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#soixante huitards
girafeduvexin · 4 days
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L'AU de Gravity Falls (Fraternité Falls ?) avec Ford et Stan en vieux militants de gauche français, ça va me faire ma semaine.
D'un côté, t'as Ford qui était militant au PCF dans les années 70, ancien soixante-huitard (il a tellement fait ses études à Nanterre), limite trotskiste, le gars expert en théorie marxiste, tu débats avec lui et il te sort 45 textes de Marx ou Benjamin qui te contredisent, l'intello de gauche avec ses pulls troués et ses millions de feuilles volantes, mais qui, contrairement à tous ses camarades, ne fait pas de la socio mais de la physique ! Étonnamment, il a cru au programme commun en 81, il a voté pour Mitterrand, et paf en 82, Stan le pousse dans le portail. Il revient en 2012, sous la présidence de Hollande "ah mais le PCF est encore là?" "C'est mort" "c'est à cause du PS, ces sales social-traitres !", il apprend a posteriori la trahison de Mitterand et le tournant de la rigueur "on peut vraiment pas faire confiance à un socialiste", il fume des clopes en rageant devant le Mystery Shack à chaque intervention télévisée de Hollande et il cotise toujours au PCF, malgré tout.
De l'autre, t'as Stan, peu politisé dans son adolescence, et qui passe à côté de mai 68 parce qu'à la rue à ce moment là, qui vit de débrouille, de galère, qui ne vote pas, ne s'intéresse pas à tout ça pendant longtemps parce que bah, ce qu'il veut c'est survivre jusqu'au lendemain et c'est tout. Et puis, il pousse par accident Ford dans un portail, et le voilà bien malgré lui installé à Gravity Falls. Et maintenant que la survie n'est plus un enjeu, sa conscience politique s'éveille et elle est évidemment marquée par ses années de galère. Ces hommes politiques qui parlent d"assistanat", qu'est-ce qu'ils connaissent à la misère ? Stan est pas très cultivé politiquement et il a pas le temps pour ça, il a un portail à réparer et un frère à sauver, mais les mecs en cravate qui parlent sans rien connaître, ça l'enrage. Et ils ont le culot de dire que c'est à cause de l'immigration qu'il y a du chômage en France ! Stan vote LO, NPA, il vote pour des gens du peuple sans jamais adhérer à un parti (mais il a quand même failli être sur une liste électorale locale !) et il emmerde les fachos, par principe, sans vraiment trop creuser derrière. Il entarte des politicards, il fait des manifs sauvages et il tabasse des fachos dès qu'il peut. Au Mystery Shack, à certaines heures, on peut entendre les Béruriers Noirs gueuler "LA JEUNESSE EMMERDE LE FRONT NATIONAL" et Stan corrige "la VIEILLESSE emmerde le front national".
En 2012, Ford revient, Stan et lui se disputent etc, y a l'apocalypse, ils se réconcilient. Ils discutent de tout, de rien, mais pas de politique, parce qu'il y a tellement plus important à ce moment là.
Et puis un soir, alors qu'ils regardent la télé, on annonce au 20h que Hollande va faire une intervention ce soir. Les deux frères sifflent entre leurs dents, sans se concerter :
"Sale traître"
Regards surpris l'un sur l'autre, puis sourires : évidemment. Évidemment.
Stan fume des roulées avec Ford devant le Mystery Shack. Il râle en disant que les hommes politiques ne comprennent pas le peuple, Ford l'accuse en souriant d'être populiste, Stan rétorque que Ford est un "sale coco de merde". Ils rigolent. La vie est belle.
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wine-dark-soup · 1 year
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h.
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ekman · 1 month
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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aurevoirmonty · 24 days
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« La gauche aurait-elle oublié que le rire naît d’une distorsion avec le réel, d’un décalage, d’une mise à distance. Le rire est forcément transgressif, subversif, repoussant toujours plus loin les limites du dicible et de l’indicible. C’est d’ailleurs dans les marges de la contre-culture, loin de l’ORTF gaulliste et de son ministère de l’Information, que le rire soixante-huitard a vu le jour, grinçant, adolescent, désacralisateur. C’étaient les enfants gâtés de la société de consommation qui se révoltaient contre les blagues à papa, le sérieux de papa, la cravate de papa. En sont sortis Hara-Kiri, Charlie Hebdo, L’Écho des savanes, Fluide glacial… Mais aujourd’hui, l’ORTF, c’est France Inter ; et pour retrouver l’esprit d’Hara-Kiri, de L’Écho des savanes, de Fluide glacial, mieux vaut ouvrir La Furia que l’ex-journal de Philippe Val. France Inter a recyclé l’« esprit Canal » et sa grande messe du rire, d’Antoine de Caunes à Charline Vanhoenacker, de Lénine à Lennon, de Marx à Groucho, en affichant ce ton décalé propre à la bourgeoisie-bohème et à la nouvelle sociologie électorale de la gauche. Telle aura été la fonction et l’onction de ce néo-rire, hier de Canal ; aujourd’hui, de France Inter. À l’instar d’un Jean-Michel Ribes, volumineux poussah de la scène, faire passer le « rire de collaboration » pour du « rire de résistance » à l’époque de l’« intégrisme de la rigolade », comme l’avait remarqué François L’Yvonnet dans son Homo comicus (Mille et une nuits, 2012). Ne serait-ce pas la « droite » qui a relevé l’étendard de la contestation ? De Pepe the Frog à « Je partira pas », du compte X de Sardine Ruisseau à « Ausländer raus ! » (« Les étrangers dehors »), de Papacito à Marsault, de Gaspard Proust à OSS 117 (plutôt qu’à Jean Dujardin, qui ne répond pas), du Raptor à Laurent Gerra (« Anar de droite ? C’est plutôt un compliment ! »), l’insolence se porte bien mieux à droite. »
François Bousquet in revue Eléments 209
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La fin du monde, c’est simplement le vieillissement de la population soixante-huitarde et sa crétinisation par les télés. …)
Avant la guerre de 1914 Péguy écrivait sur les retraites :
«C’est toujours le système de la retraite. C’est toujours le même système de repos, de tranquillité, de consolidation finale et mortuaire.
Ils ne pensent qu’à leur retraite, c’est-à-dire à cette pension qu’ils toucheront de l’État non plus pour faire, mais pour avoir fait.
Leur idéal, s’il est permis de parler ainsi, est un idéal d’État, un idéal d’hôpital d’État, une immense maison finale et mortuaire, sans soucis, sans pensée, sans race. Un immense asile de vieillards.
Une maison de retraite. Toute leur vie n’est pour eux qu’un acheminement à cette retraite, une préparation de cette retraite, une justification devant cette retraite.
Comme le chrétien se prépare à la mort, le moderne se prépare à cette retraite. Mais c’est pour en jouir, comme ils disent.
(Source : https://nicolasbonnal.wordpress.com)
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notsodumbww2captain · 4 months
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He’s the man of all time. He was raised by friars. He have religious trauma. He’s a soixante-huitard. He yelled at the first socialist president of his country. He is for the Grand Remplacement. He played an homophobic caricature in a low budget movie. He said a slur unprovoked in his first hit. He played an insane 18 years old in a musical at 26. He would still be alive if not for Thierry Sabine. He did a whole album about the Cold War after going once to Berlin. Il emmerde les anciens combattants. He wrote a very problematic song about lolitas. He can’t shut up for his life. He had an enormous ego. I love him.
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desenvoutee · 1 year
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Ces images de Macron, SEUL, sur les Champs Elysées...
Il a fait interdire l'accès au public à Paris et à Lyon.
Ma grand-mère qui m'appelle outrée et furieuse. En 78 ans, disait-elle très émue, ce n'était jamais arrivé. Je ne sais pas comment il est encore possible que cet autocrate ait encore des soutiens. Majoritairement des boomers soixante-huitards pour lesquels il était interdit d'interdire, qui ont bénéficié des 30 glorieuses, et votent pour cette pourriture, agent des démocrates en France. Triste, très triste France qui n'en fini plus de décliner.
Le règne des bourgeois franc-mac au service de la finance. Ces serviles bouffons vassalisés par les USA, sont en train de montrer leur vrais visages et d'éclater devant les yeux médusés des plus endoctrinés, des plus naïfs. Cette gauche malfaisante depuis 40 ans qui nous serine les "valeurs" de la République, "l'Arc Républicain", et d'oser même affirmer que nous serions en démocratie quand il n'y a plus ni contre-pouvoir, ni respect de la volonté et encore moins de la souveraineté du peuple. Certains croient encore à la fable des Révolutionnaires "du Peuple, par le peuple pour le peuple" alors qu'il n'a toujours été question que "de la caste, par la caste, pour la caste". Macron s'indignait tout à l'heure qu'un homme ait vandalisé la honteuse peinture pédophile exposée au Palais de Tokyo, en clamant que c'est une atteinte à "nos" valeurs. C'est ça, leur valeurs. Pas les nôtres. Les images de Macron paradant seul aux Champs Elysées sont au contraire une bonne chose. Ces images illustreront plus tard, les archives du règne d'un pantin socialiste (oui parce qu'il est socialiste même si la Nupès espère nous le faire oublier), aux ordres de l'Union Européenne, des USA, et qui aura tout fait pour détruire ce qui restait de la France. L'histoire se déroule sous nos yeux meurtris, mais témoins.
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grandhotelabyss · 1 year
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I'm sure everything Wolin says here is true, and deplorable, but still, we know Heidegger was a Nazi, we've known in detail for at least 40 years, no one except the far right excuses it, and we've had plenty of time to detach it from what he had to say that was worthwhile, and so much worse for the revolutionary left or the liberal center that they never had a proper answer to that.
Whence the logic of contamination? Why will it be assumed that if I allow Heidegger had a point about the proper affect inspired by the work of art—a kind of reverent stillness, rather than an imperial willfulness—I will thereby necessarily be implicated in his (in this case totally irrelevant) nonsense about "world Jewry"?
I haven't read Wolin's Heidegger book, but I did read his Seduction of Unreason, which calls a symptomatically bewildering range of thinkers "fascist" (Nietzsche, Blanchot, Jung, Bataille, etc.) because they dishonored "reason." He winds up with an attack on left-wing anti-Americanism, this written just before and published just after the Iraq invasion—speaking of academic complicity with political terror. And I read at least some of The Wind from the East, Wolin's book on how the Maoism of the soixante-huitards usefully aerated the culture of the French intelligentsia, softened it up for American-style participatory democracy—though why intellectual credulity before Mao should be treated with so much more forgiveness than intellectual credulity before Hitler is not immediately clear to me.
I am no great admirer of the stylistically rebarbative Heidegger beyond an essay or two, but the constant spectacle of his execration has the "look over there" function of diverting our attention from more contemporary theoretical collaborations with oppressive power. The Financial Times has reported that rates of cancer are rising in my generation due to the bubblegum-pink amoxycillin they had us swilling as kids several times a year; but this somehow seems less important than yet another reminder that the most famous philosopher to question the high holiness of science was a bad man. And finally, it has the effect of totally politicizing the whole of culture in a style known both to Hitler and to Mao.
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steelb1ues · 1 year
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not going to attach this to the post i rb but. daft punk talks about the rebellious nature of electro in an article...
"Daft Punk's outsider mentality owed something to coming from France, whose pop music was then the butt of condescending jokes in the UK press and whose rave scene was hounded by the authorities. "Initially electronic music was anti-establishment, as punk rock and rock'n'roll were," says Thomas. "The music was shut down, the police were against the parties." He sounds like a soixante-huitard fondly remembering the barricades. "Now it's the opposite. It been totally accepted so there's nothing to fight for."
& they talk about it in the creation of Revolution 909 too.
DMA: What is it that they don't like about the parties? Is it the same as Britain or how some local governments here frown upon raves? Thomas: I don't know. They pretend it's drugs, but I don't think it's the only thing. There's drugs everywhere, but they probably wouldn't have a problem if the same thing was going on at a rock concert, because that's what they understand. They don't understand this music which is really violent and repetitive, which is house; they consider it dumb and stupid.
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rosesinvalley · 1 year
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FREE BOOBS, les seins libres
Couvrez ce sein que je ne saurais voir: - Par de pareils objets les âmes sont bénis, - Et cela fait venir de coupables pensées. Extrait de Tartuffe de Molière
Depuis longtemps, je voulais écrire sur la poitrine féminine.
Impressionnée par le combat des Femen et d'autres féministes.
Admirative des créatrices qui dessinent à souhait nos formes voluptueuses et cela continue avec les jeunes générations.
Je vois avec le temps et les réseaux sociaux que les langues se redélient et les femmes utilisent leurs seins pour combattre l'injustice et le machisme ordinaire.
co-founder of FEMEN Germany, 2012
Dans la peinture aussi, le sein a fait scandale et notamment ce portrait de Gabrielle d'Estrées favorite et maîtresse d'Henri IV. Le peintre inconnu, nous montre avec bienveillance les corps des deux sœurs de la noblesse sans pudeur. Comme un secret dévoilé, derrière le rideau, des secrets féminins sont mis à nu. Voici l'érotisme et objet de convoitise qu'a pu provoquer ce bout de sein. Interprété par des historiens comme montrant par ce symbole cette favorite enceinte, d'autres disent que ce serait, celle qui pince le mamelon de Gabrielle, la prochaine maîtresse d'Henri IV et non la sœur de Gabrielle. La toile fut peinte autour de 1594 par un auteur de l'École de Fontainebleau.
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Revenons à nous, à notre poitrine bien maltraitée dans nos soutiens gorges qui ne nous conviennent jamais, qui déforment, qui cachent, qui contiennent.. nos seins qui gonflent, qui dégonflent, utilisés pour la maternité, atteints par la maladie parfois... Je pourrais en rajouter. Quelle galère!
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Album à découvrir sur Woodstock
Cet objet de convoitise des hommes est aussi créateurs de jalousie entre femmes, trop petits, trop gros, selon les préférences. Un diktat parfois kafkaïen ou freudien.
C'est pour cela qu'au moment de la libération sexuelle dans les années 60, 70, le mouvement free boobs est né. Des femmes ont dit stop !
Hippies, soixante-huitards, féministes... se rebellent et s'assument. La nature nous a fait telle qu'on est. Un vent de liberté contre l'oppression qui fait du bien aux femmes. Une revendication contre le patriarcat et la religion castrateurs. Un bien-être est là "Mon corps m'appartient". Je ne suis plus la femme politiquement correcte.
On remarque aussi dans la culture  psychedelique, rock n'roll, métal, bohème, des femmes plus libertines que d'autres qui montrent leurs tetons, une affirmation de soi et d'érotisme flamboyant.
Les jeunes générations sont plus à l'aise et s'autorisent sans soutifs, la tendance "No bra" ce qui choquent évidement.
Quel tabou autour de nos attributs, ils ont fait couler beaucoup d'encres, de pleurs, de frics!
Enfin la beauté des clichés féminins, nous rappellent aussi combien la femmes est belle, authentique et qu'il faut se battre aussi pour qu'elle ne soit pas bafouée comme le dénonce Lisa Kristine qui réalise de merveilleux clichés sur le monde et qui dénonce les guerres et la barbarie.
On sait aussi que dans les cultures aborigènes et tribales dont la poitrine est sacrée, elle n'est presque jamais cachée donc depuis la nuit des temps elle est libre. 
Lisa kristine photographe "Sous les branches - Namibie"
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Symboliquement la poitrine raconte bien des histoires, on la tatoue, la perce, la peint, la maintient... Les poitrines sont aussi toutes différentes, ce sont toutes des belles histoires de femmes, de la femme multifacettes et changeante selon ses envies.
Symbole de liberté, de sensualité et de sexualité. A vous de compléter et vous vous êtes soutifs ou sans?
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Cindy Ray, la fameuse tattoueuse qui tatoue les poitrines des femmes.
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Jacques Henri Lartigue, 1976
La "Naissance de Venus" de Botticelli cache sa poitrine. 1485
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gerardgaltier · 2 months
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Pièges à cons
Comment, après ce deuxième tour des élections législatives faisant suite à une dissolution de l’Assemblée nationale voulue par un Président de la République, ayant du mal à digérer le triomphe d’un adversaire aux élections européennes… Comment ne pas se souvenir du fameux slogan soixante-huitard : « Élections pièges à cons ! » et partir à la recherche d’une : « Plage sous les pavés » ? C’est…
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thierrylidolff · 6 months
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LIRE « Le Goût de la politique », Pascal Perrineau
PRÉSENTATION : Le Goût de la politique: Un observateur passionné de la Ve République Pascal Perrineau a toujours eu le goût de la politique. Voici son récit personnel de la Ve République.  Il nous raconte les scènes marquantes du gaullisme, le vent soixante-huitard dans les lycées, l’effervescence des campagnes présidentielles sur les bancs de Sciences Po, les coulisses du PS mitterrandien et…
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laplumesansmasque · 11 months
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TEOREMZ de Pier Paolo Pasolini
TEOREMA de Pier Paolo Pasolini Teorema est le film le plus connu de Pasolini, qui l’a rendu célèbre comme cinéaste, il a été mondialement porté au nu et ensuite démoli par les critiques assassines des soixante-huitards. Et malgré ces controverses, ou peut être grace à ces controverses, Teorema continue à exister et être vu partout par de nouvelles générations de cinéphiles. Le film est assez…
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Diffusion Cahier d'Octobre : Historique et études des générations sacrifiées
Historique et études des générations sacrifiées
Alors j’ai un égo surdimensionner, j’assume, la modestie, …
L’histoire se répète, ok ? Alors comment fonctionne le ou les cycles des générations sacrifiés, pour cette partie les générations ne sont pas liées au temps au sens concret du termes 10 ans, 20 ans, … mais ou l’on se situe dans le cycle.
Il existe 4 types de générations les générations 1 qui sont la suite de tous les héritages des cycles historiques et générationnels précèdent ou les générations d’héritages, ensuite les générations 2 qui vont s’opposer aux générations 1 et qui vont amorcer le processus et qui vont entamer la construction d’un nouvel héritage par leurs oppositions ou les générations révolutionnaires, à noter que cet héritage est surement déjà connu des générations passées.
Il y a les générations 3 qui sont la continuité des générations révolutionnaires ou 2, qui vont suivre et être bénéficiaires de la révolution des précédentes et qui vont être dans continuité beaucoup plus passive ou longue, si ce n’est les deux, elles se nomment les générations bénéficiaires. Petite précision, il y aura parmi cette génération évidement des actifs qui prolongeront la révolution des générations 2 mais ils seront minoritaires. Puis les générations 4 qui sont les générations déficitaires ou les générations sacrifiées qui vont payer les conséquences et ne pourront pas bénéficiés du bien fait des causes.
Deux très bon exemple, la génération conservatrice gaullistes et patriotes, sera vaincue par l’oppositions des soixante-huitards, qui eux se prolongeront dans les générations des années 80, 90 et la génération sacrifiée est celles des milléniales jusqu’à celle qui apparaissent.
Ou encore la génération conservatrice de Mazarin, qui sera vaincu par la Louis XIV qui castrera la noblesse du pouvoir militaire, ils s’en suivront Louis XV et sa passion pour les femmes de courtes vertus qui bénéficiera du vrai pouvoir absolue, je le précise. Les générations bourgeoises issues du tiers état vont bénéficiers de cette révolution des mœurs pour promouvoir la Révolution française, je ne l’ai pas nommé par le surnom de Karl Marx, parce que j’avais envie d’écrire les phrases précédentes.
La continuité donc la générations 3 se verra sous le consul puis l’empire de Bonaparte, et les générations sacrifiées vont se voir sous Louis XVIII, Charles X, Louis Phillipe 1 ère ou enfoirés d’orléanistes, la 2 -ème république, Napoléon III. Soit au total 5 périodes différentes en moins de 100 ans, dans l’ordre la restauration, la monarchie de Juillet, la deuxième république, la monarchie constitutionnelle le tout se concluant par la perte de l’Alsace et la Loraine par la guerre de Prusse. Le tout s’étalant de 1814 à 1870 soit 56 ans d’instabilité. Bon courage à nous tous !
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aurevoirmonty · 1 month
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien… mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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yespat49 · 1 year
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Herbert Marcuse, philosophe néo-marxiste de mai 68
En 1979 mourrait Herbert Marcuse, le penseur utopiste de la Nouvelle Gauche soixante-huitarde. Werner Olles, ancien agitateur des barricades allemandes à la fin des années 60, fait le point vingt ans après cette date et rappelle l’engouement de sa génération pour Éros et civilisation et L’Homme unidimensionnel. *** Marcuse nous disait : « Je pense qu’il existe pour les minorités opprimées et…
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