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#simone barbes ou la vertu
doctorphagliacci · 1 year
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stills from Simone Barbès ou la vertu (Simone Barbès or Virtue) (1980), dir. Marie-Claude Treilhou
an underappreciated 1980s film about (in part) a lesbian nightclub that i really loved -- you can read more about it via Another Screen, even though unfortunately it was only available for streaming there for a limited time: https://www.another-screen.com/simone-barbes-or-virtue
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Simone Barbès ou la vertu (Marie-Claude Treilhou, 1980)
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gnirrednow · 7 years
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marie-claude treilhou, simone barbès ou la vertu
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wike-wabbits · 6 years
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Simone Barbès or Virtue (Marie-Claude Treilhou, 1980)
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genevieveetguy · 3 years
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Simone Barbes or Virtue (Simone Barbès ou la vertu), Marie-Claude Treilhou (1980)
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sacredwhores · 8 years
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Marie-Claude Treilhou - Simone Barbès or Virtue (1980)
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lounesdarbois · 5 years
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La soirée jeune bourgeoisie
Chloé lui avait ouvert car dit-elle, la maîtresse de maison était occupé en bas. Vincent croisait parfois sans avoir pu jusqu’ici lier conversation, cette fille jolie et même bonne, dans des soirées où la discussion est toujours interrompue par un événement extérieur. Très vite ce fut quelques bribes, pendant qu'il déposait des bouteilles de bière dans le réfrigérateur. "Tu ressembles à G* C*, tu sais ?" C'est toi qui as cuisiné tout ça? Quel homme!" Vincent eut un haut-le-cœur comme toujours en ce genre de moment, tenta autant que possible de redresser un thorax fébrile, d’avoir l’air d’un quel homme, guetta une place autour du minibar, la trouva, y demeura. C'était le stade premier des prises de contact, le stade des piques pour voir, les tests de début d'apéro entre deux inconnus. Elle se tourna pour saisir l'ouvre-bouteille ; à la dérobée il regarda. Très jolie, les yeux clairs, un type flamand bien tourné mais hélas corrompu d'un bronzage saumon foncé presque fushia (il avait fait très beau temps cette semaine) qui gâchait son teint véritable. A son cou pendait une forme dont il chercha un moment le sens. Il comprit... C'était une carte de l'Afrique. Vincent regarda Chloé comme si elle venait de péter puis se détournant d’elle pour toujours rafla trois bières au frigo, les ouvrit, et partit avec s’affaler près de la fenêtre sur une bergère en toile de Jouy, d’où il pourrait se donner une contenance en examinant les titres des livres alignés dans la bibliothèque contiguë. A peine installé, la sonnette retentit et très vite plusieurs couples d'invités firent effraction ensemble avec des hurlements stridents, les filles fléchissant les genoux comme sur des skis faisaient les yeux ronds, criant et gloussant l'incrédulité qu'elles semblaient éprouver de se retrouver ; les garçons se donnant des bises et des poignées de tennisman, Vincent fut bisé de force par quatre barbes successives pourvues de sourires à dents rétractiles qui s’éloignèrent après avoir prononcé des prénoms. Il lui fallait éviter de biser les filles, aussi siffla-t-il deux bières coup sur coup ; les conversations continuèrent sans lui. Demeuré seul assis sur la bergère en toile de Jouy, il écouta distraitement les nouveaux venus s’expliquer des choses sur un certain Romaric. "très international, Kuala Lumpur, San Francisco, il fait du VTT », « Je veux adopter un petit africain je ne veux pas d'enfant naturel, oui un Haïtien ». Jusqu’à15h on détermina quelle séries Netflix avait fait pleurer chacun, puis quelqu’un demanda « tu fais quoi dans la vie », ce à quoi il fut répondu « veille active, je veux faire complètement autre chose, partir à l’aventure ». Une voix, que Vincent reconnut pour celle de Chloé, évoqua alors l’existence d’un Poste de commercial à Dubaï.« Je vais activer mes réseaux ». Cette perspective rassura tout le monde. « Comment tu n'as pas vu les magnifiques escaliers Buren qu'ils ont mis?», demanda une voix. Vincent perdit le fil. L’examen des titres alignés sur les étagères l'avait arrêté à une édition ancienne des Mémoires de Saint-Simon en quatre volumes reliés cuir, aux tranches ornées de lettrage or, décoré de feuilles de chêne. Se levant, déjà légèrement ivre, il saisit le premier volume. Sans l'ouvrir Vincent scruta la couverture, tourna, retourna l'ouvrage, le soupesa, le respira, le rangea à sa place. Personne ne prêtait attention à lui. Il remarqua à côté du premier volume un format poche plus récent intitulé "Biographie du duc de Saint-Simon". Cette fois, extrayant l'ouvrage, Vincent le feuilleta. Les pages défilèrent sous son doigt comme des cartes à jouer dans une trieuse. Soudain une annotation écrite au stylo rouge dans la marge trancha avec l'uniformité des lignes imprimées. Revenant en arrière dans les pages Vincent trouva le passage incriminé : "Le discours de Saint-Simon sur les jésuites est globalement très négatif dans les mémoires et, à l'inverse, son affection pour les jansénistes dont il est amené à parler saute aux yeux, avec une tendance évidente à les parer de toutes les vertus et à faire des solitaires de Port-Royal des saints et des martyrs." Un lecteur inconnu avait souligné en rouge ce dernier mot et commenté dans la marge "Ce qu'ils furent historiquement, gros con".
- Alors tu trouves ton bonheur?  
Une très belle jeune femme sortit Vincent de la lecture. Sans attendre de réponse ni prendre garde à lui elle se baissa pour fouiller dans un sac-à-main déposé là. Un soutif noir affleurait sous le haut blanc transparent. Elle se releva et légère comme une sylphide, sautilla vite vers le groupe d’invités d’où elle venait. Vincent mit un temps à chasser de son esprit ce corps élancé vers le monde, tendu de seins, monté sur des jambes piédestales. Il se rabattit sur l'examen des étagères, avisa un ouvrage titré en gros caractères "Surveiller et Punir". Ouvrant le pavé en son milieu, il tomba sur le cahier des illustrations, où figuraient quatre gravures d'anciennes prisons panoptiques, ainsi que des schémas d'endoctrinement et des planches d'anatomie crées d'après la dissection de corps de détenus décédés. Il rangea "Surveiller et Punir" à sa place, derrière une photo de jeunes mariés. Et il sut, il sut où il avait croisé Chloé la première fois. C’était dans un banquet de mariage au Concert Noble à Bruxelles. Elle avait été occupée jusqu’au banquet à triturer son téléphone, à faire des allers et venues entre les invités et à pousser des hurlements à chaque nouvelle connaissance qui arrivait. Elle allumait tous les garçons, l’un par des œillades, l’autre par des questions sur sa situation maritale, c’était une experte. Rapidement bourrée, elle avait galoché le photographe du mariage sur la piste de danse, puis pour une raison inconnue s’était mise plus tard à pleurer assise à une table vide et ne s’était calmée qu’une fois entourée de quinze ou seize consolatrices, et là, avait vomi par terre. A peu près au même moment, deux garçons qu’elle avait mis en concurrence au cours de la soirée avaient entamé une bagarre qui s’était propagée à trois autres types complètement hors de cause, dont l’un avait finalement reçu un coup de tesson de flûte à champagne à un centimètre de la carotide ; il avait été évacué sur une civière entre la vie et la mort, semant de grosses gouttes de sang noir à chaque mètre sur le marbre du Concert Noble. Personne n’était remonté aux origines du mal. Vincent avait tout vu, n’avait rien dit. Mais cet épisode avait contribué à l’horreur qu’il avait des mariages en général. Qu'est-ce que c'était qu'un mariage finalement? Une fois passé le discours du maire teinté de ce mauvais humour mondain? Ne restait qu'une fête ruineuse qui excite les jalousies, conclue une fois sur deux dans le sang. Le taux de bagarres dans ce type d'évènement frise les 50%, tous les ambulanciers le savent. Le niveau moyen d'effondrement des sociétés se voyait là, dans les mariages, à l'accoutrement des femmes, qu'elles voulaient raffiné : bariolé, criard, mal maîtrisé. Les faces surtout, étaient incroyablement bises. Les filles bronzaient sous banc solaire parfois deux semaines à l'avance en prévision de la soirée, certaines de se « sublimer » par l’unification du teint le moins blanc possible (phénomène de nivellement par le bas). La civilisation des UV  remplaçait celle de l'ombrelle. L’obligation du bronzage féminin, phénomène récent, procédait selon Vincent d’une méconnaissance totale des femmes en matière de canons de la beauté féminine. « Il y a une beauté objective. Le hâle ne sied qu’aux filles aux cheveux noirs » prêchait-il parfois. Gavées de vin dès l'apéritif, les filles viraient à partir du hors-d'oeuvre au rouge fushia boucané, pas regardable. Dès lors il s'agissait pour Vincent d'égarer les raseurs et de se préserver des haleines, de montrer de l'enthousiasme pour garder contenance. La population repue de sucres rapides allait bientôt danser sur "Celebration". Il n'aurait pas lieu ce grand sourire de la vie, se disait Vincent avant de plonger dans le romantisme. (Vincent repense à "elle". Les hauts-parleurs passaient "Umbrella"... Hongkong. Les petites Waspies bien élevées du King George V... L'une d'elle le tire par la main qu'elle serre entre ses jambes pour ne plus qu'il parte, elle le serre ainsi, il la serre sur son coeur! Ils se regardent. Ils s'emboîtent encore. C'est fini tout ça.) Le lendemain des mariages il pleut, il faut se réveiller misérable et pourri.
Vincent médita un moment sur les filles du lycée King George V de Hong Kong, puis sur ce titre d'un ouvrage de William Morris, Comment nous vivons et comment nous pourrions vivre, jusqu'à ce que le sentiment d'avoir manqué un destin tout de grâce et de volupté fût trop douloureux. Il pensa se resservir mais la seule idée d'approcher du groupe d'amis de Chloé pour accéder au frigo lui répugna. Mû par un besoin subséquent à la consommation de bière il partit en salle d’eau à l'étage supérieur, après avoir embarqué un livre « La civilisation romaine ». Sur place il s’assit, laissa la lumière éteinte comme il en avait l’habitude et s’éclaira avec la fonction lampe torche du téléphone. Le bruit de la fête lui parvenait en sourdine, il était tout à fait tranquille. L'album comportait une carte des invasions barbares du 5eme au 7eme siècle avec des flèches illustrant les mouvements de population. "Burgondes", "lombards", "vandales" ; ces flux interrompaient le cours normal des échanges commerciaux "pourpre", fourrure", "blé" marqués de fine flèches bleues; en outre l'espace était parsemé de zones hachurées représentant les évènements funestes "destruction de ville", "massacre", "rafles d'esclaves", tandis que deux sabres croisés marquaient les batailles rangées avec l’année et le nombre de milliers de morts.
Vincent ferma le livre, éteint la lampe torche. Méditant sur des visions d'invasions barbares il imagina la même carte représentant les invasions barbares du 21eme siècle. Il visualisa des flèches "PMA", "créolisation grammaticale", "femmes blanches", des zones hachurées "centre de métissage". On verrait les flux d'argent prélevés sur les Européens ("impôts") se diriger en flèches vers les centres de groupement des migrants.Un autre calque indiquerait les flux invisibles mettant en relief les transformations culturelles et spirituelles. On verrait de Californie partir de nombreuses flèches "propagande", "déstabilisant émotionnel", "porno". Il visualise aussi une représentation colorimétrique de l'Europe mise au centre du monde qui mettrrait en évidence la rareté des teintes existant sur le physique des peuples européens, qui soudain mettraient à nu la supercherie : ils étaient eux seuls le peuple de couleur. Ainsi l'Europe apparaitrait toute de neige et de nacre, serie de vert, de bleu, de châtain, de blondeur, de brunerie, de jais et constellée de tâches de rousseur. Elle formerait une île de couleur au milieu d'autres terres toutes monochromes, cantonnées à un marron plus ou moins foncé mais uniforme.
Vincent ferma le livre, alla se laver les mains à une magnifique vasque creusée dans un plan de travail en marbre, en face d'un haut miroir entouré de petits éclairages indirects. Il saisit un savon au jasmin et se frotta longuement, délicieusement les mains sous le filet d'eau tiède. L'assortiment de nettoyage à droite de la vasque était fourni comme dans un hôtel de luxe, il y avait même une pierre ponce comme chez ses grands-parents de l'avenue Mozart, lorsqu'il était enfant. Séchant ses mains à une serviette il constata que le savon laissait la peau agréablement sèche. C'était autre chose que ces crèmes lavantes de distributeurs de station-service qui laissent une couche d’huile inséchable, surtout entre les doigts. En quittant la salle de bains il se sentit purifié presque autant que lorsqu'il quittait l'église avec sa classe de CM1 le samedi matin, le jour reparaissait sur le seuil et c'était comme renaître au monde.
Au moment de regagner le salon Vincent vit par une fenêtre en contrebas dans la rue un jeune couple comme-il-faut, d'un genre très à son goût. Cette lumière de fin d'après-midi dans les feuillages, cette force tranquille des belles pierres de taille, cette puissance d'exister... Ces bourgeois à larges épaules de son enfance, qui eux en vivaient, de cette beauté, qui s'en allaient par les belles rues calmes du seizième dans les beaux soirs de juin.
  Au moment de descendre un hurlement féminin monta depuis la salle de séjour, qui exprimait un goût pour une musique quelconque. C’était probablement Chloé. Vincent n’eut plus la force d'affronter le monde. Il s’immobilisa, pris au piège. Que faire ? Et si quelqu’un montait ? Il sortit son téléphone. C’est toujours acepté par la norme, de s’isoler avec son téléphone.
Le fil d’actualité proposait  #elleatable Et si le souping était le nouveau juicing d’hiver ? Impatient de connaître la réponse, il cliqua. L’article était illustré de photos suréclairés d’assiettes remplies de liquides verts et rouges, posées sur des tables en verre dépoli. Sa curiosité satisfaite il cliqua sur le nom de l’auteur de l’article. Après deux autres liens il glissa graduellement dans un monde hors du temps où l’angoisse du réel passe en sourdine comme lorsque la sirène des pompiers est atténuée par la fenêtre que l’on ferme, fuite qui ne résoud rien mais qui permet d’oublier. Vincent était en train de se perdre sur internet.
"Il est courant d’opposer militantisme et recherche scientifique. Ces deux champs de l’activité humaine s’excluraient ainsi mutuellement : une démarche scientifique serait neutre, et donc a-partisane, quand le militantisme, idéologique par définition, serait un point de vue fondamentalement a-scientifique, voire anti-scientifique. Une telle affirmation repose explicitement sur une croyance en une neutralité de la science, croyance qui en est bien une, et qui ne repose sur... " Vincent cliqua sur un lien.
« Les vidéos de témoignages non vloguées ont ainsi une place importante, que ce soit chez Léa Bordier (42 k) ou Elles aussi (175k), chaîne créée dans le sillage #metoo. La vidéaste et ancienne journaliste Marinette (20 k) peut même être proche du documentaire transgénérationnel avec ses vidéos sur l’avortement. Ce sont surtout les youtubeuses afroféministes qui, certainement en raison du travail à effectuer, s’adonnent le plus à ce genre: Naya (18 k), La Toile d’Alma (2,7 k), Nadjélika (239k) ou Keysholes & Snapshots (5 k) sont les plus connues, la dernière ayant été nommée par le concours organisé par l’association Les Internettes. Le féminisme islamique est quant à lui représenté, encore timidement, par  Foulard et féminisme (15k). La toile francophone afro semble touchée par l’afroféminisme, comme le montrent des vlogueuses bien plus divertissantes (par exemple Leslinha Luberto, 27 k). »
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duchampscigarette · 8 years
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Marie-Claude Treilhou - Simone Barbès or Virtue (1980)
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doctorphagliacci · 1 year
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an underappreciated 1980s film about (in part) a lesbian nightclub that i really loved -- you can read more about it via Another Screen, even though unfortunately it was only available for streaming there for a limited time: https://www.another-screen.com/simone-barbes-or-virtue
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Simone Barbès ou la vertu (Marie-Claude Treilhou, 1980)
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wike-wabbits · 6 years
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Simone Barbès or Virtue (Marie-Claude Treilhou, 1980)
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sacredwhores · 8 years
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Marie-Claude Treilhou - Simone Barbès or Virtue (1980)
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sacredwhores · 8 years
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Marie-Claude Treilhou - Simone Barbès or Virtue (1980)
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sacredwhores · 8 years
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Marie-Claude Treilhou - Simone Barbès or Virtue (1980)
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sacredwhores · 8 years
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Marie-Claude Treilhou - Simone Barbès or Virtue (1980)
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