#rendez-vous !! rendez-vous rendez-vous au prochain règlement !!
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fucking love stromae actually. if that's anything
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rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
#alan becker#animation vs animator#animation vs minecraft#avm purple#ava purple#ava orchid#avm orchid#ava navy#avm navy#cindersnows art
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Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
Derion | Irigo | Dendéndera | Frau Drev
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Quand tout ne va plus ''comme il faudrait''
Chers Amis-lecteurs,
Je vous dois des excuses : je me suis lourdement trompé dans ma capacité à ''comprendre demain''. Confiant dans mon amour de ce Blog, dans mon désir-besoin de communiquer avec vous tous et avec chacun d'entre vous séparément, et dans l'optimisme qui est certainement une marque de ''qui je suis'', je m'étais promis de tenir mon habituel rythme hebdomadaire pendant tout l'été et de reprendre le 6 septembre notre dialogue par ''éditos'' interposés...
Je n'avais pas anticipé –il s'en faut de beaucoup-- le bouleversement que peut représenter la disparition d'une épouse après quelque 68 ans de complicité... et, plus encore, la charge tellement insupportablement chronophage qui accompagne ces quelques mots apparemment indifférents à ceux qui n'y ont pas été confrontés : ''une succession'' !
Je dois vous avouer que je suis complètement noyé dans les tâches, obligations, complexités, délais et dates impératives qui font escorte à ce mot sinistre. Entre les heures de recherche de documents –bien sûr égarés depuis des lustres--, les rendez-vous fixés par des tiers à l'autre bout de la France, à la ville, à la campagne, à la mer et à la montagne pour revisiter les résidences dont nous nous réservions l'utilisation (on appelle ''inventaires mobiliers'' cette exigence barbare d'une administration fiscale qui l'est tout autant –dans ses règlements, pas dans tous ses intervenants). En gros, cela consiste à racheter à l'Etat tout ce qui est à toi, mais qu'il accepte te revendre, fort cher, si tu veux en conserver la jouissance... au seul motif totalement non-pertinent que tu as perdu une partie de toi-même, ''ta moitié''!
En effet, dans notre pays qui ose se dire démocratique et civilisé (alors qu'il n'est que ''administré'', nous en parlions récemment), pour avoir le droit d'utiliser ce qui est a vous et qui a déjà payé (et très largement) impôts, taxes, ISF/IFI, contributions, et autres substantifs confiscatoires, il vous faut payer et repayer encore et encore... Car au fond des choses, ce n'est pas vous qui êtes propriétaire de vos biens, mais l'Etat, le Léviathan, l'ogre avide de tout ce qui ne lui appartient pas, mais sur quoi il s'est attribué un droit abusif de dévolution successorale obligatoire, en faisant voter tout un arsenal de lois punitives, liberticides et conFISCatoires. par des ''représentants du peuple'' indignes de leur mandat.
Bref, je m'avoue vaincu par ''la force brutale de l'Etat'' (le mot est de Mitterrand. C'est le seul qui vaille qu'on s'en souvienne), et je dois déclarer ''forfait'', pour quelques semaines : il m'est absolument impossible d'écrire la moindre chose qui ait la qualité et le style que je me donne bien du mal pour tenir (le sujet n'est pas ''que j'y arrive ou non'' : ceci est à votre jugement individuel ! Moi, j'essaye, c'est tout ce que je puis faire).
J'interromps donc avec douleur notre dialogue et mes ''parutions''. Pour combien de temps ? Je n'en ai pas la moindre idée, mais ce sera sans doute un mois ou deux (mon agenda est déjà rempli jusque vers la deuxième partie de novembre ! Je vous promets de revenir vers vous aussitôt que le nœud coulant se relâchera... Croyez bien que j'en suis désolé, profondément, mais je n'ai pas pu trouver d'autre solution que je puisse être capable de tenir jusqu'à Noël prochain...
A bientôt le plaisir de vous retrouver, et d'ici-là, comme le disait Giscard devant un petit bouquet d'anémones, ''Au revoir''...
Claude Henrion, ici habituellement dit ''H-Cl''.
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ㅤㅤㅤㅤㅤㅤ ㅤㅤㅤㅤㅤㅤ°'🌹'°
Rendez-vous, rendez-vous, Rendez-vous au prochain règlement Rendez-vous, rendez-vous, Rendez-vous sûrement aux prochaines règles ㅤㅤㅤㅤㅤㅤ ㅤㅤㅤㅤㅤㅤ°'📸'°
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_ Vous les hommes vous êtes tous les mêmes. Si prévisibles, non je ne suis pas certaine, que-que-que tu l'mérites. Z'avez d'la chance qu'on vous aime. Dis-moi "merci" . 😌
_ Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement. Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles. Cette fois c'était la dernière, tu peux croire que c'est qu'une crise.
_ Mate une dernière fois mon derrière, il est à côté de mes valises. 🍑👜
_ Tu diras au revoir à ta mère, elle qui t'idéalise. (Ta fuerte la letra). Quoi toi aussi tu veux finir maintenant?.
_ C'est l'monde à l'envers. Es el mundo al revés.
_ Fácil de decir, et que j'aime trop les bla-bla-bla, mais non, non, non, c'est important.
_ Lorsque je n'serais plus belle ou du moins au naturel, para, sé que mientes, solo Kate Moss es eterna.
_ Todo lo mismo, todo lo mismo, todo lo mismo y estamos hartos. Tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et y'en a marre.
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"Stromae - tous les mêmes"
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Vous les hommes vous êtes tous les mêmes
Macho mais cheap, bande de mauviettes infidèles
Si prévisibles, non je ne suis pas certaine, que-que-que tu l'mérites
Z'avez d'la chance qu'on vous aime
Dis-moi "merci"
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles
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Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement.
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SIl y a 15 ans ce mois-ci, le ministre travailliste de la Santé de l'époque, Aneurin ("Nye") Bevan, a annoncé la naissance d'un nouveau service national de santé, gratuit pour tous au point d'utilisation. Elle entrerait en vigueur, s'était-il juré, le 5 juillet 1948. La date était arbitraire. Le défi était immense. La résistance était féroce. Mais c'est arrivé. À peine six mois plus tard. À temps. Comme annoncé.Avance rapide de trois quarts de siècle, et ce succès époustouflant est en train d'être anéanti. Les listes d'attente des hôpitaux n'ont jamais été aussi élevées. La rétention du personnel est au plus bas. Les agents de santé n'ont pas les moyens de vivre. Les soignants ont recours aux banques alimentaires pour survivre. Et personne à travers le spectre politique ne semble savoir quoi faire.Le jeu des reproches est paralysant. C'est le coût de la vie. C'est la suite du Covid-19. C'est la pire saison grippale depuis une décennie. C'est 13 ans de « politique du plâtre collant ». C'est tout ce qui précède. Jamais depuis l'hiver de mécontentement de 1978, la bataille entre les travailleurs clés et le gouvernement n'avait été aussi acrimonieuse – et aussi désespérée. Mais attribuer la culpabilité ne change rien sur le terrain.Comme tous ceux qui ont visité un hôpital du NHS ces dernières semaines peuvent le voir, ce désespoir n'est pas un phénomène abstrait. C'est une réalité viscérale. Il est représenté dans les conditions épouvantables, semblables à des tranchées, des services A&E et des cliniques sans rendez-vous. C'est écrit dans l'héroïsme stoïque des infirmières et des médecins qui endurent ces conditions jour après jour. Il est là sur les visages de ceux dont la santé et la vie dépendent, non pas du rêve de Bevan, mais du cauchemar qu'il est devenu dans la Grande-Bretagne du XXIe siècle.Juste au moment où nous en avons le plus besoin, les dirigeants qui ont façonné l'État-providence manquent à l'appel. Au cours d'une semaine dominée par la crise du NHS, le secrétaire à la Santé, Steve Barclay, n'a consacré que 45 minutes à des pourparlers visant à empêcher la prochaine grève de deux jours des infirmières – la deuxième seulement de l'histoire. Mais à part les vagues promesses de salaire antidaté d'un futur règlement, il était surtout intéressé par la discussion sur la « productivité ».« Travailler plus fort » était le message – aux infirmières qui effectuaient déjà des quarts de travail de 18 heures pour maintenir la continuité des soins dans un système au point de rupture. " Amèrement décevant ", c'est comme ça que le Royal College of Nursing l'a appelé. "Insultant" était le verdict de Unite. Et la position de repli du gouvernement est de criminaliser le droit de suspendre le travail – asservissant essentiellement les infirmières à une tâche dont tout le monde a besoin à un moment donné mais que personne, semble-t-il, n'est prêt à valoriser.La rhétorique des travaillistes est une critique excoriante de ces dommages. Mais son positionnement pré-manifeste est le "mashup" de mèmes le plus étrange de l'histoire politique. Un projet de loi de reprise de contrôle, un clin d'œil à la politique de décentralisation, une foi aveugle dans l'innovation technologique. Le tout enveloppé dans un avertissement hors concours qui nous ne pouvons pas "passer notre chemin hors de [the Tories’] désordre". Il n'y aura pas moyen de sortir le « gros carnet de chèques du gouvernement », a insisté Keir Starmer.01:28Pas de 10 propositions pour mettre fin aux grèves du NHS "insultantes", selon un responsable syndical - vidéoPoussé par Sarah Montague de la BBC sur la façon de combler l'écart de 73 milliards de livres sterling dans les dépenses de santé entre le Royaume-Uni et l'Allemagne (disons), le la secrétaire de mise à niveau de l'ombre, Lisa Nandy, était franche. Il n'y aurait plus à dépenser « l'argent du peuple » pour résoudre la crise. Les travaillistes respecteraient leur «règle de fer» d'emprunter uniquement pour investir, a-t-elle déclaré.
Donc la formule doit aller comme ça. Transférer le pouvoir aux communautés. Libérez la productivité cachée qui s'y cache. Regardez la croissance économique rebondir, ramenant des salaires plus élevés et des coffres pleins au gouvernement. Hé hop ! Maintenant, nous pouvons nous permettre de payer les infirmières.La «règle de fonte» est une curieuse remontée dans les années 1990. Il est motivé par la même anxiété de prouver les références de l'opposition à la City qui a conduit Gordon Brown et la même nervosité à propos de toute suggestion de taxer les riches. À l'époque, on l'appelait une « règle d'or ». Mais la logique était la même. Emprunter, c'est investir. L'investissement apporte la productivité. La productivité nous sauvera.J'ai travaillé pour le NHS, et je sais que les médecins commencent à penser que la crise ne finira jamais | Pierre EndicottLire la suiteEn tant que commissaire à l'économie de la Commission du développement durable (maintenant démantelée), j'ai entendu ce récit débité comme un mantra dans toutes les régions que nous avons visitées à travers le pays au cours des années qui ont précédé la crise financière. Les investissements étrangers dans l'industrie de haute technologie créeraient des emplois bien rémunérés qui répandraient la richesse dans la communauté. Ce n'est pas si différent de la défunte théorie du ruissellement qui a fait chuter Liz Truss et Kwasi Kwarteng. Il a échoué de façon spectaculaire à l'époque. Ses chances de travailler sont désormais encore plus minces.Mais il y a un point plus révélateur à faire valoir. Le débat des deux côtés repose sur une profonde idée fausse selon laquelle la richesse passe en premier et la santé en second. Que nous ne pouvons payer les soins que si l'économie est en plein essor. Cela ne pourrait pas être plus faux. Sans santé il n'y a pas de richesse. Sans soins il n'y a pas de santé. Se soucier est investissement. Ce n'est pas un article de consommation de luxe. C'est l'investissement le plus fondamental de tous. Et effrayer les infirmières dans des visites impossibles est tout le contraire de la productivité.Notre volonté d'investir l'argent public dans des actifs financiers, du matériel militaire ou des infrastructures physiques et non dans les personnes n'a aucun sens. Il n'y a pas d'illustration plus perverse de cela que le fiasco des hôpitaux Nightingale pendant la pandémie. Construits pour un coût supérieur à 500 millions de livres sterling, ils n'ont jamais atteint leur pleine capacité car il n'y avait pas assez de personnel pour les faire fonctionner. L'hôpital phare de Londres comptait 500 lits. Il n'a traité que 54 patients Covid pendant toute la pandémie.Mendier, emprunter ou dépenser en déficit. Modifier les règles comptables. Détruisez l'économie dysfonctionnelle qui attribue de la valeur au bling et confie ce qui compte le plus au caniveau. Faites tout ce qu'il faut. D'une manière ou d'une autre, les soins doivent être soutenus. Sans elle, il n'y a pas de productivité. Sans elle, il n'y a pas de société. Le soin de la vie humaine, comme Thomas Jefferson l'a dit un jour, est « la première et unique tâche du gouvernement ». C'est la vision qui a inspiré Bevan. Il doit aussi nous inspirer. Tim Jackson est professeur de développement durable à l'Université de Surrey et directeur du Center for the Understanding of Sustainable Prosperity
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J’espère que vous êtes prêts pour un rewatch de HPI parce que moi pas du tout... Gawd, revoir ce pilote en sachant tout ce qui arrive derrière, c’est une ExpErieNce™
Déjà si quelqu’un peut m’expliquer à quoi sert cet éclairage bleu qui dure TOUTE la saison 1, je prends^^
En parlant d’expérience, ce foreshadow de la mort avec le casque audio de Morgane aux couleurs de l’Union Jack, je -- brb, gotta yell into the abyss 😱😱
(en vrai je pense que c’est un hasard total et que les mecs de TF1 sont des génies)
Morgane qui tombe de sa chaise en dansant sur Heavy Cross... Underrated comedic moment! Et le réarrangement furtif de policiers Playmobil... 🤣 Morgane a cinq ans d’âge mental, I love her ❤️
“Le compte est bon, bonjour chez vous” vous dites ça, vous, à la caissière du Carrefour ?
Wait, “un prêt immo”? Elle est pas censée être locataire ?
Karadec : *rencontre Morgane Alvaro pour la première fois* Still Karadec : *la fout direct en cellule* -> Best meet-cute of all times 🥰
Sérieux on n’en est qu’au premier épisode et Morgane n’a déjà aucun respect pour Gilles, c’est fou #justiceforgilles
“Bah, vous êtes à l’ouest ou quoi ?” [...] “Mais vous l’avez lu votre rapport ?”
Ces répliques et les réactions outrées de Céline et Adam me font trop rire
“Pour les détails, vous voyez avec Météo France” @anastaswt this one’s for you! 🤗
Tiens, vous vous rappelez cette époque où Adam et Céline appelaient Morgane “Mme Alvaro”? Lol.
“Vous pouvez pas savoir ce que ça fait d’attendre et de pas savoir” “Si. Crois-moi que si” 😰 😰 😰
C’est un perso qu’on ne reverra jamais donc on s’en branle, mais quand on y pense, la meuf qui serre sa nièce dans ses bras en mode traumatisée alors que c’est ELLE qui a tué son père et kidnappé sa mère, on est sur un bon niveau de evil!Aunt, là, non ?
“Seulement j’aurais préféré que vous me le demandiez gentiment plutôt que ce petit chantage tout pourri” “Vous avez déjà obtenu un truc en demandant gentiment ?” Je... C’est les MÊMES !! 😆 Plus de Morgane x Céline en saison 3 plz !!!
En fait ce show est une tragédie pour Gilles : avant l’arrivée de Morgane il était clairement le binôme privilégié de Karadec. Ils en sont même à team-up contre Morgane mais dès le prochain épisode c’est fini, Gilles, baby, I feel for you!! 😩
“Donc là y’a une nana qui est en train de crever quelque part, mais vous vous devez attendre qu’un type avec un bâton vous donne son accord ? Et ça vous fait pas chier ?” Morgane my love 😂
Je sais que j’me répète, mais on en est qu’à l’épisode 1, les enfants. Et Adam “les procédures c’est ma vie” Karadec en est déjà à violer le règlement et placer une pièce à conviction sur une scène de crime... Just saying ^^
Gilles qui interrogeait aussi les suspects avec Karadec avant Morgane... Une tragédie, j’vous dis 🥺
Ok, c’est un détail à la con, surtout que question cohérence, la carte d’étudiant de Romain DestatE dans le prochain épisode se pose un peu là, mais j’adore le fait que la sonnerie de téléphone de Karadec reste la même tout au long de la série 🤩
“On se parle bien, putain !” lolololol
Morgane: *picole de nuit devant chez elle en moumoute rose* Me: “Omg, that’s my aesthetic!”
Eliott: “Maman j’sais pas qui c’est” j’adore cet enfant 😆
Non mais vous vous rendez compte qu’on n’en est qu’à l’épisode 1 et Morgane et Karadec se font déjà du boudin ? Et vas-y que j’t’ignore, et vas-y qu’on s’fait la gueule, et vas-y que je viens jusque chez toi pour bien te montrer à quel point tu me saoules... King and Queen of subtlety j’vous jure 🥺🥺
Morgane qui sort “yes baby!” à Karadec, je -- I need a minute (et j’aime beaucoup sa petite danse de la victoire 😍 )
THE. WAY. THEY’RE. LOOKING. AT. EACH. OTHER 🙊
Et Céline qui est la première à croire en Morgane et à se battre pour lui proposer un job 🥲
“Il s’est pas tiré !” Oh, Morgane ! 💔
En fait tout ce show existe uniquement parce que Morgane décide dans l’épisode 1 de prouver à Théa que Romain ne les a pas abandonnées. Avec le succès qu’on sait. Voilà voilà, je vous laisse méditer là-dessus, moi je vais aller chialer ma race comme on dit.
#julia rewatches hpi#hpi#tf1 hpi#french post#my sincerest apologies to all the non-francophone viewers#I debated whether I should write this in French or in English for a long time#and eventually decided that I didn't want to translate the quotes and would feel weird switching constantly in the commentary#anyhoo#enjoy
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my gender is the tous les mêmes music video actually.
#random thoughts#stromae#tous les mêmes#rendez-vous !! rendez-vous rendez-vous au prochain règlement !!
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/rendez-vous au prochain règlement/
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Anyway because of my French teacher, I’ve been listening to Tous Les Memês by Stromae on repeat
No thoughts only Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement/ Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles
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Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles
- Tous Les Mêmes by Stromae
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« À la veille de la COP27, il est essentiel que nous saisissions cette occasion pour rééquilibrer l'agenda climatique actuel et veiller à ce qu'il protège les intérêts de tous les habitants de la planète, au lieu de se concentrer uniquement sur les préoccupations des pays déjà développés », c'est en clair le message qu'a voulu adresser le milliardaire expert des télécommunications et président de la fondation éponyme, Mo Ibrahim, aux participants de la prochaine conférence de l'ONU sur le climat qui s'ouvre ce dimanche 6 novembre à Charm el-Cheikh, en Égypte. COP27 : pourquoi est-elle si importante pour l'Afrique COP26 retour sur la première journée de ce sommet climatique En effet, présenté comme une « COP africaine » par ses organisateurs, le prochain rendez-vous sur le changement climatique pourrait une nouvelle fois s'avérer décevant pour un continent durement frappé par ses conséquences, alertent des militants et des scientifiques. Le premier point d'achoppement dans les négociations concerne le sujet de l'adoption d'un mécanisme de prise en compte des « pertes et dommages », provoqués par le changement climatique, auxquels les États africains sont durement exposés. Ils espèrent une contribution financière spécifique des pays développés, à l'origine d'une majorité des émissions de gaz à effet de serre. En termes de chiffres, les « pertes et dommages » ont été évalués, par des scientifiques, entre 292,4 milliards d'euros et 584,8 milliards d'euros par an jusqu'en 2030, et jusqu'à 1 ?700 milliards de dollars en 2050, pour les seules conséquences économiques dans les pays en développement. « Les discours ne se traduisent toujours pas par des actions, avertit Mo Ibrahim dans une note transmise aux médias à 48 heures de l'ouverture. Qu'il s'agisse du financement de l'adaptation ou du règlement des dommages et intérêts, les nations développées ne tiennent toujours pas leurs promesses, tandis que les citoyens africains, ainsi que des millions d'autres dans les pays en voie de développement, continuent d'en payer le prix », soutient celui dont la fondation a publié un rapport extrêmement documenté dont l'objectif est de positionner l'Afrique dans le débat global sur le climat. À LIRE AUSSI Climat : l'Afrique fixe sa feuille de route pour la COP27 L'enjeu crucial des compensations cop26-l-objectif-diminuer-le-rechauffement-climatique D'après les scientifiques, l'Afrique n'est pas historiquement responsable du changement climatique. Officiellement, elle émet moins de 4 % des émissions mondiales. Mais les pays riches ont rejeté l'an dernier l'établissement d'un mécanisme de financement pour faire face aux pertes et dommages, pourtant reconnus par l'accord de Paris de 2015. Ils ont plutôt validé l'idée d'un simple calendrier de « dialogue » sur des compensations financières. Les militants, et surtout le groupe de négociation « ?G77 et Chine? », représentant 134 pays du Sud, vont désormais pousser afin que le sujet puisse revenir sur la table à Charm el-Cheikh au moment où la planète est confrontée à une série d'inondations, canicules et sécheresses. Ces catastrophes sont particulièrement sévères pour l'Afrique. Selon Carbon Brief, les événements météorologiques extrêmes ont tué au moins 4 000 personnes et en ont déplacé 19 millions à travers le continent, rien que depuis le début de l'année. La sécheresse actuelle dans la Corne de l'Afrique affecte les conditions de vie de plus de 9 millions de personnes, et par ailleurs 1,4 million d'habitants du Nigeria ont été déplacés ces dernières semaines en raison des inondations, les plus graves jamais enregistrées dans ce pays. Les experts de l'ONU sur le climat avaient en février spécifiquement alerté sur les risques auxquels sont exposés de nombreux pays d'Afrique, de la baisse des rendements agricoles à la mortalité liée aux chaleurs extrêmes en passant par la montée des eaux. « Les engagements en matière de climat ne peuvent être
pris au détriment des politiques de développement, l'accès à l'énergie ne peut pas devenir accessoire, et les principaux responsables du changement climatique doivent faire preuve à la fois de responsabilité et de volonté d'agir pour la planète, en tenant au moins leurs promesses passées », veut croire Mo Ibrahim. Climat ce que l’Afrique attend de la COP26 À LIRE AUSSI Climat : « Il faut mettre en exergue la spécificité de l'Afrique » Une nouvelle stratégie de financement de la transition énergétique avait vu le jour à Glasgow, des pays riches s'engageant à fournir 8,5 milliards de dollars à l'Afrique du Sud, sous forme de dons et de prêts, pour réduire sa dépendance au charbon. Mais les besoins sont énormes : la Banque mondiale estimait cette semaine que le pays aurait besoin d'au moins 500 milliards de dollars pour atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050. Des promesses qui ne sont toujours pas tenues COP27 pourquoi est-elle si importante pour l'Afrique Les progrès lors des récentes COP ont toutefois été contrariés par la promesse non tenue des pays riches de porter à 100 milliards de dollars par an l'aide aux pays en développement pour la lutte contre le changement climatique. « Cette COP africaine est une occasion unique d'élaborer un programme climatique inclusif. Un programme qui non seulement tient compte des défis de développement de l'Afrique, mais qui garantit aussi que le continent n'est pas seulement un problème à régler : il fait partie intégrante de la solution. Faute de quoi, nos efforts collectifs seront vains pour assurer un avenir durable à l'échelle mondiale », insiste-t-il, alors que paraît toujours, ce vendredi 4 novembre, un nouveau rapport alarmant du Global Center on Adaptation. Le document qui paraît révèle, en effet, que l'Afrique fait face à une crise du financement en matière d'adaptation au climat. En 2019 et 2020, une somme estimée à 11,4 milliards de dollars aurait été allouée au financement de l'adaptation climatique en Afrique, dont plus de 97 % proviennent d'acteurs publics et moins de 3 % d'acteurs du secteur privé. Cette somme est largement inférieure aux 52,7 milliards de dollars par an d'ici à 2030 estimés nécessaires pour les pays africains. Le rapport formule également un certain nombre de recommandations. « Le financement de l'adaptation progresse trop lentement pour permettre de combler le déficit d'investissement en Afrique, alors même que les frais de notre inaction ne cessent d'augmenter. Dans la perspective de la COP27, nous devons susciter un élan décisif en faveur du financement de l'adaptation au changement climatique. Le programme d'accélération de l'adaptation en Afrique, soutenu par l'Union africaine, est le meilleur moyen à notre disposition pour faire en sorte que le déficit d'investissement dans l'adaptation en Afrique se résorbe grâce à l'action de toutes les sources disponibles, y compris le secteur privé », a résumé Patrick Verkooijen, PDG du Global Center on Adaptation (GCA), lors de la présentation dudit rapport. « Tous les pays doivent honorer le plus vite possible leurs engagements relatifs au financement de l'action climatique », plaident dans une tribune commune vendredi les présidents français Emmanuel Macron, sénégalais Macky Sall (président en exercice de l'Union africaine) et le Premier ministre néerlandais Mark Rutte. Mais si les signataires font de l'adaptation au changement climatique une « priorité absolue » de la COP27, ils n'évoquent pas les pertes et dommages. Interrogé par l'AFP, Chukwumerije Okereke, de l'université britannique de Reading, prévient toutefois qu'un éventuel mécanisme de financement des pertes et dommages pourrait mettre « quatre ou cinq ans » avant de se matérialiser, même en cas d'accord. « Donc les pays pauvres devraient se rendre compte que même si l'obtention d'un nouveau mécanisme (de financement) représenterait une victoire, cela ne se traduira pas nécessairement par un afflux de dollars », met-il en g
arde. En clair : le combat sera âpre mais l'Afrique n'a semble-t-il pas dit son dernier mot. À LIRE AUSSI Changement climatique : que dit et que fait l'Afrique ?
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« À la veille de la COP27, il est essentiel que nous saisissions cette occasion pour rééquilibrer l'agenda climatique actuel et veiller à ce qu'il protège les intérêts de tous les habitants de la planète, au lieu de se concentrer uniquement sur les préoccupations des pays déjà développés », c'est en clair le message qu'a voulu adresser le milliardaire expert des télécommunications et président de la fondation éponyme, Mo Ibrahim, aux participants de la prochaine conférence de l'ONU sur le climat qui s'ouvre ce dimanche 6 novembre à Charm el-Cheikh, en Égypte. COP27 : pourquoi est-elle si importante pour l'Afrique COP26 retour sur la première journée de ce sommet climatique En effet, présenté comme une « COP africaine » par ses organisateurs, le prochain rendez-vous sur le changement climatique pourrait une nouvelle fois s'avérer décevant pour un continent durement frappé par ses conséquences, alertent des militants et des scientifiques. Le premier point d'achoppement dans les négociations concerne le sujet de l'adoption d'un mécanisme de prise en compte des « pertes et dommages », provoqués par le changement climatique, auxquels les États africains sont durement exposés. Ils espèrent une contribution financière spécifique des pays développés, à l'origine d'une majorité des émissions de gaz à effet de serre. En termes de chiffres, les « pertes et dommages » ont été évalués, par des scientifiques, entre 292,4 milliards d'euros et 584,8 milliards d'euros par an jusqu'en 2030, et jusqu'à 1 ?700 milliards de dollars en 2050, pour les seules conséquences économiques dans les pays en développement. « Les discours ne se traduisent toujours pas par des actions, avertit Mo Ibrahim dans une note transmise aux médias à 48 heures de l'ouverture. Qu'il s'agisse du financement de l'adaptation ou du règlement des dommages et intérêts, les nations développées ne tiennent toujours pas leurs promesses, tandis que les citoyens africains, ainsi que des millions d'autres dans les pays en voie de développement, continuent d'en payer le prix », soutient celui dont la fondation a publié un rapport extrêmement documenté dont l'objectif est de positionner l'Afrique dans le débat global sur le climat. À LIRE AUSSI Climat : l'Afrique fixe sa feuille de route pour la COP27 L'enjeu crucial des compensations cop26-l-objectif-diminuer-le-rechauffement-climatique D'après les scientifiques, l'Afrique n'est pas historiquement responsable du changement climatique. Officiellement, elle émet moins de 4 % des émissions mondiales. Mais les pays riches ont rejeté l'an dernier l'établissement d'un mécanisme de financement pour faire face aux pertes et dommages, pourtant reconnus par l'accord de Paris de 2015. Ils ont plutôt validé l'idée d'un simple calendrier de « dialogue » sur des compensations financières. Les militants, et surtout le groupe de négociation « ?G77 et Chine? », représentant 134 pays du Sud, vont désormais pousser afin que le sujet puisse revenir sur la table à Charm el-Cheikh au moment où la planète est confrontée à une série d'inondations, canicules et sécheresses. Ces catastrophes sont particulièrement sévères pour l'Afrique. Selon Carbon Brief, les événements météorologiques extrêmes ont tué au moins 4 000 personnes et en ont déplacé 19 millions à travers le continent, rien que depuis le début de l'année. La sécheresse actuelle dans la Corne de l'Afrique affecte les conditions de vie de plus de 9 millions de personnes, et par ailleurs 1,4 million d'habitants du Nigeria ont été déplacés ces dernières semaines en raison des inondations, les plus graves jamais enregistrées dans ce pays. Les experts de l'ONU sur le climat avaient en février spécifiquement alerté sur les risques auxquels sont exposés de nombreux pays d'Afrique, de la baisse des rendements agricoles à la mortalité liée aux chaleurs extrêmes en passant par la montée des eaux. « Les engagements en matière de climat ne peuvent être
pris au détriment des politiques de développement, l'accès à l'énergie ne peut pas devenir accessoire, et les principaux responsables du changement climatique doivent faire preuve à la fois de responsabilité et de volonté d'agir pour la planète, en tenant au moins leurs promesses passées », veut croire Mo Ibrahim. Climat ce que l’Afrique attend de la COP26 À LIRE AUSSI Climat : « Il faut mettre en exergue la spécificité de l'Afrique » Une nouvelle stratégie de financement de la transition énergétique avait vu le jour à Glasgow, des pays riches s'engageant à fournir 8,5 milliards de dollars à l'Afrique du Sud, sous forme de dons et de prêts, pour réduire sa dépendance au charbon. Mais les besoins sont énormes : la Banque mondiale estimait cette semaine que le pays aurait besoin d'au moins 500 milliards de dollars pour atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050. Des promesses qui ne sont toujours pas tenues COP27 pourquoi est-elle si importante pour l'Afrique Les progrès lors des récentes COP ont toutefois été contrariés par la promesse non tenue des pays riches de porter à 100 milliards de dollars par an l'aide aux pays en développement pour la lutte contre le changement climatique. « Cette COP africaine est une occasion unique d'élaborer un programme climatique inclusif. Un programme qui non seulement tient compte des défis de développement de l'Afrique, mais qui garantit aussi que le continent n'est pas seulement un problème à régler : il fait partie intégrante de la solution. Faute de quoi, nos efforts collectifs seront vains pour assurer un avenir durable à l'échelle mondiale », insiste-t-il, alors que paraît toujours, ce vendredi 4 novembre, un nouveau rapport alarmant du Global Center on Adaptation. Le document qui paraît révèle, en effet, que l'Afrique fait face à une crise du financement en matière d'adaptation au climat. En 2019 et 2020, une somme estimée à 11,4 milliards de dollars aurait été allouée au financement de l'adaptation climatique en Afrique, dont plus de 97 % proviennent d'acteurs publics et moins de 3 % d'acteurs du secteur privé. Cette somme est largement inférieure aux 52,7 milliards de dollars par an d'ici à 2030 estimés nécessaires pour les pays africains. Le rapport formule également un certain nombre de recommandations. « Le financement de l'adaptation progresse trop lentement pour permettre de combler le déficit d'investissement en Afrique, alors même que les frais de notre inaction ne cessent d'augmenter. Dans la perspective de la COP27, nous devons susciter un élan décisif en faveur du financement de l'adaptation au changement climatique. Le programme d'accélération de l'adaptation en Afrique, soutenu par l'Union africaine, est le meilleur moyen à notre disposition pour faire en sorte que le déficit d'investissement dans l'adaptation en Afrique se résorbe grâce à l'action de toutes les sources disponibles, y compris le secteur privé », a résumé Patrick Verkooijen, PDG du Global Center on Adaptation (GCA), lors de la présentation dudit rapport. « Tous les pays doivent honorer le plus vite possible leurs engagements relatifs au financement de l'action climatique », plaident dans une tribune commune vendredi les présidents français Emmanuel Macron, sénégalais Macky Sall (président en exercice de l'Union africaine) et le Premier ministre néerlandais Mark Rutte. Mais si les signataires font de l'adaptation au changement climatique une « priorité absolue » de la COP27, ils n'évoquent pas les pertes et dommages. Interrogé par l'AFP, Chukwumerije Okereke, de l'université britannique de Reading, prévient toutefois qu'un éventuel mécanisme de financement des pertes et dommages pourrait mettre « quatre ou cinq ans » avant de se matérialiser, même en cas d'accord. « Donc les pays pauvres devraient se rendre compte que même si l'obtention d'un nouveau mécanisme (de financement) représenterait une victoire, cela ne se traduira pas nécessairement par un afflux de dollars », met-il en g
arde. En clair : le combat sera âpre mais l'Afrique n'a semble-t-il pas dit son dernier mot. À LIRE AUSSI Changement climatique : que dit et que fait l'Afrique ?
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