#retrouvée dans congélateur

[kingonews]

COMMENT UNE BENINOISE FUT TUÉE ET RETROUVÉE DANS LE CONGÉLATEUR DE SON COMPAGNON BOUCHER EN FRANCE.

L’on en sait un peu plus désormais dans l’affaire de la beninoise tuée en France par son copain Algérien et dont le corps a été retrouvé, découpé dans un congélateur. De source très proche de sa famille contactée en France, la victime connue sous le nom Déo est une mère de trois enfants. L’aîné serait d’un père autre que les deux derniers. La victime qui a déjà rompu avec ses deux premiers maris…

[verver]

TUMEURS URBAINES

Épisode 10

Schlak ! Schlak ! schlak !

Ava découpait le vieux avec détermination, elle avait déposé le corps du père de Michel sur la table à manger.

Sa feuille de boucher à la main elle entreprit de découper le vieux en morceaux à peu près égaux avec vigueur et minutie.

Elle s'octroya une petite pose pour fumer et boire une bière en regardant couler le sang sur les côtes de la table , le parquet était inondé par une impressionnante mare de sang.

Ava pataugeait dedans , heureusement elle avait tout prévu, la combinaison, des masques et des bottes, non pas qu'elle soit habituée à se genre d'activité mais son instinct lui avait dicté qu'il fallait prendre beaucoup de précautions.

Elle écoutait Alain bashung sur son i phone, elle écoutait à fond...

A l'arrière des berlines...

Osez Josephine...en buvant sa bière. Auparavant Ava avait démembré la femme puis l'avait fourré dans un immense congélateur à moitié plein.

Bashung continuait à dérouler ses chansons . Maintenant c'était...madame rêve...chantait-il de sa voix rocailleuse.

Ava continua sa lourde mission, la découpe du vieux avec ardeur et courage.

Elle acheva sa sinistre besogne fatiguée, épuisée, ivre d'avoir la sensation de venger Michel.

Michel son seul amour . Elle tenait ses parents pour responsables de sa mort, elle pensait que c'était des parents indignes, intolérants peut-être trop âgés, dépassés par leur fils.

Les yeux chargés de haine, elle péta le crâne du vieux en deux,d'un coup sec avec sa feuille boucher.

Soupirant elle regarda le crâne fendu , celui-ci offrait un plan de coupe qu'elle regardait hypnotisée.

Ça lui rappelait son grand-père à la ferme qui assommait un lapin puis l'attachait à une branche d'arbre pour le dépecer et le vider, ensuite il le découpait en morceaux et coupait la tête en deux.

Le crâne du vieux , lui rappelait le lapin sacrifié par son grand-père.

Son regard fixe et hypnotique scrutait les détails la moitié du cerveau et le côté de la langue et de la dentition.

Pas de doute ça ressemblait au lapin de son grand-père.

Elle laissa le crâne fendu sur la table . Elle décida de s'enquiller une autre bière en réfléchissant à son plan , tout avait fonctionné à merveille.

Elle avait d'abord téléphoné aux vieux en prenant comme prétexte qu'elle avait retrouvé une lettre de Michel qui tenait des propos pas très corrects sur eux , des propos infâmes, elle estimait que ce n'était pas juste , que Michel avait exagéré la situation, qu'ils ne méritaient pas cela , elle voulait leur donner cette lettre tout cela avec une voix mielleuse, ils étaient tombés dans le piège.

Ils avaient donné rendez-vous à Ava le samedi matin dans leur maison de campagne.

Un voyage en train avait amené Ava à une cinquantaine de kilomètres de chez elle.

Leur maison était en surplomb du Rhône et était relativement isolée.

Tout cela elle le savait , Michel lui avait parler de cette maison qu'il détestait.

Elle les avait endormi avec un puissant somnifère, elle avait continué la discussion en attendant l'effet du cocktail.

Très vite ils avaient sombré dans un coma profond, là Ava était passé à l'action portée par la haine qui l'habitait depuis la mort de Michel.

[lunaseb11]

SORTIE 2: Marché Atwater

Malgré le fait que je vais plusieurs fois par année au Marché Jean-Talon, lorsque j’y vais, je sais ce que je chercher et je ne regarde pas tous les produits qui se trouvent autour de moi. En consacrant ma sortie au Marché à la découverte de nouveaux produits, je me suis retrouvée assez surprise. Il y a plusieurs enseignes de magasins que je connaissais mais n’étais jamais rentrée à l’intérieur, j’en ai donc profité pour faire un grand tour. J’ai découvert toutes sortes d’épices très intéressante qu'il me tarde d’essayer, ainsi que plusieurs fruits et légumes qui m’étaient méconnus. J’ai acheté quelques petites choses provenant des magasins et des comptoirs de bouffe pour savourer des gouts nouveaux. 

La prochaine fois que j’y retournerais, je vais garder l’œil ouvert et prendre mon temps en faisant le tour du Marché. J’ai bien hâte d’essayer de nouveaux aliments.

Aliments inconnus:

Pommette royale: Vient de pommetiers et a un goût acidulé-sucré. La pommette royale se mange crue, en compote ou en gelée. Elle est également bien aimée des oiseaux.

Pintade: Oiseau de la famille des Numididae venant d'Afrique. La pintade se nourrit de graines et d'insectes. Cuite, la viande est tendre et pleine de goût. Peut se manger rôtie ou au four. Peut se conserver au congélateur entre 6-9 mois.

Royogourt: Yaourt fait à partir de lait de brebis qui contient plus de calories et de protéines. Texture plus ferme et soyeuse qui ressemble à celle du yaourt grec. Le goût est différent de celui du yaourt de vache, il est plus acidulé et prononcé. On peut le manger nature ou le cuisiner.

Méliot: Épice venant d'une plante sauvage qui pousse au Québec. Se cueille en été pour ensuite sécher et créer cette poudre. La plante de mélilot blanc crée des petites fleurs qui, une fois séchée, donne l'épice. L'épice est utilisée principalement en pâtisserie. Le mélilot a des arômes de vanille, de cerise, d'amande, de foin et de fève du Tonka. Le mélilot peut aussi servir en guise d'infusion de tisane ou dans les crèmes pour gâteaux.

Pink Banana: Courge cultivée au Québec ayant un goût sucré et une touche de noisette. La courge contient une couche généreuse de cher. On peut la cuisiner en potage, gratin, purée, dessert, en confiture ou la manger crue.

Rados Melon: De la famille des brassicacées, le radis melon est de couleur verte à l'extérieur et de couleur rose à l'intérieur. Ce radis est doux au goût et croquant. La peau du radis doit être pelée car elle est trop dure. Celui-ci peut se manger froid ou chaud, nature ou assaisonné, en carpaccio ou rôti. Le radis-melon peut se conserver dans un sac plastique troué jusqu'à 3 mois au réfrigérateur. On peut transformer le radis-melons en marinade ou même le déshydrater.

[lanuitlennuie]

Hier nous sommes revenus longuement E, B et moi sur ce que fut leur enfance (à peine terminée pour B). J’ai essayé d’accueillir leurs questions et les souvenirs qui différaient parfois des miens. Il y a des endroits où nous n’avons pas pu aller, iels n’ont pas à me rassurer et leur peine leur appartient. Par contre, nous avons retrouvé des moments de joie à l’évocation de certains souvenirs. L’arrivée sur la rue Chapleau, à 5 minutes à pieds de la maison et la grande aventure de ce déplacement : le haut ciel tourné vers l’est, les raffineries que nous regardions briller au loin, les mains sur les hanches comme des matelots sur le pont de leur bateau, les nuits tous les trois dans ma chambre, matelas tirés pour nous rapprocher, mes premiers pas en cuisine et les chantiers désordonnés que chaque repas créait. B se souvient de beaucoup de crêpes, E des drôles d’élan qui nous animaient, la vieille piscine en mosaïque comme dans un rêve, la côte impossible à monter et aussi que nous mettions beaucoup de gens au congélateur (de Steven Harper au voisin intolérant… un tour de magie blanche pour déplacer les importuns). Nous finissons par parler d’écriture. B veut lire les osselets, E le prochain livre. Il me demande si je finirai ma thèse. Ce matin je tombe sur le travail de ce type.

[jojobegood1]

⚠️⚠️⚠️🐕🐈‍⬛😈 Belgique

[netcomsn]

🇫🇷 Deux bébés retrouvés dans un congélateur en France: ce que l’on sait

🇫🇷 Deux bébés retrouvés dans un congélateur en France: ce que l’on sait

Au lendemain de la découverte de deux bébés dans un congélateur à Bédoin (Vaucluse), de nombreuses questions restaient en suspens vendredi face aux “déclarations évolutives” de la suspecte, une mère de 41 ans, notamment sur la filiation de ces nouveaux-nés. Dans l’attente des autopsies, prévues lundi à 10H00 à l’institut médicolégal de l’hôpital de Nîmes, la procureure de la République de…

[transparentgentlemenmarker]

Un homme a été retrouvé vivant à bord d’un congélateur, après avoir passé en mer 11 jours sans boire ni manger.

Il s’agit de Romualdo Macedo Rodrigues, un pêcheur brésilien âgé de 44 ans, qui était perdu dans l’océan après que son bateau ait coulé.

L’homme avait quitté la ville d’Oiapoque, pour trois jours de pêche. Cependant, alors qu’il naviguait, les choses ne se sont pas passées comme prévues. Il a en effet remarqué des fissures sur son bateau construit en bois. La situation était visiblement critique, puisque le navire coulait. C’est ainsi qu’il a eu l’idée d’utiliser un congélateur qui était sur le bateau

Quand j’ai vu qu’il n’y avait plus d’espoir, la première chose que j’ai faite a été de quitter mon bateau. J’ai vu que le congélateur ne fuyait pas alors j’ai essayé, je n’étais pas sûr qu’il allait flotter. Je suis monté dedans et je me suis pausé dans l’eau. Romualdo a dérivé onze jours dans l’océan Atlantique au large du Suriname. Il dit être resté en boule dans l’appareil, alors qu’il ne savait même pas nager. Le miracle s’est produit lorsqu’un bateau du Suriname l’a trouvé par hasard, à 450 kilomètres de son point de départ. L’un de ses sauveteurs, le voit très affaibli, récupéré par les membres de l’équipage, et incapable de se tenir debout.

Mais le cauchemar ne s’arrête pas là. Une fois à terre et recevant les premiers soins, Romualdo a ensuite été arrêté par la police du Suriname parce qu’il n’avait pas sur lui les pièces d’identité correctes.

September 5 2022

[claudehenrion]

La Bible, le Christ et le monde moderne -  ( II ) : Une autre vision des mêmes choses

  Pour décrire géographiquement (?) notre vie “après la vie”, la chrétienté promet un “endroit-métaphore” opposé à toute perception humaine, extrêmement vague pour la plupart et compréhensible par très peu : “au ciel, parfois ''aux cieux''”, lieu (?) réservé, parmi tant d’autres créatures célestes, aux âmes de nos chers disparus --et  à nous, un jour... qui sait ? Mais voilà que, sans même s'en rendre compte, la science se met à utiliser des mots qui n'étaient pas du tout les siens jusqu'ici, les ordinateurs ayant enfin retrouvé le lieu réservé à nos données “mortes” : le nec plus ultra de la technologie, la ’‘version 3-0’’, l'appelle ''le Cloud” (= les nuées, ou... le ciel). Dans le genre “retour aux sources”, on peut difficilement faire mieux ! Mais dans le monde actuel, tout tend à se mélanger et à pouvoir avoir deux entrées...

Une immense révolution est en cours. Nous en parlons, semaine après semaine, car elle est dans l'air du temps. Elle ira bien au delà des limites habituelles de la science (comme ce ''Meta'', ce mélange de ''tout'' avec et dans ''rien''), dont tout le monde parle... sans rien y comprendre puisqu'il est loin au delà des possibilités d'un cerveau ''normal''), et elle rend nos lendemains beaucoup plus terrifiants que prometteurs. Devant ce grand saut dans l’inconnu, nous nous persuadons que le fait de comprendre à peu près le ‘’comment’’ de ces nouveautés pourrait nous dispenser de nous demander ‘’pourquoi’’ tant de changements s'imposent à nous, pour la plupart non-sollicités et découlant automatiquement l’un de l’autre… ce qui devrait nous inquiéter : notre futur se dessine et se décide sans nous, et moi, ça ne me rassure pas !). Quoi qu’il en soit, cette méga-révolution qui avance masquée (comme tout ou presque, en ce moment, y compris et surtout toute vérité --qui, décidément, n'est pas bonne à dire !) donne l'impression de tourner le dos à des millénaires de sagesse accumulée et construite, répétons-le, sur une exploitation avant l'heure des big data disponibles en ce temps-là, l'observation et l'expérience.

 L'histoire a connu de nombreuses situations où s'affrontaient de manière très injustifiée le comment et le pourquoi, ce qu'un exemple illustrera, choisi dans le domaine de ''la Foi d'Israël'', en mémoire de mon ami le Grand Rabbin Sitruk dont les causeries du Lundi étaient un enchantement : la “kasherout” (= la convenance,  la règle) d'Israël est remplie d'interdits dont beaucoup (il y en aurait plus de 600 ?), alimentaires et culinaires, paraissent inexplicables, en termes scientifiques… sauf si l'on se souvient que, dans les conditions de vie, de climat, d’asepsie, de stockage, d'hygiène... et de ''protection de la chaîne du froid'' (sic !) qui prévalaient dans ces régions deux ou trois mille ans avant l'invention du frigo et du congélateur, aucune vie n'était envisageable sans  respect strict de toutes ces règles qui l'étaient aussi. Dans son grand amour pour son peuple, le Dieu d'Israël avait donc édicté les bases de sa survie… à moins que ce ne soit des siècles d'expérience qui ont imposé ces règles… qui étaient si nécessaires qu'on ne pouvait les attribuer qu'à l'omni-présent Adonaï (= ''mon Maître'', un des 7 noms de Dieu dans la Bible ! NB : pour mémoire, les musulmans en ont trouvé 99, dans le Coran ! Cuique suum, disaient les latins !) 

  Le même type de commentaire peut s'appliquer au ramadan, au carême, à la tempérance, à la charité, à la chasteté, à l'indissolubilité du mariage (et même à la polygamie, sous d'autres cieux !), aux sept péchés capitaux des chrétiens ou aux  Veludvareyya Sutta des bouddhistes, au besoin du repos hebdomadaire (le Shabbat, retardé au dimanche pour les chrétiens, avancé au vendredi pour les musulmans, et supprimé par les progressistes --le chiffre d'affaires avant tout !) et à tant d'autres interdits, règles ou traditions dont le seul énoncé fait aujourd'hui hurler les cuistres hostiles à toute morale et à toute civilisation… mais fait s'émouvoir les vrais amis de l'humanité à travers les âges, car, en l'absence d'un seul de ces préceptes, aucun des critères qui ont rendu possible qu'existe un jour ce que nous appelons ''Civilisations'' n'aurait vu le jour, l'impossibilité statistique étant énorme.                                                                                                                                            La seule nouveauté, mais elle est de taille : les ordinateurs, qui sont le point d'aboutissement improbable de la première boulette de glaise qui a été malaxée par le premier ''homo sapiens'', (ou par ''Adam'' : c'est deux noms pour une même chose) ont, subrepticement, apparemment ''en douce'' mais avec une violence extrême, pris le contrôle de nos vies.  Il n'est plus possible de survivre sans eux, des achats aux impôts, des déplacement aux soins en cas de covid --et jusqu'à la lecture de ce “Blog”. (NDLR : nous reparlerons du ‘’grand chambardement qui voit la machine rivaliser et entrer en compétition avec son créateur, l'homme, nous !).  

Certains ont fait de ces ''outils'' irremplaçables de véritables dieux qui, une fois que tout aura été connecté (on retrouve ici le ''Meta''. Il est en route, mais peu le savent), auront vocation à devenir “un” voire “LE” Dieu apparent (“EL”, disaient les hébreux, en parlant de YHWH). Ce nouvel “iso-dieu” ne résistera pas à la tentation de ravir la première place à son créateur… tout comme l'homme avait cru pouvoir relayer son Créateur : en des temps où ‘’la science’’ (?) était à peine balbutiante, la prétention des “savants” (sic !) avait mis Dieu au rancart, en rêvant de “prouver” que la Bible était un tissu de fariboles “démontrées indémontrables”…(La preuve, disaient-ils ? ‘’Dieu aurait modelé Adam à partir d'une boulette de glaise’’ ! Manque de pot (d'argile, bien sûr !) : on sait maintenant que c'est de là seulement que peut partir toute vie, et on va jusqu’à Mars, chercher quelque trace de cette ''soupe''...).

Plus récemment, et un peu comme sont en train de le faire les asrto-physiciens, l'archéologie, cette “science de l'histoire avant l'Histoire”, utilisant les ordinateurs, a redécouvert nombre de “souvenirs” qui étaient, il y a très peu de temps encore, réputés être des légendes naïves ou des actes de foi méprisables, par les esprits supérieurs (?) --avant que soit, depuis très peu, détruit l'édifice péniblement érigé du refus de Dieu, au nom de croyances aussi indémontrables que le contraire. 

Aujourd'hui, de plus en plus de récits bibliques sont expliqués, confirmés et vérifiés, dont l'approximation apparente était due aux codes d'une transmission orale. Jusqu’au XIX ème, l'Histoire était ‘’une science approximative’’, et ce en quoi on croyait très fort... tenait lieu de “science”, bien loin des actuelles enquêtes scientifiques de rigueur aujourd'hui : de plus en plus d’épisodes jusque-là réputés imaginaires sont réputés ''conformes'' à ce qui s'était passé, et la plupart des récits bibliques se retrouvent crédités, à des détails près, de véracité et d’exactitude.

De très récentes découvertes (en mai 2021), ont, par exemple, confirmé que la mer Rouge s'est effectivement “ouverte”, à la suite d'un énorme séisme près de Santorin, à peu près au moment où quelques milliers de Juifs (loin des 600 000 déduits des traductions approximatives des récits bibliques) quittaient l'Egypte. Le spectacle, tellement fait pour Hollywood, des flots qui s'ouvrent devant Moïse (ou, en l'espèce, devant Charlton Heston !) n'est plus une histoire pour enfants crédules. Quant aux ''Sept plaies d'Egypte'' si longtemps réputées poétiques, littéraires et réservées aux crédules (pour ne pas dire ‘’simplets’’ !), les voilà confirmées et expliquées par les conséquences d’un cataclysme exceptionnel : l’occurrence et la coïncidence de ces divers événements sont maintenant admises, contre !'ancienne ''certitude'' (pourtant si peu scientifique !) que rien qui soit biblique n'était vrai.  

La recherche du ''comment'' (si utile) et du ''pourquoi'' (si nécessaire) n'est plus une marotte réservée aux croyants de culture judéo-chrétienne : plus le temps passe, plus la Bible devient  “scientifiquement” inattaquable, ce qui devrait avoir des répercussions dans pas mal de domaines… dont l'explication de tout ce que nous n'arrivons ni à comprendre ni à expliquer par la seule ''Science''. Des ''billets'' à venir (à raison de 3 ou 4 par semaine en fonction de l'actualité), vont tenter d'explorer, jusqu'à Noël, les nouvelles avenues de la science la plus poussée redécouvrant les valeurs éternelles de la Révélation, ce qui était hier encore impossible. Pour une surprise, c'en est une... mais tout de même pas pour tout le monde ! (à suivre)

H-Cl.

[sandrinedrouinlove]

Le recyclage écologique en politique.

Il y a depuis quelques années une récupération de l’écologie au profit d’activistes de gauche en manque de source d’inspiration après l’échec du marxisme-léninisme, puis celui du maoïsme sauce bobo, qui remarquez bien, se trouvait pourtant loin des brigades de travail des tristes camps de rééducation du grand Timonier. Cet activisme pro-écologique, jouant sur la peur, ressemble sur de nombreux points à l’activisme « rouge ». Déjà dans les années 90, l’activiste de gauche Daniel Cohn-Bendit, égérie de Mai 68 et maoïste en puissance, rejoignit les rangs des « verts » Européen, signe s’il en fallut un, que l’écologie devenait le nouvel étendard de cette gauche vite devenu réactionnaire et moralisatrice. C’est qu’en perte de motivation et de vitesse, elle se trouvait de plus en plus face à une droite décomplexée et surtout depuis le tournant des années 2010 face à la recrudescence de la droite dure, souvent populiste, qui tente avec une facilité déconcertante à certains endroits du globe, à briser 50 années d’hégémonisme de la pensée très inclusive issu de cette gauche occidentale très bourgeoise.

Très citadine, fortement diplômé, présente dans les hautes fonctions administrative et public, à la tête des organismes à but non lucratifs et autres groupes subventionnés non élus, donc par extension très élitiste, mais désormais loin de la réalité du monde ou des mondes que constitue les campagnes, les ouvriers et les zones de non-droits ou s’entasse ces minorités ethniques d’ont-ils pensaient faire une clientèle fidèle, ce qui est loin d’être le cas, ces individus se sont retrouvés à récupérer la lutte contre les réchauffements climatiques. Mais toujours dans le sens anticapitaliste occidentale, critiquant avant tout des états où ils n’encourent rien. Bref le courage politique en grand.

Je suis de cette jeunesse de droite, très décontractée de l’être et sans gêne. Je suis une républicaine modérée aux États-Unis et je vote pour la CAQ au Québec et même souverainiste au fédéral. A part le BLOC, plus ouvertement à droite économiquement tu meurs. Mais je suis tout autant interpellée par les questions environnementales. Pas au point de faire des cauchemars apocalyptiques dans mon sommeil comme Greta. Non. Moi, je suis consciente de notre responsabilité collective à l’échelle mondial, et réchauffement ou pas, nous avons tous et toutes une responsabilité individuelle face à nos déchets et au minimum envers notre façon de consommer. Surtout, en aucun cas, ces activistes de gauches reconvertis ne me feront croire, une fois de plus, qu’ils ont un monopole, ici celui de la prise de conscience écologique !

Au quotidien.

Je ne suis pas une « granola », je ne vis pas au milieu des moutons et je ne confectionne ni mes bijoux, ni mes vêtements. Au contraire, j’aime conduire de jolis bolides allemands, j’aime les jolis vêtements, les chaussures, les sacoches, les gadgets et, en un mot, vivre comme une consommatrice. Mais je pense de façon écoresponsable et je n’ai pas attendu l’année 2019 et Sainte Greta pour m’y mettre. Je m’explique. Pour me rendre au travail, j’utilise nos transports en commun, limitant mon utilisation automobile individuel que lorsque cela est nécessaire et Dieu sait que ça l’est en Amérique lorsque tu vie en banlieue. Nous sommes très loin du niveau de développement des réseaux de transport en commun qu’il y a en France, en Grande-Bretagne ou au Japon. Même a des années lumières. Mais au moins, je limite mon empreinte carbone si chère depuis peu de temps à notre clique environnementaliste.

Même chose pour les vêtements. Là aussi, je suis une grande consommatrice. Oui mais ! J’achète uniquement dans des friperies, donc très souvent des secondes mains; C’est utile, pas chère, les pièces y sont souvent de bonnes qualités, le choix est vaste, c’est une forme de recyclage et des friperies il y en a presque partout au Québec et Montréal en est rempli. Les seules choses que je n’achète pas en friperie pour des raisons d’hygiène assez logique, c’est la lingerie, mes lunettes, mon maquillage, mes soins corporelle et … mes chaussures de sport. Encore ici, j’utilise 1 pair de chaussure de course à pied par an, celle du trail me fait 2 ans, celles de marche parfois 3.

J’applique cette idée a l’achat de mes gadgets (iPod, Cell, écouteurs, etc) en pillant ouvertement Kijiji. Même ordre d’idée pour mes autos, mes équipements de ski, etc.

Comme je suis une dévoreuse littéraire compulsive, je déambule souvent en famille dans les deux bibliothèques de Repentigny et si je ne trouve pas ce que je cherche, je regarde les annonces des coops universitaires, les ouvrages usagers, les ventes de garage et en dernier choix je vais vers le neuf. Mais toujours en cherchant avant tous l’usager.

Épicerie.

Comme j’ai la chance de vivre dans une jolie banlieue proche de la campagne, j’achète bio et local au maximum et cela n’est pas plus dispendieux. Produits de la ferme, œufs, préparation de repas et division en portions font partie du quotidien familiale. Il est évident que cela demande la participation de tous aux différentes taches. J’achète les légumineuses et les noix au détail, les fruits de saison uniquement produits au Québec, je ramasse les pommes, le blé d’inde, les fraises en famille; Compote, fruits congelés seront emmagasiné dans notre super jumbo congélateur. A par les bananes, le poisson et les agrumes, tous les fruits proviennent de ma province. Cela nous limite dans nos choix, mais c’est plus logique de notre point de vue. Nous n’achetons pas d’emballage inutile, notre extracteur a jus remplace facilement tous ces jus bourrés de sucre et de colorants que nous retrouvons en épicerie. Pas de soda non plus, ni de lait.

Dernière chose, je limite ma consommation de viande, voire la supprime pendant des mois, mais il n’y a que moi dans la maison pour le faire. Vivre avec des carnivores nous oblige à faire des concessions. Je plaisante.

Déchets.

Nous compostons tout ! Notre petit carré de jardin nous fournit tomates et légumes divers. Au final, nous avons l’équivalent d’une poubelle a déchets domestique par mois, une de recyclage également par mois sauf lors des évènement festifs comme les anniversaire, les fêtes de fin d’année ou bien lors des visites d’amis ou de la famille.

Maison.

Elle a été bâtie au court des années 60. En 5 ans nous l’avons rendu éco responsable. Fenêtres, portes, isolants, toiture. Tout a été changé. Ces rénovations ont couté une petite fortune, mais notre facture Hydro a chuté de 30%, ce qui a très moyen terme sera plus que rentable. Nous sommes également passé d’un système de chauffage à l’huile (mazout) a un système de chauffage électrique central. Pas de climatiseur l’été, nous avons un sous-sol qui nous sert d’abri lors des fortes chaleurs estivale.

Voyage.

Je pensais que ce serait l’ombre au tableau. Mais non. Si Greta utilise l’avion pourquoi pas moi ? Ce mouvement qui consiste à limiter l’utilisation du transport aérien est né en Suède comme Greta. Un pays où il semble plus utile de combattre la pollution générée par les États-Unis que les endémiques viols quotidiens sur les femmes qui se déroule chez eux. Là encore joindre l’utile à l’agréable est possible. Bon, je m’autorise un ou deux voyages tout compris par an vers le sud comme beaucoup de monde; Cuba, Dominique, Floride, Costa-Rica. Mais lorsque je visite le reste du monde c’est en famille, en achetant local et en dormant dans des locations de type airbnb.

Tout cela pour dire qu’il n’y a nul besoin d’avoir attendu le mouvement très politisé de Greta pour devenue éco-responsable. Et même si une partie seulement de tout ceci est applicable à vous et votre façon de vivre, c’est toujours mieux que ces milliers d’étudiants et d’adolescents manipulés qui encore il y a, à peine quelques mois consommais boites de pizza, cell moderne et autres gadgets de leur âge. Soyons bien plus inquiet du pillage des ressources que du dit réchauffement.

S.D

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Le corps sans vie d'une femme découvert dans un congélateur près de Carcassonne - LaDepeche.fr

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[katakaal]

Lendemain de Korité est l'étape charnière de bonnes affaires des vendeurs de poulets au Sénégal. La rareté crée de la valeur. Ce principe de l’économie a pu se vérifier encore une fois durant la Korité. La forte demande en poulets a fait l’affaire des aviculteurs, réalisant jusqu’à 1.000 FCfa de bénéfices par poulet. La fête de la Korité a été faste pour Modou Diouf. «J’ai vendu toute ma production, contrairement à l’année dernière», se réjouit le jeune homme, dans l’aviculture depuis près de dix ans. La célébration de la Korité a été bénéfique pour lui. Avec près de 200 poulets vendus en l’espace de 10 jours, l’homme de grande taille, la silhouette frêle, s’en est bien sorti. «Cette année, je n’ai vendu aucun poulet à 2.500 FCfa. Les prix ont varié entre 3.000 et 4.000 FCfa, dit-il. Du coup, je me suis retrouvé avec un bénéfice variant entre 200 et 500 FCfa par sujet», explique-t-il. «S’il faut tirer un bilan, je dirai que c’est l’une de mes meilleures campagnes. À l’état actuel, je ne peux vous donner le bénéfice global, car je n’ai pas fini de recouvrer», ajoute Modou. Il faut rappeler que cette année, une tension était notée sur le marché pour l’approvisionnement en poulets durant la Korité. Lendemain de Korité au Sénégal est bonnes affaires des vendeurs de poulets Entre autres facteurs, les acteurs évoquent la pandémie de Covid-19, la découverte d’un foyer de grippe aviaire à Pout en début d’année ou encore la hausse du prix de l’aliment de volaille. Adama Sène, lui, ouvre un congélateur vide en ce vendredi, lendemain de la Korité. L’aviculteur établi au quartier Tivaouane, à Thiaroye, dit avoir même repoussé des commandes à l’occasion de cette fête. «À deux jours de la fête, il ne me restait plus de poulets. Des clients ont dû rebrousser chemin, dans la plus grande désolation», dit-il, bonnet sur la tête. Quant à son bénéfice exact, le quadragénaire fait dans le clair-obscur. «Quand il y a pénurie, les prix grimpent forcément. Du coup, des poulets vendus à temps normal à 2.500 FCfa sont proposés à 3.500 voire 4.000 FCfa. C’est la loi du marché au Lendemain de Korité. Donc tout ce que je peux vous dire, c’est que la campagne a été fructueuse», rit-il. Un filon pour les businessmen Ousmane Faye n’imaginait même pas investir le marché des poulets, car il n’a jamais été dans l’aviculture. Ayant senti une tension dans l’approvisionnement du marché, à une semaine de la célébration de la Korité, il a «ramassé» 100 poulets auprès d’un ami pour les revendre à des connaissances. «J’ai déboursé 280.000 FCfa pour acheter des poulets à 2.800 FCfa l’unité. J’ai tout revendu à 3.500 FCfa le poulet. Au bout du compte, je me suis retrouvé avec une plus-value de 70.000 FCfa. Avec la forte demande, l’occasion était belle et j’en ai profité», indique-t-il. Dépourvu d’espace propice à l’aviculture, Bassirou Niang a adopté la même formule. Avec, certes, moins de moyens qu’Ousmane, il y est allé selon sa bourse. A lire aussi Macky déclare le lundi 29 octobre, lendemain du Magal 2018, jour férié (décret)(Direct) – Point de presse Idrissa Seck : Les précisions au lendemain de l’adoption de la loi sur le parrainageAngeline Flor Pua pose nue au lendemain de son élection Miss Belgique «J’ai vendu 42 poulets entre 3.500 et 4.000 FCfa, alors que je les avais acquis à 3.000 FCfa l’unité dans une station-service. Ainsi, je me suis retrouvé avec plus de 20 000 FCfa de bénéfices», informe-t-il. Comme quoi, le malheur des uns (les consommateurs) fait le bonheur des autres !

[belifii]

Lendemain de Korité est l'étape charnière de bonnes affaires des vendeurs de poulets au Sénégal. La rareté crée de la valeur. Ce principe de l’économie a pu se vérifier encore une fois durant la Korité. La forte demande en poulets a fait l’affaire des aviculteurs, réalisant jusqu’à 1.000 FCfa de bénéfices par poulet. La fête de la Korité a été faste pour Modou Diouf. «J’ai vendu toute ma production, contrairement à l’année dernière», se réjouit le jeune homme, dans l’aviculture depuis près de dix ans. La célébration de la Korité a été bénéfique pour lui. Avec près de 200 poulets vendus en l’espace de 10 jours, l’homme de grande taille, la silhouette frêle, s’en est bien sorti. «Cette année, je n’ai vendu aucun poulet à 2.500 FCfa. Les prix ont varié entre 3.000 et 4.000 FCfa, dit-il. Du coup, je me suis retrouvé avec un bénéfice variant entre 200 et 500 FCfa par sujet», explique-t-il. «S’il faut tirer un bilan, je dirai que c’est l’une de mes meilleures campagnes. À l’état actuel, je ne peux vous donner le bénéfice global, car je n’ai pas fini de recouvrer», ajoute Modou. Il faut rappeler que cette année, une tension était notée sur le marché pour l’approvisionnement en poulets durant la Korité. Lendemain de Korité au Sénégal est bonnes affaires des vendeurs de poulets Entre autres facteurs, les acteurs évoquent la pandémie de Covid-19, la découverte d’un foyer de grippe aviaire à Pout en début d’année ou encore la hausse du prix de l’aliment de volaille. Adama Sène, lui, ouvre un congélateur vide en ce vendredi, lendemain de la Korité. L’aviculteur établi au quartier Tivaouane, à Thiaroye, dit avoir même repoussé des commandes à l’occasion de cette fête. «À deux jours de la fête, il ne me restait plus de poulets. Des clients ont dû rebrousser chemin, dans la plus grande désolation», dit-il, bonnet sur la tête. Quant à son bénéfice exact, le quadragénaire fait dans le clair-obscur. «Quand il y a pénurie, les prix grimpent forcément. Du coup, des poulets vendus à temps normal à 2.500 FCfa sont proposés à 3.500 voire 4.000 FCfa. C’est la loi du marché au Lendemain de Korité. Donc tout ce que je peux vous dire, c’est que la campagne a été fructueuse», rit-il. Un filon pour les businessmen Ousmane Faye n’imaginait même pas investir le marché des poulets, car il n’a jamais été dans l’aviculture. Ayant senti une tension dans l’approvisionnement du marché, à une semaine de la célébration de la Korité, il a «ramassé» 100 poulets auprès d’un ami pour les revendre à des connaissances. «J’ai déboursé 280.000 FCfa pour acheter des poulets à 2.800 FCfa l’unité. J’ai tout revendu à 3.500 FCfa le poulet. Au bout du compte, je me suis retrouvé avec une plus-value de 70.000 FCfa. Avec la forte demande, l’occasion était belle et j’en ai profité», indique-t-il. Dépourvu d’espace propice à l’aviculture, Bassirou Niang a adopté la même formule. Avec, certes, moins de moyens qu’Ousmane, il y est allé selon sa bourse. A lire aussi Macky déclare le lundi 29 octobre, lendemain du Magal 2018, jour férié (décret)(Direct) – Point de presse Idrissa Seck : Les précisions au lendemain de l’adoption de la loi sur le parrainageAngeline Flor Pua pose nue au lendemain de son élection Miss Belgique «J’ai vendu 42 poulets entre 3.500 et 4.000 FCfa, alors que je les avais acquis à 3.000 FCfa l’unité dans une station-service. Ainsi, je me suis retrouvé avec plus de 20 000 FCfa de bénéfices», informe-t-il. Comme quoi, le malheur des uns (les consommateurs) fait le bonheur des autres !

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Val-de-Marne : Deux nouveau-nés retrouvés "asphyxiés" dans un congélateur

Val-de-Marne : Deux nouveau-nés retrouvés “asphyxiés” dans un congélateur

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Lustres

Lavoûte-Chilhac, Vendredi 16 avril 2021

Lustres

Longue période (surtout pluriel) : Il y a des lustres que je ne l'ai pas vu. Il y avait encore dans le tiroir de la commode deux ou trois de ces chemises tuyautées jaunies depuis des lustres Druon, Gdes familles, t. 1, 1948

Je me suis rêvé à Chalo-Saint-Mars chez Christiane et Monique, non tout à l’heure mais durant ma sieste l’après-midi passé.

Dans ce rêve d’une folle netteté, je me suis retrouvé dans la cuisine de Chalo, en extase devant une sorte de congélateur affichant son contenu à ciel ouvert : dans son petit bac, de la gelée de groseilles et dans les deux grands, dans l’un, un appétissant civet de chevreuil et dans l’autre apparemment un gigantesque hachis Parmentier, lorsque je me tournais vers les deux sœurs pour m’en enquérir, elles rirent et m’expliquèrent qu’il ne s’agissait pas d’un Parmentier mais d’un dessert de leur composition comportant du lait, de la farine, des œufs, moult amande et autres fruits secs dont des raisins de Corinthe, elles m’en servir un bol, délicieux.

Voilà des lustres que je n’avais pas entendu parler de Christiane et Monique que j’imaginais être brouillées avec Mouna ; lorsque je descendis et demandai de leur nouvelles à Mouna ; elle me demanda qui elle, elle était ?

- Mouna, lui dis-je.

- Et non Nicole, me rétorqua-t-elle, dont Christiane et Monique sont les sœurs, non les miennes.

Ce qui m’était venu à l’esprit dans mon rêve et m’avait semblé naturel; comment peut-on ainsi mélanger les choses ? Perdais-je la boule ?

Mouna m’a gentiment expliqué que ce mélange est typique du vieillissement et que si l’on ne vit pas avec un proche qui vous ramène à l’ordre on finit par tout mélanger et devenir incohérent.

Merci d’avoir Mouna pour me ramener sur terre !

[alouestriendenouveau]

Idées de plats et snacks pour le post-partum

Il y a quelques mois je vous donnais des conseils pour bien préparer son post-partum, ce qui passe notamment par une alimentation adéquate et par l’anticipation de la préparation de plats que l’on peut congeler à l’avance. On a commencé avec Rémy à cuisiner des plats au début du huitième mois de grossesse, chaque week-end pendant environ 6 semaines, afin de le faire petit à petit et d’avoir in fine de quoi tenir au moins 10 jours sans cuisiner après la naissance.

Chez nous c’est Rémy qui cuisine les trois quarts du temps, mais je me suis prêtée à l’exercice avec plaisir. Et ne pas cuisiner les premiers jours lui dégagera du temps pour gérer tout le reste et que je puisse me reposer au maximum.

Voici les plats que nous avons préparé, nous n’avons généralement pas suivi de recettes toutes faites, ou alors un mix de plusieurs, je vous donne des liens quand c’est possible :

- Velouté coco chou-fleur : il me semble qu’on a suivi cette recette mais sans le curry, je n’aime pas trop ça (paprika, huile de sésame, ail et gingembre à la place), on peut y rajouter des pignons rôtis au moment de servir ;

- Lasagnes foie de volaille, brocolis et sauce tomate : le foie est un aliment très riche et vitaminé, qu’on fuit pendant la grossesse à cause de sa haute teneur en vitamine A mais qui est recommandé en post-partum, si l’on consomme des produits animaux. Le brocoli est lui riche en vitamine K, c’est un aliment phare du post-partum également. J’ai fait une recette de lasagnes classique mais avec ces aliments ;

- Lasagnes dinde champignons : on a fait passer nos restes de dinde de Noël, en y rajoutant des champignons de Paris, toujours sur une base classique de lasagnes ;

- Carottes gingembre dattes : après avoir cuisiné le velouté coco chou-fleur je me suis souvenue que je digère très mal les soupes de légumes et qu’il valait mieux ne pas trop en prévoir, je comptais faire ce plat-ci sous forme de velouté également, avec cette recette comme inspiration, mais finalement on ne les a pas mixé, juste fait cuire ensemble, et on les mangera avec de la semoule ;

- Velouté petit pois coco : là encore je voulais éviter le velouté mais ma purée s’est malgré moi retrouvée sous la forme d’une soupe, j’ai tout simplement mixé des petits pois cuits avec du lait de coco et des assaisonnements ;

- Spaghettis sauce épinards, oignons, lentilles corail, champignons et olives : un plat que Rémy a fait en trop grande quantité donc on en a congelé une partie pour le post-partum ;

- Sauce pour pâtes à base de lentilles et champignons : on s’est inspiré de cette recette, et il ne nous restera plus qu’à ajouter cette sauce dans des pâtes ;

- Nouilles sautées, brocoli, ail, gingembre, algues Kombu et sauce soja : on a cuit les nouilles et le brocoli à part dans de l’eau bouillante puis fait sauter le tout dans une grande poêle ;

- Chili sin carne : on a suivi cette recette, mais sans poivrons car je n’aime pas ça, on mangera ça avec du riz ;

- Riz frit au gingembre, œufs et oignons : j’ai suivi cette recette que j’avais déjà fait, j’y ai juste ajouté des algues Kombu car il m’en restait ;

- « Faux curry » : je n’aime pas le goût du curry mais on fait régulièrement un plat qui ressemble à un curry, avec d’autres épices (coriandre, curcuma, cumin, poivre, cardamome, cannelle). On cuit des pommes de terre et carottes à la vapeur, qu’on fait ensuite mijoter dans une cocotte avec des champignons, des oignons, un bouillon cube, du lait de coco, et un peu de semoule pour donner une texture intéressante et absorber un peu le liquide.

On avait aussi pensé à du bouillon, un dhal, un korma, un risotto, un congee, une tourte aux légumes verts, mais avec ce qu’on a cuisiné on devrait avoir à manger à 2 ou 3 pour une vingtaine de repas.

On a aussi préparé quelques recettes sucrées, à manger en dessert ou en snack pendant la journée :

- Tamina : un classique algérien pour le post-partum, j’ai suivi cette recette ;

- Barres coco chocolat : selon cette recette, je n’avais plus de poudre d’amandes donc je n’ai fait qu’avec de la poudre de coco ;

- Dattes façon « Snickers » : tout simplement des dattes, du beurre de cacahuètes, des cacahuètes et du chocolat, selon cette recette ;

- Cookies beurre de cacahuètes chocolat : selon cette délicieuse recette, ce n’était pas spécifiquement prévu pour le post-partum mais on en a cuisiné trop dernièrement donc la moitié est partie au congélateur ;

- Pâte de dattes : j’ai acheté 2,5 kilos de dattes qui périment fin février, même si j’en mange 60 grammes par jour (pour faire maturer le col) dans les dernières semaines il va m’en rester donc on a décidé de faire de la pâte de dattes, selon cette recette (mais en quintuplant les proportions). À manger comme ça à la cuillère ou à utiliser en pâtisserie, par exemple pour faire des makrouts.

- Energy balls : je me suis inspirée d'une recette trouvée sur Instagram (200 grammes de poudre d'amandes, 400 grammes de dattes, 4 càs de raisins secs, 2 càs de purée d'amandes, 4 càs d'huile de coco, 3 càs de graines de lin et un fond d'eau à ajuster pour obtenir la bonne texture au mixeur, ensuite les rouler dans un mélange cacao, cannelle et graines de lin puis au congélateur), on peut faire des variantes avec ce qu'on a sous la main, graines de chia, graines de sésame, poudre de noix de coco, autres oléagineux, etc.

Hormis pour les cookies, tout ce que nous avons cuisiné en prévision du post-partum est sans produits laitiers, premièrement car c’est mieux d’en consommer peu après un accouchement car ils sollicitent trop d’énergie à la digestion, mais surtout parce que ma première fille y a longtemps été allergique, j’avais assez vite dû adopter un régime strict sans produits laitiers pour que mon lait n’en contienne pas. Donc on prend les devants si jamais je dois à nouveau faire une éviction !

Pour les petits-déjeuners on mange généralement du porridge donc on va continuer comme ça, j’ai aussi en stock des granolas, des mueslis (notamment des NüMorning que j’ai reçu à Noël) et des mélanges type Éveil du Bouddha, pour un premier repas de la journée plutôt nourrissant.

J’ai également reçu des barres de céréales spéciales allaitement de La Fabrique des mamans et Jolly Mamma (ainsi que des granolas également galactogènes) qui me serviront de snacks en journée, notamment justement pendant les tétées vu qu’il est important de bien manger et bien s’hydrater pour favoriser la lactation. Des dattes et des amandes pourront également compléter ces snacks.

Enfin, j’ai prévu quelques « compléments alimentaires » : une cure d’eau de Quinton, du germe de blé à saupoudrer sur les plats, l’huile Quintesens Future maman que j’ai également utilisé toute ma grossesse, et, bon je ne sais pas si on peut vraiment parler de complément alimentaire, mais j’ai un stock de boîtes de maquereaux pour compléter les repas. Tous ces éléments apportent différentes choses essentielles à la récupération du corps en post-partum : zinc, DHA, magnésium, oméga 3…

Bref, nous voilà parés niveau repas pour les premiers jours du mois d’or !