Tumgik
#sacrement des malades
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Haaa, et une Annette très heureuse parceque Tumblr a décidé de supprimer son post parcequ'une vidéo n'était pas tolérée \o/ mais comme je vous aime, on recommence !
Je disais donc, après avoir réussi à rentrer en rampant de ce très beau lac (même qu'on est parties grâce à MON grab Madame Dr Rathatton, tu vois que je suis pas tellement si particulièrement perfide), et parceque l'explosion culinaire du midi ne nous a pas servie de leçon (le voyage développe des tas de pulsion masochistes chez nous apparemment), nous sommes parties pour un marathon de destruction de système digestif. Aussi appelé cours de cuisine pour les initiés.
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Donc ce machin (qui fait la taille de notre avant bras, au cas où vous auriez du mal à déchiffrer cette photo si incroyablement bien cadrée) c'était la portion d'une personne (sans le riz qui était à côté bien sûr).
Nous partons donc gaiement vers le marché, où nous découvrons les ingredients que nous utiliserons de 16h à 21h (quand on parle nourriture, ici on ne rigole pas). On en profite pour faire un tour rapide sur le marché, apprécier les conditions d'hygiène locales, et se demander comment nous avons fait pour ne pas avoir de problèmes gastriques depuis notre arrivée.
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Aide au décodage, ceci un étal de viande (sans glace, c'est pour les faibles) par 25°, avec des balais accrochés au bout de ventilateurs pour faire fuir les mouches. L.O.L.
Son copain d'à côté vendait par contre ses poissons très frais, puisqu'ils bougeaient encore en suffoquant sur son étal jusqu'à ce qu'il leur ÉCLATE LA TETE AVANT DE LES ÉCAILLER ENCORE PLUS OU MOINS VIVANTS. Aheum. Pardon.
En route ensuite dans un très joli environnement pour faire nos 6 plats avec Aoy (qui se prononce "Oï", "comme quand vous voulez appeler un marchand à la sauvette dans la rue" selon ses dires)
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On fera donc une entrée, un plat de soupe, un plat de pâtes, un dessert, et un curry ! (Pâte de curry faite maison bien sûr) ... Et petit détail, on mange tout sur place \o/
Au vu de la quantité d'huile nécessaire pour éviter que les plats ne brûlent (les woks en aluminium accrochent plus qu'un bigorneau sur son rocher à marée basse), nous pouvons donc vous confirmer que les thaïlandais sont très forts pour faire semblant que leurs plats sont sains (oooh, plein de vert, que de légumes! Oooh, tiens, du basilic frit!).
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Pad Thai et soupe de poulet à la coco
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Curry à la cacahouète (mon estomac, bien qu'ayant depuis subi le sacrement des malades, bave en y repensant)
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Dr Rathatton et sa salade de papaye, votre chère et tendre et des rouleaux de printemps (frits, on vous a dit qu'ils aimaient l'huile !). Même que je suis trop forte en origami.
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Un autre curry avec des pâtes aux oeufs frites (tiens, un autre pattern. C'est presque des maîtres mots de la Thaïlande quand on y pense)
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Et notre équipe de choc !
Notre pauvre prof s'est pris une giclée de sauce aux huîtres dans la figure, l'un des participants lui a décapité une cuillère, et notre manque de résistance au piment nous a valu un regard de chat dépressif devant une tranche de pain sans poisson, mais elle était vraiment super ! "Please, less emotion" (selon elle, on cuisine soit avec nos émotions, soit avec des quantités précises) 🤣
Et en bonus, un petit livre avec toutes les recettes et les étapes, très bien fait, qui permet que nos neurones en PLS se concentrent sur notre tractus digestif en souffrance plutôt que sur les recettes en elles mêmes. On vous fera un peu rêver les papilles à notre retour en France 🥰
Bizouuuuux
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paroissedemartigues · 3 months
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verite-jesus-libre · 10 months
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Le sacrement des malades, à demander pour tous ! Recevez une force !
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7 janvier 1873 : naissance de l'écrivain Charles Péguy.
Charles Péguy, l'écrivain mystique français, nait à Orléans. D'origine paysanne, étudiant boursier de Normale Sup, il est d'abord très proche des socialistes de Jaurès, dont il rejette rapidement les idées pacifistes.
Intransigeant et d'une prose toujours engagée et polémique, il crée les "Cahiers de la Quinzaine" en 1900, où sont débattues les grandes questions de l'époque. En juin 1912, son fils, Pierre, tombe gravement malade. Péguy fait un vœu et va en pèlerinage à Chartres.
« Mon vieux, écrit-il à Lotte, j'ai senti que c'était grave… J'ai fait un pèlerinage à Chartres… J'ai fait 144 km en trois jours… On voit le clocher de Chartres à 17 km sur la plaine… Dès que je l'ai vu, ça a été une extase. Je ne sentais plus rien, ni la fatigue, ni mes pieds. Toutes mes impuretés sont tombées d'un seul coup, j'étais un autre homme. J'ai prié une heure dans la cathédrale le samedi soir; j'ai prié une heure le dimanche matin avant la grand-messe… J'ai prié comme je n'avais jamais prié, j'ai pu prier pour mes ennemis… Mon gosse est sauvé, je les ai donnés tous trois à Notre-Dame. Moi, je ne peux pas m'occuper de tout… Mes petits ne sont pas baptisés. A la Sainte Vierge de s'en occuper. »
Désormais sa foi est assurée, mais il n'a pas pleinement retrouvé le repos. Il n'était pas marié religieusement, sa femme et ses enfants n'étaient pas baptisés, et lui-même ne s'approchait pas des sacrements et n'allait pas à la messe.
À ses amis qui insistent pour le décider à faire un pas en avant, il confie: « Je prie sans cesse et, malgré cela, je suis horriblement malheureux. »
Sa femme entendait ne pas se faire baptiser et refusait de le suivre dans son évolution religieuse. Or, Péguy ne veut pas se sauver seul. « Il faut se sauver ensemble, il faut arriver ensemble chez le bon Dieu. Il faut se présenter ensemble, il ne faut pas arriver à trouver le Bon Dieu les uns sans les autres. Il faudra revenir tous ensemble dans la maison de Notre Père. »
Tout au long des rues de Paris, il récite des Ave Maria : « Derrière la flotte des Pater, je vois la deuxième flotte, l'innombrable flotte des Ave Maria… Et tous ces Ave Maria, et toutes ces prières de la Vierge, sont de blanches caravelles humblement couchées, sous les voiles, au ras de l'eau. »
La femme de Péguy acceptera le baptême, un an après la mort de son ami Lotte. Trois semaines avant, le 19 août 1914, Péguy assiste à la messe. La veille de sa mort, le 4 septembre, il dépose des fleurs au pied d'une statue de la Vierge, dans une petite chapelle de Montmélian. Le lendemain, frappé d'une balle au front, il donne sa vie pour la France.
Tiré de- La Médaille Miraculeuse, N°65
Fervent patriote, il est tué, dans les premières heures de la guerre, sur le front, à Villeroy, le 5 septembre 1914.
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Quand le père Gratien, prieur de l’hôpital Notre-Dame de Condom, distillait du rhum…
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Quand le père Gratien, prieur de l’hôpital Notre-Dame de Condom, distillait du rhum… Article paru initialement dans le Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Gers n°405, troisième trimestre 2012, p. 399-419 Par Jean-Louis DONNADIEU « C’est partout que son zèle, son activité et son intelligence démontrent l’homme éclairé, fait pour les affaires, en développer le tissu et en mériter les succès ; on doit dire de lui que sa vigilance embrasse à la fois tous les détails dans la maison qu’il gouverne et que rien ne peut l’arrêter dans la course, lorsqu’il est question de faire le bien. Il sait aussi par sa douceur naturelle ainsi que par ses bons offices auprès des malheureux se rendre précieux à l’humanité et les qualités de son cœur et ses vertus le font choisir de ceux avec lesquels il est uni par les liens de la société ». C’est ainsi que s’exprime, le 28 mars 1787, le père Romuald Vincent, Provincial de l’ordre des Pères de la Charité, alors en visite à Condom, pour faire l’éloge du père Gratien Bourjot, nommé vicaire supérieur du couvent hôpital Notre-Dame de Piété de la Charité depuis le 1er janvier de la même année. Le Provincial sait de quoi il parle, car celui qui est désormais à la tête de l’hôpital de Condom est un personnage entreprenant, qui a fait montre de talents de gestionnaire, de bâtisseur et d’homme d’affaires… aux colonies. Gratien Bourjot a en effet derrière lui une longue expérience des îles et est arrivé en Gascogne avec de nombreux papiers personnels qui en témoignent. À leur examen, on s’aperçoit que son itinéraire n’est pas sans conséquence pour la filière du rhum à la Martinique. Qui est donc ce singulier clerc, qu’a-t-il donc fait pour recevoir des éloges qui ne sont pas de pure forme ? À l’hôpital Saint Jean-Baptiste de Saint-Pierre           Gratien Bourjot est né en 1728 à la Ferté-Gaucher (bourgade non loin de Provins, en région parisienne, dans l’actuel département de Seine-et-Marne). À l’âge de 27 ans (nous sommes en 1755) il prononce ses vœux de religieux, entrant dans l’ordre des Pères de la Charité – fondé au XVIe siècle par le Portugais Saint Jean-de-Dieu – dont la vocation est de s’occuper des malades. Gratien Bourjot reste en France quelques années mais a dû suffisamment se distinguer pour qu’en 1766 l’ordre estime qu’il peut prendre la direction d’un hôpital. Ce sera, en Martinique, l’hôpital Saint Jean-Baptiste, sis dans la ville de Saint-Pierre. Alors peuplée d’environ 3 000 Blancs, Saint-Pierre est l’une des cités les plus en vue de la Caraïbe, dévolue au négoce, aux échanges, se piquant d’élégance et de théâtre, le « Paris des îles » selon le mot du marquis de Caylus, un ancien gouverneur des Îles du Vent.           Vue de la mer, la ville de Saint-Pierre s’étend en longueur le long du littoral, au pied de la massive silhouette de la Montagne Pelée. Sur la gauche, au nord, se trouve le quartier du Fort – il y a une garnison présente – et, après le bourg central, on voit sur la droite le quartier du Mouillage, le plus commerçant, là où se situe l’hôpital. Un très grave incendie l’avait détruit en 1738, et il avait fallu pratiquement une vingtaine d’années pour que l’hôpital Saint Jean-Baptiste puisse de nouveau avoir fière allure et fonctionner correctement. C’est d’une situation stimulante qu’hérite Gratien Bourjot quand, le 21 novembre 1766, le père Edmond Lefebvre, vicaire supérieur en partance, lui transmet les bilans comptables. L’hôpital a trois missions à remplir : religieuse, hospitalière et de production. Financièrement la situation est saine. Concrètement, le domaine sur lequel va s’étendre l’autorité du Père Gratien, comme on l’appelle, consiste en l’hôpital lui-même et ses nombreuses dépendances : des maisons en ville et des terres plus à l’intérieur de l’île, dont – depuis 1714 – une habitation sucrerie dite Trou Vaillant, à seulement un quart de lieue de l’hôpital. Affectés à l’ensemble du service on compte alors 158 esclaves, l’Eglise les considérant comme autant d’âmes à instruire dans la religion chrétienne et n’ayant donc pas condamné la traite négrière ni l’esclavage pour cette raison. De plus, Edmond Lefebvre transmet au père Gratien un « coup » commercial destiné à garantir des ressources : versé dans la chimie, il s’était lancé dans la distillation d’un tafia fin (rhum) et, l’année précédant l’arrivée du père Gratien, vendait ses premières barriques aux colons anglais de la Nouvelle-Angleterre, sous un nom de marque auquel cette clientèle était sensible et appelé à une belle fortune : Saint James. Au père Gratien désormais de prendre le relais. Notre religieux va s’y atteler avec détermination.           Les papiers que, bien plus tard, il va ramener à Condom, sont précieux car ils témoignent de onze ans d’une gestion solide. Le bon père va, durant toute cette période, apporter nombre d’améliorations aux diverses activités de l’hôpital Saint Jean-Baptiste et nous léguer également un état des lieux extrêmement détaillé à son départ, le 22 novembre 1777. L’activité religieuse           Paradoxalement, c’est l’aspect religieux qui nous échappe le plus. Il faut dire que si une instruction du pape Benoît XIV, datée du 5 octobre 1745, confirme aux pères de la Charité le pouvoir de baptiser, confesser, marier, administrer les sacrements et d’assurer les fonctions curiales, cette décision ne peut prendre effet en terre française car le roi de France n’accorde pas l’autorisation nécessaire à son application. Concrètement, les pères de la Charité n’empiètent donc pas sur le territoire des dominicains, franciscains ou autres jésuites présents aux îles et recentrent donc leur action religieuse autour de leur hôpital.           Combien sont-ils à Saint-Pierre ? On ne le sait avec précision, mais l’inventaire de 1777 indique que la maison conventuelle possède huit chambres individuelles. Sont-elles pour autant toutes occupées ? On ne sait. Une étude nous indique que sur l’ensemble des hôpitaux gérés par l’ordre de la Charité, tant dans le royaume qu’aux colonies, on trouve en moyenne six ecclésiastiques par établissement. C’est peu de toute façon face aux multiples tâches à assurer. Le service religieux pour sa part consiste en une grand’messe dominicale, en une messe basse chaque lundi et quelques messes de requiem à des fins particulières, à des moments bien précis de l’année. Bien sûr il y a l’assistance aux malades (mais il faut signaler l’intervention d’un aumônier extérieur) et l’instruction religieuse des esclaves. Quant aux « améliorations » à caractère religieux que contient le bilan comptable du père Gratien, elles consistent principalement en la construction d’une nouvelle chapelle, à quoi s’ajoutent quelques dépenses annexes : grille de fer forgé dite « grille de communion » installée dans cette chapelle, agrandissement du cimetière des religieux et acquisition de quelques objets de culte (croix d’autel, croix de procession, aubes et nappes d’autel, chandeliers…). L’activité hospitalière et ses moyens L’hôpital consiste d’abord en un grand corps de bâtiment avec deux grandes salles de 24 fenêtres chacune, la salle Saint Jean-Baptiste pouvant contenir 90 lits « à un seul malade » et la Salle de la Vierge 92, soit une capacité d’accueil de 182 personnes (entendre : marins, matelots et autres sans grades, l’hôpital ayant d’abord un rôle militaire mais étant cependant aussi ouvert aux civils). À cela il convient d’ajouter 9 chambres réservées aux officiers, dans deux pavillons indépendants, ce qui porte la capacité à 191 personnes, le père Gratien indiquant par ailleurs que l’hôpital accueille journellement une moyenne de 40 malades, malheureusement sans indication d’origine sociale ni de pathologies. Attenant à ces locaux se trouvent une garde-robe, la chapelle des morts (avec un cimetière d’un demi-carré de superficie, soit 0,65 hectare), la nouvelle chapelle, la salle de chirurgie (soit le dispensaire) et l’apothicairerie. Passer en revue les 402 « drogues » répertoriées revient à établir un inventaire à la Prévert, allant des simples (gentiane, camomille, sureau, orge…) à l’intrigant « emplâtre divin », en passant par le jus de réglisse noir, l’esprit de vin, l’eau de rose ou les pastilles de souffre. Si bien que, la médecine de l’époque ayant les limites que l’on sait, « il s’agissait en fait beaucoup plus de se prémunir, de prévenir plutôt que de guérir ou même de pouvoir le faire ». Existe une petite bibliothèque, contenant une dizaine de titres : des traités médicaux ou de pharmacie, mais aussi un traité de navigation. À noter qu’existe aussi un « hôpital des nègres et négresses », bien grand mot pour un petit local avec seulement « un lit de camp pour coucher les nègres ».           Dans la maison conventuelle, outre les chambres des pères, se trouvent un réfectoire, une cuisine, une forge, une « dépense » (c’est-à-dire le local occupé par le père dépensier, c’est-à-dire intendant, chargé des comptes et des approvisionnements et qui a deux esclaves à son service). Une sorte de convention (dite « soumission ») passée en 1765 entre l’Ordre des pères de la Charité et le ministre de la Marine, soumission renouvelée en 1772, indique qu’une livre de viande doit être servie quotidiennement par malade (une livre et demie pour un officier), une volaille par dix malades (une pour quatre officiers), ainsi qu’une chopine de vin de Bordeaux ou de Toulon (ce qui explique que le cellier soit bien pourvu en barriques de vin). À la buanderie pour les religieux s’ajoute une buanderie pour le linge des malades ; s’évertuent à des tâches de nettoyage et raccommodage 15 femmes esclaves, soit 5 blanchisseuses et 10 couturières. Le règlement indique que les religieux pansent eux-mêmes les militaires, les « nègres instruits » ne devant que servir d’auxiliaires. Si le doute a longtemps plané quant au statut de ces « nègres instruits », les papiers du père Gratien le lèvent ; il s’agit bien d’esclaves, clairement affectés au service hospitalier : 2 chirurgiens, 3 apothicaires, 12 infirmiers – dont un spécialement pour les officiers. Mais des soins aux civils ne sont pas exclus et on peut signaler un vieil homme, Félix (68 ans), explicitement qualifié de « sage-femme ». Parmi les qualifications annexes de l’hôpital, outre les 2 esclaves affectés à la dépense, on relève 4 cuisiniers, 1 boucher, 2 matelassiers, 1 confiturière, 1 forgeron et 1 « chasseur de rats » qui doit probablement surveiller les celliers et greniers et, indirectement, empêcher qu’un trop grand nombre de rongeurs ne propage de maladies. Une femme esclave est dite « provisionnaire » et une autre « ménagère ». Par ailleurs on sait qu’il y a 2 esclaves jardiniers pour s’occuper d’un important jardin potager planté en orangers, pommiers d’acajou (anacardiers), grenadiers, cerisiers pays, bananiers, caféiers – 300 pieds – ainsi qu’en diverses plantes et herbes, sans oublier l’existence d’un « jardin des nègres » pour leur nourriture propre, d’un petit poulailler et d’une bananeraie de 1 500 pieds (la fibre du bananier étant utilisée pour la literie des malades). On sait aussi que le personnel servile loge dans douze cases à nègres « fermées par des murs de refend et dans chacune d’elle une cheminée, les dites cases bâties en maçonne, garnies de portes et fenêtres », soit un vrai luxe pour ces esclaves affectés au service des religieux et de l’hôpital (à noter que le vicaire supérieur a un esclave spécialement à son service, un certain François Couliquant).           L’examen des comptes permet de trouver plusieurs cadres blancs appointés, qui interviennent en 1777 au moins pour la bonne marche de l’hôpital : un garçon chirurgien, un garçon apothicaire et deux infirmiers. Au passage, signalons aussi l’intervention d’un perruquier, rémunéré pour la façon des barbes et la coupe des cheveux.           Au moment de dresser le bilan de ses onze ans d’administration, le père Gratien indique avoir largement renouvelé le linge (draps, couvertures, robes de chambres, serviettes, nappes), changé un bon quart des lits, renouvelé le laboratoire de chimie, acheté armoires, vaisselle et couverts supplémentaires, des frais représentant près de 10% de ses dépenses totales. Il a aussi effectué d’importants travaux de maçonnerie : un pavillon neuf pour les officiers, une buanderie pour les malades, un réservoir d’eau, un canal de drainage pour éviter que les eaux pluviales descendant du morne ne viennent inonder l’hôpital, divers murs de clôture, l’aménagement de la cage du grand escalier, une grande porte d’entrée avec corps de garde… Ajouté à la chapelle neuve et à d’autres frais engagés sur des biens possédés par l’ordre de la Charité, l’ensemble de cette maçonnerie représente 37% des dépenses qu’il a engagées durant son séjour. Puisque constructions il y a, on n’est pas surpris de trouver, parmi les esclaves, 5 charpentiers, 2 couvreurs, 4 maçons, 1 manœuvre et 5 menuisiers. Mais le religieux de choc a fait plus important encore en stimulant les ressources productives de l’établissement hospitalier. L’activité productive et ses moyens           Outre le paiement des journées de séjour des malades de par l’administration royale, les ressources de l’hôpital sont de plusieurs ordres : les loyers perçus de quelques 27 maisons et magasins possédés en ville – loués principalement à des négociants –, les rentes foncières constituées par des dons de fidèles, les pensions et indemnité du roi et enfin les revenus de la vente des productions propres : sucre, tafia, manioc et charbon.           À l’arrivée du père Gratien dans la colonie, l’hôpital de Saint-Pierre possédait pour ses productions la sucrerie Trou Vaillant et, dans son prolongement, un vaste terrain en « savane » (pâturage) et « bois debout » (autrement dit en forêt) vers le morne Montauban, à une demi-lieue de l’hôpital. En 1777 doivent s’y ajouter un ermitage à Montauban et surtout l’acquisition d’une importante habitation à deux lieues de l’hôpital, à Champflore, de 120 carrés – quasiment 155 hectares – en savane et bois debout, probable extension d’une petite propriété antérieure. Et pour que les activités productrices soient assurées, il a été en outre nécessaire d’acquérir quelques 70 « bêtes à cornes » (bovins) et 9 « bêtes cavalines » supplémentaires, sans oublier 82 autres « têtes d’esclaves ». Sur ce dernier point, rappelons que le Code Noir considère les esclaves comme des biens meubles, comptabilisés dans les registres comme un cheptel humain, à côté du cheptel animal. Comme sur la période 1766-77 15 esclaves sont décédés (mais on ne sait pas de quoi), cela fait un effectif vivant en 1777 de 225 personnes serviles, soit un gain net de 67 individus par rapport à celui présent onze ans plus tôt. L’ensemble de ses dépenses foncières et de « mobilier », à quoi s’ajoute l’achat d’équipements destiné à améliorer la production, représente quasiment la moitié de toutes les dépenses engagées par le père Gratien durant son administration. Autrement dit une considérable dépense d’investissement.           Le fleuron de ces biens fonciers est l’habitation sucrerie Trou Vaillant, dont la bonne marche est confiée à un économe appointé, le sieur Albert. Elle représente 132 carrés de terre (170 hectares) dont un peu plus de 44,5 carrés (58 hectares) sont plantés en cannes à sucre, sur 29 pièces (parcelles) différentes pour faciliter la culture et la coupe. À quoi s’ajoutent les 20 carrés de savanes et 57 carrés en bois debout du lieu-dit Montauban, et 10 carrés (13 hectares) répartis entre l’emprise des divers bâtiments et un « jardin des nègres » de presque 3 carrés – 4 hectares – de manioc, bananiers, choux caraïbes et patate douce. L’inventaire de 1777 donne une description très précise du domaine. Les bâtiments industriels comprennent un moulin à eau pour broyer les cannes, une sucrerie proprement dite (batterie de quatre chaudières en cuivre pour réduire le jus en un sirop épais), une purgerie où est mis à sécher le sucre moulé dans des moules appelés « formes », puis une étuve pour achever de sécher ces formes et obtenir les pains de sucre (brut ou « terré », c’est-à-dire blanchi). Attenante, se trouve une « vinaigrerie », dite aussi « guildiverie », point sensible du complexe puisque c’est là qu’on y distille ce tafia fin qui est la véritable valeur ajoutée du domaine. Existe aussi un moulin à manioc, pour réduire cette racine en une farine destinée à la consommation des esclaves (de l’habitation, mais aussi vendues aux habitations voisines), un atelier de charron et de charpentier. Existent sur le lieu une cinquantaine de cases pour loger les esclaves, « bâties de fourches, en terre clissée, bousillées et couvertes de paille » et il y a aussi, comme souvent, une prison, local en maçonnerie fermé à clé et contenant deux cages de bois « pour renfermer les nègres et négresses délinquants », le document restant muet quant à l’usage éventuel qui a pu en être fait.           Fin 1777, au lieu-dit Montauban, paissent 17 bœufs de « cabrouets » (carrioles) et 17 mulets. On compte une case pour les deux esclaves gardiens de bestiaux. A l’ermitage mitoyen existent deux cases à nègres couvertes en paille.           Quant à l’habitation Champflore, elle est surtout un grand parc à bestiaux (8 équidés, 70 bovins, 18 moutons, 11 cochons et 38 « têtes de volaille » comptabilisés en novembre 1777). Pour les garder, un groupe de 11 esclaves, dont deux infirmes et 3 enfants entre 10 et 12 ans, le tout très probablement mené, et ce de façon inusitée, par une femme, Rachel, « commandeuse du petit atelier », cette population logeant dans trois cases explicitement qualifiées de « mauvaises ». Deux carrés (2,5 hectares) sont mis en culture « pour la nourriture des nègres », et un demi-carré transformé en bananeraie.           Sur l’ensemble, on relève la présence d’un commandeur (chef des travaux), 3 conducteurs de cabrouets, 2 jardiniers, 3 muletiers, 4 raffineurs de sucre et 3 vinaigriers (distillateurs), 1 charbonnier, 2 « gardiens de bananiers » (pour l’entretien mais peut-être aussi pour surveiller le possible chapardage…) et 3 gardiens d’animaux. Sans oublier une vieille femme, Marie-Laurence, « gardienne d’enfants » pendant que les parents sont à la besogne. On ignore s’il y a la présence de cadres blancs autres que l’économe.           Quant aux volumes produits, on ne possède le détail que de la dernière année de présence du père Gratien (plus précisément de décembre 1776 à novembre 1777) : 15 495 formes de sucre, 74 barriques de tafia, 335 barils de farine de manioc et 447 barils de charbon. Passage du flambeau           Telle est donc la situation en ce 22 novembre 1777, quand le père Gratien transmet à son successeur, le père Didime Choppin, l’état des lieux et des instructions sur les prochaines coupes de canne et récolte de manioc. Financièrement, les bilans annuels courant de 1766 à 1776 font état d’un prix de vente moyen des productions de 65 432 livres, face à des dépenses de fonctionnement atteignant en moyenne 29 565 livres, soit une recette nette moyenne de 35 866 livres. Bien sûr, il y a d’importantes fluctuations (1767 année fort maigre, avec seulement 4 482 livres de recettes nettes, 1776 année faste avec 43 803 livres de gain net, soit dix fois plus) mais malheureusement nous n’avons pas de détails permettant d’expliquer de telles variations (mauvaises récoltes, méventes, variations des cours ?). Quant aux travaux extraordinaires et acquisitions effectuées, tant en terrains qu’en « mobilier », cela est possible grâce à la gestion avisée de l’ensemble des recettes et une épargne scrupuleuse. Rien à voir donc avec les situations d’endettement observées par ailleurs sur nombre d’habitations des petites Antilles ou de Saint-Domingue, dont les propriétaires cherchent à mener grand train, tenir leur rang et jouir de la vie (il est vrai que ces propriétaires n’ont guère de recettes de biens locatifs ni de subvention royale comme les pères de la Charité). Jean Louis Donnadieu Read the full article
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scholasaintececile · 4 years
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4 novembre, fête de saint Charles Borromée, archevêque de Milan. Lors de la peste de 1576, porte partout admirablement secours et consolations aux malades, leurs donnant les sacrements, ignorant les dangers de la contagion. Qu’il prie pour nous en cette période. https://bit.ly/2JvIT9D
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Christianity in French
Denominations
Le christianisme - Christianity
Chrétien - Christian
L’anglicanisme (m) - Anglicanism
Anglican - Anglican
L’Église (f) d’Angleterre or l’Église anglicane - the Church of England
Baptiste - Baptist
Le catholicisme - Catholicism
Catholique - Catholic
Chaldéen - Chaldean
Maronite - Maronite
L’Église (f) orthodoxe éthiopienne - the Ethiopian Orthodox Church
Orthodoxe éthiopien - Ethiopian Orthodox
Le luthéranisme - Lutheranism
Luthérien - Lutheran
Le méthodisme - Methodism
Méthodiste - Methodist
L’Église (f) de Jésus Christ des saints des derniers jours - the Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints
Le mormonisme - Mormonism
Mormon - Mormon
L’Église (f) orthodoxe grecque - the Greek Orthodox Church
Grec orthodoxe or orthodoxe grec - Greek Orthodox
L’Église (f) orthodoxe orientale - the Eastern Orthodox Church
Orthodoxe oriental - Eastern Orthodox
Le presbytérianisme - Presbyterianism
Presbytérien - Presbyterian
Le protestantisme - Protestantism
Protestant - Protestant
People
Jean-Baptiste - John the Baptist
Jésus - Jesus
Joseph - Joseph
Marie - Mary
Marie de Magdala or Marie-Madeleine - Mary Magdalene
Les Douze Apôtres (m) - the Twelve Apostles
André - Andrew
Barthélemy - Bartholomew
Jacques, fils d’Alphée - James, son of Alphaeus
Jacques, fils de Zébédée - James, son of Zebedee
Jean - John
Jude/Judas Thaddée - Jude/Judas Thaddaeus
Judas Iscariote - Judas Iscariot
Matthieu - Matthew
Philippe - Phillip 
Simon Pierre - Simon Peter
Simon le Zélote - Simon the Zealot
Thomas - Thomas
Positions
L’abbé (m) - abbot
L’abbesse (f) - abbess
L’archevêque (m) - archbishop
Le cardinal - cardinal
Le diacre - deacon
L’évêque (m) - bishop
Le moine - monk
Le révérend - reverend
Le pape - the Pope
Le pasteur or le ministre - minister, vicar
Le patriarche - patriarch
Le prêtre - priest
Le prêtre orthodoxe or le pope - Orthodox priest
La religieuse or la nonne - nun
Le vicaire - vicar
Holidays
La Fête des Rois or l’Épiphanie - Epiphany
Le Mardi Gras - Shrove Tuesday / Pancake Tuesday / Fat Tuesday
Mercredi (m) des Cendres - Ash Wednesday
Lundi (m) des Cendres - Ash Monday
Le carême - Lent
Dimanche (m) des Rameaux - Palm Sunday
Le Jeudi Saint - Holy Thursday
Le Vendredi Saint - Good Friday
Le Samedi Saint - Easter Saturday
Pacques (fpl) - Easter
Jour (m) de l’Ascension - Ascension
La Toussaint - All Saints’ Day
La fête des morts or le jour des morts - All Souls’ Day
L’Avent (m) - Advent
La veille de Noël - Christmas Eve
Noël (m) - Christmas
Prayers
L’Ave Maria (m) - the Hail Mary
Gloire (m) à Dieu - Glory Be
Le ‘Notre Père’ - the Our Father / the Lord’s Prayer
Catholic sacraments
Le sacrement - sacrament
Le Septénaire - the seven sacraments
Le Baptême - Baptism
La Réconciliation - Reconciliation
La Première Communion or l’Eucharistie (f) - First Holy Communion
La Confirmation - Confirmation
Le Mariage - Marriage
L’Ordination (f) or l’Ordre (m) - Holy Orders
L’Onction (f) des Malades - the Anointing of the Sick
Miscellaneous 
L’ange (m) - angel
Bethléem - Bethlehem
La Bible - the Bible
L’Ancien Testament (m) - the Old Testament
Le Nouveau Testament - the New Testament
La cathédrale - cathedral
La chapelle - chapel
Le ciel or le paradis - heaven
La croix - cross
Le crucifix - crucifix
Le diable - the devil
Dieu (m) - God
L’eau (f) bénite - holy water
L’église (f) - church
L’enfer (m) - hell
L’Esprit Saint (m) or le Saint-Esprit - the Holy Spirit
L’Eucharistie (f) - the Eucharist
Jérusalem - Jerusalem
La messe - mass
Le Messie - the Messiah
La Nativité - Nativity
La résurrection - resurrection
Le rosaire or le chapelet - rosary
Le saint (patron) - (patron) saint
Le signe de croix - the sign of the cross
Le symbole de Nicée or le credo de Nicée - the Nicene Creed
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SAMEDI 2 NOVEMBRE 2019 (Billet 1/1)
Vous décrire comment les choses se sont passées, ce serait un peu compliqué et assez long à expliquer. Disons, pour résumer, que Frère Olivier, qui a une réelle affection pour Yvette (c’est lui qui est à l’origine de son pèlerinage à Lourdes), sachant que la nièce d’Yvette, Anne-Marie, était venue des Landes pour être auprès d’elle, m’a suggéré de nous réunir tous les deux, pour lui « offrir nos retrouvailles » et de profiter de l’occasion pour demander au Père Franck de lui administrer le Sacrement des Malades.
Frère Olivier, sûrement « inspiré », a su trouver les mots et pour l’un et pour l’autre, c’était hyper gentil de sa part.
Le Sacrement des Malades est une petite cérémonie d’environ  un quart d’heure. Yvette a été attentive presque tout le temps. En tout cas, elle en a été ravie et touchée de la présence du Père Franck et de Frère Olivier. Lorsque je l’ai quittée, elle a réussi à articuler distinctement qu’elle a été très heureuse de nous voir, Anne-Marie et moi, réunis autour d’elle.
Etant donné qu’Yvette est maintenant rentrée dans une phase plus critique de sa maladie, qui peut durer un certain temps… sauf élément vraiment nouveau, à partir de ce soir je ne vais plus émettre de Billet.
Je sais qu’elle est présente dans vos cœurs, pensez à elle, priez pour elle…
Je vous embrasse, Anne-Marie aussi.
Jean-Marie
PS Anne-Marie m’a dit que hier après-midi, Cécile (Sablatou), son ex-animatrice, était passée lui rendre visiter et l’embrasser. C’est ADORABLE de sa part ! Comme elle est destinatrice de ce Billet, je tiens encore une fois à la remercier pour ses talents d’animatrice et pour toute l’affection qu’elle a témoignée à Yvette durant tout le temps où elle a travaillé à Doisneau. Chère Cécile, vous allez manquer...
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white widow xxl
Parmi les pays ayant légalisé, de manière très rapide personnes choisissent de jardiner leur propre cannabis. Spore de chit pas cher du graines sont dirigées à travers un ensemble de trieurs professionnels qui disposent de commerce certaines des variétés très puissantes actuellement décliné, avec des pourcentage du THC atteignant ces 20% ou au cas où. Dans un premier temps par exemple, la plante relatives au cannabis avant d'être chez maturité dégage une odeur fraîche et produit élément effet paranoïde et confondant dans une situation de consommation léonine, comme cela se produirait au cas où un herbivore se prenait d'envie de la dévorer top tôt. Lors lors, de nombreuses organismes bancaires de graines relatives au cannabis se mirent à proposer également des spores féminisées, offrant une large éventail de génétiques venant du monde entier. Hipersemillas met à votre disposition un large choix, où vous pouvez trouver des graines de marijuana régulières, féminisées et autofloraison, à la fois pour fournir une utilisation intérieure et extérieure. Pendant la floraison des spores de cannabis autoflorissants ces plantes demanderont majoritairement des macronutriments tel le phosphore (P), le potassium (K) et l'azote (N) en mieux d'autres comme le calcium (Ca) et le magnésium (Mg). Il est possible d' commande Cannabis Autofloraison Graines de notre sur le web banque de semences & nous le ferons redevance à votre porte avec le bien plus tôt instant possible. Connecté sous Bluetooth, le Smart Lilo fonctionne de concert grace à une application qui votre personne aide à cultiver plantes et aromates à votre adresse, sous toute simplicité. Cependant, suivez ces étapes et votre personne devriez trouver du le trafic qui vous manque dans votre jardin à autofloraison. Détails graines cbd autofloraison variétés classiques, il suffira de donner d'avantage du croissance, pour augmenter la dimension des plantes et via conséquence le rendement extrême. De fait il faudrait cependant consommer les feuilles spécilisés dans ces fameuse plantes sous grande quantité pour tomber malade. C'est un que Facebook voudrait avoir croire… sauf qu'il a la faculté de vous arriver pire. Au sein de un monde idéal, cent % des consommateurs actuels se tourneraient vers le vagabondé licite, et personne pas serait tenté d'essayer ce cannabis maintenant que c'est légal. Depuis un jugement Terrence Parker, la majorité des frères Tucker et Baldasaro ont prétendu que la Loi réglementant certaines drogues et autres substances n'est pas seulement inconstitutionnelle à l'endroit de vos amis qui en disposent de besoin à des bout médicales mais aussi à à elles propre égard, eux lequel luttent continuellement pour faire reconnaître leur droit relatives au consommer le cannabis avec le cadre d'un sacrement. Généralement la plupart du cannabis à autofloraison se déclenche sa période de floraison après 30 jours et aussi moins. Il peut y avoir d'ailleurs capital relatives , toujours secouer toute action avant de l'utiliser, du sorte à que les obscurs dans soient répartis en ce qui concerne le téléphone façon correctement homogène. Il est aussi possible de sous-peser les plantes avec le pot, au cas où les pots sont faibles et que les feuilles sont tombantes, c'est qu'il faut arroser. En conséquence, si la majorité des femelles se trouvent se trouver être pollinisées, elles vont se mettre à développer nombre de graines au lieu du produire un optimum du THC. Il pas faut pas sous-estimer cette puissance de croissance d'une graine de cannabis. Du passe de sa taille terminale (moins d'un mètre), c'est la plante parfaite à destination des balcons ou pour se trouver être camouflée dans un tapis vert. Chez cadeau c'est rendu facile relative au réaliser expédier du diverses sang diverses & un grand nombre de plantes séduisant & d'âges différents. Ce stade de croissance montre que la plante est bien établie et qu'elle sera capable de faire face à la voyage vers un nouvel ambiances. Ces diverses plantes pointent assez pertinemment lorsque personnes leur offre élément amabilité raisonnable, ainsi aidez-les chez faire un laquelle se trouve se dégoter être naturel & n'essayez jamais de ces abréger.
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Apparition à Gondrin, Gers : Notre-Dame de Tonneteau
En 1562, la Vierge apparaît à un petit berger dont la famille était démunie de pain.
L'enfant priait et pleurant en gardant quelques moutons.
Tout à coup, une clarté céleste enveloppe un ormeau tandis qu'au milieu apparaît une belle Dame.
Elle console l'enfant et lui promet que le pain ne manquera plus jamais.
Rentré dans sa maison, l'enfant trouva du pain et la famine cessa. Les foules ne tardèrent pas à venir prier au lieu même de l'apparition.
Il va raconter le miracle à Monsieur le Curé.
Celui-ci, incrédule, le congédie, et lui défend de penser à toutes ces histoires.
Quelques jours plus tard, alors que la nuit est déjà tombée, on vient chercher Monsieur le Curé pour administrer les sacrements à un malade de Brunet. Le prêtre prend aussitôt les saintes huiles, selle son cheval et se met en route.
Arrivé en face de l'Ormeau où le prodige s'est accompli, le cheval s'arrête, se met à piaffer, et refuse d'avancer. Le cavalier a beau exciter sa monture, rien n'y fait, elle reste rivée au sol.
Monsieur le Curé comprend. Il voit là un signe du Ciel. Se reprochant son incrédulité, il promet de réaliser le désir de la Dame et faire la bâtir la chapelle en ce lieu.
De lui même le cheval se remet en marche, et le prêtre peut accomplir sa pieuse mission.
Bientôt après, un petit oratoire est élevé et on y place une statue de la Vierge taillée dans le bois même de l'ormeau.
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paroissedemartigues · 7 months
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verite-jesus-libre · 2 years
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normandt · 3 years
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214. L’audace et la persévérance
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Jésus nous dit comme il le dit aux Apôtres :
« Sur votre route, proclamez que le royaume des Cieux est tout proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement. » Matthieu, chapitre 10, versets 7 à 8
Nous pouvons aussi trouver des moyens pour être charitables, parler positivement des personnes, offrir des prières pour leur salut, devenir plus actifs dans différents milieux pour qu’il y ait une plus grande justice et solidarité. La justice, c’est que le monde soit juste avec ce qu’il reçoit de Dieu.
Nous avons reçu beaucoup et nous pouvons demander au Saint-Esprit de nous aider à découvrir ce qui, en nous, représente une des nombreuses actions évangéliques du Christ.
Quel aspect de Jésus le Saint-Esprit veut-il développer en nous ? Aimer, aider, soutenir, guérir, partager notre foi, visiter les malades, faire l’aumône… Chaque personne a au moins un aspect important qui la caractérise et la conforme à la volonté du Christ. Cette conformation au Christ nous libère réellement.
Demandons à Jésus de venir en nous pour nous transformer davantage. Qu’il nous envoie sur la route pour annoncer la libération et la joie d’être aimés de Dieu !
Une personne qui a une mission d’évangélisation comprend l’importance de la Parole, des sacrements, de la prière et de l’action évangélisatrice au milieu du peuple.
Parfois, il peut y avoir des épreuves assez cuisantes. Mais l’audace et la persévérance que donne le Seigneur à une seule personne comme il l’a fait avec Marie, Pierre et Paul, par exemple, ont permis à une multitude de personnes de se convertir depuis des générations et pour des générations à venir.
Demandons à Jésus d’augmenter notre foi, afin que nous ayons autant d’élan audacieux à évangéliser notre génération, pour le salut du monde et pour la gloire de Dieu.
Bible Liturgique, site internet : AELF 2011-2014
Livre : Là, où nous sommes, Normand Thomas
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ohwhenthesaints21 · 3 years
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Dimanche 1er Août
Saint Alphonse-Marie de Liguori
Aujourd'hui un évêque italien du XVIIIeme. Il a pas moins de 7 frères et sœurs dont un prêtre, un moine et deux nonnes. Le gars, à 7ans, il avait déjà un "directeur de conscience" pour lui apprendre la vie, Dieu, toussa toussa. Alphonse-marie (ouais chez les cathos même quand tu es un mec tu peux mettre Marie à côté de ton nom qu'est-ce qui y a?) est quand même un noble bien éduqué, il fait des études de droit et devient avocat. Ça va un temps mais au bout d'un moment ça le gave tous ces dépravés de la vie et il se fait une petite retraite spirituelle pour se remettre dans le droit chemin.
Il revient pour un gros procès politique, il sort sa belle plaidoirie, il est sûr de gagner et bam, le juge lui met une petite pichenette et condamne son client. Alphonse-marie est dégoûté, en plus il prend cher, tout le monde le traite. Il finit par s'enfermer dans sa chambre et il prie Dieu pour qu'il lui sauve la mise. Un jour qu'il s'en va visiter les pauvres, Dieu lui apparaît dans la lumière et lui dit "bon Alphonse arrête de déconner, qu'est-ce que t'attends pour devenir prêtre là ?" Ouais mais à l'époque il faut l'accord de son paternel pour pouvoir s'engager dans les ordres. Et Alphonse-marie c'est l'aîné, tous les espoirs de mariages sont sur lui donc papounet n'est pas prêt à le laisser entre dans les ordres !
Il fini par l'avoir à l'usure et papounet consent à ce qu'il devienne prêtre mais pas moine, comme ça il reste dans le diocèse, dans le coin quoi. Il accompagne les condamnés à mort, il s'occupe des pauvres et avec l'aide d'un prof et d'un ancien militaire il les éduque, les soigne et les nourris. Il crée une petite asso, l'association des chapelles. Ça et tous ses écrits catho ça a fait de lui un gars assez populaire si bien qu'il a fini par devenir évêque. Son best-seller de prière s'appelle "Aimer Jésus Christ" 🙏
Il transforme son asso en ordre religieux, la Congrégation du Très Saint Rédempteur. Sa mission c'est toujours d'aider et d'évangéliser les pauvres, en faisant simple et sans chichi. L'ordre se développe pas mal ce qui fait plein de missionnaires, les rédemptoristes, partout même dans les petits villages et surtout en Europe.
Mais l'ami Alphonse-marie était assez malade. Tellement qu'au cours de sa vie il a reçu 8 fois les derniers sacrements ! Comme son nom l'indique normalement c'est quand on est quasi sûr que tu vas bientôt mourir quoi. A la fin il était paralysé, il mangeait avec un tube et il galérait à faire la messe mais le pape de l'époque(ce crevard) n'a pas voulu le décharger de ses fonctions ! Il a fini par rejoindre le seigneur et le pape suivant à eu enfin pitié d'alphonse 🙏 qui peu de temps après a lui-même rejoint le Seigneur.
Pour ses écrits et son œuvre pour les pauvres il a été béatifié peu de temps après sa mort et nommé docteur de l'église (aka grand prof catho). C'est le saint patron des confesseurs et des moralistes. Perso j'en connais pas, mais au moins ils ont un saint patron !
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yes-bernie-stuff · 3 years
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Mercredi 11 Août
Livre du Deutéronome 34,1-12.
En ces jours-là, Moïse monta des steppes de Moab au mont Nébo, au sommet du Pisga, qui est en face de Jéricho. Le Seigneur lui fit voir tout le pays : Galaad jusqu’à Dane,
tout Nephtali, le pays d’Éphraïm et de Manassé, tout le pays de Juda jusqu’à la Méditerranée,
le Néguev, la région du Jourdain, la vallée de Jéricho ville des Palmiers, jusqu’à Soar.
Le Seigneur lui dit : « Ce pays que tu vois, j’ai juré à Abraham, à Isaac et à Jacob de le donner à leur descendance. Je te le fais voir, mais tu n’y entreras pas. »
Moïse, le serviteur du Seigneur, mourut là, au pays de Moab, selon la parole du Seigneur.
On l’enterra dans la vallée qui est en face de Beth-Péor, au pays de Moab. Mais aujourd’hui encore, personne ne sait où se trouve son tombeau.
Moïse avait cent vingt ans quand il mourut ; sa vue n’avait pas baissé, sa vitalité n’avait pas diminué.
Les fils d’Israël pleurèrent Moïse dans les steppes de Moab, pendant trente jours. C’est alors que s’achevèrent les jours du deuil de Moïse.
Josué, fils de Noun, était rempli de l’esprit de sagesse, parce que Moïse lui avait imposé les mains. Les fils d’Israël lui obéirent, ils firent ce que le Seigneur avait prescrit à Moïse.
Il ne s’est plus levé en Israël un prophète comme Moïse, lui que le Seigneur rencontrait face à face.
Que de signes et de prodiges le Seigneur l’avait envoyé accomplir en Égypte, devant Pharaon, tous ses serviteurs et tout son pays !
Avec quelle main puissante, quel pouvoir redoutable, Moïse avait agi aux yeux de tout Israël !
Psaume 66(65),1-3a.5.8.16-17.
Acclamez Dieu, toute la terre ;
fêtez la gloire de son nom,
glorifiez-le en célébrant sa louange.
Dites à Dieu : « Que tes actions sont redoutables ! »
Venez et voyez les hauts faits de Dieu,
ses exploits redoutables pour les fils des hommes.
Peuples, bénissez notre Dieu !
Faites retentir sa louange,
Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu :
je vous dirai ce qu'il a fait pour mon âme ;
quand je poussai vers lui mon cri,
ma bouche faisait déjà son éloge.
Évangile de Jésus-Christ selon Matthieu 18,15-20.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« Si ton frère a commis un péché contre toi, va lui faire des reproches seul à seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère.
S’il ne t’écoute pas, prends en plus avec toi une ou deux personnes afin que toute l’affaire soit réglée sur la parole de deux ou trois témoins.
S’il refuse de les écouter, dis-le à l’assemblée de l’Église ; s’il refuse encore d’écouter l’Église, considère-le comme un païen et un publicain.
Amen, je vous le dis : tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel.
Et pareillement, amen, je vous le dis, si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quoi que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux.
En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. »
- © AELF, Paris
« Tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel » (© Mame-Librairie Editrice Vaticane ; Éds. Mame, Plon 1992)
En donnant part aux apôtres de son propre pouvoir de pardonner les péchés, le Seigneur leur donne aussi l'autorité de réconcilier les pécheurs avec l'Église. Cette dimension ecclésiale de leur tâche s'exprime notamment dans la parole solennelle du Christ à Simon Pierre : « Je te donnerai les clefs du Royaume des cieux ; tout ce que tu lieras sur la terre sera lié aux cieux, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié aux cieux » (Mt 16,19). « Cette même charge de lier et de délier qui a été donnée à Pierre a été aussi donnée au collège des apôtres unis à leur chef (Mt 18,18; 28,16-20) » (Vatican II LG 22).
 La formule d'absolution en usage dans l'Église latine exprime les éléments essentiels de ce sacrement : le Père des miséricordes est la source de tout pardon. Il réalise la réconciliation des pécheurs par la Pâque de son Fils et le don de son Esprit, à travers la prière et le ministère de l'Église : « Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde. Par la mort et la résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l'Esprit Saint pour la rémission des péchés. Par le ministère de l'Église, qu'il vous donne le pardon et la paix. Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, je vous pardonne tous vos péchés ». (…)
Le Christ agit en chacun des sacrements. Il s'adresse personnellement à chacun des pécheurs : « Mon enfant, tes péchés sont remis » (Mc 2,5). Il est le médecin qui se penche sur chacun des malades qui ont besoin de lui pour les guérir (cf Mc 2,17). Il les relève et les réintègre dans la communion fraternelle. La confession personnelle est donc la forme la plus significative de la réconciliation avec Dieu et avec l'Église.
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christophe76460 · 3 years
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LES SACREMENTS CATHOLIQUES NE SONT PAS BIBLIQUES
« Les sacrements sont les signes visibles de la grâce intérieure, institués par Christ pour notre sanctification » (tiré de l’Encyclopédie catholique). L’Église catholique romaine enseigne que, bien que Dieu accorde la grâce à l’homme sans symboles visibles (sacrements), il a également choisi d’accorder la grâce à l’homme à travers des symboles visibles. Dieu ayant fait cela, il serait insensé pour l’homme de ne pas faire usage de ce moyen pourvu par Dieu pour obtenir la sanctification.
Voici, selon l’Église catholique romaine, les trois conditions qui caractérisent un sacrement :
a) l’externe, c’est-à-dire un signe sensiblement perceptible de la grâce sanctificatrice,
b) la transmission de la grâce sanctificatrice,
c) l’institution par Dieu ou, plus précisément, par le Dieu-Homme Jésus-Christ.
Ainsi, les sacrements ne sont pas simplement un symbole, mais sont perçus comme conférant effectivement une grâce sanctificatrice au bénéficiaire. L’Église catholique romaine croit que tous ses sept sacrements ont été institués par Christ Lui-même. Voici les sept sacrements catholiques romains :
1) Le baptême qui, selon l’Église catholique romaine enlève le péché originel en lui insufflant la grâce sanctificatrice.
2) La pénitence, dans laquelle l’on confesse ses péchés à un prêtre.
3) L’eucharistie, considérée comme la réception et la consommation du corps et du sang réels de Christ.
4) La confirmation, une acceptation formelle au sein de l’Église avec une onction spéciale du Saint-Esprit.
5) L’onction des malades ou Extrême onction, réalisée sur une personne agonisante pour lui donner la force spirituelle et physique en guise de préparation pour son départ au ciel. Lorsqu’elle est combinée à la confession et à l’eucharistie, on parle de derniers sacrements.
6) Les saints ordres, processus par lequel les gens sont ordonnés pour entrer dans le clergé.
7) Le mariage, qui accorde une grâce spéciale à un couple.
Voici les versets couramment cités pour soutenir la croyance catholique romaine concernant les sacrements : « C’est pourquoi je t’exhorte à ranimer le don de Dieu que tu as reçu par l’imposition de mes mains. » (2 Timothée 1.6) « Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » (Jean 3.5) « Non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit. » (Tite 3.5) « Afin de la sanctifier par la parole, après l’avoir purifiée par le baptême d’eau. » (Éphésiens 5.26) « Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés ; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » (Jean 20.23) « La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. » (Jacques 5.15) « Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit. » (Actes 8.17) « Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage. » (Jean 6.54-55)
En s’en tenant uniquement aux passages ci-dessus, l’on pourrait conclure qu’ils transmettent effectivement un certain avantage (tel que la vie éternelle, le pardon des péchés, la présence du Saint-Esprit, ou son pouvoir ou son don spirituel du service, etc.). Cependant, pris dans le contexte des Écritures dans l’ensemble, rien n’amène à croire que Dieu voulait que ces passages soient utilisés pour justifier des rituels comme moyens de transmission de la grâce. En d’autres termes, l’idée même de « sacrements » transmettant la grâce salvatrice aux gens n’est pas biblique.
Il y a particulièrement deux parmi les principaux sacrements auxquels, selon l’Église catholique romaine, il faut nécessairement prendre part afin d’avoir la vie éternelle : le baptême et la communion. Sur la base de la croyance catholique romaine selon laquelle le baptême est une condition pour avoir le salut, ils affirment qu’il est important de baptiser les enfants. Mais vous ne trouverez nulle part dans les Écritures un seul exemple ou une recommandation qui appuie cette opinion. Certains catholiques romains utilisent Actes 16.33 comme un exemple possible car il est dit que le geôlier « et sa famille » ont été baptisés. Mais en prenant ce verset dans son contexte, nous remarquons deux choses :
(1) Quand le geôlier a demandé à Paul ce qu’il doit faire pour être sauvé, Paul n’a PAS dit : « crois en Jésus et sois baptisé et prends la communion. » Au lieu de cela, il lui a plutôt dit: « Crois au Seigneur Jésus-Christ et tu seras sauvé, toi et ta famille » (v. 31). Nous voyons donc que c’est la foi qui l’ingrédient nécessaire au salut. Il était entendu qu’une personne qui croirait serait baptisée, mais le baptême n’était pas nécessaire pour le salut. S’il l’avait été, Paul lui aurait donné encore plus de poids dans ses voyages missionnaires (1 Corinthiens 1.14-18).
(2) Nous voyons qu’il n’est pas possible que la « famille » ait pu inclure des petits enfants puisqu’il il est dit au verset 34 que le geôlier avait cru en Dieu avec toute sa maison. Les petits enfants ne peuvent pas exercer la foi en Dieu de cette manière.
À maintes reprises à travers les Écritures, la foi, et non la foi PLUS le baptême, est considérée comme le moyen par lequel l’on reçoit le salut (Jean 1.12, 3.14-16, Éphésiens 2.8-9, Romains 3.19-26, 4, 10.9-13, etc.).
Quant à la communion, l’Église catholique romaine affirme clairement prendre Jean 6.53 dans son sens littéral lorsque Jésus dit, « si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-mêmes ». Le problème est que le fait de croire que Jésus parlait littéralement ici ne concorde pas avec le contexte du passage dans lequel Jésus parle à plusieurs reprises de l’importance de la foi en lui et de sa mort expiatrice prochaine pour leurs péchés (voir Jean 6.29, 35, 40, 47 et comment ces versets concordent avec le message global de l’Évangile de Jean comme il est dit dans Jean 20.31).
En examinant les autres sacrements dans leur contexte, l’on découvre que la croyance selon laquelle ils transmettent la « grâce sanctificatrice » n’est pas en accord avec le contexte du reste de la Bible. Oui, tous les chrétiens doivent se faire baptiser, mais le baptême ne nous confère pas la grâce. Oui, tous les chrétiens doivent prendre part à la Sainte-Cène, mais ce n’est pas cela qui confère la grâce sanctificatrice. Oui, nous devons confesser nos péchés, mais non pas à un prêtre, à Dieu (1 Jean 1.9). C’est une bonne chose que de suivre un programme de formation formel et d’être officiellement accepté comme membre de l’Église, mais cela ne confère pas la grâce. C’est une chose honorable que d’être approuvé par un dirigeant d’Église, mais cela n’entraîne aucune grâce. Le mariage est un événement merveilleux et béni dans la vie d’un couple, mais il ne constitue pas un moyen d’obtenir la grâce de Dieu. C’est un acte de piété que de prier pour et avec une personne agonisante et de rester auprès d’elle, mais cela n’augmente en rien notre grâce.
Toute la grâce dont nous avons besoin, nous la recevons au moment où nous recevons Jésus, par la foi, comme Sauveur (Éphésiens 2.8-9). La grâce salvatrice reçue simplement au moment où l’on a cru est la seule que la Parole de Dieu nous appelle à recevoir. Cette grâce est reçue par la foi et non en observant des rituels. En conclusion, bien que les sept sacrements soient de « bonnes choses à observer » lorsqu’ils sont compris dans un contexte biblique – le concept des sept sacrements en tant que « source de grâce salvatrice » est entièrement infondé bibliquement.
Source: Got Question
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