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#produits termines
juno7haiti · 2 years
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Terminal Varreux: plus de 856 mille gallons de carburant livrés le samedi 12 novembre
Terminal @TVarreux: plus de 856 mille gallons de carburant livrés le samedi 12 novembre.- #Juno7 #J7Nov2022
Terminal Varreux: plus de 856 mille gallons de carburant livrés le samedi 12 novembre 2022. Le Terminal Varreux dans un tweet publié le samedi 12 novembre 2022, a annoncé le chargement de 108 camions-citernes au centre de stockage pétrolier de WINECO. 856 850 gallons de carburant ont été livrés pour cette journée. En effet, 539,450 gallons de Diesel et 317,400 gallons de Gasoline ont été livrés…
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mochademic · 4 months
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100 Days of Productivity [Day: 87] || 100 Jours de Productivité [Jour: 87]
sometimes I sit down on a sunday & make my weekly planner with very little to finish towards the end of the week. then somehow by wednesday the entire thing is full. I have a feeling this is going to be one of those weeks. there's been a wave of crazy things happening at work today & all of them seem to be 1. unheard of & 2. needing to be dealt with immediately.
academic work:
-catch up on everything missed from last week -edit paragraph assignment -re-write notes
freelance work:
-edit new layouts -do inventory -finish first book of the week
office work:
-finish reports -start consolidating paperwork -prep for payroll
currently listening // Dreaming by Lee
Il m'arrive de m'asseoir un dimanche et d'établir mon planning hebdomadaire avec très peu de choses à terminer vers la fin de la semaine. puis, d'une manière ou d'une autre, le mercredi, le planning est entièrement rempli. J'ai le sentiment que cette semaine va être l'une de ces semaines. Il y a eu une vague de choses folles qui se sont produites au travail aujourd'hui et toutes semblent être 1. inouïes et 2. devoir être traitées immédiatement.
travail académique:
-rattraper tout ce qui a été oublié la semaine dernière -révision de l'exercice du paragraphe -réécriture des notes
travail en freelance:
-rédiger de nouvelles mises en page -faire l'inventaire -Finir le premier livre de la semaine
travail de bureau:
-finir les rapports -commencer à consolider la paperasse -Préparer la paie
chanson // Dreaming par Lee
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lorienn-art · 3 months
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FR [Whale song] Heyyy Je suis enfin en vacances donc j'ai pu terminer cette illustration que j'avais commencée il y a environ deux mois hahaha — la partie qui m'a pris le plus de temps à faire a été l'apposition de toutes les couches nécessaires pour créer cet effet d'"onde sonore" (ça m'a vraiment pris une éternité), j'ai utilisé des crayons de couleurs pour accentuer l'effet ✨️ L'illustration est inspirée des chants de baleines à bosse — ces arrangements complexes de sons peuvent voyager des dizaines de kilomètres sous l'eau et sont produits par les mâles pour courtiser les femelles  ; ça me rappelle un peu l'idée d'être "loin des yeux, près du cœur" car qu'importe la distance vous séparant de la personne qui vous est chère, elle pourra toujours vous entendre (concept très Jotawife à mes yeux hahahahaha) Bref, j'espère que vous aimerez cette illustration autant que moi (parce que putain j'en ai sué) 💖 _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
EN [Whale song] Heyyy I'm finally on holiday so I was able to finish this piece I started roughly two months ago hahaha — the part that took the longest to do was the layering process to create this "sound wave" effect (it literally took forever), I used coloured pencils to accentuate the effet ✨️ The piece was inspired by humpback whale songs — these complex arrangements of sounds can travel tens of kilometres through the water and are produced by males to court females; it kinda makes me think of the idea of being "out of sight, near to heart" because no matter how far your loved one may be, they can still hear you (which is a very Jotawife concept to me hahahahaha) Anyway, I hope you'll like this piece as much as I do (cuz boi did I sweat to make it) 💖
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olympic-paris · 11 days
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saga: Soumission & Domination 264
Inauguration de nos deux cariatides
Deux semaines après leurs mises en place, je profitais de la présence de Marc pour organiser l'inauguration officielle des sculptures.
Liste des invités : Alban et le modèle (son amant) Ric, Bogosse & Moitié, Ernesto & Hervé, Alexandre & Kamal, Emma, Pablo, Pierre & Olivier (qui sont intéressés pour intégrer ce genre de produits à leurs constructions), Second & Julien (c'est pas parce que ce sont des " manuels " qu'ils ne s'intéressent pas à l'art !), Kev & Henri (aussi clients d'Alban), Bruno & Arnaud (nos voisins de la campagne), Franck & Louis et Eric & Cédric terminent ma liste.
Emma sera la seule femme. Je l'ai prévenue mais ce qui l'aurait dérangée avant (de me connaitre) ne lui fait pas peur.
Alban arrive avec Bogosse et Moitié. Ric est déjà là et il se baigne dans la piscine de la terrasse pour que nous puissions voir son corps alors que ses deux " copies " en bronze sont recouvertes d'un drap. Il y restera jusqu'à ce que tous nos autres invités soient arrivés (idée de mise en scène d'Alban). A part Emma qui est une femme, il va faire bander tous les mâles présents. Le boxer court rouge vif, qui couvre tout juste ses fesses, souligne sa taille étroite et renforce leurs rondeurs.
Les autres invités arrivent à la suite, Second et Julien sont les derniers pour cause de fermeture du commerce de Julien. Mais ce ne sont pas les moins remarqués. Il faut dire que leur façon de s'habiller (près du corps) ne laisse aucun doute sur leurs plastiques avantageuses. Emma s'approche et me demande si tous nos amis sont tous aussi bien foutus. PH lui sourit et lui confirme que nous avons plutôt des connaissances qui entretiennent leur corps. Quand nous sommes tous réunis, Ric nous rejoint ruisselant d'eau. Il se place alors au centre du comptoir/bar qui sépare la cuisine du reste de la pièce. Avec Alban, au top, je tire sur le drap et nous dévoilons les statues. Bref silence puis, applaudissements nourris, autant pour l'artiste que pour le modèle. Et contrairement au modèle, leurs attributs masculins ne sont pas cachés. Bien sûr, Alban ne les a pas représentés gonflés à l'extrême mais pas sortant d'un bain glacé non plus. Pierre siffle et demande à voir le modèle en chair afin de comparer. Olivier le fait taire. Il lui rappelle la présence d'Emma !
Samir et Ammed passent entre nous les plateaux de petits fours et remplissent les coupes de champagnes qui se vident rapidement. Après tout, hormis Emma qui rentre chez elle avec Henri et peut être Kev, tous les autres restent sur place. La soirée avance. Les groupes se font et se défont. Ça discute politique, mariage pour tous, et sexe aussi dès que les oreilles d'Emma s'éloignent. C'est Henri qui la décide à rentrer. En vieux amis ils ont des choses à se dire. Alors que Kev se résigne à les accompagner, Henri lui propose de rester et de le rejoindre plus tard, quand Pablo rentrera.
Ils n'ont pas atteint le ré de chaussé que les fringues volent de tous les cotés. Evidement le premier tout nu est Ric. Maintenant, tout le monde peut comparer avec les sculptures, sauf qu'évidement il bande !  En 5 minutes tout le monde est à poil et bandant. Samir et Ammed ont juste le temps d'enlever les plateaux qui contiennent encore de la nourriture et des corps se couchent, poussés par des mains baladeuses. Moi-même suis gentiment placé le dos sur la table basse au coté de Ric. Alors que je me tourne pour lui rouler un patin, je sens ma tête prise entre deux mains et poussée en arrière avant de voir arriver la belle bite de Bogosse sur mes lèvres. Evidement j'ouvre la bouche et il s'enfonce délicatement jusqu'à ce que ses couilles se posent sur mon nez. Je maitrise ma respiration et il me lime la gorge avec ses 24cm. Faute de voir, je sens d'autre mains me relever les jambes, écarter mes fesses et une langue venir me préparer la rondelle. Incapable de la reconnaitre ! Mais elle est bien efficace et je m'ouvre sous ses passages insistants et pleins de salive. C'est un pro, je le sens prendre du plaisir à me bouffer la rondelle et à me la détendre.  Alors que Bogosse continue à me râper les amygdales, c'est un autre gland qui cherche à pénétrer mon corps. Il trouve vite l'autre entrée et d'un coup de rein sec il me défonce. Je le sens patienter quelques 10aines de secondes puis s'enfoncer jusqu'à l'os. Là je le reconnais, c'est mon mec, Marc qui s'octroi le privilège de me défoncer le premier ! La bouche qui gentiment m'avait lubrifié l'anneau est venue recouvrir ma queue. Prise totale ! Je suis comblé. La bouche me quitte et je sens deux genoux enserrer ma taille et le mec s'assoir sur ma bite nue. Je me dégage le temps de voir que c'est mon PH. Il se couche sur moi et prend alors la bite de Bogosse en bouche me laissant ses couilles à faire rouler sur ma langue. Mon corps chauffe, je suis de plus en plus excité par les vas et vient dans mon cul. Marc s'en aperçoit et du coup, recule et laisse la pression descendre pour que je ne jute pas tout de suite. PH se redresse et fait de même. Merci les gars, ils me connaissent et savent que j'ai bien l'intention de baiser avec tous les participants !
Notre petit groupe se disperse. Je mate un peu de tous les cotés. Tout près, Ric se fait mettre par Pablo et apprécie grandement les 24cm épais de ce dernier. Même avec la bite de son Alban dans la bouche, il arrive a gémir de plaisir. En passant je me penche sur ses tétons et mordille le droit. L'augmentation de son plaisir s'entend aussitôt. Alban le traite affectueusement de salope. Je les quitte et continu la recherche de mon prochain coup. C'est le cul de Louis qui est ma prochaine étape. Faut dire qu'il ne demandait que ça. A 4 pattes, il suce Cédric en 69 qui se fait prendre par son Franck et il cambre ses reins pour mettre son boule en valeur. Je me kpote et sans plus de préparation, je glisse mon gland entre ses fesses et pousse jusqu'à ce que nos peaux collent. Je pose alors mes mains sur ses fesses et des pouces glissés le long de ma queue, j'écarte les deux globes pour m'enfoncer jusqu'à l'os.  Comme je donne un dernier coup de rein pour être sûr d'être au plus loin, j'entends d'en dessous Cédric qui s'étrangle, étouffé par la présence un peu trop longue du gland de Louis dans sa gorge. Je relâche la pression, et tous les 4 nous ajustons nos tempos pour trouver l'harmonie propre à donner du plaisir à chacun. Je lime quelques 10aines de minutes la rondelle de Louis avant de le laisser pour aller voir ailleurs. Alors que je me dékpote, j'attrape Julien qui passait par là et lui dit de profiter de ce joli petit cul. Il ne se le fait pas dire deux fois d'autant plus qu'il ne le connait pas encore  de l'intérieur !
Il manque du monde. Je monte sur la terrasse et je trouve Second, penché contre la sculpture centrale, en train de se faire mettre par Ernesto. Je m'approche sans faire de bruit et enlace le corps musclé de mon amour espagnol. Surpris, il cesse de bouger et Second se redresse et tourne la tète pour en connaitre la raison. Il me voit alors collé à Ernesto en train de lui manger la bouche. Ernesto reprend ses mouvements et ma queue bandée se positionne entre ses fesses et glisse sur sa rondelle à chacun de ses vas et vient dans le cul de Second. Je m'écarte le temps de chercher et d'enfiler une kpote et reprend ma place. A la troisième fois où mon gland glisse sur la rondelle d'Ernesto, je donne le coup de rein nécessaire pour le pénétrer. Adaptation de nos mouvements et je profite du cul profond de mon ibère préféré. Je me penche et entreprend de lui lécher le cou. Il aime. Je m'enhardi à lui mordiller les deltoïdes, il aime aussi ! Il jette sa tête en arrière pour me donner ses lèvres. Nous mélangeons nos langues, c'est trop bon !
Second nous propose de changer de position et de faire le lien entre nous deux. Il se pose dos sur la pelouse artificielle relève les jambes contre son torse et réclame Ernesto dans son cul. J'ai compris que je vais lui faire avaler mon gland. Il me dit que cela lui rappelle notre première rencontre quand je lui ai appris à faire des gorges profondes à son Maçon de boss. Je lui cloue le bec et roule un patin à Ernesto. C'est plus pratique face à face !
Je suis bien mais un peu vide coté pile ! Je me recule et demande à passer entre eux deux. Ernesto recule le temps que j' m'intercale et m'emmanche dès que je suis planté dans Second. C'est mieux ! Nettement mieux !! Heureusement que ce n'était pas le premier à m'enculer ce soir, car il y a été franco et j'ai pris grave ! Mais c'est trop bon quand même ! Second a bien profité aussi. Quand je suis très excité mes 20cm sont gonflés à bloc et je suis plus près des 6cm de diamètre que de mes 5 habituels. Ça lui va bien puisque c'est la largeur d'Ernesto ! Comme nous sommes de face, je peux lui rouler un patin bien baveux. L'échange de salive m'achève et je me surprends à exploser dans ma kpote. Cela déclenche mes partenaires. Les pulsations de mon anus font juter Ernesto alors que je sens mes abdos s'inonder du sperme de Second.
Je suis mort ! Je reste couché sur Second, Ernesto, dans le même état que moi, sur le dos. Heureusement que Second est méchamment musclé, il supporte sans problème l'empilement de nos kilos.
Quand même, d'un bon coup de rein, il nous fait chuter sur le coté et se dégage. Nous restons quelques instants à regarder le ciel au-delà de la verrière. La nuit tombe et malgré les lumières de la ville, nous commençons à apercevoir les premières étoiles. Ernesto pivote et me roule une pelle d'enfer. Second ne veut pas être en reste et insinue sa langue près des nôtres. Nous nous léchons le museau jusqu'à ce qu'Ernesto s'écarte et me dise merci. Je me demande et lui demande de quoi ?
Il enfoui son visage contre mon épaule et me parvient étouffé un " pour tout ça et Hervé ". Je le repousse et le maintient à bout de bras. Dans les yeux, je lui dis qu'il ne peut s'en prendre qu'à lui-même, je n'avais fait que lui proposer des opportunités. C'était lui seul qui avait choisi. A nos cotés, Second ajoute que l'on a toujours le choix mais que nous n'en prenons pas forcement pleinement conscience sur le moment. Il ajoute qu'avec le recul, lui aussi avait profité des possibilités qui lui étaient offertes et que s'il avait voulu, il aurait pu refuser de devenir le vide-couille de son patron (Maçon). Il avait laissé faire sa pente naturelle et n'avait surtout pas regretté la construction de la piscine à notre campagne car il y avait appris de moi, qu'en plus de faire plaisir à son patron, il pouvait aussi y trouver son compte.
J'écourte ses épanchements avant qu'ils ne deviennent trop sentimentaux et les relèvent pour passager sous la douche près de la piscine avant de plonger. L'eau chauffée à 28° nous délasse. Et en retenant notre respiration, nous pouvons mater ce qui ce passe à l'étage du dessous.
Un regroupement de mecs autour de la grande table basse me fait deviner qu'il y a quelqu'un dessus. Cela nous intrigue suffisamment pour que nous descendions les regoindre.
Sur place, je passe la tête par-dessus le mur d'épaules et je vois alors qu'ils sont tous en train de se branler au dessus de Kamal et Louis (les deux plus jeunes et petits formats). Ça me fait rebander direct. Je joue des épaules et m'insère dans le cercle tout comme Ernesto et Second, dans le même état que moi.
Ils se caressent tous les trois ce qui excite encore plus les spectateurs. Ils reçoivent une avalanche de spermes en provenance des 21 bites qui les encerclent. Avec mes deux acolytes, nous sommes bon derniers à ajouter nos jus. Je les regarde. Ils sont gluants de sperme. Heureusement que les surfaces sont faciles à nettoyer ! Samir se faufile entre nous et passer une serviette sur leurs visages et retirer ainsi les risques d'entrées de sperme non désirées.
Jardinier
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Cela s'est produit dans un aéroport de New York. C'est hilarant. J'aurais aimé avoir le courage de cette fille. Un prix devrait lui être donné. Agent d'embarquement d'une compagnie aérienne à New York pour avoir été intelligente et drôle, tout en faisant valoir son point de vue, lorsqu'elle est confrontée à un passager qui lui probablement méritait de voler comme cargo. Pour vous tous qui avez dû le faire traitez avec un client en colère, ceci est pour vous.
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Un vol bondé d'United Airlines a été annulé. Une seule agente servait une longue file de voyageurs. Soudain, un passager en colère s'est dirigé vers le bureau. Il a posé son billet sur le comptoir et a dit : "Je DOIS être sur ce vol et il doit être en PREMIÈRE CLASSE." L'agente a répondu : « Je suis désolée, monsieur. Je serai heureuse d'essayer de vous aider, mais je dois d'abord aider ces gens ; et ensuite, je suis certaine que nous pourrons trouver une solution." Le passager n'a pas été impressionné. Il a demandé à voix haute, pour que les passagers derrière lui puissent entendre : « AVEZ-VOUS UNE IDÉE DE QUI JE SUIS ? Sans hésiter, l'agente a souri et a saisi son micro de sonorisation. "Puis-je avoir votre attention, s'il vous plaît ?", commença-t-elle, sa voix étant clairement entendue dans tout le terminal. "Nous avons un passager ici à la porte 14 QUI NE SAIT PAS QUI IL EST. Si quelqu'un peut l'aider avec son identité, veuillez venir à la porte 14". Avec les gens derrière lui qui faisaient la queue et riaient hystériquement. L'homme a jeté un regard noir à l'agent d'United Airlines, a serré les dents et a dit : "F*** You !"(va te faire foutre) Sans broncher, elle sourit et dit : "Je suis désolée monsieur, pour ça aussi, tu devras faire la queue. ». La vie ne consiste pas à survivre à la tempête, mais à danser sous la pluie.
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ekman · 4 months
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Je parlais il n’y a pas longtemps, ici même, de ce mensonge qui nous coûte tant. Imaginons que l’Occident soit né à Athènes et qu’il se termine maintenant à Washington. À quel moment de notre longue histoire la vertu fut-elle suffisamment enseignée et pratiquée pour que le mensonge reculât ? Dans quels replis du temps l’homme occidental se réalisa-t-il, exempt de culpabilité ou émancipé d’une morale absurde pour ne regarder que la réalité de sa condition et accepter toutes ses vérités ? Nous faut-il imaginer que l’homme fut libre tant qu’il se considérait comme l’auteur, l’acteur et le spectateur de sa pensée ? Que dès qu’il accepta l’idée qu’une entité morale supérieure, évanescente, omnipotente et insaisissable pût lui être supérieure et juger ses actes, il cessa simplement d’être libre, autant que maître de son destin ? C’est la collision entre l’état hélléno-romain de l’identité profonde – fondé sur les principes de survie et d’élévation – et l’état judéo-messianique, bâti sur la croyance et l’espérance.
Je crois que nous trainons chaque jour les nombreux boulets apparus dans cet antagonisme qui a façonné l’homme européen moderne et sa victime sacrificielle, le post-moderne. La meilleure preuve de ce tragique conflit est son produit, à savoir le chrétien, riche des fruits d’un heureux syncrétisme entre deux mondes, incapable au demeurant d’en assumer l’intelligence et la finesse autant que la force et le potentiel conquérant. Comprenez que l’homme occidental, à qui les Dieux donnèrent tous les atouts pour conduire les conquêtes – et qui les réalisa, n’en assuma plus aucune dès lors qu’il ne reconnut qu’un seul Dieu, moral, autoritaire, définitif... égalitaire.
Il y eut partout des exceptions à cette analyse, qui furent autant de tentatives flamboyantes et vaines. Une image me traverse l’esprit, dont je fais un exemple : “Aguirre, ou la colère de Dieu”. Film remarquable, tourné en 1972 par Werner Herzog. Tout y est : l’absurde violence d’un ordre moral sans queue ni tête dès lors qu’il est confronté à la violence fondamentale de la nature, de l’anthropologie et de la biologie. La valse pathétique des ambitions humaines, la grossièreté des appétits sexuels, la prévalence du sadisme sur la plus élémentaire vertu... L’homme, au fur et à mesure qu’il perd le contact avec la sphère morale formelle des sentiments appris, retrouve sans délai tous les appétits du mammifère confronté aux exigences incontournables de sa survie. 
Aguirre remonte sa rivière au fur et à mesure qu’il descend le fleuve. 
Sommes-nous très différents de lui, qui tentons de revenir aux racines de notre être pour en exciper d’hypothétiques vertus ? Tant parmi nous portent sur leurs pauvres épaules le poids de pêchés qu’ils reconnaissent tant bien que mal, évidentes contradictions de leurs intentions premières. (...)
J.-M. M.
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chic-a-gigot · 2 years
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La Mode illustrée, no. 8, 19 février 1899, Paris. Toilette de réunions pour jeune femme. Modèle de Mmes Coussinet-Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Cette toilette est faite en crêpe de Chine rose mat, et mousseline de soie de même nuance; on la garnit avec des bandes de velours vert mousse. La jupe et le corsage en crêpe rose sont faits sur une doublure de taffetas vert, ce qui produit un effet changeant. La jupe est entourée d'une écharpe en mousseline de soie rose, dont les bouts longs retombent jusqu'à l'ourlet. L'ouverture très profonde du corsage, est garnie devant et derrière de morceaux en mousseline de soie plissés bordés sur les épaules par de larges pattes en velours. Le corsage est garni de bandes de velours en biais se terminant devant et derrière sous des agrafes de strass. On pose sur les dessus de bras des pattes ornées d'agrafes.
This dress is made of matte pink crepe de chine, and silk chiffon of the same shade; it is trimmed with strips of moss green velvet. The pink crepe skirt and bodice are made on a green taffeta lining, which produces a changing effect. The skirt is surrounded by a pink chiffon scarf, the long ends of which fall to the hem. The very deep opening of the bodice is lined in front and behind with pieces of pleated silk muslin bordered on the shoulders by wide velvet tabs. The bodice is trimmed with slanted velvet bands ending in front and behind under rhinestone clasps. Tabs adorned with clasps are placed on the upper arms.
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maddiesbookshelves · 1 year
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Always Never, by Jordi Lafebre
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It's a love story in reverse. A platonic passion between two people. On the one side, there's Ana, a charismatic woman in her sixties, former mayor newly retired, a wife and a mom. A fighter with a big heart commanding respect. On the other side, there's Zeno, a confirmed bachelor, bookseller close to retiring and PhD student whose thesis took him forty years to write. A free spirit and traveller, as charming as he is mysterious.
Over the years, they have woven together an impossible and inexhaustible love. While going through the excuses that prevented it to happen, we rewind the clock on this romance, with all its twists and turns... Until its origins.
I bawled my eyes out when I reached the last page, it was amazing.
It was probably the most touching and beautiful love story I've read since... forever, maybe. The art style and the colors were what drew my attention first, and what was inside was just as beautiful as the cover.
The backward narration timewise was a really interesting way to tell Zeno and Ana's story because we know that something happened for them to lose touch and miss each other throughout the years, but we're left wondering what until we get there. It also means that some details come back at different points in time and we only understand where they come from later (the lilies were my favorite). It feels like we're being rewarded for paying attention to what's being said and drawn.
Anyways, much much love for this graphic novel, I'll borrow another one by Jordi Lafebre at the library as soon as possible.
French version under the cut
C'est l'histoire d'un amour à rebours. Une passion platonique mais éternelle entre deux êtres. D'un côté, il y a Ana. Sexagénaire charismatique, ancienne maire tout juste retraitée, mariée et maman. Une battante au grand coeur qui impose le respect. De l'autre, il y a Zeno. Célibataire endurci, libraire proche de la retraite et doctorant en physique qui aura mis quarante ans pour terminer sa thèse. Un esprit libre et voyageur, aussi séduisant que mystérieux.
Au fil des années, ils ont tissé ensemble un amour impossible et intarissable. Tout en égrainant les excuses qui ont empêché qu'elle ne prenne forme, on remonte le temps de cette romance et de ses méandres... jusqu'à sa source.
J'ai pleuré comme une madeleine quand je suis arrivée à la dernière page, c'était incroyable.
C'est probablement l'histoire d'amour la plus touchante et la plus belle que j'ai lu depuis... peut-être toujours. Les dessins et les couleurs sont ce qui a attiré mon regard en premier et l'intérieur de la BD est aussi beau que la couverture.
La narration à rebours était un moyen super intéressant de raconter l'histoire d'amour de Zéno et Ana parce qu'on sait qu'il s'est passé certaines choses pour qu'ils se perdent de vue et se ratent au fil du temps, et on se demande comment ça s'est produit jusqu'à ce qu'on y arrive. Ça permet aussi d'avoir des détails qui se répètent et dont on ne comprend l'origine que plus tard (les lys étaient mon détail préféré). On se sent récompensé quand on fait attention à ce qu'il se dit ou ce qui est dessiné.
Bref, gros gros gros coup de cœur, j'emprunterai une autre BD de Jordi Lafebre à la bibliothèque dès que possible.
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simlandia-world · 1 year
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Couronnement et premier discours du roi Martin Willow Ier de Brièra
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Cette journée du 22 Avril marquera probablement l'histoire. En effet, c'est ce samedi que le Roi Martin Willow Ier De Brièra à été solennellement couronné par le Conseiller d'État Lord George Vasseur. La cérémonie du couronnement fut modeste, étant donné les circonstances mais cela n'empêchera pas le premier discours de notre nouveau monarque de marquer les esprits.
" Aujourd'hui, je tiens à présenter mes condoléances à tous le personnel médical, à nos juristes, à nos commerçants, à nos producteurs, à tous ceux qui forment Brièra ! "
Une première phrase forte qui émeut l'assemblée. Le Royaume est en deuil, et le Roi Martin semble bien le comprendre. Il explique ensuite que, bien que la mort de son père, le regretté Roi Henri VI, ait été une tragédie, chaque citoyen pleure aujourd'hui le décès d'un être cher de sa propre famille.
"Pleurons, tous ensemble comme des frères et des sœurs, remplissons les lacs de Brièra de nos larmes, mais ces larmes ne doivent pas être que des larmes de tristesse ! Versons aussi des larmes de fierté !"
Le Roi Martin s'engage ainsi à faire renaître Brièra de ses cendres et lui rendre sa prospérité d'antan. Il se dit fier de sa nation. Il faut rappeler que le Royaume de Brièra est le premier pays du continent à se relever après la pandémie qui a décimé notre monde.
En effet, la construction du mur de la frontière ordonné par le Roi Martin avant son couronnement et sa décision de placer le Royaume sous quarantaine lui aura évité les guerres qui sévicent aujourd'hui tout autour du pays.
Ces politiques exemplaires auront valu au Roi Martin l'approbation de son peuple, et ont protégé la monarchie.
Le Roi s'engage désormais à redémarrer l'économie du pays en investissant dans la reconstruction. Son premier projet est de reconstruire le Château des Willow. Cependant, il ne s'agira plus la d'une résidence royale, mais d'un musée qui regroupera sous un seul toit toute l'histoire de Brièra, afin que nous nous souvenions toujours de ceux qui nous ont quitté.
Il parle aussi de subventions à mettre en place pour aider les producteurs à reprendre leurs activités. L'agriculture est en effet le cœur de Brièra.
Le projet de construire de nouveau marchés et des alliances afin d'exporter nos produits est aussi discuté.
La cérémonie se termine après le discours du Roi Martin, aucun banquet n'aura été donné, pour respecter le deuil des Brièriens.
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bluesecchymauroses · 7 months
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A la une KurtGaby Shop — kurtgaby
A la une KurtGaby Shop — kurtartfactory
Business card for my shop updated as well as making stories on the store on Instagram!
The text:
How to order?
1)You can go through Vinted
2)Send me a message that Instagram, with your idea, or the photo of the model you want!
You can also reply to my stories to order the creations!
Payments?
Once your order is chosen, you can pay by PayPal, Lydia or directly if you go through Vinted
You can choose the payment method that suits you best!
For personalised orders, payment is done when I complete the order :)
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The links in my shop to buy a product or place an order:
🌿Vinted: https://www.vinted.fr/member/38165789
☀️Instagram: https://www.instagram.com/kurtartfactory
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Carte de visite pour mon shop mit à jour ainsi que confection des stories à la une pour la boutique sur Instagram !
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2)Envoie moi un message que Instagram, avec ton idée, ou bien la photo du modèle que tu veux !
Tu peux également répondre à mes stories pour commander les créations !
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Pour les commandes personnalisées, le paiement se passe lorsque je termine la commande :)
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kiddoovanilla · 8 months
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💄 Inventaire makeup de fin d'année p.2
💄
Partons à la découverte de la deuxième partie de mon inventaire makeup ! Il faut vraiment le terminer 😅
Catégorie 5 : produits lèvres 👄
Plus jeune, j'étais attirée par des couleurs plus "excentriques" comme les violets flash, les verts sapin pailletés, etc. Avec le temps, je me tourne de plus en plus vers des classiques nudes marronés et M. me préfère avec des rosés et rouges. 💋
Lipstick mat Rose boisé - Peggy sage
Butter gloss Praline - NYX
Pout bomb Sauce - Makeup Revolution
Smart 435 - KIKO
Smart 434 - KIKO
Sandstorm 1440E - Wet & Wild
edition Red Valentine Babe 303 - Mesauda
edition Red Valentine Honey bee 301 - Mesauda
Liquid lipstick Lolita - KVD
Liquid lipstick Hot hippie - Huda beauty
Silk Balm Toasted - Huda Beauty
Cream lip stain mat Marvelous mauve - Sephora
Matte Allure Haters - Sheglam
Matte liquid lipstick Maven - Sheglam
Lip tint Good habits - Sheglam
Liquid lipstick Hot cider - Sheglam
Liquid lipstick Macaron - Sheglam
Liquid lipstick Topaz - Sheglam
Lip & kiss pro contour 01 -Adopt
Lip & kiss pro contour 04 - Adopt
Lipliner First coffee - Sheglam
Lipliner Concret jungle - Sheglam
Crayon levre Muffin 344 - Max&More
Lip liner Fall 2.0 04 - Kiko
Prime universel - SEPHORA
Lip stain liner Marvelous mauve - SEPHORA
Lipliner Toffe - PS
Lipliner Toast - PS
Lipliner Spice - PS
Cette catégorie ne DEVRAIT pas beaucoup évoluer dans l'année 🤞
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Catégorie 6 : les oubliés 🥸
Oubliés car ils n'étaient pas dans ma coiffeuse mais dans une trousse au fond de mon bazard de sac à main😅
Shadowstix Sip&Sparkle - Fenty
Huile à lèvre - Steve Laurant
Cushion (référence ???)
Hydraliner Panda - SUVA beauty
Pro/base foundation stick 142 - MUA
Duraline - Inglot
Colle à faux cil - Sheglam
Ils rejoignent maintenant leur catégorie respective dans la coiffeuse 😁
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Catégorie 7 : les liners cakes 🖌️ Ils méritent une catégorie rien qu’à eux 🥹
Split liner @glisten_cosmetics Teintes de gauche à droite : Peach Melba Rasberry punch Buff Olive tree Blue heaven Tortoiseshell Wink Slushie Green tea Beach Gateau Mondays Split peas Wine time Pretty in Camo The royals Red velvet Delight Turtles
J'ai eu une période où je ne faisais rien d'autre sur mes paupières que des liners colorés/graphiques... La marque Glisten Cosmetics propose même des métallisés/duochromes/pailletés, il n'est pas impossible que je craque encore chez eux 😏🙄
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raibaru-san · 1 year
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Enquête à Blackwood Pines (Meurtres à Luton RP)
Pour @childrenofdarknight
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Quelques heures plus tôt.
Assise au bord du lit deux places qu'elle allait occuper durant son séjour, la jeune femme sonda l'écran de son ordinateur portable du regard. Soudain, une personne toqua à sa porte de manière guillerette, intonant une chanson. A la fin de celle ci, il se racla la gorge avant de demander.
Tu travailles encore ?
Après avoir reconnu la voix de son frère, la jeune femme ferma le clapet de son ordinateur avant de sourire puis de se tourner à moitié vers lui.
Moi, travailler ? Noooon.. Ok, je termine deux trois trucs et j'arrive.
On risque de rater le début du film si tu traînes trop et tu sais à quel point Manuella y porte de l'importance.
Ce dernier se décolla finalement son dos de la porte sur laquelle il était adossé avant de se résigner à hocher la tête, à lever le pouce puis à s'en aller.
Amélia soupira avant de se lever pour fermer la porte de sa chambre. Dès qu'elle revint vers le lit, elle s'y installa puis posa de nouveau son ordinateur sur ses cuisses avant de relever le clapet.
On pouvait voir sur l'écran le dernier journal de la ville de Luton où trois meurtres s'étaient produit très récemment.
1 ER MEURTRE - lundi 24 juillet 2023 Le premier meurtre s'était produit au début de la semaine en pleine nuit, dans un quartier calme de la ville. Le corps de la victime a été découvert par son colocataire le lendemain du meurtre. Elle n'avait jamais rien vu d'aussi barbare et sanglant. Même si les enquêteurs commençaient à peine à recueillir des preuves et à interroger les témoins potentiels, cherchant à identifier le tueur en série, le tueur n'avait pas perdu de temps pour tuer une seconde fois. 2 E MEURTRE - mercredi 26 juillet 2023 Un mercredi, cette fois-ci. La victime était une jeune femme dont le corps est cette fois-ci découvert par le concierge. 3 E MEURTRE - samedi 29 juillet 2023 Pour terminer, le troisième meurtre a eu lieu la veille. La victime était toujours une jeune femme, qui travaillait dans une boutique du centre commercial de Luton. On raconte qu'en tentant de fermer la boutique après une fermeture tardive, elle a été attaquée et poignardée. Encore une fois, sauvagement. Pour finir, son corps a été découvert le lendemain matin par un passant.
Retour au présent.
Et dire qu'à la base, elle était simplement venue à Luton pour prendre des vacances après ces derniers mois éprouvant.
Amélia venait d'arriver sur les lieux. Elle poussa la vieille porte rouillée dont les poignées étaient entourés de chaînes, déclenchant un tintement métallique et un crissement désagréable pour les oreilles.
Une fois à l'intérieur, elle ne prit pas le risque de refermer la porte. Elle avançait prudemment dans le hall de l'hôpital désaffecté, éclairant son chemin avec la lampe torche de son téléphone portable.
La jeune femme se rémémora un instant la véritable raison de sa venue : n'ayant pas confiance aux autorités locales, elle s'était lancée dans une enquête. Elle ne pouvait pas risquer le fait qu'il puisse arriver malheur à son frère et à sa soeur.
Soudain, un bruit la fit sursauter et elle braqua sa lampe torche dans la direction du son.
Il y a quelqu'un ? demanda-t-elle d'une voix hésitante.
Elle écouta attentivement mais il n'y avait pas de réponse. Amélia soupira et secoua la tête, se disant que c'était sûrement son imagination qui lui jouait des tours. Elle se remit en marche, scrutant les murs et les portes à la recherche d'un quelconque indice.
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bonsoirs37 · 1 year
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20/05, étape 46 Astorga - El Acebo
Après une très bonne nuit pour moi, car apparemment j'ai dérangé par mes ronflements,(boules quies obligatoire) , me voilà opérationnelle pour cette journée de 37 km et un peu de dénivelé. Astorga 870 m et 3 km avant El Acebo 1485m
Sans conteste, la plus belle étape du point de vue du paysage . Je baigne dans les couleurs des fleurs des montagnes et au milieu de ces petites collines on ne sait plus où donner de la tête, jugez en plutôt par vous même avec les photos à suivre.
Comme à notre habitude, avec Jean Paul, nous partons à 6h15 sans petit déj, et attendons le 9eme km pour se poser et prendre un petit déjeuner à Santa Catalina de Somoza. Nous traversons de beaux petits villages avant d'arriver à Foncebadon vers 12h15 (il y fait frais, mais. On a l'habitude) où nous prenons un bon casse-croûte pour terminer dans de bonnes conditions notre étape du jour, mais Jean Paul accuse un coup de fatigue, nous terminerons a une allure moindre, ce qui ne peut que nous faire du bien à tous les deux. On ne peut pas être au top tous les jours et en même temps, et peut être que mes ronflements y sont pour quelque chose (désolé JP, quand je suis fatigué, je ronronne).
Durant cette étape, on a trouvé des français qui, eux aussi se sentent un peu seuls. Un couple qui nous vient de la Meuse et qui finissent leur périple pour cette troisième année (il sont partis de chez eux a l'origine de leurs périple, comme moi). Puis à 2 km de notre albergue, une 3eme française qui nous vient de Bordeaux et qui comme moi a particulièrement apprécié cette étape .
Pour mon petit problème physique qui se produit principalement en descente, j'ai trouvé la technique pour y remédier. Pour l'instant tout va bien.
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leseffrontesfr · 2 years
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— Et voiciiiii… Mon fameux cappuccino de petits pois, ciboulette et noisettes torréfiées avec des graines de chia. Un délice ! Tout le monde adore, c’est plein d’énergie. — Tu n’as rien de plus… heu… pétillant ? — Du fermenté ? Si, j’ai du kombucha maison à la menthe. — C’est pas pire. — J’ai préparé des croquettes de butternut à la quinoa avec du houmous de betterave, et en dessert… Ta-dam ! Mon irrésistible carrot-cake à la cannelle et au sirop de violette ! Ça te plaît ? — Ça tombe plutôt bien, je comptais manger léger ce soir. — Parfait ! Je sentais déjà des ondes positives dans ton profil Tinder. Moi, je vis tout simplement. Surtout la nourriture : je ne mange que des choses saines. Mais pas de gluten, je suis allergique. — Comme on dit : ça ne mange pas de pain. — Et pas de produits carnés bien sûr. Quelle horreur ! — Ben oui, quelle horreur, « pas de produits carnés »… Même pas des œufs ? — Surtout pas ! Les pauvres poules ! Imagine devoir pondre un œuf — un gros œuf d’homme — tous les jours. — J’imagine. Faut pas abuser du riz… — Oui, d’ailleurs les céréales je limite de plus en plus. Je voudrais passer au régime cétogène. Pareil pour les légumineuses et les fruits sucrés, je réduis. Enfin, le sucre et le chocolat, je n’y arrive pas encore, hi hi hi ! Tu aimes l’avocat ? — Quand j’ai besoin de lui et qu’il n’est pas trop cher. — C’est vrai que tout est hors de prix au Biocoop casher… — Casher ? — Oui, je suis en plein renouveau spirituel. Le bouddhisme ne me faisait plus rien, et là c’est comme une renaissance ! Je me sens de plus en plus légère. Comme illuminée de l’intérieur. — Tu as la dalle ? — Très. Le ramadan a vraiment été long, je n’ai pas encore récupéré. D’ailleurs il me reste des bières. — Des bières ? Du ramadan ? Je ne pige pas. — Elles sont sans alcool, rassure-toi. — Zut. — Tu as faim ? — Plus du tout. Pomone, je vais être franc avec toi… — Oh non ! Ça va trop vite ! Nous n’avons même pas fait l’amour et je ne t’ai pas présenté à mes copines. C’est trop tôt pour une proposition. — Il ne s’agit pas de ça. — Alors tu peux tout me dire ! Tu es bi ? Circoncis ? Tu aimes des trucs spéciaux ? — J’aime bouffer et boire normalement, sans m’emmerder avec des régimes à la con. Une relation avec une fille qui mange végane-cétogène-casher-hallal me déprime comme la mort et donc, pour ne faire souffrir davantage ni toi ni moi, notre rendez-vous se termine là. Merci pour l’accueil plein de bonnes intentions. Rend-moi mon pantalon. https://leseffrontes.fr/index.php/2022/10/31/leffrontee-du-mois-doctobre-2022-pomone/
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marie-swriting · 1 year
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Dernière Fois - Stuart Twombly
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Masterlist
Romance Masterlist
Résumé : Tu couches avec Stuart depuis le début de votre stage chez Google. Après chaque nuit passée ensemble, il affirme que c'est la dernière fois, mais il revient toujours.
Warnings : se passe durant le film, smut sous-entendu, alcool (consommez l'alcool avec modération), boite de nuit avec stripteaseuses, un peu d'angst, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.1k
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Chanson qui m'a inspiré : This Love par Camila Cabello
Tu plisses les paupières à cause des premiers rayons de soleil entrant dans ta chambre de chez Google. Tu te relèves doucement tout en entourant ta poitrine nue de ta couverture. Tu remarques Stuart se rhabillant, prêt à partir comme un voleur, encore une fois. Quand il est venu te voir hier, tu n’as pas su résister alors que tu sais comment ça se termine. Comme à chaque fois. Tu te penses vraiment pathétique de lui laisser autant de pouvoir sur toi.
- C'est quelle heure ? demandes-tu.
- Six heures du matin. Je vais retourner dans ma chambre, t'informe-t-il avant de laisser planer un blanc. À propos d'hier...
- Ça ne se reproduira pas, finis-tu avec lassitude. Je sais.
- Cette fois, je le pense. Si on continue...
- On risque de ruiner notre stage. Je sais.
- On se voit tout à l'heure, avec les autres, pour la nouvelle épreuve ? s’enquiert Stuart en se grattant la nuque.
- Ouais.
     Il te fait un dernier sourire gêné et quitte ta chambre, son bonnet à la main. Tu te laisses retomber dans ton lit en te maudissant mentalement. Ça fait plus d'un mois que cette situation se produit. Généralement, ça recommence toujours de la même façon, vous vous ignorez pendant quelques jours puis il revient doucement vers toi et en un rien de temps, vous vous retrouvez dénudés jusqu’à ce qu’il te dise que c’est la dernière fois. C'est comme une boucle sans fin. Plus le temps passe et plus tu as l’impression qu’il te prend pour une idiote. Tu aimerais que pour une fois, il s’écoute quand il dit que c’est fini. Tu n'en peux plus. À chaque fois, tu te construis des murs en te faisant à l'idée que ça n'arrivera pas de nouveau, puis il prend toujours un malin plaisir à les détruire. Tu as l'impression d'être seulement un jeu pour lui. Tu aimerais pouvoir dire que ça ne t'atteint pas autant, mais à chaque fois qu'il revient pour mieux repartir ton cœur se serre un peu plus. Tu ne sais plus où donner de la tête. De plus, au fil de ce stage chez Google, tu as développé des sentiments pour Stuart à ton plus grand désespoir. Pourtant, les histoires de garçons étaient bien la dernière chose que tu voulais en étant ici. 
    En arrivant dans la salle de réunion du groupe, tu te rends compte que tu es la dernière. Tu te figes une seconde quand tu revois Stuart, mais tu ne fais comme si de rien n'était. Personne ne sait pour... vous ? Enfin, si on peut utiliser ce terme, car malgré votre intimité, Stuart te rappelle bien que ce “vous” n’existe pas. Vous avez gardé votre pseudo-relation secrète pour éviter que l'ambiance de votre groupe soit bizarre, l’équilibre avec vos différentes personnalités et âges par rapport à Billy et Nick rendent déjà les choses assez compliquées.
    Une semaine s’est écoulée depuis votre dernière fois. Tu es rassurée de voir qu'il n'est toujours pas revenu. Peut-être qu'il était sérieux cette fois ? Tu mentirais si tu disais qu’il n’y avait pas une tension palpable entre Stuart et toi ces derniers jours. Même si votre équipe n’est pas au courant, ils sentent que quelque chose s’est passé entre vous, mais ils ne pourraient pas deviner la réelle raison. Nea a essayé de te parler en privé, mais tu as tout nié. Tu lui as menti en disant qu’il n’y a pas de discorde entre Stuart et toi. Après tout, c’est fini, ça servirait à quoi de lui dire ?
    Tu es dans ta chambre, prête à aller te coucher quand tu entends frapper à ta porte. Tu ouvres à la personne et découvres Stuart, les lèvres pincées. Ton estomac se retourne en pensant que ça va recommencer comme les dernières fois.
- Désolé de te déranger, mon chargeur est mort et je voulais savoir si t'en avais un deuxième ou si je pouvais utiliser le tien, explique-t-il en montrant son téléphone.
- Mon téléphone est à 100 %, tu peux l’utiliser maintenant, lui proposes-tu. 
Tu vas chercher ton chargeur pour le lui donner. Cependant, quand il le récupère, il ne bouge pas du seuil de ta porte. Tu hausses les sourcils, ne comprenant pas son manque de réaction.
- Je voulais aussi te parler. Peut-être qu’on pourrait le faire pendant que mon portable charge ?
    Il te donne son téléphone et ton chargeur, tu le branches et le poses sur la table de nuit. Tu te retournes et vois Stuart qui essaye de fuir ton regard. Le silence devenant de plus en plus pesant, tu t'assois sur ton lit. Tu lui lances un regard pour l’inviter à dire ce qu’il a en tête. Il s'assoit à côté de toi et se racle la gorge.
- Tu sais, on devrait peut-être agir comme si rien ne s'était passé. Je crois que les autres se doutent de quelque chose.
- Ouais, souffles-tu. Nea m’a même demandé ce qu’il s’était passé.
- Tu lui as dit quoi ?
- Qu’il ne s’était rien passé, qu’elle s’imaginait des films. Elle n’avait pas l’air totalement convaincue, mais elle n’a pas plus insisté.
- Si ça devient trop un frein pour notre stage, il faudra vraiment qu’on fasse quelque chose. 
Pour simple réponse, tu hoches la tête. Vous restez silencieux, ignorant quoi ajouter d’autre. Tu évites d’abord son regard avant de sentir sa présence un peu plus proche de ton corps. Quand tu tournes la tête de nouveau vers lui, tu remarques que ses lèvres ne sont plus qu'à quelques millimètres des tiennes. Tu ne sais même pas comment vous en êtes arrivés là. Tu sais que tu devrais reculer, mais tu te sens attirée par lui, malgré toi. Stuart sait comment faire pour te ramener vers lui. Tu ignores s’il le fait consciemment ou non, cependant, il arrive à te faire craquer doucement à nouveau. Tu n'as pas le temps de penser plus longtemps que tu sens les lèvres de Stuart sur les tiennes. Tu lui rends son baiser, comme si c'était un automatisme. Comme vous en avez l'habitude, vos corps se rapprochent de plus en plus et tu t'assois à califourchon sur Stuart. Il met ses mains sur tes hanches pour enlever le plus de distances possibles. Tu sens ses mains glissées sous ton tee-shirt et tel un électrochoc, tu sors de ta transe et te sépares de lui. Tu fuis dans le coin opposé de lui en essayant de reprendre mes esprits et en remettant ton haut comme il faut.
- Tu avais dit que c'était la dernière fois il y a une semaine, t'exclames-tu, à bout de souffle. C'est pour ça que tu es venue dans ma chambre ce soir ? Le téléphone et la conversation n’étaient qu’une excuse, c’est ça ? J'en ai marre, Stuart. J'ai l'impression que tu joues à un jeu et que je suis ton pion. Tu ne peux pas partir et revenir comme ça encore et encore... ça me fait mal, lui avoues-tu.
- Désolé, je sais pas ce qui m'a pris. Je le pensais quand je t’ai dit que c'était la dernière fois, s'excuse Stuart avec des joues rouges.
- Oui, comme la fois d'avant et encore d'avant. Je dois toujours reconstruire des barrières et toi tu t’amuses à les détruire. J'en ai ma claque, Stuart ! t'emportes-tu. Tu ne peux pas me dire blanc et le lendemain me dire noir. Je suis perdue. Je sais pas comment agir avec toi, c’est pour ça que l’équipe a compris qu’il s’est passé quelque chose entre nous.
- Y/N, je te jure que...
- Garde tes explications pour toi, rétorques-tu avant de te diriger vers ta table de chevet. Récupère ton téléphone et va demander le chargeur de Yo-yo. Laisse-moi tranquille, ordonnes-tu en lui redonnant son portable.
    Stuart baisse le regard avant de se lever de ton lit et quitter ta chambre sans rien ajouter. Quand il ferme la porte, tu passes ta main sur ton visage en lâchant un soupir. C'est la première fois que tu arrives à t'arrêter avant que ça dérape. D'un côté, tu considères ce moment comme une victoire, mais de l'autre, il a quand même réussi à te retourner la tête pendant une seconde. Tu aimerais qu’il n'ait pas autant d’effet sur toi. Si tu pouvais, tu reviendrais en arrière et ferais en sorte de rester loin de lui. Tu n’aurais pas dû lui parler et devenir amis avec lui, tu aurais dû écouter ta tête et te concentrer uniquement sur ce stage.
    Après votre dernière altercation, tu n'as plus adressé la parole à Stuart. Tu essayes de l'éviter autant que tu le peux, malgré les circonstances. Malheureusement, ce soir-là, tu vas devoir rester en sa présence plus longtemps que tu le voudrais. Vous devez créer une application et aucun de vous n'a d'idées alors avec le groupe, vous êtes encore dans votre salle à vous faire des nœuds au cerveau.
    Plus le temps passe et plus vous paniquez. C'est l'avant-dernière épreuve donc vous n’avez pas le droit à l’erreur si vous voulez avoir un job l'année prochaine. Une fois de temps en temps, Billy et Nick essayent de proposer des idées, mais elles ont déjà été faites. Ce qui t’agace le plus dans cette situation est qu’ils n'ont pas l'air stressés par le fait que vous n’ayez aucune idée. Les travaux de groupe sont compliqués avec eux parfois. Tu as l'impression qu'ils ne comprennent pas vraiment à quel point ce stage est important pour vous.
- Vous savez quoi ? On devrait sortir, se changer les idées, balance Nick sans préambule.
- On doit trouver l'idée de notre application. On a pas le temps pour les sorties, rétorques-tu en massant tes tempes.
- Vous êtes toujours en train de bosser. C'est pas en vous creusant le cerveau que vous allez y arriver, croyez-moi, dit-il avant de se rapprocher de son ami. Faites-nous confiance.
- D'accord, mais alors pas longtemps, accepte Lyle. Il faut vraiment qu'on bosse.
    Après un repas dans un restaurant asiatique, Nick vous emmène dans un bar sous les conseils d'une personne du restaurant. En arrivant dans le lieu, vous découvrez que Nick a fait une erreur de traduction. Ce n'est pas un bar, mais une boîte de nuit, comme les strip-teaseuses présentes vous le prouvent. Tu es instantanément gênée, comme le reste du groupe. Des femmes se rapprochent de vous, enfin des garçons. L'une d'entre elle vient face à Stuart qui a la tête plongée dans son téléphone. Quand il relève le regard, il est d’abord surpris puis, ses yeux s’ouvrent un peu plus d'étonnement quand la strip-teaseuse prend son doigt et le met dans sa bouche. Tu ne peux t’empêcher d’ouvrir grand les yeux également en voyant l’action. Sans dire quelque chose, Stuart se fait entraîner par la femme dans un autre endroit de la boîte pendant que tu restes à côté de Nea.
    Finalement, en moins de trente minutes, ils s'amusent tous et boivent de l'alcool. Pour ta part, tu restes sur une banquette, un verre à la main. Tu n'as pas vraiment envie de danser avec Nea ou de voir Stuart s'amuser avec une autre femme. Cette soirée rentre officiellement dans ton top trois des pires soirées de ta vie.
    Toutefois, tu essayes de voir le bon côté en te disant que ce n'est pas vers toi que Stuart vient travailler ses hormones, mais tu mentirais si tu disais que ça ne t'a pas fait quelque chose quand tu l'as vu partir avec cette femme. Tu n’aimes pas savoir que tu es actuellement rongée par la jalousie. Tu as enfin ce que tu veux : Stuart loin de toi et pourtant ton corps ne réclame qu’une chose, le retrouver. Stuart ne te fait pas penser rationnellement et tu détestes ça, tu le détestes pour ça.
- Tu ne t'amuses pas ? te demande Nick en s'asseyant à côté de toi.
- Je n'ai pas la tête à la fête.
- Y/N, t'as vingt-et-un ans, c'est le moment de s'éclater. Après il sera trop tard, crois-moi.
- J'ai trop de pensées dans la tête pour m'amuser.
- Ah ! Ça c'est à cause d'un garçon, je me trompe ? déclare-t-il en souriant. Peut-être que je connais celui qui te fait tourner la tête.
- Tu dis n'importe quoi ! Je m'inquiète pour notre appli' qu'on a toujours pas faite à cause de votre brillante idée, à toi et Billy.
     Tu poses violemment ton verre sur la table basse face à  toi avant de te lever, énervée par sa remarque. À peine as-tu fait deux pas que Stuart vient vers vous un grand sourire aux lèvres. Apparemment, il vient de passer un excellent moment. Tu le vois ouvrir la bouche, prêt à parler, mais tu le coupes dans son élan.
- Toi, ferme-la, je ne veux surtout pas t'entendre !
    Tu vas dans les toilettes de la boîte pour te passer de l'eau sur le visage, espérant te calmer rapidement. Tu es surprise de savoir que tu es partie au quart de tour. La situation avec Stuart t’irrite plus que tu ne le pensais. 
    Après une dizaine de minutes, tu quittes les toilettes et retournes vers le groupe. Cependant, tu les retrouves sur le point de se faire virer par les videurs. Sans réellement comprendre, tu les suis hors de la boîte et Yo-yo t'informe qu'ils se sont bagarrés, c’est pourquoi ils ont dû partir. Parfois, tu te demandes pourquoi tu n’as pas fait plus d’effort pour aller dans un autre groupe.
    Finalement, vous vous rendez dans un endroit proche du Golden Gates Bridge pour dessoûler, enfin pour qu'ils dessoulent surtout car à part deux verres d'alcool, tu n'as rien bu d'autres donc tu vas plutôt bien. Lyle est complètement bourré alors que les autres ont juste une bonne gueule de bois.
    Tu es assise sur un banc, à part des autres. Ton agacement est encore trop fort pour rire face à leurs singeries alcoolisées alors tu préfères être un peu seule et profiter de la fraîcheur matinale. Il te faut une trentaine de minutes pour rigoler doucement face aux actions de Lyle. Il dit plein de choses qui n'ont pas forcément de sens, ce qui est très différent de ce qu'il est habituellement. Au loin, tu remarques Stuart parler à Nick. Tu te demandes de quoi ils peuvent parler avant que tu puisses t’en empêcher. Stuart doit arrêter d’occuper toutes tes pensées. En parlant de Stuart, tu le vois se rapprocher de toi. Il s'assoit à tes côtés alors que tu refuses de le regarder, gardant tes yeux sur le paysage face à toi.
- Est-ce qu'on pourrait arrêter de s'éviter ?
- Quand on ne le fait pas, ils remarquent qu'il y a quelque chose entre nous... Enfin qu'il y avait, rétorques-tu, séchèment.
- J'ai dit qu'on ne coucherait plus ensemble pas qu'on ne devait plus se parler.
- Sauf que quand on se parle, tu veux toujours que je finisse dans ton lit. Je préfère garder mes distances.
- Je voulais pas gâcher notre amitié, t'avoue-t-il. T'es quelqu'un de génial.
- Moins bien que l'autre femme de la boite, marmonnes-tu.
- Quoi ?
- Rien, lui dis-tu, ne voulant pas lui montrer ta jalousie.
- Y/N, je te jure que je n'ai jamais voulu jouer avec toi ou détruire notre amitié. Quand je t'ai embrassé la première fois, je sais pas ce qui m'a pris. Ça n’aurait jamais dû aller aussi loin. Je m’excuse.
- On en a déjà parlé mille fois, Stuart, soupires-tu en le regardant. J'ai l'impression qu'on tourne en rond. Soit tu veux de moi, soit tu ne me veux pas. Mais tu ne peux pas partir et revenir quand tu veux.
- Je sais.
- Pourquoi tu fais ça alors ? lui demandes-tu, désespérée. 
- Je ne sais pas.
- Wow, tu sais comment parler aux femmes, dis-tu sarcastiquement. Cet amour fait chier, murmures-tu avant de me lever.
- Attends. Je tiens à toi, Y/N, te retient Stuart en prenant ta main. Plus que je ne le voudrais et je pense que c'est pour ça que je pars et que je reviens. Je ne veux pas te perdre, mais je ne sais pas si toi tu me veux.
- J’aurais préféré que tu parles avec moi de tes peurs plutôt que tu me fasses du mal. Je m’en serais passé, lui lances-tu avant de le laisser seul.
    La gueule de bois de ton équipe a fini par vous donner l'idée de votre application, projet qui vous a fait gagner des points. Même si tu devrais être heureuse de voir que le stage se passe bien, tu ne peux pas t'empêcher d'être perturbée par ce que t'a dit Stuart plus tôt. Le pensait-il ? Ou est-ce qu'il te veut juste dans son lit à nouveau ? Il a dit qu'il tenait à toi, mais tu ne sais pas si tu devrais le croire. Après tout, il t'a fait tellement de désillusions en un mois et demi…
    Votre épreuve finie, tu marches vers ta chambre afin de te reposer. Entre la nuit blanche et l’application que vous avez dû préparer à la dernière minute, tu n’as plus d’énergie. Tu ne rêves que d’une chose : le confort de ton lit. Tu es sur le point d’ouvrir la porte de ta chambre quand tu entends quelqu’un appeler ton nom : 
- Y/N !
- Stuart ? Qu'est-ce que tu veux ? questionnes-tu alors qu’il arrive face à toi.
- J'en ai marre de me cacher, lâche-t-il. Je tiens beaucoup à toi, Y/N. Tu es une personne intelligente, drôle et magnifique. J'ai été con à toujours partir et revenir, tu ne mérites pas que je te fasse ça. Tu avais raison ce matin, j’aurais dû te parler de ce que je ressentais avant de tout faire foirer. C'est juste que je ne savais pas si tu voudrais d'une relation avec moi alors je me contentais de ce qu’on avait et tu semblais t’en contenter également sauf que j’ai fini par te blesser et j'en suis terriblement désolé. Je sais que j’ai ruiné toutes mes chances avec toi, mais si je pouvais au moins t’avoir comme amie, ça me rendrait heureux. Y/N, je te promets que si je pouvais retourner en arrière, je t'avouerais mon attirance bien avant pour ne pas que tu me détestes maintenant. 
- Je ne te déteste pas, le corriges-tu en le regardant dans les yeux.
- Vraiment ?
- J'ai été très déçue par toi, c'est sûr. Tu m'as retourné le cerveau, c'est le moins qu'on puisse dire, mais je ne peux pas m'empêcher de toujours retomber dans tes bras, car je tiens à toi aussi, lui avoues-tu. Je sais que je vais sûrement regretter ce que je vais te dire, mais si cette fois, tu promets de communiquer avec moi, de ne pas fuir à la première hésitation, je veux bien qu’on essaye de revenir amis. Même si j’ai des sentiments pour toi, je ne peux pas te promettre qu'on se mettra ensemble, j’ai besoin de te faire totalement confiance avant de me lancer dans une relation. Mais je ne peux pas faire comme si je voulais rester loin de toi. Essayons une toute dernière fois.
- Une dernière fois, c’est tout ce que je demande, sourit Stuart avec un regard rempli d’espoir.
Finalement, cette dernière fois a fini par être différente des précédentes. Votre relation avec Stuart a enfin pu devenir quelque chose de beau, comme vos cœurs le souhaitaient tant.
Masterlist
Romance Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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kenovele · 1 year
Text
Bog’s blog 21
 Cette semaine a été ponctuée par le covid. Commençons par le commencement, voulez-vous ? Sally était la première à tomber. Elle était dans un piteux état tout le weekend dernier. Jamie est revenu de son weekend à Wellington avec ce qu’il croyait être une grosse gueule de bois. Après une journée de travail compliquée lundi, il a été testé positif le soir même. Mark est rentré du travail plus tôt mardi et depuis il dort la plus grande partie de ses journées. Il est dans sa chambre à l’heure où je vous parle (mardi 11 avril à 16h20 soit légèrement plus d’une semaine après avoir été testé positif). 
 Kate et moi (les irréductibles gaulois ou même « les Amants Vigoureux » ou alors « les invincibles) nous sommes donc occupés de nos malades le début de semaine. Nous avons fait de délicieux repas dont notamment un bbq et des pâtes carbo. La journée, Kate était la seule à partir travailler. Elle devait assumer le travail de réceptionniste parce que, Sally étant malade et Pam (l’autre réceptionniste) étant au Japon, il n’y avait plus personne pour assurer ce poste au combien crucial. Elle était donc au four et au moulin chez Tisley pendant qu’à la maison je faisais profiter tous les malades de ma spécialité pour le lunch : « le croc ». Il y a bien entendu de nombreuses déclinaisons qui varient en fonction des restes et des saisons mais la plupart du temps c’est : salami – fromage- pain – huile d’olive. Le tout est trempé dans un mélange d’aioli maison et de sweet chili sauce. Le gras et le sucré se rencontrent dans une explosion de saveur. Dans l’idée c’est un peu comme le boulet liégeois. Terriblement addictif si vous voulez mon avis. Ça fait bientôt 6 mois que j’en consomme à chaque fois que je peux. Plus récemment j’ai décidé de me mettre à faire de la soupe parce que je constatais une forte envie de siester consécutivement à mon lunch (envie complètement incompatible avec la vie effrénée que je vis). J’apprécie cette petite diversité. J’ai néanmoins la fâcheuse habitude de mettre trop de piquant dans mes soupes. L’envie de dormir est donc remplacée par une sensation de brulant qui n’est-elle même pas idéale. 
 Tout le monde a apprécié les crocs. Je les avais agrémentés de quelques tomates cerises pour contenter les amateurs de salades. 

Lundi et mardi matin je me suis attaqué à une nouvelle petite tâche d’homme à tout faire. Je suis allé mettre deux couches d’huile sur la terrasse en bois de Bob (le boss de 85 ans de Kate). Ça a été vite fait et en parallèle j’ai pu tiquer de ma liste les choses liées à la tiny house. Notamment enlever la peinture de planche de kaori qu’on va utiliser pour faire notre plan de travail. On fait de « l’upcylcing ». Ça prend pas mal de temps parce que les boards ont été peinte 5 ou 6 fois. Le produit que j’utilise est très toxique (donc je fais gaffe). Il faut 4 couches (+scraping à chaque fois) pour que je remette le bois à nu. 

Mercredi était une grosse journée. Je me suis levé tôt et j’ai préparé la pâte à pizza. Cette semaine grâce au long weekend de Pâques et parce qu’on partait en vacances le lendemain, j’ai eu l’idée de génie de déplacer le repas phare de la semaine. Le mercredi était donc le nouveau vendredi. Jamie et moi sommes descendu à la tiny après un café. L’objectif était de commencé la cuisine. On a vite trouvé notre rythme et arrivé 17h, on avait construit toute l’ossature des meubles. Kate était aux anges en rentrant du boulot. On a enfin (je dis ça à chaque fois) une compréhension de comment va être l’espace. Je suis vraiment convaincu que notre design est super optimal. Tellement impatient de le tester. En attendant on réfléchit toujours beaucoup sur les choses qui restent à designer et c’est super fun. On se réjouis de partager les images avec vous quand ce sera construit. Ça pourrait arriver de manière imminente parce que Jamie a quitté son boulot et aura fini son préavis la semaine prochaine. Il a deux trois cashies à droite à gauche mais il a envie de terminer la tiny au plus vite. Une de mes responsabilités cette semaine est d’aller chercher toutes les choses nécessaires à cette fin. Ce weekend va être intense, c’est moi qui vous le dit. 
Mais avant ça, rétro pédalons à ce fameux mecredi de cuisiniste. Le menu du soir a changé entre temps et il s’avère que le nouveau vendredi sera en fait jeudi. Psychologiquement, il est beaucoup facile d’avancer les pizzas que de les repousser. Ceci dit, Il y a quelque chose de plus terrible qu’un repoussage ; une annulation. Mais, merci mon bon dieu, la pâte étant prête, une annulation n’était pas au menu. On a donc décidé de les faire quand même et de les prendre avec nous quand on monterait chez l’oncle de Kate le lendemain. Les pizzas sont passées au four vers 21h30, après la tarte aux fijoas qui elle aussi partait pour le nord. J’ai pu regarder un peu de pirate des caraïbes avec Jamie entre deux cuissons. 

Grant (l’oncle de Kate) voulait qu’on se test pour le covid avant de lui rendre visite pour le long weekend de Pâques. Nos deux tests sont sortis négatifs et on a pu prendre la route aux premières lueurs de l’aube. On a trainé un peu sur le chemin, ce qui n’est pas dans nos habitudes. Kate avait deux jobs sur le trajet et on s’est arrêté pour midi. Si on ajoute le trafic dans l’équation, ça résulte à une arrivée vers 15h. Aussitôt sur place, on s’est assis (mes fesses ne m’ont pas remercié) autour de la table et on ne s’en est relevé que pour aller au lit. C’est la tradition. Grant et Jill adorent avoir les nouvelles et les potins. Les sujets de conversations s’épuisent rarement. Le frigo de bière était prêt pour nous accueillir. Les pizzas étaient un peu bourratives parce qu’elles étaient à la farine complète (farine blanche étant out of stock à la maison) mais délicieuse. On a dû faire un peu de place pour la tarte au fruit et bien entendu, la boule de vanille qui allait avec. Tout est quand même descendu sans difficulté. 

Une des raisons pour laquelle on entreprenait ce voyage chez Grant était pour usiner le bois du mur de notre salon. Grant a acheté une structure que tu attaches à une longue tronçonneuse qui assure une coupe constante. Ça permet de découper des arbres en tranches qui peuvent ensuite être elles-même slicées perpendiculairement si nécessaire. Après ça elles passent tous dans une machine qui retire une fine couche de bois pour enlever toute imperfection et les avoir toutes à la même épaisseur. On travaille également les bords sur un banc de scie et les angles sont arrondis avec un autre outils pour un finishing aux petits oignons. 
 Malheureusement la tronçonneuse avait un problème et on n’a pu usiner que ce que Grant avait préparer (soit 3 tranches). Ça représente la plupart de nos besoins mais je pense qu’on devra quand même remettre le couvert quand Jamie partira pour son road trip. On compte l’accompagner pour sa première étape qui sera vers le nord et donc, inéluctablement chez Grant. 

Le reste du weekend s’est “relativement” bien passé. On est allé pêcher avec la longue ligne et on a eu 16 poissons !! Jamie nous a rejoint samedi matin et était là pour cet exploit. Dimanche matin j’ai été testé positif au covid. Je ne me sentais pas bien samedi pendant la journée. J’ai mis ça sur le dos de quelques bières de trop et d’un temps changeant mais c’était apparemment plus que ça. Le soir quand il a fallu fileter les 16 poissons à l’extérieur, j’ai jeté l’éponge. Je me suis rendu compte que ma fièvre était bien réelle. L’aprem dans le vent et le soleil sur la plage m’avait lessivé. En me réveillant le matin, j’étais guéri. Cependant, le test en a décidé autrement. Nos hôtes n’étaient pas super contents de la situation mais on s’y est mis tous ensemble donc on s’est pas senti trop coupable avec Kate. On a repris la route la veille du départ prévu parce que ça ne faisait pas trop vacance que je doive manger dans ma chambre. Le partage de la nourriture est une loi fondamentale de l’hospitalité et ne pas pouvoir la respecter rend la situation, par conséquence directe, inhospitalière. Pas d’offense à Grant et Jill qui nous ont encore une fois reçu comme des rois (jusqu’à ce qu’ils soient “forcés” d’en être autrement) et couvert de cadeaux (nourriture+bois) pour ramener chez nous.
C’est donc lundi aprem, après avoir fait une nième tentative pour refaire fonctionner cette fichue tronçonneuse que nous somme reparti. Le trafic était surprenament inexistant. De retour chez les parents, on s’est partagé quelques nouvelles avec les deux coviteux qu’on avait laissé à la maison puis on est allé se coucher. 
Je ne vais pas trop empiéter sur la semaine de Kate aussi non elle risque de m’en vouloir ;) 

Une bonne semaine à vous ! 

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