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#rituel pour draguer
livresderomance · 1 year
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Anne Claude est une conseillère en placement très doué vivant au Luxembourg. Khan est un trafiquant d'armes qui voudrait bien en faire sa maitresse, car il n'a jamais oublié cet été très chaud de ses vingt-quatre ans qu'il avait passé au Luxembourg en compagnie de la séduisante femme à la chevelure rousse et aux formes très riches et voluptueuses.
Mais Anne Claude possède un secret qu'elle se refuse à lui révéler et qui l'empêche de se donner à lui... Cependant, quand la vie de son fils est en jeu, elle n'a d'autre choix que de s'en remettre au père de l'enfant pour le sauver, même si elle aurait bien voulu continuer à lui cacher son existence... Ses deux parents sauront-ils mettre de côté leurs griefs afin de mettre le jeune Yanis au centre de leurs priorités ?
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L'héritier de Khan Chapitre 1
Anne-Claude
— Anne-Claude! Ton rendez-vous de quatre heures est arrivé... signale la secrétaire dans le téléphone.
Je la remercie et raccroche le combiné. Je me presse ensuite de retirer plusieurs portraits à la droite de mon écran d’ordinateur sur mon bureau et de les ranger dans un des tiroirs. Je me lève ensuite et je lisse mon tailleur, je jette un œil à mon reflet dans la baie vitrée de mon cubicule. Ma tignasse rousse est parfois trop rebelle.
Enfin, je prends une profonde inspiration avant de franchir la séparation entre mon espace de travail et celui des autres dans la grande banque. Je traverse la vaste aire ouverte et je me dirige vers la salle d’attente. Je peux déjà l’apercevoir, grand et costaud, blond et les yeux bleus, sa barbe courte soigneusement rasée tout comme sa chemise propre, son gilet en cuir et ses pantalons à bretelle…
Il a comme toujours de la prestance, de la noblesse.
Je vais accueillir le chef d'entreprise Islandais. Enfin, c’est ce qu’il prétend être comme toujours...
— Monsieur Drakniss!
Il se lève de sa place avec élégance, ne me quittant pas du regard. Un regard charismatique.
— Mam’zelle Eckhart! Toujours aussi séduisante!
Je lui rétorque de manière sarcastique, prenant cette main tendue:
— Monsieur Drakniss... toujours aussi irrévérencieux!
Il sourit de manière tout à fait arrogante tandis qu’il me serre la main avec une légère pression, son pouce sous mon poignet, comme pour assurer sa dominance sur moi tout en me témoignant de la tendresse. C’est son petit rituel... Chaque fois, ça ne rate pas de faire son petit effet sur moi. Mon tailleur me parait soudain trop serré, la température a grimpé de quelques degrés et un frisson me parcourt l’échine.
Je combats cette émotion pour conserver un calme apparent quand je l’invite à me suivre dans mon bureau.
Son homme de main sur sa droite demeure assis comme toujours, jouant à un jeu stupide sur son cellulaire en patientant après son boss.
Khan Drakniss en profite toujours pour me draguer lors de notre rendez-vous bisannuel... Moi, je demeure très polie avec lui, mais je n'entre pas dans son jeu. Je me contente de lui donner les résultats de ses derniers placements en bourse, de lui conseiller quelques investissements. Comme toujours, il aura de l’argent liquide, beaucoup d’argents liquides, qu’il désire transférer dans un autre compte offshore, d’une de nos succursales qui se situe dans les iles Caïmans.
Comme toujours bien sûr, je ne poserai aucune question parce que notre banque du Luxembourg se spécialise dans ce genre de transactions, pour ce genre de client... et jamais au grand jamais je ne chercherais à savoir ce que vend monsieur Drakniss, autre que des spiritueux et des bières de microbrasserie, entreprise qui doit lui servir de couverture à des activités bien plus louches.
Je suis suffisamment bien payée pour fermer les yeux devant des clients comme cet Islandais et je suis également suffisamment bien payée pour supporter qu’il me drague à chacune de ses visites.
Cette fois, le trafiquant de je-sais-quoi me demande une autre carte Amex Black pour son cousin qui a perdu celle qu'il lui avait remise la dernière fois. Il désire aussi en avoir une autre, toujours reliée au même compte, cette fois pour sa sœur Emma, qui s'en va étudier à Oxford... Tout comme lui. Eh! Il en est très fier.
Je suis tout de même un peu surprise qu’il ait une sœur, car il ne l’a jamais mentionné auparavant.
Pendant que j’entre les informations de la nouvelle carte, il remarque alors le dessin d'un enfant épinglé sur mon babillard. Mon cœur cesse de battre une fraction de seconde. J’avais complètement oublié ce dessin! Je m'efforce de ne pas montrer mon trouble quand je lui prétexte que c’est mon neveu qui l’a fait.
Rapidement, j’attire son attention sur le lecteur que je viens de placer devant lui pour qu'il entre un code pour la nouvelle carte, celle de sa jeune sœur... et monsieur Drakniss me demande de le faire à sa place. Cette carte pourrait même être la mienne si j’acceptais de le suivre dans sa chambre d'hôtel...
Je n'aurais plus jamais à travailler, car il m'entretiendrait... J’aurais un superbe penthouse et je pourrais réaliser mon ancien rêve. Il pointe une des petites ses sculptures de bronze représentant des dragons sur une étagère. Je serais enfin reconnue pour mon talent. Il serait mon mécène et nous pourrions…
Je lui jette un regard empli de froideur. Je lui demande quel est l'anniversaire de naissance de sa sœur et je m'en sers pour le code de la nouvelle carte Black Amex.
— Je t’ai insulté. constate le bel homme. Ce n'était pas mon but... Ace... Ça cliquait déjà entre nous dans cet hôtel…
Ace... C’était le surnom qu’il m’avait donné. À cause des initiales de mon nom : Anne-Claude Eckhart. Et moi, je l’appelais Key à cause du «K» de son prénom, que je croyais être Kevin à l’époque! Des images de moi, de lui, enlacés dans le lit de cette suite luxueuse qu’il occupait me viennent à l’esprit. Des images que je chasse férocement.
Il poursuit son baratin :
— Il y a dix ans, dans cet hôtel où on s’était croisé, nous avions eu bien du plaisir! Ces vacances sont parmi mes plus mémorables ACE! Ça tient du miracle, si huit ans plus tard on s’est de nouveau croisés dans cette banque…
— Oui! Surtout que vous m’aviez donné un faux nom, à Marseille!
Il persiste comme toujours à me tutoyer alors que moi je cherche à mettre une distance entre nous:
— Tu m’en veux toujours? Après tout ce temps? Ace! Je crois bien t’avoir prouvé que je n’ai plus l’intention de disparaitre! Ça fait deux ans que je viens dans cette banque… Je suis sûr que je suis ton client le plus fidèle... et ton plus fervent admirateur!
—… et surtout le plus collant!
— Allez quoi! Ace! Tout c’que j’désire, c’est une chance… Je t’apprécie et je sais que c’est réciproque… On pourrait s’faire beaucoup de biens tous les deux!
— Oui hein! Vous m’appréciez, dites-vous! Mais pas suffisamment pour faire de moi autre chose qu'une maitresse! Vous en avez combien des maitresses, monsieur Drakniss? Une dans chaque ville que vous visitez?
Il hausse les épaules. Il n'y a rien de mal à ça... Si l'entente est profitable pour tous les partis en cause... ose-t-il même me dire, me faisant un clin d'œil coquin.
Je termine en vitesse de faire le tour de son portefeuille d’investissement avec lui, et je le reconduis jusqu'à la sortie, un sourire plastique sur le visage. Son homme de main, un grand type à la Arnold Schwarzenegger, au crâne rasé, quitte la salle d’attente et lui emboite le pas automatiquement...
Comme je lui serre une dernière fois la main, devant les grandes portes vitrées de la sortie principale, mon cellulaire se met à vibrer dans la poche de la veste de mon tailleur. Je regarde vitement. C’est un message de ma voisine qui me dit qu’elle et Yanis sont au parc et que mon fils s’exerce à arrêter les balles dans le filet du terrain de soccer.
Devant moi, Khan me dit qu'il est descendu à l'hôtel Place d'Armes, dans la suite Cristal et qu'il y sera jusqu'au lendemain si jamais je change d'avis.
— Désolé, mais j'ai déjà un rancard avec un séduisant jeune homme. Le vendredi soir c'est notre soirée popcorn.
— Ah oui? Un jeune homme? Ça ne serait pas ton neveu... des fois? devine Key, me prenant au dépourvu.
Je ne le nie aucunement et il argumente en me concédant que la famille passe avant tout... Mais que rien ne m'empêche par la suite de passer faire un tour à son hôtel quand le môme se sera endormi. Enfin quoi, c'est vrai! S'il dort, ce p’tit gars ne se rendra pas compte de mon absence...
— Vous feriez un très mauvais père, monsieur Drakniss.
Il me répond qu'en Islande, les mômes sont plus costauds qu'au Luxembourg apparemment parce que lui, il se gardait déjà seul à l'âge de six ans...
Je lui jette un regard qui veut tout dire et il hausse les épaules, se dirigeant vers son SUV aux vitres teintées qui est stationné non loin. Je tourne les talons et je retourne à l’intérieur. Ce sera bientôt la fermeture... j’ai encore quelques comptes à voir avant de pouvoir rentrer enfin rejoindre ma version miniature d’un homme qui ne fera jamais, oui, jamais partie de la vie de mon enfant! J’en suis bien décidée!
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vinon0 · 3 years
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rituel pour trouver l’âme sœur
rituel pour trouver l’âme sœur
Méthode de magie blanche avec les Bougies Vous aurez besoin de ce qui suit pour le rituel pour trouver l’âme sœur : 1 bougie blanche de 12 cm de haut et 1 cm de largeur. 2 bandes de mariage en or imitation. Un morceau de ficelle d’or. le meilleur moment est sous la lumière de la lune, mais peut aussi être fait à tout moment que vous le souhaitez ! Le rituel pour trouver l’âme sœur Attachez les…
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juliarecits · 6 years
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                          Nos expériences (suite)
   De tout ce que nous vivons depuis un moment, entre nous, Agnès et moi, et maintenant nos complices, les petites anecdotes portant sur nos jeux en vacances ont une place très particulière. Ceci depuis déjà un moment, c'est-à-dire depuis qu’avec Agnès nous avons commencé à nous aimer, et à prendre du plaisir ensemble. Nos petits jeux, nos moments complices avec les parents en Espagne, et à la maison également, et ce encore aujourd’hui.
 L’été en général, mais l’Espagne en particulier, nous annonce toujours des instants privilégiés. Déjà parce que le soleil et la chaleur sont des facteurs qui nous poussent à être plus libre, à vivre des moments plus érotique, nous incitent à être plus sensuelles, plus sexys. Et ensuite parce que c’est un peu un endroit fait pour s’amuser. Evidement cela passe par nos tenues, accentué par notre habitude rituelle du sans dessous-dessous. Habitude prise aussi par chez nous, mais beaucoup plus facile à vivre ici. L’ambiance générale de cette période, l’ambiance électrique, et partagée par tous dans notre maison. Tous les jours, il y a un instant, même plusieurs, ou il se passe quelque chose qui déclenche un petit plaisir, une émotion, une envie. Instants érotiques. Des instants provoqués aussi.
 Déjà les plages. Et les tenues pour ces plages.
 Nous avons le choix, à chaque fois que nous partons pour la plage, et cela se décide en fonction du temps que l’on a, et du temps que l’on souhaite y rester. La plage classique, la grande, qui donne sur la ville, quand nous savons qu’après nous devons aller en ville, ou partir en visite, ou simplement envie de rester plus longuement au jardin. La plage nudiste, quand nous avons un peu plus de temps, même si celle-ci est en prolongement de la 1ère, elle est malgré tout un peu plus loin du centre ville. Et puis « notre » crique, nudiste en grande partie, et coquine à ces heures, quand nous décidons d’y passer la journée. Plus loin, elle oblige à prendre la voiture. Les 2 autres c’est en vélo.
 Le vélo, nous le prenons soit en maillot et jupe pour la plage classique, soit nue sous nos jupes quand nous partons pour la plage nudiste. Tenue de rigueur pour les 3 nanas de la maison. Et sur la route, le père circule tout autour de sa troupe, et jette un œil, rarement discret, à chacune d’entre nous pour vérifier, comme si cela était encore utile, que nous n’avons pas dérogé. C’est avec malice que quand il se retourne, un petit écart des cuisses, lui prouve qu’il a tort de s’inquiéter. Il part alors en faisant le fou sur son vélo, debout sur les pédales, à se faire remarquer des passants, et revient pour vérifier encore et encore. Il a beau nous voir nues toute la journée, mais ces instants sont des instants savoureux pour lui. Et pour nous, ils le sont tout autant. Nous jouons. Et jouer à êtres nues sur nos vélos et aussi pour toutes nos sorties en ville, pour les courses, les balades, les restaurants etc.… nous procure toujours une sensation très particulière. Sensation partagée par tous, ce qui instaure en permanence une ambiance plutôt électrique et proche du plaisir quasi permanent.
 Sur la grande plage, maillot obligatoire. Mais mono pour nous toutes. Nous nous installons généralement face à l’avenue par laquelle nous arrivons, une avenue large, de parking d’un coté et de bars et restaus, de l’autre. Evidement les boutiques avec tout ce qu’il faut pour la plage. Y compris les crèmes et huiles de toutes sortes.
 Normalement le haut du maillot est dans le sac. Mais c’est très fréquent qu’il soit resté à la maison. A cet endroit de la plage, il y a un bar, à la fois coté plage et aussi sur l’avenue. Il fait dancing le soir, et en dessous, une petite boite avec danseuses, où se retrouvent les couples en recherche de nouveaux plaisirs, et qui viennent également draguer, au bar et au dancing, pour trouver des complices bien plus jeunes. Je m’y suis faite draguer plus d’une fois, par des couples de tous âges, dont certains me donnent il est vrai, envie de les suivre. Par contre souvent des gens sans scrupules qui n’hésitent pas à sortir de gros billets pour acheter un couple de jeunes ou un duo de filles, comme nous. Il y a toujours un petit groupe de filles, sexy mais vulgaires, maquillées à outrance, et perchées sur des chaussures qui me semblent inadéquates pour un lieu de vacances. Elles viennent ici pour ca et se font de l’argent avec ces rencontres. C’est leur droit. Certaines sont superbes et j’ai quelques fois discuté avec elles. L’attrait de l’argent dans un cadre de vacances. Pourquoi pas.
 Ce qui ne nous a pas empêchées de jouer et de provoquer quelques uns de ces messieurs trop seuls, ou accompagnés, qui nous offraient un verre et à qui nous autorisions des regards intimes sous nos jupes trop courtes. A condition qu’ils soient sympathiques. Ils viennent nous voir, en espérant que nous accepterons de les suivre, mais il n’en est pas question. Même si parfois…
 Donc ce coin de plage avec son bar et sa terrasse sur le sable est un coin sympa. Musique, volley, etc.… L’endroit où se retrouve pas mal de « d’jeunes » comme dit papa. Ce qui n’est pas pour lui déplaire. Défilé permanent de jeunes filles et de maillot très sexys. De beaux mecs aussi, qui étalent un peu leurs musculatures. Endroit sympa pour tester les nouveaux maillots. Comme dit le père, le succès se compte au nombre de serviettes qui viennent s’étaler en cercle autour de la fille qui va arriver avec un string hyper sexe ou un maillot affolant. Pas faux. Et assez drôle. Cela m’est arrivé un bon nombre de fois, ce qui fait rire les parents installés à quelques mètres de là.
 Un jour dont je me souviens bien, seule avec mes parents, car Agnès arrivait seulement en fin de semaine, c’est le jour où je suis arrivée avec ma jupe blanche, un teeshirt blanc très court, un ensemble plutôt sexy. Ce jour la je suis partie avec en tête l’idée de plaire, de me faire désirer. Déjà en me préparant ce matin, sur la terrasse, j'ai compris que ma tenue faisait de l'effet. J’aime jouer de ces tenues qui me font penser comme on va me regarder et me désirer. Et cette fois j’ai sentie une émotion supplémentaire en faisant des essayages devant la glace puis sur la terrasse.
 J’ai déjà posé ma serviette, retourné pas mal de « salut » au petit groupe de personnes de mon âge que je connaissais déjà un peu. Puis, déjà en quittant le haut pour apparaître les seins nus, j’ai attiré un peu le regard des garçons présents. Mine de rien, laissant courir ces yeux sur moi avec un certain plaisir, j’ai sorti mes affaires, lunettes, huile, bouquin. La star d’un instant. Des commentaires en espagnol surtout, qui, selon ma mère qui le parle très bien, portaient sur la beauté de mes seins et la couleur de ma peau, en passant pas la longueur de mes jambes. De quoi être ravie.
 Puis, debout, innocente, je descends ma jupe en la laissant doucement glisser le long de mes jambes, pour me retrouver avec un nouveau string, acheté avant le départ mais jamais porté, si ce n’est dans le jardin la veille, où il a déjà eu un effet plutôt affolant et où il fut qualifié de « magnifiquement scandaleux » par le père. Blanc, petit cœur de métal au dessous des reins, cordon blanc perdu entre les fesses, et devant, petit rectangle blanc, très étroit, qu’il a fallu que je ressorte discrètement de mon minou avant de baisser la jupe. Et là ! Silence au départ, puis chuchotements, et quelques soupirs admiratifs. Me voila à nouveau comblée de faire autant d’effet. Comblée et surtout excitée. Succès confirmé. La pointe de mes seins confirme mon état intérieur.
 Je m’allonge en regardant tour à tour mes admirateurs, et certains, qui me connaissent, n’hésitent pas à se déplacer pour s’installer au plus près. Me voila « La Star » du moment. Deux plus malins, ou plus coquins, sont derrière moi. Vue directe sur mon entre-jambe, et je sais, pour le sentir, que mon string trop étroit, ne leur cache quasi rien de mon intimité. Je resserre ou relâche mes cuisses pour jouer à cache-cache avec eux. Un jeu formidable. Surtout que ce string à tendance à se resserrer jusqu’à disparaître entre mes lèvres gourmandes. Ce qui m’oblige a glisser un doigt pour le ressortir et ce qui du coup donne aux 2 garçons du dessous de sacré rougeurs aux joues. Et nous partons dans des discussions, mi-français, mi-espagnoles, sur des banalités, sur la musique, la plage, pendant lesquelles, je ne cesse d’être scrutée des yeux. Du coup, les filles de cette petite bande, n’hésitent pas à quitter les hauts, et se montrer sexys à leurs tours, pour retrouver leurs copains ou du moins ceux qui étaient déjà à les draguer avant mon arrivée. Certaines sont très jolies en plus. Plus timides au départ, elles sont contentes que j’aie pu donner un signe, et jouent elles aussi à se montrer sexys. Les hauts sautent et les bas des maillots se font de plus en plus étroits. Une d’elles est partie et revenue des toilettes du bar en ayant changé de bas. Elle est revenue avec un string du même style que le mien. Tout aussi sexy. Aussi provocant. Un string brillant sur sa peau très mate, qui lui cache à peine les lèvres d’un sexe tout aussi lisse que le mien. Elle s’est installée à mes cotés et m’a fait comprendre qu’elle n’osait pas le mettre, en étant la seule ainsi, les autres filles de leur groupe étant un peu moins « joueuses ». Elle a une poitrine généreuse, avec des tétons superbes, foncées, gonflés. Elle me fait envie…
 Du coup notre petit groupe devient le point de mire du reste de la plage alentour. Les parents sont écroulés sur leurs serviettes, et le père ravi du spectacle.
 Ces petits moments là sont très forts. Se lever pour aller à l’eau, et être accompagnée par les plus osés, qui font tout pour profiter de ce que je peux offrir à cet instant. Je traverse la plage sous les regards chaleureux de la plupart des messieurs présents. Malgré quelques commentaires en rapport avec mon jeune âge et ma tenue. Sans intérêt. Mes compagnons du moment, en jouant dans l’eau, tentent quelques attouchements. Je joue, j’aime, et je ne repousse que les gestes trop audacieux comme cette main qui s’est retrouvée entre mes cuisses le temps de laisser passer une vague. Je profite d’être dans l’eau pour réajuster ce string provocateur et glisser un doigt entre mes lèvres comme un petit soulagement furtif. Je sens combien mes « amis » du jour ont une envie folle de me prendre la, dans l’eau, et je suis presque tentée de me donner aussi. J’y pense et j’en coule de désir. Un moment sublime quand au milieu de cette petite bande, ma complice du jour, ose s’approcher au plus près, m’enlace et nous restons quelques instants, seins contre seins, ventre contre ventre, sous le regard envieux des autres et  surtout le regard de son compagnon du moment, à la fois un peu surpris, dérangé, et comme la plupart des garçons devant ce genre d’attitude, excité par la situation.
 Dans ce genre de situation, un moment intense également : aller sous la douche de la plage, pour se rafraichir ou se rincer. Une de ces douches se trouve juste à proximité de la terrasse du bar. Alors, arriver dans cette tenue, se doucher à 2 pas des tables occupées par des messieurs qui ne perdent rien du spectacle, et qui se posent ici pour ca d’ailleurs, est excitant au possible. Et ce jour là, deux de mes compagnons de plage, me suivent et m’offrent un verre. Me voila donc nue, ou tout comme, rejointe par le reste de la petite bande, au milieu de la terrasse à pavaner et faire ma belle. La plupart des filles qui viennent à ce bar en venant de la plage, ont l’habitude de se recouvrir, au moins d’un paréo, le temps de se désaltérer. Quand une ose s’y installer seins nus, elle est le point de mire du bar entier. Alors, seins nus, et en string, surtout de cette taille… Je suis élue la « miss du bar » pour au moins la semaine. Je scrute derrière mes lunettes le regard des mecs présents, et tous sont posés sur mes seins ou le petit bout de tissus qui ne cache rien de mon minou. Le tissu, trempé de la douche, dessine au mieux le contour de mon abricot. Ma vulve gonflée de désir semble être en attente d’un contact. Je frémis de me donner de la sorte. J’en vois frémir aussi. Délicieux !
 Et de ce jour, mon moment magique fut mon départ. Après avoir fait quelques bises à la plupart de cette petite bande d’admirateurs, et admiratrices, dont un baiser insistant à ma belle copine du jour, rangé mes affaires, assise sur ma serviette, je m’habille. J’enfile ma jupette, qui me couvre en fait très peu vu sa taille. Assise, seins nus, je me recoiffe en chignon, et fait ressortir un peu plus ma poitrine comme un au revoir, puis avant de passer mon teeshirt, je glisse mes mains sous ma jupe, m’arrête, regarde les deux compères qui sont allongés face à moi et qui scrutent  derrière leurs lunettes le moindre de mes gestes avec un sourire heureux, me tourne légèrement, faussement pudique, et je fais glisser mon string sur mes jambes. Je le roule en boule dans mon sac. Ceci n’a pas échappé non plus à un autre couple ainsi que deux autres garçons, encore à me regarder partir. Scotchés ! Me voici nue, sous ma jupe, sous les yeux ébahis de mon petit comité d’admirateurs. Je suis aux anges. Presque une jouissance. Je sens mon plaisir couler entre les lèvres de ma petite chatte, plein de désir retenu comme à chaque fois que je joue de cette façon.
 Je leur adresse mon plus beau sourire, en enfilant mon teeshirt sur mes seins dont le bout est depuis ce matin déjà bien dur et sensible. Ca aussi ils l’ont vu. Et le teeshirt moulant accentue encore plus la vision de mon excitation. S’ils savaient combien je suis trempée… j’en rajoute encore en leur tournant le dos pour rejoindre mes parents et prendre mon vélo. Un déhanchement appuyé pour faire jouer mes fesses nues sous ma jupette. Je suis convaincue que mes « copains » commentent mon départ et y vont d’une belle érection en mon honneur. Ravie !
 Ce genre de situation, affolante, nous l’avons revécue souvent avec Agnès. Et chaque fois, nous repartons avec une chaleur humide entre les cuisses, sur notre vélo. Parfois, en repartant de la plage, nous en profitons pour aller en ville, faire quelques courses, ou prendre un verre dans un bar de l’avenue, excitées au mieux. Souvent le papounet nous gratifie d’un de ses plus beaux clins d’œil complices. Et l’excitation ne diminue pas le temps que nous restons ici, ou a faire les magasins pour le manger du midi. Et arrivées à la maison, c’est au plus vite que nous nous retrouvons nues, au jardin ou à table après être passé un moment au studio ou sous la douche du jardin pour nous calmer. On s’enlace et on se câline en imaginant tous ces yeux gourmands posés sur nous. Oubliant un moment que nous ne sommes pas seules et que tous profitent de nos éclats de rire et gémissements…
 ***
 Ces moments magiques, nous les vivons également quand nous arrivons et repartons de la plage nudiste. Car même si le fait d’être nues, est logique sur cette plage, nous voir arriver et repartir sans rien sous nos jupes, qui plus est, en reprenant nos vélos, en laisse plus d’un interloqué. Et comme nous sommes toutes les trois à faire de la sorte, ils semblent bien se demander comment nous vivons en dehors de la plage. Il se demande aussi comment le seul homme de la troupe peut vivre ces situations. S’ils savaient…
 Sur cette plage, les moments de plaisirs de cette sorte, sont plutôt dus aux attitudes qu’aux vêtements. Les nudistes, les vrais, ne font que très peu attention aux autres. Par contre, les nudistes occasionnels, les « testeurs » comme dit papa, eux sont plus à l’affut du moindre petit geste sensuel, de la fille un peu plus sexy que les autres. Ils ne viennent pas si souvent, alors ils sont la pour ca. Ils ont au moins le courage d’être nus, à l’inverse de quelques baigneurs, qui eux ne viennent ici que pour regarder. Les « voyeurs ». Et ils ne s’en cachent pas. La plage est uniquement tolérée aux nudistes, mais pas réservée. Donc chacun y est dans son droit. Après tout, si nous venons la c’est que nous le voulons, et de plus, avoir des admirateurs… Il faut reconnaître que tous ces corps, nus, ont un charme, et pas seulement les plus sexys et les plus beaux. Certains papys ou des mamys, ont un charme puissant, de la sensualité, du au fait d’être bien, à l’aise. Il se dégage parfois de ces personnes âgées quelque chose de fort. Une tendresse aussi. Et tant mieux.
 Le plaisir principal sur cette plage, même si ce n’est pas le but, c’est de pouvoir se dévoiler sans complexe. Etre nue, parmi un tas de gens nus. Et il faut l’avouer, et ce peut être plus à mon âge, qu’avant ou après, c’est de se sentir fière de son corps au point d’être heureuse de se faire admirer.
 Et, même si cela est peu modeste de ma part, je sais que mon allure, mes formes, mon style, plaisent. On me dit jolie, plutôt bien faite, et je suis consciente depuis un moment déjà, ado et un peu avant encore, que j’attire les regards, et que l’on me trouve désirable. Je sais que mes seins, bien ronds, fermes, biens dessinés me donnent une allure très sexy. Mon ventre plat, mes hanches assez droites, mes longues jambes fuselées, sont des atouts importants. J’entends et on me le dit souvent. Ma façon d’être aussi, libre, sans artifices, mes cheveux un peu roux, mes yeux verts, et si j’ajoute ma cambrure naturelle et des fesses biens rondes et fermes… tout cela me classe dans une catégorie dite de « jolie fille ». Alors j’en suis heureuse, et j’en profite, j’en joue. Pourquoi ne pas être contente de ce que la nature m’a offert. C’est aussi parce que je suis ainsi que je suis modèle pour les photos, y compris maintenant, des photos sexys. Même si Alain, mon photographe, me connait de tout petite, et qu’il m’a demandé de poser, je vois bien sur les lieux de tournage que je suis très sollicitée par les autres photographes présents. Et puis, un atout très important en fait, c’est que je suis très à l’aise avec mon corps.
 De ce que me dit Alain, et d’autres aussi, c’est qu’ils ont des modèles parfois superbes, mais pas assez libres de leurs corps, et du coup elles perdent le charme, et deviennent juste des images, sans vie. Et, ils me disent, que j’ai, moi, ce côté très naturelle, que mes formes et mon charme en sont décuplées. Ce coté libre, naturel, doit en partie venir justement de cette habitude que j’ai depuis toute petite de me promener nue, sur ces plages et ailleurs, et d’avoir compris, ado, comment ce charme était agréable a voir dans le regard des autres. Education très libre aussi.
 Donc me dévoiler ainsi ne me dérange pas et au contraire je suis énormément heureuse de me retrouvée nue et admirée sur une plage comme celle-ci. Je peux ici, me montrer comme je suis, et je pense que d’en être consciente et fière ajoute encore plus de charme à l’ensemble.
 Et puis quand il s’agit de se faire plaisir, de jouer, j’ai appris et je sais maintenant quels détails simples peuvent ajouter à une nudité. Comme de se relever les cheveux en chignon mal fait, pour libérer la nuque… Sexy ! Ou debout, sur le sable, bien droite avec les jambes quelques peu écartées, le temps de se désaltérer ou de regarder au loin. Irrésistible ! Je vois dans le regard de mon admirateur « n° 1 », combien mes gestes, mes poses, ou ma façon de me tenir, sont appréciés.
 Le plaisir vient aussi de se montrer plus sexy et plus désirable que de simples baigneuses nues. Pour jouer, il suffit d’une position offrant son intimité de façon plus provocante que la normale, pour un spectateur choisi. Comme de dos, en écartant volontairement les jambes, sans trop, juste pour que le minou s’ouvre un peu et brille au soleil. Ou bien, assise en tailleur, le buste bien droit, le nez au soleil. Position presque « zen ». Mon sexe est alors ouvert au mieux qu’il peut, et en plus des regards qui l’observent, le soleil apporte une sensation de caresse intime et intense. J’aime ces moments. Ou bien encore, se passer de l’huile de façon très suggestive. Au point de faire monter en pression les observateurs. J’essaye aussi le plus souvent, pour ne pas trop passer pour une simple « allumeuse », d’ajouter à ces moments la, un regard et un sourire complice. Une façon de partager l’instant. Je m’offre d’accord, mais merci d’apprécier. Et du coup le partage devient plus fort. Une forme de complicité.
 Se montrer et regarder aussi.
 Voir un bel athlète musclé, fière de son corps, et faire ce que nous faisons nous-mêmes, est également un véritable plaisir. Et parfois, certains de ces messieurs, savent prendre les poses et les allures qui mettent en valeur leurs corps, et aussi leurs attributs. Et de toutes les trois, il est rare qu’un de ces beaux messieurs, passe inaperçu. Celle d’entre nous qui le voit la première, en avertit les autres. Complicité féminine oblige. Même le père, nous prévient, si un détour en descendant à l’eau vaut la peine. Et il est vrai que parfois, il nous est permis de voir de très beaux spécimens. Des corps somptueux, sexys, attirants. Et des outils fabuleux. Des sexes que nos regards insistants font quelques fois réagir, le tout avec un sourire entendu, un clin d’œil, jusqu’à un point où il est préférable pour lui de se retourner sur sa serviette, en attendant d’être plus présentable. Souvent dans ces moments là, il se passe quelque chose de fort. C’est un regard, un sourire, qui fait des uns et des autres des complices d’un instant.
 Souvent, nous profitons d’une marche sur le bord de l’eau, pour faire, par jeu, un petit inventaire, et nous notons, comme des gamines, les mâles que la plage nous offre. Sans oublier les jolies filles aussi. Normal. Mais ici, l’inventaire porte sur les messieurs. On en trouve souvent, parce qu’ils s’en amusent aussi, des beaux, assis dans l’eau, bien exposés, laissant leurs sexes, négligemment flotter au gré des petites vagues. On en frissonne. Et de nous voir passer, et repasser, coquines, en nous tenant par la main, ils ont parfois de jolies réactions. Ces apollons sont un peu là pour ca aussi. Profiter de cette plage, le soleil, pour se laisser admirer. En couple aussi, et parfois de superbes couples heureux du succès qu’ils ont en paradant au bord de l’eau.
 Il n’est pas rare de se retrouver à l’eau ensembles, et que l’on puisse profiter, plus à l’abri des regards, d’une magnifique érection irrésistible. Parfois, il est même arrivé de profiter d’être loin des regards pour caresser un beau membre, dans l’eau, pour le plaisir du monsieur et pour le notre aussi. L’envie de le prendre en bouche ou plus est si forte, que c’est presque en jouissant que je lâche ce jouet. Moment intenses…
 Une des fois où cela est arrivé, le monsieur était si beau que c’est nous qui l’avons suivi au bain. Il était fier de nous montrer depuis le matin un corps sublime et un sexe magnifique sur la plage, allongé à coté de nous, en se passant régulièrement de la crème, et insistant dessus en nous regardant. Visiblement, il était venu sur la plage avec le but de se faire admirer, et l’envie d’en tirer un plaisir. Il a rodé un moment dans le coin, en arrivant, serviette sur l’épaule et sac de plage à la main, scrutant les serviettes féminines, jusqu'à choisir de s’installer à côté de nous. Peut être avait il remarqué que nous le suivions de regard. Il cherchait des admiratrices. Et comme les trois n’en loupaient rien… Il était ravi.
 Un homme de 50/55 ans environs, grisonnant, grand, musclé, juste un peu de poils gris sur le torse, une peau dorée, des cuisses et des bras de rugbyman, ventre plat et abdos magnifiques, fesses musclées… Un monsieur très bien entretenu qu’on imaginait bien fréquenté instituts et salle de sport, et qui ne laissait rien au hasard pour bien paraître, et surement aussi dans sa façon de s’habiller, mais à l’instant… Un régal. L’apollon de la plage. Il le savait d’ailleurs. Très sur de son effet. Il posait plus qu’il ne bronzait. Et un sexe ! Long, large, lisse, de la couleur de sa peau, des boules à peine plus sombres, et un peu ridées. Debout, il pendait comme un beau bijou entre ses jambes, et assis, il se posait naturellement sur la serviette comme un petit animal qui attend sa caresse.
 A peine posé, il s’est installé comme une complicité sous-entendue entre lui et nous. Et quand, sous nos regards insistants, il prenait du volume, il s’en amusait, et il s’amusait surtout de voir les trois filles s’échanger des commentaires qu’il savait à son encontre, et surtout à son corps et à son sexe enviable. Le fait aussi de comprendre que sur les trois, une était surement la mère de l’une des deux autres. Cette complicité ajoutait encore un peu de piment agréable. Il se calmait en se reposant sur le ventre, et nous dans un sourire malicieux, nous lui faisions comprendre que l’on attendait de revoir. Je me suis un moment assise en tailleur face à lui, pour lui rendre la pareille, et c’est en fixant mon minou, tout aussi lisse que lui et très humide, qu’il m’a fait comprendre, par mimique, qu’il ne pouvait plus se retourner. Clin d’œil appuyé de ma part pour lui faire comprendre que ce n’était pas innocent. Clin d’œil en retour pour dire qu’il en était conscient. Il observait également avec plaisir notre façon de nous passer de l’huile avec Agnès, dans des gestes volontairement provocants, en le regardant dans les yeux. Coquines.
 Puis un peu plus tard, calmé, il s’est relevé, fixant à tour de rôle, chacune de nous, et est venu demander l’heure à maman. Heureux de voir comme nous étions admiratives. Il a échangé quelques mots avec elle. Il nous regardait de plus près. Il nous détaillait plutôt. Nous aussi. A genou devant nous, comme pour encore mieux s’exposer, il nous a expliqué qu’il repartait sur Lyon en fin d’après midi et qu’il profitait de sa dernière journée de plage. Il à même ajouté, qu’il était ravi de passer la matinée en notre compagnie. Il nous scrutait chacune notre tour, félicitant papa pour ses « charmantes filles ». Il est resté un moment entre sa serviette, et les nôtres, à marcher avec son téléphone à l’oreille. Chaque fois qu’il le pouvait, il trouvait une pose pour montrer à qui voulait bien regarder, comment il était superbement bâti. Et joliment équipé.
 Puis il s’est dirigé vers l’eau. On s’est marré un peu de notre jeu. Mais en le regardant, sur son petit matelas dans l’eau, à faire de son mieux pour prendre des poses de catalogue et se faire admirer des baigneuses, Agnès et moi, avons eu envie de le voir de plus près. Arrivées dans l’eau, nous avons continué de le regarder et lui nous détaillait sans gène. Normal. Echange. Et moins de monde donc moins de retenues. On a bavardé un moment, lui sur son matelas et nous à nous baigner, de l’eau à la taille.
 Petit à petit, en nous éloignant des autres baigneurs, il se rapprochait sur son matelas, assis, face à nous. Et au bout d’un moment, étant loin des regards, et voyant nos regards de joueuses, il a commencé à se caresser, de façon très sensuelle, juste des caresses du bout des doigts, sur la longueur de son sexe. Comme pour passer de l’eau et le câliner. Puis en nous regardant fixement, son geste s’est précisé. Caresses appuyées, jusqu'à ce qu’il soit bien droit. Magnifique ! Un rêve ! Il prenait une forme et une allure surprenante. Son petit sourire pour nous faire comprendre qu’il était content que l’on vienne l’admirer. Il passait sa main, à plat, de bas en haut de son sexe qui grossissait encore, doucement.
 Il regardait alentour pour s’assurer de ne pas être remarqué, et nous profitions de son membre sublime, pour nous, à demi dans l’eau. Image de magasine. Emouvant ! Dans cette position, il semblait énorme, un peu tordu, et d’une jolie couleur dorée. Et son corps musclé pour finir le tableau. Un apollon, nu, bandant, et tout ca pour nous.
 Puis sur son invitation silencieuse, nous nous sommes approchées. Il avait le dos à la plage, et les vagues nous poussaient vers lui. Pour rester ensembles, nous avons attrapé le matelas. Chacune une main de chaque coté, pour que les vagues ne l’éloignent plus et nous fixions ce sexe à portée de nous. De l’autre main, je me caressais aussi, et parfois j’allais câliner Agnès. On riait de la situation. Lui aussi. Il bandait de plus en plus, sans se toucher, juste sous l’effet de nos regards.
 Alors, en prenant de l’eau dans ma main, je l’aspergeais doucement et laissais couler l’eau sur son bel engin. Il sursautait et se dressait encore plus, juste de recevoir de l’eau. Le jeu lui convenait et lui procurait un immense plaisir, comme a nous. Agnès jouait a son tour, et nous admirions ce beau jouet, le beau corps musclé, et étions ravies de voir tressauter ce sexe chaque fois que l’une laissait couler de l’eau sur le bout du gland et que cette eau agissait comme une caresse.
 Et puis je l’ai attrapé, pris en main, avec un gémissement de bonheur. La situation, encore une fois, autant que la beauté de ce membre, apportait un gros plus à notre excitation.
 Et j’ai commencé de le branler. En jouant. Un moment inoubliable que ce superbe sexe dans ma main. L’eau, ajoutait à l’érotisme du moment. Lui a juste un instant caressé nos poitrines, puis s’est a nouveau agrippé à son matelas. Il nous offrait son sexe. C’est tout. Et il s’offrait un moment intense.
 Alors j’ai continué, et Agnès m’a rejoint. Et nous l’avons branlé, toutes les deux, ou parfois l’une de nous seule pour en profiter au mieux. On arrêtait par moment pour juste le caresser, jouer de ses boules, dessiner le contour de son gland avec nos doigts. Je prenais de l’eau et lui passait dessus pour le rafraîchir et il sursautait de plaisir. Tout le temps de nos caresses, nous n’avons pas échangé un mot. Juste des sourires. Lui heureux de se laisser masturber pas deux filles comme ca, et nous émerveillées de pouvoir toucher un membre aussi magnifique et dans une situation peu banale. Voir nos mains courir sur toute sa queue. J’ai quelques instants passé ma langue sur toute la longueur. Englouti furtivement dans ma bouche, pour sentir combien il brulait d’envie et comme elle était soyeuse sous ma langue. Difficile de le sucer sans se faire remarquer. Il a à peine retenu un petit cri. Mais pour moi le lécher de cette façon m’a fait chavirer. Superbe queue sur ma langue. Superbe souvenir.
 Il s’est crispé un moment, a regardé une dernière fois autour, puis s’est tendu, immense, face à nous, et il a jouit d’un seul jet, interminable, avec un cri retenu en se mordant les lèvres. Agnès à gémit aussi. Elle a pratiquement jouis aussi. Je sentais mon jus chaud dans l’eau froide entre mes cuisses. On ne lâchait plus notre jouet. Et avec un petit rire, il nous a fait comprendre qu’il devait le reprendre. Avec une main, je prenais de l’eau, et lavais cette queue brulante encore. Il se laissait faire. Heureux.
 On a reprit nos esprits, en discutant, mais à peine, dans l’eau. Je regardais toujours son sexe reprendre progressivement une taille normale. Il nous a caressés furtivement les fesses dans l’eau, en reprenant la direction de la plage. Et nous sommes revenus sur nos serviettes respectives. Avant de partir il est venu nous dire au revoir. Nous ne l’avons jamais revu.
 Une matinée inoubliable.
  Et  puis il y a notre crique.
 Là, c’est un endroit où l’on va si c’est pour y rester la journée. Vingt minutes de voiture. Route de montagne presque. Pour arriver sur un chemin de terre, qui sert de parking. Et ensuite la crique. Ce n’est pas très grand. Il y en a plusieurs sur cette côte, mais celle-ci est nudiste pour la plupart du temps. Ce n’est pas la seule, mais les autres sont encore plus loin et il faut marcher longtemps dans des broussailles avec d’y arriver. Là, on est vite installés. Plage étroite, un peu de verdure, pour s’abriter, et sur les cotés, pas mal de rochers. Sur la gauche, après les rochers, une autre petite plage, mais très petite, et la baignade impossible à cause des rochers dans l’eau. Nous y allons en se promenant. Ou pour s’isoler car les câlins y sont très faciles. On peut s’y allonger sans trop de risque d’être surpris. Le temps de traverser les rochers pour les « visiteurs », fait qu’on a le temps de se reprendre, de les voir arriver. Et comme il n’est pas utile de se rhabiller… Mais ceux qui sont sur la plage, connaissent le coin, et connaissent aussi l’utilité de cette 2eme plage. Alors si parfois certains s’y isolent, et que d’autres arrivent, selon les envies, les premiers continuent les câlins, sous les yeux des autres. Partage et connivence. Plaisir de voir, pour le plaisir de montrer. Cette petite plage m’était « interdite » avant. Depuis quelques temps, j’ai le droit et j’en profite.
 Avec Agnès, nous y avons déjà assisté à quelques moments d’intimité, de couples, et une fois d’un couple accompagné de 2 compères que la femme se régalait de sucer à tour de rôle, et ravie encore plus que nous assistions à son plaisir. Elle s’est fait prendre ensuite par les deux compères, pendant que son mari, entre deux photos, se masturbait énergiquement, soit en nous regardant, soit en glissant sa queue dans la bouche de son épouse. Spectacle assez sympa, même si un peu trop vulgaire dans la façon d’être de cette femme qui n’arrêtait pas de sortir des mots inutiles comme pour exciter ses mâles. Avis personnel. Un manque d’érotisme et de sensualité.
 Avec Agnès, nous avons nous aussi laissé un couple nous regarder faire l’amour à cet endroit. Un autre spectateur était là aussi. Un homme seul, qui était la à chaque fois que nous sommes passées. Son poste. Il ne bougeait pas. Nu sur son rocher. Un sexe droit qu’il caressait tranquillement, mais que je n’ai jamais vu jouir. Le couple lui, s’était mis à coté de nous, sans un mot. Un sourire pour que l’on comprenne que regarder était leur seule attente, et nous avions continué de nous caresser. Elle, assise à coté de lui, le tenait fermement, sans le branler et lui ne nous lâchait pas des yeux. Nous n’avons pas vraiment fait l’amour ce jour la, mais caressé longuement, jambes emmêlées, en s’embrassant avec fougue. Mais la situation manquait de « chaleur » à notre gout, et nous sommes reparties sur l’autre plage pour leur laisser la place. Elle, s’est installée sur lui juste avant que nous disparaissions de l’autre côté. Ils sont repassés peu de temps après. Visiblement contents. Tant mieux.
 Sinon sur la plage, on retrouve une ambiance très sympa, car pas mal de gens que l’on fini, d’années en années, par connaître un peu. Ma mère y retrouve fréquemment une copine de lecture. Les jours où il y a peu de monde et si il n’y a pas d’enfants, certains ne se déplacent pas sur la deuxième plage pour se laisser aller. Les habitués parfois, organisent un petit barbecue. Ambiance chaleureuse. Une ambiance assez érotique, de bonne humeur, et comme nous grandissons d’années en années, nous avons rapidement fait partie des « complices ». Au début protégées des regards et des moments chauds, nous avons progressivement basculé dans la complicité de ces instants, au fur et à mesure de notre curiosité, pour enfin être joueuses à part entière, sans retenues. Averties et accompagnées aussi. Education…
 Ce n’est pas non plus un endroit « orgiaque », mais plus ou moins discrètement, dans l’eau ou sur la plage, ou à l’écart sur des rochers, on peut facilement voir des couples, se laisser aller à des caresses, quelques fellations offertes aux voyeurs proches, et même partages entre certains. Il y règne une ambiance érotique, très coquine, sauf en présence de familles venues la sans penser à ce genre d’ambiance. Mais surtout les gens s’amusent. Un superbe couple, presque installé au même endroit, à peine caché d’un petit parasol posé en paravent, ont l’habitude de rester allongés, sur le coté, lui derrière et prenant sa femme, comme ca. Elle continue de bouquiner, tout en gémissant assez fort. Ses seins, refaits, s’agitent sous les secousses de son mec. Quand quelqu’un les regarde, elle pose son livre, se caresse les seins, et fait comprendre que son plaisir monte. On devine plus qu’on le voit. Ils terminent toujours avec un petit cri. Et ils vont à l’eau se laver. Jamais rien de très méchant et surtout rien la journée tant qu’il y a des enfants.
 Le soir, par contre, il peut s’y passer des choses très coquines. Sur la plage. Mais aussi sur les bateaux qui viennent se poser dans la crique. La journée ces plaisanciers, nus sur leurs bateaux, des habitués aussi, passent souvent de longs moments à bronzer, et aussi, en se baignant, à discuter avec les couples de la plage. Et le soir, ils invitent pour des diners sur l’eau, qui finissent par des soirées beaucoup plus intimes.
 Mes parents ont connu un de ces couples, propriétaire d’un superbe voilier en bois. Ils partent dés les beaux jours, d’un village du côté de la Camargue et font la côte jusqu'à Alicante, pour ne rentrer qu’au début du mois d’octobre. Ils vivent de leurs rentes malgré qu’il n’ait que 50 ans. Il gère des affaires à partir de son bateau. Sur leur route, ils ont un tas d’amis, et ils s’arrêtent souvent pour quelques jours, avant de repartir. Et cette crique, ils s’y arrêtent pour y retrouver des complices pour des soirées intimes. Ici et à d’autres endroits. Du coup, il nous est arrivé, de passer 2 jours avec eux, à vivre nus, sur le bateau le temps de descendre et de remonter dans un superbe village plus haut sur la cote, dîner au port, puis dodo et retour ici. Agnès et moi avons notre petite cabine, et le soir, soit nous restons avec eux, le temps de la soirée, soit nous descendons et les laissons tranquilles, soit l’inverse, eux en bas et nous sur le pont. Nous ne nous mêlons pas à leurs moments intimes, du moins les 1eres années. Depuis nous faisons partie de ce monde libertin et en profitons sans compter.  Par contre au début, vivre nus, tous ensemble sur un bateau, du matin au soir, avec dans l’esprit, qu’ils partagent les cabines et que nous le savons, que nous l’apercevons aussi, donne une petite ambiance électrique plutôt agréable.
 Une année, Fabien est venu nous rejoindre une semaine. Il est venu avec nous sur le voilier. Et cette fois nous aussi avons nos moments intimes. La journée nous avons fait l’amour tous les trois en cabine, et le soir, sur le pont du voilier, les parents et le couple en bas. Sur les 2 jours de la ballade, il était rare qu’il n’y ait pas un moment sensible.
 Le couple nous regardait avec gourmandise, sans trop cacher parfois leur envie de nous inviter, mais ils n’ont rien osé demander. Malgré la complicité très visible entre mes parents et moi, et parfois presque ambigüe, ils n’imaginaient pas me voir mêler à leurs jeux, même si ils voyaient que je jouais aussi de mon côté, sans complexes. A regret surement, à sentir son regard courir sur moi, pendant ce court séjour. Ce dont je ne me plaignais pas et dont je jouais avec toujours le même plaisir. Encore une fois, une complicité installée, et un respect mutuel. Je pense que sans la présence des parents, ils m’auraient invité à jouer avec eux. Agnès et Fabien aussi évidement.
 Cette année, mes parents ont découvert, avec un peu de surprise, la nudité de Fabien, le premier jour, dans le jardin, et sur le pont du voilier, quand nous l’embêtions un peu au point de l’obliger à plonger pour se calmer, maman regardait les débuts de réaction de son sexe avec des yeux gourmands. Ou bien quand nous étions dans l’eau, à nager autour du bateau, et que par moment l’une ou l’autre s’amusait à le câliner, et qu’elle regardait par-dessus bord, alors qu’il était « en main » et en forme…
 Jusqu’au moment, cet après-midi, où il dormait sur un transat, et qu’Agnès, à ses cotés, dormait avec une main posé sur la cuisse, presqu’a toucher le beau membre bronzé. Ce qu’elle faisait avant de dormir d’ailleurs. Elle m’a dit en riant que nous ne devions pas nous ennuyer avec lui, les yeux fixés sur son superbe membre tout lisse, et tout doré. Un gros bisou complice pour lui répondre… Elle m’avoue en riant qu’elle se laisserait bien tenter, et moi de lui répondre qu’il en serait surement ravi. Il est vrai qu’ils s’entendaient à merveille depuis qu’ils étaient arrivés et qu’une vraie complicité, saine, s’était installée entre eux. Elle jouait avec lui et il lui rendait bien. Et moi de les voir ainsi me faisait plaisir.  
 Il est vrai que de regarder ce corps musclé, lisse, doré, nu au soleil, et ce sexe sublime, pouvait donner des envies. Le couple, sur des transats également, le regardait. Elle fixait elle aussi notre « amant », et comme elle savait qu’on le partageait toutes les deux, elle regardait Agnès et me regardait, avec une envie évidente de le gouter à son tour. Mais des deux jours, même si l’ambiance était très « sexuelle », et qu’aux repas les conversations portaient généralement sur les joies du libertinage, ils n’ont rien tenté ni même demandé, juste suggéré. On savait tous, on en parlait, que nous faisions tous l’amour entre nous, et eux entre eux, mais la filiation nous interdisait d’aller au delà. L’ambiance était de toute façon bien assez électrique, et bien plus chaude qu’on ne pourrait déjà imaginer dans cette situation. Et c’était déjà très agréable à vivre.
 Voila l’ambiance de notre crique. Un endroit à la fois très calme, avec une tendance un peu sexy la journée, et parfois torride en soirée. Sexy la journée, car par rapport aux plages, même nudistes, de la ville, on peut se permettre des attitudes bien plus intimes, comme s’embrasser chaleureusement avec Agnès, laissant nos mains courir sur nos corps. Il arrive qu’en reprenant nos esprits et une attitude plus normale, on s’aperçoive que les voisins de plages nous regardent, profitant simplement du spectacle, même si ce n’est pas très méchant. Et que nous remarquons parfois un sexe tendu grâce à nous. Cela se termine généralement par un rire et une boutade.
 J’irai encore souvent « chez moi », là-bas…
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gracieuserobert · 5 years
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Gracieux horoscope d’halloween 2019
L'horoscope d’halloween de cette année est différent. Gracieuse a vu dans les astres ce qui pourrait se passer. Elle voit très clairement quand elle a abus... consomm.. BU certaines substances certifiées comme aidant à la détente et à la relaxation. Lisez donc ce qu’elle réserve à tout le monde. Vous pouvez trembler discrètement en avançant dans la lecture de chaque signe. Moi, je maîtrise à nouveau mes mains.
 BÉLIER
Votre technique de drague à la Famille Addams avec une promenade dans un cimetière, même celui du père Lachaise… ne sied pas à tout le monde. Vous comprenez ? Non ?
Bon, en clair, si vous l'emmenez au ciné, la personne invitée ne va pas avoir peur et vous pourrez même conclure. Sauf si elle trempe dans l'univers gothique, et là, je vous souhaite beaucoup de plaisir ! Oui, dans le cime…
Voix off de l’assistant : -- Gracieuse ! Ne commencez pas !
  TAUREAU
Un déguisement de Jack l’éventreur, après un forfait... Le collier d'intestins autour du cou, sur le costume, certes. Mais des vrais intestins de porc, achetés à l'abattoir en expliquant que vous allez faire du boudin ? Le décor de la maison avec du sang de porc est-il vraiment nécessaire ? Qui va nettoyer tout ça ? Hum ? Pas vous ?
Parfait ! Je vous félicite de bien apprendre mes leçons.
  GÉMEAUX
Vous avez prévu de draguer avec ses dents d’orc ?
Et lors d’un dîner aux chandelles, quand vous mangez de la sauce tomate… Vous imaginez encore conclure ? Hum ? Vous croyez que les femmes raffinées comme moi, ça court les rues ?
Voix off de l’assistant : -- Dieu merci !
 – Je vais me les faire !
Voix off de l’assistant : – Doucement Gracieuse, on avait dit qu’on regardait les astres pour l’halloween pour les adultes, vous deviez vous douter qu’ils vous feraient concurrence dans les idées saugrenues. Enfin je disais… inventives. Enfin vous me comprenez. Un chocolat ? Aux chips ?
  CANCER
Depuis combien de temps avez-vous décoré votre maison ? Hum ? Après la rentrée ? Mais doucement ! C'est bien gentil de se mettre dans l'ambiance, mais se balader avec une perruque et un chapeau de sorcière ou une tenue de squelette après la rentrée... C'est quand même un peu trop, non ?
  LION
Une fête d’halloween avec des vêtements de couleurs orange et noir ? Mais où avez-vous vu jouer ça ? C’est fashion ? Ah ben si vous le dites… N’empêche que c’est quand même très laid, et que c’est l’horreur pour les conseillères en relooking. Pari réussi.
Combien de fashion-victims en pleurs avez-vous fait fuir ?
Voix off : -- Seulement ? Vous y parvenez juste avec une vanne, vous…
  VIERGE 
Offrir des fleurs séchées, même des immortelles… Cela peut être mal pris.
Surtout quand vous comparez votre amour au bouquet de fleur que vous venez d’offrir. Ben oui, une femme ne va pas penser à l’amour immortel, mais au côté séché !
Débutant, va ! 
Mesdames, je sais que vous ne feriez jamais une telle stupidité...
  BALANCE
Quand vous recevez du monde durant la semaine d’halloween, le menu inventif, avec en entrée, des cheveux de sorcière, de cuisses de grenouile à la bave de crapaud, des queues de serpent en accompagnement et un dessert à l’arsenic…
Est-ce le menu, vraiment ? Vos invités ont-ils le sens de l’humour ?
Voix off de l'assistant : Vous voulez que certains lecteurs mangent beaucoup de dessert ? Pas bien ! Tsss... Je croirais que Gracieuse est mal influencée par certains auteurs autoedités, finalement... Enfin comme on dit, un autoédité, c’est…
-- Tu disais, mon p’tit bouchon ?
-- Que ce sont des gens très courageux qui se donnent les moyens de tout faire par eux-mêmes… Ou qui prennent un assistant pour…
  SCORPION !
Visionner un film d’horreur à halloween… Pourquoi pas ? La personne avec qui vous le regarderez va se blottir dans vos bras, tout ça…
Mais bon, pour la suite de la soirée, veillez à ce que ce ne soit pas trop traumatisant. Le film psychose, avec l’assassinat dans la douche, si vous aviez prévu un moment câlin dans la salle de bain… Ça peut être mal vécu… Cachez cet air vicieux que je ne saurais voir !
  SAGITTAIRE
Vous avez préparé des bonbons pour les enfants ? Bien ! Des petits sachets ? Bravo ! Que contiennent-ils ? Même pas une farce avec des bonbons au piment ? Ou des mon chéri ? Ou mieux, des bonbons au chou ?
pfff, bande de petits joueurs, je suis déçue. Je laisse mon assistant faire, tiens.
  CAPRICORNE
Voix off : – Alors, puisque je tiens le clavier, je vais vous donner un bon conseil d’Halloween. Etant donné que l’on fête les morts et que cette tradition se lie au Samain, vous pouvez aussi préparer les recettes rituelles de Samain. Avec Maman, chaque année, justement, nous préparons notre repas traditionnel, habillés en druides, coiffés de gui, une serpe à la ceinture. L’image est pittoresque, n’est-ce pas ?
  VERSEAU
Voix off : – Les déguisements pour adulte ne sont pas uniquement destinés à des soirées grivoises. Vous pouvez aussi, lors de cette fête, et ainsi vous amuser, avec des musiques un peu plus lugubres de Beethoven, et…
– C’est bon, ça suffit, je ne veux pas les punir autant. Laisse-moi continuer et reprendre le clavier.
Voix off : – C’est vous qui tapez, maintenant ?
  POISSONS
Une murder party, d’accord, un meurtre d’un voisin d’accord. Avec le cadavre du chien, d’accord. Mais êtes-vous obligé de tuer vraiment le chien ? Hum ?
  D’autres horoscopes sont disponibles sur www.gracieuserobert.com 
Et si vous en voulez encore, vous pouvez en retrouver dans 
Ou vous procurer le recueil en ebook
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28 mars 2015, 14h36.
- Allô ? - Oui ma chérie ! Où es-tu ? Je t’attends moi… - Je suis en route, là j’arrive dans 5 minutes. - Alors, soit gentille et reste au téléphone avec moi. - Mais, je conduis… J’arrive je te dis, patiente ma cousine ! - Je m’en fiche moi, tu n’as pas le droit de laisser ta chère et tendre cousine t’attendre seule, sans avoir la moindre conversation avec personne d’autre que moi-même… Est-ce que tu veux vraiment que les mecs qui sont en face de moi et qui n’attendent que de me voir remettre mon téléphone en poche viennent me draguer de la pire des manières ? Enfin, tu connais ce genre de… - Bon d’accord, je ne raccroche pas ! Ah la la… Donc tu disais, ton cours de philo ça a donné quoi ? Oh merde, purée, bordel y’a les…
Biiiiiip…
Voilà, 3 points sur mon permis viennent de s’envoler. Quelle poisse, quelle malchance monumentale. Me voilà face aux forces de l’ordre, très peu coopératifs. Enfin, je dois bien avouer que j’ai effectivement commis une infraction en ayant mon téléphone à la mains mais… Vous savez, cette injustice que l’on ressent lorsqu’on se fait prendre comme des gamins, qu’on ose se révolter, alors que nous devrions simplement nous faire tout petit et assumer nos erreurs. Mais l’homme n’aime pas être pointé du doigts. Quoi qu’il en soit, me voilà avec un solde très faible de points sur mon permis de conduire, permis que j’ai payé en ayant fais un crédit, et que j’ai mis plus d’un an à obtenir ! Je me dois de réparer mon erreur, après être aller voir ma cousine, et lui expliquer comme le fait de rester au téléphone avec elle pour ne pas que des hommes l’approchent m’a coûté cher.
Ma cousine, comment vous dire… C’est une joie de vivre. Ma famille est mon reflet. Je me vois en eux et les moments qu’on partage sont précieux. On ne choisit pas sa famille, mais si c’était le cas, j’aurais réitéré le choix qui s’est merveilleusement bien imposé à moi. Nous avions pour rituel de passer nos samedis après midi tous ensembles. Même si rien n’était programmé, on savait qu’on passerait un bon moment. C’est étrange comme la lassitude ne nous contamine pas. Nous avons fait les quatre cent coups, jamais à court d’idée. Seuls contre le monde. Je me souviens, comme nous aimions nous improviser un rôle. Le plus souvent, c’était en tant qu’invité aux mariages. Oui, il y a souvent un Mohammed dans la famille des époux, donc il était simple pour nous de le notifier comme notre oncle imaginaire qui avait eu la gentillesse de nous inviter. Ca marchait à tous les coups, et nous passions une soirée pleine d’émotion et de rire à en avoir mal au ventre. Parfois, nous ne faisions qu’une apparition. Un cortège bien animé par nos soins, et un manque de notre somptueuse présence.
Je rejoins ma cousine en ville. Toujours avec le sourire aux lèvres, elle avait le don de dédramatiser tout. “A chaque problème, sa solution” me dit-elle. Je suis comme elle, sauf lorsque le problème me touche particulièrement. Nous avons passé l’après-midi ensemble, à faire les magasins et manger un bon muffin à la framboise-oréo. Une fois l’après-midi écoulée, je la dépose chez ses parents, et je rentre chez les miens.
Les jours passent et toujours pas de contravention. J’espère secrètement que l’administration fiscale m’a oublié. Mais non. Le courrier arrive à destination. Au vu de l’enveloppe, je devine ce qu’elle contient “Contravention pour l’usage du téléphone … retrait de 3 points … amende minorée de 90 € …”. Se joint un autre courrier m’informant qu’étant en permis probatoire, j’ai l’obligation de passer un stage de récupération de point pour sensibilisation de la route. Quel budget ! Je vais devoir régler l’amende, et un stage de 2 jours non-stop, soit débourser pas loin de 400 € ! Quel misère. Je m’exécute donc, prenant la responsabilité de mes bêtises. Je réussi à trouver un stage, qui est fixé dans quelques semaines. En attendant, j’essaie d’effacer cette épisode peu fructueux de ma mémoire en pensant “A chaque problème, sa solution”. La solution est trouvée, le problème n’a donc plus lieu. On passe à autre chose en roulant sereinement, jusqu’à la prochaine intersection.
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STATUETTES D'IROKO RETENIR L'ETRE AIME POUR TOUTE SA VIE
- Magie d'amour |STATUETTES D'IROKO RETENIR L'ETRE AIME POUR TOUTE SA VIE: Retour affection de l'être aimé,Magie d'amour, Retour affection de l'être aimé, envoutement amour, désenvoutement amour, Trouver l'amour, draguer femme-fille, draguer homme-garçon, garder son foyer garder son homme, garder sa femme, retour affectif de son homme, retour affectif de sa femme, faire revenir son homme, faire revenir sa femme, faire l'amour avec la fille de mon rêve, faire l'amour avec l'homme de mon rêve, faire revenir son ex-amour,gagner le coeur d'un homme. RETENIR L'ETRE AIME POUR TOUTE SA VIE
Ces deux statuettes magiques , représentant une femme et un homme sont spécialement conçuent avec le tronc de l'arbre IROKO,qui est d'ailleur un arbre fétiche très puissant et reconnue par les maitres de l'univers et des formules très anciennes pour ramener vers vous ou pour retenir toutes personne qui vous est chère. Exemple: votre femme,mari,copain(e),partenaire,conjoint(e), et toute personne que vous désirez de tout votre coeur.Une fois que cette personne sera avec vous,vous n'allez plus perdre cette personne et plus rien ne pourra vous séparer sauf que vous même ,vous auriez décidé de la séparation. Il suffira d'invoquer son nom ,prénom et sa date de naissance y compris son signe astrologique et vos souhait afin de lui jeter un sort lors des rituels en prononçant des paroles perdue et formule magique d'amour tout en l'attachant avec une corde magique pour lier les deux statuettes. Âprès vous le jetterez dans la mer; Les deux tètes réunies.Plus rien ne pourra vous diviser et votre union sera comme vous l'auriez souhaité depuis toujours. GRAND MAITRE SPIRITUEL MEDIUM VOYANT
Voici mon site web : http://www.maitrelaterre.com  E-Mail: [email protected] Tel: 0022998574889 Whatsapp : 0022998574889
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juliarecits · 6 years
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Mes découvertes… Cédric (1)
  Cela fait un an maintenant que je vis ma sexualité avec Agnès, et nous faisons l’amour maintenant et de plus en plus souvent. Nous sommes un vrai couple. C’est de plus en plus agréable. Cette façon d’être, nous l’affichons avec fierté. Les regards sont en fait plus souvent amusés, plus curieux que méchants, et nous sommes heureuses de nous montrer amoureuses et amantes. Les couples de filles sont souvent plus discrètes mais nous, nous avons envie de montrer notre bonheur. Peut être aussi que nous sommes suffisamment à l’aise chez moi pour que puissions vivre cela normalement. Encouragées même. Alors du coup on a envie que tout le monde le sache.
 Et puis on se rend compte aussi, parmi les amis et les proches déjà, mais aussi parmi beaucoup de personnes que nous rencontrons, que cette attitude provoque, une curiosité et une certaine envie, et une certaine excitation. Deux filles ensemble, est quelque chose de « sexy ». Pour les hommes, bien sur, mais aussi pas mal de copines. Il nous arrive de flirter avec elles, en soirées, en ballades, ou toutes autres occasions. Quelque chose les attire en nous. Une fille du lycée a partagé notre lit plusieurs fois avec un immense bonheur, avant qu’elle ne retrouve un copain avec qui elle est toujours. Ma prof de tennis m’a rejoint un jour dans les vestiaires et nous sommes allés chez elle pour terminer ce que nous avions commencé sous la douche.
 Elle m’a avoué fondre en me regardant jouer depuis quelques temps, et surtout craquer en me voyant embrassé Agnès avec autant de sensualité et sans aucunes retenues. Et pourtant elle n’avait jamais touché une fille de sa vie, et n’y pensait pas, mais notre liberté, et mon allure provocante parfois sur les courts, la faisait fantasmer depuis des mois. Mon âge aussi la dérangeait, mais ma façon d’être lui paraissait assez mature pour oser m’approcher. Elle était venue dans le vestiaire ou j’étais seule à me laver. Elle m’a demandé l’autorisation de se doucher également, ce qu’elle ne fait jamais. Sous la douche, où elle m’a rejointe, elle avait osé me laver dans le dos et s’était électrocutée en caressant mes seins. Nous avions commencé à nous enlacer, nues toutes les deux, en nous lavant mutuellement, et c’est avec une envie folle que nous sommes rentrées chez elle où nous avons fait l’amour avec énormément de passion. Son corps musclé pour une femme de 45 ans me donnait des frissons quand je la caressais. Elle hurlait de plaisir quand après m’avoir déshabillé, et qu’elle se frottait à moi, elle se perdait entre mes jambes ou se laissait déguster. Nous nous sommes retrouvés plusieurs fois après les matchs, chez elle. Elle pouvait me recevoir que lorsque son mari n’était pas présent. Je me douchais chez elle, et chaque fois elle venait me laver, sorte de rituel, m’habillait d’une jupette pour prendre un thé ou autre avant de glisser sous moi pour me dévorer. Et 2 fois, je suis venue avec Agnès et nous avons fait l’amour toutes les 3. Superbes moments. Au début c’est nous qui la dirigeons dans les gestes amoureux. Elle se donnait de plus en plus et les instants que nous passions ensembles étaient torrides.
 Les garçons fantasment aussi beaucoup. Voir deux filles faire l’amour et partager avec elles… Le fantasme numéro 1 chez les mecs. Une conversation à table avec mes parents nous a confirmé ce fait. Ils se sont marré et papa à même confié que c’était un spectacle inoubliable ! Et puis je me suis rendu compte du regard des hommes et comment je pouvais les séduire simplement en embrassant Agnès devant eux. Les sourires et regards coquins dans ces moments là, me font comprendre combien ces attitudes peuvent vite déboussoler ces messieurs et j’aime en jouer. Je découvre encore plus le pouvoir que je peux avoir sur les hommes, par mes tenues déjà, mon allure sexy et aussi le fait d’être libre avec Agnès. Je leur retourne souvent un sourire et l’effet en est toujours plus intense. Je lis dans leurs yeux quand nous sommes enlacées, qu’ils aimeraient beaucoup partagés ce moment avec nous.  
Les garçons nous regardent beaucoup en effet. Cela n’est pas pour nous déplaire. Plus pour moi d’ailleurs que pour Agnès. On en parle, mais elle s’en moque un peu. Moi j’avoue que j’aime bien jouer à les séduire, à me rendre désirable, que j’aime beaucoup les regards allumés de ces messieurs sur moi. J’ai découvert cela lors de ma première séance photo où pour la première fois j’ai posé pour de la lingerie. Lingerie correspondant à mon âge évidement, mais me promener quasi nue et sexy sous les yeux de mon photographe et de tout une équipe de technicien m’a encore prouvé le pouvoir que je pouvais avoir sur les hommes. Je me plais à séduire les « Messieurs », plus que les garçons de mon âge d’ailleurs. La petite lueur supplémentaire, le sourire complice et coquin de ces Hommes bien plus âgés me donnent toujours un petit frisson.
 Maintenant j’avoue que faire l’amour avec un garçon, me fait terriblement envie. Il est vrai qu’a mon âge, cela devient une préoccupation chez les filles. Pas toutes, mais moi oui, et beaucoup. Et comme notre sexualité à toutes les deux est déjà bien développée… Dans ma tête je me vois bien faire l’amour avec un homme. Je l’imagine avec son sexe en moi. L’image et cette sensation d’un sexe grossissant dans ma main, comme une petite bête à ma merci, et n’attendant qu’un signal pour me pénétrer… J’en ai envie. Pas envie de « sortir » avec un garçon. Agnès prend toute la place dans mon cœur. Je ne pense qu’au plaisir. Rien d’autre. En fait, tout ce qui est lié au plaisir me tente, me fait envie. La liberté à la maison par rapport au sexe, la complicité très forte installée depuis un moment déjà, font que je suis curieuse de tout, et qu’il me semble normal de ressentir des choses, d’en parler, et d’oser aller dans ce sens. Et on en parle souvent. J’ai l’image d’un homme sur moi, comme avec Agnès, nus, son sexe me pénétrant, je sens cette chaleur en moi. Même si je n’ai jamais connu, je le ressens, j’en ai très envie. Je suis souvent trempée de cette image. Et je me caresse en regardant parfois les films adultes que j’emprunte à la maison, ou que je regarde avec eux pour aller ensuite rêver de ces sexes en nombres, tourner autour de moi avant de me prendre et j’en ressens déjà le plaisir.
 On en parle avec Agnès, et on flirte de plus en plus souvent avec des copains. Flirts très poussés. Il m’arrive de me retrouver avec un sexe en main, et des mains qui me fouillent de partout. Je regarde et sens ce sexe et je l’imagine se glisser dans mon minou. On ne fait pas l’amour, mais il n’en faudrait pas beaucoup. Ces garçons ne me plaisent pas assez je pense. J’ai aussi appris depuis peu à prendre un sexe en bouche, et je m’en délecte au plus au point. Un nouveau plaisir que je commence à pratiquer avec joie. Nous avons partagé ce plaisir avec Agnès une fois lors d’une promenade en forêt avec un de nos copains. Nous ne lui avons pas fait l’amour, mais toutes les deux oui, devant lui, pour le rendre fou. Et ensuite il a subi nos bouches avec une joie immense. Peut être maladroites à cette époque, mais il avait explosé et hurlé son plaisir. La maladresse ne devait pas être si pénible…
 Et puis j’en ai trop envie. J’en parle avec Agnès, encore réservée. Et, avec un certain culot, je me mets à draguer ouvertement un très bon copain du club de tennis. Il à 19 ans. Beau. Très gentil. Il a déjà eu quelques succès auprès des filles du club. Nous nous entendons super bien et nous passons déjà pas mal de temps ensemble en dehors du tennis. Il est un petit peu mon grand frère au club. Il semble m’apprécier malgré que je sois plus jeune. Mon style doit y être pour quelque chose.
 Puis un jour, je lui demande de me ramener à la maison. Dans la voiture, je le vois regarder mes cuisses sous ma jupette de tennis, très courte, que j’ai gardée, volontairement, car elle me permet d’être sexy en dehors des courts, et il regarde aussi mes seins, libérés du soutien-gorge de sport, et je pointe, plus de plaisir que de froid en ce mois de juin. Mon petit haut sans dessous me dessine au mieux et j’ai pu me rendre compte de l’effet produit en partant du club. Tous les messieurs présents se retournent sur mon passage… Et Cédric, même en bon copain, semble apprécier le spectacle de mes longues jambes nues. Et moi cela me ravit. J’ai dans la tête de me faire désirer et cela semble fonctionner. J’avais envie déjà ce matin, de me faire raccompagner par lui. J’avais choisis une tenue plus sexy qu’à l’habitude. En quittant le vestiaire j’ai juste quitté ma culotte pour mettre un petit string, blanc, léger, du genre à ne pas couvrir beaucoup. Je pensais ne rien mettre comme j’aime le faire déjà souvent, mais je n’ai pas osé. Je m’arrange pour que ma jupe remonte au mieux afin de lui offrir une superbe vue plongeante sur mon entre-jambes, sur la petite dentelle de ce string. A voir ses yeux qui m’observent, je fonds et tout mon corps est traversé d’une agréable chaleur. Un frisson humide sous mon string. Il me traverse même l’idée de me faire prendre en forêt quand nous traversons un secteur calme…
 Arrivés chez moi, je lui propose de rentrer comme il le fait souvent. Le temps de papoter un peu. Ses yeux sur moi quand je descends de la voiture me donnent de plus en plus chaud, et j’accentue ma cambrure en passant devant lui pour ouvrir la maison. Je m’offre au mieux à son regard que je sais posé sur moi. Le temps d’ouvrir la porte, je sens ses yeux parcourir ma poitrine et glisser sur mes fesses et mes cuisses. Sensation agréable que de lui plaire et de me sentir déshabillée du regard. Je suis humide. Trempée.
 Nous traversons la maison pour nous installer sur la terrasse du jardin avant que je ne file sous la douche. Il est étonné mais émerveillé de me voir quitter mon petit haut en le passant par-dessus la tête et ce, avant même d’avoir traversé le salon. Geste pas innocent de ma part, et même volontaire, même si c’est assez habituel à la maison, que de se promener très peu vêtu, surtout en cette saison, j’évite en général de le faire devant des invités. Mais c’est un réflexe, et à l’instant, c’est une provocation. Notre jardin à l’abri des regards nous permet de vivre à l’aise et nous en profitons très souvent pour y manger nus sur la terrasse. Un prolongement de nos habitudes espagnoles. Il arrive même, en été, de rester un dimanche entier sans ne jamais s’habiller pour profiter au mieux du soleil. Mais Cédric n’a pas cette habitude et le spectacle le ravit. Seins nus et petite jupette. J’en rajoute encore en faisant rouler mon string, de sous ma jupe, jusqu’au sol et je le ramasse. Très naturellement. Très coquine. Pour lui c’est énorme. Je sais qu’à cet instant il a envie de moi. Je sais que moi j’en ai envie.  
 Assis au salon de jardin, il est penché pour me suivre du regard. Je m’arrange pour qu’il profite du spectacle en m’arrêtant mettre de la musique et en paradant en jupe et seins nus dans le salon. Naturelle. Innocente. Je pose comme j’ai déjà un peu appris à le faire, seins arrogants, petite mimique coquine en lisant la pochette du CD. Je lui demande s’il aime ce que je passe comme musique, et pour me répondre il doit me regarder, à la fois un peu gêné et en même temps ses yeux ont du mal à quitté ma poitrine nue, surtout quand je ressort sur la terrasse pour lui tendre la boite du cd, et que dans l’autre main je tiens mon string, en cachant, plus ou moins ma poitrine. Mes seins pointent, comme un appel. Je sais qu’il a envie de me toucher, et moi je n’attends que ca. Je suis quasi nue et a portée de mains. Je me doute que pour lui le spectacle doit être plaisant, et même excitant. Et pour moi m’offrir de la sorte me donne une chaleur immense. Je m’offre encore plus que je n’aurais pensé le faire. Je sens une ambiance électrique qui me plait. Il doit avoir une belle érection. Et de savoir que c’est juste à cause de moi…
 Sous la douche je ne peux m’empêcher de me donner un peu de plaisir en pensant à mon petit jeu dans le salon. Seins nus et nue sous ma jupette. Cette façon d’être me provoque toujours des chaleurs immenses dans les reins. Se sentir désirée, provoquer, séduire avec mon corps, offerte, c’est un régal. Et de plus j’ai envie d’un garçon et je veux que ce soit lui. Je sais que ce sera lui. Bientôt. Maintenant !
 Je retourne sur la terrasse avec juste un shorty rose que j’ai attrapé au passage et une serviette avec laquelle je m’essuie les cheveux, cachant à peine mon buste par moment avec un geste faussement pudique, comme si je m’apercevais d’un coup de ma tenue. Je lui propose de lui faire un thé. Je jette alors ma serviette sur une chaise et je repars en cuisine. Volontairement sexy dans mon geste. Je me retrouve naturellement nue comme j’aime l’être, juste ce shorty, qui, je le sais, me dessine merveilleusement bien les fesses et doit être pour lui un spectacle affolant. Mon père le trouve scandaleux. Mais il raffole de me voir avec. Il dit qu’il « dessine ce que des yeux n’auraient peut être pas remarqué sans »… Poète parfois…
 Je joue pas mal d’un déhanchement sexy, pour ajouter un peu à la tentation. Il me regarde partir comme ca avec une lumière dans les yeux qui me donne encore plus envie de continuer. Je reviens avec le thé et m’installe en face de lui sans chercher à me couvrir. Je fais en sorte qu’il puisse m’admirer comme j’aime que l’on m’admire. Je sens son regard sur moi avec beaucoup de chaleur. Il me détaille et je suis en train de m’offrir. La chaleur monte. Je sais que ce que je fais à cet instant est de la provocation, mais je le fais de façon naturelle, comme une petite fille impudique.  
 Il me connait très bien, mais de me voir être aussi à l’aise dans cette tenue et devant lui… Il me prend du regard. Il me scrute avec des yeux étonnés et gourmands à la fois. Il m’a déjà vu ainsi, dans les vestiaires, mais plutôt aperçu, furtivement, et une fois en forêt également, à l’occasion d’un pique nique, où je m’étais changée devant lui et d’autres copains qui avaient apprécié d’ailleurs mon côté nature et sans pudeur. Mais ce fut furtif. Juste le temps de changer un tee-shirt et d’offrir, volontairement et avec un sourire, ma poitrine aux trois garçons, qui n’avaient rien loupé. Il sait que cela me vient aussi de mon éducation et de mes habitudes « naturistes ».
 Il se marre en me regardant aller et venir dans cette tenue et finit par me dire qu’il me trouve superbe, que j’ai de jolis seins, de jolies fesses, des jambes sublimes, tout en me détaillant et en se marrant. Je le remercie en souriant et en me donnant encore mieux, droite, seins arrogants, coquine. Il se mare et me dit que si je n’étais pas sa copine, il me sauterait dessus ! Tellement…
 Et moi de lui répondre que s’il en a envie, et bien, que je n’ai rien contre… bien au contraire.
 Il est soufflé ! Il se ressaisit et me demande s’il a bien compris.
 Et là je lui demande directement s’il veut bien me faire l’amour. Comme ca. Sans détours.
 Sa tête ressemble à un bonhomme de bande dessinée recevant un rocher tombé du ciel !
 La surprise étant passée et devant mon air naturel et décidé, il me parle d’Agnès, de notre relation, de lui, pourquoi lui ? Qu’il me trouve bien plus que désirable, mais qu’il ne lui semble pas être amoureux. Que ce n’est pas ce qu’il était venu chercher en m’accompagnant. A quoi je lui réponds tout naturellement, que je ne suis pas amoureuse de lui moi non plus, mais que je l’apprécie énormément et que cela n’a rien à voir avec Agnès. Qu’elle et moi faisons l’amour de façon torride et amoureuse, et que rien ne changera. Je l’aime. Mais que je veux absolument faire l’amour avec un garçon et qu’il est le seul avec qui j’ai envie de le faire. Il attend une suite à mon explication, et comme elle ne vient pas il reste un moment à me regarder sans rien dire. Il lui faut digérer mes paroles.
 Evidement qu’il a très envie de moi. Depuis longtemps déjà. Mais je suis sa « copine », il me trouve très jolie et très sexy, il est fier de se promener avec moi, mais quelque chose le retient pour me draguer plus que ca. Il aime bien notre complicité, et la place qu’il a vis-à-vis des autres copains. Des petits moments d’intimité partagés parfois, dans les vestiaires, et quand il vient me chercher ici, et qu’il me voit évoluer dans des tenues souvent très sexys. Bien sur qu’il me désire, mais…
 Il me redemande un thé. Il est plutôt perdu devant mon audace. Je lui ressers et j’en profite pour m’approcher et lui offrir mon ventre à hauteur de ses yeux. Il me regarde, me demande si je suis folle ou sérieuse. Mes seins pointent de plus belle à portée se sa bouche. Tentation extrême. Il ajoute que l’envie pour lui est évidente, que je suis très belle et très excitante, mais la situation peu banale. Sur ce, avant qu’il ne reprenne sa tasse, je l’enjambe et m’assoies sur lui, face à lui, à califourchon. On se marre 2 minutes puis il ose m’embrasser un sein, et commence à me caresser. Ses mains dans mon dos, sur mes cuisses. J’ai chaud. Mes seins se gonflent et durcissent comme pour l’encourager. Je descends ma main à la rencontre de ce que je convoite en rêve depuis un moment. Je passe ma main dans son jeans, attrape son sexe brulant. Il est dur. C’est sur ! Je le veux ! Et je commence de le branler doucement en lui offrant un sein et en me caressant l’autre. J’ai envie et mon bassin ondule sur lui. Je vais à la rencontre de son sexe. Je le veux. Et je l’embrasse. Je cherche sa langue et je joue avec. Tension extrême !
 On se câline un moment, comme ca, puis il me demande QUAND je VEUX le faire, en riant, et en ajoutant : « puisque c’est une commande… » Et je lui dis que je suis prête, en avançant mon ventre à la rencontre de son membre étriqué dans son jeans. Je me frotte quelques instants dessus et je le sens bien comme ca, dur. Je mouille mon shorty et il le voit. Il me mange la poitrine de plus belle, et moi je suis posée sur son membre, encore plus dur.
 Alors je l’emmène dans ma chambre. Je m’installe sur mon lit pendant qu’il se déshabille. Je regarde avec délice son buste, que je connais déjà, mais cette fois il est pour moi. Puis il descend son jeans et je guette comme une môme l’objet de mon désir. Il est un peu intimidé quand même devant mon assurance. Et il me redemande plusieurs fois si je suis vraiment bien décidée à me donner à lui. Et de lui expliquer à nouveau que j’en ai fort envie et qu’il est le seul à qui je peux demander ca, et pour une simple raison, c’est qu’il est le seul en qui je peux avoir confiance. Et confiance à ce point là. Et quand je lui demande si je ne lui plais pas assez, il me saute dessus en m’avouant que ca fait déjà un moment qu’il me regarde avec un vrai plaisir et qu’il est fière de se promener avec une fille comme moi et que… Je me plaque à lui, l’embrasse comme je sais le faire pour affoler Agnès. Et lui, il s’affole aussi. Et nous partons dans un corps à corps assez torride un moment, à se caresser, s’embrasser, et je commence à fouiller dans son boxer pour malaxer son sexe avec vigueur. Il est très excité. Il bande très fort. Je le branle gentiment. Il passe un moment entre mes jambes à me caresser, me manger, me dévorer. Je suis brûlante de désir, et son membre grossit et me brule les mains aussi. Je me colle à lui de tout mon corps. Je suis folle d’envie, excitée de savoir que je vais me donner.  
 On se calme un peu pour parler encore de mon envie et de ma façon de voir ce moment. Je lui explique que pour moi c’est une envie, une recherche de plaisir, et un désir de découvrir dans les bras de quelqu’un que j’apprécie. Que je l’ai choisi, et que ce n’est pas un hasard. Il semble se rassurer. Je commence alors à quitter mon shorty, et me caresser seule sous ses yeux, comme je le fais souvent avec Agnès. Il savoure le spectacle de mes doigts en moi et sur moi. De l’autre main je tire sur son boxer pour qu’il puisse être à ma disposition. Il se relève et fini de se mettre nu. Il est complètement à l’aise maintenant, et vu comme il bande en se retournant, il a lui aussi une très forte envie. Il me rejoint et je continue de me faire du bien tout en le branlant. Sur le dos, j’offre à ses yeux mon corps, et mon plaisir, en ouvrant au mieux mes jambes et en me masturbant de plus en plus fort. Jeu habituel avec Agnès. Se faire du bien sous les yeux de l’autre est un moment merveilleux et très excitant pour tout le monde. Il savoure de me voir me cambrer sous la pression de mes doigts. Il m’admire et me sourit.
 Puis je me penche sur lui pour l’engloutir dans ma bouche, sans attendre, avec gourmandise. Le contact de sa queue sur ma langue me fait gémir et couler comme rarement. Elle est belle et bien chaude. Une bonne odeur également qui vient de son sexe. Des frissons énormes dans tout le corps. Ce sexe est à moi. Il est surpris de mon geste. Mais il se laisse faire, et me dit en gémissant que j’ai une bouche experte. Très fière, je le lèche et le mâche de plus belle. Il est bon son sexe. Je le sens vibrer sur ma langue. Je gémis aussi du plaisir que j’ai à le manger de la sorte. Je me sens merveilleusement bien dans cette attitude. Son sexe, dur et tendre, soyeux, qui répond à ma bouche, que je sens vivre sur ma langue. Sensation superbe ! Je me sens faite pour le plaisir, les plaisirs. Son regard perdu et ses petits cris me confirment que je dois lui faire un bien fou avec ma bouche et ma langue. Et moi, de sentir sa réaction me fait couler encore plus. J’aime ce sexe sur ma langue.
 Il m’arrête à regret et s’occupe de moi. Je me laisse aller. Il me fouille de sa langue et je monte mon ventre en gémissant à la rencontre de sa bouche. Je vois sa tête enfouie entre mes jambes, ses mains qui courent partout sur moi, et je le sens m’aspirer, me lécher, m’embrasser. C’’est la première bouche en dehors d’Agnès qui me donne autant de plaisir. Je prends sa tête, la presse sur mon sexe, et m’agite comme une folle sur sa bouche. Et là, en me caressant de façon précise, il me chuchote que si je veux bien, qu’il va me prendre maintenant pour ne pas risquer de succomber trop rapidement tellement je l’ai excité depuis que nous sommes arrivés. Il m’avoue n’avoir jamais été autant excité avec une fille. J’en coule de plus belle. Je m’abandonne. Je vais me faire prendre. Je vais me faire baiser. Je le voulais. J’y suis. Viens !
 Il s’installe entre mes jambes ouvertes. Et avant de remonter, il me lèche quelques minutes, pour bien me goûter et je coule dans sa bouche. Je sens sa langue me pénétrer avec force, avec gourmandise. Il me déguste. Tout aussi bien qu’Agnès peut me le faire. Puis il remonte poser sa queue entre les lèvres de mon minou qui l’attend avec beaucoup d’envie. J’en sursaute de joie. Elle est posée, brulante entre mes lèvres. Je la sens, dure et brûlante sur toute la longueur de mon sexe. Ce contact est énorme. Ma petite chatte humide et chaude qui embrasse son sexe brulant…
 Je sens son gland se promener sur ma vulve, il me brule, et je l’imagine bientôt en moi. Mon ventre est secoué tellement le contact de sa queue m’électrise. Je savoure la vue de mon minou, trempé, ouvert, et de son sexe tendu, rouge. Ils semblent se désirer, s’observer tous les deux. Il se frotte doucement, et me demande si je veux le recevoir, s’il est invité ? Je l’attrape et guide son gland entre mes lèvres. Je le frotte sur mon bouton puis sur la longueur de mon minou, je veux le sentir partout, je m’écarte au mieux. Je lui fais signe. Et je sens quelques chose de chaud, de doux, de terriblement agréable m’envahir. Indéfinissable sensation que ce contact au plus intime de moi. Un sexe.
 J’avais un peu peur un instant avant de monter dans la chambre, mais là, je suis complètement libérée. Et il continue de me pénétrer, de s’enfoncer, en douceur, sans bouger. Juste être en moi. Et je suis toute tendue vers lui. Je l’engloutie. Je l’aspire avec mon sexe. Je regarde sa queue entrer doucement en moi, s’enfoncer. Sensation à la fois exquise et étrange. Je suis heureuse. En sueur. Comblée. J’ai un sexe en moi et c’est encore mieux qu’en rêve. Je voudrais recommencer cet instant. Ressentir ce premier contact chaud glisser entre mes lèvres, et m’envahir.
 Mon premier sexe. Sensation sublime. Il est au fond je le sens. J’admire le spectacle de sa queue presque entière enfouie en moi. Il m’interroge du regard. Je luis dis que c’est extra. Mieux que ce que j’en attendais. Que je ne vois pas qui aurait pu être à sa place et que c’est merveilleux. Je mords mes lèvres et mes yeux se remplissent de larmes tellement le moment est sublime. Je suis prise ! Il sourit et commence à aller et venir en moi, tout en douceur. Je ressens sa queue sur toutes les parois de mon sexe. Il me fouille partout. Je ne pensais pas que ca puisse me combler comme ca. Je gémis à mon tour. Je suis trop bien. Et lui continue de me prendre, mais calmement. Il ressort complètement et me pénètre à nouveau. Génial ! Je me tends un maximum pour mieux le sentir. Quand il ressort à nouveau, mon sexe va le chercher, tellement je le veux en moi. Et on continue ainsi un long moment. Il est chaud en moi. C’est trop bon. Il remonte un peu et maintenant son sexe me frotte le bouton à chaque mouvement. Toute ma chatte ressent du plaisir, mes lèvres, mon bouton, ma vulve et toutes les parois de mon minou sont excitées. Il bouge dans tous les sens, et j’ai une sensation folle d’avoir comme plusieurs queues en moi. J’ai des frissons tout le corps. Je transpire, j’ai chaud, c’est agréable. Je jouis. Des petites jouissances répétitives. Jusqu’à un frisson bien plus fort. Je pousse des petits cris à chaque fois qu’il entre encore. Je jouis avec une queue dans moi. Pas plus qu’avec Agnès, différemment. Un autre immense plaisir. Une autre sensation. Un bonheur. Je jouis beaucoup de cette situation dont je rêvais depuis un moment.
 Lui me regarde prendre mon plaisir, et commence à grimacer de douleur. Il me dit qu’il a envie à son tour et qu’il va chercher un préservatif. Juste le temps de lui faire comprendre que s’il est sur de lui je préfère le garder en moi. Nous sommes suffisamment proches pour nous faire confiance. Alors il reprend ses mouvements et je ressens encore des frissons. Il me prend de plus en plus fort, vite, il me fait vibrer, je le sens au plus profond. Mon sexe est trempé, électrisé, sensible, et me procure des sensations nouvelles, et je sens comme il enveloppe cette merveilleuse queue, comme un baiser langoureux de toute ma chatte sur lui. Puis il accélère, il me prend un peu plus fort jusqu’a ce qu’il se tende, reste au fond de moi, pousse un petit cri et je sens son jus brulant jaillir dans moi. J’ai fais l’amour ! C’est génial ! Trop bien !
 Il reste en moi un moment pour se reprendre, il m’embrasse, puis on se retrouve côte à côte pour se couvrir de baisers et de gestes tendres. J’ai plaisir à caresser cette queue qui est toute mouillée de moi, de lui. Elle se détend et je ne résiste pas à la reprendre en bouche. Comme pour la remercier du plaisir qu’elle m’a donné. Elle est chaude et humide sur ma langue. Mon gout et le sien mêlés… Elle coule sur ma langue et j’apprécie. Puis elle diminue dans ma bouche et semble elle aussi, heureuse du moment qu’elle a passé au fond de moi.
 Puis on parle.
 Il comprend que je ne souhaite que faire l’amour avec lui. Ne pas être « avec » lui. Que je suis bien consciente de ce que je lui ai demandé. Que j’en suis très heureuse. Que rien ne va changer entre nous, si ce n’est une complicité particulière. Que je veux que l’on recommence quand il le souhaite ou moi, mais qu’il n’est pas juste un sexe. Il est mon ami, et maintenant le plus intime de mes amis. Qu’il ne doit pas s’installer de relation amoureuse plus forte que celle que l’on connait déjà. C’est presque un « pacte » de mômes que l’on signe là, sur mon lit, nus et en sueur. Et moi j’en suis fière. Et nous refaisons l’amour avec joie, sans retenues, en riant, en jouant, comme si nous avions toujours fait cela ensemble. Je suis comblée de pouvoir me faire prendre ainsi sans plus de complications que cela. Faire l’amour. Etre bien. Un nouveau plaisir.
 Notre pacte a tenu et tient toujours. Nous faisons l’amour parfois, quand j’en ai envie de lui, ou lui de moi. On s’appelle et on décide de le faire, tout simplement. Agnès me demande chaque fois comment ca se passe. Elle me questionne sur mon plaisir. Elle est complice aussi avec lui. Ils me partagent, même si Agnès a une place particulière. Il le sait. Elle le sait. Nous vivons quelque chose de magnifique, et moi un peu plus qu’eux deux. Je prends un plaisir fou entre ses bras à elle et avec lui aussi. J’ai la chance de pouvoir me partager avec eux.
 Je les aime, différemment, mais je les aime.
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