#révolte premier mai
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codumofr · 10 days ago
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La Deutsch Heer est le nom officiel de l’Armée de l’Empire Allemand entre 1871 et 1919. Elle est créée par le décret “Ordnung für Kriegsbundes Armee in Deutschland” ordonnée par Otto von Bismarck (1815-1898) alors Chancelier Impérial depuis 1871. “L’Oberste Heeresleitung” est le nom donné au haut-commandement de la Deutsche Heer et à sa tête se trouve l’Empereur Allemand (titre créé en 1871 et abrogé suite à la défaite allemande de 1918.) Entouré de ses proches qui forment l’État-major Particulier ; Les aides de camp, quatre officiers d’ordonnance, plusieurs officiers adjoints et deux médecins. Il y aura trois cabinets en place : Le Militätkabinett pour les affaires militaires, le Marinekabinett pour la marine et le Geheimes Zivilkabinett pour les affaires civiles. Ainsi les chefs de la Deutsche Heer sera du 18 Janvier 1971 au 9 Mars 1888, Guillaume 1er (1797-1888), du 9 Mars 1888 au 15 Mars 1888, Frédéric III (1831-1888) et du 15 Juin 1888 au 9 Novembre 1918, Guillaume II (1859-1941). Elle est alors constituée de vingt-cinq corps d’armée qui englobe 48 divisions d’infanterie, de cavalerie et d’artillerie confondue. Toutefois, après l’unification de l’Allemagne en 1871, l’armée allemande ne combat plus en Europe, mais sera active dans les colonies telles que lors de la Révolte des Boxers et se trouvera déployer partout où l’Empire Colonial Allemand est présent. Possédant ainsi une troupe coloniale du nom de “Schutztruppen” qui ne constituait pas un corps colonial autonome comparé à d’autres nations telles que la Légion Étrangère Française ou Espagnole, elle était même dépendante non pas du Ministère de la Guerre, mais des responsables et gouverneurs locaux. Ce n’est qu’en 1891 qu’apparaît là “Kaiserliche Schutztruppe für Deutsch-Ostafrika” sous l’impulsion du Commissaire et Colonisateur Allemand, Hermann von Wissmann (1853-1905). D’abord soumise à l’autorité de la Marine Impérial Allemande (Kaiserliche Marine) elle sera en 1896 suite à une loi, soumise au même titre que les troupes coloniales à l’autorité du Bureau Colonial Impérial (Reichskolonialamt). En termes d’opération, les troupes de Wissmann seront employées en 1891 contre les Héhé, durant la rébellion Maji-Maji (1905-1907), elle connaître le Siège de Tsingtau en 1914, puis quelque temps après, elle sera alors employé lors de la 1re guerre mondiale lors de la Campagne d’Afrique de l’Est (1914-1918).
Au sein même de l’Armée, une hiérarchie se dessine. Le Corps d’Officier est généralement recruté parmi les “Junkers”, propriétaire terrien prussien et donc, noblesse foncière du pays. Les Sous-officiers sont généralement des artisans instruits, mais économiquement peu certains dû à l'industrialisation de l’Allemagne et les hommes de troupes sont généralement issus de tout horizon. En 1914, la Deutsch Heer est capable d'aligner 8 armées et qui seront en termes d'effectif de 840’000 hommes en temps de paix, puis montera rapidement à 3’750’000 hommes lors de la mobilisation. Très bien équipée, l’Infanterie Allemande possède en 1916 un casque en acier et un masque à gaz, son fusil Mauser 1898, des lance-flammes tandis que le corps de transmission possède le téléphone de campagne FF16 de Siemens. L’Artillerie et la composante blindée se composaient des canons de campagnes 7,7 cm FK 96, les énormes canons de Gamma-Gerät de 420 mm et les A7V, premier et unique char allemand développé lors de la 1re Guerre mondiale.
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claudehenrion · 7 months ago
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Madre mía...
Cette interjection espagnole décrit parfaitement notre situation incompréhensible : au delà d'un certain point, il ne reste plus qu'une mère, pour apporter du secours (NDLR : le même ''SOS'', dit en arabe et en onomatopées, n'est pas mal non plus : ''Taï taï taï... Ya ouili, ouili, ouili...''). En français, on dispose de la magnifique ''Une fois qu'on a passé les bornes, y'a plus de limites'' d'Alphonse Allais. Mais aujourd'hui, on a besoin de toute la richesse de toutes les langues pour tenter de décrire le méga bordel (Si vous avez un mot aussi précis, je suis preneur !) qu'est la France, en ce lendemain des ''Européennes''..
Il y a 3 ou 4 jours, je vous avais timidement prévenus (cf. ''Les dangereuses Européennes''), mais qui aurait pu prévoir que, seule parmi les nations du monde civilisé –dont la plupart votent, ces temps-ci-- la France n'était même plus capable de résister au choc (?) indirect d'une élection totalement indépendante de ses règles de fonctionnement. Son chef, qui passe le plus clair de son temps à donner des leçons –sans queue ni tête, mais très coûteuses et très risquées-- au monde entier, qui s'en fout, et à dépenser en Ukraine l'argent qu'il s'est arrangé pour que... nous ne l'ayons plus... n'est même pas capable de résister 24 h à la poussée démocratique et parfaitement légale d'un parti politique parfaitement légitime... et classé premier dans son pays ! A titre purement personnel, j'ai espéré, contre toute raison, que l'intelligence ''Marion-Eric'' ferait une percée. Je savais mon pari perdu, il l'a été. Dommage pour tout le monde. Il nous reste à digérer une super gueule de bois.
Mais les lecteurs réguliers de ce blog savent ma confiance profonde dans l'existence, invisible mais efficace in fine, d'une ''justice immanente'' qui finit par rattraper ceux qui ont échappé à la soi-disant ''justice'' des hommes, des Etats et, le cas échéant, de Dupont-Moretti (je dis ça pour rigoler !). Les anciens disaient ''Il est puni par où il a péché'', et la sagesse des nations a effectivement remis les choses en place : après sept trop longues années durant lesquelles il a passé son temps à vomir sur un quart, devenant pas sa faute un bon un tiers, des français (càd. ceux qui refusaient ses visions changeantes d'un avenir qui ne pouvait conduire qu'à la catastrophe collective et au malheur individuel), notre président-ado se retrouve seul devant le méchant destin qu'il nous avait concocté à grands coups de mauvaises décisions, d'analyses foireuses, de croyances progressistes et (donc) de solutions perverses, pires que le mal...
Et maintenant ? La révolte des braves gens a, une fois de plus, écarté la menace immédiate d'un macronisme pervers... Mais –ce qui n'était pas prévu, et même jugé et juré impossible par les ''ceux-qui-savaient''-- toutes les digues ont lâché, d'un coup, en cinq minutes-chrono ! Il ne voulait pas d'une victoire même minoritaire du Rassemblement national ? Il a réussi à fabriquer un tsunami-RN qui risque de tout emporter... Car si –comme beaucoup le supposent-- le triomphe européen du tandem Le Pen-Bardella se confirme aux législatives annoncées et bricolées à la hâte, quelle autre issue lui restera-t-il que de (se) démissionner lui-même, après avoir démissionné la bande de nullissimes qu'il traînait derrière lui et dont il nous imposait, contre notre gré mille fois répété, les effroyables idées, l'arrogance méprisante, les références mortifères et la bêtise inculte... encore que, entend-on dire, ici ou là, ''n'est pas De Gaulle qui veut''.
Ce scrutin européen et ses conséquences totalement imprévues nous ont tout de même apporté quelques bonnes nouvelles : la joie, en premier, de savoir que la bande de cuistres gauchisants qui avaient été élus dans le sillage de Macron –et à qui nous devons tant de décisions aux conséquences souvent mortelles pour la Nation-- va disparaître en grande partie. Un nombre grandissant de français n'en pouvaient plus, de les voir se pavaner à nos frais en mettant aux voix les pires idées possibles. Une autre bonne nouvelle, c'est le ratatinement des ''écologistes punitifs'' qui ont fait tant de mal à notre jeunesse (combien d'enfants ont grandi dans un univers de terreur, par leur faute ? Il ne faut jamais le leur pardonner), comme aussi à notre industrie, à nos agriculteurs, à notre économie, à nos choix politiques, etc... Mais ils nous ont tant fait de mal, à nous et à la France, qu'il est presque normal qu'on leur en veuille..
Essayons de rester dans les sujets fondamentaux : Emmanuel Macron nous a ''baladés'' pendant son quinquennat et demi dans les horreurs de sa pensée narcissique et erratico-progressiste : pas de programme, pas de buts, pas de direction générale –autres que cette Europe anthropophage, invivable et dystopique, qu'il a prétendu nous imposer aux dépens de notre France, dont nous sommes si nombreux à vouloir la pérennité. Nous lui devons l'effondrement de notre diplomatie et de notre poids dans le monde, une déroute absolument dramatique en Afrique de l'Ouest, notre humiliation permanente devant l'Algérie confite dans la haine pathologique qui reste la seule raison d'être d'un personnel politique corrompu et, plus récemment, ses prises de risque illimitées devant un adversaire qui nous surclasse sur tous les chapitres, en multipliant sans raison objective (Poutine n'a pas la possibilité de nuire à d'autres pays : il ne parvient pas à prendre plus de 10 ou 20 km² en Ukraine. On agite devant nous un épouvantail...) des engagements intenables auprès d'un pays croupion avec lequel nous n'avons jamais eu de relations autres que mercantiles et à court terme...
Son bilan –le jour où il faudra le faire-- se résumera sans doute à son affirmation péremptoire de ramener le RN à trois fois rien... Bravo, l'artiste ! Que croyez-vous qu'il en tire comme leçon ? Le fait d'être écrabouillé à plates coutures est pour lui une raison suffisante pour –surtout-- ne pas changer de stratégie... et en remettre une couche, en confiant aux chaînes d'un ''Sévice Public'' à sa botte (argent illimité oblige !) ses ''conseils pour le vote à venir''... que tout le monde attend, pour rigoler d'abord, puis les transgresser ensuite. Il refuse de voir à quel point il est rejeté –presque trop, même, d'après moi. Mais allez percer la logique d'un ado trop gâté par la vie...
Le futur immédiat est clair : on peut supposer que, quelles que soient les paroles jetées en pâture aux gogos, la Gauche va reprendre ses habituelles magouilles sans foi ni loi : la seule chose qui compte, c'est de garder les sinécures et de nuire autant que possible à la France, au profit (?) d'idéologies plus perverses les unes que les autres... et la Droite va continuer à ''déconner un max'' en refusant toute démarche de rapprochement qui pourrait tout remettre sur pied et dans le bon sens. Et Macron risque fort de se retrouver avec une Assemblée encore plus ingouvernable que l'actuelle, sans aucun bricolage possible en vue d'une majorité... Ou alors (aujourd'hui, c'est le plus probable), une majorité pour le RN qui ne laisse qu'un seul ''choix'' : ''Jordan à Matignon'' (et Fabius, qui s'autorise à paralyser le choix du peuple français, au nom de sa démocratie partisane.).
Et là... la haine anti-Droite de Macron + la haine pathologique de l'extrême Gauche pour tout ce qui n'est pas elle... risquent d'ouvrir la porte aux pires excès, aux mouvements les plus destructeurs, à la phraséologie la plus génératrice de haines-à-venir qui soient. Une fois encore... notre ultime chance reste de demander à Dieu de sauver la France. On peut espérer un résultat, mais il n'est pas certain que ça marche en 2024 aussi bien qu'en 1428 avec Jehanne d'Arc ! On va donc attendre. Mais quoi ?
H-Cl.
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de-gueules-au-lion-d-or · 7 months ago
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Le rappel de Mai 68 fait remonter à ma mémoire d'autres mois de mai.
Mai 40. Mon père s'évanouit en apprenant les nouvelles terribles de l'avancée allemande. Les premiers réfugiés arrivent. La valse des voitures officielles commence. Le gouvernement se replie sur Bordeaux. C'est l'affolement. Le monde de nos parents s'effondre. Tout ce qui paraissait établi, solide, solennel, respectueux, implose en quelques semaines. Nous avons dix-huit ans et nous apprenons que le pouvoir est mortel et que les puissants sont fragiles !
Mai 45. Dans une baraque d'un camp de concentration, j'agonise parmi les cadavres. Une villageoise allemande entre, puis recule devant le spectacle du charnier. Des insultes l'accueillent. Elle me regarde avec pitié et peut-être une forme d'amour. Je sombre dans le coma. Trois semaines plus tard, je suis autorisé à sortir de l'hôpital pour la première fois. La ville de Magdebourg est défoncée par les bombardements. Cauchemar, étonnement… Sur notre convoi de mille déportés, nous sommes une poignée de rescapés. Où sont les mois de mai de notre enfance, insouciants et gorgés de sève ? Nous avons vingt ans et nous portons déjà trop de morts.
Mai 54. Avec mes camarades, nous suivons avec douleur et colère la chute de Diên Biên Phu. Derrière chaque article, nous voyons un visage, un ami, des souvenirs de parachutage ou d'embuscades à la frontière de la Chine. Je reviens au Tonkin. L'avion atterrit à Hanoï, le temps d'une escale. Je dois prendre le commandement de ce qui reste du 1er BEP. Je marche une soirée et une nuit dans cette ville tant aimée, suspendue entre deux mondes, plus belle encore que dans mon souvenir. C'est la nuit du Vietnam, envoûtante, bruissante, faite de frôlements et de chants murmurés. Une part de nous-mêmes restera là, toujours, je le sais.
Mai 58. Dans le palais du gouverneur à Alger mis à sac par les insurgés, je vois mon patron, le général Massu tenter de contenir la foule. La passion est palpable. La IVe République est à bout de souffle. L'armée est prise dans un terrible engrenage. Je suis inquiet. Le 16 mai, encouragée par les militaires, une manifestation de musulmans s'avance vers le Forum. Des pieds-noirs les attendent. Lorsque les deux cortèges se rencontrent, des clameurs s'élèvent, des accolades sont rendues. Les martinets volent haut dans le ciel pur d'Alger. Je pleure de bonheur. La Résistance, la déportation, trois séjours en Indochine, l'Algérie, Suez… Les épreuves de notre génération semblent soudain justifiées.
Mai 61. Dans une cellule de la prison de la Santé, je prépare mon procès. Lors du putsch d'Alger, j'ai suivi le général Challe et je suis devenu un officier rebelle. Dans les jours suivants, je peux être fusillé ou lourdement condamné. Je ne cesse de faire et refaire l'engrenage des événements, des rencontres et des engagements imbriqués qui m'ont conduit entre ces murs. Alors j'écris, je lis, je fixe des heures durant le mur lépreux, je pense à ces hommes que j'ai entraînés dans la révolte. C'est un mois de mai lourd et sombre. La beauté et le ciel appartiennent à d'autres.
Mai 68. Responsable du personnel de plusieurs usines dans la région lyonnaise, je porte un costume civil après cinq ans et demi de détention criminelle. L'usine est en grève. Comme à Alger dix ans plus tôt, l'esprit de révolution souffle sur les hommes. J'en connais les dangers et les illusions. Mais je comprends en partie cette jeunesse qui porte l'espérance d'un monde meilleur.
Les mois de mai se confondent désormais dans ma mémoire. Comme tous ceux qui ont eu vingt ans, il y a si longtemps, je vois chaque année à cette époque renaître les souvenirs entremêlés. Des ombres nous accompagnent : espérances fracassées, camarades oubliés, engagements incompris, souffrance du corps usé. Mais le chant du monde est là, étranger à la lâcheté et à la cruauté des hommes. La beauté est fragile et mystérieuse. Des enfants passent dans la rue, courent dans le jardin. Tout leur est offert. Qu'en restera-t-il ? Tout nous a été donné. Qu'en reste-t-il ? Peut-être simplement le besoin de la contemplation. C'est l'éblouissement et l'espérance des derniers mois de mai.
Hélie de Saint-Marc . Le Figaro (Mai 2008).
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delta-rpg · 1 year ago
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CHRONOLOGIE - PARTIE 2
● ANNEE 1738 - Résultat de plusieurs décennies de tyrannie par la famille Lazos, le peuple sorcier est de plus en plus pauvre et la famine les menace de plus ou moins loin. Les sorciers les moins favorisés commencent à se rassembler et une certaine haine contre la famille royale nait dans les rues des villes sorcières du pays. ● ANNEE 1743 - Apenimon et Mitexi Bylilly créent la Boulè de Thémis, conseil secret qui a pour but, sur le long terme, de renverser les Lazos et la monarchie. ● ANNEE 1748 - Face à la colère de plus en plus présente du peuple sorcier, Vasileios Lazos met en place les Douze Travaux, inspirés des travaux d'Héraclès. La première édition comprend vingt jeunes sorciers âgés de douze à dix-huit ans tirés au sort, devant s'affronter lors de douze épreuves, pour la plupart bien trop dangereuses pour des sorciers si jeunes. Le gagnant remporte gloire et fortune, et bien évidemment une place à l'Académie pour lui-même ou un membre de sa famille. ● ANNEE 1761 - Première révolte du peuple sorcier contre la famille royale et le système en place, lancée par les membres de la Boulè de Thémis et les sorciers sympathisants à leur cause. Plusieurs dizaines de sorciers sont arrêtés par la garde royale et emprisonnés, dont Apenimon Bylilly. ● FIN DU DIX-HUITIEME SIECLE - Après plusieurs révoltes et manifestations, les lois contre les opposants à la famille royale sont durcies et il n'est plus rare de voir un sorcier se faire emprisonner - ou disparaitre mystérieusement - suite à un acte vu comme dangereux pour la réputation des Lazos. ● ANNEE 1805 - Argyra Wolpers, sur ordre des Lazos, tente un rituel avec le reste de sa famille afin d'invoquer Circé et la piéger pour s'emparer de ses pouvoirs et les offrir à la famille royale. Leur plan ne fonctionne pas et Circé, furieuse, punit les Wolpers par une étrange malédiction. Chaque premier né de la famille devra servir le peuple sorcier en devenant l'Oracle, et ce jusqu'à la fin de ses jours. Ils seront condamnés à avoir des visions plus ou moins claires du futur et devront répondre à chaque question qu'un sorcier leur posera sur son avenir. ● ANNEE 1836 - Décès d'Argyra Wolpers ; sa fille aînée, Sémélé, devient alors le nouvel Oracle. Il est décidé la même année que l'Oracle serait logé à l'Académie, pour le protéger mais également pour délivrer plus facilement les éventuelles quêtes aux élèves. ● ANNEE 1845 - Apparition de Hécate à Ebenezer Hemming qui le met en garde ; Circé n'apprécie pas la façon dont sa famille profite de l'Oracle à des fins personnelles et risque d'intervenir s'ils n'arrêtent pas. ● ANNEE 1847 - Circé punit les Hemming qui n'ont pas pris au sérieux l'avertissement de Hécate. Toute la famille est maudite et chaque membre devient lycanthrope. Contrairement aux hybrides lycanthropes, aucun sort ou aucun remède ne pourra inverser la malédiction ou affaiblir ses effets, aucun membre ne pourra non plus y échapper.
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christian-dubuis-santini · 9 months ago
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Du roc de la castration dans la clinique analytique…
Dans son séminaire L’envers de la psychanalyse, Lacan avance que Dora bouche sa revendication pénienne en adorant madame K., sous la forme de la Madone de Dresde qu’elle allait contempler. Elle se laissait ainsi littéralement "envelopper" par madame K. (terme qu’utilise Lacan) au même titre que "l’objet viril par la gaine féminine"...
La grandeur de Lacan fut d’avoir su rester fidèle à l’esprit de Freud, dont il convient de faire toujours retour à la lettre, notamment pour y relire l’indétermination quant au caractère fini ou infini de l’analyse, relative à l’impasse sexuelle, dont ce qu’il appelle le «complexe de castration» régule l’accès du sujet au désir.
Outre que cette impasse sexuelle concerne au premier chef l’analysant, elle n’est pas sans questionner le désir de l’analyste, devenant par là même la question éthique par excellence dans la direction de la cure.
Que constate-t-on dès lors au cours de l’analyse?
Que la résolution du complexe de castration, quels que soient les efforts déployés au cours du travail analytique, reste le plus souvent incomplète, en butée au réel du roc de la castration, remettant sans cesse en scène l’énigme de la sexualité.
Le névrosé, constatant les difficultés d’accès à son désir (insatisfait pour l’hystérique, impossible chez l’obsessionnel...) se livre alors à des contorsions relationnelles avec son entourage (qui en pâtit), tenant par dessus tout à sa différence d’avec les autres (qui s’adonnent à des jouissances vulgaires, même s’il lui arrive de les envier), et finit par se trouver pris sous la pression de devoir arrêter sa cure prématurément, bien avant son terme logique, sans que la question de la résolution de son rapport à la castration ait pu commencer à se poser...
C’est le cas le plus courant...
Aussi ne s’étonnera-t-on pas que dans le marigot psychanalytique, où les protagonistes seraient censés, plus que d’autres, avoir terminé leur cure, soit le plus souvent resté en friche ledit "complexe de castration" qui présente l’impasse sexuelle du névrosé sous deux aspects:
• chez les femmes, par le Penisneid, c’est-à-dire l’envie, ou plutôt la revendication du pénis, avec toutes les sous-jacences de colère et d’agression qui s’y trouvent impliquées, comme le souligne Lacan, et qui la rendent littéralement enragée et
• chez l’homme, par la révolte, le hérissement contre la disposition passive ou féminine à l’endroit d’un autre homme et qui, du fait de l’angoisse de castration que celle-ci suscite, est la source de l’arrogance.
Or, Lacan y insiste tout au long de son enseignement: la névrose n’est pas à faire ressortir de l’ordre des "maladies" mais bien de l’éthique, dans le champ même de la relation que le sujet entretient avec son désir, désir qui est toujours désir de l’Autre, qui a trouvé sa forme à partir de la question: che vuoi? adressée au désir de l’Autre.
C’est donc toujours au désir de l’analyste qu’il revient in fine de soutenir dans la cure, jusqu’à son terme logique, cette question que le névrosé, par-delà la prévalence de la demande, adresse au désir de l’Autre, et qui recèle la clé du rapport au désir.
Cela signifie que le psychanalyste aura accepté d’orienter la cure dans une direction qui n’évitera pas au sujet d’avoir à se confronter à l’angoisse du désir de l’Autre, c’est-à-dire à son manque radical, sa castration, son irréductible incomplétude, contre laquelle il se défendait grâce à un fantasme qui induisait selon les cas un désir insatisfait ou impossible.
Tout ce cirque, bien entendu, afin de maintenir intacte la relation à la demande d’amour de l’Autre maternel, au sens du génitif objectif comme du génitif subjectif...
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raisongardee · 1 year ago
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"On en vint à changer arbitrairement l'acception ordinaire des mots qui caractérisent les actions : l'audace insensée fut érigée en noble dévouement au parti ; la lenteur prévoyante passa pour lâcheté déguisée, la prudence pour un masque de la pusillanimité, la rectitude des vues en toutes choses, pour incapacité absolue ; l'emportement aveugle devint l'apanage de l'homme de cœur ; réfléchir pour ne rien compromettre, c'était chercher un prétexte spécieux pour s'esquiver ; l'homme violent était toujours un homme sûr, son contradicteur un suspect ; savoir préparer une intrigue et la mener à bonne fin était capacité, l'éventer était plus habile encore ; prendre ses mesures pour n'avoir pas besoin de cette double habileté, c'était travailler à la dissolution de son parti et avoir peur de ses adversaires en un mot ; devancer un autre dans l'accomplissement d'une mauvaise action, l'y pousser, s'il n'y songeait pas, était chose digne d'éloges. La parenté était un lien moins intime que les relations de parti, parce que là on trouvait plus d'empressement à tout oser sans objection ; car on formait ces liaisons, non en vue d'un intérêt avoué par les lois établies, mais pour satisfaire sa cupidité en violation des lois. La confiance qu'on s'accordait mutuellement reposait bien moins sur le respect de la loi divine que sur une commune révolte contre la loi. Si l'on accueillait ce que disait de bon un adversaire, c'était pour se précautionner contre ses actes quand il avait le dessus, et non par générosité. On aimait mieux avoir à se venger que n'avoir pas été offensé le premier. Les serments de réconciliation, s'il s'en faisait parfois, prêtés de part et d'autre dans un instant critique, étaient respectés pour le moment, parce qu'on n'avait pas d'ailleurs les moyens de s'en affranchir ; mais, à l'occasion, celui qui osait le premier, quand il voyait son adversaire sans défense, trouvait bien plus de plaisir à se venger par trahison qu'à force ouverte ; car il calculait qu'outre l'avantage de ne courir aucun risque, il s'assurait, en triomphant par la ruse, la palme de l'habileté ; et en effet, il est plus facile, en général, de passer pour habile homme quand on est malhonnête, que pour honnête homme quand on est malhabile ; et tandis qu'on rougit de l'un, on se fait gloire de l'autre. La cause de tous ces maux était la fureur de dominer, inspirée par l'ambition et la cupidité.
Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, trad. Ch. Zevort, Ve siècle av. J.-C.
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havaforever · 10 months ago
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DUNE - Seconde Partie
Paul Atreides s’unit à Chani et aux Fremen pour mener la révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille. Hanté par de sombres prémonitions, il se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers.
Tout est dit, mais presque vraiment en quelques lignes, sur ce qu'il sr passe pourtant en 2h45...
Mais, même s'il ne s'y passe rien de transcendant les codes du genre, le film de Villeneuve est une claque cinématographique ! Dans un camaïeu littéralement envoutant, les images nous subjuguent sous des jeux de lumière et de contraste à couper le souffle, une maîtrise totale de la mise en scène, sans oublier les costumes qui sont encore plus beaux que dans le premier volet.
NOTE - 13/20 - Le désert occupe tout l'espace et le temps de ce film afin de développer la partie politico-religieuse, mais on y voit un Timothé Chalamet devenir prophète malgré lui, étape par étape.
La subtilité de Denis Villeneuve est de montrer que la foi est un objet politique. Sans être trop développé, cet aspect plus politique donne en définitive un peu de profondeur au film
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dune-2-streaming-vf-en-fr · 10 months ago
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Dune 2 - Deuxième partie
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** DERNIÈRE MISE À JOUR : 28 Février 2024 **
Synopsis Dans DUNE : DEUXIÈME PARTIE, Paul Atreides s’unit à Chani et aux Fremen pour mener la révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille. Hanté par de sombres prémonitions, il se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers.
Dune 2
28 février 2024 en salle | 2h 46min | Drame, Science Fiction
De Denis Villeneuve| Par Denis Villeneuve, Jon Spaihts
Avec Timothée Chalamet, Zendaya, Rebecca Ferguson
Titre original Dune: Part Two
en ligne gratuitement sur 123movies & Reddit, y compris où regarder le film d'Universal Pictures à la maison. Est-ce qu'Dune 2 2 est la voie
de Water 2024 disponible en streaming ? Est en train de regarder Dune 2 2 The Way of Water r sur Disney Plus, HBO Max, Netflix ou Amazon
Prime? Oui, nous avons trouvé une option / un service de streaming authentique. Détails sur la façon dont vous pouvez regarder Buzz Dune 2 2 The Way
d'eau gratuite tout au long de l'année sont décrites ci-dessous. maintenant
Un week-end d'ouverture élevé pour Dune 2 serait un bon début pour la suite au box-office. Le
l'ouverture annoncée de 135 millions de dollars signifierait que le suivi fera en un week-end ce qu'il a fallu au premier film de James Cameron un
semaine complète à gagner. Cependant, le box-office d'Dune 2 2 aura toujours du mal à battre l'original. La magie de
L'improbable course au box-office d'Dune 2 est l'incroyable bouche à oreille du film et les visionnements répétés qui ont aidé à garder le
film pertinent et en salles pendant 234 jours. C'est du jamais vu de nos jours, même pour les plus grands films. Pour référence,
Dune 2 a dépassé 161 jours cette année.
Nouvel Dune 2 à long terme: Les projections au box-office du week-end d'ouverture de The Way of Water font que la suite double presque James
Le premier film de Cameron. Le film de science-fiction original de 2009 a battu toutes sortes de records au box-office pour devenir le
film le plus rentable de tous les temps. L'incroyable succès d'Dune 2 au box-office a à son tour attiré beaucoup d'attention sur
combien d'argent va gagner Dune 2 2. Même si personne ne s'attend à ce que la suite dépasse les 2,9 milliards de dollars d'Dune 2 dans le monde
transport, le gros budget du film et l'investissement de Disney dans l'avenir de la franchise signifient qu'il y a une certaine pression sur
Le film concerne Alice (Florence Pugh), une femme au foyer qui vit dans le bonheur conjugal avec son mari, Jack (Harry Styles),
dans une ville des années 1950 appelée Victory dans le désert californien. Le terrain appartient à l'employeur de Jack, le Victory Project,
qui a amené son personnel et leurs conjoints à vivre dans cette oasis de pelouses irriguées et entretenues tout en travaillant sur
projets d'ingénierie top-secrets. Tous les matins, Jack part au travail l'estomac plein d'un petit-déjeuner parfait
et revient ce soir-là dîner sur la table et sa femme rayonnante le supplie de faire l'amour.
Dès le départ, il est clair que quelque chose ne va pas dans l'utopisme et les habitants suburbains brillants et hyperréalistes de Victory.
Mais Wilde ne prend pas la peine d'essayer d'aggraver un sentiment de malaise, car le film est des visions installucinatoires qui surprennent
Alice hors de son bonheur, et la seule femme noire de Don't Worry Darling avec un dialogue, Margaret (KiKi Layne), donne un
avertissement précoce que tout va mal avec un discours terrifié qui est pratiquement une copie miroir de LaKeith
L'explosion pétrifiée de Stanfield dans le film de Jordan Peele. sadasa d sadasd
Super Mario Bros, Dune 2 est-il maintenant disponible en streaming ? Regarde, Dune 2 sur Disney Plus, HBO Max,
Netflix ou Amazon Prime ? Oui, nous avons trouvé une option/un service de streaming authentique écrit par Katie Silberman. vie
avec son mari dans une communauté expérimentale utopique commence à s'inquiéter que sa compagnie glamour puisse se cacher
secrets troublants.
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lecameleontv · 10 months ago
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Captures de l’Ep. 3.09 : Meurtre parfait / Murder 101 (1999) de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender).
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Jarod (à Mlle Parker) : "Ton père et toi vous êtes très proches, mais jusqu'à quel point ? ... Est-ce qu'il partage absolument tout avec toi ? T'a-t-il mis au courant des nouveaux évènements survenus dans sa vie ?"
Mlle Parker : "Je suis toujours d'un optimisme forcené. Je croyais que tu téléphonais pour prendre de mes nouvelles."
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Sydney : "Qu'est-ce qu'il avait à vous dire ?"
Mlle Parker : "Bien plus qu'il n'en sait je crois."
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Jarod (à sa classe de faculté) : "Alors vous voilà, ... le fameux programme Vanguard, ... les esprits les plus éclairés de l'Université ? ... Je ferai de mon mieux pour vous rattraper."
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Claire Denning, étudiante à haut Q.I. : " Quant à moi je suis assez cuiseuse de connaitre .. vos qualifications ?
Jarod : " Oheuh vous faites encadrer un bon paquet de diplômes, vous apposez votre nom sur une thèse ou deux et voilà (tape dans ses mains en souriant) on vous prend pour un génie".
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Mlle Parker : "OhMmmmm si seulement le meurtre était légal." Broots : "Pardon ?"
Mlle Parker : "Votre piste sur Jarod... tuyau crevé, les nettoyeurs sont revenus les mains vides !"
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Jarod : " Les enfants sont des être si fragiles, si innocents... et cependant avec un seul regard ils peuvent ... vous aider à lutter."
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Jarod :" Je vous demande de bien vouloir me suivre et jouer avec moi."
Claire, étudiant au Q.I. élevé (d'une voix suave) : "Je suis prête à vous suivre et à jouer autant qu'il vous plaira Jarod." (rires dans l'assistance)
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Jarod : "Il y a bien des façons de supprimer quelqu'un."
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DSA
Sydney jeune (à la caméra) : " Ces derniers temps Jarod s'ennuie. Il nous faut trouver des moyens de réveiller son intérêt. Qu'un esprit si brillant ne se laisse pas aller."
Jarod enfant/adolescent : "Sydney, j'en ai assez de faire ça, toujours le même problème, c'est tellement monotone !"
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M. Parker : "C'est étonnant ce qu'on s'adapte aux changements que la vie nous œuvre. Même les gros changements !"
Mlle Parker : "Les changements ?"
M. Parker : "Oui, j'ai toujours pensé que j'aurai peur de me retourner un jour et de regarder le passé. Aujourd'hui, aujourd'hui j'ai fait la paix avec beaucoup de choses."
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Jarod enfant/adolescent : "C'est si pénible parfois Sydney."
Sydney jeune : "Un brillant esprit laissé oisif peut devenir le plus dangereux des esprits."
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Jarod : "La motivation : pourquoi un individu voudrait-il en tuer un autre ? [...] Les mobiles se fondent sur le puits insondable qu'on appelle le psychisme. Et que même si vous creuser très profondément, vous n'en verrez jamais la fin. [...] Essayons de découvrir pourquoi... il a été tué. [...]
Richard, élève : "Selon les statistiques, le fric et la jalousie sont les premiers sur la liste [des mobiles], mais ça peut être aussi le vol [...]"
Matthew, élève : "Peut-être que je ne l'aime pas ?"
Jarod : "Si vous n'aimez pas quelqu'un, vous l'évitez n'est-ce pas ? Si vous le voyez marcher dans la rue, vous prenez l'autre trottoir, vous ne l'envoyez pas s'écraser dans un ravin !
Claire, étudiante au Q.I. élevé : "couuucouuuuu ! Il y a des millions de raisons de tuer. La vengeance, la révolte, l'évasion, la superstition, la paranoïa, de vieilles dettes, ... une enfance malheureuse, une mauvaise journée (souriante - rires de l'assemblée)
Jarod : "J'ai peur que vous aillez oublié la plus importante de toutes... La Vanité."
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Claire, étudiante au Q.I. élevé : "Une intelligence supérieure saura s'en tirer quoi qu'il en soit. Il y aura toujours une porte de sortie."
Jarod : "Alors c'est peut-être le moment de s'y précipiter."
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Mlle Parker : "On dirait que vous êtes de son côté."
Sydney : "Mais il n'est pas question d'être d'un côté ou de l'autre, il faut le laisser vivre sa vie... Je regrette que ce soit pénible pour vous. C'est souvent très difficile pour les enfants.
Mlle Parker : "Je ne suis plus une enfant !"
Sydney : "Alors vous savez ce que vous devez faire."
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Jarod :" [...] Il ne saura jamais qui était son père. Il n'aura pas la chance de le connaître, non jamais. Quant à sa mère, elle s'est rongé les sangs pendant des mois en se demandant si son mari allait enfin rentrer à la maison, jusqu'à ce qu'on découvre qu'il était mort. [...]
Matthew, élève, en larmes : " [...] Elle a dit, pourquoi construire le plus perfectionné des jouets ... si ce n'est pas pour s'en servir ? " [...]
Jarod : "Et vous, vous saviez tout ça et vous êtes restez là sans rien dire. "
Matthew, élève, en larmes : "Mais j'étais affolé ! J'avais peur ! Qu'est-ce que je pouvais faire ?! [...] Je ne voulais pas qu'elle soit en colère contre moi."
Jarod : " [...] Il est grand temps de réparer les dégâts."
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Jarod (trinquant) : "Aux brillants esprits !"
Claire, étudiante au Q.I. élevé : "Aux rats dans leur labyrinthe ! "
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Jarod (taquin) : " Bien sûûr, la porte de sortie est ouverte... Mais où conduit-elle ?"
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Jarod : "Vous savez, un enseignant a beaucoup de chance lorsqu'il en apprend autant de ses élèves que ce qu'il peut leur apprendre lui-même... Dans votre cas, j'ai touché le jackpot !!"
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Claire, étudiante au Q.I. élevé, dépitée : "Allez au diable !"
Jarod : "Vous d'abord."
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M. Parker (bougon, à sa fille) : "Oh je t'en prie mon ange, mieux vaut te réjouir pour moi !"
Brigitte (se retournant vers M. Parker) : "Mon gros lapin...."
M. Parker (attendri) : "Mhmmm ?
Brigitte (d'une voix suave) : "C'est moi ton nouvel ange maintenant...." (rires du couple)
Saison 3 : Episodes 01 - 02 - 03 - 04 - 05 - 06 - 07 - 08 - 09 - 10  - 12 - 13 - 14 - 17 - 20 - 22.
Q.I. : Quotient Intellectuel Q.E. : Quotient Emotionnel
source : imdb
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lilias42 · 2 years ago
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J'ai fais la démo d'Octopath II (c'est trop court 3 heures !!!) et j'ai adopté Castti, vous ne pouvez pas m'en empêcher. Elle est juste tellement forte ! Et tellement gentille ! Genre... elle aurait pu les laisser tomber après tout ce qu'ils lui ont dit mais non ! Elle a continué à les aider ! J'ai juste envie de dire "Vas-y Castti, on croie en toi ! Tu peux le faire !" (et elle a la capacité à se soigner et soigner les autres en combat avec une bonne défense, ça aide pour que je l'adore)
Pour le moment, best meuf !
(et nouvelle image de profil après Ophilia et Byleth ! [j'aime les apothicaire / prêtre / perso avec un énorme coeur en or dans la main et qui arrive à s'en sortir quand même sans que son grand coeur ne l'handicape - pas trop en tout cas -, je trouve que c'est un des styles d'histoire qui donne le plus d'espoir sur le fait qu'on peut s'en sortir en étant gentil sans se faire écraser])
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Et sinon... [zone de DIVULGACHAGE IMMINENT !!!]
Hikari, franchement, c'est complètement Dimitri ? (avec le sprite et le type de combat de Félix vu que c'est un épéiste [mais aussi un lancier vu que c'est guerrier donc là aussi, c'est Dimitri !])
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Il aime son peuple et voies les roturiers comme ses égaux et amis.
Il s'entraine sans cesse.
Il veut devenir roi pour protéger son peuple et éviter de bain de sang.
Il tient à ses amis et pense beaucoup à eux, même morts. Il dit que son épée est celle de ses camarades morts (en plus sain pour sa santé mentale quand même).
Mais il se fait chasser de son trône, après s'être éloigné de ses amis / soutiens de toujours, la mort de son père et il doit fuir pour sauver sa vie.
Il arrive à s'enfuir grâce à un allié fidèle de grande taille et très fort dont on ignore le sort après sa fuite.
Et enfin, il a une voix dans sa tête qui veut le pousser à être plus violent et à achever ses ennemis quand il les épargne (même si ça a plutôt l'air d'être une sorte de malédiction mais, ça pourrait aussi être une maladie héréditaire vu que sa lignée est décrite comme "maudite").
C'est Dimitri.
Et je l'adore aussi en Hikari !!! C'est juste un des meilleurs princes du monde et quelqu'un de vraiment gentil (même si contrairement à Dimitri, il n'hésite pas quand il faut graisser une patte pour récupérer des infos utiles). Je veux dire... quand son père lui demande ce qu'est son pays et ses habitants pour lui, il dit que ce sont des amis ! J'ai juste fondu en l'entendant dire ça ! J'ai hâte de voir ce que l'histoire va faire avec la voix dans sa tête et les conséquences, s'il va arriver à leur résister ou s'il va craquer pendant un temps, surtout vu que sa compétence spécial quand il a accumulé assez d'énergie est littéralement "libérer son côté obscure, ce qui permet de frapper plus fort avec de gros dégâts bien utile". Je sens qu'il va bien se battre avec en tout cas !
D'ailleurs, c'est marrant qu'il a comme ennemi son demi-frère habillé tout en rouge, avec une armure lourde, de la fourrure blanche attaché à son casque qui fait comme des cheveux blancs et hirsute, armé d'une énorme épée, qui voie son pays et ses habitants comme une source de pouvoir, qui veut continuer à étendre son empire par la violence et en se fichant de tout mettre à feu et à sang, et incendie sa propre capitale afin d'éviter les révoltes des gens fidèles à son demi-frère Hikari. Le tout en déclarant haut et fort que le faible doit être écraser par le fort ou quelque chose dans ce genre.
Huuuuummmmm...
Ouais, c'est complètement Dimitri en fait avec une Delagarde qui s'assume dans sa monstruosité.
J'ai encore plus hâte de l'exploser dans les grandes largeurs et de faire revenir Hikari en grande forme chez lui pour récupérer son trône !!!
En bref : C'est trop cool Octopath Traveler II ! Même le système de combat que j'adorais de base est encore mieux que dans le premier jeu et est encore plus optimisé et efficace ! (j'adore le coup de la jauge qui se remplit avec les coups ou les failles, puis qui s'active quand on appuie sur X, ça marche super bien avec Castti et les compétences spéciales d'Hikari sont supers pratiques !) J'ai trop hâte d'y jouer !!! C'est quand que ça sort ?!
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C'est trop long... surtout que je ne fais pas d'autres chemins vu que je veux les découvrir dans le jeu de base et conserver cette sauvegarde (en plus, je n'aime pas beaucoup refaire deux fois la même histoire de manière trop rapproché) Enfin bon, on attendra bien !
Donc, curieuse très contente et enthousiaste qui saute de joie de pouvoir rejouer à Octopath !
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(elle, c'est Aura, mon OC / vieux self-insert / perso de coeur car c'est le premier que j'ai créé / commentatrice de tout et n'importe quoi / perso passe partout qui peut tout faire... et ce qui se rapprochera le plus d'un autoportrait qui apparaitra ici, car elle ne me ressemble pas du tout, que ce soit en caractère [quand elle en a un défini] ou en apparence. Si elle apparait dans un billet, c'est qu'elle joue mes propres émotions sauf mention contraire)
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kerberosecho · 1 year ago
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Le 2 Juillet 1966 a fait résonner le premier essai nucléaire dans le Pacifique. Le 1er d’une longue chaîne de 193 essais nucléaires dans le déni le plus total de la population autochtone. 
“ Le 2 juillet 1966 a lieu le premier essai nucléaire aérien sur l'atoll de Moruroa (Polynésie). Il sera révélé dans les années 1990 que les retombées constatées sur les zones étudiées étaient comparables à celles mesurées à proximité de la centrale après la catastrophe de Tchernobyl en 1986. La population locale et les soldats présents étaient maintenus dans une ignorance totale. Aucune mesure n'avait été prise pour les protéger. “
Et nous attendons toujours réparation, justice, nous aussi . . .
Je suis polynésienne d’âme et de corps, je suis française par ma nationalité mais qu’elle m’est si lourde parfois à endosser. Le poids des révoltes et des colères. Que parfois je ne sais plus comment me porter. Que parfois je me sens en guerre dans ma propre peau. 
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France conducted its first nuclear test known as the "Gerboise Bleue" in February 1960 in the Sahara Desert - an atomic bomb that was four times the strength of Hiroshima. A total of 17 tests were carried out, four of them atmospheric detonations, and 13 underground.
Nuclear testing continued in the region until 1966, four years after the independence of Algeria from French colonial rule, due to a clause in the Evian Accords which were signed by the Provisional Government of the Algerian Republic (GPRA). The accords established the parameters for Algerian independence. The defeated colonial power demanded to be able to continue to destroy Algeria's environment and poison its people.
At the time of the tests, around 40,000 people lived in the affected area, and the tests had a horrific effect on these communities. Many were impacted directly, while others were poisoned over time due to the radiation. In fact, 60 years after Gerboise Bleue, babies are still being born with illnesses and malformations.
https://english.alaraby.co.uk/english/amp/comment/2021/2/12/frances-nuclear-colonial-legacy-in-algeria
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claudehenrion · 9 months ago
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“Homme et femme, il les créa”…
Voilà une vérité, tirée de la Genèse, que tout le monde sait vraie depuis la nuit des temps, avant-même les premiers pas de nos ante-ancêtres pré-hominiens. C'est une de ces belles lois “naturelles”, incontournables et éternelles, que refusent d'admettre les plus imbéciles des thuriféraires des théories dont le seul but est d'en finir avec l'humanité : comme ils n'ont pas su s'y intégrer, ils tentent de la détruire : “Plutôt le néant qu'un monde sans moi”. Pourtant, sans elle, aucun d'eux ne serait là pour pérorer (j'ai réussi à ne pas écrire “déconner”! Quelle volonté !) sur les avantages prétendus du “genre” sur le “sexe’‘ ! Dans toute l'Europe, un vent de révolte libérateur contre cette folie ignoble se lève et permet de retrouver l'espoir...
Il a tout de même fallu attendre les années 1980 pour qu'émerge de la gadoue ambiante et rampante (et montante, hélas !) l'idée absurde que le sexe n'avait rien à voir avec la vie, la reproduction, l'hérédité, le ’'soma” –et même le “psychè”, d'ailleurs–, mais qu'il obéissait aux règles frappadingues d'une certaine anti-science, garantie sans conscience et donc proche de la ruine de l'âme… Par un manque de chance total, ces tristes événements arrivaient pendant un court moment de l'histoire de l'humanité où les progrès techniques et scientifiques avaient paru si gigantesques aux hommes de ce temps (les années '80, si proches et déjà si lointaines) qu'ils ont déduit de cette toute puissance fantasmée de toutes pièces, qu'ils étaient si riches, si puissants, si promis à la gloire qu'ils pouvaient se payer le luxe d'être totalement extravagants dans leurs comportements, en plus…
Et c'est là que sont nées des théories… de théories plus irresponsables, plus imbéciles et plus assassines les unes que les autres, qui auraient du trouver leur propre mort (pas propre du tout) dans des délais très courts… mais à qui la folie de notre temps –décidément bel et bien sortie des asiles– a donné un rab’ de survie, portée à bout de bras et contre toute intelligence par les élus de la macronie –que rien, ni dans leur histoire personnelle ni dans la logique des choses, ne destinait à diriger les destinées d'un pays bien à plaindre de n'avoir qu'eux comme guides.
Le mensonge des lois prétendues sociétales –dont pas une seule ne méritait de voir le jour, on commence à le découvrir– a permis que ces idioties criminelles fassent des ravages irrattrapables dans la société française qui, après tout un quinquennat de hollande et bientôt deux de macron, n'avait vraiment pas besoin ce de ça, en plus. Il ne faut pas oublier que ces esprits faibles préfèrent une théorie in-démontrée (car in-démontrable) à toute observation de la réalité. Mais, par fondamentalisme, ces ennemis de la religion chrétienne (Parce que pour l'islam… ils ont bien trop la trouille pour émettre la moindre critique) sont littéralement ''shootés'' à des idéologies qui sont bien plus indéfendables encore que celles qu'ils désignent, de façon méprisante, par “superstitions de vieux bigots ridicules”.
J'évoque ces tristes événements parce que la science la plus pointue vient enfin de “démontrer” ce qui crève les yeux depuis la nuit des temps : l'homme est homme et rien d'autre, et la femme est femme, exclusivement. On le savait, bien entendu… mais pas par les bons “canaux’' ! Par quelles détours faut-il passer, en cette époque folle, pour démontrer (sic !) que le jour n'est pas la nuit –et vice versa ! Mais dans ce cas, comme ça passe par les méandres dits ''progressistes'' (sic ! Pourquoi ?) de l”'Intelligence artificielle’’ –dont aucun journaliste ne sait rien–, ces nuls le croient !
La Presse, d'habitude si prompte à enfourcher toute ineptie pourvu qu'elle soit innommable, a accepté cette entorse à la folie ambiante (NB : c'est assez exceptionnel pour qu'on le remarque !). Tenez-vous bien : l'IA vient enfin d'arriver à convaincre nos illuminés éteints que…“les hommes et les femmes n'ont pas le même cerveau” (sic !)… Et de gros titres osent se gargariser de cette évidence, comme s'il s'agissait d'une immense découverte, alors qu'il y a bien longtemps qu'il a été démontré que tous nos organes sont très “sexués” (et pas seulement ceux auxquels on pense… naturellement), et que le cœur ou le foie d'un homme et ces mêmes organes chez une femme ne fonctionnent de manière identique qu'exceptionnellement . Quand je vous dis que le monde est devenu fou !
Le grand drame qui secoue ce microcosme, pervers mais sur-représenté dans les hautes sphères de notre République vraiment pas regardante sur la qualité, c'est que ce sont des équipes de l'Université de Stanford (où, ayant enseigné en 1968 et 69, j'avais admiré la qualité des hommes et des conclusions) qui écrivent : “Notre étude (…) fournit des preuves irréfutables de différences sexuelles reproductibles et généralisables dans le rôle crucial du sexe en tant que déterminant biologique dans l'organisation du cerveau humain”. Autrement dit, tous ces puceaux-qui se croient asexués par système et “genrés” par chirurgie “dé-plastisante”, sont mis devant la preuve démontrée de la crétinerie des théories indéfendables dont ils ont fait l’alpha et l’omega de la structure du monde. Notre époque et nos contemporains nagent vraiment dans l'absurde... et aiment ça !
Nous voilà ramenés à des évidences qui ne pouvaient être contredites (ou plutôt : “pas l'être”!) que par des esprits incapables de voir ce qui est posé devant leurs yeux, telles que : une femme est une femme et un homme est un homme… ce que nous autres, occidentaux, savons depuis des millénaires : “Dieu les créa homme et femme” (Gn 1, 26-28)… ce qu'un simple coup d’œil suffit pour voir ! Lorsque c'était des hommes qui le disaient (et surtout des hommes blancs, hétéros et catholiques, c'est-à-dire, aux yeux de nos intégristes-des-idées-fausses, le comble de l'abjection), ils soutenaient que tout garçonnet qui dit “je suis une fille” (et vice versa) devait être cru, suivi, et encouragé dans cette dérive de l'esprit, du corps, de l'intelligence, de l'être et du “devenir”. Et de la Vie.
Que croyez-vous qu'il va se passer, à la suite de cet énorme tremblement de terre (qui n'en est pas un !) ? Mais rien, voyons… comme toujours : comme au temps maudit de Mao Tsé-Toung, tout esprit progressiste ou moderniste est convaincu que le “petit livre” a toujours raison contre les réalités… et que la science elle-même a tort, lorsqu'elle ose prétendre que le jour n'est pas la nuit, et le Soleil, pas la Lune. Et il va se trouver des journalistes “dans le coup” (à Libé et à l'Obs) pour continuer à défendre l'indéfendable, soutenir l'insoutenable et appeler “vérité” tout mensonge, même énorme, même “pas possible”. Et la récente loi macronique qui force les parents de pauvres gosses à la dérive à “déconner” plus que permis… va garder ses insanités criminelles… C'est notre époque qui veut ça.
On ne peut que souhaiter ardemment que ce “système” meure ou soit tué… Après tout, la “mort” définitive des manifestations les plus terrifiantes de la folie ne devrait pas plonger dans le désespoir beaucoup de gens, parmi ceux qui ne sont pas déjà contaminés par ces horribles pathologies, sorties de cerveaux profondément atteints… au point de ne plus pouvoir imaginer de salut en dehors de la maximisation des tares indélébiles de leur mal (NB : On peut noter que les partisans d'une Europe-caricature (tels par exemple un Macron ou une Ursula von der Leyen) sont déjà dans le même processus : Ça ne marche pas ? Ça n'a jamais marché ? Il faut et il suffit, ’'donc”, de doubler la dose de tout ce qui va déjà mal…).
Tout un arsenal se prétendant “intellectuel” a contribué à installer un système a l'allure iso-scientifique à la mode “Lissenko”, pour faciliter l'installation d'un doute dit légitime sur la seule chose qui ne soit pas discutable dans toute l'humanité (et dans la vie, plus généralement) : la séparation, qui est et ne peut être que “de définition” entre un Homme et une Femme, et leur parfaite non-identité sexuelle. Et dire qu'il faudra des décennies pour que les cons cèdent… s'ils le concèdent un jour !
H-Cl.
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christophe76460 · 10 days ago
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Évangile selon Luc ch.23 v.33 et 39 à 43 :
Quand ils furent arrivés au lieu appelé Crâne (Golgotha), ils crucifièrent Jésus là, ainsi que les malfaiteurs, l'un à sa droite, l'autre à sa gauche.
[…]
L'un des malfaiteurs qui étaient crucifiés l'injuriait en disant : « N'es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi. »
Mais l'autre le reprenait et disait : « Tu ne crains pas Dieu, toi ? Car tu es sous le même jugement. Pour nous, nous y sommes justement, car nous recevons ce que méritent les actes que nous avons commis ; mais celui-ci n'a rien fait qui ne doive pas se faire. »
Et il dit à Jésus : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume ; »
Jésus lui dit : « En vérité, je te dis : Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis. »
* * *
Jésus est crucifié entre deux brigands, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. Comme l’a annoncé le prophète Esaïe un peu plus de 700 ans auparavant : « Il a été mis au nombre des malfaiteurs » (Esaïe 53 v.12). Les autres évangiles (Matthieu et Marc) nous apprennent que ce malfaiteur repentant avait auparavant insulté le Seigneur, lui aussi : la révolte contre Dieu est l'état de tout homme avant sa conversion. Mais il reconnaît qu’il est là justement, méritant sa condamnation. C’est le premier pas indispensable vers le salut : reconnaître sa culpabilité devant Dieu. Certains admettent que Jésus est le Fils de Dieu venu sur la terre pour payer le prix du péché, mais n’ont pas pour eux-mêmes la conviction de leur propre culpabilité. Or Jésus a dit qu’il n’est pas venu pour appeler des justes, mais des pécheurs à la repentance (Luc 5 v.32).
Le malfaiteur craint Dieu et déclare que Jésus n’a rien fait de mal. En lui disant : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume », non seulement il reconnaît la parfaite justice de toute la vie de Jésus, mais aussi sa seigneurie, celui à qui appartient le royaume dans lequel il viendra. En prononçant ces paroles, le brigand manifeste sa foi en Jésus et en sa résurrection.
La Bible dit : « Si, de ta bouche tu reconnais Jésus comme Seigneur, et que tu croies dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. » (Romains 10 v.9)
Le brigand reconnaît de sa bouche Jésus comme Seigneur et croit dans son cœur, non pas que Dieu l’a ressuscité, mais qu’il le ressuscitera d’entre les morts. Sa foi est grande ! Jésus ne laisse pas une telle foi sans réponse :
« En vérité, je te dis : Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis »
Par les épîtres, en particulier celles de Paul, nous savons que les croyants passant par la mort entrent dans le repos, dans le paradis où ils entendent des paroles ineffables qu'il n'est pas permis à l'homme d'exprimer (2 Corinthiens 12 v.2 à 4), en attendant la résurrection, pour être introduits par le Seigneur lui-même dans la maison du Père, dans la félicité ineffable, pour toujours avec lui. Voilà la part éternelle de ce malfaiteur repentant et croyant.
Le brigand a demandé au Seigneur qu'il se souvienne de lui quand il viendra dans son royaume. La réponse qu'il reçoit est infiniment plus que ce qu'il a demandé et même pensé :
« En vérité, je te dis… » : Ces deux expressions donnent au brigand une certitude absolue. C'est le Seigneur qui parle. Ce qu'il dit ne peut être que la vérité. N'a-t-il pas dit lui-même : « Je suis la vérité » ? (Jean 14 v.6). Comment un croyant pourrait-il douter des paroles de celui qui est la vérité ? Si l'un de nos lecteurs n'avait pas encore la certitude de son salut, qu'il écoute la parole de la Vérité : « Je vous écris ces choses afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5 v.13). Le salut que Jésus offre est un salut certain.
« Aujourd’hui » : Non pas “plus tard” ou “quand je viendrai régner sur la terre”, mais « aujourd’hui ». C’est un salut immédiat.
« tu seras » : c’est une certitude.
« avec moi » : Quelle bienheureuse compagnie !
« dans le paradis » : quel repos !
Précieuse promesse qui a dû soutenir ce pauvre malfaiteur, devenu un bienheureux croyant, durant les quelques heures de souffrances qu’il eut encore à endurer avant d’entrer dans cette félicité inespérée. Précieuse promesse pour vous aussi, cher lecteur, chère lectrice, si vous reconnaissez mériter la juste condamnation de Dieu à cause de vos péchés et que vous croyez au Seigneur Jésus mort pour vos fautes et ressuscité pour votre justification. (Romains 4 v.25)
Et si vous pensez pouvoir faire quelque chose pour votre salut ou que vos œuvres peuvent y contribuer, rappelez-vous que les bras et les jambes du brigand étaient attachés au bois. Il était donc dans l’incapacité totale de :
prendre la communion,
de se faire baptiser,
de donner l'aumône,
de fréquenter une église
d’essayer d'améliorer sa façon de vivre,
etc.
En fait, beaucoup de ces actes que certaines personnes considèrent nécessaires au salut, comme un "laissez-passer" pour le ciel, il est dans l'incapacité de les accomplir. Ce qu'il peut faire, et ce que chacun peut faire quelle que soit la situation dans laquelle il se trouve, il le fait : Il se repent et croit au Seigneur Jésus.
« C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Ephésiens 2 v.8)
http://www.la-verite-sure.fr/page915.html?
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actualiteandco · 15 days ago
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Point sur la situation en Géorgie :
Depuis quelques semaines de nombreuses manifestations s’amplifient dans la capitale géorgienne Tbilissi suite à l’annonce du Premier Ministre Irakli Kobakhidze au sujet du recule des négociations pour rentrer dans l’Union européenne à la fin de l’année 2028, celles-ci étant inscrites dans la constitution géorgienne.
En effet depuis de nombreuses années, le pays est partagé entre l’influence des démocraties européennes et l’influence de la Russie de Poutine. Tout d’abord avec l’occupation partielle de son territoire par les troupes militaires russes dans les régions de l’Abkhazie et de l’Ossétie du Sud. Mais aussi d’un point de vue économique avec son ouverture à l’Europe qui représente 25 % de ses importations contre 11 % pour la Russie.
La raison de cette révolte n’est autre que le résultat des élections législatives du 26 octobre dernier qui avait donné une majorité au parti « Rêve Géorgien » déjà majoritaire au parlement depuis 2012 mais ayant pris une orientation pro-russe depuis 2022. En effet le Parti est accusé d’avoir manipulé les urnes et d’avoir menti sur les résultats en annonçant 20 % de plus en leur faveur comparée aux réels chiffres, mais aussi d’entretenir des liens avec Moscou.
La présidente Salomé Zourabichvili, au pouvoir depuis 2018 lutte d’arrache pied pour maintenir une orientation pro-européenne en soutenant les manifestants, tandis que depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022, le gouvernement de son premier ministre Irakli Garibachvili, pro-russe, ne cesse de lui mettre des bâtons dans les roues avec de nombreuses tentatives de destitution. Cependant cette dernière ne renonce pas à sa volonté de se maintenir au pouvoir jusqu’à la tenue d’un nouveau scrutin.
Jade Beuzelin
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christian-dubuis-santini · 2 years ago
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En complément du séminaire 61,
on me pose la question: pourquoi la majorité des psychanalystes hommes apparaissaient le plus souvent comme incroyablement arrogants et la plupart des psychanalystes femmes désespérément enragées?...
Dans L’envers de la psychanalyse, Lacan avance que Dora va contempler la Madone de Dresde pour boucher sa revendication pénienne en adorant madame K., se laissant "envelopper" par elle (Lacan dixit) au même titre que "l’objet viril par la gaine féminine"...
La grandeur de Lacan fut d’avoir su rester fidèle à l’esprit de Freud, dont il convient de retourner à la lettre, notamment pour y relire l’indétermination quant au caractère fini ou infini de l’analyse, relative à l’impasse sexuelle, dont le «complexe de castration» régule l’accès du sujet au désir.
Outre que cette impasse sexuelle concerne au premier chef l’analysant, elle n’est pas sans questionner le désir de l’analyste, devenant par là-même la question éthique par excellence dans la direction de la cure.
Que constate-t-on dès lors au cours de l’analyse?
Que la résolution du complexe de castration, quels que soient les efforts déployés au cours du travail analytique, reste le plus souvent incomplète, en butée au réel du roc de la castration, remettant sans cesse en scène l’énigme de la sexualité.
Le névrosé, constatant les difficultés d’accès à son désir (insatisfait pour l’hystérique, impossible chez l’obsessionnel...) se livre alors à des contorsions relationnelles avec son entourage (qui en pâtit), tenant par dessus tout à sa différence d’avec les autres (qui s’adonnent à des jouissances vulgaires, même s’il lui arrive de les envier), et finit par se trouver pris sous la pression de devoir arrêter sa cure prématurément, bien avant son terme logique, sans que la question de la résolution de son rapport à la castration ait pu commencer à se poser...
C’est le cas le plus courant...
Aussi ne s’étonnera-t-on pas que dans le marigot psychanalytique, où les protagonistes seraient censés, plus que d’autres, avoir terminé leur cure, soit le plus souvent resté en friche ledit "complexe de castration" qui présente l’impasse sexuelle du névrosé sous deux aspects:
• chez la femme, par le Penisneid, c’est-à-dire l’envie, ou plutôt la revendication du pénis, avec toutes les sous-jacences de colère et d’agression qui s’y trouvent impliquées, comme le souligne Lacan, et qui la rendent littéralement enragée et
• chez l’homme, par la révolte, le hérissement contre la disposition passive ou féminine à l’endroit d’un autre homme et qui, du fait de l’angoisse de castration que celle-ci suscite, est la source de l’arrogance.
Or, Lacan y insiste tout au long de son enseignement: la névrose n’est pas à faire ressortir de l’ordre des "maladies" mais bien de l’éthique, dans le champ même de la relation que le sujet entretient avec son désir, désir qui est toujours désir de l’Autre, qui a trouvé sa forme à partir de la question: che vuoi? adressée au désir de l’Autre.
C’est donc toujours au désir de l’analyste qu’il revient in fine de soutenir dans la cure, jusqu’à son terme logique, cette question que le névrosé, par-delà la prévalence de la demande, adresse au désir de l’Autre, et qui recèle la clé du rapport au désir.
Cela signifie que le psychanalyste aura accepté d’orienter la cure dans une direction qui n’évitera pas au sujet d’avoir à se confronter à l’angoisse du désir de l’Autre, c’est-à-dire à son manque radical, sa castration, son irréductible incomplétude, contre laquelle il se défendait grâce à un fantasme qui induisait selon les cas un désir insatisfait ou impossible.
Tout ce cirque, bien entendu, afin de maintenir intacte la relation à la demande d’amour de l’Autre maternel, au sens du génitif objectif et du génitif subjectif (dont seul le recours au Père en tant que métaphore permet une issue en proposant un autre sens…)
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raisongardee · 2 years ago
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La mondialisation a bouleversé les rapports de force traditionnels, qui ne concernent plus tant les nations entre elles que les peuples unis contre une seule et même élite apatride. Les "gilets jaunes", "convois de la liberté", et plus généralement les revendications sociales sont des mouvements internationaux qui renouent avec le socialisme originel. Le véritable rapport de force est donc vertical, entre des prédateurs nomades et les gens ordinaires de tous les continents.
Dans ces conditions, les élites parviennent à maintenir leur domination à la faveur d’une double stratégie. Il s’agit en premier lieu de toujours revenir à des rapports de force horizontaux entre groupes, identités et cultures, afin de faire oublier la domination verticale. La guerre entre les peuples détourne effectivement l’attention de la guerre contre les peuples, et permet à nos maîtres de se donner un rôle de protecteur. Nous avons ainsi été mis en garde contre l’Islam, et à présent la Russie, et sensibilisés aux droits de toutes les minorités culturelles, mais pendant que s’opposent les religions, les nations, les genres, les orientations sexuelles, les couleurs de peau, voire les équipes sportives et les modes de vie, il n’est pas question de ce qu’une poignée de décideurs impose à tous les peuples. Il ne s’agit pas de prétendre que toutes sortes de violences ne peuvent exister, seul un arbre réel peut cacher la forêt, mais de faire remarquer qu’elles permettent aussi de faire oublier la plus écrasante des dominations. Ne parle-t-on pas aussi de "diviser pour mieux régner" ?      
La seconde stratégie des élites consiste à passer par des intermédiaires et rallier une partie du corps social à sa cause. Ces agents, issus des réseaux du grand monde, mais qu’il ne faut pas confondre avec les véritables élites, servent des intérêts mondialistes contre promesse d’argent et de prestige. Cette armée de complices, recrutée dans le vivier autochtone des grandes écoles, rendue traitre à sa patrie, est employée au service d’une communauté restreinte, peu visible, et étrangère à tout intérêt national. C’est elle que nous voyons travailler contre le bien commun, et à laquelle nous commettons l’erreur de réserver notre haine. Mais que sert de faire reproche au bâton qui nous frappe, quand le moment venu il suffira à celui qui le tient de le livrer à la colère populaire ?
Le flot de cette colère encore relativement contenue finira par dépasser les limites de la patience populaire, l’exaspération gagne la rue, et les regards se fixent déjà sur ceux qui décident et nous gouvernent. Le personnel politique bien sûr, mais aussi tous les promoteurs de mœurs et d’opinions que sont les journalistes, artistes et autres personnages publics. Ces décideurs et influenceurs, gavés d’argent et d’avantages, sont les maîtres d’œuvre de la façon dont il est prévu que les choses soient vues et organisées. Le peuple suit, comme toujours et ainsi que l’implique sa nature, mais les braves peuvent aussi l’être dans le double sens ce de terme…
La colère du peuple sera plus forte encore si on s’en prend à ses enfants. Les libéraux avaient déjà tenté d’impliquer les plus jeunes dans une sexualité plus permissive, et commettent aujourd’hui une erreur comparable en leur imposant une vaccination expérimentale. C’est ce qui peut le plus sûrement enflammer l’exaspération populaire et l’unir dans la révolte.
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