#réseau québec maritime
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Different scientific experiments onboard the Amundsen boat operated by the Canadian Coast Guard.
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Le Québec tremblait il y a 30 ans
Considéré encore aujourd’hui comme le plus fort tremblement de terre de l'est de l'Amérique du Nord, il est documenté de façon importante puisqu’une équipe de sismologues avait été dépêchée dans ce secteur 24 heures plus tôt. Richard Fortier, directeur du Centre d'études nordiques et professeur titulaire du département de géologie et de génie géologique Université Laval, indique qu’un séisme précurseur d’une magnitude de 4,7 a été ressenti le 23 novembre 1988 à 4h11. «Souvent, lorsqu’il y a un événement sismologique important, la Commission géologique envoie du personnel installer de l’instrumentation pour suivre les répliques.»
De fait, Maurice Lamontagne, ingénieur-géologue, fait alors des recherches sur les tremblements de terre de l'est du Canada et leurs impacts depuis 1985 et agit souvent comme porte-parole de Ressources naturelles Canada lors de séismes pour Ressources naturelles Canada. Il s’est rendu à Chicoutimi le 24 novembre 1988.
Bob Schieman, du laboratoire de la division de géophysique, rapporte l’enregistrement des répliques du séisme de Saguenay de novembre 1988.
Secousses
Malgré la stabilité du plateau de l’estuaire du Saint-Laurent, Richard Fortier indique que plusieurs sources sont à l’origine du phénomène sismique dans le secteur de Charlevoix-Kamouraska. «Après la période de déglaciation, le relèvement de la croûte terrestre se produit encore aujourd’hui d’où l’apparition de tremblement de terre. L’impact d’une météorite dans Charlevoix, qui avait un diamètre de 2 à 4,5 km, survenu il y a environ 400 millions d’années est responsable de certains petits séismes pour la même raison que la déglaciation.»
Un rapport plus détaillé a été produit en 1990 par la division géologique à Ottawa. L’un des trois signataires, Maurice Lamontagne, indique que 2000 questionnaires ont été distribués dans diverses communautés de l’Ontario, du Québec, dans les Maritimes et Terre-Neuve afin de déterminer l’intensité du séisme. Les données compilées avec celles des États-Unis démontrent que 1924 communautés ont ressenti la secousse sismique à divers degrés d’intensité.
Histoire et prévision
Le secteur de Charlevoix-Kamouraska est particulièrement ciblé pour ces secousses. Parmi les tremblements de terre importants, on indique ceux de 1663 (magnitude 7), 1791 (magnitude 6), 1860 (magnitude 6), 1870 (magnitude 6,5) et 1925 (magnitude 6,2). On note qu’entre le 25 novembre 1988 et le 31 octobre 1989, 85 petits tremblements de terre, d’une magnitude inférieure à 3 sur l'échelle de Richter, ont été enregistrés dans le secteur de Chicoutimi. Les répliques ont duré jusqu'au 12 décembre 1988. Maurice Lamontagne indique que la magnitude des séismes anciens est estimée d'après les conséquences. Quant à celui de 1925, il a été enregistré et les sismologues ont pu calculer sa magnitude par la suite.
Richard Fortier avoue qu’il est très difficile de prévoir un tremblement de terre malgré toute la technologie dont on dispose. «Ce sont des systèmes hypercomplexes où l’on a pratiquement pas de mesures ni d’équipements en place autre que le suivi des ondes qui se déplacent et leur amplitude. On ne sera jamais capable de prévoir un séisme en dedans de 24 heures, d'une semaine ou d'un an. Le système terrestre est trop complexe et on ne le comprend pas assez bien. Personne ne va se lancer à faire de courtes prévisions. Par contre, on peut se baser sur des statistiques de séismes et voir leur taux de récurrence et leur magnitude.»
La plus récente secousse a été enregistrée à La Malbaie le 8 novembre dernier à 23h12. Elle avait une magnitude de 3,2 et était située à 14 km au sud-ouest.
www.seismescanada.rncan.gc.ca/historic-historique
Témoignages
«On a eu la peur de notre vie»
Le vendredi 25 novembre 1988, Suzane Chaloult demeure sur la rue Saint-Olivier, dans le faubourg St-Jean-Baptiste, et elle travaille sur la Rive-Sud. Au moment du séisme, son conjoint à l’époque s’occupe de donner le bain au garçon de deux ans. «Je me préparais pour aller travailler. J’avais de la vaisselle et des bibelots dans un vaisselier, tout s’est mis à trembler de partout et certaines pièces sont tombées par terre. Il y avait un bruit épouvantable et cela a été la panique.» Se retrouvant sans électricité ni moyen de communication, le réseau téléphonique étant saturé, le seul média disponible était la radio. «Là, ils [les médias] nous disaient de ne pas utiliser les ponts. Je n’avais donc aucun moyen pour me rendre à Lévis.» Elle avoue ne pas être demeurée chez elle en attendant que tout revienne progressivement à la normale.
Pas de panique
Francine Dion, qui habite aujourd’hui Val-Bélair, résidait à Loretteville à ce moment. «Je demeurais au 3e étage et je croyais que c’était un camion qui avait reculé sur le mur du bloc-appartements. Quelques secondes plus tard, il n’y avait plus d’électricité. Là je me suis dit, ça ne marche pas, ce n’est pas un camion qui a causé ce bruit. C’est un tremblement de terre.» Elle raconte que ce vendredi-là elle devait amener ses parents aux Galeries de la Capitale. «Ils avaient un rendez-vous pour se faire photographier. On s’est retrouvés sans téléphone. Lorsque j’ai réussi à leur parler, mon père m’a dit: la maison a tremblé fort.» Habitant dans une maison familiale centenaire, Mme Dion indique que son père a fait une vérification et tout semblait normal. «C’est une vieille maison pièce sur pièce et seul le feu pourrait la détruire.» Ils ont dû rebrousser chemin, une fois rendus à destination, puisqu’il n’y avait pas d’électricité dans ce secteur.
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Deux ans après le lancement de sa nouvelle image de marque aussi créée par Tank, l'organisme responsable du Grand Sentier lance la première phase de sa campagne de notoriété visant à faire connaître le territoire de 24 000 km que traverse Le Grand Sentier.
La première offensive pancanadienne s'articule autour du thème «Un lien profond» et propose cinq capsules web qui présentent l’histoire de divers utilisateurs du Grand Sentier, qui est un réseau de pistes multiusages dans l'ensemble du territoire du Canada, aménagés à l'aide de partenaires, de donateurs et divers paliers gouvernementaux.
L’organisme responsable de ce sentier a maintenant pour mission de l’améliorer et de le prolonger. «Maintenant que le Grand Sentier est achevé, notre but est de le faire connaître à tous afin que le plus grand nombre de personnes puisse découvrir, utiliser et apprécier ce trésor national», souligne Danielle St-Aubin, vice-présidente au marketing et aux communications du Grand Sentier.
Mais 24 000 km de sentiers, ce n'est pas si facile à faire connaître. «Bien que Grand Sentier voulait cibler le public de tout le territoire canadien avec du contenu pertinent pour chacun d'eux, nous avons dû réalistement faire des choix, explique Jean-François DaSylva-Larue, directeur de création de Tank. Dans un monde idéal, on aurait été dans le Grand Nord aussi comme une portion du sentier se rend au Nunavut.»
Les cinq capsules rendent ainsi compte de cinq territoires, soit l'Ouest canadien, les Prairies, le Québec, l'Ontario et les Maritimes.
L'équipe de Tank a ensuite fait des recherches pour trouver des influenceurs qui ont un propos unique et une relation avec le sentier qui dépasse le seul goût pour le plein air, afin d'offrir un contenu plus riche.
Le défi créatif en était un de logistique. «On a eu la chance d'avoir une cliente très consciente des échéanciers serrés et conciliantes, mentionne Jean-François DaSylva-Larue. On a dû faire la réalisation des capsules en trois semaines, un défi en soi pour couvrir un aussi vaste territoire.»
Il raconte que l'équipe a dû sauter plusieurs étapes de production pour réussir à «attraper» les influenceurs qui étaient de véritables «sujets nomades», en constants mouvements. «Par exemple, l'une des personnes qu'on devait interviewer se rendait en vélo dans l'Ouest est on a réussi à l'attraper dans Charlevoix. Et ça été le cas pour trois d'entre eux, précise-t-il. C'était tout un casse-tête de planification pour arriver à les intercepter dans les temps.»
Même arrivés sur les lieux du tournage, Nicolas Beausoleil, qui assurait la réalisation des capsules et son équipe, n'avait que deux jours pour faire le repérage, le premier contact avec les influenceurs, le tournage des scènes. «On a dû prendre des plans même durant le repérage et commencer à faire le montage pendant le tournage.»
Le Grand Sentier a été créé dans la foulée du 150e anniversaire du Canada, mais souhaite par cette campagne de notoriété l'ancrer dans les habitudes des citoyens et dans le patrimoine canadien, un peu à l'instar de Parcs Canada. D'où l'importance de tenter de faire vivre cette connexion, ce lien émotif avec le territoire, souligne le directeur de création. «On utilise ce langage de "lien profond" depuis la création de l'identit du Grand Sentier, ajoute-t-il. La notion de connexion a un double, soit celui de relier les citoyens canadiens d'un océan à l'autre et de les lier aussi émotivement.»
En effet, Tank a créé l'identité visuelle et le site web de l'annonceur, dévoilés en 2016.
En ligne depuis le 31 août pour profiter de la populaire des promenades en plein-air à l'automne, la campagne web se poursuit jusqu'au 10 octobre 2018 et les capsules sont appuyées de bannières web et d'une stratégie dans les médias sociaux.
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Annonceur: Le Grand Sentier — Danielle St-Aubin, Jérémie Gabourg Agence: Tank Vice-présidence de création: Alexandre Gadoua Direction de création: Jean-François DaSylva-Larue Conception: Maxime Landreville Réalisation vidéo: Olivier Bouchard Service-conseil: Amina Ben Ameur Production: ALT — Nicolas Fransolet, Luc Campeau, Jérôme Couture
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Le Train de Charlevoix sillonne les plus beaux villages du Québec!
La saison estivale est maintenant lancée : Un voyage unique de 125 kilomètres entre fleuve et montagne
Jusqu’au 21 octobre prochain, le Train de Charlevoix parcourra 7 jours sur 7 la voie ferroviaire entre la ville de Québec, la Côte de Beaupré et les villes et villages côtiers de Charlevoix, permettant de profiter de points de vue grandioses, autrement inaccessibles. Le Train de Charlevoix, c’est un voyage unique de 125 kilomètres entre fleuve et montagne, pendant lequel se dévoilent les richesses d’une région qui a tant à offrir. Les vacanciers à la recherche d’une expérience touristique unique, voire spectaculaire, seront assurément charmés par la magnifique région de Charlevoix et son train, lequel est d’ailleurs en opération uniquement durant la saison estivale.
Sur les photos : Train de Charlevoix / Crédit : Caroline Perron
DES DESTINATIONS INSPIRANTES ET ÉPOUSTOUFLANTES
Le Train de Charlevoix propose une expérience ferroviaire entre le Parc de la Chute-Montmorency et La Malbaie. Son parcours de 125 kilomètres offre des points de vue inédits et incroyables sur le fleuve et sur les montagnes de Charlevoix. Une façon de voyager unique, polyvalente et conviviale. Pendant le périple, les clients sont maîtres de leur parcours. Le train traversant sept villes et villages côtiers, ils en profitent pour descendre, le temps d’un séjour en amoureux ou d’une courte escapade avec les enfants. Au gré de leurs envies, ils aimeront flâner dans les rues animées de Baie-Saint-Paul, piquer leur parasol dans le sable blond de la plage de Saint-Irénée, tenter sa chance au Casino de La Malbaie, ou découvrir le riche patrimoine maritime de Saint-Joseph-de-la-Rive. Peu importe l’itinéraire choisi, le Train de Charlevoix offre une expérience à nulle autre pareille.
L’EXPÉRIENCE À BORD
Confortablement assis dans le train, les clients sont traités aux petits soins par les membres de l’équipe de service qui les accompagneront tout au long de la route. Les plus curieux s’informent avec La Gazette du train qui retrace l’histoire, les commerçants et les secrets les mieux gardés de la région. Les plus gourmands, eux, se régalent d’un apéro à la charlevoisienne avec bières, cidres et produits locaux. Le Train de Charlevoix, c’est du temps pour la découverte d’une région, de son histoire et de ses gens.
UN CHOIX ÉCORESPONSABLE
En 2017, le Train de Charlevoix a choisi de mettre au cœur de sa mission, la valeur de l’écoresponsabilité. En tenant compte du fait que ses trains légers offrent un transport écoresponsable en lui-même, l’équipe de gestion a décidé de faire évoluer ce volet naturel dans toutes les autres sphères d’opérations. Celle-ci a obtenu la certification ICI ON RECYCLE! de RECYC-QUÉBEC, le Train de Charlevoix étant le premier matériel roulant au Québec à avoir entrepris une telle démarche. L’entreprise a également diminué de manière considérable les déchets produits par ses clients, en réduisant l’emballage de ses produits et en optant pour des couverts compostables. Ses publications, dont ses dépliants promotionnels et son journal offert à bord, sont imprimés sur du papier 100 % recyclé et recyclable. La certification carbone-paysage est en cours ; celle-ci vise à réduire le rapport d’émission des gaz à effet de serre de l’entreprise, pour ensuite compenser une partie des émissions par la plantation d’arbres.
SAVIEZ-VOUS QUE…
Il faudra attendre 2011 avant que le Train touristique de Charlevoix voit le jour. Depuis, le chemin de fer appartient à Chemin de fer Charlevoix, tandis que Réseau Charlevoix opère les deux trains, les sept gares et l’atelier ferroviaire de Baie-Saint-Paul.
En 3 ans, le Train de Charlevoix a vu augmenter considérablement son taux d’achalandage : 22 000 embarquements en 2015, 36 000 en 2016 et 57 000 en 2017. L’objectif pour 2018 est de 64 000 embarquements !
Le Train de Charlevoix a remporté le trophée de l’Événement ou attraction touristique de l’année aux Fidéides 2018.
INFORMATIONS ET ACHAT DE BILLETS : http://traindecharlevoix.com | 1 844 737-3282
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Le réseau mobile de Telus connait des ratés
Le réseau mobile de Telus connait des ratés
Plusieurs abonnés de la téléphonie cellulaire de Telus ont connu des interruptions de services dans les dernières heures. Dans un bref message publié sur le web, le géant des télécom a affirmé que les pannes intermittentes touchaient les services mobilité dans du Québec, de l’Ontario et des maritimes.
La compagnie affirme travailler à résoudre le problème le plus rapidement possible, sans…
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Mission Horizon Glacé 2024 with the Canadian Goast Guard and Réseau Québec Maritime
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Humans of the Canadian Coast Guard
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Mission Horizon Glacé 2024 with Canadian Coast Guard and Réseau Québec Maritime.
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Saison des croisières : modification au tracé de la piste cyclable du secteur du Vieux-Port
Québec, le 30 août 2018 – La Ville de Québec rappelle qu’à compter du samedi 1er septembre, le tracé de la piste cyclable dans le secteur du Vieux-Port, qui emprunte la Place des canotiers et la Pointe-à-Carcy, sera temporairement déplacé sur la rue Dalhousie (voie côté Est) jusqu’au 31 octobre. La saison des croisières atteignant sa période de pointe en septembre et octobre, l’espace sur les quais est requis par le Port pour mener en toute sécurité les opérations maritimes. Gestion de la circulation Afin d’assurer les meilleures conditions de circulation dans le secteur, la Ville mettra en place diverses mesures pour atténuer l’impact de la présence de la piste cyclable :
Surveillance en temps réel par le Centre de gestion de la mobilité intelligente;
Interventions aux feux de circulation à l'aide du gestionnaire artériel pour atténuer les épisodes de congestion;
Présence policière au besoin.
Pour plus de renseignements sur le réseau cyclable, les citoyens peuvent consulter le ville.quebec.qc.ca/velo.
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