#serre aux papillons
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Butter-leaf-fall or butter-fall-leaf, anyway ! by Virginie Maronne Via Flickr: Kallima inachus, seen in "La serre aux papillons", France
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Parc Floral de la Source, Orléans
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10/12/18 : Les papillons
Il est petit. La même peau hâlée, le même regard sombre, les mêmes cheveux corbeau. Sa voix est douce et aiguë, légèrement chantante. Son sourire innocent, ses yeux rieurs, ses fossettes qui apparaissent. Inconscient de son monde environnant, ne vivant que dans l'instant présent. Dan pourrait donner n'importe quoi pour goûter à nouveau, le temps d'une seconde, à cette douce enfance. Si simpliste, si aisée. Rien ne semble pouvoir atteindre le cœur du petit Tyler, occupé à chasser les papillons dans le champs. Dan est installé contre le tronc d'un arbre, en train de surveiller le petit garçon, plongé dans ses pensées. Voil�� cinq jours que les obsèques ont eu lieu. Aujourd'hui, il est désormais, aux yeux de la loi, le responsable légal de ce garçon qui court après les papillons. Que la vie est drôle. Que la vie est amusante. Ironique, antipathique, insensible, voilà ce qu'elle est aussi. Incontrôlable, imprévisible et sadique, elle adore attaquer sa création. Une épidémie par-ci, un génocide par-là. Sans oublier, évidemment, les quelques têtes qu'elle prend par plaisir çà et là. C'est ce qu'elle lui avait fait. De sang froid, elle avait pris la mère de Tyler. La seule personne qui restait à l'enfant. Brighton. Son cœur se serre, et il ferme rageusement les yeux. Il déteste être égoïste, encore plus lorsque ça concerne les personnes qu'il aime. Mais il n'y arrive pas, c'est impossible... à chaque fois que ses yeux azurs se posent sur ce petit bout d'humain, à chaque fois qu'il voit son sourire étincelant, à chaque fois qu'il entend sa petite voix douce... à chaque fois, il repense à elle. La petite Brighton de onze ans, celle qui devenait son amie. La Brighton qui se vantait d'être une sirène, qui détruisait ses ennemis avec un seul de ses cris. La Brighton enceinte, qui lui demandait d'être le parrain de son enfant. La Brighton morte, et Tyler. - Hey... Il rouvre brusquement les yeux en sursautant, et tombe sur deux billes bleues glacées. Un air maussade, des cheveux légèrement désordonnés et des pommettes rougies. Elle s'excuse pour son retard d'un ton plat. Elle est abattue, à terre, sa peine étalée à vue d'œil. Elle est détruite, tout comme il l'est. Il ouvre ses bras, et elle vient contre lui. Elle pose son front contre le sien, il referme sa prise sur elle, et ils se serrent très forts l'un à l'autre. Longtemps, intensément. Le vent souffle fort, vient ébouriffer leurs cheveux. Il est doux, à la limite de l'affection. Un peu comme un vieil ami, qui serait venu les réconforter depuis loin, très loin. Sa mâchoire se décrispe doucement, et Dan laisse sa tête se reposer sur l'épaule de Lexie. Brighton n'est plus parmi eux, mais le vent est là. Ainsi que Tyler, Lexie, et les papillons qui virevoltent dans les près et dans son ventre. Il inspire le parfum de la fille, son esprit apaisé. La mort le suit de près, il en a conscience. Mais tant qu'ils seraient là, il saurait y faire face. Parce qu'ils sont ensemble. Parce qu'ils sont sa nouvelle famille.
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Miracle Garden, Dubaï - Emirats Arabes Unis
Chaque année, de novembre à mai, le Dubai Miracle Garden ouvre ses portes aux visiteurs. Ce village hors norme s'étend sur 72 000m2 et est composé de 150 millions de fleurs disposées en superbes formes et arches. Vous découvrirez notamment le grand château fleuri, l'horloge fleurie ou encore l'ourson géant. Dans le cadre de l'accord avec la Walt Disney Company, vous découvrirez également la structure géante de Mickey qui mesure 18m de haut et composée de 100 000 plantes !
Tout au long de la saison, de nombreuses animations sont proposées pour les petits et les plus grands: des spectacles, une parade, et même des cours de zumba pour toute la famille !
Prolongez l'expérience florale en visitant le Dubai Butterfly Garden ! Le jardin est en fait une immense serre située juste à côté du Miracle Garden et abritant près de 15 000 papillons de 26 espèces différentes.
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Costa Rica Jour 9
Superbe nuit dans un superbe lit de 200 par 200, plus un superbe petit dej. Voilà une journée qui commence bien.
Enfin bien… la pluie commence à tomber doucement. Au moins la voiture pourra être nettoyée.
Nous discutons avec un couple de franco-suisses que nous espérons retrouver dans 5 jours pour une bière sur la mer des Caraïbes… wait and see !
Puis c’est parti pour 2h de route direction le volcan Arenal ! Il s’agit du plus beau volcan d’Amérique centrale, visible de loin, dominant une vallée riche ..
Enfin ça c’est le topo. Vu qu’il pleut, on ne voit rien.
Nous nous arrêtons à la plus grande réserve naturelle en papillons du pays. Bon comme ça ça fait pas rêver, mais en vrai c’est sublime de se retrouver sous des serres, entourés de centaines de papillons colorés.
Nous croisons aussi quelque grenouilles et les plus gros cafards du monde, pour les amateurs.
Nous arrivons à notre hébergement, très sympa face au volcan. Là aussi c’est sur le papier car la pluie s’intensifie et nous ne voyons rien. Enfin si notre terrasse mais pas plus loin.
C’est l’occasion de se reposer après c’est 9 jours assez sports, de se prendre une bière, jouer aux cartes, lire, regarder un film, bref de prendre du temps pour soit !
Demain, nous partons en randonnée puis nous décompresserons !
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IDEA LEUCONOE-La serre aux papillons
Photo by Valérie Wanègue
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©HD LaSerreauxPapillons LaQueueLezYvelines 15 06 2017 Photo&PhotoPeintur...
SI VOUS AIMEZ PENSER A VOUS ABONNER POUR VOIR D'AUTRES DIAPORAMAS AMICALEMENT MARTINE ANCIAUX
PRESENTATION©HD La Serre aux Papillons La Queue-Lez-Yvelines 15-06-2017 Photo&Photo-Peinture Anciaux Martine Monde tv web nature vie© THOMASANDRE,poète,écrivain MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, Martine ANCIAUX creator photo painting, Art 21ème Siècle, art photographer,photo-peinture,photo,pensée,
©Papillon poème THOMAS André©
Aussi léger qu’une feuille, Mais plus fort que cette feuille Face aux vents, tu continues ton travail, Butiner voilà ton travail.
Quand j’étais jeune, j’ai eus des cocons, Dans des boites à chaussures vides, qu’on nourrissait Avec des feuilles de mûriers et on les chouchoutait, Comme participant aux cycles de vie de ses cocons,
C’était la période des vers à soie, Il n’existait pas d’enfant n’ayant pas ses propres vers à soie Et puis en grandissant cette occupation S’est éteinte, et renouvelée par d’autre préoccupations
En pénétrant dans la serre à papillons, D’abord, je fus émerveillé, par la diversité des papillons, Puis comme obnubilé, pour lire tout ce qui les concerne, A nouveau, la fièvre aux papillons m’habitait, et mes cocons du passé venaient de se libérer.
©FLEURS POEME DE THOMAS ANDRE©
Comme un signal, tu te dresses dans la nature, Te soulevant de terre comme pour t'offrir en pâture, Aux nombreux insectes a qui tu sers de nourriture, Et qui travaille à perdre haleine pour cette nourriture.
Tu sembles là, que pour donner la vie, Alors que la tienne n'est que survie, Comme un phare tu indiques le chemin, Sur ce sol, point n'est besoin de GPS aux insectes pour trouver ton chemin.
Tu traces leurs parcours, Sans plus de discours, Et tes sublimes couleurs, Les dirigent, et les appellent, en douceur.
Moi qui suit, qu'un observateur, Suis stupéfait, par ta capacité d'interlocuteur, Tu n'es pourtant, point passive, Et grâce à eux, ta reproduction s'active.
Tu le vois, ton rôle est plus qu'important, il est même, prépondérant. Sans toi, point d'équilibre, sur notre terre, Car tu es la pierre angulaire, pour les insectes de notre terre.
Mais parlons de toi, Tes couleurs nous émerveillent, et nous ne savons pas faire notre choix, Car au printemps, tu es la renaissance, Avant que d'autres, grâce à toi, donnent naissance.
Tout ce petit monde, tourne autour de ta personne, Comme la trotteuse d'une montre, décompte notre temps, Tu es la ressource de vie, de nombres de personnes, Et cela depuis, fort longtemps.
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L'ÎLE AUX PAPILLONS Take a leisurely walk amongst hundreds of butterflies from all over the world (Guyana, Kenya, Philippines, Madagascar) flying freely among tropical plants and flowers in the largest conservatory in France. Learn about their fascinating life cycle and see their birth before your very eyes. A magical and unforgettable moment to share in family ! Venez vous promener au milieu des plus beaux papillons du monde (Guyane, Kenya, Madagascar, Costa-Rica, Philippines, ...), évoluant en toute liberté parmi les fleurs tropicales, dans la plus grande serre à papillons de France. Découvrez le cycle de vie des papillons et assistez à leur naissance sous vos yeux. Plus de 1 000 papillons naissent chaque semaine dans la serre. Un moment magique et inoubliable à partager en famille ! Watch on YOUTUBE / Regardez sur https://youtu.be/5R3CZ5SzlIQ (Copy-paste the link in your browser / copier-coller le lien dans votre navigateur) #insta #instagood #instagram #instagramers #instaphoto #instadaily #instamoment #picoftheday #photo #photooftheday #photography #photographer #travel #travelphotography #travelblogger #travelgram #love #beautiful #happy #likeforlikes #likeforfollow #like4likes #film #nature #naturephotography #naturelovers #island #wildlife #butterfly #papillon (à L'Ile aux Papillons) https://www.instagram.com/p/CVS-56PsDot/?utm_medium=tumblr
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55 - Dimanche 10 mai 2020
Elise fond sa nuit blanche dans la mienne. Nous préparons la Grande Dispersion, classons nos livres et vins favoris. Je serre contre moi ce Pouilly-fumé vide des premiers jours. Je regarde Elise monter des étagères sur lesquelles seront arborées les cinq bouteilles de gin mortes au champ de bataille. Il est évident que je repousse ce lundi : je ne me vois pas me déconfiner d’elle. Trop de mes habitudes de vie ont été portées à sa connaissance et pourraient fuiter à travers ville. Mais il est temps : mon attestation dérogatoire ressemble aux manuscrits de la mer Morte ; le dernier flic qui l’a déchiffrée s’est reconverti dans la cryptographie. Ma cuisine de trois mètres carrés est devenue une personne à part entière, et commence à réclamer des droits : elle souhaite que nous nous fassions livrer une à deux fois par semaine. Le syndicat du réfrigérateur a été fondé. L’aspirateur gratte à la porte pour qu’on lui change son sac, l’éponge de la salle de bains implore une descendance. Pire : je revends tellement de masques et de gel hydro-alcoolique rackettés dans les Ehpad que le Fisc commence à s’intéresser à moi.
Décidément, ce salaud d’effet papillon nous a joué son plus mauvais tour : un pangolin acculé vers une ville chinoise aura conclu à la fermeture des bars en France. La théorie du chaos a trouvé son prophète, et, grosse surprise, ce n’est pas un demi-pression en terrasse. Jamais je n’aurais cru ça de la science. Demain, je me mets à l’astrologie, à l’homéopathie et à la religion : meilleurs résultats.
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Électre
L'Argos bienveillant du temps des innocents.
Oh Électre, tu n'es qu' une petite fille que déjà tout te fascine et t'attire, depuis la beauté de la ville aux paroles des plus nobles personnes qui t'entourent. Une infinité d'auteurs ont pu décrire Argos, la ville et ses gens, mais aucun ne saura jamais la percevoir comme Électre du fond de ses entrailles.
Ce ne sont que des souvenirs. Ils sont nombreux et flous, ils flamboient dans ses plus vieux rêves. Parfois Électre se retrouve dans d'autres villes, mais sans en apprécier réellement les formes, si éloignées de la nature vibrante de l'Antique cité.
« Électre, viens ici !
-Oui père.
-Tu as bien suivis tes cours aujourd'hui ma fille?
-Oui, tous.
-Bien, bien. Allons nous balader alors. »
La gamine que tu as été souris, ses yeux explosant de joie dans le silence de sa posture altière. Ton père, c'est l'homme de ta vie. Il s'ancre en toi par le seul amour que tu as pour lui. C'est celui qui t'aidera à survivre. Mais aujourd'hui ce n'est encore qu'une partie de bonheur. Et cet inestimable trésor de gaieté sait tout à fait comment s'infiltrer en chaque morceau de ton être.
« Père ?
-Oui ma fille ?
-Est-ce qu'Oreste va vraiment grandir ?
-Évidemment, comme toi tu l'as fait ! »
Et il rit. Ton père n'est pas si ouvert d'habitude. Alors tu exultes encore plus et brilles de sourires éclatants. Évidemment tout n'était pas beau et parfait, mais certains instants te permettaient de redevenir l'enfant que tu étais.
Commencer par le dégoût et finir dans les fleurs.
Tu avais neuf ans depuis quelques jours et le soleil frappait, tapait de plus en plus fort sur ton crâne dénué de chapeau. Mais tu devais courir loin de ça, d'ici, de ce palais d'horreur qui devenait un peu plus repoussant à chaque pensée affluant dans ton cerveau.
Il y avait encore ces quelques images, que ton esprit te restituait, à ta plus grande horreur. Vraiment, les échos puants que ces souvenirs te lançaient griffaient ton semblant de logique. Tu te sentais perdue dans une espèce de bouillie infâme qui bousillait tous tes piliers. C'était piquant et toxique, et ça te prenait à la gorge aussi fort que les offrandes matinales qu'on avait l'habitude de faire à Argos.
Ce que tu avais vu, tu voulais l'oublier. Ta mère et ses cris répugnants, sur un homme.. un.. un homme fichtrement nu. Ça, tu rêvais de l'oublier pour toujours. T'en peux plus de courir, t'en peux plus de penser, alors tes jambes cèdent sous le poids de tes larmes.
Le soleil brille, l'herbe est bien verte, et tes genoux se noient sous le sang et le sel de tes sanglots devenus grinçant et bruyants. Il y a cette multitude de sensations, de sentiments, et de réflexions enfouies juste là, sous ta boite crânienne, que le monde entier ne pourrait pas contenir tant elles bourdonnent.
Cette femme. Cette femme tu ne la voulais plus comme mère. Tu la voulais au cachot, tu la voulais invisible et disparue. Pas ici, pas là-bas dans ce lit. Pas à gâcher l'amour de ton père.
Chacun ses horreurs, ses fureurs.
La guerre battait son plein, et en ton fort intérieur tu n'étais sûre ni certaine d'apprécier tellement cette animation. Il y a à peine quelques années, tu étais l'innocente qui pensait que ce serait éphémère, comme les papillons. Mais ça n'avait rien à voir. Ça ne s'arrêtait pas. Comme un sablier aux grains de temps infinis.
Un petit rire glacial s'échappa de tes pauvres lèvres roses. Heureusement que les gens ne te voyaient pas, ils auraient peur de la fausse enfant que tu constituais. De toute manière on te cloisonnait dans une pièce ou deux, pour te.. protéger. Cette fois c'est ta tête de poupée qui se secoua.
Tout ceci était ridicule. Tu savais comment ça allait finir.
Mal.
Des bruits de pas frappèrent violemment tes oreilles habituées au silence des couloirs d'été. Il te suffit de sortir pour glisser ton regard un peu partout. Alors tu te faufiles, sans bruit, avide d'action. Mais tu aurais adoré ne pas voir ce qui se déroulait.
Cet homme qui parle au détour de tes pas, il te fait vomir depuis que tu l'as surpris. C'est Égisthe. Tu peines encore à supporter la propre idée qu'il vive ici bas. Puis il y a cet autre homme, un des rare que tu aimes. Ton seul allié ici. Et les deux s'affrontent, tombent et se relèvent de mille et une façons. Un énième coup et une chape de rouge s'étale dans ton champ de vision. Ton coeur implose quand toutes tes veines se cristallisent. C'est de la terreur dans ton cœur.
Parce que c'est le cou de ton père qui est à moitié déchiré devant toi.
C'est son sang qui s'échappe.
« Il est mort ?
-Oui, une bonne chose de faite. »
Il ne te restait plus qu'à tomber, encore.
Merci Maman.
Énumération de désastres.
Tu étais restée plantée une éternité dans ce champ de mort, sans savoir que faire ni que penser. Sans savoir si tu devais te réveiller. Rouvrir ta conscience, ce serait libérer la boite de Pandore et ses mille maux. Tu n'avais pas envie de souffrir encore plus.
Tu frissonnes quand de nouveaux sons atteignent ton esprit décomposé. Il y a ton nom quelque part dans ce palais qui fait écho à ta terreur. Et ça te fait enfin bouger, relever les genoux et courir vers celui qui t'appelle, le plus vite possible.
Oreste est là, entouré de gens aux regards implacables, entouré de ta mère et son amant. Deux meurtriers. Il t'appelle mais on te tient, il hurle et on le frappe. Il va être exilé. Et Argos a un nouveau régent. Quelle belle vie.
On grandit, mais dans la folie.
On aurait pu chanter tes aventures dans les épopées. Mais ça n'aurait été qu'un amas d'où dégringolent rêves et malheurs. Rien de bien fascinant ou vivifiant. Non, ta vie n'était pas faite pour autant de nobles choses n'est-ce pas Électre ?
Après la mort de ton bien-aimé père et l'exil de ton frère, il n'y avait plus que toi entre le trône et le couple de ta mère. Elle avait tout essayé. Le chantage, l'assassinat, les promesses.
Tu aurais peut-être préféré y passer. Mais on avait su t'aider à éviter les lames, alors tu avais décidé de ne pas gâcher les chances qu'on t'avait donnée. Tu essayait de vivre. Les auteurs n'en parlent pas tellement, mais les habitants d'Argos et les nobles voyaient bien le jeu dans lequel tu étais emmêlée. Certains t'avaient pris sous leurs ailes. Ils t'avaient formée.
C'était indéniablement l'une des meilleure chose de ta pauvre existence. Tout ne tournait alors plus qu'autour de survivre, venger ton père, obtenir Justice. Peu importe l'illégalité, ça t'importait peu. Les dieux étaient de ton côté. Tu le sentais à chaque instant dans les temples et dans tes prières.
Cher Père, Je vous aime toujours plus qu'hier et moins que demain, mais rien n'est et ne sera plus profond que mon attachement à votre personne. Vous m'aidez en tout, j'aimerais pouvoir vous tenir une dernière fois contre moi et oublier le monde autour. J'ai seize années derrière moi et votre assassin régit toujours Argos sous l'emprise de ma génitrice. Pauvre de vous.. cette femme est monstrueuse. Je n'aurais jamais été comme cela avec vous. J'aurais été une meilleure épouse. Demain je serais unie à un plébéien. Rien de bien incroyable, au contraire. J'en ressens une horreur puissante et terrifiante. Il n'a rien de semblable à vous, rien d'appréciable. Il est dégoutant et.. l'union sera affreuse. Je n'ose penser à la façon dont je vivrais ensuite. Pensez-vous que tuer ma génitrice soit une bonne chose ? Je le crois en tous cas. Mais je rêve de connaître votre avis, si précieux à mon âme. J'attendrais une brillante occasion de la punir et de vous rendre Justice mon tendre père. Le temps est si vaste sans vous.. Je vous veux près de moi, contre moi, dans le jour comme la nuit. Vous me manquez. Puisse les dieux vous protéger. Votre fille qui vous aime du plus lointain de son cœur, Électre.
Dépliage de vérité sur la ville des mensonges
C'est le moment favoris des dramaturges. Tu n'en raffoles pas tellement. Franchement, être à un point de rupture et voir différents miracles arriver ne t'avais pas rendu si euphorique qu'on pourrait le penser. Tu détestes le décor qui accueille ces évènements..
Sans penser, tu grattes à sang ta cuisse avant qu'une main râpeuse embarque douloureusement ton poignet. Il serre fort comme un monstre et tu te gardes simplement de couiner de douleur. Mais la nausée est là, comme à chaque contact. Avec cet étouffement intérieur constant et mauvais.
« Tu fais un bruit monstre femme, arrête de bouger ! »
Et cette chose te balance vaguement au bout de votre couche. Si tu pleurais, il entendrait. Si tu osais mettre un pied hors de la couverture, tu te ferais lyncher. Alors tu t'immobilises simplement pour ne pas pleurer ni hurler.
��� ◊ ◊
Tu avais reconnu ton frère sans aucune hésitation et vous aviez parlé de tout. Sa colère contre votre mère et son amant avait jailli du fond de ses entrailles et tu avais eu un espoir fou et puissant de Justice pour votre père.
Ça n'avait pas raté, mais le suicide d'Oreste se sentant coupable de son matricide avait brisé le peu de joie que cela restituait en toi. Un mal pour un bien, ça ne te rendait que plus vide. Mais la ville entière avait enfin tout su, et avait été libéré de toutes les magouilles du Régent et de ta génitrice. De mille mensonges et faux-semblants pour une Justice claire et meilleure. Mais toi, tu n'avais rien de changé, tu restais enchaînée.
Tout était si fatiguant.
Tu avais continué de chercher justice pour tout ce qu'on t'avait fait. C'est comme ça qu'il était mort, ton mari. De tes propres mains rougies et de ton cœur battant plus vite que le galop des chevaux. Mais cette euphorie était volage. Elle s'enfuyait rapidement.
Tu t'étais juste laissée faire quand les corinthiens sont entrés pour de bon dans la ville, des mois plus tard. Tu ne t'étais ni débattue, ni défendue. Tu attendais de rejoindre les bras de ton Père, loin d'ici.
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En déplacement sur la région Parisienne, je fais toujours un petit tour à la serre aux papillons de la Queue Lez Yvelines. Un moment de calme et de beauté inspirant #serreauxpapillons #laqueuelezyvelines #paris #nature #environnement #papillon https://www.instagram.com/benpowercorde/p/BxW4FLrHFzy/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=y3yqt6dhnsep
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Bohol, Siquijor, Cebu
On s'excuse du retard mais cette deuxième partie des philippines entre amis était vraiment intense et on a pas prit le temps de tenir à jour notre blog. Donc reprenons ; Apres une petite nuit dans le dortoir d'un bateau et en compagnie des coqs que les passagers ont eu la bonne idée d'amener, nous arrivons enfin sur Bohol. C'est un plaisir de rejoindre nos amis Jonathan, Raffaella et Mathieu. Ca nous fait vraiment plaisir de partager ce bou de voyage avec eux. Il se forme vite une belle dynamique de groupe où chacun apporte son grain de sel pour crée une bonne ambiance. Nous voilà donc déjà au guidon des scooters pour essayer d'apercevoir les tarsiers, des espèces de petits singes qui sont en faite de la famille des marsupiaux. Il ne faut pas faire de bruit car ces petites bêtes pourraient faire une crise cardiaque à cause du volume de nos voix. Ils sont en effet tout petits et leur yeux occupent presque la totalité de leur visage. On passera le reste de la journée à visiter les environs en scooter. De petites routes en petites routes nous nous perdons et traversons de minuscules villages entre champs et rizières aux ambiances authentiques et chaleureuses. Les enfants courent pour nous voir. Nous échangeons à coup de hello, coucou, high five et beaucoup de sourires. Nous nous attardons et le retour au couché du soleil est sublime. Les rayons du soleil traversent la forêt et le rose du ciel se reflète dans le bleu de l'eau. Le retour de nuit est un peu long mais on arrive sains et saufs. Cette première journée en groupe est plus que réussie, et se termine bien entendu par un apéro bien mérité... Le lendemain direction Siquijor une petite île sauvage aux vieilles légendes vaudou, car aujourd'hui plus personne n'y croit. Notre mignonne auberge se situe au bord de la plage. On y fait la connaissance de Lara une très gentille backpakeuse belge qui partagera la suite de nos aventures philippaines. Cette île regorge de mystérieuses cascades bleues azure autour desquelles locaux et touristes viennent passer du bon temps. Cordes ou sautoirs, tout est utile pour plonger dans ces bains paradisiaques. Pour la suite du programme, ballades de villages en villages, plages, snorkel et serre aux papillons occuperont nos journées sur Siquijor. Les routes sont belles pour les scooters et explorer cette île est donc un régale pour nous. Le dernier jour nous rencontrons Jordan une connaissance de notre amie Manon. Et comme les amis de nos amis sont nos amis, Jordan sera aussi de la partie pour les prochaines aventures. Aussi backpakeur du sud de la France en voyage aux philippines, c'est quelqu'un de simple et de compagnie très agréable. Allez, il est déjà temps pour nous de changer d'île pour aller rencontrer les fameux requins baleines sur l'île de Cebu à 2h de bateau.
À 7 sur un tricycle c'est parti mon kiki, car on ne va pas rester 100ans sur cette île malheureusement... Comme avec les éléphants on s'est demandé s'il était bon de participer à ce genre d'activité de masse ou les requins sont appâtés tous les matins avec du plancton pour rapporter de l'argent au village. Comparer aux éléphants on a pensé qu'ici les requins ne semblent pas souffrir et ne sont pas en cage mais bien libre en mer (bien qu'ils dépendent de cette nourriture donnée par l'homme tout les matins de 5h à 12h).
Il est 4h30 du matin il pleut des cordes et c'est l'heure de rencontrer les requins baleines. Apres quelques discutions engagée avec le personnel sur les conditions météorologiques de l'activité, le temps se dégage enfin. Pas de surprises, la plage est recouverte de touristes majoritairement chinois qui font la queue pour embarquer à bord d'un des dizaines de bateaux qui inondent la mer. Sous ce ciel gris, la scène ressemble un peu aux plages du débarquement. Bref pas de déception nous nous en doutions. On suit le mouvement et une fois dans l'eau avec nos masques et tubas l'expérience prend tout son sens. On ne tarde pas à croiser à 1metre de nos pieds les fameux requins baleines. Ils sont immenses mais leur allure n'inspire que des sentiments apaisants et non de la frayeur. On nage près d'eux et sous l'eau on ne se rend plus compte des centaines de personnes. Seulement nous et les requins. Que du bonheur. Remis de nos émotions nous quittons notre cabane dans les arbres d'Oslob direction Cebu City pour prendre un avion pour El nido. Dans le bus nous recroisons par hasard Jordan. Le monde est petit. Arrivé dans la périphérie de Cebu City qui est la grande ville de l'île nous apercevons un immense bidonville qui borde la cité. On ne voit plus le sol tellement les déchets le recouvre. Les enfants s'amusent avec du plastiques au sol pendant que d'autres jouent au basket pieds nus sur les détritus. Les habitations sont faites de tôles et de récupérations. Les gens ne semblent pas malheureux pour autant. Et quelques kilomètres plus loin c'est la cité avec centre commerciaux et buildings. On fait un saut au centre commercial. Les prix de H&M sont les mêmes que chez nous mais ne cible pas le même public. Ici pour pouvoir s'habiller chez H&M il faut avoir les moyens. On profite d'une grande ville pour vivre la night life locale. L'estomac plein du célèbre fast food philippin "jolibee" nous partons visiter les boites du centre ville. Et quand la bouteille de vodka coûte 15€ en boite,on finit vite tous sur le dance floor. Nous sommes les seuls touristes de la salle et certains nous demandes de faire des photos avec eux. L'ambiance est bonne et les philippins amicaux. On aura bien rigolé mais le réveil sonne dans 3h alors go au dodo et c'est avec un léger mal de crâne que nous prenons l'avion direction El Nido sur l'île de Palawan. Let's go !!
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La serre aux papillons de la Maison de Pierre Frey. Un vuelo de mariposas e insectos ligeros y realistas en tonos delicados. #lamaisonpierrefrey #pierrefrey Somos #distribuidores #mayoristas de #PapelesPintados #telas #accesorios #revestimientomural y #fabricantes de #estores #lemurier Más info> http://lemurier.es/
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ORLEANS - Parc Floral de La Source (la serre aux papillons)
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Aux confins de toi
Dans les profondeurs du lac je nage Je nage au bout de mon souffle Combien vais-je encore tenir avant de remonter ? Et si j’y préférais la noyade que se passerait-il… Qui pour caresser ma peau alors Me murmurer à l’oreille des choses Des choses gracieuses comme des papillons fous Bleus blancs oranges et jaunes Comme des riens volants Des échardes en bois d’or Des petits points à l’infini Sur ma peau Me murmurer Ne pas s’emmurer remonter Je reprends mon air l’eau est bonne et turquoise Turquoise et le soleil brûle la peau Sous ton chapeau tu lis seins nus Un livre russe je ne sais plus lequel Seins nus insouciante tu plonges à l’eau quelques brasses et des coulées Tes pieds qui remuent et tes seins qui avec défi pointent le ciel Le temps est arrêté Suspendu à ta grâce et ta beauté Enveloppé dans cette eau d’un vert laiteux et trouble L’eau vous va si bien mademoiselle Vous drape comme une nymphe Mademoiselle ma belle que je sers et serre trempée de toute mes forces Que fait l’eau qui dort ainsi dans ce lac sans échappatoire C’est une ancienne carrière De l’autre rive on peut sauter Quelques brasses un peu d’escalade et c’est la chute libre La liberté le plaisir Combien de temps cela va-t-il durer ? Combien de temps dure l’amour ? Je ne sais même pas quand il a commencé Quand est-ce que ça commence l’amour… Je crois savoir le jour mais pas le moment Était-ce quand la glace coulait sur tes doigts après le cinéma dans la nuit orange et le brouillard du VIème arrondissement ? Était-ce après chez toi quand à la lumière chaude d’une petite lampe on a fait l’amour tremblants comme deux adolescents ? Ou juste avant quand tu m’embrassas soudainement dans le cou Ou était-ce un autre jour dans une autre félicité une autre réalité Un autre bonheur Je me souviens de ce jour et de presque tous les autres Quand on courait sur les falaises en février Quand on mangeait des burgers gras en jouant aux échecs par de longues soirées d’hiver Quand tu voulais devenir gardienne de phare en Écosse Ou élever des moutons Parcourir le Midwest à vélo Quand tu racontais n’importe quoi Tous les jours et même plus Faire un enfant Beurrer ses croissants J’écoutais le coran tous les matins Pour me purifier moi le pécheur Ça n’a jamais servi à me purifier mais ça a toujours été apaisant Mashallah Les braves ne meurent jamais ils perdent juste leur chemin vers l’éternité Un jour comme ça sans prévenir …et vivent encore un peu puis meurent d’oubli comme tout le monde ou presque Mourir d’oubli est-ce plus doux que de mourir de mort ? Je pense au Grand Alexandre Alexandre quelle folie d’être allé aux confins du monde pour ne jamais revenir Certains construisent leur légende dans la défaite d’autre en se couvrant de gloire ou en se brûlant les ailes ou la cervelle Il y a mille façons et moi je ne suis rien d’autre que fou de toi Tu es l’étendue immaculée de mon monde Mon horizon ma quête mon naufrage Et je suis allé aux confins de toi Tout au bout de l’amour Au bout de toi dans toi en toi pour toujours J’ai plongé dans mille fontaines et aucune n’avait ta douceur ou ta puissance salvatrice Tes yeux me donnent la vie Le salut Loin de toi je suffoque Comme une coque percée lentement je coule Coule en toi coule de toi coule tout court mon amour Tu bronzes au bord du lac ton chapeau de paille volé sur un marché de Bucarest sur tes yeux verts Ta chevelure de jais Et je t’observe t’abandonner à la vie Comme quand tu lis comme quand tu cries Quand tu jouis quand tu ris Quand présente et ténébreuse tu me déshabilles l’âme et le cœur Reverrai-je encore ces yeux ? Aux confins de tes prunelles se dessinait l’éternité glacée du temps suspendu Du bonheur éternel Du Royaume de Dieu un jour d’Apocalypse Je dis que tu m’as tout pris mais tu ne m’avais rien donné juste montré Montrer comment vivre et comment bien s’en foutre Comment siffler sans les doigts et comment tricoter Des pulls pour l’hiver Des pulls sur ta peau nue Blanche comme l’épine de la rose Blanche Blanche comme toute éternité Suave et belle Comme le miel et l’ambroisie Au sommet de l’abrupt escalier du Paradis « …il est seul Tout-Puissant, de qui toutes choses procèdent et à qui elles retournent, si leur bonté n’a pas été dépravée (…) » Ai-je dépravé ma bonté… En avais-je une seulement ou l’amour étouffait tout ? Et toi petite dépravée l’as-tu pervertie ta bonté séculaire Ta bonté bonne comme mille oiseaux de feu Sous le soleil brûlant de retour à ce lac les pieds dans l’eau je repense à toi et tes idées folles À tes seins au soleil et à ton air effrontée Toujours effrontée et la mèche rebelle Je ne t’ai plus dans mes bras mais je te serre dans mon cœur plus fort que ma propre vie Tu seras toujours ma folle fausse effarouchée qui courait sur les remparts Auguste et suave ton air angélique porté comme un trophée Mon trophée à moi c’est mon souvenir et tu me seras toujours immortelle Immortelle en moi Immortelle quand j’explore à ma mémoire tes confins perdus et transcendants
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SI VOUS AIMEZ PENSER A VOUS ABONNER POUR VOIR D'AUTRES DIAPORAMAS AMICALEMENT MARTINE ANCIAUX
PRESENTATION©HD La Serre aux Papillons La Queue-Lez-Yvelines 15-06-2017 Photo&Photo-Peinture Anciaux Martine Monde tv web nature vie© THOMASANDRE,poète,écrivain MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, Martine ANCIAUX creator photo painting, Art 21ème Siècle, art photographer,photo-peinture,photo,pensée,
©Papillon poème THOMAS André©
Aussi léger qu’une feuille, Mais plus fort que cette feuille Face aux vents, tu continues ton travail, Butiner voilà ton travail.
Quand j’étais jeune, j’ai eus des cocons, Dans des boites à chaussures vides, qu’on nourrissait Avec des feuilles de mûriers et on les chouchoutait, Comme participant aux cycles de vie de ses cocons,
C’était la période des vers à soie, Il n’existait pas d’enfant n’ayant pas ses propres vers à soie Et puis en grandissant cette occupation S’est éteinte, et renouvelée par d’autre préoccupations
En pénétrant dans la serre à papillons, D’abord, je fus émerveillé, par la diversité des papillons, Puis comme obnubilé, pour lire tout ce qui les concerne, A nouveau, la fièvre aux papillons m’habitait, et mes cocons du passé venaient de se libérer.
©FLEURS POEME DE THOMAS ANDRE©
Comme un signal, tu te dresses dans la nature, Te soulevant de terre comme pour t'offrir en pâture, Aux nombreux insectes a qui tu sers de nourriture, Et qui travaille à perdre haleine pour cette nourriture.
Tu sembles là, que pour donner la vie, Alors que la tienne n'est que survie, Comme un phare tu indiques le chemin, Sur ce sol, point n'est besoin de GPS aux insectes pour trouver ton chemin.
Tu traces leurs parcours, Sans plus de discours, Et tes sublimes couleurs, Les dirigent, et les appellent, en douceur.
Moi qui suit, qu'un observateur, Suis stupéfait, par ta capacité d'interlocuteur, Tu n'es pourtant, point passive, Et grâce à eux, ta reproduction s'active.
Tu le vois, ton rôle est plus qu'important, il est même, prépondérant. Sans toi, point d'équilibre, sur notre terre, Car tu es la pierre angulaire, pour les insectes de notre terre.
Mais parlons de toi, Tes couleurs nous émerveillent, et nous ne savons pas faire notre choix, Car au printemps, tu es la renaissance, Avant que d'autres, grâce à toi, donnent naissance.
Tout ce petit monde, tourne autour de ta personne, Comme la trotteuse d'une montre, décompte notre temps, Tu es la ressource de vie, de nombres de personnes, Et cela depuis, fort longtemps.
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