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brigittecrespo · 3 years
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LION SENTIMENTAL MARS PRINTEMPS 2022, OUVREZ LES YEUX #lesoraclesdebrigitte
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LES SAISONS ASTROLOGIQUES
Chaque saison dure quatre semaines, c’est le temps que le Soleil met pour traverser chaque signe dans le Zodiaque, diffusant l’énergie du signe en question et influençant notre tempérament et notre quotidien.
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BÉLIER (22 mars - 20 avril)
Le printemps est là, les beaux jours et le soleil reviennent, on sort plus requinquæ que jamais ! C'est l'heure de foncer pour ses objectifs, de faire germer tous les projets qu'on a semés pendant l'hiver. C'est aussi le temps de s'ouvrir aux autres, de dire les choses telles qu'on les pense, et d'être honnête dans ses relations : pas de sous-entendus, pas de doutes ni de réflexion, le feu de la vérité brûle d'impatience de réchauffer les langues ! Attention cependant à ne pas tout carboniser sur son passage, il est très facile de s'emporter trop vite trop loin - mais je pense que cette année le confinement sera un bon frein à l'hyperactivité qu'on retrouve habituellement à cette période.
TAUREAU (21 avril - 20 mai)
Les beaux jours du printemps sont là, c'est la saison des amours et bon chill avec ses crushs, maintenant qu'on a passé avril à élargir ses horizons et sa zone de confort on peut bien s'y installer à plusieurs, ou juste rester sous la couette.
GÉMEAUX (21 mai - 21 juin)
"Faire", that's all. Faire des trucs, tout le temps des trucs : découvrir, explorer, recommencer, car c'est par l'expérience qu'on se fait un avis. Ceci dit petit conseil : essayez tout de même de vous tempérer un peu, faire confiance uniquement à ses instincts et suivre la première idée qui passe par la tête sans checker que c'est safe parfois ça peut être un peu risqué, personne n'a une parfaite intuition non plus !
CANCER (22 juin - 22 juillet)
Après trois mois de printemps à se développer, l'été arrive et il est temps de s'accorder un peu de repos : premier luminaire, le cancer se ressource en étant là pour ses proches, avec ses proches, dans les cercles où il se sent en sécurité. Cette saison est le bon moment pour faire une pause, regarder tout le travail accompli ces dernières semaines, et prendre le temps de souffler et respirer avant d'attaquer tout ce qu'il reste à faire.
LION (23 juillet - 23 août)
Un bon moment pour accomplir des trucs, compléter une to-do list, faire des choses malgré la chaleur. Août je le vois comme le mois du bonheur, où tout s'accomplit sans souci - en même temps le Lion c'est le signe fixe de l'été, la stabilité dans l'apogée, le beau soleil permanent. En revanche gare à l'excès de confiance qui mène à tous les excès : c'est un mois propice aux élans irréfléchis, aux dépenses inutiles, à la fête de trop, so soyez prudent-es.
VIERGE (24 août - 21 septembre)
C'est la rentrée, la fin de l'été : les esprits se posent, c’est le vrai meilleur moment pour prendre des résolutions, trouver un nouveau travail ou de nouveaux hobbys plus épanouissant. Encore quelques fêtes pour tout libérer avant l'automne, quand même. Et on n'oublie pas que c'est la saison random où TOUT peut arriver.
BALANCE (22 septembre - 22 octobre)
Bon, maintenant que chacun-e a organisé sa vie et réglé ses problèmes *ahem*, le temps est venu de chiller, de prendre soin de soi et des autres, de refaire la déco chez soi et surtout de pas se prendre la tête avec des broutilles car ain't nobody got time for that. "Le temps est bon, le ciel est bleu, j'ai deux amis qui sont aussi mes amoureux", c'est de ce mood qu’il faut s'imprégner pour les prochaines semaines : faire des balades, voir ses proches, se ressourcer avec ses passions avant les mois à venir - ou si vous êtes malade comme moi : s’enrouler bien au chaud dans un plaid et raconter vos secrets à vos peluches, c'est très libra's vibe aussi.
SCORPION (23 octobre - 22 novembre)
Alors, c'est généralement une période où les angoisses profondes remontent à la surface, mais pas que ! C'est aussi le temps où on peut de trouver de nouvelles ressources insoupçonnées ! Il faut "juste" se donner la persévérance et la motivation de se lancer. La scorpio season c’est accepter ses défauts et se construire en harmonie avec, sans se cacher derrière comme excuse à tout mauvais comportement : vous avez déjà essayé de mentir à un scorpion ? bah pourquoi vous vous mentiriez à vous-mêmes alors ?
SAGITTAIRE (23 novembre - 21 décembre)
On arrive à la fin de d'automne, le temps de faire la fourmi et de rassembler toutes ses forces avant que l'hiver n'arrive. Cette saison est aussi la flèche solaire de l'optimisme, entre nos mains une dernière fois pour décocher quelques ultimes projets.
CAPRICORNE (22 décembre - 20 janvier)
L'hiver est là, avec sa rudesse et ses épreuves, mais l'énergie accumulée sur la saison précédente permet d'hiberner et de prendre tranquillement du temps pour soi, tout en oeuvrant en profondeur sur objectifs ambitieux et réajustements dans sa vie.
VERSEAU (21 janvier - 19 février)
Normalement la vie commence à aller mieux, on peut sortir de chez soi et renouer avec le dehors. Les projets planifiés se mettent en place, c'est le temps de porter ses idéaux encore plus loin et de se remettre en mouvement. Je sais jamais trop comment bien décrire cette saison, parce que c'est un peu mon fav time de l'année, littéralement un vent d'air frais dans tout mon corps et du coup hmhm dur d'être objectif et de pas avoir trop d'espoirs en mode allez on mise tout sur cette saison : il y a une continuité du terrain créatif et révolutionnaire des Capricornes, mais sans les prises de tête qui vont avec, donc lancez-vous ! Mais prenez toujours du temps pour vous parce que c'est quand même encore l'hiver quoi.
POISSONS (20 février - 21 mars)
Dernière saison de l'année astrologique et dernier signe de l'hiver, c'est le moment idéal pour faire le point sur ce qui s'est écoulé et se projeter vers l'avenir avec connaissance mais aussi espoir : dream bigger to get better. C'est aussi un temps de soin et de care, peu tourné vers soi comme l'est la cap season, mais plutôt tourné vers les autres en mode thérapie de groupe - trouver son bonheur dans le bonheur des autres, aider son prochain (Jésus est Poissons), et accepter l'aide d'autrui en retour. À l'inverse de la cap season, le temps n'est pas au réalisme froid, refaire le bilan logique des pour et des contre n'a plus trop de sens : c'est un bilan émotionnel qui nous attend, mettre des mots sur des ressentis et surtout séparer ce qui nous élève de ce qui nous ralentit. Et surtout n'oubliez pas, en tout Magicarpe sommeille un Léviator, et en tout-e Poissons sommeillent des ressources inimaginables qui peuvent ressurgir sans crier gare - la pisces season n'est pas qu'un long fleuve tranquille.
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Attention, ce n’est pas un horoscope, ce n’est pas prédictif et chacun-e reste libre de prendre n’importe quelle décision à n’importe quel moment. Mais il faut avoir conscience que le Soleil est une énergie forte dans notre vie de tous les jours.
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janinahesheles · 7 years
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Janina Hescheles au Mémorial de la Shoah
Times of Israel (French)      2 avril 2017
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Michael de Saint-Cheron Philosophe des religions et chercheur en littérature de la modernité, rattaché à l'UMR « Écritures de la modernité ».
Le Mémorial de la Shoah était jeudi 23 mars le lieu d’une rencontre exceptionnelle avec sans nul doute l’une des dernières survivantes et grands témoins de la Shoah : Janina Hescheles née en Pologne en 1931.
Cette soirée réunissait Livia Parnès, historienne, éditrice et l’une des responsables des activités culturelles au Mémorial et organisatrice de la soirée, Judith Lyon-Caen, maitresse de conférences à l’EHESS, à qui l’on doit la publication d’À travers les yeux d’une petite fille de douze ans (traduit du polonais par Agnieszka Żuk, édition Classique Garnier, collection dirigée par Catherine Coquio), et Isabelle Vayron de la Moureyre, réalisatrice du documentaire Le Carnet de Janina (Talweg Vincent Gazaigne, Vosges TV 2017), autour de Janina Hescheles, venue spécialement d’Israël, accompagnée de son mari et des fils, francophones comme elle.
Ce remarquable film, qui évite pathos et lyrisme intempestif, raconte l’incroyable parcours, l’incroyable destin de cette femme née à Lwów (orthographié Lvov dans le livre) en 1931, qui, après le suicide de sa mère en mai 1943, ne trouvant aucune aide extérieure, décida de gagner le camp de travail de Janowska (alors en Pologne, aujourd’hui l’Ukraine), l’antichambre de Bełżec, où elle tricha sur son âge, se fonda dans « la masse des détenues ».
« Plus de deux cent mille personnes y périrent. » Le nom de Janka H. arriva aux oreilles de Michał Borwicz, l’historien qui se fit connaître en France par son livre Écrits des condamnés à mort sous l’occupation nazie , car la jeune fille « écrivait des poésies et les récitait dans les baraques des femmes. » C’est cet amour de la poésie qui lia « le poète-résistant » et « l’enfant-poète », écrit Judith Lyon-Caen.
Grâce au mouvement de résistance Żegota, auquel était lié Borwicz, la jeune fille put miraculeusement être exfiltrée du camp et cachée à Cracovie en cette fin d’année 1943, après l’écrasement du ghetto de Varsovie. Durant ses premiers mois de liberté menacée à chaque moment, passant d’une cachette à l’autre, Janina mit sur papier ses souvenirs du ghetto, du camp, évoquant d’abord la mort de son père dans le pogrom qui suivit la fuite des Soviétiques devant l’arrivée des armées hitlériennes, puis la mort des siens et de tout son peuple à Lvov.
Ce carnet n’est pas l’équivalent du Journal d’Anne Frank, il est celui qu’Anne Frank, morte à Bergen- Belsen, n’a pas pu écrire. Une fois achevés ses deux récits, celui sur le camp et celui sur sa vie depuis les premiers jours de l’été 1941 et le départ des Soviétiques de Lvov jusqu’à son évasion, Janina les confia à Michel Borwicz, qui, au lendemain de la guerre, les publia avec le soutien et la collaboration entière de Maria Hochberg, éditrice, qui fut aussi résistante, témoin et passeur.
Ils avaient tous les deux activement travaillé à son évasion puis demandé à la fillette de raconter par écrit ses souvenirs, car pour eux l’écriture du témoignage des survivants comme bien sûr de ceux qui étaient morts, avait une valeur inestimable. La première édition parut donc en 1946. Judith Lion-Caen explique le travail éditorial entrepris par les deux sauveurs de Janina.
Pour cette édition-ci, Janina ajouta un épilogue, où elle résume sur moins de dix pages sa vie depuis le 30 juin 1941, son évasion, sa clandestinité dans Cracovie occupée, jusqu’à la libération puis sa carrière scientifique et littéraire jusqu’à aujourd’hui.
En 1950, « avec la vague d’immigration légale », elle partit pour Israël, où elle finit par s’orienter vers des études de chimie, ne parlant pas assez bien l’hébreu pour entreprendre des études littéraires. Elle se maria, passa sa thèse de doctorat puis partit avec son mari et ses enfants pour Londres, où elle put faire ses premières recherches à l’Imperial College.
De fil en aiguille, elle continua sur sa lancée et travaillait à l’Ecole Normale à Paris puis surtout à Munich, engagée par l’Université Ludwig Maximilian, avant de revenir en Israël, où elle continua sa carrière à la fois au Technion (Polytechnique) à Haïfa puis à l’Institut Weizmann à Rehovot.
Ayant atteint l’âge de la retraite en 1996, Janina consacra alors dix années de recherche sur le groupe de résistance dans l’Allemagne nazie, la Rose Blanche (en allemand Die Weiße Rose), fondé par Hans Scholl et Alexander Schmorell au printemps 1942. Rapidement Sophie, la sœur de Hans, rejoignit le groupe.
En février 1943, la Gestapo arrêta tous les membres qui furent assassinés. Janina publia en 2007 son étude sous le titre : La Rose Blanche: Scientifiques et intellectuels avant et après l’arrivée d’Hitler au pouvoir.
Puis l’intrépide chimiste-écrivain-témoin se lança dans une dénonciation de la politique israélienne à l’égard des Palestiniens. On ne saurait lire rapidement la dernière page de l’épilogue, où Janina écrit : « aujourd’hui « mon » Lvov se trouve partout où on déstabilise la vie, où les gens perdent leur famille, où on les chasse de leurs villes ou de leurs villages natals. »
Isabelle Vayron de la Moureyre montre à la fin de son film comment Janina participe régulièrement aux manifestations de femmes israéliennes vêtues en noir, qui en appellent de mettre fin à l’occupation Israélienne de territoires Palestiniens.
Cette soirée fut une soirée de femmes autour d’un film, d’un livre et de Janina, qui s’exprima en français, racontant combien les Ukrainiens étaient dans le déni de leur passé nazi, car Lvov était peuplé dès cette période d’une grande partie d’Ukrainiens. Ils ne veulent surtout pas qu’on leur rappelle l’existence de la Shoah.
Un dernier mot sur Livia Parnès, grâce à qui cette soirée put avoir lieu. Responsable de manifestations au Mémorial, nous l’avons dit, elle est aussi depuis peu éditrice et fit paraître en 2015 un livre fascinant de Samuel Schwarz (1880-1953), La découverte des marranes. Les crypto-juifs au Portugal. Dans ce livre, l’historien juif polonais, à l’occasion d’un voyage au Portugal comme ingénieur des mines, découvrit l’existence à Belmonte, de marranes, ces juifs convertis qui pratiquaient durant des siècles secrètement, malgré l’Inquisition, les pratiques juives.
Aujourd’hui, la publication d’À travers les yeux d’une petite fille de douze ans de Janina Hescheles doit être considérée comme un événement sur le plan de la capacité de la littérature à avoir sauvé d’une mort certaine, une petite fille juive, douée d’un sens poétique et littéraire développé, dans les conditions les pires qui soient, celle de l’extermination de tout un peuple.
Janina est l’un des derniers témoins majeurs de ce temps de Shoah, son livre est un témoignage exceptionnel de ce que pouvait saisir une petite fille, au sortir de l’enfance, dans un monde de terreur et de mort. Une leçon de vie à la gloire de la littérature et de ceux qui plaçaient si haut la mémoire littéraire, qu’ils risquèrent leur vie à chaque instant à la fois en tant que juif et que membre d’un réseau de résistance.
Et comme nous l’avons compris, le message et le témoignage de Janina Hescheles s’inscrit dans notre présent le plus immédiat. « Aujourd’hui « mon » Lvov se trouve partout où on déstabilise la vie…».
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