#présence aléatoire
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thenerdyscientist · 9 days ago
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━━ ˖⁺‧₊˚ ‹ IN HIS 𝐄𝐘𝐄𝐒 𝚂𝙷𝙾𝙽𝙴 THE 𝚂𝚆𝙴𝙴𝚃𝙽𝙴𝚂𝚂 OF 𝑴𝑬𝑳𝑨𝑵𝑪𝑯𝑶𝑳𝒀. › Je posterai essentiellement des textes, des aesthetics et des one shot parce que j'ai envie de développer davantage la storyline de mon petit Skye - chose que je n'arrive pas forcément à faire sur instagram - mais certains écrits ne seront pas forcément pour les âmes sensibles, merci de tenir compte des tw qui seront mit au début. Il n'a pas eu une vie facile et les thèmes comme la torture, la maltraitance infantile, les actes de barbarie, le trafic d'être humain et d'organe seront abordés mais aussi la dépression, l'automutilation … que des joyeusetés.
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eaumerta · 1 year ago
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Back from the grave
Bonjour bonsoir à vous tous et toutes. En ce lundi (assez froid, je ne sais pas pour vous) je tenais à vous souhaiter une bonne année 2024. 💫 Je fais ce post afin d'écrire un peu à cœur ouvert, n'ayant plus et ne souhaitant plus être sur discord, il parlera sûrement aux partenaires que j'ai pu avoir avant la nouvelle année et que j'ai "lâchement" abandonnée du jour au lendemain sans un mot. Sachez que cela n'était pas voulu, je me bats avec de lourds démons (bien que cela n'excuse en RIEN mon comportement) depuis que je suis ado et les fêtes de fin d'années n'ont pas été de tout repos pour moi, bien au contraire. Certain(e)s connaissent déjà mon irrégularité globale, Sans rentrer dans trop de détails, une pause de la vie rpgique, voir même de ma vie irl, et du monde d'internet globalement m'a été imposée, pour mon bien. Je ne dirais pas que je vais à 100% mieux, mais je suis vivante et c'est le plus important. Ce message et donc pour m'excuser avant toute chose, sincèrement, j'aurais terriblement voulu vous prévenir, vous tenir au courant. Mais je n'ai pas eu ce luxe. Je ne bosse plus, je suis au ralenti, le temps d'aller mieux. Mon envie d'écrire est plus que présente, je bouillonne d'une rare envie de partager des écrits avec vous tous et toutes. Mais je ne sais pas, plus, où aller. Je ne veux pas imposer ma présence qui pourrait peut-être, être malaisante pour certain(e)s et je ne souhaite m'imposer nul part. De ce fait, si vous connaissez des forums (je recherche un peu de tout, du sombre city au surnaturel.) n'hésitez pas à balancer vos adresses, en commentaires ou par mp ici, je vous serais éternellement reconnaissante. Cependant dû à ma présence qui sera peut-être aléatoire et à mon inconsistance globale, je ne souhaite pas prendre de pré-lien ou de scénario, pour ne plus décevoir personne. Je m'excuse une nouvelle fois, autant pour ce message probablement brouillon, qu'envers les personnes que j'ai pu blesser sans même m'en apercevoir. Je regrette et culpabilise encore beaucoup, et vous êtes plus qu'en droit de ne pas m'accorder votre pardon, je le comprendrais. Il y aura aussi un changement de pseudo, chandelyer devenant Rage. Pour la rage de vivre, pour la rage de ne plus me laisser abattre, pour me battre.
Merci à vous pour la lecture de ce message, votre pardon, et peut-être votre aide.
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megaverserpg · 9 months ago
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Les êtres - peuple vélane
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HÉRÉDITÉ ‧₊˚ Peuple à part entière, on ne peut devenir Vélane qu’en naissant ainsi, le gène étant héréditaire . Il arrive toutefois que ce dernier ne soit pas actif, les enfants relégués au rang de simples sorcier·e·s. Aucune distinction n’est faite sur le sexe, un·e Vélane pouvant être homme ou femme et provenir de deux parents Vélanes ou d’un seul.
Créature intimement liée à la nature, puisant ses racines et ses forces dans la faune et la flore, chacun·e se voit affilié·e à l’un des quatre éléments : eau, terre, feu ou air, de manière purement aléatoire. Celui-ci vit en elleux comme une seconde source magique et se retrouve foncièrement lié à leurs émotions, l’instabilité émotionnelle rendant l’affinité avec l’élément plus intense. Il leur faut toutefois apprendre à contrôler l’un pour réussir à contrôler l’autre, tout étant question de balance. Ainsi rien d’étonnant si en leur présence l’eau bouillonne et chante, le ciel pleure et se maquille d’un arc en ciel, le feu crépite, change de couleur et enfle, ou encore la terre tremble et les fleurs s’épanouissent avec délicatesse… ce n’est que le fruit de leur influence, qu’elle soit ou non volontaire. Un rite initiatique réalisé à l’adolescence, s’apparentant à un pèlerinage solitaire au cœur de leur jungle, leur permet de découvrir l’affinité qu’iels ont avec cet élément après une mise à l’épreuve de la nature.
Réputé·e·s pour être d’une beauté surnaturelle, scintillant de manière irréelle à la clarté lunaire, iels se démarquent du commun des mortels de par leurs traits angéliques et leur magnétisme envoûtant, attirant les deux sexes sans distinction avec la facilité d’un battement de cils. Ce n’est toutefois que la première face d’une même pièce, la moindre contrariété dévastant le tableau idyllique pour révéler une peau écailleuse et des traits allongés, tout bonnement hideux. La beauté gâtée par les émotions négatives, il leur faut atteindre un certain contrôle et travail de soi pour que la laideur ne soit pas trop proéminente.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Capables de séduire même les plus sceptiques, leur beauté fascinant tout un chacun, il est presque impossible de leur résister lorsque leur charme opère, l’attirance insoutenable. On ferait tout pour pouvoir s’approcher d’elleux, pouvoir les séduire en retour et goûter à leur amour poison, quitte à prendre des risques. Aussi certain·e·s sorcier·e·s se méfient-iels de leur espèce par peur d’être cruellement manipulé·e·s, les émotions étant un véritable talon d’Achille. Quant aux Vélanes, il leur est compliqué de croire en la véracité des sentiments sorciers, la peur de n'être aimé·e qu'à cause de leur don insinuant le doute comme une ombre dans leur cœur.
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claudehenrion · 1 year ago
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'' … le plus chaud, depuis...''
Cette phrase, vous l'avez lue et relue, entendue et ré-entendue des dizaines, des centaines de fois depuis... le début de l'été, où nos politiciens et nos journalistes ont été surpris : ''il faisait chaud !''. Cependant, elle a besoin de compléments de temps pour avoir un sens, qui varie du tout au tout avec ou selon les mots choisis. Le premier mot manquant doit désigner un moment récent ('hier'', ''la semaine dernière'' ou ''le mois dernier'' font fort bien l'affaire). La fin de le phrase, en revanche, est plus difficile à inventer, car c'est d'elle que dépendra sa capacité à causer des ravages..
Ce second ''complément circonstanciel de temps'' mérite que l'on passe un instant avec lui, car il doit impérativement sonner le tocsin chez tout lecteur réputé ''normalement constitué'' (NB : en novlangue macrono-progressiste, cela veut dire : gober tout les bobards présentés comme des vérités par les médias et la doxa gauchiste officielle –c'est la même chose !). Ce second ''volet'' du truisme doit donc conjuguer ''être proche pour avoir l'air vérifiable'' –ce que personne ne fait jamais, exemple : le covid !-- et ''être impressionnant tout en faisant plus vrai que vrai'' . On a donc le choix entre ''l'an dernier'', ''les 10 ou les 100 dernières années'', voire, comme en ce moment ''depuis qu'existent des relevés'', ce qui devrait vraiment faire taire toute opposition... à ceci près que ces relevés météo remontent au mieux –ou au pire-- aux années 1855, et que 170 petites années –qui sont longues pour l'expérience humaine-- sont ''même pas rien'' à l'échelle cosmique où se mesurent et se commentent les phénomènes climatiques.
Résumons-nous : la phrase la plus rabâchée ces temps derniers n'a pas la moindre signification à l'échelle du phénomène météorologique –et a fortiori climatique--dont elle voudrait rendre compte de manière à forcer des décisions radicales et définitives... mais absurdes puisque sans aucun lien avec le sujet dont ils croient parler : à partir du constat d'un réchauffement climatique qui semble incontestable en l'état actuel de nos connaissances, ils ont réussi à faire croire à une majorité de leurs semblables que c'est eux, hommes blancs, qui étaient les seuls responsables du désastre dont ils annoncent la survenue imminente depuis des décennies prédiction jamais réalisée mais dont ils maintiennent néanmoins l'occurrence prochaine ('Le Printemps silencieux'' de Rachel Carson, bible de la soi-disant religion prétendue écologique, date de 1962).
Or, s'il est une chose que l'été 2023 nous aura démontré comme à plaisir, c'est la fausseté –déjà bien connue par beaucoup-- de toutes les théories émises par le Giec et reprises en chœur pas ses thuriféraires : l'été et même l'automne, furent parfois caniculaires en Europe, mais cette chaude réalité ressentie ne permet en aucun cas de généraliser des impressions soit disant ''expliquées'' (sic !) par des faux statisticiens en mal de fin du monde, qui se servent des chiffres pour démontrer des mensonges, en ayant recours à des traitements dilatoires des ''outils'' statistiques dont nous disposons... et qui mériteraient un autre usage !
Car il est une chose dont personne ne peut douter : la succession de vagues caniculaires qui a frappé la France (et quelques autres pays d'Europe) depuis fin juin sont dues, exclusivement, à des remontées aléatoires (puisque dues à ''El Niño'') de gigantesques ''bulles'' de chaleur venues du Sahara, ce qui appelle deux commentaires : (1)- le Sahara n'est pas connu comme un pourvoyeur majeur de CO² d'origine humaine : zéro embouteillage, zéro diesel, zéro ''SUV'', zéro de ces monstrueux transatlantiques qui polluent plus qu'un million de voitures thermiques chacun… et par voie de conséquence, (2)- aucune possibilité d'établir (de bonne foi, s'entend) le moindre lien entre leur présence et nos émissions de ''gaz à effet de serre'', à l'opposé de tous les commentaires de nos cuistres radio-télé qui se concluent, de manière pavlovienne, par une accusation du CO², devenu le fantasme n°1 qui agit comme une drogue ! C'est pitoyable !
De manière plus générale, l'étude des couches géologiques révèle que le climat a varié tout au long de l'existence de la Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le dernier Petit Age Glaciaire s'est terminé vers 1850, et la période de réchauffement actuelle n'a donc rien de surprenant. En fait, ce réchauffement est bien plus lent que prévu... mais le fossé entre le monde réel et le monde tel que nos savants sans savoir l'ont modélisé montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique : l'édifice de ''la politique climatique'' est bâti sur des modèles inadéquats qui présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas fiables en tant qu'outils politiques : non seulement ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent complètement les bienfaits de l'enrichissement de l'atmosphère en CO²...
Contrairement à tout ce qui nous est raconté à longueur de ''JT'', le réchauffement climatique n'a pas augmenté de manière scientifiquement démontrable le nombre ou l'intensité des catastrophes naturelles : aucune statistique ne prouve qu'il intensifie peu ou prou les ouragans, les inondations, les sécheresses et tous les autres types de catastrophes naturelles, ou qu'ils les rend plus fréquents. En revanche, les preuves existent que les mesures pour tenter (en vain, c'est une autre certitude : ce n'est pas possible !) de réduire le CO² sont aussi dommageables et liberticides que coûteuses.
'' Il n'y a pas d'urgence climatique, et donc aucune raison de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO² net proposée pour 2050. L'adaptation vaut mieux que pour la réduction, car avec elle, on peut espérer atteindre un résultat réel'', affirme le professeur Steven Koonin, pourtant ancien sous-secrétaire aux sciences du ministère de l'Énergie d'Obama (pas un modèle, à mes yeux, par ailleurs !), professeur à l'Université de New York, membre de la Hoover Institution, et auteur du best-seller ''Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn't, and Why It Matters'' (= L'indémontré : ce que dit la science du climat, ce qu'elle ne dit pas et pourquoi c'est important-- 2021)., qui considère immoral de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors qu'une grande partie de leur population n'a pas accès à l'électricité, et qui ose affirmer qu'il est du dernier pervers d'effrayer les jeunes générations (Rappel : en janvier 2022, 84 % des adolescents américains croient que ''si rien n'est fait, il sera trop tard pour les générations futures, car une partie de la planète sera devenue invivable'', ce qu'aucune preuve scientifique n'a, évidemment, jamais démontré..
Tout se passe comme si personne ne voulait admettre qu'une grande partie du changement climatique est causée par des éruptions solaires contre lesquelles nous ne pouvons rien … sans parler des grands incendies de forêt dont le risque est exacerbé parce que les faux écologistes refusent de débroussailler les sous-bois de crainte que telle ou telle créatures qui pourrait s'y trouver ne soit dérangée (par autre chose qu'un incendie de forêt qui va les tuer).
De plus en plus nombreux sont les citoyens qui trouvent que les milliards d'Euros annuellement consacrés à une lutte sans espoir contre un changement climatique dont les forces obscures nous échappent pourraient être mieux utilisés... Combien de temps faudra-t-il pour que ceux qui les dirigent (vers des catastrophes en série, annoncées depuis longtemps mais toujours niées par les aveugles-par-système) sortent de leur torpeur addictive, et voient la réalité comme elle se présente ?
H-Cl.
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emiesphere · 2 months ago
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Les États-Unis c’est fini! Même si j’y ai passé beaucoup de temps à travailler, je suis contente d’avoir pu visiter de nouvelles villes et de retourner voir des lieux que j’aime. C’est vraiment un pays étonnant rempli de contradictions. On s’en doute, on le voit dans les reportages de Quotidien mais le vivre en personne est différent . Surtout pendant les élections présidentiels où les gens sont fiers d’afficher pour qui ils vont voter, sur leur voiture, la pelouse devant leur maison ou sur des pins accrochés à leur sac de travail.
Découvrir les États-Unis et les américains c’est ressentir un cross-over entre l’énervement, l’indignation, la fascination et l’émerveillement. Là où j’ai été le plus bluffée c’est pour le sens de l’entertainment. Que ce soit à Las Vegas, dans les shows à New York ou même à la messe, ils ont le sens du grandiose et savent utiliser parfaitement nos émotions pour nous entraîner dans les histoires. Le spectacle de Noël des Rockets à NYC m’a ramené en enfance et j’avais l’impression de croire à nouveau au Père Noël. Ils avaient sorti le grand jeu: orgues, orchestre symphonique, scène motorisée, hologrammes, fée-drones et même une patinoire!
Ce que j’ai beaucoup aimé c’est la gentillesse des gens, c’est très facile d’établir le contact au supermarché, au travail ou au café. C’est très curieux pour les français mais il est courant de parler de sa vie avec des inconnus, et avec facilité (presque trop!). Un dimanche je suis allée aux hot springs avec ma coloc, le lieu n’imposait pas de maillots de bains je me suis donc retrouvée à parler de tout et de rien avec des américains nus dans des bains exigus.
Les américains sont aussi très positifs, toujours le sourire. Ils râlent très peu à comparer aux français. C’est hyper agréable et surtout ça donne de l’espoir, ça permet de regarder vers l’avenir et de trouver des solutions.
Les États-Unis c’est aussi un pays innovant, berceau d’une bonne partie de la tech, où il est possible de presque tout faire depuis sa voiture grâce aux drive dans les supermarchés et les fast foods bien sûr mais aussi dans les pharmacies, la poste et les banques. Tout est optimisé pour demander le moins d’effort possible, bonne ou mauvaise chose, le débat est ouvert… Toutefois il y a un domaine où la marge de progrès est encore immense: la salle de bain. D’abord il y a les pommeaux de douche fixés au mur qui en plus d’être contraignants pour la douche, implique l’utilisation d’un seau pour le ménage. Dans le rayon plomberie, il y a aussi l’absence de mitigeur qui demande une certaine dextérité pour utiliser les robinets chaud et froid et atteindre la température souhaitée. Il y a ensuite la présence aléatoire de brosse à chiotte qui me laisse perplexe à chaque fois, à croire que certains problèmes basiques ne sont pas partagés par la première puissance mondiale. Et enfin, ce qui a été une préoccupation majeure de mon trimestre : le papier toilette. Si vous chercher du PQ triple épaisseur aux US passez votre chemin! (Problématique similaire pour les mouchoirs.) Il doit y avoir plusieurs caméras de sécurité américaines qui m’ont filmé en train de tester l’épaisseur des rouleaux dans les supermarchés.
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guumck · 10 months ago
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[Jackpot in the Box]💜❤️FPS CoD Hazardous Infinite Loop☣️🎡☢️
La logique graphique a été crée par hasard sur Call of Duty Black Ops multijoueur dans la section de conception d'avatar puis affinée ultérieurement avec Photoshop pour compléter la conception :
(1) Le premier symbole, l'avertissement nucléaire en rouge représente la naissance, la génèse, le bouleversement du début de la vie, ou bien un gros problème, une crise majeure. Un symbole largement reconnu et souvent utilisé.
(2) Le deuxième symbole, le smiley jaune, le sourire et la joie symbolisés, est une représentation emblématiques et hautement répandue. il vient logiquement en seconde position. Il évoque à la fois la gaieté et l'innocence de l'enfance, mais également le détachement, l'aveuglement et l'ignorance des problèmes.
(3) Le troisième symbole, le dé, incarne l'expérience de l'âge adulte et les aléas du parcours de vie. La teinte vert kaki évoque la guerre comme un jeu de hasard, semblable à la roulette russe. Son positionnement en bas semble soumis à la gravité.
(4) Le quatrième symbole, la fleur de Lys, symbolise la vieillesse et l'expérience de vie cumulée. Il représente l'ultime étape avant la mort, marquée par le sang royal figuré par le bleu. Selon ma perspective, ce stade est atteint par l'acquisition de connaissances et de résilience au fil du mode de vie, et non seulement par héritage. Il requiert une utilisation astucieuse de l'intellect. Ce n’est pas seulement par l’héritage qu’on peut accéder à ce rang, il faut savoir utiliser sa caboche.
(5) Le cinquième symbole, le crâne, évoque la mort inévitable. Incliné comme une tête guillotinée émergeant de la mort elle-même, il rappelle la vanité et la vénalité, l'excès d'orgueil. Il adresse à l'interlocuteur un message : éviter d’avoir la grosse tête. Apparaissant en dernier, comme l'ultime étape de l'aventure qu'est la vie, malgré son inclinaison il semble se réveiller, suggérant de ne pas succomber à l'hubris dans la quête de gloire, pour ne pas se brûler les ailes et éviter une chute abrupte. Enfin, puisque la partie est terminée, il propose implicitement d'en recommencer une.
(6) Les couleurs violette et rouge existent en tant que gardiens d'un monde souterrain invisible dissimulé derrière la quatrième branche de l'étoile. Pour le découvrir, il faut commencer à compter comme sur une horloge à partir de midi. Une fois le 4ème stade atteint, celui de la sagesse, la mort nous adresse ces mots : "Regarde bien derrière toi avant de continuer, tu ne l'as pas remarqué mais tu as enjambé une brèche invisible. Surveille tes pas la prochaine fois, et bienvenue dans mon jardin."
(7) Les symboles s'intègrent parfaitement à l'opposé des couleurs de fond. Ce contraste peut être interprété comme la présence d'une force opposée, surveillant vos actions et manoeuvrant en coulisses, même lorsque vous êtes sous les projecteurs, et surtout quand il s'agit de glisser sous les feux de la rampe.
(X8X) Le design a émergé de façon hésitante, hasardeuse et aléatoire, avec de longues pauses entre les périodes où je l'ai repris et finalisé. Trois étapes principalement, dont voici un résumé du cheminement :
(l9l) Chronologie: [2010] - Création de l'avatar sans roue chromatique. [2017] - Roue chromatique ajoutée en arrière-plan sur photoshop. [2024] - Finalisation et description écrite sur l'éditeur de texte.
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lespenseesej · 1 year ago
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Séance #12 – Et si notre avenir ressemblait au monde de Cyberpunk 2077…
Le monde des jeux vidéo est un des univers qui permet de nous imaginer dans un futur apocalyptique. Dans ce cas-ci, le jeu Cyberpunk démontre la captation du digital labor à leur manière et l’utilisation des plateformes numériques comme modèle économique et social. 
Ce monde peut être fantastique pour nous imaginer ce qu’adviendra notre monde avec les avancées technologiques. Nous sommes de plus en plus compétents pour faire des robots et des intelligences artificielles pour nous faciliter la tâche. De plus, la technologie permet aux individus de combler une perte d’autonomie dans la société si l’individu le veut. Par exemple, si l’individu perd de l’audition, il peut, selon le type de surdité, avoir un appareil adapté pour l’aider à retrouver l’ouïe et à continuer de fonctionner comme avant. Les personnes avec des problèmes de régulation cardiaques peuvent avoir un stimulateur cardiaque.
La présence virtuelle et la collecte de données des individus via Internet ne cessent d’augmenter. Ces plateformes sur Internet peuvent être très efficaces pour partager des nouvelles et pour diffuser de la propagande. Ces technologies ne cessent de s’améliorer pour subvenir aux besoins de la société. Et si on se projetait dans le futur, en 2077?  
Dans le monde de Cyberpunk, à Night City, les publicités apparaissent sans crier gare à des moments aléatoire devant toi. Toutes les transactions et toutes les informations de toute la ville est dans des bases de données. Tous les humains ou presque sont modifiés puisqu’ils ont la possibilité de modifier toutes les parties de leur corps avec un implant technologique correspondant[2]. Par exemple, si tes yeux humains ne te suffisent pas, l’individu peut changer les yeux de son personnage avec un implant pour les améliorer. Par la suite, l’implant peut se faire améliorer pour voir plus loin ou pour identifier les personnes avec toutes leurs informations. Cet exemple démontre que tout le monde peut avoir accès à une base de données complète des individus pour différencier la catégorie de l’individu : innocent, suspect, membre d’un gang, policier, etc. Cet exemple représente qu’une infime partie des possibilités présentes avec la technologie accessible de ce monde.
Bref, si ce jeu représente un avenir possible avec l’avancée technologique, toutes les sphères économiques, sociales, politiques et humaines auront muté vers le numérique. Il y aura peu de différences entre un robot et un humain puisqu’ils auront mutés ensemble. Voulons-nous un avenir semblable?
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josephidvkin · 1 year ago
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The Coffin of Andy and Leyley Review (French)
Après avoir vu ce jeu devenir populaire (principalement pour des raisons controversées) sur Twitter en raison de la nature d'une partie du contenu du jeu qui est discuté tout au long, j'ai ressenti une extrême contrainte de le vérifier car je devais sentir qu'il devait y avoir quelque chose. plus encore, comme si quelque chose d'aussi sombre avec autant d'efforts déployés ne pouvait pas simplement être seulement nerveux, n'est-ce pas ? Il devait y avoir quelque chose de plus, non ? Ce jeu est mauvais. C’est mauvais, et ce n’est pas seulement parce que c’est un jeu incestueux. C’est mauvais à cause de la façon dont ce sujet est mal traité, à quel point son récit et ses dialogues sont mal écrits, à quel point il est honnêtement ennuyeux et à quel point, en dehors de son art, il a très peu d’avantages. Je peux essayer de voir ce que l'auteur essayait de faire avec cela, mais s'ils voulaient décrire correctement des choses profondément problématiques comme l'inceste, l'approche qui a été adoptée est une approche horrible qui ne décide jamais si elle veut être comique ou non. sérieux, et perd dans les deux cas, ce qui donne l'impression d'être un jeu grossier conçu pour satisfaire un fétiche et rien d'autre. Pour commencer : comme indiqué précédemment, les sujets que le jeu tente de décrire ne sont jamais pris assez au sérieux ou devraient être pris au sérieux de manière très aléatoire, avec des blagues constantes sur la relation entre Andrew et Ashely étant utilisées comme moyen de faire des « blagues sexuelles amusantes entre frères et sœurs ». ' plutôt que d'être présenté comme la relation dans laquelle Ashely détient un pouvoir émotionnel extrême sur Andrew que le jeu vise à certains moments. Ce genre de séparation discordante laisse les personnages ne semblant jamais avoir de moments pour les définir entre eux, et chaque moment possible étant utilisé comme carburant pour un humour mal écrit. Le meilleur exemple auquel je puisse penser est celui du chapitre 2, quand Ashely réveille Andrew sur le canapé pour parler et que leur mère entre. La mère d'Andrew tente de parler à Andrew de ce qui semble être, de quelque chose qui explique comment leur situation s'est terminée. étant comme ça. L'implication, au moins, semble être que la personnalité manipulatrice et parasitaire d'Ashely est en partie la raison pour laquelle la mère d'Andrew voulait lui parler seule, et probablement discuter et avoir un dialogue sur (comment, comme elle le déclare plus tard) à quel point Ashley est horrible. et donne un aperçu de leur passé et de leur situation, mais est interrompu en raison de la présence d'Ashely. Plutôt que d'être pris comme un sentiment qu'Ashely soit une sangsue littérale sur Andy et que la situation soit prise au sérieux d'une manière où Ashely est littéralement toujours attachée à Andy sans qu'il le veuille vraiment, cela est joué comme une blague de pipe et bouge. allumé complètement. Des moments comme celui-ci où toute préparation pour que ces deux personnages soient établis comme autre chose que des véhicules pour des situations de blagues sur " woah, n'est-ce pas tellement tabou ?? " sont constamment rejetés, avec d'autres moments comme le harcèlement sexuel constant d'Ashely. rien de plus que des désagréments mineurs pour Andrew plutôt qu'un quelconque argument réel pour qu'il s'oppose à elle et sont constamment utilisés comme moyen de rendre le public soit dur, soit de dire "woahhh, c'est tellement bizarre haha ​​!!!" et brouille complètement tous les points que le jeu essaie de faire valoir sur leur relation au point que même si vous pouvez clairement voir les tentatives pour décrire correctement la nature abusive d'Ashley, cela ne contient jamais rien simplement à cause de la fa��on dont ces quelques instants sont gâchés. pour les mauvaises blagues.
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josephkin · 1 year ago
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The Coffin of Andy and Leyley Review (French)
Après avoir vu ce jeu devenir populaire (principalement pour des raisons controversées) sur Twitter en raison de la nature d'une partie du contenu du jeu qui est discuté tout au long, j'ai ressenti une extrême contrainte de le vérifier car je devais sentir qu'il devait y avoir quelque chose. plus encore, comme si quelque chose d'aussi sombre avec autant d'efforts déployés ne pouvait pas simplement être seulement nerveux, n'est-ce pas ? Il devait y avoir quelque chose de plus, non ? Ce jeu est mauvais. C’est mauvais, et ce n’est pas seulement parce que c’est un jeu incestueux. C’est mauvais à cause de la façon dont ce sujet est mal traité, à quel point son récit et ses dialogues sont mal écrits, à quel point il est honnêtement ennuyeux et à quel point, en dehors de son art, il a très peu d’avantages. Je peux essayer de voir ce que l'auteur essayait de faire avec cela, mais s'ils voulaient décrire correctement des choses profondément problématiques comme l'inceste, l'approche qui a été adoptée est une approche horrible qui ne décide jamais si elle veut être comique ou non. sérieux, et perd dans les deux cas, ce qui donne l'impression d'être un jeu grossier conçu pour satisfaire un fétiche et rien d'autre. Pour commencer : comme indiqué précédemment, les sujets que le jeu tente de décrire ne sont jamais pris assez au sérieux ou devraient être pris au sérieux de manière très aléatoire, avec des blagues constantes sur la relation entre Andrew et Ashely étant utilisées comme moyen de faire des « blagues sexuelles amusantes entre frères et sœurs ». ' plutôt que d'être présenté comme la relation dans laquelle Ashely détient un pouvoir émotionnel extrême sur Andrew que le jeu vise à certains moments. Ce genre de séparation discordante laisse les personnages ne semblant jamais avoir de moments pour les définir entre eux, et chaque moment possible étant utilisé comme carburant pour un humour mal écrit. Le meilleur exemple auquel je puisse penser est celui du chapitre 2, quand Ashely réveille Andrew sur le canapé pour parler et que leur mère entre. La mère d'Andrew tente de parler à Andrew de ce qui semble être, de quelque chose qui explique comment leur situation s'est terminée. étant comme ça. L'implication, au moins, semble être que la personnalité manipulatrice et parasitaire d'Ashely est en partie la raison pour laquelle la mère d'Andrew voulait lui parler seule, et probablement discuter et avoir un dialogue sur (comment, comme elle le déclare plus tard) à quel point Ashley est horrible. et donne un aperçu de leur passé et de leur situation, mais est interrompu en raison de la présence d'Ashely. Plutôt que d'être pris comme un sentiment qu'Ashely soit une sangsue littérale sur Andy et que la situation soit prise au sérieux d'une manière où Ashely est littéralement toujours attachée à Andy sans qu'il le veuille vraiment, cela est joué comme une blague de pipe et bouge. allumé complètement. Des moments comme celui-ci où toute préparation pour que ces deux personnages soient établis comme autre chose que des véhicules pour des situations de blagues sur " woah, n'est-ce pas tellement tabou ?? " sont constamment rejetés, avec d'autres moments comme le harcèlement sexuel constant d'Ashely. rien de plus que des désagréments mineurs pour Andrew plutôt qu'un quelconque argument réel pour qu'il s'oppose à elle et sont constamment utilisés comme moyen de rendre le public soit dur, soit de dire "woahhh, c'est tellement bizarre haha ​​!!!" et brouille complètement tous les points que le jeu essaie de faire valoir sur leur relation au point que même si vous pouvez clairement voir les tentatives pour décrire correctement la nature abusive d'Ashley, cela ne contient jamais rien simplement à cause de la façon dont ces quelques instants sont gâchés. pour les mauvaises blagues.
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yeong--hwa · 1 year ago
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Jawan - Atlee Kumar
Du feu et des flammes
Par une ouverture vertigineuse, Jawan, s'élance sur un flashback odieusement tape-à-l'œil. Le paisible écrin d'un hameau rural est fissuré par l'irruption d'intrus menaçants. Comme une échappée belle dans une symphonie, une figure vénérable surgit, dessinant en ombre chinoise la promesse d'un salut.
Dans le manège d'une toile cinématographique tissée entre faste et démesure, Jawan s'érige par ce premier jet en phénomène de lumière et d'ombre : d'emblée, le montage ne suit pas l'action, il en est le chorégraphe.
L'écran s'anime ainsi d'entrée de jeu sous le règne indompté de coupes intransigeantes, des montages presque syncopés qui accrochent et détachent le spectateur comme des pas de danse aléatoires. Ce ballet de l'image est pourtant magnifié par la présence, presque shakespearienne dans son ambition, de deux étoiles : Shah Rukh Khan, le Roi de Bollywood, dont le rôle dans Dilwale Dulhania Le Jayenge (1995) est devenu canonique, et Nayanthara Kurian, étoile du cinéma du sud, unissant leurs forces dans cette fresque qui promet la monumentalité. Fresque aussitôt déchue, portant en elle à la fois la promesse d'une révolution narrative et l'ombre d'une régression.
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C'est bien dommage, car Jawan porte en lui un message séraphique : l'espérance d'une égalité dans un pays où les abysses des disparités semblent sans fin. Alors que la pandémie de COVID-19 a dévoilé les fissures d'un système de santé en déroute, et que le suicide des agriculteurs accablés s'imprime dans l'inconscient collectif, Jawan surgit comme un miroir réfléchissant ces vérités brutales. Mais il s'y noît dans une cacophonie esthétique, laissant l'éclat technique supplanter le viscéral, l'esthétique éclipser le narratif, provoquant une dilution du propos, pourtant urgent, dans un magma d'incohérences.
L'ironie s'immisce alors subrepticement, faisant de Jawan un miroir réfléchissant son propre spectre d'absurdités. Nayanthara, étoile féminine en plein essor, se retrouve reléguée en périphérie, éclipsée par un déluge d'effets pyrotechniques. Les autres personnages féminins, initialement érigés en antipodes de leur contreparties masculines, sont inexorablement relégués à la périphérie de la narration, assujettis à la tyrannie d'une virilité omniprésente. Le film oscille entre le monumentalisme de sa bande-son et l'effervescence frénétique de son montage, telle un clown narratif qui voit la pierre de son engagement rouler en contrebas de ses propres intentions.
Paradoxe incarné, Jawan réussit la gageure d'être à la fois une œuvre réflexive sur les excès du cinéma indien et une symptomatologie de ces mêmes dérives. L'œuvre vacille entre auto-parodie et errance artistique, emprisonnant son public dans une sarabande visuelle où la rive du rire est parfois le dernier rempart contre le naufrage. À cet égard, la bande-son s'érige comme une oasis mélodique, mais son euphonie ne suffit pas à masquer les dissonances d'un récit s'épuisant dans l'éclat de son propre miroitement. Ce n'est pas tant un hommage aux films socialement engagés comme Do Bigha Zamin (1953) qu'une usurpation de leur héritage, empruntant la voie spectaculaire de Bollywood là où une gravité réaliste aurait été de mise.
En somme, Jawan est un kaléidoscope capricieux qui frôle le sublime kitsch tout en flirtant dangereusement avec l'indigestible. Un film dont la vacuité fait écho à la tragédie d'une nation aux prises avec elle-même, un récit qui, en fin de compte, est aussi dispersé que le paysage socio-économique qu'il tente maladroitement de dépeindre. Une chimère esthétique qui, dans son zèle de transcender les codes, manque la cible mais non l'audace.
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clemjolichose · 2 years ago
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you won't have to hide away - partie 4
Fandom : Nassau : la nuit des canons
Pairing : Anne Bonny x Mary Read, Jack Rackham x Stede Bonnet, Charles Vane x Lucy Greenwood
Nombre de mots : 665 mots
Avertissement : Violence, mort
Résumé : Mary Read rencontre un nouveau personnage haut-en-couleur. Les liens politiques se font et se défont sous ses yeux - quel avenir atteint l'île et ses trois royaumes ?
Note d’auteurice : Vous pouvez aussi lire ce texte sur Wattpad ou AO3 ! Cette fanfiction, basée sur une comédie musicale indépendante, a plus d'un an et je suis fièr-e de vous la partager enfin !
Partie : 4/11 - Jack Rackham
Partie 1 | Partie 2 | Partie 3
Chanson : Run Boy Run de Woodkid
Lucy entra dans la taverne avec la crainte d'y voir encore une bagarre de comptoir. Il n'en était rien. "John Calico Jack Rackham, qu'est-ce que tu fous au sol ?" Anne Bonny éclata de rire. "Il s'est rétamé, il marche plus droit !" Elle tenait une bouteille visiblement entamée. Jack se redressa rapidement et chancela. "Elle m'a fait un croche-pied !" Il accusait Anne, son doigt appuyé sur son épaule, essayant de la pousser. Elle riait toujours aux éclats et ne bougeait pas d'un iota. Lucy soupira, ses poings sur ses hanches. "Allez vous asseoir. J'ai déjà une blessée en haut, j'en veux pas deux ! C'est pas un hôpital ici ! -Oh, ça va, c'est pas une petite chute qui va le tuer ! se défendit Anne, mais elle s'exécuta." Les deux pirates s'installèrent et discutèrent par des chuchotements grossiers - l'envie était là, mais en pratique... ils étaient plus proches des cris. Lucy secoua la tête en s'installant à son bar pour servir quelques clients. Après tout, elle s'était absentée plus de quarante minutes et Anne Bonny en avait profité pour être déraisonnable. Elle ne voulait pas que cela se reproduise. Tout à coup, Rackham siffla bruyamment, les yeux rivés vers la porte qui menait à l'étage. Anne et Lucy suivèrent son regard et la dernière intervint : "Mary ?! Je viens de te dire d'éviter de marcher !" Mais la jeune femme ne répondit rien, parce que Rackham s'était déjà levé et accroché à elle. "Bonjour mademoiselle, que nous vaut le plaisir de votre présence... sympathique, ici ?" Son doigt glissa le long de son bras jusque son épaule. Il flirtait indiscrètement, avec un brin de moquerie. Forcément, Mary ne portait qu'un short très court - elle avait découpé son pantalon pour ne garder que le tissu intact, la plupart ayant été tâchée de sang ou déchirée. Lucy voulut la tirer de là, mais Anne fut plus rapide. Elle tira Jack par le bras, le faisant presque tomber. "Hey, elle est pas intéressée. -Mh, c'est un comble, je suis entre deux jolies jeunes femmes et aucune des deux n'est sensible à mon corps d'Apollon." Il ondula son corps d'une façon ridicule, qui fit éclater de rire Anne. "Tu te fous la honte, Jack. -La honte ? Ça n'existe pas ça !" Il se pencha vers elle comme pour lui faire la leçon mais perdit l'équilibre et tomba sur elle. "Mais où est-ce que tu étais pour avoir bu autant ?! -À Calico, y'a encore beaucoup de rhum là-bas ! s'enthousiasma-t-il en se redressant, un bras levé en célébration. Alors qu'ici... on est plutôt a sec." Anne soupira, réellement ennuyée cette fois-ci. "Ça va revenir. On va se refaire. Mais si t'étais pas tout le temps fourré ailleurs, on pourrait mettre au point un plan pour aller voler les vivres dont on a besoin." La reine avait l'air d'avoir dessaoulé très vite. Lucy pinça ses lèvres. "Et il faudrait vous dépêcher, demanda-t-elle. Je ne veux pas vous alarmer... mais je n'ai bientôt plus assez pour nourrir tout le monde à l'allure où vous descendez mes réserves. -Je peux vous aider, coupa Mary, rappelant sa présence dans la discussion." Anne lui sourit. "Avec plaisir, tous les bras sont bons à prendre." Elle serra sa main. "Bon. Autant s'y mettre tout de suite. -Sage décision, commenta Lucy, apparemment irritée." Anne et Mary s'assirent à une table. Jack les suivit d'une démarche aléatoire, entre le déhanché et le boitement. Il se laissa tomber sur une chaise entre elles, suivant leur dialogue : "On a plusieurs solutions, commença Anne. On peut essayer de demander de l'aide, à Stede ou à Charles... -Charles ? demanda Mary. -Monseigneur de la Vanerie, lâcha Jack en faisant claquer sa langue contre son palais. Crois-moi, tu ne veux pas être son ennemie. -C'est le pirate le plus sanguinaire de l'île, clarifia Anne. J'irais le voir s'il le faut. Toi, tu pourras t'occuper de Stede." Jack hocha la tête. "Avec plaisir." Mary se sentit lésée : "Et moi ? -Mh, comme tu peux pas trop bouger, tu pourrais assister Lucy dans le décompte des ressources." Read hocha la tête, déçue. Et avec ça, elle ne participa plus à la discussion animée entre les deux meilleur-es ami-es.
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salon-du-salon · 2 years ago
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[SDS#34] Hendrik Hegray – Skullflower – Part II
Exposition du 24 octobre au 19 novembre 2022
Texte de Julien Bécourt
Observateur de l’infra-ordinaire et des anomalies puisées dans son quotidien le plus immédiat, HH porte un regard en biais sur les choses qui l’entourent et témoignent de sa condition existentielle. En résultent des images au statut incertain, décorum de ruines du temps présent, présence-absence d’un paysage dont les humains se seraient exilés. Photographies tronquées, griffonnages compulsifs ou objets de consommation d’un autre temps sont érigés au statut d’abstraction la plus déconcertante : snapshots d’un concert du groupe noise-psychédélique Skullflower (qui donne son titre à l’exposition au Salon du Salon), segments réagencés d’un vieux magazine de bondage japonais, vitrines poussiéreuses filmées au musée d’agriculture du Caire, architecture glauque de zone pavillonnaire, dessins grotesques ou scans de papier d’emballage… Un art du déphasage et de la non-adéquation au monde, comme s’il fallait en passer par l’altérité la plus radicale pour atteindre le domaine de la vision. Une vision qui ne passerait plus seulement par la pulsion scopique mais par l’expérience d’un décadrage, conjuguant les accidents aléatoires avec les décisions formelles les plus rigoureuses – quand bien même elles échapperaient au regardeur dans leur part d’arbitraire.
Cette sublimation de l’informe, doublée d’une outrance dans l’absurde frôlant la sociopathie, HH l’accomplit quasiment les yeux fermés, à tâtons dans un bordel sans nom. Bordel de l’obsessionnel, de l’archivage compulsif, de la passion pour l’obscur, de la quête de l’image manquante, d’une poésie du rebut. L’aiguille dans la botte de foin, la pièce de puzzle introuvable sans laquelle la vue d’ensemble est aussi incernable qu’indécidable – d’où cet effet de déstabilisation tant recherché. C’est par cette tangente, ce contre-sens délibéré, cette rigueur dans la dissolution du sens et dans l’inversion des hiérarchies que se produisent les associations d’idées les plus saugrenues : l’entrée en collision de références cryptiques dont se saisissent avec jubilation les initiés, mais qui interloquent d’autant plus ceux qui ignorent tout de la teneur radicalement underground de ses anciens travaux. Photocopies de photocopies de photocopies qui ne laissent plus filtrer en bout de chaîne que des traînées de couleur, des lignes géométriques et des bribes de figuration S/M. Le refoulé, l’irrécupérable et la négativité ne sont plus seulement le ferment de ses névroses – les siennes, comme celles d’une société irrémédiablement malade - mais atteignent une forme de beauté impure, non homologuée dans le champ de l’art. De strate en strate se produit alors une expérience quasiment initiatique, dont les tenants seraient privés d’aboutissants. Le mystère règne, accompagné le plus souvent d’un rire qui libère de la violence comme de l’humiliation sociale.
Car HH a toujours pratiqué un humour narquois, provoquant l’incongruence jusqu’à susciter une forme d’effroi ou de malaise – de nos jours, on dirait gênance. Il y a chez lui une lucidité d’outsider conscient de voir plus loin, égaré dans une société à laquelle il est à la fois étranger et perméable. Il y oppose une auto-aliénation radicale, dans l’attitude comme dans le geste pictural. Radicalité qui consiste notamment à restaurer les scories les plus vulgaires de la pop culture des années 1980-1990 et les technologies obsolescentes dans lesquelles sa jeunesse a baigné pour les commuer en totems énigmatiques ou en monticules de bruit low-fi. Faire les poubelles du capitalisme pour en extraire des ready made, quoi de plus salvateur ? 
Au fil des ans, la pratique de Hendrik s’affirme et s’affine, se fait de plus en plus aigüe, d’une désinvolture de plus en plus calculée. Délicatement dérangeante, si l’on peut dire. Son inclinaison naturelle pour le grotesque aurait même tendance à s’estomper pour atteindre une forme de raffinement. Car rien n’est laissé au hasard dans ces agencements faussement hasardeux qui simulent le chaos pour mieux déclencher la perplexité. Entre ses auto-publications, ses sculptures larvées, ses vidéos poisseuses tournées au caméscope et ses murs de collages en photocopies, HH offre un redoutable précis de déviance esthétique d’où surgit une forme inédite, réconciliant art dégénéré et avant-gardisme sophistiqué.
Julien Bécourt, août 2022
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christophe76460 · 2 years ago
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DIEU EST-IL PRÉSENT OU ABSENT EN ENFER ?
Les étudiants sérieux de la Bible posent des questions sobres sur des textes difficiles. C’est ce que j’aime dans ce podcast et chez nos auditeurs. C’est ici que l’on pose et répond aux questions sobres sur des textes difficiles.
À savoir, Dieu est-il présent ou absent dans son jugement éternel ? Le chapitre 1.9 de 2 Thessaloniciens semble dire qu’il est absent. Un auditeur nommé David nous écrit :
Pasteur John, merci de bien vouloir répondre à ma question. C’est une question sérieuse. À savoir, la présence de Dieu est-elle en enfer ? 2 Thessaloniciens 1.9 semble dire que non. Est-ce exact ?
Et Josiah nous écrit ceci :
Pasteur John, bonjour. J’ai lu que l’enfer inclut la présence de Dieu, selon Apocalypse 14.10. Ou est-ce loin de la présence de Dieu, comme le dit 2 Thessaloniciens 1.9 ? Pouvez-vous m’aider à comprendre lequel des deux est correct ?
Chaque fois qu’on me pose une question sur l’enfer, je ressens toujours le besoin de respirer profondément, pour ainsi dire, de prendre du recul et de m’assurer que nous ne traitons pas cette réalité de manière désinvolte, facile, superficielle et cavalière. Aussi, permettez-moi de dire quelques choses en guise de préface afin que nous puissions ressentir le poids approprié de la question.
Penser trop peu à l’enfer
Il est possible, je pense, de penser à l’enfer à la fois trop et trop peu. Penser trop peu à l’enfer signifierait que le sujet vous vient rarement à l’esprit et qu’il a donc peu d’effet sur votre vie. Mais l’enseignement de la Bible sur l’enfer ne sert pas seulement à satisfaire une curiosité aléatoire et occasionnelle. Il est destiné à nous faire réfléchir, à nous empêcher de penser que le fait de se méfier de Dieu et de lui désobéir n’a que peu d’importance.
La connaissance de l’enfer a pour but de nous aider à ressentir l’outrage moral qui consiste à préférer la création de Dieu à Dieu, ce qui est, je pense, l’essence du péché. L’enseignement biblique sur l’enfer est un reflet de la valeur infinie de Dieu et du scandale que représente le fait de le mépriser.
La raison pour laquelle l’enfer est éternel n’est pas parce que le péché qui nous y envoie était éternel, mais parce que l’offense contre un Dieu infiniment digne est une offense infinie. Ainsi, lorsque nous pensons trop peu à l’enfer, nous ne tremblons probablement pas devant la majesté et la justice de Dieu comme nous le devrions. L’enfer a une façon de rendre la vie plus sérieuse, et penser trop peu à l’enfer aura probablement pour résultat une vie morale et émotionnelle qui n’est pas en phase avec la grandeur, et la beauté, et la valeur, et la justice, et la sagesse, et la grâce de Dieu.
Trop penser à l’enfer
Mais il est également possible de trop penser à l’enfer, je pense. L’enfer est vraiment une réalité horrible. Considérez les descriptions qui en sont faites dans la bouche de Jésus : Un « feu qui ne s’éteint pas » (Marc 9.43), « c’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents » (Matthieu 24.51), « là où le ver ne meurt pas » (Marc 9.48), un lieu de « ténèbres extérieures » (Matthieu 25.30), un lieu de « souffrances cruelles » (Luc 16.24), un lieu de « châtiment éternel » (Matthieu 25.46).
Ou comme Paul l’appelle dans 2 Thessaloniciens 1.9, un lieu de « ruine éternelle », avec « irritation et colère » (Romains 2.8). Ou comme Jean le décrit dans Apocalypse 14.11, « La fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles, et ils n’ont de repos ni jour ni nuit. »
Ces descriptions sont terribles au-delà des mots. Mais certaines personnes tentent d’atténuer l’horreur en disant : « Eh bien, des mots comme feu et ténèbres sont des symboles. » Et je tiens à dire que le problème avec cela est que, si ce sont des symboles, ils sont des symboles de quelque chose, et cette chose n’est pas moindre. Je veux dire que les symboles sont un effort pour mettre en mots l’indicible. C’est à cela que servent les symboles. Appeler quelque chose un symbole du feu signifie que c’est pire, pas meilleur. Les réalités correspondent aux symboles.
Il est toutefois possible de trop réfléchir à cette réalité. Je ne pense pas que l’esprit et le cœur humains soient équipés dans ce monde déchu pour réfléchir pendant de longues périodes à la réalité de l’enfer. Dieu a un esprit et un cœur qui peuvent garder cette réalité en point de mire et en proportion des autres réalités, de sorte qu’elle n’a aucun effet néfaste sur lui. Je ne pense pas que nos esprits et nos cœurs, de ce côté de l’éternité, puissent méditer correctement sur de telles horreurs pendant très longtemps. Nous avons besoin d’aperçus – oui, nous en avons besoin. Nous avons besoin de rappels, oui, mais nous n’avons pas besoin d’une conscience continuelle de souffrances trop grandes que pour être endurées.
Dieu est-il présent ou absent ?
Or, David et Josiah, dans leurs questions, ont tous deux posé, plus ou moins, la question de la présence de Dieu en enfer. Et ils se réfèrent à deux textes très pertinents. Apocalypse 14.10, qui donne l’impression que l’Agneau de Dieu peut être présent en enfer, dit que tout qui adore la bête « sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l’Agneau. » Et l’autre texte est 2 Thessaloniciens 1.9 : « Ils auront pour peine une ruine éternelle, loin de la présence du Seigneur et de la gloire de sa force. »
Donc, tout d’abord, un mot sur Apocalypse 14.10. Lorsqu’il est question des tourments de l’enfer en présence de l’Agneau, l’expression « devant » signifie « à la vue de », et non « dans le même espace que ». Le mot grec utilisé littéralement est bien « devant » l’Agneau ; ils seront tourmentés « devant l’Agneau ». Le même mot est utilisé dans Apocalypse 3.2 comme ceci : « Je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. » C’est exactement la même construction : « devant mon Dieu », « en présence de mon Dieu ». Il peut les voir. C’est devant lui dans ce sens.
Ainsi, lorsque nous disons que quelque chose se produit « devant Dieu » ou « en présence de l’Agneau », nous ne voulons pas nécessairement dire que Dieu ou l’Agneau se trouve dans le même espace que ce qu’ils voient. Ainsi, je pense qu’Apocalypse 14.10 ne dit pas que Dieu ou Jésus ou l’Agneau a une sorte de résidence permanente en enfer. Mais ils peuvent voir l’enfer et le voient.
Or, lorsque 2 Thessaloniciens 1.9 dit que les punitions de l’enfer seront « loin de la présence du Seigneur », le mot pour présence ici est face, « loin de la face du Seigneur ». En d’autres termes, l’enfer est l’accomplissement de la menace d’Ézéchiel 7.22, par exemple, où Dieu dit : « Je détournerai d’eux ma face. » C’est l’exact opposé de la bénédiction dans Nombres 6.24-26 :
Que l’Éternel te bénisse et te garde ! Que l’Éternel fasse briller son visage sur toi et t’accorde sa grâce ! Que l’Éternel se tourne vers toi et te donne la paix !
C’est exactement le contraire de ce qui se passe en enfer. Cela ne se produit pas en enfer. Le regard bienveillant de Dieu ne brille pas sur eux. Et il y a en enfer un froncement de sourcils éternel de justice désapprobatrice.
Un jugement juste pour toujours
Que dire, alors, de la question de savoir si la présence de Dieu est en enfer ? Je suppose que vous pourriez dire qu’il y a deux sens dans lesquels Dieu est « présent ». Premièrement, il maintient tout par la parole de sa puissance par Jésus (Hébreux 1.3). Ainsi, l’enfer n’aurait aucune existence si Dieu ne le maintenait pas en existence. Et deuxièmement, l’enfer est décrit comme une punition et un jugement – pas seulement comme une conséquence, mais comme une punition. Et donc, ceux qui sont en enfer seront conscients de la juste désapprobation de Dieu. Sa désapprobation, son jugement, son châtiment – cela sera présent à leur esprit pour toujours.
Mais aucune de ces deux façons de penser à la présence de Dieu ne suggère sa présence personnelle. Nous pouvons donc dire que Dieu n’est pas présent dans ce sens : sa beauté ne sera pas vue ou connue. Sa communion ne sera pas appréciée. Son soulagement et sa miséricorde ne seront pas expérimentés. S’il y a un sens dans lequel la présence de Dieu est ressentie comme une force qui soutient, ce sera la présence de son jugement et de sa colère justes.
L’enfer est une réalité à éviter à tout prix. Et Jésus Christ, le Fils de Dieu, a lui-même supporté le plus grand coût en devenant une malédiction pour nous sur la croix (Galates 3.13) – pour tous ceux qui veulent croire (Jean 3.16). Jésus est devenu l’enfer que nous méritions, et j’exhorte tout le monde au son de ma voix à s’envoler vers Jésus, votre seul espoir d’échapper à ces tourments.
- John Piper
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franckdoutrery · 2 years ago
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Au mois de mars, gare aux comparses !
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Les Gaulois inventés par le tandem Goscinny-Uderzo se faisaient des Romains une idée sans doute caricaturale, si l’on admet que toute caricature réussie est basée sur un fond de vérité poussé à la démesure. Ainsi quand Obélix s’exclame : « Ils sont fous ces Romains ! », il ne fait qu’accentuer l’écart culturel entre les autochtones – avec leurs bardes, druides, livreurs de menhirs, voire leur potion magique –, et ces légionnaires latins venus occuper leurs contrées. C’est même la charge du trait qui fait alors sourire ou s’esclaffer. 
N’empêche que la différence ainsi brocardée repose sur quelques données historiques fiables qui dépassent l’anachronisme évident des Astérix. Par exemple le calendrier. Les Romains antiques découpaient l’année en dix mois, dont mars était le premier. Ce Nouvel An, pour nous en retard de deux mois, n’était pas l’occasion d’étrennes, mais le début des campagnes au double sens du terme : campagnes où on relançait les travaux agricoles du primum tempus, du printemps, et campagnes militaires, toutes deux mises en veilleuse pendant la morte saison. Or à quelle divinité était voué ce premier mois ? À Mars, dieu de la guerre, dont le nom avait servi aussi à baptiser la planète rouge et un jour de la semaine, le mardi. En effet, parmi les domaines où ces Romains excellaient, il y avait, outre la construction et la législation, la conquête militaire. De cet exercice sous le patronage de Mars, le français moderne a d’ailleurs hérité tout ce qui est appelé martial : les arts, la cour, le discours, la loi, voire l’expédition. C’est même celle-ci qui fut à l’origine de la Guerre des Gaules et de la présence dans nos contrées de celui qui, selon ses propres termes, « vint, vit et vainquit », j’ai nommé Jules César.
Or ce général, auquel Uderzo prête un indéniable facies romain – avec sa légendaire calvitie cachée par la couronne de lauriers –, ne vint pas seulement faire des siennes chez nous. Il réforma aussi le calendrier républicain, qui ne comptait à l’origine que 304 jours (dix mois alternés de 29 ou 31 jours, de Martius à December), auxquels une réforme antérieure avait déjà ajouté l’équivalent de deux mois flottants. Ceux-ci étaient laissés à la discrétion du grand pontife, qui devait tenir compte des jours fastes et néfastes, des fêtes religieuses et des dates mémorables de l’histoire de Rome. Ce qui causa moult décisions aléatoires ou approximatives et créa surtout un déphasage inquiétant sur l’année tropique. À l’époque où Jules accéda aux affaires, l’année comptait 355 jours en douze mois et se terminait par les quatre semaines de février. Sur proposition de son astronome Sosigène, il décida de mettre fin à « la grande confusion » en portant le cycle annuel à 365 jours, soit dix jours de plus. Et comme l’année antique expirait un 28 février, on convint d’y ajouter tous les quatre ans un vingt-neuvième jour par combler le retard sur le soleil. La décision devint effective en 45 avant notre ère, étant entendu que l’année débuterait désormais en janvier et non en mars.
Si on croyait encore aux augures ou aux diseuses de mauvaises aventures, on pourrait conclure qu’en l’occurrence le dieu Mars se vengea de cette relégation au troisième rang. Certes il avait béni les entreprises martiales de Jules, en particulier sa conquête de la Gaule, ses expéditions africaines et sa victoire dans la guerre civile de Rome. Mais le complot qui se tramait contre lui et qui se solderait par son assassinat, tomberait aussi en mars, plus précisément le 15 mars de l’an 44 avant notre ère. Autrement dit, si Jules n’avait pas réformé le calendrier, la date de sa mort violente eût été un jour quelconque des calendes, des ides ou des nones d’un autre mois. Peut-être même d’un mois flottant ou intercalé. Mars avait donc abandonné son martial général au milieu du mois qui lui était consacré, le mois de mars. Par Toutatis, ceci ne pouvait être pure coïncidence !
Jules ne perdit pourtant pas tout dans cette histoire. Car non seulement on l’avait déjà appelé César – nom d’origine obscure mais promis à un grand avenir, puisque c’est l’ancêtre de tous les futurs Kaisers et Tsars –, mais le sénat romain, toujours prêt à voler au secours de la victoire, décida de l’honorer en rebaptisant le cinquième mois de l’ancienne année – le Quintilis – en Julius. Ce qui nous donna le mois de juillet. Toutefois il fallut un certain temps pour que ces nouvelles arrivent aux camps romains (dont Babaorum et Petibonum) entourant le célèbre village gaulois. Lequel continua, continue et continuera toujours à résister à l’envahisseur, foi d’Obélix ! Comme le fait d’ailleurs le Parc Astérix près de Paris, où l’on peut notamment s’embarquer sur un grand huit décoiffant, qui porte le nom gaulois de … Goudurix.
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already-14 · 2 years ago
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La mort de Bourbaki
Dans la lignée dadaïste de sa naissance, le faire-part de décès suivant fut publié pour annoncer la « mort » de Nicolas Bourbaki :
« Les familles Cantor, Hilbert, Noether ; les familles Cartan, Chevalley, Dieudonné, Weil ; les familles Bruhat, Dixmier, Samuel, Schwartz ; les familles Cartier, Grothendieck, Malgrange, Serre ; les familles Demazure, Douady, Giraud, Verdier ; les familles filtrantes à droite et les épimorphismes strictes, mesdemoiselles Adèle et Idèle ;
ont la douleur de vous faire part du décès de M. Nicolas Bourbaki, leur père, frère, fils, petit-fils arrière-petit-fils et petit-cousin respectivement pieusement décédé le 11 novembre 1968, jour anniversaire de la victoire, en son domicile de Nancago. La crémation aura lieu le samedi 23 novembre 1968 à 15 heures au cimetière des fonctions aléatoires, métro Markov et Gödel. On se réunira devant le bar « aux produits directs », carrefour des résolutions projectives, anciennement place Koszul.
Selon les vœux du défunt, une messe sera célébrée en l'église Notre-Dame des problèmes universels, par son éminence le Cardinal Aleph 1 en présence des représentants de toutes les classes d'équivalence et des corps algébriquement clos constitués. Une minute de silence sera observée par les élèves des Écoles normales supérieures et des classes de Chern.Car Dieu est le compactifié d'Alexandroff de l'univers, Grothendieck IV, 22. »
techno-science.net
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ethereal-rpg · 3 years ago
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bienvenue ♡ welcome
(fr) quelques petites choses à garder en tête :
→ les commandes sont toujours fermées. je ne prends que des suggestions si vous avez envie de me proposer. mon ask est ouvert !
→ je ne suis plus activement sur les forums ; je ne fais que grapher de temps en temps par plaisir, alors ma présence est très aléatoire. 
→ je suis davantage active sur mon blog personnel (@nomourner-s) alors n’hésitez pas à me suivre là-bas !
prenez soin de vous ♡
(eng) a few things to keep in mind:
→ requests are still closed. i can take suggestions if you want. my inbox is open!
→ I’m no longer active in the rpg community; my presence on this blog isn’t very stable. 
→ I’m more active on my personal blog (@nomourner-s) so don’t hesitate to follow me there!
take care ♡
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