#scènes de dunes
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Note
Pour le ao3 wrapped: 27 et/ou 29 ! :D
27. What do you listen to while writing?
ça dépend de ce que j'écris ! Si c'est du Star Wars, j'ai une playlist qui comprend une sélection des remix de la musique Star Wars par Samuel Kim ou la BO de la série Obi-Wan Kenobi. Sinon, je me partage entre Lofi Girl et le site My Noise, en fonction de de ce dont j'ai besoin comme ambiance/bruit de fond
29. Favorite line/passage you wrote this year?
Cette question est merveilleuse, parce que j'ai pu me rendre compte combien j'ai adoré ce que j'ai écrit cette année :D :D :D Mon égo est aux anges, merci pour lui. Je crois que je pourrais faire un Director's Commentary de tous mes fics.
Je vais faire une sélection douloureuse, mais j'en mets quand même plusieurs !!
D'abord Genshin !
Dans la partie 3 de De l'harmonie (De l'eurythmie), la scène où Kaveh et Alhaitham posent les fondations de leur nid, et ce petit bout tellement visuel dans ma tête : "
"Mais même Alhaitham eut un temps d’arrêt lorsque Kaveh se débarrassa de ses pantoufles et monta sur le tapis, faisant un petit tour satisfait sur lui-même, caressant la fibre des orteils. Il leva alors les yeux vers lui, brillants, et lui tendit la main.
— Viens voir comme il est doux !
Sans attendre de réponse, il lui saisit le poignet et le tira. Leurs glandes exocrines se touchèrent et leur arracha à tous les deux un gémissement vite étouffé. Mais Kaveh ne le lâcha pas et Alhaitham ne chercha pas à se dégager. La poitrine bloquée, il retira ses pantoufles à son tour et monta sur le tapis. La matière l’intéressait moins que la satisfaction de Kaveh, que ses doigts serrant les siens et son odeur qu’il mélangeait sans hésitation à la sienne."
(Et les blagues pourries de Cyno.)
*
Dans Et à la nuit s'épanouit, ce passage :
"— Qu’est-ce qui te fait croire que j’ai envie de partir ?
Il indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait accrochés, le canapé qu’il avait fait retapisser, la bibliothèque où se trouvait sa table à dessin, et enfin la cuisine où bien trop de choses avaient été changées depuis son emménagement pour que ça vaille la peine de préciser quoi. Vue de l’extérieur, la crainte d’Alhaitham semblait effectivement ridicule. Mais encore une fois…
— Peut-être le fait que tu fasses ton budget pour savoir quand tu pourras déménager, répondit-il, irrité.
— Peut-être que j’attendais que tu me dises que je pouvais rester ! rétorqua Kaveh sur le même ton.
Alhaitham indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait laissé Kaveh accrocher, le canapé qu’il l’avait laissé retapisser, la bibliothèque où il avait fait de la place pour sa table à dessin et, enfin, la cuisine où Kaveh avait changé bien trop de choses pour que ça vaille la peine de préciser quoi."
(Et toute la scène entre Alhaitham et Nahida !!! Je l'aime fort !)
*
Côté Star Wars :
Dans la série des De l'espoir, la scène où Luke touche le Côté Obscur dans Les braises :
"Mal à l’aise, Luke reprit la méditation. Ce fut plus difficile qu’il s’y attendait. L’immersion qui lui venait si naturellement d’habitude lui échappait, le monde paraissait assourdi. Sous ses pieds, le sable glissait, traître, un adversaire plutôt qu’un compagnon. Le troisième jour, l’irritation de Luke fut à son paroxysme. Les yeux fermés très fort, imaginant le désert autour de lui, il chercha à nouveau la sérénité, mais les dunes l’étouffaient, cachaient la vie, s’étendaient trop loin et l’empêchaient de toucher l’horizon, le privaient de la lumière des soleils levants.
Il serra les dents, il ne voulait, pouvait, pas retourner auprès de Ben sur un tel échec, alors que ses pieds trébuchaient, alors que le désert se dérobait à lui… Il ferma les paupières encore plus fort et se dit que ce serait bien plus facile si les dunes dans sa tête cessaient de l’étouffer… Dans un élan de colère, il s’imagina les faire disparaître. Une tempête de sable changeait leur forme, pourquoi ne pourrait-il pas faire de même ? Les aplatir, les disperser, s’en débarrasser ! Elles ne lui servaient à rien !
Ses dunes imaginaires s’effondrèrent. Le sable s’éparpilla d’un coup. Le silence se fit dans sa tête. Mais c’était un silence inquiétant, celui d’un lieu mort, où plus une créature ne vivait, toutes chassées de chez elles par une violence inimaginable, ou pire : tuées.
Luke eut froid.
Puis honte."
*
La toute fin de À l'aube de notre premier jour :
"Main dans la main, ils traversèrent le long couloir blanc du palais royal.
Anakin n’arrivait toujours pas à mettre Obi-Wan dans une case, ni de confiance, ni pas, ni parfois oui, ni parfois non. Indéfinissable.
Mais il était sans équivoque dans le camp d’Anakin, songea ce dernier avec une inébranlable certitude.
Et il le serait toujours."
*
Dans Et tout au bout, ta main tendue, les deux scènes où on voit Anakin lutter contre le Côté Obscur, et à choisir, celle-ci :
"C’est trop tard, tu ne peux plus te cacher, tu t’es toi-même démasqué. Dis-moi quand, enfin, dans ta tête, je n’ai plus été un padawan pour de vrai, dis-moi, dis-moi, dis-moi…
Et la réponse vint : sur un fond de chagrin dévastateur, celui d’Obi-Wan, l’image d’Anakin aux yeux dorés, le visage dur et l’aura glaciale. D’un coup, il se retourne et découpe Sidious, une fois, deux fois, et il tombe à genoux, haletant. Son cri de rage, de douleur, et la voix rauque avec laquelle il hurle en boucle :
— Il n’y a pas d’ignorance ! Il y a la connaissance ! Il n’y a pas de passion ! Il y a la sérénité ! Il n’y a pas de chaos ! Il y a l’harmonie ! Il n’y a pas de mort ! Il y a la Force ! Il n’y a pas d’ignorance, il y a la connaissance, il n’y a pas de passion, il y a la sérénité ilnyapasdechaos…
Encore et encore, jusqu’à ce que sa gorge douloureuse le force à murmurer, jusqu’à ce que le mantra l’ancre à nouveau dans la réalité de la Force, que la chaleur du Côté Clair brûle le Côté Obscur qui empoisonnait sa signature, qui embrouillait ses pensées, qui nourrissait le noyau de fureur permanente au fond de lui.
Enfin, il lève les yeux, bleus, immenses, magnifiques. Et sous ceux d’Obi-Wan ne se trouve plus son padawan succombant au Côté Obscur, mais un homme extraordinaire."
*
Dans Les Voies, il y en a tellement que j'aime que c'est une torture, mais disons, pour les Voies divergentes, la première scène de la fic en elle-même, encore une fois Anakin vs le Côté Obscur :
"Le combat s’écoula dans un brouillard givrant, il n’existait que le choc du bleu sur le rouge, que les grognements de son ennemi qui reculait, que la puissance froide de la Force dans ses veines, dans chaque cellule. Les Sith contrôlaient la Force ? Les Jedi la servaient ? Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Il était la Force, il était son enfant, sa forme de chair, il était sa main et sa volonté !
Il abattit le traître. Le transperça de sa lame, l’ouvrit en deux. Puis il saisit cette vie pervertie avant qu’elle s’éteigne et s’offrit le plaisir de la détruire lui-même.
Il ne resterait rien de Sheev Palpatine, de Dark Sidious, pas même l’écho de sa conscience dans la Force.
— …Walker ! Skywalker !
Anakin se retourna et frappa, et sa lame en rencontra une autre, violette, inflexible. Mace Windu. Windu qui aurait dû être là, Obi-Wan aurait survécu s’il avait été là, mais non, il avait sûrement fallu encore discuter et palabrer, pour qu’il arrive aussi tard ! Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Le mieux était peut-être de reprendre à zéro. Tous les éliminer et recommencer. Windu ne le laisserait pas faire, et le combat serait difficile, plus dur que contre le traître. Mais au bout du compte, ce n’était qu’un Jedi. Les Jedi étaient au service de la Force, à SON service, et Windu plierait."
Pour les Voies convergentes, honnêtement 90% du chapitre 1, mais extrayons ce passage :
"— Je vais méditer un peu avant de manger. Est-ce que tu veux m’accompagner… ?
Parfois Anakin était d’humeur, parfois non, et parfois il se joignait à lui en cours de route. Il hocha la tête, alors ils s’installèrent face à face sur le tapis de méditation. Anakin tendit les bras, paumes offertes, et Obi-Wan y pressa les siennes avant de fermer les yeux. Ils n’avaient pas toujours besoin de se toucher, mais ça aidait Anakin et lui n’allait certainement pas le lui refuser, même si ça lui rajoutait une touche de difficulté.
Le contact de leurs callosités, un peu décalées à cause de la différence de taille et de forme de leurs mains, la dureté de la prothèse d’Anakin sous la douceur du gant de nanosoie, la chaleur constante qu’il dégageait, le bruit de son souffle tout proche, tant d’éléments perturbateurs dont se détacher.
Mais Obi-Wan, donc, avait de l’entraînement."
(Et aussi Anakin et le Vaapad, tellement) (et ce bout-là dans le chapitre 8 :
"Avec ce manque de dignité typique qu’Anakin invoquait chez lui, Obi-Wan lui mordit l’épaule. Étant donné les mains empoignant ses fesses, ce geste ne put que dérailler la conversation et les pousser à s’unir de façon bien plus prosaïque et profane que dans la Force.
Mais tout aussi transcendante.")
*
Dans Le Cercle littéraire des défenseurs de la galaxie : Tous les résumés de Cœurs de Kyber XD XD et :
"— Alors oui, continua Obi-Wan, sans merci. J’ai regretté de t’avoir pris comme padawan, et de nombreuses fois.
Inexplicablement, après cette déclaration d’une violence insoutenable, il esquissa un petit sourire. Puis il tourna un peu la tête, regarda Anakin du coin de l’œil.
— Aussi souvent, j’imagine, que tu as regretté que je ne sois pas Qui-Gon Jinn.
Il ne retenait vraiment pas ses coups.
— Mais quelle importance ? continua-t-il, les mains dans ses manches, le regard perdu à l’horizon. Quelle importance, ce que nous pensions et ce que nous regrettions il y a toutes ces années, comparé à tout ce que nous avons vécu ensemble, à tout ce que nous avons partagé ? Quelle importance ce que nous étions à l’époque, comparé à ce que nous sommes aujourd’hui ? Aujourd’hui, je ne regrette rien. Je suis simplement heureux de te connaître, heureux que tu me sois cher et de t’être cher. Et reconnaissant à Maître Qui-Gon de m’avoir donné la chance de te rencontrer."
(Mais aussi la scène avec Rex. La scène avec Rex <3)
*
Dans De la Cosmographie :
"Obi-Wan en profita pour le détailler, un plaisir qu’il s’accordait rarement. En partie pour ne pas nourrir l’ego déjà bien établi de son compagnon, en partie parce qu’il s’en était empêché si longtemps. Les boucles châtain aux reflets dorés qui ornaient son front, les sourcils épais qui lui donnaient si facilement l’air ombrageux. Ses yeux clairs, invisibles à cet angle, mais qu’il imaginait si bien. Son profil parfait, avec ce nez par miracle encore droit, le trait marqué de sa mâchoire où Obi-Wan aimait tant passer la bouche le matin, quand sa peau était délicieusement râpeuse. Ses lèvres pleines, encadrées de sillons triangulaires qui se creusaient quand il souriait, et qui révélaient déjà quel serait le dessin de son visage vingt ans plus tard.
Obi-Wan espérait le voir, de tout son cœur.
Il serait magnifique, son Anakin, avec des rides au coin des yeux."
*
Dans Sous vos yeux, la scène où Obi-Wan dit à Anakin qu'il a failli quitter l'Ordre pour lui me fait bêtement rire :
"— La première fois, évidemment, à ton arrivée au temple…
— Évidemment ?
Il se redressa à son tour face à lui, semblant surpris.
— Je croyais que tu le savais. Si le Conseil avait refusé de faire de toi un Jedi, je t’aurais enseigné à te servir de la Force en dehors de l’Ordre. Maître Qui-Gon avait raison en disant qu’il fallait que tu sois formé.
À nouveau, Anakin dut complètement réarranger sa vision des choses.
— Tu ne m’aimais même pas, à l’époque, lâcha-t-il sans le vouloir. Et, ajouta-t-il, ne me sors pas que les Jedi aiment tout le monde, je connais la théorie . La réalité, c’est que si tu pouvais faire tomber discrètement le sénateur de Geminia de sa nacelle, tu le ferais.
— Il serait bien moins compliqué de le faire destituer, rétorqua Obi-Wan d’un ton terriblement raisonnable, mais un sourire frémissant au coin des lèvres. Néanmoins, les Géminians ont voté pour lui et il est de notre devoir de respecter la volonté du peuple, quelle que soient nos réserves.
Anakin avait une tout autre opinion, mais il avait appris à choisir ses batailles.
— Quoi qu’il en soit, tu étais un être vivant, digne de mon dévouement comme le serait tout autre.
— Mais tu m’aurais fait tomber de la tour du Temple si tu avais pu ?
— Tu avais neuf ans, rappela Obi-Wan sévèrement.
— OK, OK, murmura Anakin en mettant la main sur sa nuque avant de l’embrasser pour détourner son attention du fait qu’il ait jamais été un enfant.
Il remarquait quand même qu’Obi-Wan n’avait pas nié qu’il l’aurait bien balancé par la fenêtre, s’il n’avait pas eu seulement neuf ans."
Voilà, pardon, je me suis emballée xD
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tête à dos ... la vie invente mille scènes déjà vécues déjà rêvées je me dis qu'il faudrait en écrire de nouvelles à redresser le dos et la tête ou les rêver à défaut ... #Dune
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Dune pt. 2 Deuxième séance.
Tant de détails sautent aux yeux et aux oreilles lorsque l'on ne découvre plus, mais qu'on peut regarder, vraiment.
Il y avait dans la partie un, un plan hommage à Black Hawk Down. Dans la partie deux, il y a une scène qui rend hommage à Apocalypse Now et Saving Private Ryan en moins de trente secondes et c'est génial.
Il y a bcp moins de musique que dans la partie un. Les scènes peuvent se vivre, vraiment, il y a de la place pour respirer alors que le rythme lui reste soutenu tout au long du film.
Le sound design était incroyable dans le premier film, ici c'est encore mieux. Le film regorge d'échos narratifs aussi. Vu le sujet, c'est très satisfaisant à débusquer.
Revoir permet aussi de vraiment apprécier le jeu d'acteur qui est pour tout le monde, d'une classe incroyable. Les subtilités de Chani étaient plus facilement perceptibles.
Plein d'autres détails mais je n'ai pas tout retenu, il faudrait que je puisse le revoir encore.
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La première fois que j'ai entendu une chanson d'Amen Dunes, j'étais assise à mon bureau, le casque sur les oreilles. J'écoutais, indifférente, une playlist de recommandations en random. La musique peut me donner, occasionnellement, l'impression très intense de tomber amoureuse. C'est ce qui s'est passé la première fois que Sixteen a voyagé de mon oreille droite à mon oreille gauche. Cette chanson a coulé dans mes veines jusqu'à mon cœur, un aller simple sans retour possible. Et justement, le disque sur lequel se trouvait cette chanson s'appelait — ça ne s'invente pas — Love.
J'ai immédiatement tout aimé de ce disque — sa pochette bleue, chacun de ses titres (qui ruissellent les uns dans les autres sans effort), son ambiance cotonneuse et la voix sublime et bizarre (car dans mon cœur, ces deux notions se tiennent la main) de Damon McMahon. J'ai aimé sa façon de chanter les mots de la langue anglaise comme s'il les ré-inventait au fur et à mesure, comme s'il les coulait dans un nouveau moule plus étrange. Il me faisait entendre une nouvelle poésie, celle d'un monde que je n'avais pas encore découvert. J'ai adoré tout autant Freedom, en 2018, disque qui m'a permis de le voir sur scène, de fermer les yeux en écoutant sa voix, de basculer la tête en arrière et d'être enveloppée dans le son. Il y avait cette chanson qui parlait d'un surfeur et qui me faisait penser à ce moment, l'été, quand on s'immerge d'un coup dans l'océan glacé. Rien ne m'apporte autant de joies que les amours qui durent. Death Jokes, sorti il y a quelques jours, prolonge cette passion-là. La même voix mystérieuse, qui s'entrechoque contre les parois de mon cœur, la même alchimie mystérieuse qui fait que cette musique me rencontre et me trouve. Ce nouveau disque est peut-être, à mes yeux, encore plus ample et beau que le précédent, plus profond. C'est un disque pour maintenant, pour un monde douloureux et difficile. Je repars à la découverte de cette langue si particulière avec les larmes au coin des yeux. Larmes de joie de le retrouver, larmes de tristesse puisque sa musique est avant tout là pour nous déchiqueter le cœur en petits morceaux.
Somewhere, in the middle of it all.
Amen Dunes, Death Jokes (Sub Pop)
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Scène 10 "Une femme mure sur la plage"
La mer était basse, des petites vaguelettes se suivaient en cascade, formant des lignes d’écume leur course pour se fondre sur le sable. Julie rompait cette communion silencieuse
- Que c’est reposant Titouan ! C’est parfait, j’adore ce paysage sauvage, loin de tout, tu es un ange de m’avoir amené ici ! Elle se tourna vers moi pour m’embrasser la joue en remerciement
Je sentais la pression de ses doigts sur ma hanche, comme pour se lover contre moi pour profiter de la magie de l’instant
- J’adore ce coin aussi Julie, je suis heureux de vous y amener, c’est un moment inoubliable pour moi, que d’y revenir avec vous « la femme mure de la plage » ! J’étais dans mes songes en sa compagnie, ému, laissant aller mes pensées, mais aussitôt je réalisais l’indélicatesse de mon propos
Je ne savais plus quoi ajouter quand elle tourna la tête vers moi avec une expression de surprise. Sans autre commentaire elle ajouta
- On va s’installer plus bas Titouan ! Elle prit mon bras pour descendre la dune qui menait sur la plage
En approchant du bord, elle me montra du doigts un endroit qui lui convenait pour s’installer en tournant la tête vers moi elle me demanda
- C’est moi que tu évoquais Titouan, en disant « la femme mure de la plage » ?
J’étais gêné, je m’en voulais de l’avoir appelé ainsi et surtout très embarrass��. Comment justifier cette dénomination impersonnelle qui me trottait dans la tête depuis ce premier jour. Je m’empêtrais dans des explications sans savoir comment m’en sortir. Elle se mit à rire devant mes tentatives incohérentes mais insista pour savoir ce que j’avais voulu dire
Je me sentais coincé mais je lui devais une explication et que la meilleure était de lui dire les choses avec franchise. Elle s’arrêta en posant son parasol
- On peut s’installer ici, ça te va Titouan ?
- Oui bien sur Julie, on sera très bien, on a le temps avant que la mer remonte, on se mettra un peu plus haut s’il faut ! Répondais-je en posant à mon tour son panier et mon sac à dos
Elle restait debout face à moi, comme si elle attendait une réponse à sa question. Je baissais les yeux en lui avouant ce que j’avais ressenti le premier jour où je l’avais vu sur la plage et les autres matins jusqu’au jour où nous avions parlé avant de se baigner ensemble. Elle m’écoutait sans rien dire, curieuse, silencieuse jusqu’au moment où mon embarras devenait si gênant qu’elle reprit
- Tu sais Titouan, j’avais remarqué tes regards indiscrets par moment, mais je n’imaginais pas que tu pensais à moi au point de m’appeler ainsi, ça me donne la sensation d’être une proie que tu convoitais ! Résumait-elle d’une voix calme et ferme
Une fois encore je me sentais morveux comme un gamin surprit essayant de cacher des pensées inavouables
- Excusez-moi Julie, il n’y a rien de méchant dans ce propos mais pour tout vous dire, dès que je vous ai vu, j’ai ressenti une attirance, je vous ai trouvé belle, fascinante ... inaccessible, alors dans mon esprit vous étiez « la femme mure de la plage ». Je n’ai jamais pensé être indélicat j’ai beaucoup de respect pour vous mais vous occpuez mes pensées depuis ce jour
Elle m’écoutait attentive, on était debout l’un en face de l’autre, elle avait lâché mon bras depuis qu’on s’était arrêté. Elle semblait surprise, hésitante ne sachant comment interpréter ce que je lui avouais malgré un sourire retenu, son expression était un mélange de tendresse et d’étonnement, je la sentais émue tout comme je l’étais en maintenant son regard
Elle caressa ma joue sans rien ajouter et ouvrit ses bras en disant
- Viens dans mes bras Titouan, tu es trop touchant !
Je fis un pas en avant pour me serrer contre elle, ses bras se refermant sur moi, hésitant un instant j’entourais sa taille pour me serrer contre elle. Je sentais sa poitrine s’écraser sur mon torse et la chaleur de son corps m’envahissait d’un frisson. Je sentais mon coeur battre contre sa poitrine. Elle redressa sa tête vers moi et me couvrit de petits bécots sur le visage, pour finir par poser ses lèvres sur les miennes en m’entrainant dans un long baiser d’amour.
Ses lèvres s’entrouvraient sur les miennes, posant sa main sur l’arrière de mon crâne comme pour m’inviter dans un baiser d’une douceur enivrante. Je ne pouvais retenir l’effet qui venait durcir contre son ventre. Ce moment dura une éternité, je savais qu’il me resterait à jamais
Quand elle recula ses lèvres des miennes, elle garda un moment ma tête dans son cou en m’avouant qu’elle n’avait jamais eu un anniversaire aussi surprenant, aussi troublant, que c’était son anniversaire le plus agréable depuis bien des années. Elle chuchotait à mon oreille, j’étais aux anges et terriblement excité d’un désir interdit jusqu’alors.
Mes bras se pressaient autour de sa taille, je pouvais ressentir l’épaisseur de ses hanches, de son corps mature dont les formes se « lovaient » contre moi, épousant mon torse. Je découvrais la douceur confortable de son ventre contre mon sexe qui réagissait malgré moi dans mon bermuda. Mes doigts commençaient à se hasarder sur ses reins à travers sa tunique, révélant la texture élastique de son maillot, ma main remontait sur son dos cherchant sa peau nue, ma paume s’ouvrit pour rester entre ses omoplates en exerçant une pression que je maintenais, comme pour laisser son buste et sa poitrine m’envelopper de leur douceur
On restait un long moment, sans bouger, sans rien dire, je pouvais sentir l’odeur de sa peau d’où émanait un parfum discret, mes narines prenaient comme des bouffées de son parfum naturel, mes lèvres pouvaient caresser la douceur de sa peau
- Tu es bien comme ça Titouan ? Chuchotait-elle, rompant ce moment de communion inattendu mais tellement rêvé
Je n’osais plus bouger, mes yeux embrumés de bien-être s’ouvraient, mes lèvres contre sa nuque lui volaient un baiser presque indicible
- Oh Julie, je n’ai jamais ressenti un moment aussi troublant, aussi doux, aussi … ! Je m’arrêtais avant de lui faire comprendre le désir et l’excitation que je ressentais
- Je le ressens aussi Titouan, même si ça ne se voit pas ! Enchainait-elle pour m’éviter une nouvelle maladresse, je compris qu’elle avait senti mon excitation et ne s’en offusquait pas
- Pardon Julie, je ne veux pas vous choquer mais je vis un rêve éveillé ! J’étais sincère et redressait ma tête pour la regarder comme pour m’assurer que je ne rêvais pas
Elle me souriait tendrement, ses yeux étaient luisants, elle s’approcha en déposant un baiser sur mes lèvres puis passa sa main dans mes cheveux en disant
- Et si on s’installait mon prince, j’ai envie de me baigner, pas toi ? Reprenait-elle de sa voix qui me devenait familière, douce et sure comme pour me sortir de ce moment onirique
Je me sentais gêné en m’écartant d’elle, je me baissais lui rapprochant son panier et m’occuper de mes affaires. Je sortais ma serviette en l’étalant sur le sable tout en restant accroupi. Je gagnais du temps en espérant que mon ardeur allait se calmer avant de retirer mon bermuda
Julie était debout, elle regardait les alentours
- Finalement j’ai choisi mon maillot bleu marines avec les brettelles blanches ! Lançait-elle en attrapant sa tunique pour la retirer d’un coup par dessus sa tête
Je levais les yeux alors qu’elle dévoilait ses cuisses en même temps que son maillot m’apparaissait, je l’avais imaginé noir mais au soleil il était d’un bleu pétrole très sombre proche du noir. Son visage était masqué un court instant par sa tunique qu’elle tirait par dessus sa tête, ce bref moment me dévoila son entrecuisse qui laissa apparaitre quelques poils pubiens, confirmant comme je l’avais rêvé, une toison naturelle et visiblement dense. A cette vision, mon érection n’allait pas se calmer j’essayais de rester le plus naturel possible quand son visage réapparu, elle me regardait comme si elle attendait une réaction sur le choix de son maillot
- Il est très beau ce maillot Julie, j’étais bien embarrassé pour vous conseiller lequel porter !
- Je pensais que tu aurais choisis celui là en dernier Titouan, c’est le plus sobre, plus discret, celui qui correspond le plus à mon âge ! Répondait-elle en rajustant machinalement son maillot comme le font les femmes qui viennent de se dévetir sur la plage. Ses mains tiraient l’élastique au niveau des cuisses, comme pour remettre en ordre tout ce qui pouvait dépasser
- Il est très élégant je trouve, il vous va bien même si je vous ai pas vu avec les … autres ! J’étais en contrebas à genoux sur ma serviette alors qu’elle était à peine à 2 mètres de moi. Je m’arrêtais net avant de finir ma phrase en la regardant tirer son maillot pour ranger pudiquement les quelques poils anarchiques qui dépassaient
En me voyant, elle baissa la tête comme pour vérifier que plus rien ne dépassait, ajoutant :
- Tu vois je suis pas vraiment prête ni à la mode pour faire du naturisme Titouan ! Et elle se mit à rire en me voyant ravaler ma salive avec un sourire troublé. Tout ce qui se passait et cette délicieuse surprise que j’imaginais et espérais dans mes pensées solitaires, me mettait dans tout mes états
- Sans vouloir vous choquer Julie, je ne sais pas s’il y a une mode pour le naturisme et puis c’est naturel, je trouve que c’est plus féminin une femme naturelle
- Ah oui vraiment ! Je pensais que les jeunes préféraient les femmes rasées ou entretenues au moins ? Elle parlait de ce sujet avec spontanéité, comme si elle évoquait avec naturel une partie de son anatomie
- Pas moi Julie, je n’ai jamais aimé cette mode anti-poils ! Ajoutais-je comme pour la rassurer et tenter de me mettre au diapason. Elle avait une certaine pudeur pourtant elle parlait sans détour, elle était médecin et devait être confrontée à la nudité quotidiennement en tant que dermatologue
- Tu ne te met pas en maillot Titouan, à moins que tu aies décidé de faire du naturisme ? Reprenait-elle en sortant sa serviette de son panier
- Si, si Julie je vais aller me baigner aussi et si vous gardez votre maillot je garde le mien ! Pourtant j’étais très gêné, mon sexe était dur et en maillot je ne pouvais pas lui cacher mon érection
J’enlevais mon tee-shirt en le passant par dessus ma tête, elle sortait des affaires de son panier, j’en profitais pour retirer mon bermuda en restant le plus recroquevillé possible, espérant une baisse rapide de mon désir. Je me sentais honteux comme un gamin qui bande pour un rien, y compris quelques poils qui dépassent mais tout ce qui m’arrivait ce matin et ces aveux de la veille, me rendait plus que sensible au moindre détail intime
Une fois sortie ses affaires, elle pris sa crème solaire et m’en proposa en jouant son rôle de spécialiste de la peau, me rappelant les méfaits d’une exposition prolongée au soleil. En tendant son tube de crème, elle s’enduisait les bras en ajoutant :
- Elle résiste à l’eau et même si ta peau est encore jeune et déjà bien bronzée, c’est plus prudent avec ce soleil
J’avais même droit à de la prévention, je l’écoutais attentivement quand elle me mettait en garde sur le vieillissement prématuré de la peau à cause d’exposition trop longues et répétées, sans parler des risques de cancer, elle utilisait le terme « mélanome malin » et parlait de ses patientes obsédées par leur bronzage qui avaient l’épiderme fripé alors qu’elles avaient à peine plus de 40 ans
Je n’aimais pas trop m’enduire de ces crèmes grasses mais je me laissais convaincre par ses conseils avisés, je voulais lui faire plaisir et ça me permettait de gagner un peu de temps. Je tendais ma main pendant qu’elle pressait le tube pour me donner de la crème, la laissant décider sur la quantité. Je l’étalais sur mon bras, mes épaules, passait rapidement sur mon torse et un peu le visage. Elle me tendait le tube à nouveau en souriant pour que je n’oublie pas l’autre bras et les jambes m’ordonnait-elle en me taquinant
De son côté elle s’enduisait en massant toutes les parties dénudées de son corps, rajoutant de petites quantités sans oublier l’arrière de ses cuisses et ses mollets, pour terminer par son buste où son maillot laissait apparaitre le délicieux sillon de sa poitrine. J’étais toujours à genoux, je la regardais faire tout en continuant à faire pénétrer la crème sur mes cuisses en mimant ses gestes. Elle me tendit le tube à nouveau en me demandant :
- Tu veux bien m’en mettre dans le dos mon prince ! Je t’en mettrai après ! Elle souriait en me tendant à nouveau sa crème, l’odeur parfumée planait autour de nous, c’était un moment très agréable que le cerveau enregistrait par association, ces odeurs qu’on associe à des souvenirs de plage
Je reconnaissais cette odeur, celle que j’avais senti lors de nos précédentes entrevues. Elle se tourna pour m’offrir son dos, je me relevais et posait une noix de crème entre ses omoplates, une autre un peu plus bas où son maillot le permettait et au niveau de sa nuque. Mon érection qui commençait à dégonfler, se réveilla à nouveau en voyant son dos et son fessier si proche, proche de son dos, elle se réveillait encore plus quand mes doigts rentraient en contact avec sa peau chaude. Elle avait une superbe peau, hâlée sans être brulée, sa texture était douce et soignée, avec le soleil je découvrais un léger duvet blond répartis sur ses bras
Elle restait silencieuse, mes mains étalaient délicatement la crème en suivant la frontière de son maillot bleu sombre, mes doigts imprégnaient les endroits encore lisse. Je caressais sa peau pour la première fois, mes doigts étaient caressant et s’attardaient pour faire pénétrer le surplus de crème
- C’est très agréable Titouan mais vas-y plus fort si tu veux qu’elle pénètre ! Disait-elle en soulevant d’une main ses cheveux attachés en queue de cheval, m’invitant à masser sa nuque et son dos
- D’accord Julie, mais je crois que j’ai du en mettre un peu trop ! Rétorquais-je insistant plus fortement sur sa nuque, je sentais sa nuque se raidir pour maintenir sa tête
Elle se tût, je massais assez fermement sa nuque en glissant jusqu’à son cou, après quelques passages répétés je percevais un « hum !!! ». Elle profitait d’un soin du corps administré debout sur cette plage déserte. Quand mes mains descendaient sur son dos en étalant la crème sur les côtés, mes doigts rencontraient les plis de sa peau, ses petits bourrelets que je trouvais émouvants, signe de son âge mure où la peau s’enrobe avec l’âge. Arrivés en bas de son dos, mes paumes remontaient, je voyais sa peau rouler formant de petits monticules au bout de mes doigts
Sans rien dire, elle dégagea ses épaules en faisant glisser ses bretelles l’une après l’autre sur ses bras, pour m’inviter à rajouter un peu de crème. Je remettais de la crème sur chacune de ses épaules, mes mains se faisaient plus fermes sur ses épaules, elle bougeait au rythme de mes passages. Ces épaules avaient une rondeur délicieuse, ses bras marquaient un pli charnu, mes doigts se faufilaient presque dans ses plis y compris ceux formés par sa poitrine qu’elle retenait de ses bras repliés. Son silence semblait me dire qu’elle appréciait mes mains et ce massage que je prodiguais avec concentration et un désir retenu
- Merci mon prince, tu es merveilleux de douceur, ma peau sera bien protégée. A ton tour maintenant ! Elle se retournait vers moi en replaçant ses bretelles, aussitôt je me tournais pour lui offrir mon dos et lui cacher cette bosse qui n’avait cessé de gonfler durant cette séance de crémage
Je laissais mes bras tendu et replié devant moi comme si j’étais à la messe. Je sentais la fraicheur de la crème sur ma peau, elle en posait à différents endroits de mon dos
- Tu es noir déjà, ça te du bien ça va nourrir ta peau ! Je sentais sa main ferme et experte, elle me massait le dos presque avec vigueur comme le ferait un professionnel, j’étais surpris par sa fermeté et son efficacité. A peine 1 minute plus tard elle disait
- Voilà tu es paré mon beau prince charmant ! Et elle laissa sa main glisser sur mon dos d’une caresse plus douce avant que je sente sa joue se frotter contre mon dos pour terminer par une touche de douceur qui m’était dédiée
- Merci Julie ! Merci pour tout, pour votre douceur ! Évidemment je ne pouvais pas faire autrement que de me retourner l’air un peu gêné.
Elle ne mit pas longtemps à être attiré par ma protubérance qui déformait mon short. Elle échappa un « oh !!! » de surprise en découvrant cette érection qui m’encombrait depuis qu’on s’était embrassé, évidemment cette séance de crème solaire n’avait fait que l’amplifier
- Eh bien dis donc Titouan ! Quelle sensibilité ! tu as apprécié on dirait ? Elle prenait un ton léger et chantonnant, elle me taquinait en regardant mon short qui se tendait en formant une bosse difficile à cacher. Sa réaction avec sa main devant sa bouche en lâchant ce « Oh ! » semblait presque flatteur malgré tout j’étais vraiment gêné
- Désolé Julie mais je … enfin vous savez … c’est malgré moi je ne veux pas vous paraitre grossier mais vous me … ! Je m’empêtrais encore, essayant de retrouver mes moyens et finissais par me raisonner en me rappelant mes intentions, de rester moi-même. Je savais qu’avec une femme de cet âge, c’était peine perdue de tenter de la duper en essayant d’être beau parleur
- Pardon mais je suis comme dans un rêve Julie ! je passe un moment agréable, merveilleusement agréable. Je sais que je n’oublierai jamais ce que je vis en ce moment, c’est tellement inattendu ce qui nous arrive, m’arrive pardon ! Je me reprenais ne voulant pas décider pour elle ce qui pouvait être agréable et inattendu
- Je ressens aussi des choses Titouan, comme des papillons dans le ventre. Pour moi aussi c’est plus que particulier ce qui m’arrive, inattendu comme tu dis mais si agréable et flatteur alors profitons de ce moment, et cette journée rien qu’à nous ! Sa voix était posée, sure, douce, tendre, encore plus quand elle parlait de notre désir. Elle prit ma main en m’entrainant :
- Viens mon prince, on va se baigner ça nous fera du bien. La mer est à nous alors profitons en ! Je sentais la sagesse dans ses comportements et la patience de la maturité comme si elle me disait qu’on avait le temps et que le moment venu on profiterai de cette envie encore interdite il y a quelques jours
Je ressentais un moment de pur bonheur ce jour là ! Nous chahutions en nous baignant, comme 2 gamins qui s’amusent et se cherchent. Je lui apprenais à surfer sur le ventre en se laissant pousser par les vaguelettes qui nous ramenaient vers le bord. Elle était d’humeur joyeuse, légère, tactile par moment en me volant des baisers avant de me plonger la tête sous l’eau, comme le ferait une fille qui se laisse flirter par un jeune coq
En rejoignant nos serviettes, je posais ma main sur sa taille, elle ne disait rien je sentais ses hanches qui roulaient en marchant. Je prenais un peu plus d’assurance après cette baignade mouvementée en lui disant :
- La prochaine fois je me baigne tout nu Julie ! Je lui annonçais ma décision comme pour la prévenir, on savait qu’on se baignerai à nouveau, le soleil brillait, c’était une journée à rester à l’ombre ou sinon se baigner toutes les heures. La fin de matinée approchait sans avoir aperçu la moindre âme qui vive mis à part des mouettes qui survolaient la mer et des bateaux qui passaient au large
Elle me regarda, moitié amusée moitié surprise par ma décision qui sonnait comme un avertissement
- Tu préfères me prévenir Titouan ? Elle baissa les yeux vers mon short, elle évita de se prononcer en ajoutant
- Ca va mieux on dirait ! La fraicheur de l’eau t’a fait du bien tu vois ! Son intonation était taquine à nouveau mais je devinais dans ses attitudes sa voix enjouée, qu’elle passait un moment agréable. Elle me remerciait encore pour ce moment de détente
On allait rejoindre nos serviettes, avant de s’allonger elle voulu installer le parasol. Je la devançais pendant qu’elle s’allongeait sur sa serviette, le dos au soleil. J’orientais le parasol pour la protéger, pendant qu’elle me guidait, préférant garder le haut de son corps à l’ombre. Malgré le parasol qui abritait son visage, elle se coiffait d’un chapeau large. Je la regardais avant de m’installer à mon tour à côté d’elle
Allongée sur le ventre, redressée sur ses coudes dans son maillot bleu pétrole à bretelles blanches, son chapeau et ses lunettes de soleil sur le nez, elle avait une allure bourgeoise, une dame, une allure de star !
- Tu veux une petite place à l’ombre aussi Titouan ? Me demandait-elle avec générosité comme si elle me conseillait vivement de me protéger à côté d’elle
J’acceptais avec plaisir, plus pour rester proche d’elle que pour me protéger. Nos serviettes se mêlaient en une grande serviette qu’on partageait comme un couple. Elle, allongée sur le ventre tandis que j’étais sur le côté, tourné sur sa gauche, un bras replié soutenant ma tête.
Nous échangions de choses et d’autres, sur cette plage et ce lieu, sur les vacances et sur nous, y compris le souvenir de notre rencontre les matins précédents, notre premier bain, son séjour qu’elle ressentait si particulier. Par moment je replaçais une de ses mèches en caressant sa tête.
Elle posa sa tête dans ses bras repliés comme un abandon, je ressentais son désir de savourer l’instant. Voyant ces jambes au soleil, je lui proposais de lui mettre de la crème. Elle se retourna en disant que ses cuisses commençaient à chauffer. Elle accepta en me remerciant et se redressa pour me donner sa crème rangée dans son panier
Je m’agenouillais au niveau de ses jambes avant de presser le tube sur sa peau qui était déjà chauffée par le soleil. Elle en profita pour baisser ses bretelles et dégager ses bras avant de reposer sa tête sur son avant-bras. A part sa poitrine, plus rien ne retenait le haut de son maillot, je découvrais le galbe de son sein gauche et le pli arrondi qui se formait de son aisselle jusque sous son sein aplati sur la serviette.
J’étais admiratif et fier d’être là avec elle, je planais tout en éparpillant des échantillons de crème sur ses cuisses et m’installait a califourchon sur ses chevilles. Je commençais à masser ses chevilles, ses mollets en remontant sur ses jambes, faisant pénétrer la crème. Elle tourna se tête dans le creux de son bras, lâchant quelques « hum ! » de contentement comme lorsqu’on savoure un moment de bien-être.
Petit à petit je remontais jusqu’à m’installer plus haut sur ses jambes, au creux de ses mollets, sans pour autant m’assoir dessus. Je massais l’arrière de ses cuisses sensuellement. Des cuisses épaisses et charnues sans être grosses, joliment galbées malgré quelques marques de maturité. Sa peau fléchissait en s’enfonçant sous la pression de mes mains, mes doigts glissaient dans le sillonnée formaient ses cuisses serrées, osant venir enduire avec mes pouces, le pli que marquaient ses globes de fesses en enfonçant légèrement jusque sur les côtés
Je me justifiais en évoquant la douleur des coups de soleil à ces endroits fragiles et oubliés qui laissaient souvent des marques blanches chez les femmes. Elle en rigolait en acquiesçant dans son bras et répondant par des « hum !!! ». Pendant que je remettais de la crème, elle resta la tête dans son bras et me demanda
- Tu as raison Titouan la peau est fragile à cet endroit ! Tu peux remonter mon maillot un peu, il reste pas toujours en place sur mes fesses, enfin raisonnablement tout de même ! Ajoutait-elle en murmurant dans son bras pour justifier ce « un peu »
Je n’en revenais pas, elle me demandait de dégager « un peu » ses fesses pour les masser de crème. Je ravalais ma salive en répondant
- Bien sur Julie ! Avec plaisir ! mon sang ne faisait qu’un tour, il s’arrêtait net dans mon short, provocant immédiatement un effet sur mon sexe, je remontais sur ses cuisses pour accéder librement à son maillot qui enveloppait son fessier qui m’avait fait tant d’effet depuis ce premier jour
Mes doigts attrapaient délicatement l’élastique, dégageant raisonnablement ses fesses charnues, pour ne pas dire plus en les voyant de si prêt, j’avais tout le loisir de les admirer avec cette séance de crème solaire qui durait déjà depuis quelques minutes et devenait au massage
Je découvrais en partie ses fesses laissant apparaitre une peau d’un blanc laiteux, ce fessier qui me faisait tant fantasmer. Je posais une noix de crème sur ses 2 globes rebondis et glissait mes mains en remontant de ses cuisses pour terminer en massant ses fesses, allant de bas en haut, m’attardant sur les côtés avec mes pouces qui inévitablement les écartaient avec la délicatesse que cette femme m’inspirait.
Mes pouces s’enfonçaient tandis mes autres doigts glissaient plus haut sur ses fesses, au début par dessus le maillot, petit à petit en dessous, elle ne s’en offusquait pas. Mes doigts disparaissant de plus en plus profondément sous son maillot, goutaient la délicieuse intimité de ses fesses rebondies. Je ne résistais pas à l’envie de rajouter de la crème, l’envie me rendait entreprenant, je m’étais juré de rester moi-même mais je sentais mon désir prendre le dessus, désir presque anodin après l’intimité déjà partagée mais cette fois mes mains caressaient une partie intime de son corps. Je ne quittais des yeux son postérieur, mes doigts s’écartaient sous son maillot, réalisant que main entière ne pouvait même pas couvrir sa fesse. Je bandais comme un gamin qui découvre son graal, l’émotion retenait mon souffle. Julie ne bougeait pas, ne bronchait pas, elle semblait savourer l’instant qui devenait de plus en plus intime au point de voir glisser son maillot dans sa raie profonde, comme un string
Son silence entrecoupée par moment de « hummm !!! » plus soutenus, étaient comme un encouragement à continuer au point de m’attarder uniquement ses fesses dévoilées, le « un peu » était largement dépassé mais elle semblait apprécier.
Son maillot ne formait plus qu’un mince triangle, ses fesses blanches se démarquaient nettement laissant imaginer qu’elles n’étaient jamais exposées au soleil, sa peau était d’une blancheur troublante. Elle se laissait faire, elle ne disait rien, elle savourait ce massage qui se transformait en caresses appuyées. Des caresses intimes au point de remonter délicatement son maillot sur ses hanches, les dégageant largement, dévoilant la totalité de son fessier. Ce fessier large, proéminent une fois dénudé, qui bougeait en ondulant sous mes doigts. Sans oser écarter ses globes, je devinais la pilosité dans la raie des fesses
Mon coeur battait la chamade, mon sexe se tordait pour trouver une place dans mon short devenant trop petit. Je la sentais présente sous mes caresses, la devinait excitée tout en se retenant pour ne pas craquer, comme si elle voulait préserver l’inévitable pour un autre moment, un autre lieu ...
A suivre ... (Scène 11 le 30 mars 2024 à 6h00)
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Vendredi 22 mars 2024
Adieu Toriyama Sensei
Un soir, il y a quelques jours de ça, j'ai craqué pour une somptueuse sérigraphie de Blutch qui représente Miles Davis, numérotée et signée par le dessinateur. Elle me faisait de l'oeil depuis quelques années. Lorsqu'on aime l'art pictural et qu'on n'a pas forcément l'argent pour s'offrir des originaux, la sérigraphie est une bonne alternative puisque pour quelques centaines d'euros on peut s'offrir une belle oeuvre. Je vais la faire encadrée et elle trônera quelque part sur un mur de ma chambre.
Je suis allé au cinéma, seul, l'autre fois. J'y ai vu la suite de Dune. J'ai passé un bon moment mais j'ai loupé quelques scènes parce que j'ai cette tendance, lorsque je suis dans une salle de cinéma, à me perdre dans mes rêves. Je pense à des trucs et de fil en aiguille je pars loin avant de me rendre compte que j'ai totalement loupé la scène qui vient de s'achever. C'est terrible ça, je ne parviens pas à me « débrancher » afin de passer en mode spectateur et d'apprécier le film...
Mon neveu est venu plusieurs fois chez nous passer l'après midi ces derniers temps. C'est super, car ça me permet de développer une belle relation avec lui. Quand il est là, ce ne sont pas des moment de tout repos. Nous jouons à cache cache (dans un petit appart, et avec une taille dépassant le mètre 90, ce n'est pas une tâche aisée pour moi de trouver où me planquer), nous dessinons et allons à la médiatèque, lisons des bande dessinées et regardons des dessins animés... quand je dis nous j'inclue ma mère, à vrai dire c'est elle qui s'occupe le plus de lui et qui arrive à le gérer, ce n'est pas évident parce qu'il faut parfois dire non et comment dire non à son adorable petit fils lorsqu'il demande à manger un troisième chocolat alors que de base on est censé ne pas lui en donner trop ? J'aime beaucoup le fait qu'il vienne désormais de façon régulière chez nous. Et en même temps je réalise que je serais incapable de devoir gérer 24 heures sur 24 un môme de cet âge voir un autre plus jeune : c'est un travail dantesque ! Alors je suis content d'être tonton et pas papa.
L'autre soir je me suis levé et comme tous les jours j'ai saisi d'abord mon téléphone pour y voir les notifications et j'ai ouvert un message de mon cousin qui m'envoyait un article m'apprenant le décès d'Akira Toriyama. Quel choc ! Juste avant de dormir, la nuit d'avant, j'avais vu passer un message en anglais le concernant et pour une raison que j'ignore je n'avais pas pris le temps de le parcourir, c'était le fameux message officiel annonçant le décès de celui qui était l'une de mes plus anciennes idoles.
Alors, je suis toujours prêt à recevoir ce genre de nouvelle concernant mes musiciens boomers préférés car ils sont octogénaires, mais je n'aurais pas cru voir disparaître le maître Toriyama de sitôt parce qu'il était japonais et que je pensais naïvement qu'il allait vivre au moins nonagénaire parce que les japonais ont une espérance de vie longue, eh bien je m'étais bien trompé...
Ainsi j'ai passé les jours qui ont suivi à lire des dizaines d'hommages (dont une de l'Elysée, chose impensable il y a encore 30 ans) à travers le monde. Et tout ça m'a plongé dans un drôle de désarroi, comme si je réalisais que mon enfance était définitivement et officiellement partie... je n'aurais pas cru être aussi touché.
Il faut dire que Akira Toriyama a beaucoup compté dans ma vie. Avant lui je lisais des bandes dessinées sans trop me soucier de qui les faisaient. Et puis, quelque part en 1994, je me suis prit de passion pour Dragon Ball Z (grâce à un cousin qui m'a transmis son enthousiasme, ce même cousin qui m'a envoyé le message annonçant le décès du maître, comme quoi tout est lié !) et j'ai découvert les mangas de Toriyama dont Dr Slump, dans lequel l'auteur se mettait souvent en scène de façon humoristique dans des scènes de vie désopilantes (à l'époque je ne trouvais rien au monde de plus drôle que Dr Slump, aujourd'hui encore d'ailleurs, et la vue seule de la tronche de ce con de Suppaman suffisait à me faire mourir de rire), j'ai donc découvert par la même occasion qu'il existait des gens derrière les bandes dessinées et j'ai alors commencé à vénérer Akira Toriyama comme l'un de premiers dieux de mon panthéon personnel qui commençait alors à se développer tout doucement.
Oh, je pourrais écrire des dizaines de pages pour raconter combien Dragon Ball a compté dans mon enfance, comment la toute première recherche internet que j'ai effectuée seul chez moi concernait Akira Toriyama, comment j'avais entrepris de traduire ses histoires courtes d'anglais en français quand j'avais 16 piges et comment au même âge j'avais écris un article sur la carrière de Toriyama pour un site de fan (en me basant sur un magazine hors série du Club Dorothée qui contenait les précieuses informations avec quelques images inédites de ses œuvres passés qui me faisaient tant fantasmer), comment depuis une douzaine d'années j'avais décidé que mon premier tatouage serait à l'effigie de Toriyama, du moins de son avatar dessiné, Toribot (et ça tient toujours), comment je tiens depuis des années un tumblr consacré aux dessin de Toriyama (« theartofakiratoriyama ») et qui compte plus de 5000 abonnés, comment j'ai crée le subreddit consacré à lui, r/AkiraToriyama ...
Alors bon, Toriyama Sensei est parti pour de bon et mon espoir de le voir interviewé (chose quasi impensable puisqu'il vivait reclus loin des médias depuis des décennies mais j'avais un petit espoir malgré tout) est ainsi réduit à néant et le monde perd un très grand artiste, un dessinateur aussi talentueux qu'humble et moi je perds encore un de mes plus grand héros.
Tout ça n'a fait que me redonner envie de me relire l'intégrale de Dragon Ball qui est l'une des rares sagas de bande dessinée que je peux me refaire inlassablement avec toujours le même plaisir.
Depuis plusieurs jours, plusieurs semaines à vrai dire, j'ai perdu ce truc que je qualifierais d'élan de vie, c'est très embêtant. Je broie du noir en permanence et si ça m'arrivait régulièrement de temps en temps, cette fois là, ça persiste plus de deux ou trois jours. Je deviens très malheureux et je ne vois plus de lumière au bout du tunnel, plus trop de raisons de me réjouir, rien d'intéressant ne semble m'attendre dans l'avenir... pour la première fois, lors de mon rendez vous bimestriel avec mon psy, j'ai répondu que ça n'allait pas lorsque comme toujours il m'a accueilli en me demandant comment j'allais. Ce n'était pas évident à admettre parce que j'ai dû mal à confier quelque chose d'aussi intime à quelqu'un en face de moi (alors que quand il s'agit de l'écrire, c'est beaucoup plus simple). Je ne crois pas avoir su bien lui expliquer mon mal et ses raisons mais il m'a demandé si j'avais des idées noires, j'ai répondu que c'était plutôt le cas et puis nous avons convenus de modifier le traitement, d'augmenter la dose.
Alors voilà, je ne sais pas si ça va changer grand chose, toujours est il qu'au moment où j'écris ces lignes je suis en plein désarroi mental et mes journées me semblent longues, très longues, j'ai envie de m'échapper mais comment, et où ? Je ne vois pas d'issue et j'ai peur que demain soit aussi long qu'aujourd'hui.
Le problème quand je suis dans cet état c'est que j'arrive peu à lire.
Je vais me forcer un peu et puis j'irai m'abrutir sur les apps de rencontres (j'y passe des heures chaque jour parce que la seule perspective qui me semble attrayante dans cette vie de merde est la présence d'une amoureuse) et faire en sorte de dormir jusqu'à tard dans la journée.
La fin de cette note n'est pas des plus gaies, j'en suis navré.
Je remercie les fidèles qui me lisent encore et qui sont de moins en moins nombreux (mais peu importe après tout) !
Bande son : Playlist "Cool Songs"
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DUNE - Seconde Partie
Paul Atreides s’unit à Chani et aux Fremen pour mener la révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille. Hanté par de sombres prémonitions, il se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers.
Tout est dit, mais presque vraiment en quelques lignes, sur ce qu'il sr passe pourtant en 2h45...
Mais, même s'il ne s'y passe rien de transcendant les codes du genre, le film de Villeneuve est une claque cinématographique ! Dans un camaïeu littéralement envoutant, les images nous subjuguent sous des jeux de lumière et de contraste à couper le souffle, une maîtrise totale de la mise en scène, sans oublier les costumes qui sont encore plus beaux que dans le premier volet.
NOTE - 13/20 - Le désert occupe tout l'espace et le temps de ce film afin de développer la partie politico-religieuse, mais on y voit un Timothé Chalamet devenir prophète malgré lui, étape par étape.
La subtilité de Denis Villeneuve est de montrer que la foi est un objet politique. Sans être trop développé, cet aspect plus politique donne en définitive un peu de profondeur au film
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1er janvier
j'ai lu quelque part que cette année le 1er janvier était un full reset parce qu'on est lundi et y avait tout un tas d'autres paramètres que j'ai oubliés mais moi ce matin je me suis réveillée je me suis masturbée et puis j'ai pleuré sur le canapé en lisant le message de bonne année de r. qui me souhaitait plus de joie que jamais, il l'a répété trois fois, joie joie joie, et ça m'a fait pleurer qu'il sache à quel point j'en manque et à quel point elle m'est difficile d'accès. j'ai l'impression d'exsuder de la tristesse par chacun de mes pores et que mon incapacité à accéder au fun repousse les gens. je pleurais aussi parce que la personne la plus susceptible de m'apporter de la joie c'est lui justement. je lui ai répondu et puis je suis allée me promener sur la plage, j'ai pris des selfies avec la mer et je lui en ai envoyé un en mettant bisous de la mer et moi et puis j'ai passé la journée à y penser parce qu'il me répondait pas et c'est pas comme ça que j'avais envie de commencer l'année.
j'ai écrit les prémisses d'une nouvelle chanson en marchant sur la plage, ça c'était trop bien par contre, et les paroles n'ont rien avoir avec r. ce soir j'ai regardé the punk singer parce que je me rappelais que kathleen hanna parlait de la maladie de lyme dedans et si j'avais un seul regret à avoir dans ma vie c'est de pas avoir commencé à faire de la musique toute seule dans ma chambre et de chanter dans un groupe de punk en culotte sur scène quand j'en avais l'âge. parce que je suis trop vieille pour être kathleen hanna maintenant. j'ai quand même décidé que mon futur costume de scène serait tshirt-culotte-collants. à part ça, ma priorité numéro un cette année c'est d'écrire aux gens. reach out, proposer d'aller boire un verre, ne pas avoir peur du rejet, ne pas me dire que je suis un repoussoir, et essayer de m'entourer. l. de paris m'a écrit bisous lara aujourd'hui comme ça sans raison. les gens m'aiment ok.
hier soir j'ai mangé seule sur le canapé avec mon masque mon bol de chips et gaïa qui me tenait compagnie couchée à mes pieds parce que j'avais pas envie de rester seule dans ma chambre avec mes pensées. je me sentais tellement seule que j'étais contente de recevoir des messages de m. en espagne. mon seul plaisir de la soirée: voir f. apprécier ma playlist et chanter sur des vieux trucs en faisant des petits commentaires. il est tellement reposant après une semaine de b. et aller souhaiter la bonne année à la mer à minuit aussi.
2 janvier
ce soir j'ai regardé la suite de 1991 the year punk broke et le début de dig! le doc sur le brian jonestown massacre, j'ai envie de me repasser tous les documentaires de musique de mon disque dur, ce disque dur est une mine d'or j'avais vraiment bon goût avant. journée moins désespérée que hier, j'ai développé ma chanson, je l'ai chantée sur la plage, j'ai vu seul au monde en arrivant mais je l'ai esquivé en escaladant une dune je sais pas pourquoi, j'avais peur de lui parler. j'ai marché jusqu'au phare en chantonnant et j'ai vu le coucher du soleil sur la mer assise sur la plateforme en béton devant le phare avec les deux pêcheurs qui pêchaient rien. en regardant une mouette raser la surface dorée je me suis dit que je devrais recommencer à faire plus attention aux petites choses magiques. et arrêter d'être obsédée par mon téléphone.
en passant devant la vigie j'ai vu la terrasse sans le mûrier. hier h. m'avait dit qu'ils l'avaient coupé. mon mûrier. le mûrier qui me protégeait du soleil comme personne même au plus chaud de l'après-midi. le mûrier qui lisait mon journal par dessus mon épaule depuis mon adolescence. ce mûrier connaissait toute ma vie et maintenant il est parti.
3 janvier
je suis tellement obsédée par la musique que je suis même plus intéressée par mon livre, je veux pas être écrivaine je veux être chanteuse. dans the punk singer au début on voit kathleen hanna qui fait du spoken word et elle raconte qu'un jour kathy acker lui a dit why do you wanna do spoken word? nobody listens to those things, if you have things to stay and you wanna be heard you should start a band. dès qu'on est rentré j'ai pris une douche j'ai changé mes draps et j'ai écouté julie ruin l'album qu'elle a enregistré toute seule dans sa chambre à trente ans quand elle a arrêté bikini kill. elle a acheté un synthé un sampler et une boite à rythme et elle l'a fait. mais la toute première chose que j'ai faite en arrivant, avant de me doucher, c'est allumer mon téléphone que j'avais pas allumé depuis hier soir et quand j'ai vu que j'avais pas de message de r. je suis devenue légèrement mélancolique et je me suis dit que je pouvais pas continuer à le laisser affecter mon humeur comme ça, c'est pas tenable, j'en peux plus d'être triste.
j'ai réussi à me remonter vers la surface en écoutant l'album de kathleen hanna et puis je suis allée essayer ma nouvelle chanson au piano et j'ai mis des accords très basiques dessus mais il faut bien que je commence quelque part. c'est basique mais j'aime bien. la prochaine chanson que j'écris je veux faire un truc moins mélancolique. j'ai envie d'avoir cette résidence à la kufa rien que pour pouvoir utiliser l'argent de la bourse pour m'acheter un microkorg et un micro et une carte son pour tout brancher et je sais pas quoi encore. hier h. et f. sont passés nous dire au revoir pendant que j'écrivais des paroles dans mon carnet sur le canapé et f. m'a demandé qu'est-ce que tu fais? tes devoirs? et j'ai rigolé en disant oui parce que jamais de la vie j'aurais osé lui dire que j'écrivais une chanson, c'est pas trop un truc qui se fait dans la famille.
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Cinéma américain
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Orson Welles
Mr Arkadin Citizen Kane (41) Le procès
John Carpenter
Invasion LA
Schunmacker
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Gene Kelly et Donen
Chantons sous la pluie Un american à Paris
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Who’s that knocking at my door Meanstreet (choc) Taxi Driver (choc) Le loup de Wall street Casino Bertha Boxcar (72) Les Affranchis Raging Bull Shutter Island Silence
Quentin Tarantino
Pulp Fiction (94) Reservoir Dogs (92)(choc) Jackie Brown Inglourious Bastards (09) Django Unchained (12) Les 8 salopards (15)
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Virgin Suicide Somewhere The bling ring Marie Antoinette Lost in translation
Tim Burton
L’etrange noel de M.Jack Sleepy Hollow Le cavalier sans tête Edward aux mains d’argent Charlie et la chocolaterie Miss Peregrines et les enfants particuliers
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Vol au-dessus d’un nid de coucou Amadeus
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La fureur de vivre (Analyse) **** Johnny Guitar
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Oslo 31 Aout Julie en 12 Chapitres ***
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Drive Pusher la trilogie Only god forgives Neon Demon
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Fight Club (99) Seven The Social Network Gone Girl **** L’etrange histoire de Benjamin Button Panic Room Alien 3
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The Shining (reprise de la scène La charrette fantôme) Barry Lindon Full Metal Jacket Eyes Wide Shut (Analyse) Lolita Orange Mécanique (choc)
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Carrie (76)(adapt nouvelle de Stephen King) Scarface (83)(Howard 33) Les Incorruptibles (87)
Joel et Ethan Coen :
No country for an old man O Brother The Big Lebowski Fargo Burn After Reading Ave Cesar
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Elephant Paranoid Park (Analyse) My own private Idaho Gerry (Analyse)
Larry Clark
Kids The Smell of us Ken Park
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Annie Hall Manhattan Minuit à Paris
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Badlands (73) (Analyse) Le nouveau monde (Analyse)
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Voyage au bout de l’enfer***
John Mc Teigue
V pour vendetta Matrix Sense8
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Opening Night (77) Faces Une femme sous infuence *** Gloria***
Darren Aronofsky
Requiem for a dream The foutain The Whale *
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Hollywood Rhapsody: The Golden Age of Film Music in Hollywood
"Hollywood Rhapsody" By Alain Lacombe (written in french) After having read the oral history of Hollwyood, I woke up with a rabbid hunger for more Hollywood books and the good news is that I have a few ones waiting for me since quite a while. This one seems to be out of print so I'm glad I stumbled on it in a parisian bookstore some years ago.
This book is basically divided in two parts: - a history of music film in Hollywood - portraits of Hollwyood composers and directors (biographies, filmographies and discographies)
It has a LOT of information, way more than the trivia stuff I usually know about music film so it was another great enjoyable reading.
The one thing that gets me puzzled is the detailed level of knowledge behind this book as compared to the short bibliography (see below). The author, Alain Lacombe, must have forgotten to write a few ones which would be too bad cause the bibiography part is my personal favourite treasure hunt in a book. Still, I definitely want to read three of them (they're in bold):
Theodor Adorno & Hanns Eisler - La musique de film Irwin Balezon - Knowing the Score Henri Colpi - Défense et illustration de la musique de film Ermano Comuzio - Colonna sonora Ewen - All the years of American popular music Robert R. Faulkner - Hollywood studio musicians Robert R. Faulkner - Music on demand Roland Flamini - Le fabuleux tournage d'"Autant en emporte le vent" Kreuger - The movie musical Alain Lacombe et Claude Rocle - La musique de film Alain Lacombe et Claude Rocle - De Broadway à Hollywood James L. Limbacher - Keeping score Milton Lustig - Musci editing for motion pictures Roger Manvell & John Huntley - The technique of film music David Meeker - Jazz in the movies Vincente Minnelli - Tous en scène François Porcile - Présence de Musique à l'écran Miklos Rosza - Double life David O. Selznick - Memo Tony Thomas - Music for the movies
And to end this post, if you wonder, these are the artists presented: Daniele AMFITHEATROF George ANTHEIL William AXT Les BAXTER Gaylord CARTER & Lee ERWIN George DUNING Hugo FRIEDHOFER Joseph GERSHENSON Albert GLASSER John GREEN Bernard HERRMANN Bronislaw KAPER Erich Wolfgang KORNGOLD Alfred NEWMAN Andé PREVIN David RASKIN Mikols ROSZA Hans J. SALTER Walter SCHARF Frank SKINNER Max STEINER Herbert STOTHART Dimitri TIOMKIN Franz WAXMAN Victor YOUNG
As usual, if you have any information about related books, I'd be glad to hear from you!
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WIP 22 juin 2024
Stars Never Dies
Je share Mon histoire Pour la Police 27
528
https://youtu.be/QAOJAK0648A?si=UNyQn0EmY4jSautP
STAR STREAM NEVER DIES
"MISE À JOURS"
RÉALISATION- OLIVIER PELADEAU GODBOUT
POUR ELYSE
HISTOIRE - STARS NEVER DIES
Elle viens dune famille assez riches. C’est deux parent sont dirigeant d’une section d’armer importante de sa civilisation.
Ils ont une grande maison dans un vaisseau qui contient environ 2000 familles et qui vole en orbite sur le bord d’une planète, une planète qui est protégé par un dome bleu transparent. Les gens vivants dans ce vaisseaux sont reconnue pour être une des races humaines les plus agile au combat.
ils reçoivent des formations de combat à un très jeune age. Le film commence comme ceci où cette planète riche en resource se fait coloniser par une race extraterrestre supérieure. Tout arrive très rapidement. Au début du film elle et son frère ne savent pas qu’il y a une attaque. Donc l’une des premieres scène serait porté sur la jeune fille qui est entrain de performer sur une machine holographique des actions de combat, dans son salon avec son petit frère à coté d’elle. On y verrait dans cette scène un logo de grande taille important gravé esthétiquement dans le mur du salon qui représente le symbole de leur civilisation.
Tout autour il y aurait des plantes et des grandes vitres portant sur les étoiles. On y verrait aussi des symbole d’honneur accroché sur les murs décrivant le parcourt de ces parents. Ainsi que des souvenir de victoire en forme de vidéos holographique un peu partout dans le salon.
À ce moment là ces parent sont en mission, tout arrive tellement vite. Les enfants ne sont pas tout de suite informé. On y verrait plusieurs scène ou les parents des deux jeunes sont en action Via un vaisseau de contrôle situé près des zones d’attaque. Plusieurs drones sont contrôlé a distance. Les drones enemies ont réussi a pénétrer très rapidement l’un des vaisseaux mères là où les parents des deux jeunes se trouvent. Les deux parents envois immédiatement un signale téléphonique à leurs enfants pour leur annoncer qu’ils doivent quitter via les capsules.
Et qu’une grande partie de ARK 1 ( une branche de la galaxie ) ne survivra pas a l’attaque. Les deux jeunes apprennent via le récepteur holographique situé dans leur salon que leur planète est en péril et que leur parent vont mourir au combat. Très rapidement le jeune frère n’arrive pas a comprendre la situation.
Sa grande soeur les larme au yeux réalise qu’ils n’ont plus beaucoup de temps devant eux, ils doivent quitter immédiatement. Le coté le plus riche en resource de ARK 1 est entrain de se faire coloniser. Donc les capsules doivent âtre dirigé vers de nouvelles destinations. sur le bord de ARK 1. En direction de l’extrémité de la galaxie. La ou il y a peu de source de vie humaine. Le vaisseaux commence a trembler. Il ont très peu de temps pour réfléchir. Dans ces situations complex un robot de maison s’occupe d’aider les deux jeune a décoller dans des fusées capsules.
Chaque capsule contient assez de nourriture et d’énergie pour une personne pour une duré d’un voyage. C’est pour ça qu’il ne peuvent pas être deux par capsule, Les deux jeune s’embrasse avant de quitter dans les capsules. La grande soeur qui commence a avoir les l’armes au yeux le serre très fort dans ses bras. Quand ils entre chacun dans leur capsule les deux se regardent, leurs mains collé sur leurs hublot. La capsule de la fille est deja enclencher Tout se passe très rapidement. Soudainement une explosion proche de la capsule du petit frère frappe un des système. La capsule du jeune frère se coince lord du décolle. Situation intense.
La capsule du jeune frère tante de décollé mais reste coincé. Son frère a un regard naif et perdue il regarde sa soeur a travers la vitre de sa capsule avec un petit sourire perdue la main sur le hublot le regard qui tourne de gauche a droite en ne se rendent pas compte qu’il va mourir. Sa soeur, Les l’armes aux yeux, le regarde en criant “non non non” plusieurs fois avec une vois fragile et lourde remplie de douleur, sa mains tremblante et tendue sur son hublot. Elle continue avec une tonalité plus grande en criant “non non non”.
Elle tiens sont regard figer sur sont petit frère. C’est a se moment la que tout explose. Elle a les yeux figer sur les flame. La main lourde qui tombe. Difficile de garder la tête haute. Son corp complet tombe sur le lit de sa capsule Tout son monde viens de disparaître. La douleur est tellement forte qu’elle se place en position fetus. Les l’armes qui n’en fini plus. Moment de silence. On y vois maintenant une dizaine capsules défilant vers des destinations incertaines Chaque capsule contient des information importante sur l’univers. Comme un guide de secourt ou on apprend comment les planètes fonctionnent. Avec le logo de leur civilisation On y voit maintenant la jeune fille sur sont lit. Avec le logo et le guide de survie placé esthétiquement sur le bord de sa capsule. Plan de vue qui s’éloigne lentement de la fille qui pleure en position fetus. Boom!!!!! Effet sonore! Moment de silence. Écran de cinéma noir de quelque seconde! On fait maintenant un saut vers le futur. On y vois maintenant des images du guide de survie en plein écran. Un petit documentaire défile.
De quelque minutes. Décrivant les fondement de l’univers. Et boom pane d”électricité. Une lumière tamisé orange apparait en plein milieu de l’écran du documentaire. Comme si on voyait a travers un écran de lunettes. On y vois maintenant la fille ( maintenant 28 ans ) étendue sur un lit avec des lunettes sur ces yeux qui se lève a moitié. Réalisant que son disjoncteur vient d’éclater. Elle écoutais sont documentaire ( qui vient de sa civilisation ) comme elle aime le faire a chaque années. Elle vie maintenant dans une petite maison mobile situé dans une ville flottante de maisons mobiles dans lespace la ou lon peux voir les etoiles. Les êtres vivants là vivent en faisant du troc avec d’autre région sur le bord de ARK 1.
Elle sort maintenant de sa maison mobile. On la vois maintenant déposer son pieds a l’extérieur sur un plancher invisible ou l’on peu voir les étoiles a travers. On y vois aussi son voisin qui vie juste a coté d’elle dans une autre mini maison mobile presque collé sur la sienne. On y vois maintenant son voisin qui relax a l’extérieur un alien a l’allure asiatique qui mange son bole de soupe ramen en écoutant un show télé d’un autre système solaire avec une bonne music d’ambiance qui joue en background. On la vois maintenant examiner son disjoncteur ( tube d’énergie ).
C’est la quelle vois que son disjoncteur est vraiment briser. Des gros mots sort de sa bouche. Tellement que son voisin se retourne vers elle surpris par les mots. Avec un regard étonné, les nouilles ramen qui déborde de sa bouche. On y vois maintenant la fille qui s’accote le front sur le bord de sa maison mobile. Elle réagi ainsi car elle n’a presque plus d’argent. Habituellement ces tubes d’énergies sont bon pour durer des mois. Elle va maintenant se reposer sur le bord de son vaisseau tout près de l’alien qui mange ces ramens. Elle lui dit bonne nuit et elle va se coucher. Elle gagne sa vie en extrayant des minéraux sur une ceinture de météorite tout près de où elle vie. Mais c’est pas très payant. Juste assez pour vivre. Avant de se coucher elle regarde son petit ordinateur qui fonction encore. pour s’informer sur les heures où elle pourra récolter des minéraux le lendemain. On y entend encore son voisin qui écoute un show télé en background. Elle s’endort tranquillement. Dans sa maison mobile qui n’a plus d’electricité. Un écran noir de quelque seconde remplie l’écran. On fait un saut vers le lendemain.
On la vois maintenant dans son habit de travail avec des outils électroniques et un casque qui lui permet de respirer. Elle est entrain de récolter des minéraux sur la ceinture de météorite. Elle écoute du Rock'n Roll dans ces écouteur. Plan de vue sur les étoiles et le vide de l’espace. Elle examine les minéraux sur sa météorites. Et soudainement elle vois des flammèche au loin! Dans une autre section de travaille où elle na pas le droit d’y aller. Elle se rend compte que c’est la machine d’un des travailleur de l’autre section qui fait des flammèches.
Elle se demande qu’est-ce qui se passe. Les lieux de travail sont presque vide personne travaille dans les environs sauf lui. On y vois toujours les étoiles en background. Elle s’approche de l’engin. On y vois des logos signifiant que cette zone est interdite pour les travailleurs qui sont seulement équiper d’un habit protecteur. Elle éteint sa musique rock n roll. Elle s’approche vers la machine qui fait des flammèches et commence a fouiller l’intérieur, elle vois que le travailleur alien ne respire plus , aucun signe de vie. Elle se demande pourquoi. Elle regarde tout l’intérieur pour trouver des anomalies, elle fouille dans les poches de l’habit du travailleur et elle trouve une map avec une disquette brillante de toute sorte de couleur et un laissé passé qui est recouvert par un dessin graphique qui apparait comme une image d’un jeux.
Elle regarde la map et sa indique un emplacement et la route a suivre. Ca indique aussi que ca prend 2 tube d’énergie pour s’y rendre. Soudainement elle vois des petites explosions de lumières sur le coté de sa vision. Elle tourne son regard et regarde la ville flottante où elle vit
A SUIVRE……
Bande dessinée- part 2
Suite à ma bande dessinée : intitulée - STARS NEVER DIES
Alors qu'elle suivait les indications de la carte, elle se préparait mentalement pour l'aventure à venir. Les deux tubes d'énergie nécessaires semblaient indiquer que ce serait un voyage stimulant. Cependant, les petites explosions de lumière attirèrent son attention, laissant planer un sentiment d'inquiétude.
Elle observa avec curiosité la ville flottante où elle habitait, se demandant ce qui pouvait provoquer de telles explosions. Peut-être y avait-il quelque chose d'inhabituel en cours. Malgré cela, elle décida de poursuivre sa quête vers les étoiles, gardant à l'esprit l'emplacement indiqué sur la carte.
Arrivée dans l'espace étoilé, elle fit un arrêt dans un restaurant spatial Normandin pour prendre un repas rapide. Les lumières scintillantes des étoiles créaient une ambiance unique, rendant le moment encore plus spécial.
Alors qu'elle, ĒLaya approchait de sa destination, une géante métropole où se déroulaient les championnats de jeux vidéo, elle ressentit une montée d'excitation. La compétition était à son apogée, et l'atmosphère était électrique avec l'énergie des joueurs passionnés.
Dans la galaxie d'Eterna, là où mena la carte, dans une métropole futuriste qui s'élevait au cœur d'une constellation étincelante. Une métropole où ses bâtiments titanesques semblaient toucher les étoiles, et les voitures volantes filaient entre les tours comme des éclats de lumière.
ĒLaya, pilote intrépide, depuis son départ depuis sa ville flottante qui maintenant navigue habilement à travers les dédales célestes de la métropole. Avec sa chevelure scintillante et ses yeux pétillants d'aventure, elle possédait une passion insatiable pour les jeux vidéo
Elle s'aretta dans un vaisseau cube
Cest la quelle fesa connaissance de ADAMO un intrepide competiteur de course le plus riche competiteur de Eterna
AUSSi UN CHANTEUR
ELYSE s'approche de lui, ADAMO pour savoir si Adamo pourrait l'aider a partisiper aux compétitions
Cependant, Adamo profite de cette opportunité pour flirter avec Elyse.
Elyse peut se sentir dérangée par le comportement d'Adamo s'il détournait l'attention de sa demande d'aide vers des avances romantiques. D'autre part, si Elyse est réceptive aux avances d'Adamo, cela pourrait mener à une romance potentielle entre les deux personnages.
Elyse accepta avec hésitation.
Adamo semble proposer à Elyse de lui rendre service après avoir participé au championnat de course sur terre. Cela pourrait signifier qu'il est disposé à l'aider une fois qu'il aura terminé ses propres engagements ou priorités
Elyse pourrait apprécier le fait qu'Adamo soit prêt à l'aider malgré ses propres engagements, ce qui pourrait renforcer leur relation ou leur amitié. Cependant, il est également possible qu'Elyse ne soit pas complètement satisfaite de devoir attendre jusqu'à ce que Adamo ait terminé ses propres activités avant de recevoir de l'aide.
Dans tous les cas, la communication claire et ouverte entre les deux parties est essentielle pour s'assurer qu'elles sont sur la même longueur d'onde et que leurs attentes sont alignées.
Adamo, tellement charmé par la beauté d'Elyse, décide de lui faire sa demande en mariage. Cependant, Elyse hésite encore, car elle trouve qu'il a la vie trop facile.
La réaction d'Elyse suggère qu'elle a des préoccupations quant à la compatibilité de leurs styles de vie ou peut-être à leurs valeurs personnelles. Le fait qu'elle trouve qu'Adamo ait la vie trop facile peut indiquer qu'elle cherche un partenaire qui partage des défis similaires ou qui a une approche de la vie plus similaire à la sienne.
Il est important que les deux prennent le temps de discuter ouvertement de leurs préoccupations et de leurs attentes pour l'avenir de leur relation. La proposition de mariage est une étape importante et doit être prise avec sérieux par les deux parties. Elyse devrait exprimer ses réserves à Adamo de manière respectueuse et honnête afin qu'ils puissent prendre une décision éclairée ensemble.
La scène semble se dérouler sur la route rouge de la terre juste avant la compétition. Elyse remarque Olivier, le cow-boy, qui se trouva assis sur une chaise a coté de la station de gaz fummen une cigar electrique qui profite du temps a regarder les étoiles. qui semble être plongé dans les pensées d'Elyse.
Il semble y avoir un intérêt ou une connexion entre Elyse et Olivier, peut-être soulignée par le fait qu'il se trouve dans les mêmes tremples qu'Elyse. Cela pourrait indiquer un potentiel d'intrigue romantique ou d'intérêt mutuel entre les deux personnages.
Cette observation pourrait avoir des implications sur la dynamique des relations entre les personnages impliqués. Si Elyse a déjà des sentiments pour Olivier, cela pourrait influencer ses interactions avec Adamo ou ses décisions futures. Toutefois, il est important de voir comment cette interaction se développe dans le contexte de l'histoire globale.
Cest juste AVANT QUELLE. … ELYSE appercois OLEIM
ADAMO SARETRE A LA STATION DE GAZ POUR FAIRE LE PLEIN
ĒLAYA cherche son billet dans la valise de son vr et soudain elle échappe tout ses bagages Adamo ne l’aide pas à ramasser ces chose. Dune manière mal poli il lui dit allez baybe t’es longue.
En échappant ses bagages elle. Se blesse Olivier le policier préoccupé par la situation sort sa trousse de soin pour aider Elise. Le centre de police est juste à coter de la station de gaz
Olivier le fermier avec son frère et aussi policier en service
Il semble qu'Olivier, le 👮🏻♀️ POLICIER cow-boy, s'approche avec Son Camion qui est en plus transporteur de sa voiture de course dans le camion avec des beau design japonais sur le camion, il descend pour aider Elyse après avoir vu la scène
Elyse regarde Olivier et
. Son regard charmant et son geste d'aide semblent avoir un impact sur Elyse. Elle le remercie chaleureusement avant de monter dans le VR qui est en avant.
Adamo, curieux, demande à Elyse qui était cet homme. Elyse répond en le qualifiant d'« humain Gallant », ce qui pourrait impliquer qu'elle a été touchée par sa gentillesse ou qu'elle a une certaine estime pour lui.
Par la suite, Elyse et Adamo rencontrent à nouveau Olivier le cow-boy au bar restaurant Normandin spécial cette soirée-là. Cela suggère que les interactions entre les personnages se poursuivent et pourraient se développer davantage au fil de l'histoire. La présence d'Olivier dans cet environnement pourrait créer des opportunités pour de nouvelles interactions et peut-être même des développements dans leurs relations personnelles.
Adamo et ĒLAYA se retrouvèrent au restaurant bar spaciale
Elyse voit Olivier entrain de courtiser Sabrina dans le restaurant Normandin
Sabrina ne veut rien savoir de Olivier
ĒLAYA attirer par le cow-boy OLĒIM-olivier
Regarde la scène du rejets de Sabrina envers Olivier et ensuite
elle demande la signification. Dé bagues de OLĒIM par curiosité
Elle Lui dit qu’elle a perdu sa bague de fiancaille pour signifier qu’elle
Elle ne peut pas avoir fait l’amour avec son copain adamo pour le moment
Il semble y avoir une dynamique complexe entre Elaya, Adamo et Oleim dans cette scène. La pression d'Adamo sur Elaya semble être très contrôlante, ce qui pourrait indiquer une relation déséquilibrée ou toxique entre eux.
Lorsqu'Elaya et Adamo s'embrassent, Elaya montre un symbole à Oleim, peut-être pour signifier quelque chose à propos de ses sentiments ou de sa relation avec Adamo. Le geste d'Elaya de repousser Adamo avec sa main sur sa poitrine dans le bar Normandin pourrait être interprété comme un signe de désintérêt ou de frustration envers Adamo, et peut-être même comme un moyen de montrer à Oleim qu'elle commence à perdre de l'intérêt pour Adamo.
Le fait qu'Elaya considère Oleim comme “le plus intéressant de la soirée” suggère qu'elle est attirée par lui ou qu'elle trouve leur interaction plus captivante que celle avec Adamo.
Cette scène révèle des tensions et des émotions complexes entre les personnages, et il semble y avoir des développements significatifs dans leurs relations interpersonnelles.
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Après qu'Oleim soit allé aux toilettes, Elyse décide de le rejoindre et lui propose de rentrer dans son vaisseau de course. Oleim accepte l'invitation, et les deux se retrouvent donc à l'intérieur de la voiture volante de course, adoptant une attitude de complicité et d'engagement mutuel souvent associée à l'expression “ride or die”.
Cette situation pourrait être interprétée comme une manifestation d'une connexion spéciale entre Elyse et Oleim, une complicité qui les amène à partager des moments intimes, même dans des circonstances aussi simples que celle-ci. La scène suggère une certaine proximité entre les deux personnages, peut-être même un début de relation ou de flirt, illustrant ainsi une dynamique intéressante dans leur interaction.
ELLE FAIT CA TANNANTE DURANT LA COURSE, ELYSE ELLE SE DEPLACE SUR LUI POSITION DOMINANTE OLEIM VOIE PLUS LA COURSE ET LA POUSSE POUR LA REMETTRE A CA PLACE LA COQUINE LOLL
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Après la course Olivier n’as pas eu le temps de dire bye à Elyse
Lorsque Olivier revient de la course il va dans le restaurant Normandin il fait la connaissance de Ann marie
Après la course avec Elyse et OLĒIM
Olivier reste dans sa voiture pour tester ces medicloriens
Adamo force Elyse à partir sans dire bye à Olivier
Alors Elyse donne une map à Ann marie pour quel puisse le donne à Olivier
La soirée au bar Normandin
Ann en profite pour faire la cour à Olivier
Après leurs relation c’est la que Ann lui donne la map pour aller aux campus et rejoindre. Elise
ANNA DIT A OLEIM QUELLE CONNAIS LE CAMPUS OU ADAMO ET ELAYA SONTG ALLER
CES DANS SE CAMPUS QUE ADAMO FORCE ELAYAY A LUI FAIRE UN PIPE PARCE QUIL EST TANNER DATENDRE POUR lE MARIAGE AVANT DE la baiser
Olivier se rend avec son vesseau direction le Campus
RENDUE DAND LE CAMPUS .OLEIM.
OLEIM SE TROUVA UN COLOCATAIRE DAVID
AVEC 2 AUTRES AMIS CHRIS ET FRANCO
EN SORTANT DE LA CHAMBRE UN EYE CONTACT AVEC ELAYA SE VOIE LES DEUX PENDANT QUE ELAYA ETAIT ALLER CHERCHER DE LA NOURITRE JAPONAISE PENDANT QUE ADaMO DORMAIS
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pendant que ADAMO dors
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Il est 1 heure du matin Chris et Franco vienne réveiller OLĒIM et David pour chiller dans leurs loft des deux chambereurs Franco et Chris.
OLĒIM demande ĒLAYA pour aller rigoler avec leurs amis .
Elyse vient chiller avec Olivier et ses amis
Parce qu’ils amènent bcp de magie dans le campus.
Duran cette soirée ils écoutent un genre de série infinie “Univers Got Talent” en hologrammes en mangeants de la pizza spécial futuriste
Fumant du weed de qualité venant des plus bonnes herbes de la galaxie.
Avec de l’alcool qui nous font penser profondément dans nos penser.
Aillants des bonnes discussions phylosophiques
Rigolants toute la nuit devant la série de talent.
Mais alors que la nuit touchait à sa fin, une réalité les rappelait à l’ordre : un jeu virtuel les attendait le lendemain, offrant la possibilité de gagner de l’argent nécessaire pour continuer à vivre dans ce monde spatial éblouissant. Avec détermination et enthousiasme, ils se sont endormis, grâce à des comprimés donnant la liberté de dormir E quand on veux prêts à affronter les défis qui les attendaient dans le cyberespace .
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La situation sur le campus devient de plus en plus complexe alors qu'Adamo commence à ressentir de la jalousie envers Oleim, tandis qu'une intrigue supplémentaire se profile avec les regards échangés entre Elyse et Olivier.
Les jours passent, et la tension monte entre les différents protagonistes. Oleim, bien qu'il ne soit pas conscient de la jalousie grandissante d'Adamo, reste concentré sur Elaya et sur le soutien qu'il peut lui apporter.
Olivier va regoindre son meilleur amis à ;la guerre des étoiles
Sean
Dans l'univers de l'armée des étoiles, OLIM, lors d'une mission, subit un accident tragique, laissant derrière lui son ami fidèle, SAYAN. Pendant ce temps,
Dans la saga de la guerre des étoiles, après les événements décrits, Sayan, l'ami loyal d'OLIM, se lance dans une mission périlleuse pour sauver son compagnon tombé au combat. Avec détermination et ingéniosité, Sayan affronte de nombreux obstacles, mais sa détermination ne faiblit pas. Finalement, grâce à son courage et à sa persévérance, Sayan parvient à retrouver OLIM, le ramenant ainsi à la vie. Cette résurrection miraculeuse renforce les liens qui unissent ces compagnons d'armes.
Juste avant
OLĒIM enregistre un court passage annonçant qu’il va mourrir et l’envoi à ĒLAYA
Le vaisseau de OLĒIM réussi à atterrir sur une planète habitable par des petits être poilus comme des ours.
Voilà
ELAYA découvre avec une profonde tristesse la nouvelle de la mort de son camarade. Alors qu'elle cherche à surmonter son chagrin, elle est invitée à un somptueux gala organisé par l'un des magnats les plus puissants de la galaxie, ADAMO AKA Atoy-ine Antoy-ine.
Profitant de la vulnérabilité d'ELAYA suite à la perte de OLIM, Atoy-ine tente de gagner son affection..
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Ēlaya, résiliente face aux manœuvres manipulatrices du riche et séduisant Adamo
Elle demeure loyale envers Olēim.
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Cependant, contre toute attente, OLIM réapparaît, revigoré et déterminé, et symboliquement, avec sa tenue de Jedi d'un blanc immaculé rappelant les héros de Star Wars, il reconquiert le cœur d'ELAYA en se dévoilant complètement nue à elle, renouvelant ainsi leur lien indéfectible
Malgré les railleries du richissime individu, Ēlaya privilégie la sincérité et le réconfort qu'offre Olēim.
Déterminé à reconquérir le cœur d'Ēlaya, Olēim décide de transcender les apparences. Symboliquement, il se dévoile de tout son corp nue. révélant que son existence entière gravite autour d'elle.
Émue par cette démonstration de vulnérabilité, Ēlaya réalise que la connexion émotionnelle avec Olēim va bien au-delà des artifices et des richesses matérielles du manipulateur, qui s'avère être un sponsor.
Inspirée par la sincérité d'Olēim, Ēlaya choisit elle aussi de se dévoiler symboliquement. Descendant majestueusement les marches, elle ôte sa robe, partageant le courage et l'espoir qui renforcent leur connexion émotionnelle.
Confronté à cette intimité authentique entre Ēlaya et Olēim, le riche homme refuse de comprendre que la véritable complicité entre eux éclipse la richesse matérielle, donnant naissance à une relation épanouissante et jubilatoire.
Dans l'opulence d'Antoyen, son regard se pose sur Ēlaya, déclenchant des moqueries à l'égard d'Olēim et de ses attributs intimes. Cependant, Ēlaya, avec une répartie élégante, souligne que la grosseur n'est pas toujours synonyme d'intérêt, laissant Antoyen sans voix. Un épisode riche en rebondissements qui souligne la force de l'amour authentique.
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Au moment de leurs troisième rencontres.
Après leur moment passé au CAMPUS
ĒLaya: *assis à côté d'Olēim sur le rebord d'un toit, regardant les lumières scintillantes de la métropole* Tu sais, il y a quelque chose d'apaisant à contempler la ville d'en haut.
Olēim: *acquiesce* C'est vrai. On peut presque oublier le tumulte de la vie quotidienne quand on est ici.
ĒLaya: *sourit* Et pourtant, tu sembles être quelqu'un qui apprécie les secrets et les mystères. Tu n'as pas peur que tout devienne trop ordinaire ?
Olēim: *réfléchit* Les mystères sont comme des étoiles dans la nuit. Ils ajoutent de la profondeur à notre réalité, même si on ne les comprend pas toujours.
ĒLaya: *regardant Olēim avec curiosité* Tu as vraiment une manière unique de voir les choses. C'est peut-être pour ça que tu es si bon dans les jeux. Tu trouves toujours les chemins inattendus.
Olēim: *sourit* Les chemins inattendus sont souvent les plus intéressants à explorer, tout comme les facettes cachées des personnes.
ĒLaya: *taquine* Oh, tu veux dire qu'il y a encore plus à découvrir derrière cette élégance intemporelle ?
Olēim: *rires* Peut-être bien. Mais ce qui me fascine vraiment, c'est ta passion pour les machines volantes. C'est comme si tu avais trouvé une manière de toucher les étoiles avec tes mains.
ĒLaya: *regardant les voitures volantes passer dans le ciel* J'ai toujours aimé ressentir cette liberté dans les airs. C'est ce qui me pousse à continuer.
Olēim: *fixe les étoiles* Et moi, j'aime penser que les étoiles sont les pixels d'une immense réalité virtuelle que nous ne comprenons pas encore complètement.
ĒLaya: *sourit en coin* Tu ne cesses jamais d'étonner, Olēim. Entre les étoiles virtuelles et les mondes réels, il y a tant à explorer.
Olēim: *regarde ĒLaya avec douceur* Exactement. Et peut-être qu'en explorant ensemble, nous découvrirons encore plus que ce que nous aurions pu imaginer.
Ils restent assis là, partageant un moment de complicité silencieuse, chacun portant en lui le sentiment que leur rencontre était bien plus que le fruit du hasard dans cette métropole futuriste.
Olēim: *sourit en regardant ĒLaya* Tu te souviens de cette soirée où nos regards se sont croisés pour la première fois ?
ĒLaya: *esquisse un sourire tendre* Bien sûr que je m'en souviens. C'était comme si le monde s'était arrêté pendant un instant.
Olēim: *doucement* Je me rappelle de la manière dont ton regard a touché mon cœur. C'était comme si tu avais tracé une ligne directe vers mon âme avec ton doigt.
ĒLaya: *rougit légèrement* Et toi, avec ton sourire énigmatique, tu m'as charmée en un clin d'œil.
Olēim: *rires doux* au fond de moi, je savais que tu étais bien plus qu’une simple rencontre.
Olēim: *rires* Tu as certainement brisé la glace. Et j'ai été touché par la manière dont tu prenais soin de moi avec tes mots.
ĒLaya: *regardant Olēim avec douceur* Je me souviens de la manière dont tu m'as suivie des yeux toute la soirée. C'était comme si nous étions enveloppés dans notre propre petit univers.
Olēim: *sourit* C'était difficile de détacher mon regard de toi. Ta présence était captivante. Et quand tu m'as dit que j'étais le gars le plus intéressant de la soirée, j'ai senti mon cœur battre plus fort.
Olēim: *doucement* Tu étais plus qu'une simple rencontre ce soir-là. Tu étais celle qui a changé le cours de mon existence.
ĒLaya: *pose sa main sur la main d'Olēim* Et toi, tu es devenu bien plus qu'un inconnu. Tu es celui qui a conquis mon cœur avec tendresse et charme.
ĒLaya: *sourit, émue* Olēim, Notre histoire est comme une aventure captivante et éternelle et je suis prête à la vivre pleinement à tes côtés.
Olēim: *sourit chaleureusement en regardant ĒLaya* Tu sais, ĒLaya, il y a tant de choses que j'apprécie en toi.
ĒLaya: *légèrement surprise, sourit* Vraiment ? Qu'est-ce qui te plaît autant ?
Olēim: *commence avec douceur* J'aime chacun de ces petits détails qui te rendent unique.
Olēim: *regardant ĒLaya dans les yeux* Comme ton sourire… Il monte vers le haut quand tu me regarde. Quand il se mélange à ton regard avec tes yeux vert intense, c'est comme si tu perçais directement mon cœur.
ĒLaya: *touchée* C'est une belle manière de le décrire. Ton regard me fascine aussi, Olēim. C'est comme si tu lisais en moi.
Olēim: *doucement* Et quand ton doigt a frôlé mon cœur pendant ces 10 secondes, j'ai ressenti une connexion profonde. C'était comme si nos âmes se rencontraient.
ĒLaya: *émue* J'ai ressenti cette connexion aussi. C'était un moment magique, comme si le temps s'était suspendu.
Olēim: *sourit avec tendresse* ĒLaya, tu es sans aucun doute la plus belle femme au monde à mes yeux. Ta beauté dépasse largement ce que l'on voit au plus profond de l’humanité.
ĒLaya: *rougit, touchée* Tu sais trouver les mots justes pour me surprendre.
Olēim: *rires doux* Je suis sérieux. Tu as une beauté intérieure qui irradie à l'extérieur. Tu es déjà une gagnante pour moi.
Olēim: *rires* Ces petits détails te rendent encore plus adorable à mes yeux. Et puis ta voix, quand elle prononce mon nom “Olēim”, c'est comme une mélodie apaisante.Et tes mains froides qui se posent sur mon poignet pour me montrer ton cœur, c'était un geste touchant.
Ēlaya: *sourit* Eh bien, ce n'était qu'une manière de te montrer ce que tu représentes pour moi.
Olēim: *sourit en la regardant tendrement* ĒLaya, chaque instant passé à tes côtés est précieux pour moi. Tu es mon bonheur, mon inspiration, et tout ce que je désire.
ĒLaya: *les yeux brillants* Olēim, tu es celui qui a fait battre mon cœur différemment depuis ce premier regard. Notre histoire est un trésor que je chérirai toujours.
Ils échangent un regard complice, leurs cœurs s'entremêlant dans cette métropole futuriste où leurs chemins se sont croisés, formant un lien profond et sincère entre ĒLaya et Olēim.
Olēim: pose un doux baiser sur le front d’ĒLaya Notre aventure ne fait que commencer, et je suis impatient de découvrir chaque nouveau chapitre à tes côtés.
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Nous sommes toujours jeunes.
ĒLAYA
**Olēim**: Je peux t'imaginer toi et moi, plus âgés. Entre 30 et 35 ans. Avançant sur cette route. Une longue route rouge luminescente. Dans un camping-car volant parfait.
Beaucoup d'heures confortables d'évasion.
Vers une ville de jeux virtuels épiques
😛
La rue brillant comme ta ressemblance.
Avec des tonnes de voitures volantes autour de nous.
-
En attendant notre dîner dans un restaurant de fast-food galactique.
Te regardant dans les yeux. Tout en écoutant de la musique puissante.
Manger comme des bêtes.
- Manger comme des bêtes
En route vers le nouveau Las Vegas sur la planète Rouge.
Vendant nos vêtements de mode sur un “marché aux puces” façon Star Wars.
Faisant des tonnes d'argent.
-
Et puis dormir sous les étoiles.
Chacune d'elles scintillant au rythme de nos cœurs.
Nos visages regardant la Voie lactée.
Dormant sur un long lit à l'intérieur de notre camping-car.
Une très très confortable nuit.
Parlant de toutes les choses que nous pouvons créer ensemble.
Jusqu'à ce que nous nous endormions confortablement !
Nos deux bras enlacés comme deux serpents amoureux.
:):):)
-
Nous pouvons continuer cette histoire ensemble quand le moment viendra !
Avec la moitié de ton esprit et la moitié du mien !
❤ ❤ ❤ Je te souhaite une bonne nuit ❤ ❤ ❤
Je sais que je l'ai déjà dit.
Mais…
Nous sommes exactement les mêmes. ❤
C'est pourquoi je n'ai pas peur d'écrire ces textes.
Tu es la première fille à avoir plongé dans mon cœur comme ça.
Qui suis-je… Si je ne saisis pas cette chance !?!
Si je ne te parle pas à nouveau ?
Je n'ai rien à perdre.
Je sais déjà que nous sommes faits l'un pour l'autre.
Je plongerai dans ton cœur tôt ou tard.
La patience est une vertu ! 😉
Et je sais que tu es patiente !
Ne prête pas attention à tous les gens négatifs lorsque tu cherches des réponses.
Je t'aime ! Et j'étais amoureux de toi dès la première fois que je t'ai vue.
Je me souviens de ton visage et tes grosses joues❤
Je pense à ce moment chaque nuit dans ma tête, depuis que tu as ouvert ton cœur au mien. Ce soir là.
❤ Nuit.
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Sur la scène du grand palais,
Les costumes colorés s’animent,
Portés par la musique vibrante
Des beaux chants diphoniques
Qui rythment les danses biyelgees.
Les paysages défilent doucement,
Le désert aux grandes dunes,
Puis les vastes steppes vertes,
Et les montagnes rocheuses.
Les grandes troupes de chevaux,
De vaches, de chèvres, de moutons.
Tout raconte l’histoire d’un voyage.
Dans un pays immense et authentique.
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« L'authenticité, c'est d'être le même à travers toutes les situations, un projet unique. » Jean-Paul Sartre
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Entre le XVIe et le XVIIIe siècle, Alger a participé à la traite des esclaves barbaresques, qui consistait à capturer des Européens et à les vendre comme esclaves en Afrique du Nord
Une partie du caractère algérien est qu'ils sont formels et polis et n'apprécient pas les conversations directes et franches. Faits sur Alger.
Certaines des plus grandes dunes de sable du monde se trouvent à Alger. Le sable d'Isouan-n-Tiferninsky est marin, a des dunes d'une hauteur estimée à 465 mètres et d'une longueur de 5 kilomètres.
Le parc national de Tassilly à Alger abrite de l'art rupestre préhistorique et des sites archéologiques néolithiques.
De tous les pays africains, l'Algérie a le coût de la vie le plus élevé.
Prix Nobel de littérature, Albert Camus est né ici.
La monnaie utilisée en Algérie est le dinar algérien.
Lors de la colonisation française de l'Algérie, elle est devenue l'un des plus gros exportateurs de vin français !
Les couleurs du drapeau algérien reflètent la foi de l'Islam (vert), la pureté (blanc) et le sang versé pour gagner l'indépendance (rouge).
Les jardins botaniques du Hamma à Alger, où la scène de Tarzan faisant sa visite à la marque avant de sauver Jane a été filmée pour le film noir et blanc original de 1932.
La plus haute montagne d'Algérie est le mont Tahat dans les monts Ahaggar.
L'équipe nationale de football est surnommée Les Fennics, du nom du Fennic Fox, l'animal national.
L'équipe nationale de football est surnommée Les Fennics, du nom du Fennic Fox, l'animal national.
L'un des fondateurs du christianisme, saint Augustin d'Hippone (354-430), est né à Tagaste (aujourd'hui souk Aras) à Alger.
#voyage#lesvues#pays#apprendlemonde#temps#bonjourvoyage#repos#joie#plaisir#environnementinconnu#faitsintéressants#finaguide
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SAMEDI 25 MAI 2024 (Billet 1 / 5)
« LE WADI RUM »
Nous faisons suivre à Diane (H. de S.) ces photos prises par notre belle-sœur Françoise durant son circuit en Jordanie. Non seulement nous les avons trouvées très réussies mais surtout c’est très gentil de sa part de penser à Diane qui souhaiterait tellement visiter ce désert.
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Merci pour le Blog de ce matin qui a agrémenté mon petit déjeuner. Il y a une semaine, je débarquais chez vous…
Pour Diane (du Blog) : le désert de Wadi Rum.
Excellente journée et gros bisous.
Françoise (de G.)
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Quelques précisions intéressantes trouvées sur le Net :
Le « Wadi Rum » est une vallée désertique comportant des canyons, des arches naturelles, des falaises et des grottes, située au sud de l'Arabah en Jordanie. Il a été inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 2011 en tant que « bien mixte naturel et culturel ».
L'armée arabe de Laurence d'Arabie y passa à l'été 1917 avant de lancer son attaque sur Aqaba.
La vallée a été le lieu de tournage de nombreux films, pour des scènes de désert ou pour les paysages martiens de films de science-fiction :
Lawrence d’Arabie, 1962, certaines scènes se passant à Wadi Rum y furent tournées ;
Planète rouge, 2000 ;
Passion in the Desert, 1998 ;
Transformers 2, pour figurer l'Égypte ;
Prometheus, figurant la planète des Aliens ;
The Last Days on Mars, 2013 ;
Seul sur Mars, 2015 ;
Aladdin, 2019 ;
Star Wars, épisode IX : L'Ascension de Skywalker, 2019 ;
Dune, 2020.
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[VOIR] — Dune 2 Deuxième Partie en Streaming VF/VO VOSTFR
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Dune : Deuxième partie (Dune: Part Two) est un film de science-fiction américano-canadien coécrit et réalisé par Denis Villeneuve, sorti en 2024.
Il s'agit de l'adaptation du roman Dune de Frank Herbert et de la suite de Dune, première partie du même réalisateur, sorti en 2021.
Paul Atréides, seul survivant avec sa mère de la Maison Atréides, se joint au peuple autochtone et réprouvé d'Arrakis, les Fremen, tout en fomentant sa revanche contre ceux qui ont assassiné son père et détruit sa famille. Alors qu'il doit faire un choix entre son amour pour la Fremen Chani et l'accomplissement de sa vengeance, il essaiera de tout faire pour reconquérir le pouvoir sans déclencher une abominable guerre sainte que ses visions du futur lui révèlent.
Il sera diffusé au cinéma dans certains pays, peu de temps avant une diffusion mondiale sur Apple TV+.
Un groupe d'animaux animatroniques interprète des chansons pour enfants le jour et fait des razzias meurtrières la nuit. Adaptation du jeu vidéo """"Dune 2 Deuxième Partie"""", au croisement du Survival Horror - action - stratégie
Les critiques du film Dune 2 Deuxième Partie sont mitigées. Certains critiques ont apprécié l'atmosphère tendue et les jumpscares efficaces, tandis que d'autres ont trouvé le film décevant, notamment en raison de son scénario prévisible et de ses personnages peu développés.
Voici quelques critiques positives du film :
SensCritique : ""Un bon film d'horreur, qui respecte l'esprit de la série de jeux vidéo. L'atmosphère est tendue et les jumpscares sont efficaces.""
AlloCiné : ""Un film qui saura plaire aux fans de la série de jeux vidéo, mais aussi aux amateurs de films d'horreur en général.""
YouTube : ""Un film d'horreur efficace, qui sait créer une atmosphère tendue et angoissante.""
Voici quelques critiques négatives du film :
SensCritique : ""Un film d'horreur décevant, avec un scénario prévisible et des personnages peu développés.""
AlloCiné : ""Un film qui manque d'originalité et qui ne parvient pas à renouveler le genre de l'horreur.""
YouTube : ""Un film d'horreur médiocre, qui ne fait que reprendre les clichés du genre.""
Dans l'ensemble, les critiques du film Dune 2 Deuxième Partie sont mitigées. Le film a été apprécié par certains critiques pour son atmosphère tendue et ses jumpscares efficaces, mais d'autres critiques l'ont trouvé décevant, notamment en raison de son scénario prévisible et de ses personnages peu développés.
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Scène 5 "Une femme mure sur la plage"
L'heure de mon rdv tant attendu avec Julie approchait, j'enfilais rapidement un tee shirt propre, mon bermuda en jean, bourrait ma serviette de plage dans mon sac à dos et m'apprêtait à partir. Il était 18h50, je décidais de rejoindre la plage à vélo quand j'entendis la voiture de mes parents dans le jardin, j'allais être en retard si je m'attardais à discuter avec eux. Il était presque 19h quand je pu enfin enfourcher mon vélo pour rejoindre Julie sur la plage. Mes parents s'étaient étonnés que je parte me baigner si tard, je sentais qu'ils auraient aimé qu'on passe toute la soirée ensemble avant leur départ. Je m'en voulais un peu de les abandonner aussi rapidement, je m'en sortais en leur promettant de rentrer tôt pour profiter de la soirée avec eux avant leur départ demain matin.
Je pédalais comme un dératé, je ne voulais pas faire attendre cette femme pour qui je ressentais beaucoup de respect. Quand j'arrivais sur le parking de la plage, il était presque 19h10, au moment où j'attachais mon vélo je réalisais que j'avais mis un boxer sous mon bermuda et que dans la précipitation j'avais oublié de prendre un maillot de bain. Une bouffé de chaleur m'envahit aussitôt quand je montais la dune pour rejoindre la plage où j'espérais trouver Julie malgré le monde qui devait se trouver sur la plage à cette heure, le parking était encore rempli de voitures. Il faisait bon, le soleil était agréable, les touristes arrivés le we précédent profitaient encore des derniers rayons de soleil.
Arrivé au sommet de la dune, je jetais un oeil rapide sur notre place habituelle et effectivement, sans être bondée la plage était loin d'être aussi paisible et déserte que le matin à l'heure où je retrouvais Julie, la femme de la plage qui troublait mes pensées depuis ce jour où je l'avais vue seule sur cette plage. Je parcouru du regard les alentours, je vis un bras s'agiter au loin, c'était elle qui me faisait signe j'étais rassuré de la trouver et ressentait une certaine fierté de ce signe de la main comme si elle surveillait mon arrivée tardive. Elle était assise sur sa serviette, tournée vers la dune, un peu en retrait des touristes encore tassés au bord de l'eau. Un homme se tenait debout proche d'elle, ils semblait lui parler quand il se retourna vers moi pour savoir à qui s'adressaient ses gestes. Je répondis à son signe le sourire aux lèvres. Je marchais dans sa direction, l'homme se tourna vers moi avant de s'adresser à Julie et tournait le dos en s'éloignant sans qu'elle ne semble y prêter attention. Je le suivais du regard en le voyant s'éloigner et rejoindre une serviette étalée à moins de 20 mètres de Julie qui était visiblement installée depuis un moment, son livre ouvert, posé sur sa serviette indiquait qu'elle devait être en pleine lecture avant d'être interrompue par cet homme mystérieux, un homme de la 50aine, une connaissance peut être ou un homme indélicat qui venait contrarier la tranquillité que j'espérais.
Julie se leva au moment où j'arrivai, elle jeta rapidement un oeil vers l'homme qui la regardait ouvertement, elle avait une expression fermée. Je voulais m'excuser pour mon retard mais avant que j'ouvre la bouche, elle me dit
« Si ça ne te dérange pas Titouan, je préfère m'installer ailleurs ! » elle commençait à rassembler ses affaires en les mettant en vrac dans son panier de plage, je la sentais presque agacée, ces gestes étaient saccadés et nerveux.
"Oui bien sur on peut bouger, il y a un problème ?" comprenant que son comportement était lié à la présence de cet homme qui nous observait sans quitter Julie du regard
Elle ne répondit pas mais je la sentais perturbées et mal à l'aise. Je préférais ne pas insister et attendre qu'elle me dise ce qui se passait. Je tournais la tête vers l'homme qui ne quittait pas Julie des yeux, son expression et son sourire en coin me faisait comprendre qu'il ne devait pas connaitre Julie et que ses intentions étaient plutôt celles d'un dragueur de plage qui profitait de ses vacances pour aborder les femmes seules. Sur le coup j'avais presque envi d'aller le trouver pour le remettre à sa place mais je me résignais pour ne pas gâcher ce rdv avec Julie et puis je ne savais pas ce qui s'était passé.
"C'est cet homme qui vous fait fuir Julie ?" dis-je naïvement une fois qu'elle pris son panier après avoir noué sa serviette autour de sa poitrine comme si elle voulait cacher la moindre nudité de son corps
"Viens Titouan, on va plus loin si tu veux bien !" et elle pris mon bras comme si elle cherchait une protection pour fuir cet homme
"que s'est-il passé ? cet homme vous a importuné ?"
Au bout de quelques mètres, Julie soupira de soulagement "Ah décidément je préfère la tranquillité matinale de la plage. Je ne connais pas cet homme, il est venu s'installer à côté de moi, je venais à peine d’arriver, je savais pas comment m'en défaire, heureusement que tu es arrivé !"
"Oh je comprend ! désolé d'être arrivé en retard Julie, on va s'installer plus loin alors"
"J'ai passé une journée difficile à me débattre avec des coups de fil pour la succession de mes parents, j'avais vraiment pas besoin d'être la proie d'un dragueur de plage, tu me sauves Titouan" elle se mit à rire nerveusement, visiblement perturbée par cet épisode mais je la sentais se détendre au fur et à mesure qu'on s'éloignait
Je me retournais pour voir si cet homme nous suivait du regard, elle avait sa main sur mon bras, me voyant me retourner elle me serra en enfonçant ses doigts, je sentais ses ongles serrer mon avant-bras
"Ne te retourne pas surtout ! j'ai pas envie qu'il nous suive", elle se tourna vers moi, passa sa main dans mes cheveux d'une manière maternelle après avoir lâché mon bras comme si elle voulait montrer à cet homme qui devait nous suivre du regard, qu'on était proche et intime
Je ne savais plus quoi dire, j'étais troublé par ce geste et la familiarité qu'elle me montrait soudainement même si je devinais qu'elle faisait ça à cause de cet homme qui nous regardait nous éloigner
"Tu es arrivé à temps Titouan ! en me voyant te faire un signe il a compris que j'attendais quelqu'un", ajouta t'elle pudiquement
"Il t'a pris pour mon fils" dit-elle comme si elle voulait se justifier d'une faute avouée et montrer qu'elle n'était pas genre à se faire aborder par un inconnu en mal de femme
"Ah d'accord ! je comprend et ca faisait longtemps qu'il vous importunait", voulant jouer le rôle du fils modèle je pris son panier pour la soulager, tel un fils attentionné pour sa mère
"Merci Titouan ! c'est délicat de ta part" dit-elle en se tournant vers moi. Elle avait retrouvé ce sourire que je lui connaissais, je sentais dans son expression la complicité de ce secret partagé grâce à cet opportuniste maladroit. L'idée de passer pour son fils me réjouissait comme si ce lien donnait une légitimité à de petites attentions et cette femme mure se faisant passer pour ma mère aux yeux de cet homme et peut-être d'autres hommes, me provoquait une sensation agréable
On marchait en se rapprochant du bord de l'eau à la recherche d'un endroit calme et hors de portée de cet homme mais il y avait encore du monde comme si les gens n'avait aucune compassion pour notre désir de tranquillité.
"J'ai envie de marcher un peu ! mon panier n'est pas trop lourd ? " dit-elle presque par dépit
"Oh non pas du tout Julie, ca me va très bien aussi de marcher, d'autant plus que j'ai amené ma serviette de plage mais j'ai oublié de prendre mon maillot"
"Ah tu ne peux pas te baigner alors !"
"J'ai quand même un boxer sous mon bermuda"
" je t'aurai prêté un maillot de bain sinon, j'en prends toujours un de rechange au cas où" répondit-elle en riant comme si elle m'imaginait déjà dans un de ses maillots
"Merci Julie, je peux quand même me baigner en boxer ou sans rien si c'est pas au milieu de la foule" je tournais la tête vers elle comme pour voir sa réaction
"Tu fais du naturisme parfois Titouan ?"
"Pas spécialement non mais ça m'est déjà arrivé de me baigner sans rien sur la côte sauvage, vous connaissez ces plages ?"
"Non j'en ai entendu parler mais je n'y suis jamais allée, c'est où ?
"C'est pas très loin, vers le nord mais sans voiture c'est compliqué et il faut traverser la forêt de pins à pied avant de retrouver la côte. Ca fait longtemps que je n'y suis pas allé mais je n'y ai jamais vu personne, c'est tellement étendu qu'on a peu de chance de croiser des gens et les touristes ne s'aventurent pas là-bas, à part quelques rares pêcheurs il n'y a jamais personne"
"Ce doit être bien agréable comme endroit et surement très sauvage encore"
"J'aurai eu une voiture je vous aurai amené si vous avez envie de découvrir. C'est vrai c'est agréable il n'y a personne pas besoin de maillot, c'est tellement plus agréable de se baigner sans rien, on a une sensation de liberté"
Elle se mit à rire en me regardant "C'est l'endroit que j'imaginais agréable plutôt que de me baigner nue mais tu as raison sans doute, ce doit être agréable de pouvoir se baigner sans rien"
Je ne voulais pas profiter de cette perche tendue pour ne pas passer pour le dragueur de base surtout après l'épisode de cet homme qu'elle jugeait grossier et sans délicatesse. Nous avions marché plus d'une 1/2h avant de rebrousser chemin. On faisait connaissance tout en discutant de choses et d'autres, j'avais appris des choses sur cette femme qui se confiait, par moment elle s'excusait de parler d'elle mais j'étais curieux et m'intéressait à elle, elle semblait apprécier l'intérêt que je lui portais et se livrait spontanément
J'avais appris que j'avais l'âge de son plus jeune fils et compris à demi mot qu'elle était séparée, seule depuis presque 2 ans. Sans vouloir creuser ce sujet encore délicat, elle m'avait confié qu'elle avait perdu son père il y a moins d'un mois, peu de temps après la disparition de sa mère qui était décédée en début d'année. Je sentais qu'elle avait besoin de parler, de s'épancher et je me réjouissais à l'idée de devenir une sorte de confident malgré mon jeune âge pour elle.
Je repensais à chaque instant de ce moment passé avec elle. J'étais remonté dans ma chambre après le diner avec mes parents. Nous avions marché plus d'une heure avant de nous quitter et finalement sans nous être baigné. Nous n'avions fait que parler, tout en marchant tranquillement au bord de l'eau sans se soucier des gens qui petit à petit quittaient la plage. Je repensais à ces échanges, ce qu'elle m'avait raconté, ces gestes familiers qu'elle avait eu à cause de cet homme et sa présence toute proche à mes côtés pendant qu'on marchait, l'effleurement de son bras qui touchait le mien par moment. Et cet instant troublant où elle s'était arrêtée pour enlever sa serviette avant de remettre sa tunique par dessus son maillot, elle avait replacé machinalement sa poitrine mature et généreuse dans les bonnets de son maillot avant de l'envelopper sous sa tunique, celle là était blanche et tout autant transparente que celle qu'elle portait le matin même
J'ai encore l'image de sa main prenant son sein pour le replacer et son regard amusé quand elle s'aperçut que j'étais resté médusé par son geste, la bouche ouverte et sans doute une expression béate. J'en avais rougis elle avait remarqué ma gêne, sans rien dire elle avait posé son doigt sur mon nez en le repoussant comme pour me réprimander gentiment après avoir fait une bêtise.
Il était 23h30, j'étais dans ma chambre peu après mes parents qui voulaient se coucher tôt pour prendre la route le matin avant le flot des touristes. J'étais tout nu sur mon lit, en repensant à ce moment avec cette femme mure, cette femme qui se justifiait en se faisant passer pour ma mère, nos échanges, ses confidences, sa main me prenant le bras, les effleurements en marchant et cette petite tape sur le nez, tout ça me provoquait une sensation troublante, au point de provoquer mon sexe qui se tendait tout seul pour elle. Rien de que repenser à ces moments que je considérais intimes, ca me faisait un effet immédiat au point de caresser mon sexe tout en réalisant que je commençais à me masturber pour la 3ème fois de la journée pour cette femme avec qui je construisais une relation singulière. Pour la 1ère fois de ma vie, je sentais que je touchais ce fantasme du doigt et ressentais cette intimité qui me troublait tant.
Je me caressais en fermant les yeux, revivant ces instants, cette ambiance, je revoyais sa main prendre son sein pour le replacer dans son bonnet, mon regard perplexe et son air amusé quand elle s'aperçut que je la regardais faire, et puis ce moment où nous nous sommes quitté devant mon vélo. Elle s'excusant de m'avoir fait passer pour son fils et moi profitant de cette opportunité pour lui avouer ma fierté et mon plaisir d'avoir une telle maman. Elle affichait un large sourire en m'écoutant et m'avait quitté en passant sa main sur ma joue en me remerciant pour cette promenade qui lui avait fait beaucoup de bien.
Je fermais les yeux en savourant l'instant, je me masturbais lentement sans me soucier du reste quand je sentis les vibrations de mon portable qui était posé sur le matelas, j'en sursautais et interrompait ma masturbation immédiatement en prenant mon portable. La notification affichait le début d'un sms, l'ayant enregistré plus tôt dans l'après-midi, pour la 1ère fois je pouvais lire Julie, elle pensait forcement à moi en m'écrivant ce message tardif au moment même où je me masturbais en rêvant d'elle ...
A suivre ... (Scène 6 le 25 mars 2024 à 6h00)
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