#stupeur
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padrebaldo · 1 year ago
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Quelle est la bonne nouvelle apportée par les bergers ? Pourquoi les bergers vont-ils à Bethléem ? Quelle est l’image que la société de l’époque avait des bergers ? L’annonce des bergers est-elle bien accueillie par tout le monde ? Comment Maria a-t-elle réagi à ces événements ? Pourquoi si peu de mots pour fêter Noël ?
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prosedumonde · 11 months ago
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N’espère pas jouir, car ton plaisir t’anéantirait. N’espère pas être amoureuse, car tu n’en vaux pas la peine : ceux qui t’aimeraient t’aimeraient pour tes mirages, jamais pour ta vérité. N’espère pas que la vie t’apporte quoi que ce soit, car chaque année qui passera t’enlèvera quelque chose. N’espère pas même une chose aussi simple que le calme, car tu n’as aucune raison d’être tranquille.
Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements
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obstinaterixatrix · 1 year ago
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a-room-of-my-own · 4 months ago
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Mais comment est-ce possible?
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marionsinspirations · 2 years ago
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silentangell95 · 1 year ago
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tae156 · 10 months ago
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Beached
Definition: To be stranded or hauled up on a beach, “a beached whale”
Taehyung groaned, whether it was from pleasure or pain was yet to be discovered. But what he did know, was that he had pushed himself to the absolute limit. A guttural burp, and rumbling fart, simultaneously erupted from his methane filled chambers, as he flopped back against his poor sofa, already straining under his weight - there was only so much more it could take of the 400 pound blubbery land mass. 
Taehyung inched millimetres forward, in an attempt to soothe his aching gut, but to no avail. The vast, tanned expense, stretched out for what seemed like miles in front of him. A barren, hairless desert, littered with violent and angry stretch marks from an uncontrolled gain. Taehyung’s belly sat in front of him, swollen like he had just eaten the moon, blocking his entire view of the TV - not that he could pay any attention in his gluttonous stupeur. Taehyung had inhaled enough food for a herd of elephants, the usually soft, and pillow like flab, completely taught and threatening to burst. The only part saved from this self-induced pain was Taehyung’s underbelly, which at his size was permanently soft and malleable to the touch. The only problem was the he could no longer reach the favourite part of his belly, he could no longer grope and grab at his marshmallow blubber for hours on end like he used too. Hell, what’s worse was that Taehyung could no longer reach his one sizeable dick, now reduced to nothing, encompassed completely in hot and sweaty fat. 
However, just because he was beached like a whale, did not mean that Taehyung was completely spent. Over the years of hedonistic self indulgence, he had learnt to adapt to his ever growing size. Slowly, like time had slowed to half speed, Taehyung began to rut into himself. Too stuffed to bring his monstrously large bum completely off the sunken couch, Taehyung began to rock back and forth - the sweat helping to lubricate his skin that would normally be stuck to the leather. His thighs, welded together from the sprawling cellulite, wobbled profusely from the minute movement, rubbing against Taehyungs member. Within seconds, Taehyung could feel himself getting excited, blood rapidly moving south, as his breath began to accelerate - out of pleasure, but also exhaustion. 
“Eurgh, huff, argh”. A symphony of huffing and panting resounded throughout Taehyungs apartment, littered with crumbs and wrappers, accompanied by a cacophony of slapping and squelching sounds, from the sea of flab: lower and underbelly sloshing against each other, love handles rolling against the sweat dripped sofa, and boobs sloshing against his triple chins. With one final exhausted moan, Taehyung felt himself cum against his wet and hot fupa, a river of white running through the valley of his fat. Taehyung would figure out how to clean himself later, for now, he lay flopped against the sofa, red in the face, panting, with one final rumbling fart, gas released from movement of his land mass, before he fell into an exhausted slumber. 
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ascle · 2 months ago
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Ah la la la la. Y’a 2cm de neige et vous en faites tout un fromage! Laissez moi vous raconter une petite histoire.
Il y a de cela environ 1 an, une courageuse Française décide de venir au Québec début décembre.
Son avion atterrit et, surprise! Pas de neige et un bon gros 10’C! Elle s’étonne et demande:
- Mais c’est pas supposé être l’hiver?
- Bienvenue au Quebec! Répondit son hôte.
La journée passe, puis la nuit. Au petit matin, à peine les yeux ouverts elle découvre avec stupeur 35cm de neige au sol. Elle s’étonne de nouveau:
- Mais mais mais!!! Qu’est-ce que c’est que tout ça?
- Bienvenue au Quebec! Récidiva son hôte.
Pensant que son séjour était fichu et prête à googler « comment hiberner », son hôte lui propose une sortie. Sur les routes enneigées elle est rapidement confrontée, à un feu de circulation, à la voiture qui les précède qui refuse d’avancer. La route étant en pente montante, la neige empêche cette dernière d’avancer ne serait-ce que d’un centimètre. C’est alors que son hôte détache sa ceinture de sécurité et sort de la bagnole. Persuader qu’elle va aller l’engueuler, elle se cale dans le siège.
Et pourtant… non! Son hôte fait signe au conducteur de se remettre en marche pendant que l’hôte pousse de toute ses forces derrière la voiture pour lui permettre d’avancer. Une fois de retour dans la voiture, la petite Française déclara:
- Ah ben en France il aurait fait avancer la voiture à grands coups de connard!
- Bienvenue au Québec! S’amusa son hôte.
Deux jours plus tard une activité extérieure est organisée. L’hôte offre tuque (bonnet) et mitaines (gants) à son invitée qui les accepte sans trop de conviction. Une fois à l’extérieur la réalité la frappe en plein visage! En 48h la température était passée de 4’C à -22’C!
- C’est quoi ce bordel! Clamant complètement frigorifiée l’invitée.
- Ah ben… Bienvenue au Québec! Se contenta de répondre son hôte.
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Plus qu’une semaine avant le grand retour de la Française en sol québécois en hiver! J’ai hâte. On annonce la première tempête de l’hiver justement le 1re décembre 🤣. On va réfrigérer la moitié du club de seniors ^^.
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laradiodusiecle · 27 days ago
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Viens on s'enferme
on se déco viens
on pose des murs
épais contre l'orage
des murs couvertures
des parquets de livres
avec tous les coussins
on sort les matelas
pose la lampe au sol au
plus bas au murmure
éteins tout et tremble
en écoutant l'orage
sans écran sans un cri
oublie jette l'actu
on s'échappe on fugue
dans un château fort
de draps de tendres draps
à la douceur qui suspend
les gros titres tout ce sang
partout les débris les
pfff les discours de folie
viens on s'évade un peu
on prend le large une heure
allongés dans le profond
silence des stupeurs
On s'enferme encore
juste une heure ou deux
de plus une ou deux nuits
à moins dormir à moins
rêver d'un peu de paix
d'un peu de joie perdue
et la tendresse, qui encore
en parlera sans maudire
sans hurler sans mentir
Allez viens on s'endort
on se réveillera bien tôt
pour s'émerveiller un peu
d'une étoile ou d'un sourire
de choses simples naïves
un peu jolies à protéger
ne pas oublier de tout ranger
demain pour aller en forêt
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hijolehijola · 2 years ago
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When I saw the film adaptation of Amélie Nothomb's Stupeur et Tremblements I thought it was a gross exaggeration and kind of whiny but actually insanely evil people like that actually do exist.
Since becoming an adult I've been pretty confident in myself as a person but this past year and a half I have been working with quite possibly one of the evilest people to walk this earth and now on a daily basis I have to chant self-affirmations to myself like a mantra: "I like myself, I'm not worthless or bad, I'm okay, I'm okay." Some people just really don't like people to have any confidence or self-respect whatsoever. I just have to keep telling myself that people like that couldn't possibly be truly happy with their lives.
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jacquesdor-poesie · 1 year ago
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Les gens célèbres, on a l'impression qu'ils sont là depuis toujours et pour toujours. Quand ils s'en vont, c'est un peu la stupeur, un peu comme un glissement de terrain, un trou dans la couche d'ozone, une partie d'un paysage sentimental qui s'évapore sans prévenir. Comme s'ils faisaient, eux, ces étranges reconnus, partie de la famille, de toutes les familles, inconsciemment adoptés qu'ils sont : fond d'écran, images récurrentes, mélodies familières qui finissent par habiter un peu tout le monde, qu'on le veuille ou non. Année après année ils font partie du décor, sont le décor, l'ambiance sonore ; des présences parallèles partagées par tous avec passion ou indifférence. Il croise dans nos vies depuis si longtemps...
Pour les avoir imaginés plus beaux et plus forts que la mort, c'est leur disparition qui vient sonner violemment le rappel : oui, nous sommes bel et bien tous mortels. Et c'est pour cette raison, aussi, que leur effacement frappe autant les cœurs et les esprits.
jacques dor
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unesimplevie · 2 years ago
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Aussi longtemps qu'il existerait des fenêtres, le moindre humain de la terre aurait sa part de liberté.
Amélie Nothomb
"Stupeur et tremblements".
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prosedumonde · 11 months ago
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Si le langage était une forêt, m’était-il possible de cacher, derrière les hêtres français, les tilleuls anglais, les chênes latins et les oliviers grecs, l’immensité des cryptomères nippons, qui en l’occurence eussent été bien nommés ?
Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements
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aurevoirmonty · 10 months ago
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Macron est en train de liquider notre pays. Je ne parle même pas de la déstructuration systématique des services publics, pour ensuite affirmer qu’ils ne fonctionnent pas, de la volonté de débilitation de la société avec la fin de l’enseignement à l’école. Après avoir détruit l’économie française, Macron est en train de dépecer le pays, pour envisager sérieusement d’envoyer des Français sur le front ukrainien mourir pour l’Atlantisme. Parce que soi-disant, « la sécurité des Français se joue en Ukraine ». Non, c’est l’avenir de ce pouvoir atlantiste et mondialiste, qui s’y joue. Il est prêt à sacrifier la France. Cet individu n’est pas fou, il défend froidement le système mondialiste, qui l’emploie.
Une légende de l’une de nos régions riches d’histoire, dont la diversité d’ensemble a longtemps fait la richesse, désormais perdue, de la France, nous conte l’histoire d’Ankou, qui ne représente pas la mort en elle-même, mais son serviteur : son rôle est de collecter les âmes des défunts, remplissant ainsi un rôle de « passeur d’âmes ». Il est l'ouvrier de la mort. On dit aussi que celui qui aperçoit l’Ankou meurt dans l’année. On rapporte parfois que le dernier mort de l’année, dans chaque paroisse, devient l’Ankou pour l’année suivante. A Ploumilliau, l’Ankou présent dans l’église porte la faux et la pelle, il est à la fois meurtrier et fossoyeur.
Macron est l’Ankou de la France et des Français, portant la faux et la pelle, à la fois meurtrier et fossoyeur. Cela se confirme sur tous les fronts : il mène la bataille ultime contre notre pays.
Nous avons eu droit à une destruction systématique de notre tissu économique, pour arriver à des chiffres inquiétants.
Vous pensez sincèrement que c'est le résultat d’une erreur politique ou stratégique ? N’oublions pas que les PMI/PME sont la force vive de la France, elles constituent cette classe moyenne forte, ancrée dans le pays. Elles incarnent tout ce qui dérange dans le cadre du mondialisme, comme les paysans, propriétaires de leurs terres. Ces derniers ont déjà été assassinés, pour les premiers, c'est en cours.
Le dépècement physique de la France accompagne ce qu’il reste de notre pays meurtri dans sa chair et dans son âme. Les régions, dont la diversité culturelle a toujours fait la richesse de notre pays, sont conduites sur la voie de la sécession. Il suffit pour cela de trouver les « bonnes personnes » et les bonnes carottes. La boîte de Pandore a été ouverte avec la Corse, dont l’accord sur l’autonomie de l’île va à l’encontre du principe sur lequel la France s’est constituée depuis la fin de la féodalité : l’union. Voici lancé, le processus néo-féodal de déconstruction de l’Etat, en reconnaissant des peuples à l’intérieur du peuple français et en octroyant une autonomie législative. Gilles Simeoni, président autonomiste du conseil exécutif de Corse, a estimé qu’un pas décisif avait été franchi et s'est félicité d'avoir obtenu pour la Corse un pouvoir législatif validé par le conseil constitutionnel. Il est enthousiaste : l'étendue et les modalités de ce pouvoir relèveront d'une loi organique, « reste à gagner cette demi-finale, puis plus tard, la finale ».
Désormais, les « autonomistes », pour ne pas dire « sécessionnistes » d’autres régions, peuvent être activés à la suite des Corses, afin de dépecer le cadavre-France.
Pour accompagner cette marche funèbre, Macron met les Français en état de stupeur en leur annonçant, légèrement, qu'il va bien falloir y aller, sur le front ukrainien. Car le monde global se joue là-bas et il faut bien payer la facture. Dans Le Monde : Le président de la République est songeur. La situation en Ukraine […] se dégrade. La guerre s’enlise. « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa ».
De cette manière détachée, parfaitement cynique, il répond à la question que se posent les Français : il va vraiment falloir y aller ?
Comme le confirme la légende, en faisant le compte de ses victimes, cet Ankou est particulièrement méchant.
Rybar FR
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alexar60 · 1 year ago
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La rencontre
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Le mercredi 11 mai 1983, Arthur Dias de Almeida est appelé pour intervenir près de la ville de Sinop dans le Mato Grosso. En effet, d’étranges lumières ont été aperçues au-dessus de la campagne et de constructions neuves. Le policier ne fut pas le seul à avoir été sollicité. Deux avions de chasse brésiliens décolèrent, après le survol de l’Amazonie par un engin inconnu, et toujours à côté de la ville de Sinop.
Au début, Arthur pensait avoir à faire à des braconniers ou des trafiquants d’or. Il pensait aux phares de leur jeep vus de loin par quelques fermiers. D’ailleurs, il s’attendait à les croiser au détour d’un carrefour. Mais après une dizaine de minutes à scruter les environs, il découvrit avec stupeur que l’origine de cette luminosité, venait du ciel. En effet, il aperçut au loin ce qui ressemblait à un cigare volant dont les bords rayonnaient.
Après un moment de stupéfaction, il appela le commissariat afin d’obtenir de l’aide. Puis, il profita du déplacement extrêmement lent du véhicule, pour le suivre. Arthur demeurait fasciné par cette chose. Il se demanda si l’engin était habité. Peut-être était-ce une sorte de ballon sonde ou d’une expérience militaire ? La base n’était pas très loin. D’ailleurs, il entendit les deux avions de chasse passer à toute vitesse.
L’OVNI continua de se déplacer lentement. Il ne faisait pas de bruit, et se limitait à avancer au-dessus des bords de l’Amazonie. Enfin de ce qui en restait, car tout avait été rasé pour construire des fermes et des quartiers résidentiels. Un appel provenant de la radio avertit Arthur de l’arrivée de renfort. En attendant, il ne devait rien faire.
Le policier s’arrêtait de temps en temps pour rassurer des habitants sortis regarder le vaisseau volant. Il parlait calmement, prévenant que tout était sous contrôle et qu’ils pouvaient retourner chez eux. Puis, il repartait en direction des lumières visibles de la machine volante. Les avions militaires continuaient de tourner autour d’elle sans pour autant la gêner.
Cela dura un bon quart d’heure lorsqu’Arthur réalisa quitter l’agglomération. L’objet non identifié continua de voler puis s’arrêta brusquement au-dessus d’un enclos. Dès lors, l’agent descendit de sa voiture, continuant à pieds, la main posée sur son arme vers le champ, qui ne présentait rien de particulier.
C’est alors qu’une lumière jaune sortit de l’engin jusque sur le chemin. Arthur n’en croyait pas ses yeux, une forme vivante semblait descendre en glissant par le rayon. Aussitôt, le policier courut pour mieux voir l’individu. Il voulait être le premier homme à entrer en contact avec ce qui paraissait être évident, un extra-terrestre. Soudain, une réflexion envahit son esprit : « Et s’il était dangereux ? »
Plus il avançait, plus la raison poussait le policier à fuir. Malgré la peur au ventre, il continua d’approcher du point de chute de la lumière jaune. Il n’était plus très loin. Arthur remarqua une étable, les portes grandes ouvertes. Il n’y avait rien dans l’enclos. Il entendit le meuglement de quelques vaches. Celles-ci ne semblaient pas paniquer. Il approcha furtivement lorsqu’il vit quelque-chose sortir du bâtiment.
Ça portait une combinaison de cosmonaute. Son casque empêchait de voir sa tête. Il sortit calmement de l’étable puis s’arrêta, tout-à-coup, au milieu du chemin. Il ne remarqua pas l’agent Dias de Almeida, préférant observer les arbres de l’autre côté de l’enclos. Dans le ciel, on ne remarquait plus l’OVNI qui pourtant, continuait de stagner, sans faire de bruit, au-dessus de l’Alien.
Ne bougez-pas ! cria Arthur.
L’extra-terrestre tourna la tête. Il fit un mouvement de recul quand il découvrit le policier en train de pointer son arme. Il ne prononça aucun mot et attendit sagement pendant quelques secondes. Arthur ne savait que faire. Il braquait la chose en réalisant que personne ne savait où les trouver. Tout-à-coup, le visiteur posa brutalement sa main sur son ceinturon. Arthur comprit qu’il cherchait une arme et sans hésiter, il tira vers l’extra-terrestre.
Mais qu’ai-je fait ?
Il réalisa avoir oublié les sommations d’usage. Touché à l’épaule, l’ET entra précipitamment dans l’étable, immédiatement suivi par Arthur Dias de Almeida. Ce dernier tendait son arme et ciblait toutes les vaches qui se présentaient. Il marchait en tournant sur lui-même. Il chercha partout, dans tous les recoins de la grange. Lorsqu’il entendit un grincement, il aperçut le cosmonaute qui sortait en courant. Le policier tira une seconde fois avant de pourchasser le fuyard.
Mais en sortant, il n’y avait plus personne. Il leva les yeux. L’OVNI éclairait le ciel comme un feu d’artifice. Il s’éloignait d’abord lentement. Puis d’un claquement de doigt, il disparut totalement, ne laissant d’une petite trainée blanche à la place. Au même moment, les deux avions de chasse annoncèrent avoir perdu de vue le vaisseau inconnu en forme de cigare.
Hector Baumann quitta l’hôpital tout de suite après l’opération. Il gardait cependant son bras en écharpe afin d’immobiliser l’épaule blessée. La portière d’une voiture attendant sur le parvis s’ouvrit, l’invitant à entrer. Un homme attendait patiemment en lisant une tablette. Il ne regarda pas Hector s’assoir. La voiture démarra aussitôt dans un silence incroyable. Elle n’avait pas de roue, elle flottait sur l’air
Alors, le XXe siècle est comment ? demanda-t-il.
J’étais au XXe siècle ? s’esclaffa Hector.
L’homme tendit la tablette et continua de parler.
D’après le rapport sur la balle, oui. Elle vaut une fortune maintenant pour les collectionneurs et les musées. Ensuite, d’après un rapport retrouvé dans les archives du ministère de la défense Brésilienne.
Hector n’en croyait pas ses yeux. Il lisait le fameux document qui relatait son contact avec un autochtone. Celui-ci racontait avoir blessé un extra-terrestre. Dehors, un paysage urbain et gris dévalait le long des vitres. L’homme sourit en regardant un groupe d’écoliers attendre sur le trottoir.
Pourquoi avoir ramené une fiole de sang de bœuf ? Votre mission était de récupérer des graines d’arbres et de plantes disparues.
Quand j’ai vu qu’il n’y avait pas d’arbre. J’ai pris ce qui me tombait sous la main. Il y avait des vaches. Alors, j’ai fait un prélèvement. Par contre, j’étais censé débarquer au milieu de l’Amazonie bien avant l’arrivée de Christophe Colomb.
Il y a eu un bug, répondit l’homme. Ce doit être corrigé pour la prochaine expédition.
Le jeune cosmonaute spatio-temporel continuait de lire le rapport datant de 1983. Il trouva rigolo d’être décrit comme un monstre de trois mètres avec des tentacules et de gros yeux ronds. Il rit en lisant avoir été aperçu plusieurs fois durant la nuit, alors qu’il n’était sorti qu’une seule fois. Il comprit pourquoi le dossier n’avait pas été pris au sérieux. Du coup, la hiérarchie ne l’avait pas retenu dans leurs paramètres de probabilité d’incidents possibles. De plus, l’erreur de date  fut à l’origine de cette rencontre avec le policier Arthur Dias de Almeida.
J’ai fait retarder le prochain vol pour dans six mois. Je veux trouver la raison de ce bug de date. Je suppose que vous en serez ?
Je n’hésiterai pas. Les risques en valent la peine, réagit Hector.
Ce n’était pas son premier vol dans le temps. Il aimait visiter le passé de la terre et découvrir ce que l’homme a perdu…ou plutôt détruit. Son seul regret était de garder une combinaison afin d’éviter tout contact avec des maladies disparus, ou d’apporter de nouvelles maladies. Il aurait voulu plonger dans une mer dépolluée ou juste sentir une fleur.
La voiture s’arrêta devant une porte de garage. Elle attendit son ouverture avant de s’engouffrer dans un bâtiment connu pour être abandonné, mais classé « secret défense ».
Alex@r60 – novembre 2023
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claudehenrion · 4 months ago
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Espoir ou naïveté ?
Après quelque 50 jours d'errances apparemment sans raison, sans but, sans fil conducteur et sans aucun espoir de s'en sortir autrement que par le bas, l'irruption de Michel Barnier parmi les ''papabili'' a surpris. Moins, toutefois, que sa nomination à l'Hôtel Matignon, 48 heures plus tard. Pourtant, quand on compare les autres candidats en lice (des esprits de seconde classe ayant à leur actif des succès que personne n'a jamais remarqués), Barnier (technocrate réputé brillant mais, en vérité tout-à-fait terne et pas très malin) est un espoir... inespéré, un Pierrot lunaire.
Je ne suis pas absolument sûr que tout le monde se soit bien rendu compte de la gravité de la situation dans laquelle se trouve la France. Essayons de la résumer : un''round'' d'élections européennes prévu de longue date a donné un résultat catastrophique au parti présidentiel –ce qui n'est pas étonnant : il a tant accumulé d'erreurs et d'horreurs qu'il s'est mis à peu près tout le monde à dos. De colère (NDLR : une vraie colère de gamin mal élevé et trop gâté qui n'a pas appris à se contrôler et casse son jouet, de rage), notre président a tout foutu en l'air... ce qui ne pouvait que créer des problèmes insurmontables, mais sûrement n'en résoudre aucun, quelques soient les mensonges qu'il a inventés par la suite pour faire croire que l'impensable était explicable. Peine perdue : personne ne l'a cru, et c'est très bien comme ça.
Là, retour aux urnes et poursuite de l'opération-vérité : la France est majoritairement à droite, très à droite, même... et le raz-de-marée RN annoncé se concrétise lors du premier tour -càd avant les magouilles. La stupeur de tout se qui penche à Gauche est immense et tourne au désespoir : ''Ces gens qui nous ont percés à jour et veulent la fin du ''Système'' que nous avons si péniblement construit à coups de mensonges et de viol des esprits ne vont tout de même pas nous piquer, en plus, nos prébendes, notre corruption et les places où nous sommes si bien...''. S'en est suivi une opération de viol des foules jamais vue dans l'histoire : en quelques jours, des milliers de marteaux-piqueurs et de marteaux-pilons ont réussi à faire croire à des foules temporairement décérébrées que les diables rouges (NB : Pas les footballeurs belges ! Les ravageurs !) et les soutiens des black-boks –qui n'ont que la destruction sans retour de tout ce qui marche-- étaient moins dangereux que les Droites, automatiquement qualifiées ''d'extrêmes'', sans la moindre raison... ou parce qu'un de leurs ancêtres aurait pactisé avec les boches, accusation qui devrait commencer à être périmée, 80 ans plus tard.
Mais pas du tout ! Un certain nombre de français a mordu au gros leurre brandi par les gauches (mélenchonienne ou macronienne) qui (se) racontaient sans se lasser qu'un parti ayant ramassé, en trichant sans vergogne, dans les 6 millions de suffrages, se classait premier, avant celui qui en avait conquis 11 millions, sans magouilles, lui. Mais ceux-là, le ''Système'' va les faire taire : ils ne sont pas fréquentables... par les infréquentables. On peut en avoir honte, mais bon nombre de ceux qui allaient voter ''RN'' ont retourné leur veste et offert leur suffrage à la pire engeance qui ait jamais pollué nos palais nationaux, la Gauche extrême, celle qui, sans limite, sans raison, sans intelligence... est décidée à créer l'irréparable en rendant les ruptures définitives et sans retour possible : on leur a fait croire le Mal à l'état pur était préférable à une menace i,vntée de toutes pièces. Et le plus honteux, c'est qu'ils ont voté pour la peste et le choléra... et s'étonnent d'être dans la m..... la plus complète !
Dès le réveil de cette ''cuite'', les français ont réalisé ce qu'ils avaient fait, et ont eu honte de cette monstrueuse erreur. Mais là, autre piège : à 98 %, la Presse française ne sait que relayer les mensonges de la Gauche. Et la valse-hésitation qui camouflait la procrastination pathologique du chef est devenu le ''pense-crétins'' soi-disant incontournable de la France : le choix est entre Cazeneuve et Bertrand , la vieille gauche mitterrandienne et la droite-à-gauche chiraquienne. ''Et si vous ne choisissez pas un de ces deux-là, on vous colle Lucie Castets'', un casse-tête qui mérite bien son nom. On comprend mieux le ''Ouf'' de soulagement qui a suivi le choix –contraint et forcé, par absence d'alternative-- de Michel Barnier. .
Dans cette optique, même pour moi qui l'ai fréquenté jeune, il faut applaudir des deux mains, sans attendre : il paraît être le ppcm du pgcd : il présente bien, dans le genre ex-premier prix de thème et ex-gendre idéal, et il a retourné assez souvent sa veste pour que chacun y trouve un peu de ce qu'il cherche. De fait, je constate comme une vague de soulagement autour de moi et chez mes correspondants, et d'ailleurs, les sondages ont très vite bougé dans le bon sens (pour lui). Il faut reconnaître que l'alternative serait tellement terrifiante que le souhait se répand ''Pourvu qu'il tienne, et que le RN (ex-honni, ex-satanique, ex-''extrême'', ex-nazi et ex-que sais-je encore : la Gauche n'a jamais honte d'inventer… ce qu'elle ose prétendre !) soit plutôt grand seigneur et sache ''pardonner les offenses passées''.
Question non posée : ''Hors du blabla convenu, qui est vraiment Michel Barnier ?''. Indépendamment de se dire ''gaulliste et européen'' (sic ! Il faut oser ! Avant la prise de contrôle du vocabulaire par les gauchos, on appelait ça ''un nègre-blanc''), il a été l'homme qui a rédigé le lamentable traité de Lisbonne qui a fait et continue à faire tant de mal et tant de dégâts... Il a été l'homme du Brexit, et il voulait tellement que son fantasme d'une Europe anthropophage prévale qu'il a tout durci pour rendre la fuite de l'Union impossible et pour punir la Grande Bretagne en rendant la suite quasi invivable pour les grands bretons... Il en a profité pour, comme le souhaitait la mère Von der Machin, sacrifier à jamais toute la pêche française, ce qui a fait avancer la triste Europe des technocrates d'un grand pas (vers notre mort). Joli palmarès... Et (petite remarque faite en passant) il n'a jamais réussi à susciter des regrets ou des souvenirs émus, en quittant tous les postes contradictoires qu'il a occupés.
Conclure n'est pas facile : entre le Barnier qu'on nous raconte, celui des mensonges officiels, et celui dont je n'ai pas oublié certains écarts graves de comportement et de jugement, il y a beaucoup à prendre, sans doute, mais beaucoup à laisser. Je vais sans doute surprendre beaucoup d'entre vous, amis-lecteurs, en vous disant que, compte tenu de la gravité désespérée de la situation et de l'horreur des autres solutions actuellement sur la table... il est fondamental ''qu'il ait sa chance''. Car la réponse à ''...et s'il échoue, que se passe-t-il ? '' est si dramatique qu'il devient important qu'il réussisse et qu'il se maintienne au pouvoir... un bout de temps. Comme toujours, derrière mon pessimisme circonstanciel, mon optimisme foncier ne demande qu'à fleurir, ou à refleurir. Vivons d'espoir, c'est tout ce qui nous reste.
H-Cl.
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