Tumgik
#sssaura
rebelletesjr · 4 years
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Ever since the pandemic .. I never went out except in nearby locations or if Jerald was too feverish to go out .. today, I had to check on certain records especially Jerald's because something was suspicious about them .. #goalcomplete #wearamask Literally, there were only a handful of people inside ... #justmeinmylonesomehappiness #rainydays #morningrun Everyone was #allhandsondeck even the #evercheerful but #firm #securityguard in assisting people until there were only a few .. #onehourobservation A #gisellestagram and #gisellescablechannel moment in #sssaura #fastandefficient (at Sss , 7th Floor. Sm Aura Taguig City) https://www.instagram.com/p/CDOileLBxxf/?igshid=5gl5yzdv28cj
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vg11k · 6 years
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Resurrection - ch10
Les destructions qu’avait subies la cité étaient encore plus importantes que celles décrites par les rumeurs. Les bâtiments étaient éventrés. Des cadavres en état de décomposition ponctuaient chaque rue, festin d’animaux charognards qui ne fuyaient pas sa présence. Et partout, cette odeur de soufre la prenait à la gorge, faisait peser la sensation permanente d’être dans l’antre du démon lui-même. La cité était moins que l’ombre de ce qu’elle avait été. Elle était véritablement damnée. Et lorsqu’elle tournait son regard vers l’Est, les vapeurs et hurlements d’agonies ne laissaient rien présager de bon…
Finalement, elle déboucha sur la rive du Stir et put revoir cette ile qu’elle n’avait contemplée depuis son départ. A cette vision son cœur se resserra. De nombreuses fumées sortaient de plusieurs ouvertures et pour ce qu’elle voyait, pas un des si beaux vitraux ne subsistaient. L’abbaye autrefois si fièrement dressée sur le monticule de roche semblait voûté sous les coups de boutoirs qu’avait subis Mordheim.
Le pont également était endommagé. Un pilier de soutènement c’était effondré et plusieurs sections entières de pavées avaient dégringolées dans l’abîme grondant, une trentaine de mètres plus bas. Aucun charriot ou même monture ne pourrait plus le traverser, mais pour un individu à pied, c’était encore chose possible. Elle sauta plusieurs précipices sans vraiment penser aux flots n’attendant qu’elle, puis enjamba une carriole renversée en travers de l’allée, criblée de flèches. Ici et là gisaient les corps des assaillants. La puanteur de leurs dépouilles la prenait à la gorge. Mais elle n’avait d’yeux que pour l’édifice. Plusieurs tours défiaient encore les cieux tandis que les autres n’étaient plus qu’amas de gravats. Le cœur de l’abbaye, une solide forteresse, semblait avoir mieux résisté au souffle de la catastrophe. Toutefois, c’était de ses fenêtres et balcons que s’échappait l’épaisse fumée noire qu’elle avait vu de si loin.
Rapidement, elle contourna un tas de charognes et passa sous la herse d’acier éventrée avant de pénétrer dans la cour intérieure. Plusieurs corbeaux fuirent son approche en croassant péniblement. Il n’y avait nulle écurie à l’Abbaye du Roc. Les sœurs n’utilisaient pas de chevaux. Autrefois, les auberges proches se faisaient une joie de garder les montures des pèlerins. Elle traversa l’espace à ciel ouvert, le sable rougeâtre crissant sous ses bottes renforcées, puis posa la main sur le bois de la porte principale. Les souvenirs de son arrivée étant encore jeune fille, comme de son départ en furie il y a quelques années, lui revinrent à la figure avec la force d’un coup de tonnerre. Les épaules crispées, elle ne put que serrer les poings à s’en rendre les phalanges douloureuses sans réussir à retenir ses sanglots. Mais l’instant de faiblesse passa rapidement. Elle essuya ses yeux embués d’un revers et après un regard vers le ciel, se glissa dans la brèche taillée à coups de hache dans le bois renforcé.
A l’intérieur tout n’était que cendres et puanteur de la décomposition. Des cadavres, humains pour certains et pas totalement pour d’autres, ponctuaient régulièrement ses pas. Les tentures finement brodées par ses ainées avaient été décrochées, déchirées et maculées d’humeurs nauséabondes. Le mobilier était renversé en travers des couloirs, fracassé pour la majorité. Les étagères qui n’avaient pas été mises à bas étaient grandes ouvertes, plusieurs successions de pilleurs ayant déjà fait leurs offices. Elle ne s’arrêta pas là et alla droit à la chapelle principale. Elle ne courrait pas mais marchait calmement, telle une condamnée se dirigeant à la potence.
La porte en chêne massif pendait lamentablement sur ses gonds et grinça lorsque la femme entra. L’ampleur du cauchemar s’offrit à elle. Elle avait finalement retrouvé ses sœurs, mais n’y trouva nulle joie. Nul réconfort. Seulement la mort.
Elle renifla bruyamment en abaissant sa capuche blanche, maintenant tachée par la suie. Ses cheveux bruns tombèrent en cascade sur ses épaules alors qu’elle s’avançait dans la nef centrale. Elle passa entre les bancs renversés et enjamba l’un des lustres écrasés. Le marteau à sa hanche produisit une note grave en toquant sur l’une des barres de métal, la faisant frissonner. Mais elle s’arrêta avant le chœur. Une épaisse flaque de sang reposait devant ses pieds. Elle releva lentement les yeux et poussa un hoquet de surprise. C’est en se cachant la bouche de ses deux mains qu’elle identifia sa sœur, pendue au lustre par des fers plantés dans ses mollets. L’augure était facilement reconnaissable à son crâne rasé à l’exception d’une unique natte par laquelle gouttait son sang. La pauvre femme, aveugle, avait l’ensemble du corps écarlate.
Contournant la tâche coagulée sur le sol, la nouvelle venue continua en avant d’un pas de moins en moins assuré. Gravir les quelques marches du chœur fut une nouvelle épreuve. Ses semelles lui semblaient de plomb et collaient à la pierre poisseuse. Et lorsqu’elle y parvint, ce fut pour s’écrouler au pied de l’autel, hurlant sa souffrance et laissant éclater des sanglots trop longtemps retenus.
La matriarche était allongée sur l’autel couvert de sang séché. Ses habits avaient été arrachés et elle portait les traces de milles sévices. La survivante tenta de ne pas ciller, mais elle ne put contempler l’horreur une seconde de plus. Par Sigmar, la pauvre femme avait les yeux crevés et était bâillonnée avec ses propres entrailles !
Les joues ruisselantes de larmes, elle resta à genoux, n’ayant cure de ses habits qui virèrent écarlates. Devant elle, tout aussi souillées que leur guide spirituel, ses sœurs la contemplaient. Pour celles qui avaient encore leurs yeux, voire leurs têtes. Novices, Sœurs et Sœurs supérieures. Toutes avaient été crucifiées dans la chapelle, formant un arc-de-cercle de plusieurs rangs autour de l’autel. Chacune d’entre elle présentait des tortures plus abominables que ses voisines. Plus d’une quarantaine de corps avaient été abandonnés aux oiseaux charognards qui avaient pénétrés par les vitraux éclatés.
Je vous vengerais… murmura-t-elle entre deux sanglots. Je vous en fais la promesse mes sœurs, vos tourments ne resteront pas impunis !
Prononçant ces serments, elle se redressa. Lentement. Puis hurla à plein poumons sa douleur et sa colère. L’écho de sa détresse, amplifié par le cœur de l’abbaye, résonna jusque sur les quais du fleuve.
*
Son regard écarlate luisait dans les ténèbres. D’un pas assuré, il progressait parmi les ombres. Jamais il n’avait arpenté ces étroits couloirs, mais il savait quelle direction prendre. Skrash n’était plus très loin. Quelques minutes plus tard, il se tenait au-dessus du corps mutilé de la bête à fourrure.
Qu’est-ce que c’est que ça, renifla l’humain en arrivant quelques instants plus tard.
Levant la torche un peu plus haut, Jack éclaira la dépouille du skaven.
Un rat ! cracha-t-il en faisant un pas en arrière. Vous m’avez amené jusqu’ici pour…
Un ssserviteur, coupa Mandrak en lui jetant un regard glacial.
Son ton n’admettait aucune réplique. Et le monte-en-l’air se garda bien d’ajouter un commentaire. Il garda le silence, se contentant d’attendre la suite des évènements. Ce monstre l’avait facilement vaincu en combat singulier. Il réalisait maintenant que le mort-vivant n’avait fait que jouer avec lui comme un chat avec une souris. Et cette pauvre femme avait fait les frais de son impuissance. Eponine…
Il se força à rester calme et ne rien laisser paraître. Mandrak avait fait bien plus que lui enrouler l’écharpe autour du cou pour endiguer l’hémorragie, manquant au passage de l’étrangler. Il lui avait laissé ses dagues et lames-matraques. Ce démon aux crocs acérés étudiait l’éboulis derrière le cadavre du rat avec une curiosité innocente. Et pourtant en lui laissant ses armes, il lui faisait clairement comprendre qu’il ne le craignait pas. Et qu’il le tuerait sans sourciller si l'assassin ne satisfaisait pas ses désirs. Brusquement, Mandrak replia les jambes et examina un détail au sol, presque agenouillé. Jack n’aurait su dire s’il le mettait au défi de déjà le trahir ou s’il ne s’en souciait déjà plus…
Des ssssaurus… murmura-t-il en se redressant tout aussi soudainement.
Il revint au tas de fourrure puant, visiblement excité.
Il y a des sssaurus dans sssette sssité, qui l’eut cru…
Sans vouloir vous offenser… qu’est-ce qu’un…
Le regard que lui lança le vampire foudroya à nouveau le mercenaire. Il retint son souffle quelques instants. Mais l’expression meurtrière du mort-vivant passa aussi vite qu’elle était apparue.
Des hommes-lézards, déclara-t-il distraitement sans daigner lui accorder un regard.
Il se pencha et prit d’une main ferme le corps qu’il souleva sans peine apparente.
Ils vivent en Lussstrie, de l’autre côté de l’Ossséan, poursuivit-il en étudiant la carcasse d’un œil critique. J’ignore ssse qu’ils font à Mordheim. Peut-être lui le sssaura…
Cette… chose ? Renâcla-t-il. Vous êtes capables de faire parler les morts ?
Qui te dit qu’il est mort ?
Comme pour confirmer ces dires, la chose eu un hoquet et cracha un peu de sang. Jack fit un bond en arrière, puis s’obligea à retrouver sa contenance. Déjà, la créature retrouvait le calme d’un trépassé. Mandrak esquissa un sourire moqueur.
Mort ou pas, il n’en a plus pour longtemps, nota le Serpent alors que le corps brisé gouttait du sang sous leur yeux.
Dubitatif, le vampire leva le bras un peu plus haut afin d’examiner son esclave. Il haussa les épaules.
N’ai crainte. Il posssède plus de resssources qu’il n’en a l’air.
Et il reparti d’où ils venaient, laissant planté là l’humain perplexe.
Mais… Tout ce chemin… c’était uniquement pour cette chose à moitié morte ! Osa-t-il protester.
Tu sssouhaites partager ssson sssort ? interrogea Mandrak en lui jetant malicieusement un coup d’œil par-dessus son épaule.
La lueur de la torche se refléta quelques instants dans le regard vermeil du mort-vivant. Aussi Jack s’empressa-t-il de lui faire signe que non.
*
Utilisant le manche de son marteau comme un levier, la sœur rescapée s’arc-bouta et parvint à faire sauter les gonds de la pièce tant convoitée. Elle s’essuya le front et y répandit un peu plus de suie, puis inspira avant d’entrer. Elle était incapable d’esquisser le moindre sourire en trouvant finalement ce qu’elle était venue chercher dans la réserve interdite. Seul le désespoir animait ses traits.
C’est avec précaution qu’elle sortit un à un les tonnelets de poix. Lors de son arrivée, elle n’avait remarqué aucune trace d’incendie devant les grilles. Ses ainées n’avaient pas eu l’occasion de s’en servir. Les cadavres indiquaient au contraire qu’elles avaient luttés furieusement pour chaque mètre concédé. Si leurs corps avaient été brisés et leur mémoire bafouée, au moins leur honneur était sauf. Piètre consolation… Mais ainsi elle pourrait offrir le repos que ses sœurs méritaient. La fournaise effacerait les sévices infligés à ses sœurs et serait le premier pas de la survivante sur le sentier de la rédemption.
C’est en déplaçant le dernier baril qu’elle remarqua un détail insolite. Une vaste partie de la réserve, située au plus profond de la forteresse, avait été dégagée. Mais restait vide. Sentant la colère recommencer à bouillir dans ses veines, elle s’avança plus avant dans l’obscurité et mit au jour un gouffre obscur. Cet endroit était l’un des rares de toute l’abbaye à ne pas être pavé de dalles, mais elle savait que ce puit n’était pas là à son départ. La roche grossièrement taillée et les gravats environnants témoignaient de l’excavation récente. Des pilleurs au culot et aux moyens effrayants c’étaient creusés un chemin à travers la roche du fort pour venir y dérober ce qu’il recelait. Mais de quoi pouvait-il s’agir ?
Déposant son marteau de guerre, elle examina la pièce avec plus d’attention. Toute une partie de la zone avait été ratissée pour ne rien laisser de ce qu’il y avait eu là. Toutefois, en y regardant bien, une fine couche de poussière subsistait. Elle y passa le doigt et le portant à hauteur d’yeux, constata avec étonnement que celle-ci luisait faiblement. Elle fronça les sourcils, l’incompréhension venant s’ajouter à sa peine.
Mes sœurs… qu’avez-vous fait…
Quelques minutes plus tard, elle se trouvait dans le bureau de la matriarche. Celui-ci avait été saccagé, les bibliothèques et les tiroirs renversés. Mais rien n’avait été brulé. Parmi les parchemins piétinés, elle identifia un rouleau au sceau plus récent que les autres et l’ouvrit d’une main tremblante.
Collecter de la pierre magique… mais qu’avez-vous fait… répéta-t-elle en levant les yeux au ciel.
*
Le vieux nécromant sursauta lorsqu'on déposa la carcasse du rat géant sur la table face à lui. Ahuri, il releva la tête vers l'importun qui accompagnait à présent le vampire. Shriiegn s'apprêtait à protester mais se ravisa en un instant. Lames-matraques, capuchon sombre et surtout le reptile enroulé grossièrement peint sur la cuirasse, au niveau de la poitrine. Jack le Serpent. Moins d'une journée après son arrivée en force ce foutu suceur de sang était déjà accompagné de l'un des assassins les plus redoutés des environs.
Sssoigne le, grinça ledit suceur de sang en passant à côté du tueur. J'ai besoin de ssses ssservissses.
Shriiegn ne put retenir une mine grimaçante.
Il est vraiment vivant ? Vous auriez…
Il est vivant, trancha Mandrak d'un ton qui n'autorisait aucune contestation.
Levant les mains en signe de reddition, il n'insista pas. Mieux valait rester dans les bonnes grâces d'une telle créature.
Je… ferais au mieux, répondit-il en s'efforçant d'imaginer un moyen de faire paraître vivant le skaven qui se vidait de son sang sous ses yeux.
En quête d'une quelconque aide, il se tourna néanmoins en direction de l'humain. Mais celui-ci se contenta de lui décocher un regard sombre. De toute évidence, lui non plus n'était pas ici de son plein gré…
Tu as mensssionné trois autres nécromants plus tôt, grinça Mandrak en s'attardant sur la créature difforme qui trépignait d'excitation depuis leur retour.
Shriiegn attendit la suite de sa phrase quelques instants, avant de secouer la tête et bredouiller :
Birgith, Gizrath et Urgal, un homme-b...
Guide-moi jusqu'à ssse Birgith, l'interrompit Mandrak en s'adressant au Serpent.
Celui-ci eut un rictus.
C'est une blague ? On en vient, c'est justement là que vous avez saigné cette fille qui…
Les mots lui manquèrent comme le vampire se plantait face à lui. Le regard étincelant de colère, il reprit la parole :
Je ne t'ai épargné que pour me guider dans sssette ville, le menaça-t-il. Alors guide moi !
Déglutissant, Jack hocha la tête sans ajouter un mot.
Ils quittèrent la pièce souterraine peu après, talonnés par la chose et en capuchon noir. Soupirant, le sorcier se laissa retomber sur sa chaise. Comment diable allait-il remettre cette vermine sur pieds ? Elle présentait de multiples traces de morsures, une patte et une partie de sa queue avaient été amputés et un œil crevé… Ce rongeur n'avait plus beaucoup de temps à vivre. A moins que…
Écarquillant les yeux, il réalisa finalement que quelque chose n'allait pas. Oui, il aurait dû mourir bien plus tôt. Et pourtant, à présent qu'il ouvrait ses sens, Shriiegn réalisait ce qui se terrait au fond de cette carcasse. Non pas une âme pervertie par la ruine, mais deux. Ce fou de vampire avait damné sa marionnette à fourrure, emprisonnant un esprit dans ce corps brisé.
Cruauté ou génie, il n'aurait su trancher. Le bougre devait être sacrément tourmenté depuis, mais cela expliquait également sa résistance actuelle. Deux âmes s'accrochant a un même corps le poussaient davantage en avant qu'une, persuadant la chair de continuer à vivre avec davantage d'insistance.
*
Ses habits étaient poisseux et gouttaient du sang de ses sœurs. Son visage à la peau si claire était noir de suie. Elle rabaissa sa capuche écarlate sur ses cheveux incrustés de cendres. Marteau au poing, elle tourna le dos au bûcher et arpenta une dernière fois les allées du monastère. Lorsqu'elle fut enfin à l'air libre, elle se retint de jeter le moindre regard en arrière. Une colère sourde brillait dans ses yeux bleus, soulignés par les cernes. Elle nettoierait cette cité du mal qui s'y était installé ou périrait à la tâche.
Recroisant les documents à sa disposition, elle avait désormais une liste des factions présentes dressées par ses ainées. Possédés, homme-rats, morts-vivants, hommes-bêtes et malandrins en tout genres. Sa prise se resserra sur son arme.
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