#polyporus betulinus
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lindagoesmushrooming · 23 hours ago
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darkpalmor · 5 years ago
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22 AVRIL 2020
Programme en voie de déconfinement partiel provisoire.
Un peu de ’Pataphysique (5-10 minutes) : Le poème du jour. 22 avril – 3 Palotin – SS. Trolls, pantins. On fera une petite strophe sur la beauté des trolls, ou leur amour des pantins, pourquoi pas ? L’essentiel est de les associer avec quelques rimes amusantes, même approximatives… Pas de contrainte tarabiscotée aujourd’hui : le confinement suffit. Voici en cadeau un trolle du Crêt de Chalam, capturé voilà bientôt 16 ans.
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Un troll à patins, ça glisse ça glisse, Un troll à patins ça glisse énormément. La trogne du troll dans sa caverne profonde Est bien la preuve que la terre n’est pas ronde. Le goût du patin sur ta lèvre tendre Est bien la preuve que je dois t’entendre. Faire le pantin pour prendre un patin, C’est ce que tout troll souvent entreprend Et c’est bien la preuve Qu’on peut être un troll Et goûter tes lèvres.
Mini texte de confinement (5 minutes) : Complotisme express. On écrira deux ou trois très courtes explications délirantes et complotistes attribuant l’existence, ou l’invention, ou l’expansion du coronavirus, à divers individus, institutions, pays, etc. Il s’agit d’être aussi créatif et crétin que la plupart des gens ordinaires qui croient à tout et à n’importe quoi.
Le coronavirus, c’est une invention des martiens pour empêcher l’invasion prévue vers les années 2030 : ils ont calculé que dix ans de retard dans les projets terriens suffiraient pour envoyer leur flottille guerrière équipée d’hydroxychloroquine et nettoyer ce coin du système solaire.
Le coronavirus, c’est une arnaque des Balkany : ils ont soudoyé leur ancien cuisinier chinois pour qu’il mette la pagaille en France, pour ne pas être tout le temps sous les feux de l’actualité, comme disent les journalistes.
Le coronavirus, c’est Poutine et Le Pen qui l’ont combiné : faire porter le chapeau aux chinois, pour augmenter les tendances racistes en Europe, puis apporter le vaccin unique : la piqûre aux frontières. De cette façon ça embêterait Erdogan, Trump et Macron. Ensuite Le Pen deviendrait présidente de l’Europe de l’Ouest, et Poutine président de l’Europe de l’Est.
Le coronavirus, c’est Kim-Jung-Un qui l’a prêté aux chinois, pour qu’ils fassent couler le Japon et la Corée du Sud, afin de reconstituer un grand Empire du Soleil Levant anti-capitaliste et marxiste à la fois, ce qui ferait la nique à Macron, le roi du « en même temps ». Les chinois s’en remettraient facilement, ils ont du stock de patients et des incinérateurs nationalisés, quelques millions de morts ne compteraient guère, et avec la discipline on reviendrait à la politique de l’enfant unique : moins de garderies, école à la maison.
Le coronavirus, c’est les sprinters français, qui n’étaient pas entraînés pour aller aux Jeux de Tokyo : un report d’un an leur permettra d’être moins ridicules. Et de toute façon, ils courent plus vite que les virus, alors…
Récit imaginaire (10-15 minutes) : Expérience de tourisme minimal. Puisque l’interdiction de sortir perdure, imaginons que nous allons nous évader pendant une heure, à moins d’un kilomètre. Qu’allons-nous visiter comme spectacle d’extérieur ? On racontera une sortie possible, de manière à montrer qu’on peut s’extasier aussi bien devant du très ordinaire qu’en allant loin faire du tourisme. Contrainte : Interdiction de parler d’épidémie.
J’ai fait le tour de ma résidence ! Je ne l’avais jamais fait de manière personnelle depuis quinze ans, uniquement avec des copropriétaires, pour deviser gravement sur l’état des pelouses ou des façades. C’est une randonnée magique. Tilleul feuillant, merles accueillants. Au pied d’un premier bouleau, des fleurs dépenaillées s’entremêlent à quelques herbes mal coupées… Ce n’est pas sérieux, mais il y a des abeilles. Les tulipes sont encore acceptables. Un ex-bouleau a décidé de poursuivre sa carrière juste à la surface du gazon : depuis l’automne, un champignon y pousse sa bosse pâle, légèrement jaune, un peu rosée sur les bords. Sans doute un polyporus betulinus, ou une polypora betulina, qui était en veille, spores à l’affût, depuis longtemps, et qui s’est gorgé ou gorgée sur la blessure de l’abattage. C’est étonnant qu’il ne passe pas à la tondeuse ? Non, il est trop bas, il baisse la tête à chaque venue des tondeurs ! Un noisetier à grandes feuilles rouges se déplume mais a chatonné : il y aura de quoi faire pour les écureuils du voisinage, début septembre. Des bouquets de feuillage en bouton, exotiques et anonymes au prix de ma pauvre science botanique, font de l’ombre à l’entrée arrière du bâtiment A. et les bouleaux continuent leur pousse, arrosant de leur infernal pollen tous les éternueurs potentiels qui passent sur le parking. Et les immenses thuyas qui surplombent le mur de pierre dressent une barricade que seuls les chats des voisins peuvent franchir, ou arpenter, parce que de leur côté ils ont les moyens d’y monter… Au bout du parking, la petite allée de dalles posées à intervalles irréguliers sur la pelouse est très japonisante dans son style, mais l’herbe n’a pas toujours été respectée, il en manque. La rivière  souterraine qui passe sous le bâtiment E s’enfonce sous une pauvre voûte basse, elle semble bien faible. Le compost accumulé par le concierge d’année en année n’a aucune odeur : il s’affaisse sur les bords, quelques verdures y ont été déposées par une bonne âme récemment, et commencent à brunir. Près du parking arrière le lilas et ses voisins font des boules, ce sont des costauds. Bien nourris aux gaz d’échappement, ils ont acquis une belle résistance et tiennent au sol depuis si longtemps qu’ils semblent inamovibles. La première côte est raide, pour revenir derrière les bâtiments B et C : ça grimpe vers la rue ! Les pelouses, réduites à de simples bordures, craignent la sécheresse, dirait-on. Les vieux pins désaiguillés ont perdu le nord, branches à la japonaise devant une façade beige, ça n’est pas très pittoresque, mais ils ont de la gueule, de part et d’autre de l’accès à la route. Voie libre : pas de voiture, on peut prendre le trottoir goudronné et pleurer les buissons disparus ou rabougris, petites feuilles marron, épines molles, un peu de plantes à baies orange où se nourrissent les bestioles en fin d’année. Pour le moment, c’est faible, on n’y dissimulerait pas un chat. La cour centrale, c’est Versailles. Une rangée miteuse d’érables à feuilles rouges commence à prendre du volume, mais le ratiboisement a été fort et il faudra bien un mois avant que l’ombre soit bonne. Les plates-bandes rectangulaires verdissent, les primevères défleuries ont, de toute manière, été passées à la moulinette des tondeuses thermiques. Mais au centre des massifs, les rosiers se poussent du col, concurrents les uns des autres, à qui montera plus haut. L’inconvénient, c’est qu’ils se tordent et grimpent au lieu de fleurir, tout en laissant entre leurs pieds fleurir les tulipes et boutonner les muguets. C’est le Jardin des plantes, finalement. Mais les quatre rangées de rosiers destinées à égayer les parterres à la versaillaise sont trop moches, l’herbe a envahi leurs socles, il en manque, et la revue de détail laisse voir des irrégularités de taille, de vigueur, de floraison, qui augurent bien d’un arrachage à venir. Tout doit disparaître ! Les troènes, eux, sont plus chétifs. Mais ils assurent correctement leur fonction de frontière entre deux mondes, le public et le privé, au long de la rue. Le dernier de la série, en bas, qui n’a que trois branches ou plutôt trois moignons, développe une seule branchette feuillue, et laisse deviner des moelles sèches, mortes, cassantes. On dirait qu’il fait la manche, ou qu’il attend le seppuku salvateur qui l’arrachera à cette misérable existence. En revanche, le contournement qui reprend sur le goudron est plus intéressant, et les odeurs deviennent très fortes. Tout en bas, en plein virage, après les buissons marron, c’est la boule de verdure et de blancheur : des milliers de minuscules feuillettes et fleurettes, qui embaument presque comme les lauriers qui leur succèdent quand on reprend l’escalade vers les sept marches en béton qui conduisent au bâtiment D. Et en plein milieu des lauriers, un petit houx fait le mariole, lui aussi a voulu fleurir, c’est maigrelet. Son gros avantage, c’est qu’il est peu accessible et qu’on ne se penche pas pour le renifler ! Reste à finir la randonnée : la façade sur rue, la plus belle, talus raide et verdoyant, quatre bouquets multicolores se déployant sur les souches d’anciens thuyas tombés sous le coup de la loi électorale des copropriétaires voilà dix ans, et les althæas mêlés de rosiers dégingandés qui rougissent à plus de deux mètres de hauteur. Et le circuit s’achève par le contournement des bouleaux finaux : ceux qui accompagnent les quatre marches en béton conduisant au bâtiment F. On n’a plus qu’à reprendre la cour-parking principale, ou principal ? Et ça monte encore ! Décidément, quand on prend le temps de bien tout regarder, c’est un parcours de santé aussi valorisant qu’un circuit de moyenne montagne. Mais on n’a pas vu d’écureuil : le zoo est prudent. Bilan : une petite heure de rassasiement des sens, avec la conscience d’être la cible de beaucoup de regards inquiets, quelques centaines de mètres, les mollets en compote à cause de tous les arrêts et accroupissements destinés à révéler des détails. C’était du tourisme : étrange voyageur en ma résidence même, on s’est évadé très loin.
Écriture mi-longue (15 minutes) : Célébration. Faire l’éloge, ou la description, ou la prière à un objet rare, mais intéressant à bien des égards : le masque sanitaire de fortune.
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Ô masques artisanaux, vous que j’ai cousus au péril de mes doigts malhabiles, vous qui ressuscitez de divers vieux mouchoirs et torchons, vous qui vous ornez de rubans élastiques de récupération et de bandelettes prises à des momies ignorées dans une boîte à ouvrage, vous qui vous tenez serrés près de vos compagnons de fortune, tout aussi miteux les uns que les autres, vous, masques, qui formez une minable parodie d’étalage érotique de lingerie luxueuse, vous êtes plus beaux que les bonnets taille B auxquels on a essayé de vous faire ressembler. Ô masques de fortune, petits caracos de coton pâle, faux soutifs plissés pour des carnavals sanitaires, vous qui bloquez si bien la respiration sous vos trois couches même pas molletonnées, sauvez-nous de la respiration d’autrui ! Ne glissez pas sur nos nez luisants de transpiration ! Ne vous décrochez pas de nos oreilles irritées ! Ne laissez pas se découvrir nos mentons ! Et surtout, ô masques, si jamais l’été doit vous voir encore en usage, ne nous laissez pas les horribles marques du non-bronzage : pensez à toutes les élégantes qui, en août, dénudent leurs épaules pour montrer qu’elles ont bien fait du vrai topless sous le soleil, et imaginez la gueule que nous aurions si nous devions arriver en septembre avec des marques blanches de chaque côté de la tête ! Masques, on vous aime, mais pas trop, tout de même.
Écriture brève (10 minutes maximum) : Célébration. On fera l’éloge des fraises et de leur intérêt social.
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La confiture de fraises, notamment de fraises cueillies par des professeurs en congé pour cause de pandémie, est l’une des plus savoureuses. Elle contribue à l’équilibre psychologique des classes surchargées d’élèves auxquels ont apporte, à la fin de chaque confinement, les friandises confectionnées sur ce temps béni de la parenthèse scolaire. De cette manière, les retards intellectuels, aussi graves qu’ils soient, ne pèsent plus rien en regard du régal physiologique manifesté lors des derniers goûters de fin d’année. Dans une civilisation où l’on confine au printemps, c’est l’idéal : les professeurs ont le temps de cueillir, cuire, empoter, enrubanner, voire étiqueter de dédicaces personnalisées, les confitures et gelées. Lorsqu’ils reprennent la classe, quelques semaines avant les vacances d’été, ils font réviser avec des tartines, corrigent avec des cookies, et les fêtes de fin d’année, grâce à ces délicieuses fraises, deviennent le symbole du meilleur temps de l’école. Il est donc juste de rendre gloire à l’heureuse initiative des gouvernements des années 2020 et suivantes, qui ont pérennisé cette double pratique : un virus, un confinement, et tout le monde aux fraises.
À juste titre (10-15 minutes maximum) : Première page attirante. On écrit un court texte, récit ou autre forme, à partir d’un titre imposé par l’animateur. Ce texte sera ici la première page du roman dont le titre est « Et le confinement prit fin », par X., Éditions irrégulières, 2000. On s’efforcera de rendre cette première page amusante. On pourra s’interrompre au milieu d’une phrase, voire d’un mot…
« Maman ! Il a dit le vilain mot qu’il y a dans confinement ! Il m’a traité ! » C’était devenu la rengaine à la mode en cette fin d’année 2012. Tous les gosses avaient appris le mot, alors que « enfermement » ou « maintien à domicile » auraient été plus convenables à la situation. Depuis trois ans que le pays vivait à l’étroit, que la police faisait des rondes pour surveiller sans punir et pour délivrer les courses alimentaires, « confiné » était devenu un leitmotiv universel. Dans les pays voisins aussi, d’ailleurs, par la faute de cette épidémie survenue après les effondrements boursiers et les faillites sanitaires. On se souvenait encore très bien comment cela avait débuté : aux environs de leur soixantième anniversaire, les hommes perdaient force et volonté, s’endormaient, fiévreux, et les hôpitaux s’étaient mis à s’engorger, puis les morgues. Les femmes aussi, mais vers soixante-cinq ans. C’était là le seul mystère du virus : pourquoi un décalage de quelques années, pour des effets aussi dévastateurs ? Les facultés de médecine n’avaient trouvé qu’un nom, pas de vaccin, des remèdes que les plus sérieux universitaires qualifiaient de « pifométriques », mais qui sauvaient à peu près la moitié des patients : teinture d’iode, brou de noix, absinthe en inhalations, tout cela associé dans des cocktails dingues d’antibiotiques et de sulfamides. Les religions aussi avaient fait fort : on baptisait à tour de bras, on sacrifiait sur des autels de pierre, on processionnait encapuchonné. Les mages et les gourous occultes avaient fait fortune, puis étaient morts sous les coups des bandes organisées qui avaient vite compris où trouver de l’argent facile… Quant au fameux virus, on l’avait nommé « vivi-08 », on en avait fait des comptines et des litanies guérisseuses. Vivi, pour simplifier, avait réduit le taux d’encadrement des partis politiques de manière drastique, et les cadres étaient désormais âgés de quarante ans, guère plus. Personne n’osait rappeler de vieilles gloires endormies dans des EHPAD oubliés, et c’était la corporation des notaires (des jeunes notaires) qui avait à la fois bénéficié de la pandémie et lui avait payé un lourd tribut. On s’était adapté. On mourait désormais plus jeune... On avait réfléchi aux moyens de ralentir l’envahissement, les assemblées avaient délibéré, les « instances internationales » avaient planché sur toutes les hypothèses, et finalement l’ONU, revenu en grâce, avait pris la décision à laquelle personne ne croyait plus. On allait déconfiner. Mais qui ? Mais quoi ? Et quand ? Chez les Thomas, on guettait le signal.
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field-projects-gallery · 7 years ago
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Jessica Langley @therealjesslangley "Saprophyte IV", 2017, Sun-sensitive dye on handmade paper created from a combination of fungi. Species include: Trametes versicolor, Trametes hirsuta, Stereum hirsutum, Piptoporus betulinus, Polyporus squamosus, Fomitopsis pinicola, Daedalea quercina, Tapinella atrotomentosa, and others. 24" x 38"⠀ ⠀ from our current open call. Link in bio⠀ #@jessicalangley #opencall #opencallforartist #emergingartists #fieldprojects #fieldprojectsgallery #contemporaryart #spreadtheword #artistopportunities #artworldtoday
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vandaliatraveler · 7 years ago
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The Little Things, Volume 1, Part 1: Appalachia’s Fungal Treasures.  Neither plant nor animal, fungi occupy their own distinct kingdom, which includes yeasts and molds.  Unlike plants, they are incapable of photosynthesis; they absorb nutrients from the world around them using digestive enzymes.  Along with bacteria, they are nature’s purpose-designed trash recyclers, highly efficient and essential decomposers of organic material.  Extraordinarily adaptable and resourceful, they survive in earth’s most extreme environments, reproduce both sexually and asexually (culminating in the dispersal of spores), and spread via branching filaments known as hyphae, which have a remarkable power to penetrate virtually any substrate.  Appalachia’s cool, acidic forests support an enormous diversity of fungi; this post is dedicated to the shelf and bracket variety, including the fascinating polypores.
From top: Artist’s conk (Ganoderma applanatum); sulphur shelf or chicken of the woods (Laetiporus sulphureus); Dryad’s saddle or pheasant-backed polypore (Polyporus squamosus); birch polypore or razor scrop fungus (Piptoporus betulinus); bear lentinus (Lentinellus ursinus); turkey tail or many-zoned polypore (Trametes versicolor); and mossy maze polypore (Cerrena unicolor).
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artscult · 7 years ago
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polyporus betulinus, polyporus suaveolens - high resolution image from old book.
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lindagoesmushrooming · 3 years ago
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Polyporus betulinus
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