#roy engleman
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mariocki · 2 months ago
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Children Shouldn't Play with Dead Things (1972)
"Come children, Uncle Alan's going to curdle your blood."
"Uncle Alan already does. Turns my stomach, too."
#children shouldn't play with dead things#1972#horror imagery#horror film#bob clark#american cinema#alan ormsby#valerie mamches#jeff gillen#anya ormsby#paul cronin#jane daly#roy engleman#robert philip#bruce solomon#alecs baird#seth sklarey#bob sherman#curtis bryant#carl zittrer#a pretty rough and ready indie horror film about a theatre troupe who fuck around with the occult (and‚ naturally‚ find out)#this hasn't a whole lot to recommend it on its own merits; it's most interesting as a formative work by filmmaker Clark‚ his first stab at#the horror genre. juat a few years later Clark would helm the superlative Black Christmas‚ sincerely one of the greatest slasher#films ever made‚ but Children... is if anything a testament to just how much his style progressed in a short span. there are moments here#that pack a visual punch‚ tbf‚ and once the dead begin to rise it improves considerably. anything with the impressive looking 'Orville'#corpse (third and final pics above) is great. the problem is more in the script‚ cowritten with star and frequent Clark collaborator Ormsby#it's a turgid mess‚ with an hour of bitchy bickering between the theatre group before anything really happens. there's some great snark in#there and it's pretty entertaining at first‚ but my god does it go on (and on) until you're willing the zombies to tear everyone to shreds#in the zombie canon this has obvious debts to Romero's NotLD as well as more traditional folklore‚ but its emphasis stays frustratingly on#the unlikeable characters and their incidental conversations rather than exploring anything more interesting.
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jpbjazz · 26 days ago
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LÉGENDES DU JAZZ
EDDIE CONDON, PIONNIER DU JAZZ CLASSIQUE
“The beboppers play flatted fifths: we drink them.”
- Eddie Condon
Né le 15 novembre 1905 à Goodland, en Indiana, Albert Edwin Condon était le fils de John Condon et Margaret McGraw. Condon a grandi à Momence et à Chicago Heights, dans les Illinois, et avait fréquenté le St. Agnes et le Bloom High School. Condon avait commencé à jouer de l’ukulélé avant passer au banjo et à la guitare. Il était devenu musicien professionnel en 1921. Condon avait quinze ans lorsqu’il avait obtenu sa carte de l’Union des musiciens, à Waterloo, en Iowa.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Condon avait amorcé sa carrière professionnelle à l’âge de dix-sept ans comme banjoïste avec les Jazz Bandits d’Hollis Peavey. Il avait joué par la suite avec le groupe de Bill Engleman à Cedar Rapids (septembre 1921), ainsi qu’avec Bob Pacelli, Charlie Pearce, Charles “Murphy” Podolsky, Irving Rothschild, Roy Peach, Louis Panico et Jack Gardner.
Membre de la célèbre Austin High Gang, Condon avait travaillé à Chicago durant la majeure partie des années 1920. Au cours de cette période, Condon avait également joué avec de grands noms du jazz comme Bix Beiderbecke, Jack Teagarden et Frank Teschemacher. En 1925, Condon avait co-fondé avec Red McKenzie le groupe Chicago Rhythm Kings avec qui il avait enregistré quelques grands succès. Il avait aussi enregistré avec les Jungle Kings et Frank Teschemacher avant de s’installer à New York en mai 1928.
Durant son séjour à Chicago, Condon et d’autres musiciens blancs s’étaient rendus au Lincoln Gardens pour assister à un concert du groupe de King Oliver. Condon et ses amis avaient plus tard commencé à fréquenter le Sunset Café où ils avaient pu voir le Hot Five de Louis Armstrong.
En décembre 1927, Condon et la Austin High Gang avaient fait leurs débuts sur disque sous le nom des McKenzie-Condon Chicagoans. Ironiquement, le groupe était dirigé par le chanteur Red McKenzie qui n’était même pas présent sur les enregistrements. Plusieurs pièces avaient été enregistrées au cours de la session, dont “Sugar”, “China Boy”, “Nobody’s Sweetheart” et  “Liza.” Ce genre de musique, qui mettait en vedette d’excellents solistes et était caractérisé par une grande spontanéité, avait plus tard été appelé ‘’jazz de Chicago.’’
De 1928 à 1933, Condon avait publié une série de disques sous son nom avec des sommités du jazz de l’époque comme Jack Teagarden, Bud Freeman, Coleman Hawkins, Pee Wee Russell, Glenn Miller, Red McKenzie, Miff Mole, Louis Armstrong, Fats Waller, Billy Banks, Henry “Red” Allen, Jack Bland et Red Nichols. Avec les Blue Blowers de Red McKenzie en décembre 1933, Condon avait également joué de la guitare rythmique pour la première fois de sa carrière.
Le 28 juillet 1928, Condon avait enregistré deux pièces pour les disques Okeh, mais elles avaient été uniquement publiées en Angleterre. Le 30 octobre de la même année, les disques Okeh avaient publié une session intitulée "Eddie Condon and his Footwarmers", qui mettait en vedette le tromboniste Jack Teagarden. Une autre session datée du 8 février 1929 avait été publiée sous le titre de "Eddie Hot Shots" par les disques Victor. En 1932, Condon avait également enregistré plusieurs sessions avec les Rhythmakers à New York. L’année suivante,  Condon avait participé à deux autres sessions pour les disques Brunswick qui avaient donné lieu à la publication de six enregistrements, dont seulement deux avaient été publiés aux États-Unis.
C’est après s’être installé à New York en 1929 que Condon avait abandonné le banjo en faveur de la guitare. Lorsque vers 1930, Joe Marsala avait fondé son propre groupe, Condon avait été engagé comme guitariste.
À New York, Condon avait régulièrement participé à des sessions pour les compagnies de disques, ce qui lui avait permis de jouer avec des artistes qu’il avait emmené lui-même aux studios d’enregistrement, comme Louis Armstrong et Fats Waller. Condon avait aussi innové en organisant des sessions interraciales - ce qui était plutôt rare à l’époque - avec des musiciens comme Waller, Armstrong et Henry ''Red'' Allen.
Après s’être produit avec les Five Pennies de Red Nichols et les Mound City Blue Blowers de Red McKenzie, Condon avait amorcé en 1938 une longue collaboration avec les disques Commodore de Milt Gabler. Il avait aussi enregistré pour les disques Decca. La session du 17 janvier 1938 avait été particulièrement mémorable et mettait en vedette de grosses pointures comme le cornettiste Bobby Hackett, le tromboniste George Brunies, le clarinettiste Pee Wee Russell, le saxophoniste Bud Freeman, le pianiste Jess Stacy, le contrebassiste Artie Shapiro et le batteur George Wettling. C’est au cours de cette session qu’avaient été enregistrés de grands succès comme  “Love Is Just Around The Corner”, “Ja Da” et “Carnegie Jump.’’
Mais contrairement à la plupart de ses contemporains, Condon n’avait pas passé les années 1930 à travailler avec des big bands. Condon avait traversé la Grande Dépression et le début de l’ère swing en se produisant avec de petits groupes. En 1935, il avait aussi fait partie de la revue de Mike Reilly et Eddie Farley qui avait fait connaître le grand succès “The Music Goes Round And Round”. En 1936, Condon avait joué comme accompagnateur pour de petits groupes dirigés par Bud Freeman, Bunny Berigan, Putney Dandridge, Tempo King and his Kings Of Tempo, Dick Porter et Sharkey Bonano. En 1936-1937, Condon avait également co-dirigé un groupe avec le clarinettiste Joe Marsalis.
À partir de la fin des années 1930, Condon était devenu un assidu du Nick’s, un club de jazz de Greenwich Village. La version sophistiquée de la musique de Dixieland que Condon avait créé à cet endroit avait éventuellement été qualifiée de "Nicksieland". Condon avait toujours détesté que sa musique soit appelée Dixieland. Il n’avait d’ailleurs jamais utilisé le terme lui-même et avait exposé son point de vue sur la question dans sa première autobiographie appelée "We Called it Music" (1948). À l’époque, la liste des collaborateurs réguliers de Condon comprenait des musiciens comme Wild Bill Davison, Bobby Hackett, George Brunies, Edmond Hall et Pee Wee Russell. En 1939, Condon avait également fait une apparition avec le groupe de Hackett dans le court-métrage On the Air de Lloyd French.
Les musiciens qui avaient joué et enregistré avec Condon durant les années 1938 à 1944 étaient souvent de haut calibre et comprenaient de grands noms du jazz de l’époque comme les cornettistes et trompettistes Bobby Hackett, Max Kaminsky, Marty Marsala, Billy Butterfield et Wild Bill Davison, les trombonistes George Brunies, Jack Teagarden, Vernon Brown, Lou McGarity, Benny Morton et Brad Gowans, les clarinettistes Pee Wee Russell et Edmond Hall, le saxophoniste ténor Bud Freeman, le saxophoniste baryton Ernie Caceres, les pianistes Jess Stacy, Dave Bowman, Joe Bushkin, Joe Sullivan et Gene Schroeder, les contrebassistes Artie Shapiro, Bob Haggart et Bob Casey, les batteurs George Wettling, Dave Tough, Zutty Singleton et Sid Catlett, et la chanteuse Lee Wiley. Fats Waller avait également joué comme musicien invité sur certaines pièces.
En 1944-1945, Condon avait fait plusieurs enregistrements à la radio sous le titre des Eddie Condon's Jazz Concerts. Enregistrés à Town Hall, les émissions d’une durée d’une demi-heure avaient été diffusées à travers les États-Unis avant d’être réédités sur une série de dix CD par les disques Jazzology. Ces enregistrements étaient remarquables non seulement en raison de la qualité constante de la musique, mais par la façon dont Condon avait réussi à mettre en valeur les membres de ses groupes. Un enregistrement typique de cette période avait été réalisé le 16 décembre 1944 et avait permis de mettre en vedette sept joueurs de cuivres différents (dont Bobby Hackett, Max Kaminsky et Dick Cary à la trompette, Teagarden au trombone, Pee Wee Russell à la clarinette et Sidney Bechet au saxophone soprano), le pianiste Gene Schroeder et la chanteuse Lee Wiley. En plus des collaborateurs réguliers de Condon,  la session comprenait également des artistes invités comme les trompettistes Oram ‘’Hot Lips’’ Page, Wingy Manone et Yank Lawson, les trombonistes Miff Mole et Tommy Dorsey, les clarinettistes Jimmy Dorsey et Woody Herman, ainsi que les pianistes James P. Johnson et Cliff Jackson.
DERNIERES ANNÉES
En 1945, Pete Pesci, le gérant du Julius's Bar, était allé voir Condon et lui avait proposé de fonder son propre club de jazz à New York. Simplement baptisé le Eddie Condon's, le club avait d’abord été situé sur la 3e rue Ouest de Greenwich Village, avant de déménager ses pénates sur la 52e rue près de la 6e avenue (sur l’emplacement actuel des bureaux de CBS). puis sur le côté sud de la 56e rue Est, à l’est de la 2e avenue. Condon avait toutes les qualifications requises pour diriger son propre club: il était sociable et avait plusieurs amis musiciens qui étaient tout disposés à lui offrir leur aide.
Le club avait fermé ses portes en 1967. En 1948-49, Condon avait également animé sa propre émission de télévision intitulée The Eddie Condon Floor Show. Même si des extraits des performances réalisées dans le cadre de l’émission avaient été réédités sur disque, on n’a retrouvé à ce jour aucune bande vidéo permettant de documenter le déroulement de l’émission.
Dans les années 1950, Condon avait enregistré une série d’albums classiques pour les disques Columbia. Parmi les musiciens qui avaient participé à ces albums, on remarquait Wild Bill Davison et Bobby Hackett au cornet, Billy Butterfield à la trompette, Edmond Hall, Peanuts Hucko, Pee Wee Russell et Bob Wilber à la clarinette, Cutty Cutshall, Lou McGarity et George Brunies au trombone, Bud Freeman au saqxophone ténor, Gene Schroeder, Dick Cary et Ralph Sutton au piano, Bob Casey, Walter Page, Jack Lesberg et Al Hall à la contrebasse, et George Wettling, Buzzy Drootin et Cliff Leeman à la batterie. Au cours de cette période, Condon avait également fait des apparitions dans des festivals de jazz comme celui de Newport. Avaient accompagné Condon sur scène de grands noms du jazz comme le cornettiste Rex Stewart, les clarinettistes Peanuts Hucko et Bob Wilber, le tromboniste Cutty Cutshall, le pianiste Ralph Sutton, le contrebassiste Walter Page et le batteur Cliff Leeman.
En 1957, Condon avait fait une tournée en Grande-Bretagne avec un groupe comprenant Wild Bill Davison, Cutty Cutshall, Gene Schroeder et George Wettling. Condon avait fait une dernière tournée en 1964, lorsqu’il avait mené son groupe en Australie et au Japon. L’alignement du groupe de Condon à cette époque incluait Buck Clayton à la trompette, Pee Wee Russell à la clarinette, Vic Dickenson au trombone, Bud Freeman au saxophone ténor, Dick Cary au piano et au cor alto, Jack Lesberg à la contrebasse, Cliff Leeman à la batterie et Jimmy Rushing au chant.
En 1948, Condon avait publié une première autobiographie intitulée We Called It Music. La seconde autobiographie de Condon, publiée sous le titre de Treasury of Jazz en 1956, était en réalité une collection d’articles publiés par Condon et Richard Gehman.
Un des derniers collaborateurs de Condon, le clarinettiste Kenny Davern, avait décrit les sessions du guitariste de la façon suivante: "It was always a thrill to get a call from Eddie and with a gig involved even more so. I remember eating beforehand with Bernie (Previn, trumpet) and Lou (McGarity, trombone) and everyone being in good spirits. There was a buzz on, we'd all had a taste and there was a great feel to the music."
Même s’il avait été contraint de ralentir ses activités en raison de l’âge et parce que plusieurs de ses solistes avaient lancé leur propre carrière solo, Condon avait continué de faire des tournées et de faire des apparitions dans les festivals de jazz jusqu’en 1971. Même si Condon avait cessé complètement d’enregistrer de 1968 à 1971, il avait gravé un dernier album en 1972 sous le titre de Live At The New School. Dans le cadre de cet album enregistré avec Wild Bill Davison à la trompette, Kenny Davern au saxophone soprano, Dick Wellstood au piano et Gene Krupa à la batterie, Condon avait interprété plusieurs de ses chansons favorites.
Condon avait fait sa dernière apparition publique à la  New School for Social Research de New York en avril 1973. Dans le cadre de cette performance, Condon avait interprété quelques-uns de ses grands succès. Le concert avait éventuellement été publié par Chiaroscuro Records.
Durant la majeure partie de sa carrière, Condon avait joué et enregistré en utilisant une guitare à quatre cordes. Condon n’avait pratiquement jamais joué en solo, que ce soit sur scène ou dans le cadre d’enregistrements.
Eddie Condon est mort le 4 août 1973 au Mount Sinai Hospital de New York à la suite d’une maladie des os. Il était âgé de soixante-sept ans. Ses funérailles ont été célébrées à la Frank E. Campbell Chapel de Manhattan. Ont survécu à Condon son épouse Phyllis Smith (qu’il avait épousée en 1942) et ses deux filles Maggie et Liza. Condon avait également eu un fils appelé Donald, mais il était décédé au moment de sa mort.
Même si Condon n’avait pratiquement plus chanté après les années 1920 et n’avait écrit que quelques chansons et arrangements, il est toujours considéré comme un plus importants artistes du jazz classique. Surtout reconnu pour ses talents d’organisateur, de chorégraphe, de maître de cérémonie et de publiciste, Condon était aussi un excellent guitariste rythmique qui savait inspirer ses musiciens. Grand raconteur, Condon faisait également les délices de la presse avec ses anecdotes souvent savoureuses. Mais une des plus importantes réalisations de Condon avait été d’avoir contribué à la fondation et à la structuration du Dixieland, même s’il n’avait jamais apprécié ce nom. Ironiquement, les groupes de Condon n’avaient jamais utilisé de banjo même si son premier instrument était le banjo.
Même si Condon avait contribué à la renaissance du Dixieland dans les années 1940 et 1950, il n’avait jamais ressenti le besoin de moderniser sa musique. Il avait déclaré: “The beboppers play flatted fifths: we drink them.”
©- 2025, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Eddie Condon.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Eddie Condon.’’ All About Jazz, 2024.
YANOW, Scott. ‘’Eddie Condon: Profiles in Jazz.’’ The Syncopated Times, 24 janvier 2019.
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brokehorrorfan · 2 years ago
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Children Shouldn’t Play with Dead Things will be released on 4K Ultra HD, Blu-ray, and DVD on October 25 via VCI Entertainment. The 1972 zombie cult classic is celebrating its 50th anniversary.
Bob Clark (Black Christmas, A Christmas Story) directs from a script he co-wrote with Alan Ormsby (Cat People). Ormsby stars with Valerie Mamches, Jeff Gillen, Anya Ormsby, Paul Cronin, Jane Daly, Roy Engleman, Robert Philip, and Seth Sklarey.
Children Shouldn't Play with Dead Things has been newly restored. Special features are listed below.
Special features:
Introduction and Q&A with co-writer/actor Alan Ormsby (new)
Dreaming of Death: Bob Clark’s Horror Films - Featuring-length documentary with cast and crew (new)
Audio commentary by co-writer/actor Alan Ormsby and actors Jane Daly and Anya Cronin
Memories of Bob Clark featurette
2007 Los Angeles Grindhouse Festival Q&A
Interview with construction chief Ken Goch
Photo & poster gallery
"Dead Girls Don't Say No" music video by The Deadthings
"Cemetery Mary" music video by The Deadthings
Theatrical trailer
Radio spots
Booklet with liner notes by Patrick McCabe
Six theater friends decide to have a little fun by having a mock Satanic ritual. To do so, they head to an isolated island, dig up a rotting corpse, and perform the spooky ceremony. The group's director is disappointed when the initial ritual fails and continues to push it. Eventually he succeeds in raising the dead and soon realizes it's not always best to get what you wish for.
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