#sexe femme libre
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a-room-of-my-own · 25 days ago
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#oui les hommes s’en foutent#mais rassurez-vous ils se foutent aussi de tout le reste Je trouve ce que tu as dit hyper intéressant. C'est honnêtement ma thèse, de plus en plus, à mesure que j'avance dans la vie, sans que j'ai quoi que ce soit d'autre que mon expérience pour la soutenir. Je ne sais pas à quoi ça tient, mais j'ai le sentiment que nous, les hommes, les mâles humains, peu importe, ne tenons pas à la vie matérielle autant que les femmes. J'entends "tenir" au sens premier du terme. On y est moins connectés, ou on s'y connecte moins, je ne sais pas. Des religieux radicaux aux fans supposément ultra-rationalistes d'Elon Musk, par exemple, il y a toujours un gouffre de l'idéal vers le réel qui doit être franchi. L'idéal, c'est où le quotidien devrait être vécu, et le contact avec le réel est toujours difficile. C'est le moment des larmes, ou de la colère, ou, dans les pires des cas, de la destruction, j'entends la destruction entendue pour rectifier le décalage entre l'idée et le concret, ou signer un manifeste en faveur de l'idée au détriment du concret. J'ai la conviction que les hommes peuvent vivre une existence entière purement au travers de symboles et de structures esthétiques qui auront déterminé leur _histoire_. Je pense que la structure principal d'un homme, en général et pas en particulier, c'est une structure narrative. Je pense que si on sort de sa narration, il y a désarroi. Au mieux, pour lui-même, au pire, pour les autres.
Alors c’est juste mon hypothèse, mais je pense que ça a beaucoup à voir avec le fait de vouloir remplir le vide créé par l’incapacité de concevoir / d’engendrer.
D’un côté il faut contrôler les femmes et leur capacité à engendrer, de l’autre il faut créer de multiples formes de conception, voire tenter grâce à la technologie de les remplacer : par les mères porteuses puis les utérus artificiels, par la robotique, par la technologie …
Tout dans la nature rappelle que ce qui est nourricier au sens premier du terme est féminin. Plus les hommes se distancient du féminin pour essayer de trouver leur identité propre, plus ils peuvent se réfugier dans l’abstrait ou l’artificiel. Ou dans le mensonge, en racontant dans leurs mythes que les femmes ne sont que des fours, que l’âme vient de la semence masculine, que les femmes sont des hommes ratés etc…
C’est un mensonge et ils le savent. Mais pour le maintenir il faut non seulement se tenir à distance du féminin mais aussi le dévaloriser. Tout ce qui a trait aux femmes est humiliant, inférieur, niais, ce qui rentre en confrontation directe avec l’orientation sexuelle de la majorité d’entre eux. Comment réconcilier le fait d’être attiré sexuellement par un être qu’on jalouse et qu’on méprise?
En considérant que le sexe est par nature un péché. Que la femme est tentatrice, que son corps est sale, qu’elle est impure. Encore une raison de se réfugier dans l’abstrait et l’artificiel ! Mais ça ne protège pas de la colère, qui s’abat sur les femmes qui même quand elles n’ont rien ont toujours trop.
J’ai toujours envie de rigoler quand je vois des hommes écrire des scénarios catastrophe sur les robots qui tueraient l’humanité et dont il faudrait restreindre le libre arbitre. On voit bien ce que les hommes pensent d’eux-mêmes. Aucune femme n’a jamais pensé que ce serait une bonne chose de briser le libre arbitre de ses enfants et d’en faire des serviteurs dociles. Il n’y a qu’un homme pour se dire « je ferai mieux que les femmes » (une créature sur mesure) « qui ensuite me tuera » (parce que je suis incapable de l’aimer correctement).
Le jour où les hommes auront dépassé leur trauma collectif de ne pas avoir d’utérus on pourra peut-être avancer mais c’est pas pour demain.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans,  On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne  nous  quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi 
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« Un homme, pour moi, ce n’est ni un portefeuille pour assurer mon existence, ni une étiquette dont j’ai besoin pour circuler dans la société, ni un bijou qu’il m’amuserait de porter pour que d’autres me l’envient, ni un sexe où accrocher mon reste de jeunesse pour la retenir, ni un poste à transistor destiné à combler le silence. C’est un être humain avec lequel je veux trouver ce qu’il y a de plus rare au monde : un langage commun. Communiquer, s’entendre, être entendu et entendre l’autre. » Françoise Giroud, Histoire d'une femme libre
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droitsdesfemmes · 3 months ago
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Victoria Claflin Woodhull, née le 23 septembre 1838 à Homer, Ohio, et décédée le 9 juin 1927 en Angleterre, était une réformatrice sociale américaine aux multiples facettes. Elle est surtout connue pour avoir été la première femme à se présenter à la présidence des États-Unis en 1872. Victoria est née dans une famille pauvre et excentrique, où elle a souvent participé à des spectacles de médecine et de voyance avec sa sœur Tennessee Claflin. À l'âge de 15 ans, elle a épousé Canning Woodhull, un médecin alcoolique et infidèle, avec qui elle a eu deux enfants. Leur mariage tumultueux a conduit à un divorce en 1864. Après son divorce, Victoria s'est associée à sa sœur Tennessee et, avec le soutien financier du magnat des chemins de fer Cornelius Vanderbilt, elles ont ouvert la première maison de courtage dirigée par des femmes à Wall Street en 1870. Elles ont ensuite lancé un journal, « Woodhull & Claflin's Weekly », qui a publié des articles controversés sur des sujets tels que l'amour libre, les droits des femmes et les réformes politiques qui ne se concrétiseront que dans les années 1960. Ce journal est célèbre pour avoir publié la première traduction anglaise du « Manifeste du Parti Communiste » de Karl Marx. Victoria est devenue une figure influente du mouvement pour le suffrage féminin, étant la première femme à témoigner devant un comité du Congrès américain en 1871. Elle a argumenté que les femmes avaient déjà le droit de vote en vertu des 14e et 15e amendements de la Constitution américaine, bien que cette argumentation n'ait pas réussi à convaincre le comité​. En 1872, elle a été nominée par le Equal Rights Party (Parti des Droits Égalitaires) pour se présenter à la présidence, avec Frederick Douglass comme vice-président, bien qu'il n'ait jamais reconnu cette nomination. Sa campagne a été marquée par des scandales, notamment la publication d'un article sur l'affaire extraconjugale du révérend Henry Ward Beecher, ce qui a conduit à son emprisonnement pour obscénité la veille de l'élection. Après des années de controverses et de difficultés financières, Victoria a déménagé en Angleterre en 1877, où elle s'est mariée à l'aristocrate John Biddulph Martin. Elle a continué à soutenir les droits des femmes en Angleterre et a publié un journal avec sa fille. Victoria est décédée en 1927, laissant derrière elle un héritage complexe de réformes sociales et de combats pour l'égalité des sexes.
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swedesinstockholm · 1 year ago
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15 mai
parfois je me demande pourquoi je me suis embarquée là-dedans. surtout à cause de l’argent que ça me fait dépenser, même si on sera probablement défrayées, mais je sais pas à combien. samedi dans le bus le jour de la perf on s’est pris une amende de cent francs et je m’en suis toujours pas remise. ça m’a miné le ventre toute la journée, à chaque performance que je voyais venait un moment où je décrochais pour me repasser la scène où j’ai du sortir ma carte pour payer cent francs aux tpg, cent francs bordel comment je vais faire pour les récupérer? en attendant le début de notre perf je répondais à toutes les offres de cours de luxembourgeois online de cours at home que j’ai reçues ces derniers jours dans un élan de panique, mais ils me les donnent jamais de toute façon. je déteste l’argent et je déteste la suisse. point très positif d’être à genève par contre: j’ai pas le temps de penser à r. d. ce matin au wc je regardais des vidéos de stand-up d’une humoriste américaine et dans une des vidéos elle disait qu’elle était techniquement bisexuelle, mais qu’elle préférait et choisissait activement d’avoir des relations qu’avec des femmes parce qu’elles se lavent les mains après avoir fait pipi et ça m’a fait retomber du côté gay de la bascule. et puis j’ai repensé à la conversation des ami.es de r. hier et x. disait qu’elle était trysexual et que donc elle essayait tout et s. l’égyptien disait qu’il avait d’abord été hétéro à cause de la société, puis quand il a déménagé au caire il était gay parce qu’il se sentait libre, et une fois qu’il a eu fait la paix avec ça il a de nouveau couché avec des femmes. mais il disait qu’il était d’abord attiré par l’énergie des gens et non leurs attributs sexuels et qu’en fait il s’en fout. peut être qu’on a la même sexualité. sauf que moi je peux être très excitée par la nuque d’une fille, ou un side boob, ou un bras, ou n’importe quoi.
18 mai
hier soir je suis allée à un atelier d’écriture d’élodie petit/gorge bataille de l’anthologie douteuse, j’avais vu l’affiche mardi collé sur la porte du couloir en partant de l’école et je me suis inscrite sur le champ, alors que j’aime pas des masses sa poésie et puis cette histoire de sexe omniprésent me faisait un peu peur, parce que je me suis dit et si tout le monde écrit sur le sexe parce que c’est à la mode et qu’elle nous fait écrire des trucs trash et moi je sais pas faire du trash etc. le truc qui m’a décidée à y aller c’est que dans une vidéo avec laura vazquez elle encense violette leduc et l’affamée et j’ai forcément quelque chose en commun avec les gens qui encensent violette leduc. pour le tour de table elle nous a demandé de nous présenter en citant le dernier livre qui nous avait marqué et j’ai jamais été aussi à l’aise dans un tour de table. j’ai parlé de ma passion pour eva baltasar et elle la connaissait et c’était très agréable de pouvoir partager mon enthousiasme avec quelqu’un d’autre. j’ai dit que c’était exactement ça que je voulais écrire et on a parlé de la sortie de son prochain livre et quelqu’un a dit une vraie fan! et j’ai dit ah ouais trop et ça m’a fait du bien de me retrouver avec des francophones plus ou moins littéraires, après tout ce temps passé avc r. et s. j’étais pas la seule intruse à l’atelier, y avait quelqu’un des beaux arts de paris, mais j’étais quand même la seule à ne pas être en école d’art. même élodie petit a fait les beaux arts. elle a 38 ans. je me sentais plus proche d’elle que des étudiant.es qui était tous habillé.es comme quand je suis entrée au lycée avec des gilets en coton côtelés à col montant et des baskets en cuir marron hideux et de la dentelle mélangée à d’autres matières aux couleurs moches comme crème beige et marron ou orange. je comprends pas cet engouement pour le moche, ça doit être comme un jeu, qui trouvera les habits les plus moches qui trainent au grenier ou dans les fripes, je sais pas.
on a parlé des bios et à quel point elle détestait ça parce que ça l’étouffe de se définir et d’être mise dans une case, la case queer transgressive blabla, elle disait qu’elle avait l’impression que ça voulait plus rien dire et que les mots ne voulaient plus rien dire, se définir comme gouine anticapitaliste and then what? elle disait que les seuls moments où elle avait l’impression de faire un truc vraiment politique, c’était quand elle donnait des ateliers d’écriture dans des écoles de banlieue défavorisées et qu’elle leur faisait désacraliser les auteurs classiques comme rousseau etc. on a parlé de comment ne pas trahir d’où on vient aussi, parce qu’elle vient d’un milieu populaire, et elle disait que quand elle écrivait, elle écrivait toujours de manière à ce que sa mère et sa grand-mère puissent comprendre ce qu’elle dit. moi j’ai l’impression que quand je fais des trucs d’artiste et d’écrivaine, je veux leur montrer regardez ce que je fais, je suis pas comme vous, je vis dans un autre monde, je suis une artiste. mais je sais pas, peut être qu’en fait je veux juste leur montrer que je fais quelque chose, par opposition à rien du tout. de toute façon on me demande jamais rien et tout le monde s’en fout de ce que je fais. mais j’ai quand même une espèce de fierté, quand je fais des trucs artistiques/intellectuels. même si au bout d’un moment j’ai besoin de rééquilibrer les choses et de redescendre à la mer. dans les toilettes de l’école l’autre jour en me lavant les mains j’ai pensé à l’autoroute et ça m’a donné une envie intense de faire le trajet en voiture pour y aller. même si je déteste ça.
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claudehenrion · 2 years ago
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Rappels utiles, dans la folie ambiante…
 Nous le répétions hier pour la (n + unième) fois, aussi redondante que les autres, puisque tout le monde sait ça : certains mots, en français, sont précédés d’articles féminins ou masculins sans que cela implique que les qualités correspondantes appartiennent à un sexe plutôt qu’à l’autre. On dit : “Madame de Sévigné est un grand écrivain” et “Chateaubriand est une plume brillante”. On dit : le garde des Sceaux, même quand c’est une femme, et la sentinelle, qui est presque toujours un homme. Tous ces termes sont sémantiquement neutres, et accoler un article à un substantif ne fait pas changer de sexe son attributaire. C’est une règle d’accord dont les fossoyeurs de notre civilisation rêvent de faire une règle de désaccord.
Certains substantifs se féminisent tout naturellement, et c'est sans choquer la langue ni la grammaire qu'on dira une pianiste, une avocate, une chanteuse ou une actrice, qu’on parlera de la pseudo “papesse Jeanne”, ou qu'un Ambassadeur peut être une femme (dont l’appartenance au “beau sexe” –comme on disait en forme d'hommage avant que la folie ne sorte des asiles– est très clairement démontrée par “Madame le…”), de même qu'il reste une Excellence, si c’est un homme.  En revanche, une dame ministresse, proviseuse, médecine, gardienne des Sceaux, vaine écrivaine, ou officière ou commandeuse de la Légion d’Honneur contrevient et à la clarté et à l’esthétique de notre langue, et relever cette faute de goût ne saurait être imputé à quelque antiféminisme. L’usage est le seul maître suprême de ce mariage de la logique et du tâtonnement, bercé par la mélodie du temps qui passe, et pas par l’opportunisme vulgaire et le clientélisme vénal des politiques.
L’Etat n’a aucune légitimité pour décider du vocabulaire et de la grammaire. Il tombe en outre dans l’abus de pouvoir quand il utilise l’école publique pour imposer à toute une jeunesse ses oukases langagiers (j'avais, j’ai  très envie d'écrire “idio-matiques”, tant le premier mot s'impose !). Vaugelas, en 1615, lorsqu'il a édicté des normes dans ses ‘’Remarques sur la langue française’’, n’était pas un ministre, contrairement à Jospin (et donc seul le premier passera à la postérité, et c'est très bien comme ça !) : ce n’était qu’un auteur, dont chacun était libre de suivre ou non les avis, et il n’avait pas les moyens d’imposer ses lubies aux enfants. Depuis François 1er, aucun de nos Rois n'a jamais statué sur des questions de langage. Jospin, lui, a tout salopé, et Macron trépigne de vouloir  aller encore plus loin !
Si notre gouvernement voulait vraiment servir le français, il ferait mieux de veiller d’abord à ce qu’on l’enseigne en classe, et ensuite à ce que l’audiovisuel public, placé sous sa coupe, n’accumule pas, à longueur de journée, les faux sens, les solécismes, les barbarismes, les impropriétés et les cuirs (sans compter les “o” et les “eu” systématiquement ouverts de Marie-Sophie Lacarrau, qui fait du français une langue d'oc ratée)… Tout ce laisser-aller, pénétrant dans le crâne des enfants, achève de rendre impossible la tâche des enseignants.  Les coupables de cette honte croient s’amnistier (c'est un sport qu'ils maîtrisent à merveille) en torturant la grammaire. Ils ont trouvé le sésame démagogique de cette opération magique : faire avancer le féminin faute d’avoir fait avancer les femmes ! Ah ! Les salopards !
L’objectif de l’écriture “inclusive” (théoriquement : “qui inclut en soi”. En fait, c'est exactement le contraire : elle rend tout dialogue impossible !) serait d’assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes. Le moyen serait de faire apparaître explicitement et systématiquement, dans la forme et dans la structure des mots que l’on écrit, la présence des femmes à égalité avec celle des hommes. La représentation graphique, qui est toujours ‘’in-déchosable’’ (exemple : l’indulgent•e lect•eur•rice), est encore plus acrobatique au pluriel, où le “s” est ajouté après un point médian : les lect•eur•rice•s. Saloper la langue française pour un résultat impossible à lire, a dire, à écrire et à comprendre, c'est très cher payer !
Dans l’histoire de la langue, cette fantaisie représente un phénomène radical inédit : la tentative d’une force extérieure, pseudo-idéologique et soi-disant féministe –mais qui est exclusivement révolutionnaire– d’imposer des règles structurelles (et absurdes) à la langue, par une sorte de coup de force, pour l’instrumentaliser contre sa nature profonde, en fabriquant artificiellement une coupure totale, radicale et systématique entre l’écrit et le parlé : il est impossible de prononcer les mots écrits en écriture inclusive, tout comme il est impossible de “parler” en inclusif.  C'est l'exclusion absolue garantie ! Sans compter les troubles que va  entraîner une confusion entre des “sexes doctrinaires” et la “fonction sexuée” qui est l'ordre naturel des choses…
Mais le plus grave, dans cette farce-pas-drôle-du-tout, c'est que tout semble démontrer que, jusqu'en haut de l'échelle, le “politique”, dans sa vacuité intellectuelle, sa nullité et sa cuistrerie, rêve tout haut de nous contraindre “quoi qu'il en coûte” ! Après lui, le déluge ! Seulement, voilà : l'inclusion, redisons-le, est exclusive, et ne peut en aucun cas déboucher sur quoi que ce soit d'autre que des catastrophes en cascade… et l'éclatement du pays.  Je n'arrive pas à croire que Macron pourrait ne pas le savoir. Et ça, c’est grave.
H-Cl.
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buxberg · 2 years ago
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Kate Bosworth a une hétérochromie sectorielle congénitale : son œil gauche est bleu et son œil droit est à moitié brun
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À l'âge de 6 ans, la famille de Kate a quitté San Francisco en raison des activités professionnelles de son père.  Elle a principalement grandi sur la côte Est, le Massachusetts et le Connecticut.  Enfant, Bosworth rêvait de devenir cavalier professionnel.  À l'âge de 14 ans, elle a reçu le titre de championne des sports équestres.  Bosworth a étudié le français à l'école secondaire Cohasset, où elle a également joué pour l'équipe de football et l'équipe de crosse.  Fin 2000, Bosworth est admise à l'Université de Princeton, mais plus tard, en raison d'importantes interruptions de ses études, elle est expulsée.  Elle est membre de l'organisation bénévole Appalachia Service Project.
La carrière d'actrice de Bosworth a commencé en 1998 avec The Horse Whisperer de Robert Redford - les producteurs du film cherchaient une actrice capable de monter à cheval, et elle a obtenu le rôle.  Elle a joué son premier rôle principal en 2002 - Anne Marie Chadwick dans le drame sportif The Blue Wave.  Selon l'intrigue, Ann Marie, Eden et Lena sont trois amies inséparables qui travaillent comme femmes de ménage pendant la journée et consacrent leur temps libre au surf, ce qui signifie pour elles tout ce qui est bon dans la vie : liberté, beauté, succès.  La prochaine étape sur la voie de l'objectif chéri devrait être la victoire à la compétition locale.
Ensuite, il y avait des œuvres notables dans les films "Wonderland", "Rules of Sex", "By the Sea" et "Date with a Star".  L'actrice a été reconnue à plusieurs reprises comme l'une des femmes les plus sexy du monde. 
En janvier 2008, Kate Bosworth est devenue le nouveau visage de Calvin Klein Inc.
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christophe76460 · 4 hours ago
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LA THEORIE DU GENRE POUR UNE EVALUATION THEOLOGIQUE 4/4
Henri BLOCHER Professeur émérite de théologie systématique Faculté libre de théologie évangélique de Vaux-sur-Seine
4. Marginalement : ce qui appelle plus ample réflexion
La fermeté face aux tendances délétères du Zeitgeist n'exige pas que tout soit tranché, blanc ou noir. Trois questions paraissent susceptibles de réponses nuancées, voire divergentes, à la lumière de la théologie évangélique (sous la norma normans de l'Ecriture). Elles invitent à poursuivre plus avant l'étude.
Si conclure, c'est « fermer », nous ouvrons en même temps les trois fenêtres correspondantes. Le rôle des stéréotypes, souvent dénoncés par les féministes, a été noté, comme l'exceptionnelle sobriété biblique à leur égard. Leur place dans l'histoire suggère qu'une culture s'en passe difficilement. Sont-ils négatifs ou positifs ? à démanteler ou à corriger ? des carcans ou des tuteurs ?
Au moment de l'élaboration de la personnalité, à l'adolescence, il semble que les stéréotypes puissent servir d'appuis, apaiser l'angoisse de l'indétermination.
Faut-il surtout chercher le bon dosage ou d'autres critères ont-ils la priorité ?
Nous avons concédé la « demi-vérité » du constructivisme : les rôles masculins et féminins sont pour une large part construits, c'est-à-dire adaptés à un contexte socio-culturel, à une époque donnée.
L'importance de constantes trans-historiques, que nous soulignons, n'implique pas le déni de changements. Ceux-ci semblent avoir été considérables entre le contexte biblique, puis le contexte de la chrétienté constantinienne et pré-industrielle, et le nôtre ; et le nôtre évolue à une vitesse croissante, si nous en croyons le sentiment commun.
Quelles conséquences seraient-elles à tirer pour l 'adaptation des rôles au contexte présent, ou prévisible dans le proche avenir ?
Pour la vision que nous inculque la Bible, notre temps est celui des « arrhes » ou « prémices » de l'héritage du salut. Le Royaume (Règne) de Dieu est déjà présent par l'Esprit (Romains 14.17), avec une croissance que suggèrent les images des paraboles (semence, levain) et la promesse d'une entrée accordée « abondamment » selon le progrès dans la sanctification (2Pierre 1.10s.).
L’eschaton (la réalité de la fin) a déjà été inauguré. Comment cette révélation affecte-t-elle notre traitement de la différence des sexes ?
Calvin comprend (en se référant à Galates 3.28) que dans le « Royaume spirituel de Christ » « la femme ne diffère du mari en rien » mais que la différenciation relève « de l'honnesteté externe, qui est une partie de la police Ecclésiastique » ; « aucune différence » « quant à la conjonction spirituelle devant Dieu, et au dedans de la conscience » mais « quant à l'ordre externe, et à l'honnesteté politique [ ... ] inégalité » . Il croit donc à la fois à l'abolition eschatologique de la différence et à la nécessité de maintenir celle-ci dans le temps présent, du « pas encore ».
D'autres plaident que l'inauguration du Royaume nous autorise et nous pousse à aller dans le sens de ce Royaume : à réduire la différence autant que le contexte le permet, puisqu'elle doit être abolie ; l'analogie de la suppression de l'esclavage est invoquée.
Faut-il adopter cette logique ? Le débat est assez vif. Il n'y a pas accord, d'ailleurs, sur l'abolition eschatologique de la différence : le logion de Jésus cité en ce sens ne concerne que le mariage, dans sa condition présente d'exclusivité. Quelle est la juste lecture ?
En nous forçant d'approfondir notre étude de la Parole de Dieu, la théorie du genre illustre le proverbe « le diable porte pierre » : elle sert aussi, sans le savoir, le dessein bienveillant du Seigneur !
Article tiré avec autorisation de LA REVUE REFORMEE : https://larevuereformee.net
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la-sorciere-du-theatre · 23 days ago
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Enfin un peu de paix et d’espoir de vivre pour Angelica ?
par Abigail Robert & correction par Antoine Rezakhany-Beudin
À l'Odéon, le 06/10/2024
La scène est rouge, des rideaux rouges, un fond rouge, une rampe rouge … Couleur du sang, des enfers, mais aussi de l’amour. Des thèmes importants dans le travail d’Angelica Liddell. Mais c’est sans compter l’importance de la religion, qui n’apparaît pas de prime abord. Le premier geste fort de la comédienne lorsque la pièce débute, c’est de se laver le sexe dans un bidet, ses fesses face à nous. Puis, tel un prêtre, elle jette l’eau qu’elle a utilisé pour se rincer telle une eau bénite sur le public. Angelica prend une place forte, et ce dès le début du spectacle, puisqu’elle nous bénit avec son sexe. Est-ce pour nous purger et nous empêcher d’être possédés des démons dont elle va se libérer par la suite de la représentation ? Pour éviter, une fois sortis d’elle, de venir nous posséder ? Le premier démon dont elle se dépossède est l’humiliation. Et cela se traduit de façon très concrète : quoi de plus humiliant pour une comédienne que de faire face aux critiques les plus acerbes sur ses spectacles ? Dos à nous, un document dans les mains, Liddell nous lit des critiques sur son travail. En faisant cela, elle souligne une chose : les spectateurs ne comprennent rien à ce qu’elle fait. Ils se contentent de la prendre pour une « sorcière », qui « vomit » sur son public, en n’ayant « rien à dire ». Mais là où les spectateurs passent à côté d’une information importante, ou d’un contre-sens, c’est qu’en se moquant des critiques qui ne la comprennent pas, elle ne souligne pas la forme, mais bien le fond. Elle le dit elle-même : « L’Art défend la liberté de tous. Je ne défends pas mon spectacle, je défends le droit de le faire ». Son art ne vise jamais à dénoncer l’objet, mais à prendre le prendre pour inciter à réfléchir sur ces dénonciations. En disant « Qui es-tu ? » aux critiques, « Je ne te connais pas » ! Elle ne dit pas qu’elle s’en fiche de la critique, qu’elle cherche à cacher une souffrance d’être jugée  et incomprise de la sorte. Elle dit que la réflexion est importante, et qu’il faut le faire, peu importe qui on est. Peu importe d’être critique dans un grand journal, artiste connu, génie incompris … Ce n’est pas le message que l’on fait passer qui importe. C’est la manière dont l'on s’en sert pour nourrir une réflexion. Ne pas comprendre Angelica, ce n’est pas un drame. C’est même une chose tout à fait normale : ses références, ses réflexions, ses messages forts peuvent nous paraître totalement abstraits. Tout lui vient d'elle-même, elle nous partage son être profond et il n’y a que son intériorité pour savoir où elle veut aller. Nous ne pouvons simplement que recevoir et ressentir. Il faut simplement faire l’effort d’essayer de passer au-dessus du « c’est bizarre », et chercher à creuser, imaginer, ressentir. Être libre de comment on digère ce spectacle, et toutes les réflexions qui découlent des sensations qu'il nous procure.
Il est évident que ce spectacle s’inscrit dans la continuité d’un théâtre inspiré d’Artaud (évoqué d’ailleurs pour parler de sa chasteté comme une condition de création), de Beckett où Angelica devient sur scène un fantôme, peut-être celui de Bergman, ou pas. Avec une robe de chambre en satin blanc, volant dans l’air, et son visage hurlant , scandant des mots telle une banshee qui nous rappelle des morts.
Il est bien complexe de vouloir résumer tout ce qu’Angelica nous dit, tout ce qu’elle nous montre. Les images sont nombreuses, fortes. Comme celui des enfers, où des vieilles personnes, proches de la mort, sont mêlées à de jeunes femmes pleines de vie, où un homme tout en rouge tel un diable rôde parmi elles. Un enterrement qui petit à petit devient une scène absurde sans honte, avec des bruits angoissants de bombardements, et l’évocation d’un possible attentat à l’instant dans le théâtre qui pourraient nous faire penser que l’on pourrait mourir durant cette représentation. La musique d’un cartoon, où toujours les personnages se mutilent, meurent dans un épisode, mais reviennent bien vivants et en bonne santé l’épisode d’après. Nous faisons face à une provocation angoissante où non seulement Angelica meurt, parle de mort, ou voudrait mourir, mais où, cette fois-ci, elle nous emmène aussi avec elle vers la mort. Mais rien ne peut nous arriver ! Elle nous a bénit au début de la représentation. Angelica nous tue dans la salle. En nous décrivant un attentat qui pourrait arriver, les balles, les corps des autres spectateurs … Sa description nous pousse à imaginer qu'à tout moment une mitraillette arrive sur scène et tue tout le monde. Et on tente de s’imaginer comment réagir. Par où fuir, comment se cacher … Mais au-delà de nous projeter dans cette situation angoissante, elle nous provoque.  D’ici 20 ans, elle nous dit qu' au moins une bonne partie des personnes dans la salle pourraient être décédées. Est-ce qu’elle a tort ? Bien sûr que non. Et pire encore, Angelica nous tue devant elle : « Le théâtre, c’est du temps. Et le temps tue. ». Puis elle nous regarde. Un ange passe. Comment ne pas ressentir cette angoisse de se sentir mourir devant ce spectacle ?
Puis vient la fin de la pièce. Angelica parle à Bergman, à côté du cercueil, qu’on imagine celui du réalisateur suédois. Elle lui demande d’être sa dernière épouse. C’est une image forte que de vouloir se marier à un mort. C’est accepter que la mort soit présente, partout, même dans le présent, même lorsqu’on est vivant. Car, après tout, on meurt  « toujours ».
Une chose que l’on peut se demander est : où est la souffrance physique ? Pas de mutilation, de scarification … pourtant, Liddell nous montre la souffrance que représente le phénomène de vieillissement tout au long de ce spectacle. Et là où l’on voit du sexe, beaucoup de sexe, la souffrance physique évidente a disparue. Mais le sexe est une sorte de souffrance physique lorsque l’on vieillit. C’est peut-être la seule chose qui nous permette de nous sentir moins vieux, ou au contraire, nous fait nous sentir vieux. Lorsqu'on n’attire plus qu’on « ne fait plus bander une bite », qu’on ne bande plus, que l’acte sexuel devient maladroit, compliqué à réaliser, demande plus d’efforts.
La fin de la représentation se finit sur une sorte d’acceptation et de résilience d’Angelica. C’est un moment presque doux, une grande surprise. Elle sait qu’elle n’a pas besoin de mourir ou de chercher à mourir pour la « douleur d’exister » (comme elle l’évoque dans un extrait d’Ibsen à un moment, qui résume beaucoup tout son travail), car l’on meurt « toujours ». Alors mourir maintenant, ou plus tard, c’est du pareil au même ? Cette fin de spectacle évoque une sorte de joie, de non-souffrance, ou d’acceptation de la douleur d’exister qui nous éloigne et nous surprend dans son travail. Angelica qui maintenant vieillit, accepte-t-elle de profiter du temps qu’il lui reste ?
Source : https://www.theatre-odeon.eu/fr/saison-2024-2025/spectacles-2024-2025/damon-24-25
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sergedehaes · 1 month ago
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« Face aux femmes en détresse avec une grossesse indésirée, face aux croyants divorcés remariés interdits de communier, face aux croyants de même sexe qui ne peuvent pas s’unir devant Dieu, l’Église garde des mécanismes qui ont favorisé des dérives et amené à des erreurs funestes. » À lire aujourd’hui dans le quotidien La Libre.
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lonesomemao · 2 months ago
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NOUS SOMMES L'EAU ET LE FEU
Préhistoire
Planète Terre
Planète libre
Moi primitif de la ville
Dans la tête
Cependant pas libre
Le sexe débridé
De femmes dites objets
L'espace à elles s'est fidélisé
M'attire vers leur virtuel
Jugé rebelle
Il nous fait avancer dans le réel
Les peuples premiers
Par les évènements pas dépassés
Ils inventent un rite
Le coït spatialité
Mercredi 18 septembre 2024
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teumbeleur · 2 months ago
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Soudain, ils se sont mis à ne jurer que par lui. As-tu lu le dernier "..."? Est-ce que nous n'irions pas voir la lecture de "..."? Il était devenu nouveau maître à penser et sa littérature jemenfoutiste, d'arraché sous keta, l'œil hagard d'un mannequin Balenciaga en descente sur un podium les atisait. Etait-il beau? Peut-être. Il avait de cette allure d'homme tantôt blasé, clope au bec, tantôt soucieux, corps d'éphèbe qui préservait sa frêle jeunesse. Sa moue était constamment indolente, bafouée, son regard observait le monde avec paresse et désinvolture, il se foutait de tout sans aucun rictus moqueur, comme si il connaissait déjà les futurs, leur terreur, leur chaos et n'en avait complètement rien à foutre.
Il trimballait une vieille aura rimbaldienne ou nietschienne ou Schopenhaueusienne. Il n'était pas sain, on l'imaginait mal se nourrir de snack graisseux mais il avait la gueule d'un type qui s'en prenait plein les narines en engloutissant goulument des huîtres jaunes offertes par des hôtes avides de sa prose.
Malgré tout, sa masculinité était offerte. Et sans doute, en cela il les fascinait, sa dégaine de nouveaux poète moderne qui empruntait tous des anciens, en y ajoutant un peu de flemme, un peu de drogue, un peu de mode, un peu de nude, un peu de sexe, un peu de.
Un chien qui se mordait la queue. Un air de déjà vu mais toujours tendance, jamais dépassé.
Il était tout ce que nous voulions oublier, le jeune bourgeois esseulé, perdu parmi ses maîtresses à qui il obligeait de le sucer avidement, jusqu'au rebut d'étranglement tandis qu'il les regardait dans les yeux, lorsqu'il se masturbait dans leur bouche.
Oui, il devait être adulé par de nombreuses femmes, toutes belles forcément. Oui, il devait faire l'amour comme dans un porno puis écrire quelques vers sur un assureur triste au suicide raté. Oui, il avait les réussites et les groupies déjà à sa cause.
Il n'était que le descendant de ces lignées d'Houellbecq qui pour passer inaperçu, tuait le père tout en lui astiquant le phallus, plantait de ci de là leur texte, quelques bribes pseudo-féministe pour attendrir les viandes avant de mieux les dévorer.
Il me rebutait autant qu'il me fascinait. Là était sa réussite et son poison; même absent, nous parlions de lui. Nous nous délections de critique à son égard et à juste titre, mais nous n'avions ni son audience, ni son postulat. Il était l'une des grandes réussites du patriarcat ; nous faire aimer et détester un énième bourreau flamboyant dont la chaire resterait inlassablement prise.
Je suis en train de lire "..." Tu m'envoyes quelques photos des pages, tu es heureux de me partager cette lecture. Tu es toujours heureux lorsque tu es en famille et ce sont ces rares moments où j'ai de tes nouvelles et de ta présence, apaisé, je reprends une place dans ton cœur.
Je grimace à la lecture; un enième roman d'auto-fiction, écrit à la première personne, d'un antiheros en marge qui philosophe d'un ton cynique sur les bassesses de ses pairs. Trop hautain pour les bourgeois, pas assez soucieux pour les pauvres.
Je souffle, j'ai toujours déteste les "too cool for school" et ces pages en sont un brûlot vivace.
Je voudrais, d'un ton d'une mère aimante te dire "Mon Chéri ne soit pas trop fasciner par cette lecture, au-delà du geste de l'écrit et de l'aura, tu n'as rien à envier à ce jeune crétin". Je réussi pourtant à critiquer le fond, que je trouves diablement bourgeois et pédant, caché sous un vocabulaire racé.
Tu abondes dans mon sens et l'enthousiasme de ton début de message fait place peu à peu à ton libre arbitre.
"Oui c'est quelque peu exagéré".
J'ose espéré que ma remarque ait pu te remettre les idées en place. Je te quitte sur cette lecture.
J'en avais trop entendu de ce type.
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rosesinvalley · 3 months ago
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ART féminin
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 On a choisit 2 artistes qu’on aime : 
Le travail de Monica Kim Garza née en 1988 au Nouveau Mexique à Alamogordo et travaille à Atlanta.⁠
Sa peinture reflète la joie féminine.⁠ Son personnage, une femme ou des femmes nues de couleurs typées coréennes ou mexicaines comme ses propres origines. L’artiste rejette le regard puritain, elle s’inspire de ce qu’elle aime et montre la femme dans son intimité. Ses portraits ou scènes montrent des femmes rondes, qui ne sont ni gênées, ni surprises, naturelles et libres et qui nous regardent parfois étrangement.
Sa peinture est belle et nous rappelle l’expressionisme ou Paul Gauguin avec ses marquisiennes. Elle a un coté peinture classique académique du portrait féminin que l’on connait bien mais bien plus osé qu’à l’époque.
Elle a créé des boards de skate avec 5Boro NY et mélange les techniques et les supports, céramiques, collages, toiles…
En savoir plus Galerie Julien cadet
Article sur Artsy
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On aime aussi l’art de Miss Me, française et suisse. Elle a travaillé en France et Montréal et a vandalisé le monde entier.
Activiste, fonceuse, bosseuse, oseriez-vous faire comme elle?
Vandal, Miss me fait partie des « free the nipple » et surtout de l’art Vandal mais pas seulement. Son travail est sincère, politique et parfois non violent. Elle rend hommage aux grandes femmes du passé, à l’histoire, donne son point de vue sur l’actualité… Valorise le sexe feminin.
extrait de son portrait 
« Naître avec un corps de femme, c’est porter le fardeau non sollicité des attitudes non résolues de l’humanité envers le sexe. Elle apprend à s’adapter à un système patriarcal qui blâme les femmes pour la mauvaise conduite des hommes. ” Sa chaine youtube lien La video TEDX où elle parle de la dignité humaine comme pilier de son travail.
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juliendorcellove-blog · 4 months ago
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Les salles obscures vous attirent ? Vous fantasmez sur les cinémas libertins ? Vous imaginez tout ce qui se passe dans le noir ? Si les fauteuils pouvaient parler, que nous raconteraient-ils comme histoires salaces ? A Nantes, une adepte de ces lieux érotiques est agressée par un inconnu. Le capitaine BARON, aidé d’un lieutenant transgenre, enquête pour démasquer le coupable. Mais sa mission s’annonce plus compliquée que prévue. Les deux enquêteurs vont devoir mettre la main à la pâte et auditionner des papys pervers, des femmes sexe-dépendantes, des professeurs échangistes et autres détraqués sexuels. Ils devront infiltrer ces lieux troubles, où les corps se découvrent, se mélangent et laissent libre cours à leurs pulsions les plus intimes. SALLES OBSCURES est un nouveau polar érotique de Julien DORCEL qui nous entraîne dans les bas-fonds de la luxure et des plaisirs interdits … (attention : ce roman est réservé à un public averti) !
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claudehenrion · 2 years ago
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Paroles et musiques... pour cantatrice folle ou cantateur fol
 Mes amis savent ma longue passion pour mon piano, ce compagnon de mes joies et de mes chagrins et du ''no silence land'' qui s'étend entre ces deux usages extrêmes d'un même (et merveilleux) instrument. Et mes proches savent aussi que, sans pitié pour mes voisins parisiens, il m'arrive de caricaturer  Pavarotti ou Jo Dassin, en poussant la chansonnette... ou en m’essayant sur les grands airs du ''Répertoire'' (comme ''Nessun Dorma'', du Turandot de Rossini : ''Les cons, disait Audiard, ça ose tout, et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''.  Eh ! bien, j'ose !)
Allez savoir par quels méandres, à travers les circonvolutions de mon cerveau, un air s'est imposé à moi, hier : c'est la célèbre chanson ''Mon Homme'', écrite pour Mistinguett en 1920, qui est, étonnamment, la chanson française qui a connu le plus grand succès international, alors que ses paroles étaient et sont rien moins que inhumaines. Jugez-en plutôt par vous-mêmes : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur C’est mon homme... Et même, la nuit, Quand je rêve, c’est de lui, De mon homme... La Femme, à vrai dire, N’est faite que pour souffrir Par les hommes... etc...''. Vous imaginez la levée de boucliers et les ''Unes'' outragées auxquels cette déclaration de guerre au féminisme le plus moins éclairé et à la bien-pensance la plus éculée (c'est la même chose) donneraient naissance, en 2022 ! Sandrine Rousseau se surpasserait dans la connerie --si c'est possible !
Rétrospectivement, j'ai eu honte pour nos ancêtres qui avaient l'aveuglement, l'inconscience et le mauvais goût de fredonner –même en faisant ''mmmm''-- de telles insultes à la sacro-sainte égalité de façade qu'il est de mise d'afficher depuis que la folie est non seulement sortie des asiles... mais qu'elle est devenue, pour le plus grand malheur de l'humanité en chute libre, LE critère, LE ''mètre-étalon'' de ce qu'une poignée de furies (contaminées par une haine inexpiable pour tout ce qui est masculin) a fait croire à la Presse, comme toujours décourageante de nullité, d'opportunisme et d'inintelligence... Déjà que je suis un homme blanc, héréro, de droite, catho, et même pas honteux de n'être ni L, ni G, ni B, ni T, ni, surtout, ''Q''... je me suis dit que je n'avais pas le droit de continuer à être une telle souillure sur  ‘’la planète’’ : c'est un must de rattraper ''mes'' erreurs-passées-de-mes-ancêtres.
J'ai donc entrepris le grand oeuvre utile entre tous de remettre les choses en place, et je chante désormais : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur, C’est mon homme-femme, mon bi, mon trans... Et même, la nuit, Quand je rêve, c'’est de lui, d'elle, de iel, de ze...  De mon homme, de ma femme, de mon ''L'', de mon ''G'', de mon ''B'', de mon ''T''et de mon ''Q'' (Mais qu'alliez-vous penser ?  Même tenu par un homme --et blanc--, ce blog est bien élevé, genre ‘’de bonne famille’’, et ce ‘’Q’', càd. ''Queer'' (= étrange, peu commun, ou bizarre). Ce mot anglais désigne les minorités sexuelles et de genres, seules dignes d'intérêt puisqu'elles ont une orientation comportementale différente de l'hétérosexualité '' ou de la ''cis-identité'' sur lesquelles repose tout ce qui existe et tout ce qui ''tient''. Tout, quoi !). Revenons aux paroles : ''A vrai dire, la femme, le transgenre, l'homo, la gouine, les neutres, et même les etcetera n'est /ne sont fait· e · s· que pour souffrir...''. C’est beau, hein ?
Mais cette phrase, encore plus incongrue que les autres, m'a stoppé net dans mes désirs de rédemption : c'est l'homme, ''à vrai dire'', qui doit souffrir pour payer tant de siècles d'une société patriarcale qui a tout esquinté, jusqu'à la grammaire pour ceux qui veulent noyer leur chien en disant qu'il a la rage... J'ai aussitôt cherché un nouvel air à chanter, accompagné de mon piano qui, soit dit en passant, n'a aucune raison d'être décliné au masculin : pourquoi ne serait-il pas ''une piana'' ? C'est tout de même bien plus proche de la vérité des choses et de l'égalité des sexes, non ?
J'ai donc choisi la jolie chanson de Françoise Hardy ''Si tous les garçons et les filles et les homos et les gouines et les trans et les ''cis'' de mon âge savent bien ce que c'est qu'être heureu · x · e · s·''... et je me suis immédiatement senti plus à mon aise, plus en harmonie avec mon époque, plus content · e, plus épanoui · e. C'est un facteur de vrai bonheur de s'être enfin rendu compte que le sexe des mots est un remède aux maux des sexes ! Mais... pourquoi une petite voix mal-pensante n'arrête-t-elle pas de me susurrer sans cesse : “Byzance, dit-on, tomba aux mains des Turcs en discutant du sexe des anges. Le français achèvera de se décomposer dans l’illettrisme et l'insensé, pendant que nous discuterons du sexe des mots''.
Alors... pourquoi cette fausse querelle ? Parce que en français, le genre neutre (comme en ont le grec, le latin, l'anglais ou l’allemand, entre autres) se décline le plus souvent comme au masculin, avec quelques exceptions bien connues (vigie, sentinelle, ou ''amour, délice, et orgue''). D’où que quantité de noms de fonctions, métiers et titres, sémantiquement neutres, sont grammaticalement féminins ou masculins, leur genre n’ayant  rien à voir avec le sexe de la personne en place. Le mot ''Homme'' lui-même s’emploie d’ailleurs tantôt en valeur neutre, quand il signifie l’espèce humaine, tantôt en valeur masculine quand il désigne un mâle. Confondre les deux condamne à l’embrouillamini actuel de la féminisation du vocabulaire.
Un humain de sexe masculin peut fort bien être une recrue, une andouille, une vedette, une canaille, ou une fripouille... Et de sexe féminin, il lui arrive d’être un mannequin (les plus belles), un génie, et même un tyran. Le respect de la personne humaine est-il réservé aux femmes, et celui des droits de l’homme aux hommes ?  Dans l’usage réel, chacun restitue spontanément qu’un soprano est une femme, qu’une basse est un homme, que le masculin ''vagin'' désigne un organe féminin et le féminin ''verge'' un organe masculin. Ces féminins et masculins sont purement grammaticaux, nullement sexuels ou sexués, et voir une intention cachée dans cette logique choisie est rien moins que absurde ! Il paraît, nous expliquent les nuls, que si, au lieu d’écrire ''les pamplemousses et les oranges sont mûrs'', vous écrivez soudain ''les pamplemousses et les oranges sont mûres'', vous contribuerez à ce que des femmes ne soient plus battues par des hommes. Stupidité ? Mauvaise foi ? Délire grotesque ? Décalage immense par rapport au réel ? Réponse au choix.
A partir de la mise au rancart inutile, absurde et surtout ridicule de quelques chansons, nous continuerons notre petite escapade en Absurdie, le royaume de nos anti-penseurs modernes. Tous sont progressistes, ce qui explique pourquoi plus rien ne fonctionne... mais explique aussi pourquoi leurs idées, au delà de leur aberration majuscule trouvent, dans certains milieux ''qui se la pètent'', un accueil trop favorable qui les rend dangereux... ce qu'ils ne méritent absolument pas, en tant que ce qu'ils sont eux-mêmes, c'est-à-dire : 3 fois RIEN, ou plus ! (à suivre)
H-Cl
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briselegeredansletemps · 6 months ago
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(tiré de la maman et la putain)
Que je vous aime. Regardez, je commence à être saoule et je bégaie et c'est absolument horrible, parce que ce que je dis je le pense réellement. Et je pourrais rester tout le temps avec vous tellement je suis heureuse. Je me sens aimée par vous deux.
Et l'autre qui me regarde avec les yeux en couilles de mites, d'un air sournois, en pensant: oui ma petite, tu peux toujours causer, mais je t'aurai. Je vous en prie Alexandre, je ne joue pas la comédie. Mais qu'est-ce que vous croyez...
Pour moi il n'y a pas de putes. Pour moi, une fille qui se fait baiser par n'importe qui, qui se fait baiser n'importe comment, n'est pas une pute. Pour moi il n'y a pas de putes, c'est tout. Tu peux sucer n'importe qui, tu peux te faire baiser par n'importe qui, tu n'es pas une pute. Il n'y a pas de putes sur terre, putain comprends-le. Et tu le comprends certainement. La femme qui est mariée et qui est heureuse et qui rêve de se faire baiser par je ne sais qui, par le patron de son mari, ou par je ne sais quel acteur merdique, ou par son crémier ou par son plombier... Est-ce que c'est une pute? Il n'y a pas de putes. Y a que des cons, y a que des sexes. Qu'est-ce que tu crois. Ce n'est pas triste, hein, c'est super gai.
Et je me fais baiser par n'importe qui, et on me baise et je prends mon pied. Pourquoi est-ce que vous accordez autant d'importance aux histoires de cul? Le sexe... Tu me baises bien. Ah! comme je t'aime. Il n'y a que toi pour me baiser comme ça. Comme les gens peuvent se leurrer. Comme ils peuvent croire. Il n'y a qu'un toi, il n'y a qu'un moi. Il n'y que toi pour me baiser comme ça. Il n'y a que moi pour être baisée comme ça par toi. Quelle chose amusante. Quelle chose horrible et sordide. Mais putain, quelle chose sordide et horrible. Si vous saviez comme je peux vous aimer tous les deux. Et comme ça peut être indépendant d'une histoire de cul. Je me suis fait dépuceler récemment, à vingt ans. Dix-neuf, vingt ans. Quelle chose récente. Et après, j'ai pris un maximum d'amants. Et je me suis fait baiser. Et je suis peut-être une malade chronique... le baisage chronique. Et pourtant le baisage j'en ai rien à foutre. Me faire encloquer, ça me ferait chier un maximum hein! Là, j'ai un tampax dans le cul, pour me le faire enlever et pour me faire baiser, il faudrait faire un maximum. Il faudrait faire un maximum. Il faudrait m'exciter un maximum. Rien à foutre. Si les gens pouvaient piger une seule fois pour toutes que baiser c'est de la merde. Qu'il n'y a une seule chose très belle: c'est baiser parce qu'on s'aime tellement qu'on voudrait avoir un enfant qui nous ressemble et qu'autrement c'est quelque chose de sordide... Il ne faut baiser que quand on s'aime vraiment. Et je ne suis pas saoule... si je pleure... Je pleure sur toute ma vie passée, ma vie sexuelle passée, qui est si courte. Cinq ans de vie sexuelle, c'est très peu. Tu vois, Marie, je te parle parce que je t'aime beaucoup. Tant d'hommes m'ont baisée. On m'a désirée parce que j'avais un gros cul qui peut être éventuellement désirable. J'ai de très jolis seins qui sont très désirables. Ma bouche n'est pas mal non plus. Quand mes yeux sont maquillés ils sont pas mal non plus. Et beaucoup d'hommes m'ont désirée comme ça, tu sais, dans le vide. Et on m'a souvent baisée dans le vide. Je ne dramatise pas, Marie, tu sais. Je ne suis pas saoule. Et qu'est-ce que tu crois, tu crois que je m'appesantis sur mon sort merdique. Absolument pas. On me baisait comme une pute. Mais tu sais, je crois qu'un jour un homme viendra et m'aimera et me fera un enfant, parce qu'il m'aimera. Et l'amour n'est valable que quand on a envie de faire un enfant ensemble. Si on a envie de faire un enfant, on sent qu'on aime. Un couple qui n'a pas envie de faire un enfant n'est pas un couple, c'est une merde, c'est n'importe quoi, c'est une poussière... les super-couples libres... Tu baises d'un côté chérie, je baise de l'autre. On est super-heureux ensemble. On se retrouve. Comme on est bien. Mais c'est pas un reproche que je fais, au contraire. Ma tristesse n'est pas un reproche vous savez... C'est une vieille tristesse qui traîne depuis cinq ans... Vous en avez rien à foutre. Regardez tous les deux, vous allez être bien... Comme vous pouvez être heureux ensemble.
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