#stupeur
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Quelle est la bonne nouvelle apportĂ©e par les bergers ? Pourquoi les bergers vont-ils Ă BethlĂ©em ? Quelle est lâimage que la sociĂ©tĂ© de lâĂ©poque avait des bergers ? Lâannonce des bergers est-elle bien accueillie par tout le monde ? Comment Maria a-t-elle rĂ©agi Ă ces Ă©vĂ©nements ? Pourquoi si peu de mots pour fĂȘter NoĂ«l ?
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NâespĂšre pas jouir, car ton plaisir tâanĂ©antirait. NâespĂšre pas ĂȘtre amoureuse, car tu nâen vaux pas la peine : ceux qui tâaimeraient tâaimeraient pour tes mirages, jamais pour ta vĂ©ritĂ©. NâespĂšre pas que la vie tâapporte quoi que ce soit, car chaque annĂ©e qui passera tâenlĂšvera quelque chose. NâespĂšre pas mĂȘme une chose aussi simple que le calme, car tu nâas aucune raison dâĂȘtre tranquille.
Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements
#Amélie Nothomb#Stupeur et tremblements#livre#book#citation#citation française#littérature#littérature belge#littérature francophone
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#misclb#orlbs#was thinking about this quote again#there were many moments in the movie that left us speechless#this was one of them#HELLO??????????#Stupeur et tremblements#fear and trembling#toxic office yuri hunt
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Mais comment est-ce possible?
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Beached
Definition: To be stranded or hauled up on a beach, âa beached whaleâ
Taehyung groaned, whether it was from pleasure or pain was yet to be discovered. But what he did know, was that he had pushed himself to the absolute limit. A guttural burp, and rumbling fart, simultaneously erupted from his methane filled chambers, as he flopped back against his poor sofa, already straining under his weight - there was only so much more it could take of the 400 pound blubbery land mass.Â
Taehyung inched millimetres forward, in an attempt to soothe his aching gut, but to no avail. The vast, tanned expense, stretched out for what seemed like miles in front of him. A barren, hairless desert, littered with violent and angry stretch marks from an uncontrolled gain. Taehyungâs belly sat in front of him, swollen like he had just eaten the moon, blocking his entire view of the TV - not that he could pay any attention in his gluttonous stupeur. Taehyung had inhaled enough food for a herd of elephants, the usually soft, and pillow like flab, completely taught and threatening to burst. The only part saved from this self-induced pain was Taehyungâs underbelly, which at his size was permanently soft and malleable to the touch. The only problem was the he could no longer reach the favourite part of his belly, he could no longer grope and grab at his marshmallow blubber for hours on end like he used too. Hell, whatâs worse was that Taehyung could no longer reach his one sizeable dick, now reduced to nothing, encompassed completely in hot and sweaty fat.Â
However, just because he was beached like a whale, did not mean that Taehyung was completely spent. Over the years of hedonistic self indulgence, he had learnt to adapt to his ever growing size. Slowly, like time had slowed to half speed, Taehyung began to rut into himself. Too stuffed to bring his monstrously large bum completely off the sunken couch, Taehyung began to rock back and forth - the sweat helping to lubricate his skin that would normally be stuck to the leather. His thighs, welded together from the sprawling cellulite, wobbled profusely from the minute movement, rubbing against Taehyungs member. Within seconds, Taehyung could feel himself getting excited, blood rapidly moving south, as his breath began to accelerate - out of pleasure, but also exhaustion.Â
âEurgh, huff, arghâ. A symphony of huffing and panting resounded throughout Taehyungs apartment, littered with crumbs and wrappers, accompanied by a cacophony of slapping and squelching sounds, from the sea of flab: lower and underbelly sloshing against each other, love handles rolling against the sweat dripped sofa, and boobs sloshing against his triple chins. With one final exhausted moan, Taehyung felt himself cum against his wet and hot fupa, a river of white running through the valley of his fat. Taehyung would figure out how to clean himself later, for now, he lay flopped against the sofa, red in the face, panting, with one final rumbling fart, gas released from movement of his land mass, before he fell into an exhausted slumber.Â
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Ah la la la la. Yâa 2cm de neige et vous en faites tout un fromage! Laissez moi vous raconter une petite histoire.
Il y a de cela environ 1 an, une courageuse Française décide de venir au Québec début décembre.
Son avion atterrit et, surprise! Pas de neige et un bon gros 10âC! Elle sâĂ©tonne et demande:
- Mais câest pas supposĂ© ĂȘtre lâhiver?
- Bienvenue au Quebec! RĂ©pondit son hĂŽte.
La journĂ©e passe, puis la nuit. Au petit matin, Ă peine les yeux ouverts elle dĂ©couvre avec stupeur 35cm de neige au sol. Elle sâĂ©tonne de nouveau:
- Mais mais mais!!! Quâest-ce que câest que tout ça?
- Bienvenue au Quebec! RĂ©cidiva son hĂŽte.
Pensant que son sĂ©jour Ă©tait fichu et prĂȘte Ă googler « comment hiberner », son hĂŽte lui propose une sortie. Sur les routes enneigĂ©es elle est rapidement confrontĂ©e, Ă un feu de circulation, Ă la voiture qui les prĂ©cĂšde qui refuse dâavancer. La route Ă©tant en pente montante, la neige empĂȘche cette derniĂšre dâavancer ne serait-ce que dâun centimĂštre. Câest alors que son hĂŽte dĂ©tache sa ceinture de sĂ©curitĂ© et sort de la bagnole. Persuader quâelle va aller lâengueuler, elle se cale dans le siĂšge.
Et pourtant⊠non! Son hĂŽte fait signe au conducteur de se remettre en marche pendant que lâhĂŽte pousse de toute ses forces derriĂšre la voiture pour lui permettre dâavancer. Une fois de retour dans la voiture, la petite Française dĂ©clara:
- Ah ben en France il aurait fait avancer la voiture Ă grands coups de connard!
- Bienvenue au QuĂ©bec! Sâamusa son hĂŽte.
Deux jours plus tard une activitĂ© extĂ©rieure est organisĂ©e. LâhĂŽte offre tuque (bonnet) et mitaines (gants) Ă son invitĂ©e qui les accepte sans trop de conviction. Une fois Ă lâextĂ©rieur la rĂ©alitĂ© la frappe en plein visage! En 48h la tempĂ©rature Ă©tait passĂ©e de 4âC Ă -22âC!
- Câest quoi ce bordel! Clamant complĂštement frigorifiĂ©e lâinvitĂ©e.
- Ah ben⊠Bienvenue au Québec! Se contenta de répondre son hÎte.
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Plus quâune semaine avant le grand retour de la Française en sol quĂ©bĂ©cois en hiver! Jâai hĂąte. On annonce la premiĂšre tempĂȘte de lâhiver justement le 1re dĂ©cembre đ€Ł. On va rĂ©frigĂ©rer la moitiĂ© du club de seniors ^^.
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Ă l'heure oĂč les rayons du soleil Caressent horizontalement la plaine Projetant les ombres des ormes vers l'orĂ©e de la forĂȘt et de lâobscur, Je croisai son regard.
Les semelles noyĂ©es, chaque pas m'Ă©tais lourd Bruyant d'humiditĂ© et de roseaux froissĂ©s Je me rĂȘvais mystĂ©rieux Ă longer le boqueteau quand la silhouette mâeffraya. Je me retrouvai chancelant, caduc.
Caduc et honteux, devant l'animal déboisé: La forme était grande et majestueuse, aux longues jambes élancées. La robe était mouchetée et lisse, telle un champ de lin couché aprÚs un orage d'été. J'étais boueux, tremblant de honte et de stupeur.
Elle se tourna vers moi, au travers du champ, Et, maternelle, elle parti, m'abandonnant aprĂšs s'ĂȘtre retournĂ©e une derniĂšre fois, Ses yeux sombres me traversant par dessus son garrot. Je me prĂ©cipitais sans un mot, ahuri.
Tant bien que mal, je sortais mes genoux des remous et de la tourbe. MalgrĂ© mes efforts, la silhouette s'Ă©loignait, disparaissant entre deux clairiĂšres, Semblant jouer Ă m'attendre et se laisser cacher derriĂšre les arbres, au milieu de la nuit tombĂ©e. Jâavais dĂ©jĂ trouvĂ© une dizaine de façons de la heller.
Mes chausses atteignirent le sol dur d'une dĂ©partementale Puis longĂšrent un temps une nationale, derriĂšre le parapet. Des voitures pressĂ©es aux phares perçants dessinaient de temps Ă autre l'animal. Je me surpris ïżœïżœ courir Ă en brĂ»ler mes poumons.
HallucinĂ©, Ă©reintĂ©, c'est la ville qui se dĂ©couvrait pourtant Ă mes yeux. Dans un Ă©lan de luciditĂ© je reconnaissais dĂ©jĂ la grande rue. Et pourtant il me semblait toujours distinguer la bĂȘte, entre coins de rues et vitrines sombres. J'entendis mĂȘme le bruit de ses pas sur les pavĂ©s.
Et Ă l'heure oĂč les rayons du soleil Dessinent enfin horizontalement le contour de la ville Projetant les ombres des formes, des bĂątiments sur l'impasse Ă©troite et l'animal enfin arrĂȘtĂ©. Elle se tourna, en silence, et me chargea.
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Viens on s'enferme
on se déco viens
on pose des murs
Ă©pais contre l'orage
des murs couvertures
des parquets de livres
avec tous les coussins
on sort les matelas
pose la lampe au sol au
plus bas au murmure
Ă©teins tout et tremble
en Ă©coutant l'orage
sans Ă©cran sans un cri
oublie jette l'actu
on s'Ă©chappe on fugue
dans un chĂąteau fort
de draps de tendres draps
Ă la douceur qui suspend
les gros titres tout ce sang
partout les débris les
pfff les discours de folie
viens on s'Ă©vade un peu
on prend le large une heure
allongés dans le profond
silence des stupeurs
On s'enferme encore
juste une heure ou deux
de plus une ou deux nuits
Ă moins dormir Ă moins
rĂȘver d'un peu de paix
d'un peu de joie perdue
et la tendresse, qui encore
en parlera sans maudire
sans hurler sans mentir
Allez viens on s'endort
on se réveillera bien tÎt
pour s'Ă©merveiller un peu
d'une Ă©toile ou d'un sourire
de choses simples naĂŻves
un peu jolies à protéger
ne pas oublier de tout ranger
demain pour aller en forĂȘt
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When I saw the film adaptation of Amélie Nothomb's Stupeur et Tremblements I thought it was a gross exaggeration and kind of whiny but actually insanely evil people like that actually do exist.
Since becoming an adult I've been pretty confident in myself as a person but this past year and a half I have been working with quite possibly one of the evilest people to walk this earth and now on a daily basis I have to chant self-affirmations to myself like a mantra: "I like myself, I'm not worthless or bad, I'm okay, I'm okay." Some people just really don't like people to have any confidence or self-respect whatsoever. I just have to keep telling myself that people like that couldn't possibly be truly happy with their lives.
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Les gens célÚbres, on a l'impression qu'ils sont là depuis toujours et pour toujours. Quand ils s'en vont, c'est un peu la stupeur, un peu comme un glissement de terrain, un trou dans la couche d'ozone, une partie d'un paysage sentimental qui s'évapore sans prévenir. Comme s'ils faisaient, eux, ces étranges reconnus, partie de la famille, de toutes les familles, inconsciemment adoptés qu'ils sont : fond d'écran, images récurrentes, mélodies familiÚres qui finissent par habiter un peu tout le monde, qu'on le veuille ou non. Année aprÚs année ils font partie du décor, sont le décor, l'ambiance sonore ; des présences parallÚles partagées par tous avec passion ou indifférence. Il croise dans nos vies depuis si longtemps...
Pour les avoir imaginĂ©s plus beaux et plus forts que la mort, c'est leur disparition qui vient sonner violemment le rappel : oui, nous sommes bel et bien tous mortels. Et c'est pour cette raison, aussi, que leur effacement frappe autant les cĆurs et les esprits.
jacques dor
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Aussi longtemps qu'il existerait des fenĂȘtres, le moindre humain de la terre aurait sa part de libertĂ©.
Amélie Nothomb
"Stupeur et tremblements".
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Si le langage Ă©tait une forĂȘt, mâĂ©tait-il possible de cacher, derriĂšre les hĂȘtres français, les tilleuls anglais, les chĂȘnes latins et les oliviers grecs, lâimmensitĂ© des cryptomĂšres nippons, qui en lâoccurence eussent Ă©tĂ© bien nommĂ©s ?
Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements
#Amélie Nothomb#Stupeur et tremblements#livre#book#citation#littérature#littérature belge#littérature francophone
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Macron est en train de liquider notre pays. Je ne parle mĂȘme pas de la dĂ©structuration systĂ©matique des services publics, pour ensuite affirmer quâils ne fonctionnent pas, de la volontĂ© de dĂ©bilitation de la sociĂ©tĂ© avec la fin de lâenseignement Ă lâĂ©cole. AprĂšs avoir dĂ©truit lâĂ©conomie française, Macron est en train de dĂ©pecer le pays, pour envisager sĂ©rieusement dâenvoyer des Français sur le front ukrainien mourir pour lâAtlantisme. Parce que soi-disant, « la sĂ©curitĂ© des Français se joue en Ukraine ». Non, câest lâavenir de ce pouvoir atlantiste et mondialiste, qui sây joue. Il est prĂȘt Ă sacrifier la France. Cet individu nâest pas fou, il dĂ©fend froidement le systĂšme mondialiste, qui lâemploie.
Une lĂ©gende de lâune de nos rĂ©gions riches dâhistoire, dont la diversitĂ© dâensemble a longtemps fait la richesse, dĂ©sormais perdue, de la France, nous conte lâhistoire dâAnkou, qui ne reprĂ©sente pas la mort en elle-mĂȘme, mais son serviteur : son rĂŽle est de collecter les Ăąmes des dĂ©funts, remplissant ainsi un rĂŽle de « passeur dâĂąmes ». Il est l'ouvrier de la mort. On dit aussi que celui qui aperçoit lâAnkou meurt dans lâannĂ©e. On rapporte parfois que le dernier mort de lâannĂ©e, dans chaque paroisse, devient lâAnkou pour lâannĂ©e suivante. A Ploumilliau, lâAnkou prĂ©sent dans lâĂ©glise porte la faux et la pelle, il est Ă la fois meurtrier et fossoyeur.
Macron est lâAnkou de la France et des Français, portant la faux et la pelle, Ă la fois meurtrier et fossoyeur. Cela se confirme sur tous les fronts : il mĂšne la bataille ultime contre notre pays.
Nous avons eu droit à une destruction systématique de notre tissu économique, pour arriver à des chiffres inquiétants.
Vous pensez sincĂšrement que c'est le rĂ©sultat dâune erreur politique ou stratĂ©gique ? Nâoublions pas que les PMI/PME sont la force vive de la France, elles constituent cette classe moyenne forte, ancrĂ©e dans le pays. Elles incarnent tout ce qui dĂ©range dans le cadre du mondialisme, comme les paysans, propriĂ©taires de leurs terres. Ces derniers ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© assassinĂ©s, pour les premiers, c'est en cours.
Le dĂ©pĂšcement physique de la France accompagne ce quâil reste de notre pays meurtri dans sa chair et dans son Ăąme. Les rĂ©gions, dont la diversitĂ© culturelle a toujours fait la richesse de notre pays, sont conduites sur la voie de la sĂ©cession. Il suffit pour cela de trouver les « bonnes personnes » et les bonnes carottes. La boĂźte de Pandore a Ă©tĂ© ouverte avec la Corse, dont lâaccord sur lâautonomie de lâĂźle va ïżœïżœ lâencontre du principe sur lequel la France sâest constituĂ©e depuis la fin de la fĂ©odalitĂ© : lâunion. Voici lancĂ©, le processus nĂ©o-fĂ©odal de dĂ©construction de lâEtat, en reconnaissant des peuples Ă lâintĂ©rieur du peuple français et en octroyant une autonomie lĂ©gislative. Gilles Simeoni, prĂ©sident autonomiste du conseil exĂ©cutif de Corse, a estimĂ© quâun pas dĂ©cisif avait Ă©tĂ© franchi et s'est fĂ©licitĂ© d'avoir obtenu pour la Corse un pouvoir lĂ©gislatif validĂ© par le conseil constitutionnel. Il est enthousiaste : l'Ă©tendue et les modalitĂ©s de ce pouvoir relĂšveront d'une loi organique, « reste Ă gagner cette demi-finale, puis plus tard, la finale ».
DĂ©sormais, les « autonomistes », pour ne pas dire « sĂ©cessionnistes » dâautres rĂ©gions, peuvent ĂȘtre activĂ©s Ă la suite des Corses, afin de dĂ©pecer le cadavre-France.
Pour accompagner cette marche funĂšbre, Macron met les Français en Ă©tat de stupeur en leur annonçant, lĂ©gĂšrement, qu'il va bien falloir y aller, sur le front ukrainien. Car le monde global se joue lĂ -bas et il faut bien payer la facture. Dans Le Monde : Le prĂ©sident de la RĂ©publique est songeur. La situation en Ukraine [âŠ] se dĂ©grade. La guerre sâenlise. « De toute façon, dans lâannĂ©e qui vient, je vais devoir envoyer des mecs Ă Odessa ».
De cette maniÚre détachée, parfaitement cynique, il répond à la question que se posent les Français : il va vraiment falloir y aller ?
Comme le confirme la légende, en faisant le compte de ses victimes, cet Ankou est particuliÚrement méchant.
Rybar FR
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Stupeur chez les comploplo, Candace Owens nâa en fait aucune preuve que Brigitte Macron est un homme. Sont tout déçus les biquets.
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La rencontre
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Le mercredi 11 mai 1983, Arthur Dias de Almeida est appelĂ© pour intervenir prĂšs de la ville de Sinop dans le Mato Grosso. En effet, dâĂ©tranges lumiĂšres ont Ă©tĂ© aperçues au-dessus de la campagne et de constructions neuves. Le policier ne fut pas le seul Ă avoir Ă©tĂ© sollicitĂ©. Deux avions de chasse brĂ©siliens dĂ©colĂšrent, aprĂšs le survol de lâAmazonie par un engin inconnu, et toujours Ă cĂŽtĂ© de la ville de Sinop.
Au dĂ©but, Arthur pensait avoir Ă faire Ă des braconniers ou des trafiquants dâor. Il pensait aux phares de leur jeep vus de loin par quelques fermiers. Dâailleurs, il sâattendait Ă les croiser au dĂ©tour dâun carrefour. Mais aprĂšs une dizaine de minutes Ă scruter les environs, il dĂ©couvrit avec stupeur que lâorigine de cette luminositĂ©, venait du ciel. En effet, il aperçut au loin ce qui ressemblait Ă un cigare volant dont les bords rayonnaient.
AprĂšs un moment de stupĂ©faction, il appela le commissariat afin dâobtenir de lâaide. Puis, il profita du dĂ©placement extrĂȘmement lent du vĂ©hicule, pour le suivre. Arthur demeurait fascinĂ© par cette chose. Il se demanda si lâengin Ă©tait habitĂ©. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce une sorte de ballon sonde ou dâune expĂ©rience militaire ? La base nâĂ©tait pas trĂšs loin. Dâailleurs, il entendit les deux avions de chasse passer Ă toute vitesse.
LâOVNI continua de se dĂ©placer lentement. Il ne faisait pas de bruit, et se limitait Ă avancer au-dessus des bords de lâAmazonie. Enfin de ce qui en restait, car tout avait Ă©tĂ© rasĂ© pour construire des fermes et des quartiers rĂ©sidentiels. Un appel provenant de la radio avertit Arthur de lâarrivĂ©e de renfort. En attendant, il ne devait rien faire.
Le policier sâarrĂȘtait de temps en temps pour rassurer des habitants sortis regarder le vaisseau volant. Il parlait calmement, prĂ©venant que tout Ă©tait sous contrĂŽle et quâils pouvaient retourner chez eux. Puis, il repartait en direction des lumiĂšres visibles de la machine volante. Les avions militaires continuaient de tourner autour dâelle sans pour autant la gĂȘner.
Cela dura un bon quart dâheure lorsquâArthur rĂ©alisa quitter lâagglomĂ©ration. Lâobjet non identifiĂ© continua de voler puis sâarrĂȘta brusquement au-dessus dâun enclos. DĂšs lors, lâagent descendit de sa voiture, continuant Ă pieds, la main posĂ©e sur son arme vers le champ, qui ne prĂ©sentait rien de particulier.
Câest alors quâune lumiĂšre jaune sortit de lâengin jusque sur le chemin. Arthur nâen croyait pas ses yeux, une forme vivante semblait descendre en glissant par le rayon. AussitĂŽt, le policier courut pour mieux voir lâindividu. Il voulait ĂȘtre le premier homme Ă entrer en contact avec ce qui paraissait ĂȘtre Ă©vident, un extra-terrestre. Soudain, une rĂ©flexion envahit son esprit : « Et sâil Ă©tait dangereux ? »
Plus il avançait, plus la raison poussait le policier Ă fuir. MalgrĂ© la peur au ventre, il continua dâapprocher du point de chute de la lumiĂšre jaune. Il nâĂ©tait plus trĂšs loin. Arthur remarqua une Ă©table, les portes grandes ouvertes. Il nây avait rien dans lâenclos. Il entendit le meuglement de quelques vaches. Celles-ci ne semblaient pas paniquer. Il approcha furtivement lorsquâil vit quelque-chose sortir du bĂątiment.
Ăa portait une combinaison de cosmonaute. Son casque empĂȘchait de voir sa tĂȘte. Il sortit calmement de lâĂ©table puis sâarrĂȘta, tout-Ă -coup, au milieu du chemin. Il ne remarqua pas lâagent Dias de Almeida, prĂ©fĂ©rant observer les arbres de lâautre cĂŽtĂ© de lâenclos. Dans le ciel, on ne remarquait plus lâOVNI qui pourtant, continuait de stagner, sans faire de bruit, au-dessus de lâAlien.
Ne bougez-pas ! cria Arthur.
Lâextra-terrestre tourna la tĂȘte. Il fit un mouvement de recul quand il dĂ©couvrit le policier en train de pointer son arme. Il ne prononça aucun mot et attendit sagement pendant quelques secondes. Arthur ne savait que faire. Il braquait la chose en rĂ©alisant que personne ne savait oĂč les trouver. Tout-Ă -coup, le visiteur posa brutalement sa main sur son ceinturon. Arthur comprit quâil cherchait une arme et sans hĂ©siter, il tira vers lâextra-terrestre.
Mais quâai-je fait ?
Il rĂ©alisa avoir oubliĂ© les sommations dâusage. TouchĂ© Ă lâĂ©paule, lâET entra prĂ©cipitamment dans lâĂ©table, immĂ©diatement suivi par Arthur Dias de Almeida. Ce dernier tendait son arme et ciblait toutes les vaches qui se prĂ©sentaient. Il marchait en tournant sur lui-mĂȘme. Il chercha partout, dans tous les recoins de la grange. Lorsquâil entendit un grincement, il aperçut le cosmonaute qui sortait en courant. Le policier tira une seconde fois avant de pourchasser le fuyard.
Mais en sortant, il nây avait plus personne. Il leva les yeux. LâOVNI Ă©clairait le ciel comme un feu dâartifice. Il sâĂ©loignait dâabord lentement. Puis dâun claquement de doigt, il disparut totalement, ne laissant dâune petite trainĂ©e blanche Ă la place. Au mĂȘme moment, les deux avions de chasse annoncĂšrent avoir perdu de vue le vaisseau inconnu en forme de cigare.
Hector Baumann quitta lâhĂŽpital tout de suite aprĂšs lâopĂ©ration. Il gardait cependant son bras en Ă©charpe afin dâimmobiliser lâĂ©paule blessĂ©e. La portiĂšre dâune voiture attendant sur le parvis sâouvrit, lâinvitant Ă entrer. Un homme attendait patiemment en lisant une tablette. Il ne regarda pas Hector sâassoir. La voiture dĂ©marra aussitĂŽt dans un silence incroyable. Elle nâavait pas de roue, elle flottait sur lâair
Alors, le XXe siÚcle est comment ? demanda-t-il.
JâĂ©tais au XXe siĂšcle ? sâesclaffa Hector.
Lâhomme tendit la tablette et continua de parler.
DâaprĂšs le rapport sur la balle, oui. Elle vaut une fortune maintenant pour les collectionneurs et les musĂ©es. Ensuite, dâaprĂšs un rapport retrouvĂ© dans les archives du ministĂšre de la dĂ©fense BrĂ©silienne.
Hector nâen croyait pas ses yeux. Il lisait le fameux document qui relatait son contact avec un autochtone. Celui-ci racontait avoir blessĂ© un extra-terrestre. Dehors, un paysage urbain et gris dĂ©valait le long des vitres. Lâhomme sourit en regardant un groupe dâĂ©coliers attendre sur le trottoir.
Pourquoi avoir ramenĂ© une fiole de sang de bĆuf ? Votre mission Ă©tait de rĂ©cupĂ©rer des graines dâarbres et de plantes disparues.
Quand jâai vu quâil nây avait pas dâarbre. Jâai pris ce qui me tombait sous la main. Il y avait des vaches. Alors, jâai fait un prĂ©lĂšvement. Par contre, jâĂ©tais censĂ© dĂ©barquer au milieu de lâAmazonie bien avant lâarrivĂ©e de Christophe Colomb.
Il y a eu un bug, rĂ©pondit lâhomme. Ce doit ĂȘtre corrigĂ© pour la prochaine expĂ©dition.
Le jeune cosmonaute spatio-temporel continuait de lire le rapport datant de 1983. Il trouva rigolo dâĂȘtre dĂ©crit comme un monstre de trois mĂštres avec des tentacules et de gros yeux ronds. Il rit en lisant avoir Ă©tĂ© aperçu plusieurs fois durant la nuit, alors quâil nâĂ©tait sorti quâune seule fois. Il comprit pourquoi le dossier nâavait pas Ă©tĂ© pris au sĂ©rieux. Du coup, la hiĂ©rarchie ne lâavait pas retenu dans leurs paramĂštres de probabilitĂ© dâincidents possibles. De plus, lâerreur de date  fut Ă lâorigine de cette rencontre avec le policier Arthur Dias de Almeida.
Jâai fait retarder le prochain vol pour dans six mois. Je veux trouver la raison de ce bug de date. Je suppose que vous en serez ?
Je nâhĂ©siterai pas. Les risques en valent la peine, rĂ©agit Hector.
Ce nâĂ©tait pas son premier vol dans le temps. Il aimait visiter le passĂ© de la terre et dĂ©couvrir ce que lâhomme a perduâŠou plutĂŽt dĂ©truit. Son seul regret Ă©tait de garder une combinaison afin dâĂ©viter tout contact avec des maladies disparus, ou dâapporter de nouvelles maladies. Il aurait voulu plonger dans une mer dĂ©polluĂ©e ou juste sentir une fleur.
La voiture sâarrĂȘta devant une porte de garage. Elle attendit son ouverture avant de sâengouffrer dans un bĂątiment connu pour ĂȘtre abandonnĂ©, mais classĂ© « secret dĂ©fense ».
Alex@r60 â novembre 2023
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