#spatsz
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Mona Soyoc and Spatsz of Kas Product
Photo: Paul Slattery
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Kas Product / Spatsz & Mona Soyoc in 1982 + Kas Product “Never Come Back” and “So Young but So Cold” from their first LP “Try Out” - RCA - 1982)
Spatz est mort le 02/02/2019.
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Avant Henri Texier et avant une séquence au sujet de l'Omnichord, hommage à Daniel Favre (Aka Spatsz) (1957-2019) de Kas Product dans Mu - Contrastes en musiques mutines et mutantes sur Radio Campus Bruxelles. #kasproduct #danielfavre #monasoyoc #nancy #spatsz #novo #minimalwave #coldwave #france #punkrecords #henritexier #omnichord #radio #radiocampusbxl #ulb #brussels #bruxelles https://www.instagram.com/p/Btb3Ytsl6Lo/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=qxgp29oisirc
#kasproduct#danielfavre#monasoyoc#nancy#spatsz#novo#minimalwave#coldwave#france#punkrecords#henritexier#omnichord#radio#radiocampusbxl#ulb#brussels#bruxelles
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BON VOYAGE SPATZ ••• . #kasproduct #spatsz #monasoyoc #nancy #coldwave #postpunk (à Basilique Saint-Epvre de Nancy) https://www.instagram.com/p/BtoikDpD4mj/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=7wiywfla1ds4
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Spatsz
Kas Product
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Mona Soyoc and Spatsz of Kas Product
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KAS PRODUCT: SO YOUNG BUT SO COLD (2017, orig. 1982; Spatsz/Soyoc)
KaS Product are still going strong. Mona in particular seems to be in very good shape; if I didn’t know she is 58 I’d have thought she was about my age (early 40s).
You're just someone so young but so cold And none of this is in your control Bad boys is what you're in for And now you just start to be lonely And one is that you want to be free And nothing is that you want to be Well do so, I'm glad you've done something right But I've heard this song before and I say: Oh, so young but so cold Oh-oh, so young but so old You spend your lonely nights With any boy who gives you money. You say: "It's done I don't care", But the change is only your body. And there I go coming in and out and it's just too much now And the lights are chinking in and out O-oh, I've heard it's gonna mend. Say: Oh, so young but so cold Oh-oh, so young but so old Oh, so young but so cold Oh-oh, so young but so old That's amazing that you wanna be like Here's a Queen and you're all I want to do right And I know just what it's gonna be like 'cause you won't believe in yourself You can tell them anything But who says that they'll listen Another lie is just the same And I won't take any more Oh, so young but so cold Oh-oh, so young but so old Oh, so young but so cold Oh-oh, so young but so cold, so young but so cold...
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Portrait de Loïc Le Pape, le plus rock’n’roll des luthiers français
Dans sa quête de guitares, privilégiant les marques françaises, il fut difficile pour Olivier de faire l’impasse sur un artisan, créateur de guitare “hors normes” : Loïc Le Pape. Il ne se définit pas comme luthier, mais comme fabriquant de guitare en métal. On trouvera ses guitares entre les mains de Norbert “Nono” Krief (Trust), Johnny Depp (Hollywood Vampire), Les Fatals Picards, etc … Bref du beau monde, sans oublier Olivier of course ! De mécano moto à fabriquant de guitares, découvrons cet artiste engagé qui ne mâche pas ses mots, et c’est tant mieux !
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Loic le pape, 49 ans, fabricant de guitare en acier. Rockeur d’obédience, passionné de musique surtout avant d’être passionné de guitare!
Pourquoi le métal et pas un autre matériau pour la fabrication de tes guitares ?
J’étais fan de Kas Product (une pensée à Spatsz , le claviériste du groupe, décédé il y a peu), de Daniel Darc avec Taxi Girl. Gamin, j’étais fasciné par les guitares de James Trussart. J’ai d’ailleurs pu en discuter avec lui au dernier Namm. Ce sont des personnes comme ça qui m’ont éveillé à la musique. Et puis, plus tard, je me suis retrouvé handicapé. J’avais de l’acier, j’avais un manche, il fallait que je m’occupe: j’ai fabriqué une guitare en acier. Qui est restée chez moi d’ailleurs, parce que quelque part à l’époque j’ai eu la chance de la vendre, elle se vendait de plus en plus chère et elle était de plus en plus pourrie, donc je l’ai récupérée, je l’ai rachetée en fait, c’est le prototype n°1.
Ton univers semble assez punk, penses-tu que le rock aura de nouveau une petite place en France ?
Le punk et le rock c’est la même chose. Quelque part, le rock c’est la création du statut de l’adolescent en 1954 qui est un mouvement global et général. C’est à dire que l’adolescent, comme ça peut être le cas aux USA, a une reconnaissance en tant que consommateur et donc en tant qu’individu. C’est une révolution! C’est la première fois que des Blancs dansaient comme des Noirs. C’est quelque chose de choquant pour l’époque. La chanson d’Elvis Presley “That’s All Right (Mama) ” est un morceau de la culture noire fait par un Blanc qui danse comme un Noir.
On retrouve cet état d’esprit dans le punk. Dans la période peace and love de 1968, il a aussi quelque chose de très revendicatif (guerre du Vietnam…). Et il y a aussi une résurgence de cet état d’esprit, de musique révoltée avec des thèmes. Ce mouvement a été très rapidement noyé dans la drogue. Pour moi, le gouvernement a fait en sorte que les porteurs d’un message révolutionnaire deviennent des messages de drogue et de mort.
Aujourd’hui, on est en 2019 , on a le mouvement social en France le plus important qu’il n’y ait jamais eu, avec un éveil des consciences. Les gens se sont rendus compte que les thèmes que l’on abordait dans le punk sont réels: l’annihilation par le pouvoir, le fait que l’on ne soit pas libre, etc… Ces thèmes étaient en quelque sorte prophétiques. Mais il n’y a pas de bande son à ce mouvement! C’est à déplorer. Il y a un décalage entre les artistes qui courent après leur statut d’intermittent, qui évidemment leur a permis de vivre d’un côté, mais qui de l’autre a institutionnalisé le milieu. Ca a tué les lieux alternatifs. Le fait de poser une législation globale, ça a amené tout un tas de contraintes: contraintes électriques, de bruit, etc … Ca a mis une chape de plomb sur la création. Le pouvoir à tous les niveaux a annihilé les choses, a aseptisé et a acheté le milieu.
Un jour, cette musique reviendra car de toutes façons tous ces modèles de société sont en train de s’écrouler. Mais à mon avis, elle reviendra comme elle a existé, quand on sera dans un état de pauvreté extrême. Car c’est la pauvreté qui fait la création.
Olivier et sa Telecasteel
Après ta LP junior qui est devenue un modèle phare, tu as planché sur un projet perso de guitares électro-acoustiques, parle-nous un peu plus de ces hybrides !
J’essaie qu’elles sonnent acoustiques comme une guitare électro acoustique, avec le même niveau de qualité et sans le phénomène de feedback que l’on a sur les acoustiques quand on monte le volume. En terme de son branché, on est très près sur certaines équalisations, d’un son électro acoustique. Mais on peut aussi amener cette guitare dans des domaines comme le banjo, le dulcimer, voire même en montant les basses, d’une grosse jumbo. Elle est assez universelle en fait. Le niveau de sortie à vide est proche de ce que l’on peut retrouver sur une Ovation. C’est plus qu’une hollow-body en bois et moins qu’une acoustique. Ca permet de jouer tout seul en appartement sans embêter le voisin, avec une projection décente. Et évidemment, avec le micro électrique, ça permet de la jouer électrique sans ce souci de larsen.
D’autres créations originales prévues ?
J’y pense mais je n’ai pas développé de projets pour l’instant. En général, dès que j’ai une idée, je mets le point de départ dans la journée, puis j’y planche. En ce moment, je suis trop submergé de travail pour entamer ce processus. Mais ça viendra, c’est une certitude.
La moto semble tenir également une place importante dans ta vie ?
J’ai travaillé pendant des années dans la moto, ça a été vraiment mon truc. Je m’étais même posé la question de fabriquer des Café Racer mais je n’ai pas le temps. Aujourd’hui, j’en fais moins. J’habite en Haute-Loire et la moto me permet surtout de faire une activité ludique avec la nature.
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Rock and Roll forever s.96 épisode 69 - Obituaryzed but not dead
Rock and Roll forever s.96 épisode 69 – Obituaryzed but not dead
Daniel Favre né à Loisy en 1957 alias Spatsz de KaS Product, envolé le 01-02-2019
(…) J’en ai un peu marre de voir partir tous les héros de mon adolescence (attardée) alors voilà un petit post en hommage à celles et ceux qui ont accompagnés mes meilleurs moments de vie depuis les 70’s jusqu’à lors …
Humbles condoléances à vos amours, intimes, particulières amitiés, et la famille pas…
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#amour#aube#âme#éternel#crépuscule#existence#faire-part#femme#homme#infini#john#mort#muse#musique#noir#obituary#poésie#rêve#rock#route#sens#voyage
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Décès de Spatsz, moitié des mythiques KaS Product https://t.co/J5CtSckyfk
— Víctor R. Villar (@VictorRVillar) February 4, 2019
from Twitter https://twitter.com/VictorRVillar February 04, 2019 at 12:00PM via IFTTThttp://twitter.com/VictorRVillar/status/1092377334458519552
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Spatsz et Mona Soyoc, #KasProduct live magique au #Batofar
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Various Artists: Punk45: Les Punks: The French Connection (The First Wave of French Punk 1977-80)
Soul Jazz’s Punk 45 series has made it its mission to chart the forgotten corners of punk rock, one seven-inch record at a time, training its magnifying glass on the obscure groups or regional scenes that familiar histories overlook. In particular, its more localized iterations suggest that how punk sounded depended very much on where its seeds fell. A Los Angeles installment turned up the decadent nihilism of the Germs and the snotty proto-hardcore of the Middle Class, while last year’s Akron, Ohio disc focused on the likes of Devo and the Rubber City Rebels, freak prophets of a curdled futurism that echoed industrial America’s decline. Now, Les Punks takes Punk 45 back across the Atlantic to chart what happened when punk landed in mainland Europe.
Punk rock was born in New York and London, but France provided much of the genre’s intellectual and aesthetic grounding. Les Punks’ sleeve notes trace punk’s currents back to a number of sources in France’s rich countercultural history: to writers like Rimbaud and Voltaire, the vanguard art movements of Dada and surrealism, the erotic provocations of Serge Gainsbourg, and the leftist sedition of chief Situationist Guy Debord, whose Society of the Spectacle provided intellectual ballast for the student riots of 1968, and from there found its way to the Sex Pistols via manager Malcolm McLaren and designer Jamie Reid. Unquestionably too, the French have always had an ear for the cool shit. Les Punks also spotlights the role of figures like Paris-based Marc Zermati, whose label Skydog fostered early links with New York and London scenes, and even released a seminal punk-before-punk document in the shape of Iggy and the Stooges’ chaotic live album Metallic KO.
But in 1976, France had no pioneering rock‘n’roll tradition of its own, and a fair bit of Les Punks veers towards the imitative. The French groups clearly adored the dandyish side of New York punk—and man, did they dig Iggy. Angel Face’s “Wolf City Blues” is pure Stooges yowl and growl, with lashings of Ron Asheton-style wah-wah, while Fantomes’ cover of “I Wanna Be Your Dog” is too straight—a slavish, puppy-dog take on the original rather than a rabid leg-humper in its own right. Meanwhile, Dogs’ “Here Comes My Baby” and a couple of singles by Marie Et Les Garçons ably channel the more rocking NYC groups—the New York Dolls, Johnny Thunders and the Heartbreakers, the Modern Lovers—with lots of enthusiasm but not much in the way of innovation.
Elsewhere, though, there’s evidence of young French groups carving out a distinctive local sound. Perhaps the quintessential French punk group is Métal Urbain, who made the bold move of swapping out live bass and drums for a synthesizer and drum machine. 1977’s “Paris Maquis” —which holds the honor of being the very first single ever to be released on Rough Trade Records—is a blast of caustic guitar and teeth-grinding rhythm box clatter that set a blueprint for future synth-punk groups (notably, Steve Albini’s Big Black). Unlike many of their peers, Métal Urbain sang in French—“So the Americans can’t understand us,” they told Search and Destroy in 1977. But even without much of a grasp of the language, you can get the gist of “Paris Maquis,” a tribute to the French Resistance fighters of World War 2: “La ville resiste terroriste… Fasciste!”
Indeed, there’s an argument to be made that French punk was post-punk at its inception—modish, intellectual, already finding ways to rewire punk’s familiar formulas. Charles De Goal, the solo project of one Patrick Blaine, contributes “Dance Le Labyrinthe,” an early example of the emergent cold wave sound powered by clip-clopping drum machines, spasms of electronic noise and vocals pitched at the brink of hysteria. “Mind,” by Nancy duo KaS Product, is turbulent electro-punk with a bravura performance from vocalist Mona Soyoc. Its take on mental instability and stifling social conformity may have been inspired by synth player Spatsz’s day job as a psychiatric nurse. And there’s a curiosity in the shape of the torrid, sexual “Sally,” by Gazoline—a band fronted by one Alain Kan, an androgynous, outwardly queer artist and addict who performed alongside Gainsbourg at the Alcazar Club before turning to punk rock. An enigma, he was last seen in 1990, taking a ride on the Paris Metro. His fate is unknown.
It’s worth giving another shout to Les Punks’ sleeve notes, a fat 50 pages of essays and interviews that supply precious context, plus extensive illustration from Bazooka—a “graphic commando” cell of radical French illustrators who, if you believe the rumors, boasted ties to the Baader-Meinhof gang. Track for track, there are compilations that cover French punk and post-punk with a better hit rate. The two volumes of Born Bad’s Des Jeunes Gens Mödernes lean further into the France’s homegrown coldwave and synthwave sound, and are better for it. But a snapshot of French punk’s first flush, Les Punks stands up. It’s the sort of time capsule that’s not quite ready to become a museum piece: loud and arrogant and ready to create a spectacle.
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