situe à la frontière du monde bactérien et du monde végétal. C’est une bactérie parce que appartenant au groupe cyanobactéries (ou algue bleue) et un végétal parce que étant une micro-algue puisant son énergie de la photosynthèse, écrit l’auteur de la thèse. « La spiruline est consommée comme complément alimentaire « bon pour la santé ». Elle contribue à purifier le sang, à réduire le taux de cholestérol et aide à l’absorption des minéraux. Elle combat le stress et régule le taux de globules blancs et la glycémie. Dans les cas d’hypoglycémie, la spiruline, prise entre les repas, aide à stabiliser le taux de sucre dans le sang grâce à sa richesse en protéine », explique le document. Selon toujours l’étude, la spiruline améliore la vision nocturne et améliore l’endurance physique. Elle est également bonne pour les voies respiratoires, en atténuant les symptômes de l’asthme. Elle prévient l’anémie et aide à la digestion et l’assimilation des aliments. Il n’a pas été écrit dans le document qu’elle pouvait aider à tomber enceinte rapidement. Pas de lien avec la fertilité « Cette déclaration est fausse. Il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse », déclarent le Dr Oumar Gassama, gynécologue obstétricien à l’hôpital Aristide le Dantec de Dakar et le Pr Blami Dao gynécologue obstétricien burkinabé, également Directeur technique Afrique de l’Ouest et centrale à Jhpiego, (une organisation internationale de santé à but non lucratif affiliée à la Johns Hopkins University aux Etats-unis). Le Dr Gassama assure qu’il n’y a pas de relation entre spiruline et grossesse en termes d
’évidences scientifiques. «Il n’y a pas d’éléments probants qui prouveraient que la consommation de spiruline favoriserait une grossesse », soutient-il. Selon lui, la meilleure démarche à faire pour une femme qui a des difficultés à procréer, c’est d’aller voir un gynécologue « pour faire l’état des lieux, situer le problème et définir si elle peut prendre une grossesse spontanément ou non ». Ce qu’il faut pour tomber enceinte Il faut que les conjoints soient normaux sur le plan anatomique et sur le plan fonctionnel.  « Ce qui veut dire, qu’il faut que la femme ait un utérus et des ovaires normaux. Qu’ils puissent avoir des rapports sexuels réguliers et normaux. Que le mari ait du sperme en quantité suffisante avec un nombre suffisant de spermatozoïdes pour que la femme puisse tomber enceinte », indique le Dr Gassama. « C’est un ensemble de conditions qui intéressent aussi bien la femme que l’homme », résume le Pr Dao. L’âge également compte, selon les gynécologues. Le Dr Gassama explique que les ovaires sont beaucoup plus fonctionnels si la femme est relativement jeune. Mais, à partir de 37 ans, on assiste à un déclin de la réserve ovarienne. « Cela veut dire que tout ce qui est follicule ovarienne va diminuer à partir de 37 ans, et on peut avoir des problèmes de fertilité », dit-il. Il faut également éviter certaines infections ou maladies gynécologiques, telles que les Infections sexuellement transmissibles (IST), qui, ignorées ou négligées, peuvent faire beaucoup de dégâts à l’appareil génital, prévient le Pr Dao. « Beaucoup de femmes ignorent qu’elles sont malades jusqu’au jour où elles consultent et parfois c’est trop tard ». Conclusion : Il n’y a pas de preuve médicale que la spiruline favorise une grossesse rapide Dans un article paru sur afriquefemme.com il est mentionné que consommer de la spiruline est bon pour la fertilité et peut augmenter les chances de tomber enceinte. Les gynécologues Dr Oumar Gassama et le Pr Blami Dao déclarent que cette déclaration est fausse. Ils soutiennent qu’il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse. Et que si un couple éprouve des difficultés à concevoir, la meilleure démarche à faire, est d’aller consulter un gynécologue.
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naantokhi · 1 year
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A woman waits for a consultation at the Star of the Sun Health Centre in the Monrovia township of West Point on April 29, 2016. - Young mothers in the impoverished Monrovia township of West Point rely on the services of the health centre to secure proper care during the anti-natal, delivery and post natal phases of the pregnancy. Liberia, who is recovering from both a devastating civil war and a equally severe Ebola epidemic is one world nations with the highest adolescent pregnancy rate. (Photo by MARCO LONGARI / AFP) « Pour tomber enceinte plus rapidement, essayez la spiruline ». C’est le titre d’un article publié sur le site afriquefemme.com. L’article parle des bienfaits de la spiruline (utilisée ici comme complément alimentaire) et comment elle favorise une grossesse rapide. « (…) La fertilité est parfois mise à mal par nos modes de vie trop stressants (…). Une carence en fer notamment peut perturber les cycles menstruels, diminuant les chances pour voir arriver un enfant », explique l’article. Et de poursuivre : « une carence en vitamine E peut diminuer la fertilité, tant chez l’homme que chez la femme : cette vitamine est en effet essentielle dans le bon renouvellement des cellules, et dans la vitalité de nos cellules reproductives. Ainsi, une carence en vitamine E peut entraîner chez l’homme une réduction de la mobilité des spermatozoïdes, entraînant des difficultés d’ovulation (…)». fact-checking_kafunel.com-Capture « Pour tomber enceinte plus rapidement, essayez la spiruline » (afriquefemme.com)« Cette déclaration est fausse. Il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse » (Pr Blami Dao gynécologue obstétricien burkinabé, également Directeur technique Afrique de l’Ouest et centrale à Jhpiego) «Il n’y a pas d’éléments probants qui prouveraient que la consommation de spiruline favoriserait une grossesse » (Dr Oumar Gassama, gynécologue obstétricien à l’hôpital Aristide le Dantec de Dakar). Recherché par Diomma Dramé Qu’est-ce que la spiruline ? Selon une thèse de doctorat en pharmacie soutenue en 2016 par Abou Tine et intitulée Évaluation de la supplémentation en spiruline chez la femme enceinte et allaitante à Dakar, il est mentionné que la spiruline est une algue microscopique qui pousse naturellement dans les lacs chauds et alcalins du Tchad et du Mexique. Ses caractéristiques biologiques font qu’elle se situe à la frontière du monde bactérien et du monde végétal. C’est une bactérie parce que appartenant au groupe cyanobactéries (ou algue bleue) et un végétal parce que étant une micro-algue puisant son énergie de la photosynthèse, écrit l’auteur de la thèse. « La spiruline est consommée comme complément alimentaire « bon pour la santé ». Elle contribue à purifier le sang, à réduire le taux de cholestérol et aide à l’absorption des minéraux. Elle combat le stress et régule le taux de globules blancs et la glycémie. Dans les cas d’hypoglycémie, la spiruline, prise entre les repas, aide à stabiliser le taux de sucre dans le sang grâce à sa richesse en protéine », explique le document. Selon toujours l’étude, la spiruline améliore la vision nocturne et améliore l’endurance physique. Elle est également bonne pour les voies respiratoires, en atténuant les symptômes de l’asthme. Elle prévient l’anémie et aide à la digestion et l’assimilation des aliments. Il n’a pas été écrit dans le document qu’elle pouvait aider à tomber enceinte rapidement. Pas de lien avec la fertilité « Cette déclaration est fausse. Il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse », déclarent le Dr Oumar Gassama, gynécologue obstétricien à l’hôpital Aristide le Dantec de Dakar et le Pr Blami Dao gynécologue obstétricien burkinabé, également Directeur technique Afrique de l’Ouest et centrale à Jhpiego, (une organisation internationale de santé à but non lucratif affiliée à la Johns Hopkins University aux Etats-unis). Le Dr Gassama assure qu’il n’y a pas de relation entre spiruline et grossesse en termes d
’évidences scientifiques. «Il n’y a pas d’éléments probants qui prouveraient que la consommation de spiruline favoriserait une grossesse », soutient-il. Selon lui, la meilleure démarche à faire pour une femme qui a des difficultés à procréer, c’est d’aller voir un gynécologue « pour faire l’état des lieux, situer le problème et définir si elle peut prendre une grossesse spontanément ou non ». Ce qu’il faut pour tomber enceinte Il faut que les conjoints soient normaux sur le plan anatomique et sur le plan fonctionnel.  « Ce qui veut dire, qu’il faut que la femme ait un utérus et des ovaires normaux. Qu’ils puissent avoir des rapports sexuels réguliers et normaux. Que le mari ait du sperme en quantité suffisante avec un nombre suffisant de spermatozoïdes pour que la femme puisse tomber enceinte », indique le Dr Gassama. « C’est un ensemble de conditions qui intéressent aussi bien la femme que l’homme », résume le Pr Dao. L’âge également compte, selon les gynécologues. Le Dr Gassama explique que les ovaires sont beaucoup plus fonctionnels si la femme est relativement jeune. Mais, à partir de 37 ans, on assiste à un déclin de la réserve ovarienne. « Cela veut dire que tout ce qui est follicule ovarienne va diminuer à partir de 37 ans, et on peut avoir des problèmes de fertilité », dit-il. Il faut également éviter certaines infections ou maladies gynécologiques, telles que les Infections sexuellement transmissibles (IST), qui, ignorées ou négligées, peuvent faire beaucoup de dégâts à l’appareil génital, prévient le Pr Dao. « Beaucoup de femmes ignorent qu’elles sont malades jusqu’au jour où elles consultent et parfois c’est trop tard ». Conclusion : Il n’y a pas de preuve médicale que la spiruline favorise une grossesse rapide Dans un article paru sur afriquefemme.com il est mentionné que consommer de la spiruline est bon pour la fertilité et peut augmenter les chances de tomber enceinte. Les gynécologues Dr Oumar Gassama et le Pr Blami Dao déclarent que cette déclaration est fausse. Ils soutiennent qu’il n’y a pas de lien entre la spiruline et la grossesse. Et que si un couple éprouve des difficultés à concevoir, la meilleure démarche à faire, est d’aller consulter un gynécologue.
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african-gate · 1 year
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Comment rester en forme en période de jeûne?
Comment rester en forme en période de jeûne?Le jeûne du Ramadan vous incitera à réfléchir davantage à votre protéine d’exercice, en raison de l’adaptation du corps à la nouvelle situation et des niveaux d’énergie perturbés.   C’est ce que l’entraîneur physique spécial Bilal Hafeez et le nutritionniste Nazim Qureshi doivent faire. Cette équipe, composée de l’homme et de sa femme, connus sous le nom de "musulmans en bonne santé", a publié un livre sur la diversité de la nourriture et de l’exercice pendant le jeûne sous le nom de "Ramadan Health Guide."   "Le but du Ramadan est de se concentrer davantage sur la prière, la spiritualité et l’amélioration de soi," dit Hafeez, "et ce que nous consommons en plus de la façon dont nous exerçons, ils jouent un rôle essentiel, parce que cela a un impact significatif sur nos niveaux de stress, l’équilibre travail-vie et la famille."   Si vous souhaitez rester en bonne santé et profiter de votre forme physique pendant les 30 jours de jeûne, voici quelques éléments à garder à l’esprit :   Nazim Qureshi dit : "Beaucoup de gens ressentent des douleurs dans la tête pendant les premiers jours du Ramadan, en raison du manque d’eau. "L’objectif est de boire la même quantité d’eau que celle que vous buviez avant de jeûner. Vous devrez donc la diviser en petites portions entre le coucher du soleil et l’aube, et la bonne façon de commencer est de vous assurer de boire un litre d’eau le matin. Vous vous sentirez beaucoup mieux. »   Si vous consommez habituellement des boissons contenant de la caféine pendant la journée, le besoin de maintenir l’humidité deviendra plus important, carence en caféine est connu pour causer des maux de tête, Qureshi dit, "La clé est de commencer à soulager la quantité de caféine avant le début du Ramadan." Elle note que si la douleur dans la tête persiste, le maintien de l’humidité du corps atténuera les symptômes de la carence en caféine. "Parce que vous allez avoir deux repas au lieu de trois -- le petit déjeuner le soir et la magie avant l’aube -- vous devez choisir des plats qui vous donnent assez d’énergie pour être capable de travailler toute la journée", dit Hafeez.   "En raison de leur capacité réduite, les gens pensent qu’ils doivent se rattraper en dormant et ne pas manger le repas du matin, mais vous devez obtenir cette nutrition," ajoute Qureshi.   "Votre plat du matin devrait comprendre des glucides complexes, des protéines et des lipides sains. Si vous pouvez aussi obtenir des légumes et des fruits, ce serait une prime supplémentaire. »#moon #news#tumblr#trend#reels#newpost#goth#malayalam#sports#twitch Read the full article
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niyahealthcare · 2 years
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Causes et Symptômes de la Carence en Fer (Anémie)
L'anémie est un Trouble Sanguin qui survient lorsque votre corps a une concentration d'hémoglobine inférieure à la normale ou une baisse du nombre total de Globules Rouges (GR). Le terme Anémie est dérivé du mot grec «Anémie», qui signifie "manque de sang". La diminution de la quantité totale de Globules Rouges sains entraîne une baisse des niveaux d'oxygène dans votre sang que d'habitude, car l'hémoglobine, la protéine à l'intérieur des Globules Rouges, est responsable du transport de l'oxygène dans tout votre corps.
Ce niveau d'oxygène sanguin inférieur à la normale est la principale cause de nombreux symptômes débilitants de l'Anémie. Niya Healthcare propose Ferrex Forte Comprimés et Ferrex Forte Sirop, qui sont efficaces dans le traitement de l'Anémie.
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reseau-actu · 4 years
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Assurer un statut satisfaisant en vitamine D dans la population générale est particulièrement important dans le contexte de la Covid-19
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Le rôle bénéfique de la vitamine D sur la prévention de l’infection par le SARS-CoV-2 et des formes graves a été suggéré par de nombreuses publications. Quelles sont les données actuellement disponibles dans la littérature ? Quels messages pratiques en tirer ? Quelle supplémentation proposer en prévention et en cas de Covid ? Position et recommandations d’experts et de sociétés savantes nationales françaises*. Exclusif !
  Après 12 mois de circulation virale, la Covid-19, liée au SARS-CoV-2, a infecté des millions de personnes dans le monde, faisant des centaines de milliers de morts, en particulier chez les personnes âgées, fragiles et celles atteintes de maladies chroniques.1 En l’absence de traitement curatif efficace et accessible à ce jour contre la Covid-19, recourir à des molécules déjà existantes pourrait aider à contrôler la pandémie. Le rôle bénéfique potentiel de la vitamine D est discuté dans de nombreuses publications.2-5 L’objectif de cet article de position était de préciser les données actuellement disponibles dans la littérature biomédicale sur ce sujet, et d’en tirer des messages clairs et pragmatiques vis-à-vis de l’intérêt d’assurer un statut satisfaisant en vitamine D dans la population générale dans le contexte de la Covid-19.
La vitamine D comme aide à la prévention de l’infection par le SARS-CoV-2 ?
La carence en vitamine D, définie par une concentration circulante de 25-hydroxyvitamine D, ou 25(OH)D, inférieure à 12 ng/mL (ou 30 nmol/L), et l’insuffisance en vitamine D, définie par une concentration circulante de 25(OH)D entre 12 et 20 ng/mL (ou 50 nmol/L),6 peuvent affecter le système immunitaire. En effet, la vitamine D stimule d’une part l’expression et la sécrétion des peptides antimicrobiens par les monocytes/macrophages, ce qui participe aux défenses des muqueuses, mais aussi la synthèse de cytokines anti-inflammatoires tout en inhibant la synthèse de cytokines pro-inflammatoires.7 
Plusieurs études observationnelles ont rapporté une association entre les concentrations circulantes basses de 25(OH)D et le risque d’infections respiratoires aiguës, dont la grippe.8 De plus, des méta-analyses récentes d’essais randomisés contrôlés rapportent un effet protecteur de la supplémentation en vitamine D sur les infections des voies respiratoires en particulier chez les sujets carencés en vitamine D recevant une supplémentation quotidienne ou hebdomadaire.9,10
Concernant la Covid-19, les premiers rapports montrent que la concentration circulante de 25(OH)D est plus basse chez les adultes infectés que chez les autres.11,12 Dans une étude écologique, des corrélations inverses ont été trouvées dans 46 pays entre la carence en vitamine D dans la population générale et l’incidence de la Covid-19.13 Plus précisément, l’existence d’une insuffisance en vitamine D semble précéder la survenue incidente de la Covid-19,14 et non l’inverse. 
Malgré l’absence de données interventionnelles solides pour le moment, les résultats préliminaires de l’étude Koronastudien.no, montrant en Norvège que les consommateurs réguliers d’huile de foie de morue sont moins à risque d’être infectés par le SARS-CoV-2,15 suggèrent que la supplémentation en vitamine D pourrait aider à prévenir la Covid-19. Ces données observationnelles ne permettent pas de prouver l’imputabilité d’une concentration basse de 25(OH)D sur le risque de survenue de la Covid-19 chez un individu, mais les effets positifs connus de la vitamine D sur le système immunitaire soulèvent l’hypothèse que les personnes ayant un statut satisfaisant en vitamine D sont mieux armées pour ne pas développer la maladie.
La vitamine D comme aide à la prévention des formes graves de Covid-19 ?
Si la Covid-19 n’entraîne généralement que des symptômes bénins, elle peut aussi progresser vers une réaction inflammatoire incontrôlée, appelée « orage cytokinique », en partie secondaire à la régulation négative par le SARS-CoV-2 de l’enzyme de conversion de type 2 de l’angiotensine (ACE2 : enzyme de contre-régulation dégradant l’angiotensine 2 en angiotensine 1-7 ayant des propriétés antioxydantes, antifibrosantes et anti-inflammatoires). La conséquence est un état pro-inflammatoire associé à de graves lésions tissulaires, contribuant aux formes graves de Covid-19 et notamment à la survenue d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), souvent fatal.1 Les personnes âgées et celles ayant des comorbidités, telles que l’hypertension artérielle, le diabète ou l’obésité, sont plus à risque de développer une forme grave de Covid-19.
La vitamine D module l’activité du système rénine angiotensine et l’expression de l’ACE2.16 Une étude chez des rats ayant un SDRA chimiquement induit a ainsi montré que l’administration de vitamine D augmentait les taux d’ARNm et de protéines ACE2, et que les rats supplémentés en vitamine D avaient des symptômes de SDRA plus légers et des lésions pulmonaires plus modérées que les rats témoins.17 En outre, la modulation de l’immunité adaptative par la vitamine D (stimulation de l’expression de cytokines anti-inflammatoires par les macrophages et limitation de la production de cytokines pro-inflammatoires par les lymphocytes T helper de type 17) pourrait aussi limiter les conséquences de l’orage cytokinique.
On notera également que les principaux facteurs de risque de carence en vitamine D (l’âge avancé, l’obésité, ou les maladies chroniques) sont très semblables aux facteurs de risque de formes graves de Covid-19.1,6 En cas de Covid-19, plusieurs études ont ainsi montré, en prenant en compte les potentiels facteurs de confusion, que les personnes ayant une concentration de 25(OH)D basse étaient plus susceptibles d’évoluer vers une forme grave,18 de recourir à une ventilation non invasive,19 d’avoir une durée d’hospitalisation prolongée,12 mais aussi de mourir de la Covid-19,20 y compris dans les unités de soins intensifs.20 Alors que beaucoup d’études concluent à une corrélation inverse entre concentration de 25(OH)D chez les patients Covid-19 et sévérité de la maladie, ce n’est pas le cas de toutes les études.14 Pour une analyse critique des études publiées jusqu’au 15 octobre 2020 et des facteurs de confusion associés à la carence en vitamine D, comme la faible activité physique ou une nutrition défaillante, nous conseillons de consulter la revue de Mercola et al.5 Ainsi l’insuffisance en vitamine D pourrait constituer un facteur de risque indépendant de forme grave de Covid-19 ce qui est potentiellement très intéressant, car, contrairement aux autres facteurs de risque sur lesquels il n’existe que peu (ou pas) de possibilités d’agir, la carence en vitamine D est très facilement modifiable par une simple supplémentation.21
Les (rares) études d’intervention publiées sont en faveur d’un effet bénéfiquede la supplémentation en vitamine D pour réduire la gravité des symptômes chez les adultes atteints de Covid-19. Ainsi, un essai clinique randomisé contrôlé contre placebo chez 40 malades Covid-19 initialement carencés en vitamine D a montré qu’une plus grande proportion de participants ayant reçu une forte dose de vitamine D (50 000 UI/j pendant 7 jours) n’avaient plus d’ARN viral du SARS-CoV-2 détectable à 21 jours sur les prélèvements oropharyngés par rapport au groupe placebo (63 % vs 21 % respectivement ; p : 0,018).22 Sur le versant des bénéfices cliniques, un essai randomisé a rapporté, chez 76 adultes âgés en moyenne de 53 ans hospitalisés pour Covid-19, que ceux ayant reçu des suppléments de calcifédiol (c’est-à-dire de 25(OH)D) en plus des soins standards contre la Covid-19 ont eu significativement moins souvent recours à la réanimation que ceux n’ayant reçu que les soins standards (1/50 soit 2 % vs 13/26 soit 50 % ; p < 0,001).23 Ces résultats sont confortés par deux études quasi expérimentales conduites en France pendant la première vague qui ont rapporté des formes moins graves de Covid-19 et une amélioration de la survie d’environ 90 % en cas de supplémentation régulière en vitamine D3 chez des personnes âgées soit hospitalisées,24 soit résidant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).25 Une étude anglaise a également rapporté que la prise de fortes doses de vitamine D3 (environ 280 000 UI sur une période de 7 jours) était associée à une amélioration de 87 % de la survie chez les patients hospitalisés pour Covid-19, indépendamment des concentrations initiales de 25(OH)D.26 Les effectifs faibles et le design de ces études justifient toutefois la poursuite d’essais cliniques randomisés de grande envergure.27 
Les données ci-dessus nous incitent à recommander dès à présent les actions suivantes
– Supplémentation en vitamine D avant toute infection par le SARS-CoV-2
La supplémentation en vitamine D est une mesure simple, efficace, sans danger, peu coûteuse et remboursée par l’Assurance maladie. Même s’il n’existe pas encore de preuves indiscutables que la supplémentation en vitamine D réduit le risque d’infection par le SARS-CoV-2, le maintien d’un statut vitaminique D satisfaisant présente de toute façon des bénéfices au-delà de la Covid-19 en favorisant, entre autres, la santé osseuse et neuromusculaire et en étant associé à une amélioration du pronostic dans certains cancers.6 Plusieurs sociétés savantes et groupes d’experts nationaux et internationaux ont déjà publié des avis recommandant la supplémentation en vitamine D dans le contexte de l’épidémie Covid-19.28-31 Les gouvernements britannique et écossais ont de leur côté prévu de fournir de la vitamine D à titre préventif à plusieurs millions de personnes fragiles.32
En l’absence de risque majeur lié à la supplémentation à dose adaptée33 et vu qu’environ la moitié de la population générale française a une hypovitaminose D,34tout pousse aujourd’hui à supplémenter en vitamine D tout au long de l’année les personnes à risque d’hypovitaminose D (c’est-à-dire les personnes de 80 ans et plus, ou malades, ou fragiles, ou dépendantes, ou obèses, ou vivant en EHPAD), et la population générale pendant la période hivernale.22L’objectif est que la majorité de la population générale atteigne une concentration de 25(OH)D sérique entre 20 et 60 ng/mL. Les études les plus solides méthodologiquement indiquent que des apports de1 200 UI/j sont nécessaires pour cela,35 ce qui, en l’absence de formes pharmaceutiques de vitamine D adaptées à une prise journalière simple, pourrait être remplacé par une prise de 50 000 UI de vitamine D3 par mois. Le double de cette dose devrait être prescrit aux sujets obèses. Cette attitude correspond en fait à respecter la recommandation (hors Covid-19) de maintenir un statut vitaminique D satisfaisant dans la population générale, et ne nécessite donc pas d’attendre les résultats d’essais contrôlés randomisés dédiés à la Covid-19 pour être appliquée. Le dosage de la 25(OH)D n’est pas nécessaire (et n’est de plus pas remboursé en France) dans ce cas. La crainte de lithiase rénale liée à la prescription de vitamine D sans dosage préalable (et donc sans confirmation de la carence en vitamine D) peut être rassurée par les résultats des grands essais cliniques récents contrôlés contre placebo qui ont clairement montré qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des lithiases rénales chez plusieurs dizaines de milliers d’individus non carencés en vitamine D (avec une 25(OH)D moyenne de l’ordre de 30 ng/mL à l’inclusion) qui avaient reçu pendant plusieurs années 2 000 UI/j,36 4 000 UI/j,37 ou 100 000 UI/mois.38
Chez certains patients (les patients en situation de « fragilité osseuse », les patients insuffisants rénaux chroniques avec DFG < à 45 mL/min/1,73 m², les patients ayant une malabsorption ou en post-chirurgie bariatrique malabsortive de type bypass, et les patients âgés chuteurs), la concentration-cible se situe plutôt entre 30 et 60 ng/mL. Le dosage de la 25(OH)D est alors nécessaire, et les modalités de supplémentation sont décrites dans les recommandations du Groupe de recherche et d’information sur l’ostéoporose (GRIO).39 Chez les patients âgés et très âgés, un rythme de recharge étalé sur plusieurs semaines peut être proposé afin d’éviter tout effet indésirable lié à la réplétion trop rapide.21, 40 Chez les enfants de 0 à 18 ans, et même si la Covid-19 est souvent peu sévère dans cette population (exception faite des rares cas de syndrome inflammatoire multi-systémique), la supplémentation en vitamine D mérite d’être poursuivie au cours de cette pandémie, à l’instar des résultats trouvés dans la bronchiolite chez l’enfant.41
– Supplémentation en vitamine D en cas de Covid-19 avérée
Comme on l’a vu plus haut, l’hypovitaminose D pourrait être un facteur de risque indépendant de forme grave de Covid-19 qui a l’avantage d’être très facilement modifiable par une simple supplémentation. Même s’il semble logique, comme le recommande l’Académie de médecine,42 de supplémenter en vitamine D les patients atteints de Covid-19 en fonction d’un dosage de la 25(OH)D circulante, nous sommes aussi conscients que ce résultat de dosage pourrait dans de nombreux cas n’être disponible qu’après un délai selon nous inacceptable. Par exemple, la réalisation d’une prise de sang en ambulatoire intègre plusieurs étapes (prise de rendez-vous et déplacement au laboratoire, attente du résultat d’analyse, prescription du supplément et récupération à la pharmacie) qui risquent de décourager les patients, et ce d’autant qu’ils devraient rester isolés en raison de leur Covid-19. Des difficultés similaires peuvent être rencontrées dans les EHPAD ne disposant pas de pharmacie à usage intérieur. À l’hôpital, la possibilité de patienter jusqu’au résultat du dosage de 25(OH)D doit aussi être soigneusement évaluée à l’aune du degré d’urgence de la Covid-19 ayant motivé l’hospitalisation. Même si l’impact sur la prévention et/ou l’amélioration des formes graves de Covid-19 fait encore l’objet d’études en cours, nous recommandons donc, dans l’attente des résultats des essais contrôlés en cours, d’obtenir le plus rapidement possible un statut satisfaisant en vitamine D en cas d’infection par le SARS-CoV-2 (grade de recommandation 1B). Nous proposons de prescrire chez l’adulte, en traitement adjuvant aux protocoles de traitements standards disponibles, une dose de charge de vitamine D dès le diagnostic de Covid-19, par exemple 100 000 UI de vitamine D3 per os (200 000 UI chez les patients obèses et/ou ayant d’autres facteurs de risque de gravité de Covid-19) à renouveler après une semaine.21 Cette supplémentation permet de faire monter rapidement la concentration de 25(OH)D sans aucun risque en dehors de situations cliniques rares (sarcoïdose et autres granulomatoses) ou très rares (mutations inactivatrices de certains gènes comme CYP24A1), et d’obtenir un statut vitaminique D satisfaisant pendant la période critique d’environ un mois au cours de laquelle les patients atteints de Covid-19 peuvent déclarer des formes graves. L’intérêt potentiel de posologies plus élevées est actuellement à l’étude.27
Auteurs
*Avec le soutien de l’Association française de lutte antirhumatismale (AFLAR), de la Société française d’endocrinologie (SFE), de la Société française de gériatrie et gérontologie (SFGG), de la Société française de pédiatrie (SFP), de la Société française d’endocrinologie et diabétologie pédiatrique (SFEDP), et de la Société francophone de néphrologie dialyse et transplantation (SFNDT).
Cédric Annweiler ([email protected]), département de gériatrie, centre hospitalier universitaire d’Angers, Angers, Jean-Pierre Aquino, délégation générale de la SFGG. 
Justine Bacchetta, centre de référence des maladies rénales rares, centre de référence des maladies rares du calcium et du phosphore, hôpital Femme Mère Enfant, Bron.
Pierre Bataille, service de néphrologie, CH de Boulogne-sur-Mer, Boulogne-sur-Mer.
Stanislas Bataille, centre de néphrologie et transplantation rénale, Marseille.
Alexandra Benachi, service de gynécologie obstétrique, hôpital Antoine Béclère, APHP, Clamart.
Gilles Berrut, pôle hospitalo-universitaire de gérontologie clinique, CHU de Nantes, Nantes.
Hubert Blain, service de gériatrie, CHU de Montpellier, Montpellier.
Sylvie Bonin-Guillaume, service de médecine interne gériatrie, APHM, Marseille.
Marc Bonnefoy, département de médecine gériatrique, CHU Lyon, Pierre-Bénite.
Valérie Bousson, service de radiologie ostéo-articulaire, hôpital Lariboisière, APHP, Paris.
Béatrice Bouvard, service de rhumatologie, CHU d’Angers, Angers.
Véronique Breuil, service de rhumatologie, CHU de Nice, Nice.
Olivier Bruyère, centre collaborateur de l’OMS pour l’étude de la santé et du vieillissement de l’appareil musculo-squelettique, département des sciences de la santé publique, Liège.
Étienne Cavalier, département de chimie clinique, CHU de Liège, Liège.
Thomas Célarier, département de gérontologie clinique, CHU de Saint-Étienne, Saint-Étienne.
Olivier Chabre, endocrinologie, CHU Grenoble-Alpes, Grenoble.
Philipe Chanson, service d’endocrinologie et des maladies de la reproduction, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin-Bicêtre.
Roland Chapurlat, hôpital Édouard Herriot, Lyon.
Philippe Chassagne, service de médecine interne gériatrique, hôpital Charles Nicolle, Rouen.
Charles Chazot, néphrologie, NephroCare Tassin-Charcot, Sainte Foy-les-Lyon.
Martine Cohen-Solal, département de rhumatologie, hôpital Lariboisière, APHP, Paris.
Catherine Cormier, service de rhumatologie, hôpital Cochin, APHP, Paris.
Bernard Cortet, département de rhumatologie, CHRU de Lille, Lille.
Marie Courbebaisse, service des explorations fonctionnelles, hôpital européen Georges Pompidou, APHP, Paris.
Tristan Cudennec, service de médecine gériatrique, hôpital Ambroise Paré, Boulogne-Billancourt.
Françoise Debiais, service de rhumatologie, CHU de Poitiers, Poitiers. 
Rachel Desailloud, département d’endocrinologie, diabète et nutrition, CHU d’Amiens, Amiens.
Brigitte Delemer, endocrinologie, diabétologie, nutrition, hôpital Robert Debré, CHU de Reims, Reims.
Marc Duquenne, endocrinologie, CH de Saumur, Saumur.
Patrice Fardellone, service de rhumatologie, CHU d’Amiens, Amiens.
Denis Fouque, département de néphrologie, hôpital Lyon-Sud, Lyon.
Gérard Friedlander, fondation Université de Paris, Paris.
Thomas Funck-Brentano, service de rhumatologie, hôpital Lariboisière, APHP, Paris.
Jean-Bernard Gauvain, service de court-séjour gériatrique, CHR d’Orléans, Orléans. 
Gaetan Gavazzi, service gériatrie clinique, CHU Grenoble-Alpes, Saint-Martin-d’Hères.
Laurent Grange, président de l’AFLAR, service de rhumatologie, CHU Grenoble Alpes, hôpital sud, Échirolles.
Olivier Guérin, président de la SFGG, service de médecine gériatrique et thérapeutique, CHU de Nice, Nice
Dominique Guerrot, président de la commission de néphrologie de la SFNDT, service de néphrologie, CHU de Rouen, Rouen.
Pascal Guggenbuhl, Institut NUMECAN (Nutrition Metabolisms and Cancer), CHU de Rennes, Rennes.
Pascal Houillier, service des explorations fonctionnelles, hôpital européen Georges Pompidou, Paris.
Maryvonne Hourmant, présidente de la SFNDT, département de néphrologie et transplantation, CHU de Nantes, Nantes. 
Rachida Inaoui, service de rhumatologie, Pitié-Salpêtrière, APHP, Paris.
Rose-Marie Javier, service de rhumatologie, hôpital de Hautepierre, Strasbourg.
Guillaume Jean, Néphrologie, NephroCare Tassin-Charcot, Sainte Foy-les-Lyon.
Claude Jeandel, centre de gérontologie, CHU de Montpellier, Montpellier.
Peter Kamenicky, service d’endocrinologie et des maladies de la reproduction physiologie et physiopathologie endocriniennes, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin-Bicêtre.
Véronique Kerlan, présidente de la SFE, département d’endocrinologie, diabète et maladies métaboliques, hôpital de la Cavale Blanche, Brest.
Mare-Hélène Lafage-Proust, Inserm U1059, Université de Saint-Étienne, Saint-Étienne.
Erick Legrand, service de rhumatologie, CHU d’Angers, Angers.
Bruno Lesourd, département de gériatrie, CHU de Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand.
Éric Lespessailles, service de rhumatologie, CHR d’Orléans, Orléans.
Agnès Linglart, service d’endocrinologie pédiatrique, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin Bicêtre.
Pierre Marès, service de gynécologie obstétrique, CHRU de Nîmes, Nîmes.
Elena Paillaud, service de gériatrie, hôpital européen Georges Pompidou, APHP, Paris.
Dominique Prié, département BioPhyGen, hôpital Necker-Enfants Malades, Paris.
Yves Rollan, Gérontopôle de Toulouse, CHU de Toulouse, Toulouse.
Claire Roubaud, département de gérontologie clinique, CHU de Bordeaux, Bordeaux.
Jean-Marc Sabatier, institut de neuro-physiopathologie Marseille.
Guillaume Sacco, CNRS UMR 7284/INSERM U108, CHU de Nice, Nice. 
Jean-Luc -Saladin, médecine générale, Le Havre.
Jean-Pierre Salles, unité d’endocrinologie, maladies osseuses, hôpital des Enfants, CHU de Toulouse, Toulouse.
Nathalie Salles, département de gérontologie clinique, CHU de Bordeaux, Bordeaux.
Martin Soubrier, département de rhumatologie, CHU Gabriel-Montpied, Clermont-Ferrand.
Bruno Sutter, Institut Calot, Berck-sur-Mer.
Achille Tchalla, unité de recherche clinique et d’innovation de gérontologie, CHU de Limoges, Limoges.
Florence Trémollières, centre de ménopause, hôpital Paule-de-Viguier, Toulouse.
Pablo Antonio Urena Torres, département de physiologie rénale, hôpital Necker-Enfants malades, APHP, Paris.
Marie-Christine Vantyghem, service d’endocrinologie et métabolisme, hôpital C. Huriez, CHRU de Lille, Lille.
Jean-Paul Viard, unité d’immuno-infectiologie, Hôtel-Dieu, APHP, Paris.
Emmanuelle Vignot, Inserm UMR 1033, hôpital E. Herriot, Lyon
Daniel Wendling, service de rhumatologie, CHRU de Besançon Besançon.
Jacques Young, service d’endocrinologie et des maladies de la reproduction, hôpital Bicêtre, APHP, Le Kremlin-Bicêtre.
Jean-Claude Souberbielle, service des explorations fonctionnelles, hôpital Necker-Enfants Malades, APHP, Paris.
Tous les auteurs répondent à tous les critères suivants : contribution à la conception ou à l’analyse et à l’interprétation des données ; rédaction de l’article ou révision critique et apport intellectuel important ; approbation de la version finale à publier.
Liens d’intérêts
Source de financement : aucune.
C. Annweiler a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour le laboratoire Mylan. 
H. Blain a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour le laboratoire Mylan. 
F. Bruyère a reçu des grants de recherche et a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires Amgen, Aptissen, Biophytis, IBSA, MEDA, Novartis, Sanofi, Servier, SMB, TRB Chemedica et UCB. 
F. Debiais a participé à des interventions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires Abbott, Abbvie, Alexion, Amgen, Astrazenaca, Expanscience, Lilly, MSD, Novartis, Pfizer, Roche, Theramex, UCB.
P. Fardellone a participé à des interventions ponctuelles pour les laboratoires Arrow, Amgen, IPRAD, Lilly, Mylan, UCB
F. Trémollieres a participé à des actions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires Amgen, Astellas, Arrow, Lilly France, Téva et Théramex.
E. Vignot a participé à des actions ponctuelles de formation ou d’expertise pour les laboratoires AbbVie, Amgen, BMS, Janssen Cilag, Kyowa Kirin, Lilly, Novartis, Pfizer, Roche Chugaï, Theramex, UCB.
D. Wendling a participé à des actions ponctuelles pour les laboratoires AbbVie, BMS, MSD, Pfizer, Roche Chugai, Nordic Pharma, UCB, Novartis, Lilly, Grunenthal, Galapagos, et a des intérêts indirects : Abbvie, Pfizer, Roche Chugai, MSD, UCB, Mylan, Fresenius Kabi.
Figures et tableaux
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Références
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Keto, vegan et compagnie : que devons-nous mettre dans notre assiette pour être en santé?
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Keto, vegan et compagnie : que devons-nous mettre dans notre assiette pour être en santé?
Un peu mêlé quand vient le temps de choisir les aliments qui nourriront votre famille? Vous n’êtes pas seuls. Il est difficile de faire un choix parmi toutes les modes d’alimentation proposés : végé, paléo, végane, hypotoxique, méditerranéen, céto, etc…
Doit-on en suivre un? Si oui, lequel choisir? Y en-a-t-il un plus sain que les autres? Lesquels sont soutenus par la science?
Qu’en est-il de l’observance — facilité avec laquelle on adopte un mode d’alimentation sur une longue période?
1. Le régime paléolithique : comme les hommes des cavernes
Les adeptes du régime paléo soutiennent que le génome humain ne s’est pas adapté à notre mode de vie moderne. Ils suggèrent donc qu’on nourrisse notre corps comme le faisaient les hommes des cavernes : viande maigre, poisson sauvage, fruits, légumes, œufs, noix et graines.
Selon eux, les aliments issus de l’agriculture et de l’industrie ne sont pas digestes pour l’organisme et seraient à l’origine de maladies contemporaines comme le diabète de type 2 et l’Alzheimer. Ils évitent donc les grains (produits céréaliers), produits laitiers, sucres raffinés, huiles raffinées, patates et légumineuses.
Certaines études scientifiques rapportent des effets bénéfiques de ce type de régime chez les personnes qui souffrent de diabète de type 2 notamment. Ce mode d’alimentation semble aussi avoir des impacts positifs sur le taux de sucre dans le sang et sur le développement des maladies cardiaques et métaboliques. D’autres recherches, particulièrement des études sur de plus longues périodes devront confirmer la véracité de ces faits.
Les plus :
Présence d’aliments frais et entiers
Présence de légumes
Élimination des produits transformés
Réduction du sucre
Les moins :
Élimination de groupes complets d’aliments qui augmente les risques de carences nutritionnelles
Accessibilité aux aliments frais et entiers parfois difficile
Temps de préparation et de planification des repas qui peut être long
Observance
Il est certain que de réduire la quantité de sucre et d’éliminer les produits transformés de notre alimentation tout en faisant une plus grande place aux végétaux ne peut être que bénéfique pour la santé.
Toutefois, les études sur les effets néfastes des grains et des produits laitiers sur l’organisme sont peu nombreuses. L’apport déficient en calcium, la toxicité due à une consommation importante de poisson (métaux lourds) et de viande (par rapport aux végétaux) seraient parmi les points faibles de cette tendance.
2. Les régimes végétariens et végétaliens (végane) : une philosophie de vie
Le végétarisme a son lot constant d’adeptes depuis de nombreuses années. Certains choisissent ce mode d’alimentation pour leur santé, pour l’environnement ou tout simplement pour démontrer leur désaccord envers la cruauté animale et les modes d’élevage contemporains.
Les végétariens éliminent complètement la viande et les poissons. Il existe plusieurs types de végétarisme.
Les véganes (végétaliens) excluent, quant à eux, tous les produits et sous-produits animaux de leur régime : viande, œufs, produits laitiers, miel.
Le crudivorisme (alimentation vivante) est une branche connexe de ces régimes, où l’on ne mange que des aliments vivants (pousses, germinations…) et crus (incluant viandes et poissons crus dans certaines variantes).
Puisque ces régimes sont essentiellement à base de végétaux, ils regorgent de vitamines, de minéraux et de fibres.
Les végétaliens proclament que leur régime augmente le niveau d’énergie, favorise l’alcalinité du corps et pourrait même aider à prévenir certains types de cancers (celui de la prostate notamment).
Les plus :
Présence de légumes et de fruits
Empreinte écologique faible
Présence de fibres
Observance
Les moins :
Élimination de groupes complets d’aliments qui augmente les risques de carences nutritionnelles (vitamine B12 et D)
Risque accru de choisir des aliments transformés et salés (saucisses, hachis sans viande, boulettes de burger végé, etc.)
Présence de grains (et de gluten) importante qui pourrait nuire à certaines personnes allergiques ou intolérantes
3. Le régime méditerranéen : le préféré des cardiologues
Bien connu et étudié depuis des décennies, ce régime s’inspire du mode de vie, comme son nom l’indique, des Méditerranéens.
Il a été démontré que cette diète, riche en céréales, fruits, légumes, légumineuses, noix et huile d’olive, est efficace pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires.
Avis aux amateurs : elle permet même la consommation d’un verre de vin rouge par jour. Les antioxydants et les anticoagulants présents en quantité importante dans ce régime seraient les grands responsables des vertus qu’on lui confère, dont la diminution des maladies métaboliques.
Institut de cardiologie de Montréal
Les plus :
Présence de légumes et de fruits
Présence de bons gras
Présence de fibres
Observance
Les moins :
Présence de grains (et de gluten) importante qui pourrait nuire à certaines personnes allergiques ou intolérantes
Présence accrue de poissons et de fruits de mer qui pourraient contenir des toxines (métaux lourds)
4. Le régime cétogène : le p’tit dernier qui prend de l’ampleur.
Plutôt controversée, cette diète se taille une place de plus en plus importante.
Elle est proclamée comme étant très bénéfique par des leaders en santé américains (Dr Josh Axe, chiropraticien, et Dr Mark Hyman entre autres) ainsi que par certains professionnels de la santé québécois tels que le pharmacien Jean-Yves Dionne et la médecin Évelyne Borduas-Roy.
La diète cétogène se veut très faible en glucides et plus riche en bons gras et en protéines.
Les adeptes de ce régime privilégient les légumes, les germinations, les viandes (nourries à l’herbe), les poissons, les bons gras (p. ex., avocats et huile de coco), les noix, etc. Ce régime bannit les produits transformés et la plupart des grains et des fruits.
Le régime cétogène peut aider à perdre du poids et pourrait réduire les risques de développer le diabète de type 2, certains cancers et les maladies cardiovasculaires. Toutefois, la plupart des nutritionnistes le dénoncent comme étant dangereux puisqu’il peut mener à une cétose (accumulation de corps cétoniques due à une trop grande dégradation de gras). Elle pourrait aussi entraîner une déficience en vitamine C, en vitamine B et en fibres.
Les plus :
Présence de légumes et d’aliments frais entiers
Élimination des produits transformés
Réduction du sucre
Les moins :
Observance
Complexité des calculs
Présence de gras saturés qui suscite la controverse
Risque accru d’une déficience nutritionnelle
Plus risquée si mal appliquée
Il existe d’autres modes d’alimentation similaires dont on peut s’inspirer comme la diète hypotoxique, le clean eating, la diète GAPS (Gut and Psychologic Syndrome) ou encore l’alimentation pleine conscience.
Guide alimentaire canadien 2019
  On peut aussi se référer au nouveau guide alimentaire canadien, qui est de loin supérieur à sa version précédente malgré quelques bémols, ou encore à l’assiette de Harvard. Ces modes d’alimentation sont somme toute assez similaires et présente des variantes subtiles.
Harvard Medical School
Où est la vérité?
Alors? Qui a raison? La science n’a malheureusement pas toujours toutes les réponses. Certains chercheurs suggèrent qu’une diète sans gluten pourrait entraîner une réduction de la masse adipeuse (gras), de l’inflammation et du risque de diabète de type 2, voire certains cancers du tube digestif.
Le gluten pourrait aussi endommager le microbiote et la paroi intestinale. Mais aucune donnée ne semble confirmer hors de tout doute que la consommation de grains et de céréales est néfaste pour la santé.
Les consommations de gras saturés, de soya, de produits laitiers, de viande rouge, d’œufs font couler tant d’encre de par leur nature controversée. Difficile d’y voir clair. Davantage d’études seront nécessaires pour que l’on puisse avoir l’heure juste.
Combien de temps tiendrez-vous?
Un des facteurs les plus importants concernant ces différents régimes, c’est celui de l’observance. La question que vous devez vous poser est : combien de temps pourrai-je suivre ce régime?
Plusieurs personnes tiennent le coup quelques jours pour ensuite retomber dans de mauvaises habitudes. Vous n’y trouverez alors aucun bénéfice réel.
Et si chacun avait des besoins nutritionnels différents?
Les diètes personnalisées (en fonction de symptômes, de la génétique, du microbiote, etc.) deviendront très tendance au cours des prochaines années, selon le site de recherche néo-zélandais spinalresearch.com et le magazine Forbes.
Il est clair que les besoins d’une femme enceinte, d’une personne âgée, d’un athlète ou d’une personne souffrant de douleurs chroniques sont bien différents.
Fini le temps du «?one-size-fits-all?» dans l’alimentation? Ce sera à suivre, c’est certain!
Quelques points communs à ne pas négliger
On peut tout de même conclure que tous ces régimes ont quelques lignes directrices communes :
Éviter les sucres raffinés
Éviter les aliments transformés
Favoriser les légumes, pousses et germinations
L’important au bout du compte, c’est de se sentir bien dans nos choix. Il est essentiel d’adopter une alimentation variée qui nous apporte vitalité et santé plutôt que de suivre un régime restrictif qui entraîne frustration, culpabilité et excès.
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