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shannonsaitdesigns · 6 months ago
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The Cost of Living Crisis and Its Ripple Effect on the UK Jewellery Market
The ongoing cost of living crisis in the UK has left no sector untouched, and the jewellery industry is no exception. As inflation continues to rise and household budgets are stretched thin, consumers are prioritizing essential purchases over luxury items. This shift in spending habits is profoundly affecting jewellery sales across the country.
One of the most significant challenges faced by jewellers is the soaring cost of silver bullion. Silver, a primary material in jewellery making, has seen its price increase dramatically. This surge is driven by multiple factors, including global economic uncertainty and disruptions in the supply chain. For small jewellery businesses, this means higher production costs that cannot always be passed on to consumers who are already cutting back on non-essential expenses.
The high cost of raw materials is particularly challenging for independent designers and small-scale jewellers. Unlike large retailers, they lack the buying power to secure materials at lower prices or absorb the increased costs. This financial strain can lead to difficult decisions, such as reducing production, increasing prices, or even reevaluating the viability of their business.
Moreover, with the general public becoming more cautious with their spending, the demand for high-end, handcrafted pieces has seen a decline. Instead, customers are looking for more affordable alternatives, which often means compromising on quality or turning to mass-produced items.
The jewellery industry, known for its creativity and craftsmanship, is being forced to adapt to these challenging times. As the cost of living crisis continues to evolve, it will be essential for jewellers to innovate and find new ways to connect with their customers, ensuring that the beauty and artistry of jewellery remain accessible and valued
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laurent-bigot · 6 years ago
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Il est journaliste sportif, habite dans “une boîte à chaussures” désordonnée, aime le poker et les copains, se nourrit de sandwiches et de bière. Elle est modéliste, habite dans un appartement spacieux et moderne, fréquente le tout New York et ses amis sont raffinés. Voici une fois de plus deux mondes apparemment inconciliables face à face.  Et lorsqu’ils doivent cohabiter (partie de poker d’un côté, répétition du show musical de l’autre), l’harmonie n’est guère possible.
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
Cela pourrait être un drame, mais c’est une comédie rapide, aux dialogues brillants. (Dans ses mémoires, Lauren Bacall estime qu’il y a dans Tea and Sympathy (La femme modèle) une des répliques les plus drôles de sa carrière : « Ouvre les yeux, Maxie, et endors-toi. » Minnelli a décidé cette fois-ci de se moquer de la futilité des apparences sociales. Ce monde-là est sophistiqué, mais ce n’est pas le vrai. [Vincente Minnelli – François Guérif – Filmo n°8 (Edilio 1984)]
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
Il invente les mensonges les plus délirants et paraît le plus superficiel des hommes, mais il n’hésite pas à mettre sa vie en danger pour démasquer les combines. Peut-être sera-t-il écrivain et gagnera-t-il le Prix Pulitzer ? Toujours est-il qu’il croit en son métier, qui en devient presque une vocation. Elle dessine des robes pour des femmes qui se figent comme des statues pour mieux étaler l’élégance de leur silhouette. Mais elle accepte de mettre en jeu sa réputation dans l’aventure d’un show musical. Ce show est de l’art sans artifices ; l’âme du spectacle est personnifiée par le danseur, qui lui a démontré la vanité du monde de la mode et insiste continuellement sur le besoin de vie dans toute création artistique. (L’intervention finale du danseur sera d’ailleurs salvatrice pour l’un et pour l’autre.) A la fin, tous deux auront remis à sa vraie place la société extérieure pour donner à la réalité intérieure de leur amour l’importance nécessaire. [Vincente Minnelli – François Guérif – Filmo n°8 (Edilio 1984)]
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
La femme modèle expose également un autre aspect de la morale Minnellienne. Comme l’a souligné Jean Domarchi dans Les Cahiers du cinéma (n°79) : « …Tous sont sans doute des victimes consentantes de leur milieu, mais sont professionnellement sans reproche, ennemis de l’à-peu-près et du laisser-aller… Soyons certains que nous avons ici le point de vue personnel de Minnelli dont la lucidité sait être indulgente, toutes les fois que les personnages ne considèrent pas leur métier comme une simple partie de plaisir… Sa morale est celle du devoir dans le travail accompli, celle du refus de la paresse, de l’à-peu-près, du bâclage. »  
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
C’est juste après Tea and Sympathy (Thé et Sympathie) que Minnelli tourne Designing Woman. « Qu’arriverait-il, écrit-il dans son autobiographie, si un journaliste sportif épousait une modéliste ? Telle était l’idée que présenta Helen Rose au studio. Dore Schary en acheta les droits. Il devait produire lui-même le film qui fut, en quelque sorte, son chant du cygne à la M.G.M. Il demanda à George Wells d’écrire le scénario et m’en proposa la réalisation. Il destinait, à l’origine, le rôle de la modéliste à Grace Kelly, qui préféra se marier ! Gregory Peck qui interprétait le rôle du journaliste, était ravi de tourner aux côtés de Lauren Bacall, finalement choisie. Greg avait auparavant interprété un rôle de comédie auprès d’Audrey Hepburn dans Roman Holiday (Vacances romaines). Mais il s’agissait d’une comédie romantique ; le rôle, ici, devait être transformé. Greg, qui adorait le second degré, était prêt à se lancer dans les aventures les plus farfelues… et Betty (Lauren Bacall) pouvait certainement évoluer à son aise dans ce type de rôle. »
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
Helen Rose a raconté elle-même, dans “Just make them beautiful” la genèse du film. Depuis des années, son beau-frère, Milton Kahn, l’incitait à écrire une histoire sur les vedettes qu’elle rencontrait. Le titre était même choisi : Designing Woman. Créatrice de costumes pour les films de fa M.G.M., Helen Rose avouait manquer de curiosité et d’imagination… Elle en parla à George Wells et de cette rencontre devait naître cette éblouissante comédie, l’une des plus parfaites des années cinquante. A l’origine le mari devait être un homme d’affaires, comme Harry, le propre mari d’Helen Rose mais il devint vite évident qu’en faire un journaliste donnait à ces démêlés matrimoniaux une nouvelle dimension. Il n’est d’ailleurs pas interdit de penser que George Wells s’est souvenu à ce propos de l’excellent film produit par Joseph L. Mankiewicz et réalisé par George Stevens : Woman of The Year (La Femme de l’année), tourné en 1942. Écrite par Ring Lardner Jr. et Michael Kanin, cette comédie avait pour cadre un grand journal, le New York Chronicle et opposait un rédacteur sportif (Spencer Tracy) à une journaliste plus brillante et mondaine que lui et que jouait Katharine Hepburn. On y voyait Tracy tenter d’apprendre à celle-ci les rudiments du base-ball puis assister, devant un parterre entièrement féminin, à une conférence donnée par l’élue de son cœur. Stevens signait là l’un de ses meilleurs films et le couple formé par Spencer Tracy et Katharine Hepburn brillait de mille feux. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
Designing Woman réussit à être tout aussi éblouissant et Minnelli décrit avec une suprême ironie ces deux univers opposés, celui du journalisme et celui de la haute couture, qui vont soudain se heurter et se fondre harmonieusement l’un dans l’autre. Imaginez, d’un côté, Gregory Peck, plus journaliste que nature, prêt à dénoncer les combines du racket de la boxe, habitué à taper sur une vieille portable, un verre de whisky sur la table, et de l’autre, Lauren Bacall, vertigineuse incarnation de la sophistication new-yorkaise et dont la démarche ondulante est une véritable merveille. Une première fois, ces deux mondes opposés vont se heurter lorsque, dans l’appartement de Marilla, les joueurs de poker, amis de Mike, croiseront les camarades de travail de la jeune femme, venus écouter la répétition d’une pièce. La seconde, ce sera au cours de la fabuleuse bagarre finale où jack Cole, le propre chorégraphe du film, mettra hors d’état de nuire les hommes de main de Martin Daylor et prouvera ainsi que l’art chorégraphique peut être plus efficace que les mauvais coups d’une bande de gangsters.
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
Ne serait-ce que pour ce finale exceptionnel, Designing Woman mérite une place de choix et, à un moment où le cinéma hollywoodien commence à subir les tragiques conséquences du “divorcernent” (la séparation des circuits de production de ceux de la distribution), Minnelli retrouve quasi miraculeusement l’esprit de la grande comédie américaine, telle que l’illustrèrent Leo Mc Carey, Howard Hawks ou Mitchell Leisen. L’apogée du film est d’ailleurs certainement, en dehors de la bagarre-ballet de la fin, le simple et sublime moment où Lori Shannon, exaspérée par les compliments que Mike vient faire de sa femme, se contente de lui renverser sur les genoux une assiette de ravioli. La précision du découpage de la scène, l’air de Dolores Gray et surtout la réaction de Gregory Peck, admirable, font de ce bref instant un sommet de la comédie. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
On ne dira sans doute jamais assez à quel point le film est redevable à Gregory Peck dont la composition est ici un pur chef-d’œuvre. La manière dont il raconte, à Lori, puis à Marilla, son “alibi”, est la marque d’un grand acteur dont le talent comique n’a pas été utilisé à sa juste valeur. De même, il est difficile de se souvenir du film sans évoquer Maxie Stulz, le boxeur sonné qui rêve de remonter sur le ring et qui, en attendant, se contente de lire les bandes dessinées de Tom et Jerry et dort les veux ouverts. Mickey Shaughnessy à qui, la même année, Charles Walters confiera le soin de personnifier dans Don’t Go Near The Water (Prenez garde à la flotte), le marin américain type dont les phrases sont ponctuées de grossièretés, incarne avec une agressivité empreinte de bonhomie cette victime du ring. Sam Levene en rédacteur en chef bourru mais sympathique, Jesse White dont le vocabulaire semble se confondre avec l’histoire des présidents des Etats-Unis et Edward Platt, le dangereux caïd du gang de la boxe, sans oublier Chuck Connors, Richard Deacon et naturellement Jack Cole, composent autour de Mike et de Marilla, de savoureuses personnalités qui ont bénéficié de la justesse d’observation de Minnelli et de George Wells. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
Passant avec humour d’une séquence de party à un match de boxe, d’une répétition de show à une scène de comédie à deux, Minnelli prouve son habileté – il venait de tourner Tea and Sympathy – à changer brusquement de style. L’ensemble du film est d’ailleurs composé comme un véritable ballet dont Mike et Marilla sont les protagonistes, échappant peu à peu chacun à leur propre monde pour en former un troisième, le leur. Comme toujours chez Minnelli, le drame naît de l’affrontement de deux mondes opposés et de l’attrait que présentent pour ces héros ces univers inconnus. L’amour de Mike pour Marilla, à l’image de celui de Tommy pour Fiona dans Brigadoon, provoque la brusque rencontre de ces univers parallèles qui s’ignoraient, victimes de leurs propres conventions. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
Producteur en titre du film, Dore Schary écrira non sans tristesse, dans son livre de souvenirs, Heyday : « Designing Woman fut ma dernière production personnelle pour la M.G.M. Ce fut une expérience agréable et cela devint un film agréable et je m’en souviendrai toujours avec ironie parce qu’il s’agissait d’une comédie. Je quittais la M.G.M., après tout, sur un rire. » Victime des guerres internes qui ébranlaient la M.G.M., Dore Schary qui était surtout célèbre pour ses drames sociaux et ses films à thèse, partait sur une pirouette…
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DESIGNING WOMAN (La Femme modèle) – Vincente Minnelli (1957) avec Gregory Peck, Lauren Bacall et Dolores Gray
L’histoire
Michael Hagen (Gregory Peck), journaliste sportif, rencontre et épouse la ravissante Marilla Brown (Lauren Bacall), dessinatrice de mode. Mais Michael, qui vit dans les milieux de la boxe déteste le monde de la danse dans lequel évolue sa femme et Marilla trouve, de son côté, que les amis de son mari manquent de classe… Marilla découvre que Lori Shannon (Dolores Gray), une danseuse, a autrefois été la maîtresse de Michael. Cette liaison est-elle bien terminée ? Michael est chargé par son journal d’enquêter sur le racket de la boxe que contrôle le gang de Martin Daylor (Edward Platt). Pour le protéger, son patron Ned Hammerstein (Sam Levene) lui donne un garde du corps en la personne de Maxie Stulz (Mickey Shaughnessy), un boxeur “sonné” qui rêve d’un hypothétique retour sur le ring. Mais, en fait, contrairement à ce qu’il dit à sa femme, Michael ne quitte pas New York et Marilla le surprend un jour chez Lori que Michael avait revue pour mettre au point un (invraisemblable) scénario relatif à leur liaison passée. Marilla est furieuse mais lorsque les hommes de main de Daylor tentent de l’enlever, Michael et le fidèle Maxie livrent à ces gangsters professionnels une violente bagarre qui se termine par la victoire de… Randy, un danseur, ami de Marilla ! Michael et Marilla sont plus amoureux que jamais l’un de l’autre.
Les extraits
Fiche technique du film
Il est journaliste sportif, habite dans "une boîte à chaussures" désordonnée, aime le poker et les copains, se nourrit de sandwiches et de bière. Elle est modéliste, habite dans un appartement spacieux et moderne, fréquente le tout New York et ses amis sont raffinés. Voici une fois de plus deux mondes apparemment inconciliables face à face.  Et lorsqu'ils doivent cohabiter (partie de poker d'un côté, répétition du show musical de l'autre), l'harmonie n'est guère possible. Cela pourrait être un drame, mais c'est une comédie rapide, aux dialogues brillants. (Dans ses mémoires, Lauren Bacall estime qu'il y a dans Tea and Sympathy (La femme modèle) une des répliques les plus drôles de sa carrière : « Ouvre les yeux, Maxie, et endors-toi. » Minnelli a décidé cette fois-ci de se moquer de la futilité des apparences sociales. Ce monde-là est sophistiqué, mais ce n'est pas le vrai. [Vincente Minnelli – François Guérif – Filmo n°8 (Edilio 1984)] Il est journaliste sportif, habite dans "une boîte à chaussures" désordonnée, aime le poker et les copains, se nourrit de sandwiches et de bière.
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shannonsaitdesigns · 6 months ago
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The Rising Cost of Silver: Impact on UK Jewellery Businesses
In recent months, the global price of silver has surged, creating a ripple effect across various industries, particularly jewellery. For jewellers in the UK, this increase in silver bullion costs poses significant challenges and is reshaping the market landscape.
Silver, long treasured for its beauty and versatility, is a staple in jewellery design. However, its value is influenced by a complex interplay of market demand, mining production, and economic factors. Recently, economic uncertainties and heightened industrial demand have driven silver prices to unprecedented highs.
For UK jewellery businesses, this surge means higher raw material costs, which inevitably affects pricing strategies and profit margins. Many jewellers are faced with the tough decision of absorbing the increased costs, which can strain their financial stability, or passing these costs onto consumers, which might dampen sales.
Moreover, the fluctuating silver prices also impact production planning. Jewellers may find it challenging to maintain a consistent pricing structure for their collections. Limited edition and custom pieces, which require precise cost calculations, become even more complicated to price fairly and competitively.
Despite these hurdles, the rising cost of silver also sparks innovation. Many jewellers are exploring alternative materials or incorporating mixed metals into their designs to manage costs while still delivering unique and high-quality products. Additionally, this shift pushes the industry towards sustainable practices, as recycled silver becomes a more attractive option.
For customers and collectors, understanding these market dynamics is crucial. The appreciation of silver's value might make now an opportune time to invest in fine jewellery, appreciating both its aesthetic and economic worth.
In conclusion, while the rising cost of silver presents challenges, it also drives adaptation and innovation within the jewellery industry, shaping a resilient future for UK jewellers
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shannonsaitdesigns · 6 months ago
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The Impact of Rising Silver Prices on Silversmiths
In recent times, the cost of silver has soared to unprecedented heights, significantly impacting the world of silversmiths and jewellery makers. This surge is attributed to a combination of factors, including increased industrial demand, market speculation, and economic uncertainties.
For artisans and small businesses, like those in the jewellery industry, this dramatic increase in silver prices presents a considerable challenge. Silver, once a relatively affordable precious metal, has become a significant expense, affecting everything from material costs to pricing strategies.
Silversmiths are now faced with difficult decisions. Some may opt to raise the prices of their creations to offset the higher material costs, which could potentially alienate budget-conscious customers. Others might seek alternative materials or alloys, although this can compromise the traditional aesthetic and quality that customers expect.
Moreover, the fluctuating market prices create an unpredictable business environment. Budgeting and planning become more complex as the cost of raw materials can change rapidly, impacting profit margins and financial stability.
Despite these challenges, many artisans are finding innovative ways to adapt. Some are enhancing their designs with mixed metals, incorporating less expensive materials, or focusing on smaller, more intricate pieces that require less silver. Others are emphasizing the craftsmanship and unique qualities of their handmade pieces, ensuring that the added value justifies the higher price tag.
The rise in silver prices underscores the resilience and creativity within the jewelry community. While the road ahead may be uncertain, the passion and ingenuity of silversmiths continue to shine through, adapting to new economic realities while maintaining the artistry that defines their craft.
Stay connected for more insights into the evolving world of handmade jewelry and the talented artisans behind these stunning creations.
https://linktr.ee/hinkypunk
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shannonsaitdesigns · 6 months ago
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The Joy Of Personalised Jewelry
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There's a unique charm in gifting and receiving handmade, personalized sterling silver jewelry. In a world dominated by mass-produced items, personalized pieces carry a special significance. They aren't just accessories; they're heartfelt expressions of love, appreciation, and personal connection.
When you give someone a piece of handmade jewelry, you're offering more than just a beautiful object. You're giving a story, a memory, and a piece of your heart. Each handcrafted item reflects the artisan's passion and dedication, infusing the metal with their creativity and care. This craftsmanship is evident in every intricate detail, making the jewelry not just a possession, but a keepsake to be cherished.
Receiving such a thoughtful gift creates an emotional bond between the giver and the recipient. It shows that someone took the time to consider your tastes, your style, and what would make you smile. It's a tangible reminder of a special moment or a meaningful relationship, something that can be worn and treasured daily.
Personalized sterling silver jewelry elevates this sentiment even further. Adding initials, a special date, or a meaningful word transforms a beautiful piece into something uniquely yours. It becomes a personal talisman, a source of strength and joy, and a constant reminder of the giver's affection and thoughtfulness.
In our fast-paced, digital world, these handcrafted treasures offer a touch of timeless elegance and sincerity. They remind us of the beauty in small details and the joy in meaningful gestures. So, whether you're giving or receiving, handmade personalized jewelry is a celebration of individuality, connection, and enduring love.
@folksy
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shannonsaitdesigns · 5 months ago
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The Unsettling Trend of Big Brands Copying Independent Jewellers
In the world of fashion, originality is the cornerstone of creativity. For independent jewellers like Shannon Sait Designs, each piece is a labor of love, embodying unique craftsmanship and personal vision. However, an unsettling trend is casting a shadow over this vibrant community: the increasing incidence of large companies copying designs from independent artists.
This practice, often termed as "design theft," has become alarmingly common. Big brands, equipped with vast resources and extensive market reach, are replicating the intricate designs of small, independent jewellers. These reproductions, often sold at a fraction of the price, undermine the original creator's efforts and devalue the artistry behind each piece.
The impact on independent designers is profound. Each copied design represents hours of painstaking work, inspiration, and innovation stolen. This not only affects the artist's livelihood but also discourages creative exploration. The replication of unique designs by corporate giants stifles the spirit of originality and deters emerging talent from pursuing their creative passions.
Consumers play a pivotal role in addressing this issue. By supporting independent designers, they help preserve the integrity of artistic expression. When purchasing jewellery, awareness and mindfulness about the origin and authenticity of the design can make a significant difference. Opting for pieces from independent creators not only ensures the acquisition of a unique item but also supports the thriving of genuine artistry.
In the face of design theft, the solidarity of the creative community and conscientious consumers is essential. Together, they can champion originality, ensuring that the unique voices of independent jewellers continue to shine brightly in the world of fashion.
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