#romance saphique
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findroleplay · 2 years ago
Note
hello there folks !
I'm an 18f looking for a 17+ roleplaying Partner for an oc×oc in a fantasy setting!
I'm lit to adv-lit roleplayer so I would prefer my partner to be around that range! and I'm really craving for a saphique romance right now.
so I already have a plot in mind staring royalty, political intrigues, magic and and enemies kingdoms. obviously nothing is set in stone I'll tell you my idea and we can work through it.
mild-to no NSFW content is preferable as I'm not comfortable writing in it
I would love to also create a friendship with my partner built around fangirling and obsessing over our fantasy world
if interested react to this post or pm me
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addyction-litteraire · 1 month ago
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Les voleurs d’innocence
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Cette histoire se voit coller plusieurs étiquettes : il y a du fantastique, il y a du féminisme, et certain(e)s parlent de roman gothique, ce qui m’a poussée a en vérifier la définition. Selon l’UPEC, le « roman gothique » suscite la peur voire l'horreur, et a une fonction morale : il met en scène la transgression des tabous sociaux et religieux, en montre les conséquences négatives et rétablit l'ordre à la fin de son récit. Il y a de ça ici. J’aime aussi la version du site study.com qui explique que le roman gothique est un genre associé au mystère et à l'intrigue entourant le surnaturel et l'inconnu. Les caractéristiques du gothique incluent : la mort et la décadence, les maisons/châteaux hantés, les malédictions familiales, la folie, l'amour/la romance puissante, les fantômes et les vampires. Mis à part ce dernier point, nous y sommes effectivement tout à fait. Pourtant j’avoue que pour moi gothique devait rimer avec corbeau, couleurs sombres et pierres froides, tout l’inverse de ce que l’on parcourt ici. L’environnement est lumineux, fleuri, pastel et coloré, et les jolis petits oiseaux y font entendre leurs trilles. J’ai adoré cette ambiance campagnarde qui aurait pu avoir un côté anglais, ou virgin suicides.
Le personnage principal est Iris, qui commence à nous accompagner dans l’intrigue alors qu’elle a 13 ans, en 1950. Ou plutôt quand elle en a 80, en 2017, car elle nous raconte son enfance. Elle est l’avant-dernière d’une brochette de 6 sœurs, et au début de l’histoire l’aînée, va se marier. Ces filles vivent un peu recluses dans leur grande maison, car leur mère a l’esprit “un peu dérangé”, et n’aime pas évoluer dans la haute société américaine à laquelle son rang la destine pourtant. Le père, lui, est à la limite de l’anecdotique, tant il apparait peu dans les pages… Même s’il semble s’effacer, écraser par toutes cette œstrogène qui l’entour, ce sera pourtant malheureusement souvent lui qui aura le dernier mot.
Toutes les filles cherchent à fuir leur maison d’enfance, et pour ce faire dans l’amérique des années 50, leur seule solution reste le mariage. Pourtant, ce n’est pas quelque chose qui a réussi à leur mère, ou à la mère de leur mère, ou même à la mère de la mère de leur mère… Alors comment pourraient-elles échapper au destin funeste d’être une femme contrainte de devoir se retrouver liées à un homme ? On le sait dès le départ, seule Iris survivra à cette quête.
J’ai adoré ce livre, d’une pour son histoire, mais aussi pour son écriture qui ne prend pas le lecteur pour une buse. J’ai appris de nouveaux mots : je ne savais pas ce qu’était la couleur isabelle, ou péridot. Toutes les femmes de la famille sont férues d’arts : l’écriture, le dessin, la poésie, la botanique. J’ai lu toutes sortes de noms de plantes, de fleurs, d’oiseaux, des citations de poètes, des évocations de tableaux. Tout nous rappelle que le monde autour de nous est beau… mis à part le personnage du père qui, vendeur d’armes, ne sème au final que la mort autour de lui.
Ces multiples allusions artistiques ne sont pas lourdes ou de trop : tout se fond parfaitement à l’intrigue.
Alors oui, les thèmes de ce roman ne plairont pas à tout le monde. On est ici sur du féminisme assez poussif : la dichotomie entre les personnages féminins et masculins est imposante, et la gente masculine en prend pour son grade… Sans être profondément misandre, néanmoins : la plupart des hommes de l’intrigue ne le “font pas exprès”… C’est juste que le “monde est ainsi fait”… Difficile de leur en vouloir vraiment. Ce qui en découle, c’est aussi forcément l’apparition du thème saphique. Mais une fois de plus, je trouve que l’autrice porte bien ses thèmes-là, tout en douceur.
Le côté fantastique du roman est bien là… Et si certains veulent à tout prix des explications plausibles, il leur faudra passer leur chemin, ou apprendre à se contenter de ce que l’on nous offre.
Après une vague première recherche, j’en sais assez peu sur l’autrice de cet ouvrage, mis à part le fait qu’il s’agit de son deuxième livre. Elle serait américaine, et son dernier diplôme daterait de 2005, j’en conclus fort hâtivement qu’elle doit être à peu près de ma génération.
Le résumé de son premier livre me tente moins, et c’est dommage car j’aurais bien aimé continué mon tête à tête avec elle, tant j’ai trouvé les idées féministes sous-jacentes dans “Les voleurs d’innocence” très intéressantes. Je me laisserai peut-être tenter un jour tout de même, car ce premier livre reste “politique”. L’autrice fait apparemment partie de ces gens étiquetés en surpoids, et elle semble donc avoir écrit à ce sujet au sein de l’intrigue de ce premier roman, ce que je ne trouve pas inintéressant.
Quand à ce deuxième livre-ci, je voudrais revenir sur la note de l’autrice lisible à la fin, concernant le titre choisi. En anglais, le livre s’appelle The Cherry Robbers, traduisible littéralement en “les voleurs de cerises”… Le cerises sont employés ici dans leurs sens argotique qui signifie, je l’ignorais, la virginité. Cette nuance est un peu moins palpable au premier coup d’œil sur le titre français.
Lors de mes dernières sessions de lecture, j’ai avalé les pages sans me résoudre à m’arrêter. Je ne voulais pas quitter cet univers, dire adieu à Iris m’a été difficile. C’est pour moi la preuve que ce roman est un grand succès.
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la-bibli-de-ferdinand · 7 years ago
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Titre : L’enterrement de mes ex                                                  Prix: 15€
Auteur·e: Gauthier
Date de parution : 2015
VO : Française
Édition : 6 pieds sous terre
Traduction : /
Nombre de pages : 160
Genre : BD tranche de vie
Public : Jeune Adulte – Adulte
Synopsis : Charlotte se souvient de l’âge de ses premiers émois, de ses questionnements confus face à l’amour et l’amitié, de sa rencontre avec Sophie qui la bouleverse. Ses histoires de cœur à venir sont tout aussi troublantes, hésitantes, parfois cruelles.
Thèmes abordés : amitié, amour, orientation sexuelle, romance saphique, homosexualité féminine
Mon avis : Tout d’abord je dois dire que j’ai attrapé cette BD au hasard sur un des rayons de la librairie Violette & Co et ce qui m’y a accrochée c’était que le personnage sur la première de couverture me faisait penser à moi même. Et je pense que c’est ce qui ressort le plus de cette histoire : le personnage nous ressemble, ça sent le vécu. Et il y a une compassion qui s’installe pour le personnage de Charlotte puisque Charlotte c’est nous. Mais il ne s’agit pas seulement de compassion, il est aussi question de réconfort : il y a quelque chose de réconfortant à constater que l’on est pas seule avec ces expériences qui sont justement qualifiées de ‘cruelles’ dans le synopsis. En ce qui concerne le dessin tout est en noir et blanc, je n’ai pas trouvé le style particulièrement joli. En revanche, j’ai beaucoup apprécié de voir l’évolution du personnage sur 3 périodes distinctes de sa vie : l’école primaire, le collège et le lycée. Ces trois époques restent marquantes pour beaucoup d’entre nous et leur représentation ici sonne juste. L’histoire termine sur un rayon d’espoir et d’apaisement. C’est une bonne lecture pour toute personne qui souhaite se retrouver un peu au travers de l’expérience du personnage.
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someawesomeamvs · 4 years ago
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Warning: Potential spoilers
Title: LA LA MEP!
Editors: von.kao, aph_catty, ayahoee, wss.bleu, kasumarii, afct.pen, saphique, k9.baker, luminox_desires, okvrin, uomiiu, afct.kana
Studio: Affection Studios
Song: La La
Artist: The Cab
Anime: Ensemble Stars, My Next Life as a Villainess: All Routes Lead to Doom, Shokugeki no Souma, Fullmetal Alchemist, Boku no Hero Academia, Noragami, Kase-san, Tamako Market, Hibike! Euphonium, Rascal Does Not Dream of Bunny Girl-senpai, Tonari no Kaibutsu-kun, Little Witch Academia, Miss Kobayashi’s Dragon Maid, Bloom Into You, Sakura Trick
Category: Romance
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yuwhala · 3 years ago
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Mais du coup j'ai même pas envie d'écrire une romance saphique entre Guenièvre et sa suivante alors que bon, 10 ans dans une tour à deux, genre vraiment le combo "there was only one bed" + "they were roomates" y'a de quoi faire hein.
Mais bon, vla que le pendranièvre est canon maintenant et que la scène de la tour et que la couronne de fleurs et que la musique et que leurs cheveux et que l'image de fin, the power that they hold qui me fait écrire des romances hétéros
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Renée Vivien, born Pauline Mary Tarn (11 June 1877 – 18 November 1909), was a British poet who wrote in French, in the style of the Symbolistes and the Parnassiens. A high-profile lesbian in the Paris of the Belle Époque, she was as notable for her lifestyle as for her work, which has received more attention following a recent revival of interest in Sapphic verse. Many of her poems are autobiographical, reflecting a life of extreme hedonism, leading to early death. She was the subject of a pen-portrait by her friend Colette.
Natalie Clifford Barney (October 31, 1876 – February 2, 1972) was an American playwright, poet and novelist who lived as an expatriate in Paris.Barney's salon was held at her home at 20 rue Jacob in Paris's Left Bank for more than 60 years and brought together writers and artists from around the world, including many leading figures in French literature along with American and British Modernists of the Lost Generation. She worked to promote writing by women and formed a "Women's Academy" (L'Académie des Femmes) in response to the all-male French Academy while also giving support and inspiration to male writers from Remy de Gourmont to Truman Capote.
She was openly lesbian and began publishing love poems to women under her own name as early as 1900, considering scandal as "the best way of getting rid of nuisances" (meaning heterosexual attention from young males). She wrote in both French and English. In her writings she supported feminism and pacifism. She opposed monogamy and had many overlapping long and short-term relationships, including on-and-off romances with poet Renée Vivien and dancer Armen Ohanian and a 50-year relationship with painter Romaine Brooks. Her life and love affairs served as inspiration for many novels, ranging from the salacious French bestseller Idylle Saphique to The Well of Loneliness, the most famous lesbian novel of the twentieth century.
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Natalie Clifford Barney with Renée Vivien
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webolivieri-blog · 8 years ago
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“Seul l'homme qui a connu la liberté peut reconnaitre sa prison”
Incarceron
De Catherine Fisher
Pocket Jeunesse
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Dans un univers figé au 18e siècle dans lequel le cour du temps est interrompu, Incarceron nous raconte l'histoire de deux adolescents chacun prisonnier à sa manière et en quête de liberté. Finn le prophète est un détenu d'Incarceron, cette gigantesque prison vivante dont seule le légendaire Saphique put s'échapper. Claudia, la fille du directeur de la prison est quant à elle destinée à devenir reine de l'Extérieur. L'Extérieur, ce beau monde à ciel ouvert, quoique ressemblant à un paradis est en réalité tout aussi corrompu que la Prison qu'il abrite.
Catherine Fisher, malgré des personnages simples aux émotions linéaires destinés à un publique jeunesse, arrive à nous déstabiliser dans ce dédale obscur qu'est Incareron. À travers un univers mélangeant habillement fantaisie et science-fiction l'auteure soulève des questions sur la liberté mais aussi nous met en doute sur notre perception de la réalité.
Les secrets de la Prison, les légendes de Saphique, le faux-semblant de l'Extérieur, page après page le mystère s’épaissit et on ne sait plus distinguer la réalité du mensonge. On recherche la vérité au même titre que nos deux héros et ce mystère, on en devient accro. La narration passant d'un protagoniste à l'autre après chaque chapitre accentue d'autant plus la tension, le suspens en est maintenu tout au long de l'évasion. L'aventure ne laissera personne indifférent et il est certain que les liens de la Prison laisseront une marque, probablement avec un arrière-goût de pilule rouge.
Dans Incarceron la romance passe au deuxième plan et la catégorie roman jeunesse n'est qu'un subtil habillage qui abrite une quête digne des plus grands de la fantasie et de la science-fiction.
D. Webolivieri
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la-bibli-de-ferdinand · 7 years ago
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Titre : P.S. I miss You                                                                        Prix: 14.59€
Auteur·e: Jen Petro-Roy
Date de parution : 2018
VO : Anglais
Édition : Feiwel & Friends
Traduction : /
Nombre de pages : 320
Genre : Roman épistolaire
Public : Jeunesse – Jeune Adulte
Synopsis : Evie a 11 ans et se sent seule après que ses parents, de fervents catholiques, ont envoyé sa grande sœur chez une tante éloignée parce qu’elle était enceinte. Evie décide d’envoyer des lettres à sa sœur dans lesquelles elle lui raconte ce qu’il se passe dans sa vie : la rentrée, les copines, une nouvelle élève à l’école, la relation avec les parents, la relation à la religion, grandir sans sa sœur. Seulement voilà, sa sœur ne répond pas.
Thèmes abordés : vie de famille, amitié, orientation sexuelle, romance saphique, adolescence
Mon avis : Alors voilà ; moi j’ai entendu parler de ce livre sur Tumblr parce que apparemment il y avait polémique à sa parution dans les écoles et les bibliothèques, enfin il me semble. Il y avait polémique parce que l’histoire traite d’une romance entre deux filles. Il ne m’en a pas fallu plus pour me convaincre de l’acheter. Et devinez-quoi ? JE NE SUIS PAS DÉÇUE DU TOUT ! Voilà un livre qui reprend ce que c’est de grandir quand on est une fille et quand on est une fille qui ne tombe pas vraiment amoureuse des garçons. Il y a beaucoup d’émotions à ressentir : de la tendresse, du rire et de la tristesse aussi, préparez-vous. Seul petit bémol : pour moi un des deux plots principaux est un peu gros et pas très réaliste. Sinon je conseille à toute personne qui aurait aimé avoir une sœur. Pour le public jeune et jeune adulte, laisser-vous vous attacher à Evie, vous ne le regretterez pas.
Une version brochée devrait bientôt voir le jour ! (6.84€)
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la-bibli-de-ferdinand · 6 years ago
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Titre : La fille dans l’écran                                               Prix: 17.95€
Auteur·e: Lou Lubie & Manon Desvaux
Date de parution : 2019
VO : Française
Édition : Marabout - Marabulles
Traduction : /
Nombre de pages : 192
Genre : BD tranche de vie
Public : Jeune Adulte – Adulte
Synopsis : Coline vit en France et rêve de devenir illustratrice. Ses recherches d'inspiration la conduisent à contacter Marley, une photographe installée à Montréal. De son côté, Marley a abandonné sa passion pour la photo pour se laisser porter par une vie sociale trépidante : un job alimentaire, un amoureux québécois...Les deux jeunes femmes que tout oppose vont tisser sur internet un lien plus fort que la distance et le décalage horaire, qui va grandir de façon troublante jusqu'à la rencontre...
Thèmes abordés : amitié, amour, orientation sexuelle, romance saphique, homosexualité féminine, bisexualité féminine, passage à l’âge adulte
Mon avis : C’est une copine qui me l’a conseillé et je suis allée le prendre à Violette & Co le lendemain!
Un récit très touchant qui met du baume au cœur. Les deux personnages principaux se rencontrent à travers un amour commun pour l’art et leur relation évolue avec douceur. L’association d’un style de dessins avec un personnage et son environnement se révèle être très plaisante à regarder, le mélange des styles lors de la rencontre l’est encore plus. Feel good pour l’automne quand vous aurez besoin d’un peu de soleil et de douceur!
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