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#rené carcan
frenchcurious · 5 months
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René Carcan (1925-1993) Le Vent dans la Campagne, n.d.. - source Heritage Auctions.
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myfairynuffstuff · 5 years
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René Carcan (1925 - 1993) - Le Vent dans le Pleine.
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claudehenrion · 5 years
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Retour sur terre : bientôt le premier tour des ''municipales'' !
 Difficile d'y échapper… A un moment où à un autre, la politicaillerie finit toujours par nous rattraper. Comment ne pas parler des élections municipales à venir alors que, devant la menace d’une déculottée pour LREM, les communicants de l'Elysée ont préféré la fuite dans les contre-vérités les plus folles sur un “coronavirus” qui n'en demandait pas tant ? Lorsque (et c'est pour bientôt), “le soufflé va retomber” et le bon sens revenir sur terre par la force des choses… tous nos grands hommes si petits n'auront plus que l'espoir qu’on oublie très vite tous les bobards déversés sans motifs réels¨ : ils ne vont pas nous refaire un coup ‘’à la Fillon’’, au moins ?
  Pour démarrer sur des bases ''pas trop subjectives'', ce qui n'est pas facile sur des sujets aussi passionnels que la police municipale armée ou pas, les caméras de surveillance avec ou sans reconnaissance faciale, le ramassage des ordures et les impôts locaux, ou la place de l'auto dans la ville (donc la place du vélo, celles de la trottinette, du stationnement... et du piéton !), je vous propose de partir du sondage le plus récent que j'ai trouvé : il date de ''juste après'' la confrontation télévisée entre tous les candidats à la Mairie de Paris (supposés avoir une envergure nationale).
  A la question ''Qui, d'après vous, a été le plus convaincant, lors de ce débat ?'', les résultats (sur 26 500 sondés, ce qui est énorme pour un sondage) sont les suivants : nettement en tête, Rachida Dati, avec  53,22  % d'opinions favorables, suivie de Agnès Buzyn à 19,08 %, Cedric Villani à 11,53 %, puis Anne Hidalgo avec un ridicule (pour un candidat sortant) 7,7 %, le RN Serge Federbush à 3,66 %, et Danièle Simonet (RFI, extrême gauche et autres obscurantistes), à 1,66.... les autres s'étant perdus dans leur grand néant... Il est tout de même symptomatique que, alors que les journaleux, jamais en retard d'une guerre à perdre, se donnent un mal de chien pour promouvoir la cause écologiste (toujours retardataires, ils se croient encore au bon vieux temps de René Dumont et de l'écologie honnête, non-punitive et pas vraiment à gauche !), personne ne veuille entendre leur discours déphasé... et ''greta-thunberg-isé’' de manière pitoyable...
  Si on se donne le mal de faire une analyse un peu plus argumentée de ce résultat (qui ne doit pas surprendre les lecteurs de ce blog, tant il est conforme à ce que nous prévoyons depuis des mois --jolie litote pour dire ''des années et des années ''!), tout cela paraît très normal : Rachida Dati est la candidate qui convient le mieux à une grande métropole : expérience confirmée dans plein de postes ministériels, municipaux, nationaux, locaux), une vraie compétence démontrée dans la gestion réussie d'un des arrondissements les plus emblématiques de la Capitale, une vraie connaissance des tenants, aboutissements, devoirs et fonctions du ''métier'' de Maire, une vraie ambition à faire partager et une vision pour notre ex-belle ville et pour ses habitants.... Elle domine le mieux possible urbanisme, problèmes quotidiens, réglementation, finances, sécurité... et elle n'est pas porteur (''porteuse'' ? Les atroces néologismes jospiniens ne sont pas ''ma tasse de thé'') des idées rétrogrades d'une gauche périmée et rejetée, ni d'un écologisme qui se prend pour sa propre caricature tant ses excès sont invraisemblables. Les parisiens ont l'air de ne pas se laisser avoir, pour une fois : très échaudés par les deux ‘‘mandatures’‘ précédentes, ils réalisent qu'ils ne peuvent pas se payer le luxe d'une troisième erreur masochiste ! Et comme on croit apercevoir les prémices du même réveil à l'échelle nationale, on peut logiquement espérer que le corps électoral va se détourner des mensonges de la Gauche et de la tromperie XXL d'un prétendu ''macronisme'' qui n'a existé que le temps de l'anti-campagne scandaleuse de  mai 2017. Coronavirus ou pas, l'espoir serait-il à nouveau permis aux français ?
  Derrière cette ''course en tête'' d'une femme sur laquelle ont été colportées tant de saloperies indignes, on trouve la macronienne Agnès Buzyn. Les lecteurs de ce blog savent tout le mal qu'il faut penser de cette incompétente qui est prête à affirmer n'importe quoi (mais pas son contraire, hélas !) pour défendre une méchante cause qui met en des-équilibre... celui, précisément, de la société française. Je pense que le nombre de bêtises à la minute qui ont illustré les débats sur l'abandon du sort des enfants aux idéocrates porteurs de toutes les envies, surtout les plus mauvaises, qui peuvent naître en période de dégénérescence d'une civilisation (ces périodes propices à toutes les folies) a battu des records. Ces 19 % totalement immérités démontrent, si besoin était, la fascination des français pour le légalisme, qu'ils associent à tort à la légalité... Il devrait sembler évident que cette parachutée, sans expérience, qui n'a jamais exercé le moindre mandat, pur produit de la politicaillerie et de la combine d'appareil, qui n'a aucune ''vista'', aucun projet à elle (elle a repris tous ceux de l'horrible Griveaux ! Une référence !), qui est là par hasard et sans envie, après avoir dit non et donc sans savoir pourquoi... serait un choix catastrophique. Or dans le genre, on a déjà donné ! Et il y a donc de bonnes raisons d'espérer que, devant l'urne, beaucoup vont se rendre compte du danger, en persévérant, de se retrouver très vite devant les folies fiscales, sociétales, économiques, politiques et autres de ce gouvernement rejeté à quelque 75 % !
  Quant aux autres candidats...Les électeurs ont compris qu’Ils ne sont là que par ambition personnelle, sur ''ordre de mission'' comme Buzyn,  ou pour se venger de frustrations qui ont blessé leur orgueil (cf. Villani)... Rien, dans tout cela, qui présente le moindre intérêt pour les électeurs. Une fois de plus, la sagesse des peuples fait la nique aux calculs des ‘‘apparatchiki’’... Il ne reste plus qu'à espérer que ces bonnes résolutions ne vont pas être bloquées par un vulgaire virus sur-gonflé par les politiciens et les journalistes... les premiers parce qu'il camoufle leur nullité intrinsèque et leur incapacité à résoudre les vrais problèmes du moment, le seul vrai risque étant, en ce moment, la menace d'une immense anesthésie politique. Et les seconds parce qu'il n'y a rien qui les excite autant que de propager de mauvaises nouvelles : dans de tels instants, ils s'imaginent que c'est eux qui (pour reprendre une expression dont ils raffolent) ''font l'événement'' : plus les temps sont troubles et plus ils croient qu’ils prennent  de l'importance, jour après jour... Ils se rengorgent jusqu’à ressembler bientôt à la grenouille de la fable !
  ''Municipales''' ? Mais c'est au niveau national qu'on a besoin de se libérer du carcan mortel du progressisme et des autres idées à la mode (que le soi-disant macronisme a endossées, pour exister) : elles sont toutes ''plus pires'' les unes que les autres, pour notre Nation et pour ses habitants. Quant  à Paris... c'est un  besoin vital de se libérer de la main-mise socialiste (canal ''écolo-déconnant'') qui fait de notre ex-ville lumière une agglomération où plus rien ne marche, où tout est sale, comme à l'abandon (le motard que je suis doit passer son temps à slalomer sur la chaussée pour éviter des ornières qui deviennent comme des tranchées... en beaucoup plus nombreuses). C'est bien simple : à chaque retour de voyage, les mots  ''je suis dans une ville du tiers monde'' s'imposent à mon esprit, et j'ai honte de ce que pensent les touristes qui nous visitent encore... espérant retrouver ce que nous fûmes... avant le règne catastrophique de la terrifiante Anne Hidalgo ! .
H-Cl.
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chaquejoursonpoeme · 7 years
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Yves BONNEFOY bio
Yves Bonnefoy, poète, traducteur et critique d’art Plusieurs fois pressenti pour le prix Nobel de littérature, l’ancien professeur au Collège de France s’est éteint vendredi à l’âge de 93 ans. http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2016/07/01/mort-d-yves-bonnefoy-poete-traducteur-et-critique-d-art_4962338_3382.html#3UqguUIXjI51i6sH.99 LE MONDE | 01.07.2016 Par Amaury da Cunha
Poète, traducteur, critique d’art, professeur au collège de France, plusieurs fois pressenti pour le prix Nobel de littérature, Yves Bonnefoy est mort le vendredi 1er juillet à Paris, à l’âge de 93 ans. Cet immense écrivain était un homme multiple. Malgré la diversité de ses activités, une même intuition semblait toujours guider sa démarche qu’il appelait « la vérité de parole », ou le souci de saisir « ce que la vie a d’immédiat ». Dans l’intensité poétique, manifestant aussi une curiosité insatiable pour toutes les formes artistiques (il a écrit des essais sur Picasso, Balthus, Giacometti, Mondrian, Alechinsky), Yves Bonnefoy a construit une œuvre ouverte, à multiples entrées, dans laquelle l’expression est toujours approfondie par une exigence de pensée. Le poète se méfiait cependant du concept qui, pensait-il, nous écarte de l’essentiel : voulant à tout prix identifier nos expériences, il les limite, et nous prive, de surcroît, de la présence du monde. « La tâche du poète est de montrer un arbre, avant que notre intellect nous dise que c’est arbre », écrivait-il. C’est à Tours qu’Yves Bonnefoy naît le 24 juin en 1923, au sein d’une famille modeste : son père est ouvrier ajusteur et sa mère institutrice. Au sujet de l’enfance, il a maintes fois expliqué que cette période de la vie correspondait pour lui à l’origine de l’expérience poétique. Au printemps 2010, évoquant ses « journées enfantes », il nous avait confié voir la poésie comme « la préservation de ce sentiment de présence de tout à tout », qui en faisait « le bonheur, et aussi l’angoisse ». Fervent admirateur de Rimbaud A ses parents, le petit Bonnefoy explique qu’il veut savoir lire pour « écrire des poèmes ». Vers 7 ou 8 ans, il manifeste déjà une vive curiosité pour la littérature. Sur la page d’un livre offert par sa tante, on peut lire cette dédicace éclairante : « A mon filleul et neveu, futur poète. » C’est lorsqu’il est boursier au lycée Descartes à Tours, en juillet 1940, que sa vocation littéraire se précise : conseillé par son professeur de philosophie, il découvre une Petite anthologie du surréalisme, du poète et cinéaste Georges Hugnet. Enchantements. « Je découvris là, d’un seul coup, les poèmes de Breton, de Péret, d’Eluard, les superbes masses verbales de Tzara aux temps dadaïstes (…), Giacometti, les collages de Max Ernst, Tanguy, les premiers Miro : tout un monde », raconte-t-il dans ses Entretiens sur la poésie (Mercure de France, 1990). Malgré l’attrait pour l’étrange provoqué par ces découvertes surréalistes, Bonnefoy choisit une discipline bien plus « raisonnable » : les mathématiques. C’est d’ailleurs le prétexte qu’il se donne pour venir à Paris, et préparer sa licence à la Sorbonne. Il habite alors dans une chambre d’arrière-cour, sur le quai Saint-Michel, gagne sa vie en donnant des cours de mathématiques et de sciences naturelles. Mais c’est désormais la littérature qui s’impose à lui, d’abord par la lecture. Il découvre Bataille, Artaud, Michaux, Eluard, Jouve, et fréquente désormais André Breton. En 1946, c’est d’ailleurs dans une revue surréaliste, La Révolution la nuit, qu’il publie son premier poème « Le cœur-espace ». Mais cette proximité avec ce groupe restera courte. Si Bonnefoy reconnaît que le surréalisme a pu libérer la pensée du carcan des lois et des dogmes, il reproche à Breton de s’écarter du réel au profit d’un certain « occultisme ». Ce qu’il rejette sans doute aussi, c’est la dimension grégaire et idéologique de ce mouvement qui oppose la chimère au réel et privilégie l’opacité à la lumière. En fervent admirateur de Rimbaud, à qui il consacrera plusieurs essais critiques, c’est bien la « réalité rugueuse » qu’il cherche à étreindre, comme le poète d’Une saison en enfer. Et non une improbable surréalité. En 1947, Yves Bonnefoy décide de rompre définitivement avec le surréalisme, peu de temps avant l’ouverture d’une exposition internationale consacrée à ce mouvement à la galerie Maeght, organisée par André Breton et Marcel Duchamp. S’il s’éloigne d’André Breton, il ne reniera cependant jamais son influence : l’ouverture au rêve, notamment, et l’accès aux « grandes images imprévisibles, sauvages ». C’est à 31 ans qu’Yves Bonnefoy fait sa véritable entrée en littérature. En 1954, il publie un recueil de poèmes, Du mouvement et de l’immobilité de Douve, immédiatement salué par Maurice Nadeau, le créateur des Lettres nouvelles, en des termes définitifs. « On ne se rappellera peut-être plus, écrit-il, qui a eu le prix Goncourt, mais il faudra se souvenir de ce que, cette année, a paru le premier recueil d’un grand poète. Il faut marquer d’une pierre blanche l’avènement d’Yves Bonnefoy et le nouveau départ qu’il a fait prendre à la poésie. » Poésie rêveuse, mais ancrée dans la chair du monde, ce recueil pose les bases d’une esthétique que Bonnefoy prolongera jusqu’à sa mort. Pour le poète, la tâche est complexe et paradoxale : s’il se méfie des mots, car ils sont « sans prise vraie sur les choses », il faut cependant passer par eux ; les détourner de leurs usages pour trouver ce qu’il appelle « le second degré de la parole ». Dans son premier recueil, le nom de Douve désigne à la fois une femme, une rivière, une lande. Les poèmes d’Yves Bonnefoy, comme l’analyse l’écrivain suisse Jean Starobinski, sont « entre deux mondes ». Ils recherchent la dimension la plus littérale du réel (qui est sans doute la plus énigmatique), mais ils se nourrissent aussi de « récits en rêve ». Car c’est la quête de la présence – « l’évidence mystérieuse » pour Bonnefoy – qui anime l’écriture dans ses chemins de traverse. Avec cette espérance revendiquée sans cesse : refonder enfin l’unité de l’être. De réputation parfois complexe, les poèmes d’Yves Bonnefoy sont pourtant simples. Ils désignent un monde possible, et enfin accessible, sans discours qui leur préexisterait : « Le poème n’est pas une activité didactique, il n’a pas à expliquer l’expérience du monde qu’il cherche à approfondir », assurait-il. Désireux de ne pas séparer les expériences humaines, Yves Bonnefoy a écrit, à côté de sa recherche poétique, de nombreux textes sur l’histoire des formes artistiques. La création et la pensée, pour l’écrivain, sont des actes de parole qui participent d’un même élan. En 1954, il entre au CNRS, avec un sujet d’étude consacré au « signe et la signification de la forme chez Piero Della Francesca », sous la direction d’André Chastel et de Jean Wahl. Son œuvre comprendra de nombreux essais critiques consacrés aux peintures murales de la France gothique et à l’art baroque (Rome, 1630, Flammarion, 1970). Cet héritage artistique, c’est dans L’Arrière-Pays (Gallimard, 1972) qu’Yves Bonnefoy lui rendra son plus profond hommage. Ce livre oscille entre l’autobiographie et la réflexion philosophique. Yves Bonnefoy y éclaire le cheminement de sa vie à la lueur de l’art et dans la recherche du « vrai » lieu, dont il retrouve l’essence dans la peinture de la Renaissance. Un monde enfin possible, dont il pense que « personne n’y marcherait comme sur une terre étrangère ». Fasciné par le temps Ce souci du dialogue constant avec toutes les formes d’art, il le vit dans d’autres aventures fécondes, mêlant le travail et l’amitié. En 1967, avec le poète Jacques Dupin, le critique Gaétan Picon et l’écrivain Louis-René des Forêts, il fonde L’Ephémère. Cette revue, qui constitue un pont entre la parole et les arts, fait se rencontrer hommes d’écriture et d’images. Elle a « pour origine le sentiment qu’il y a une approche poétique du réel dont l’œuvre est le moyen non la fin », écrivait-il. Malgré sa courte vie (cinq numéros), cette revue marque son époque et voit naître des voix de nouveaux écrivains, comme Pascal Quignard ou Alain Veinstein. Pour Bonnefoy, le texte est une rencontre vers ce qui est proche, mais aussi étranger – son activité de traducteur en témoignera. En 1960, il traduit Jules César, de Shakespeare. La pièce est jouée à l’Odéon, avec des décors créés par son ami Balthus, et une mise en scène de Jean-Louis Barrault. Il traduira par la suite une dizaine de pièces de Shakespeare, mais aussi Yeats, Pétrarque, Leopardi… Il consacrera aussi de nombreux essais à la traduction, qu’il considérait proche de la création poétique, parce qu’elle est aussi un acte de transformation du langage. Accueillant le journaliste du Monde, en 2010, dans son bureau de la rue Lepic, à Montmartre, qu’il occupait depuis les années 1950, Yves Bonnefoy avait seulement voulu « parler ». Il refusait la formule de l’entretien oral enregistré, par crainte de ne pouvoir revenir sur ce qu’il aurait pu dire. Il évoqua son œuvre, sans laisser entendre qu’elle était terminée. Il parla de son « bibliographe » occupé à rassembler ses multiples publications éparpillées depuis des dizaines d’années en revues, journaux, actes de colloque… Il voulut aussi revenir sur certains êtres qui avaient particulièrement compté pour lui, comme son ami le photographe Henri-Cartier Bresson – « son Leica était un instrument aussi rapide que son esprit », avait-il dit –, qu’il admirait pour son immense disponibilité à « la beauté de ce qui est ». Car Yves Bonnefoy était un poète du réel ; fasciné par le temps, peu par l’époque. A propos du monde contemporain, il se méfiait de toutes sortes d’idéologies, autant de menaces pour la poésie, qui doit, pensait-il, se déployer loin des systèmes de pensée. « Le XXIe siècle, avait-il confié au Magazine littéraire en avril 2008, c’est bien possiblement celui qui verra la poésie périr, étouffée sous les ruines dont il couvre le monde naturel autant que la société. » • 24  juin 1923 Naissance à Tours • 1945-1946 Fréquente les milieux surréalistes. Visites à André Breton à son retour d’Amérique • 1947 Peu avant l’Exposition internationale du surréalisme, rupture avec André Breton • 1950 Publication des premiers poèmes de « Du mouvement et de l’immobilité de Douve » • 1959 « L’Improbable », recueil d’essais sur l’art et la poésie • 1970 « Rome, 1630 : l’horizon du premier baroque ». A l’automne, enseignement à l’université de Genève (en remplacement de Jean Rousset) • 1981 Election au Collège de France (chaire d’études comparées de la fonction poétique) • 1990 « Entretiens sur la poésie (1972-1990) » • 2016 : Publication de «L’Echarpe rouge » • 1er juillet 2016 Mort à Paris • Amaury da Cunha Journaliste au Monde
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myfairynuffstuff · 5 years
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René Carcan (1925 - 1993) - Sur le Fil. 1986. Etching and aquatint.
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