#poésie innu
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Inspiration innue
Cette capsule vidéo a été réalisée par la Fabrique culturelle de Télé-Québec. Sa diffusion est soutenue par le gouvernement du Québec. La poétesse innue Joséphine Bacon évoque avec grand attachement ce qui a inspiré sa production littéraire. Dans l’espace du Musée Shaputuan de Sept-Îles, elle nous parle du Nord, des aînés, du territoire et de la transmission de la culture, mais aussi de la…
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De Nelligan au slam de David Goudreault, de Gilles Vigneault à Simon Boulerice, de l’homme rapaillé de Gaston Miron à la poésie française et innue de Joséphine Bacon, venez consulter notre exposition de recueils... Cet article Exposition «voyage dans la poésie...
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Créé en 1936, le prix du Gouverneur général du Canada représente l’une des distinctions littéraires les plus prestigieuses au Canada et remet annuellement 450 000 $ en bourses aux auteurs récipiendaires publiant en français et en anglais.
#littérature#littérature canadienne#prix littéraires 2022#prix du Gouverneur général du Canada#poésie#grand prix poésie#récompenses#distinction#recueil de poèmes#recueil de poésie#jury#lauréats#cérémonie de remise de prix#remise du prix#canada
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Mon corps /est une / / Tanière.*
quand j’étais à Québec, pour Vocalités Vivantes, j’ai vu un film, il faudrait que je retrouve ce documentaire, titre et auteur, c’est un réalisateur, blanc, mâle, acteur je crois, etc., etc. ça veut dire c’est avec et depuis toute sa dominance, la suffisance qui quand sur scène vient après ou avant, qui me fait soupirer, comme me fait soupirer, dans ce documentaire ce genre de petits graphiques, des animations so cute et tellement débiles : comment ça se fait que partout partout, dès que genre format tv ou web, on n’y coupe pas, et qui dit, qui prône, encore aujourd’hui, qui croit ça dans un documentaire nécessaire ?, et pourtant, malgré tout ça, ma réticence et mon agacement, c’est un documentaire qui m’a appris plein de choses, me mettant sur les traces du français langue mpatern- de Kerouac, Kerouac élevé en français à Lowell, dans le Massachusetts, jusqu’au moment où l’école le rattrape, français américain se superposent, il écrit dans les deux langues, traduction de la version quand manuscrit tapé tapuscrit on the ribbon, ok, la beat generation à Paris par là passe, sa généalogie, aussi sur les traces de, et dit aussi, mine de rien, ce documentaire, quelque chose comme : le français québécois, tous les français qui bananent depuis la louisiane au québec passant par, tous ces différents français que soulignait tant, si bien, Vocalités Vivantes, la vivacité de tous ces français-là, si on veut pouvoir les défendre hors soumission à l’anglais, hors soumission à la bonne la vraie la colonisatrice langue mère qui outre-, qui en france regarde de haut toutes langues non normalisées, d’ici canada à là-bas afrique, si on veut résister à tout ça, et si on veut dire nos langues existent, il va d’abord falloir faire un autre pas, et ce pas-ci, c’est la reconnaissance des peuples des Premières Nations, des langues des peuples des six-nations, leurs langues et la façon dont dans notre langue leur langue vient, ça veut dire désormais : les écouter, ouvrir champs et places, nous taire, écouter :
A la finale des luttes Je rentrerai lui chanterai une berceuse neka Des cris de l’Ouest ou des six-nations Neka shash je n’ai plus de batailles à pourfendre
Natasha Kanapé Fontaine, Manifeste Assi, éd. Mémoire d’encrier, 2014 (p.34)
lors de l’une des soirées québecoises organisées à paris, québec invité d’honneur du 38ème marché de la poésie,au monte-en-l’air, l’ai entendu et hop, comme d’autres ce soir là, ai eu envie d’en lire plus, d’en savoir plus ; de Natasha Kanapé Fontaine je désirais comprendre comment le chant que je venais d’entendre dans un livre, tenait, si dans un livre tenait, si c’était fragment ou épopée - l’entendant lire j’ai pensé : la possibilité d’une épopée, ça a ouvert cette possibilité ces 10 minutes lues de Manifeste Assi
traînant dans les allées du marché, une remarque m’a arrêtée, c’est celle de Natasha Kanapé Fontaine qui, écrivant Manifeste Assi, découvre en même temps les écritures, par exemple, les écritures haïtiennes, par exemple toutes celles qui par la francophonie encore sont écrasées en France, si vives ailleurs, vivantes sans nécessité d’être adoubées, toutes celles qui sont celles de luttes, Aimé Césaire, Léon Gontran-Damas, je me rends compte que ces textes, leurs auteurices je ne les connais pas assez, et ici, ça s’ouvre,
traînant dans les allées du marché, une remarque m’a arrêtée, celle quant à l’utilisation, le choix de l’utilisation du français pour écrire, ce français qui s’écarte devant l’innu, qui pour toute personne à qui la poésie sonore sonne à l’oreille, à qui toute autre langue donne et demande attention, j’ai entendu : le choix de cette langue le français, c’est aussi faire le choix d’être éduqué,e par, dans le système, et depuis le système donner voix pour que dans le système colonial la voix, la voix innu porte, qu’il n’y ait pas assignation à la langue notre par d’autres que nous, fuck l’authenticité, elle nous réduit si décrite par d’autres, si notre langue doit être traduite, ensuite traduite quand ensuite traduite veut dire : périphérique, toujours périphérique, présente pour: bonne conscience des colonisateurices, alors dès lors attaquons en français, en québécois, dans le français que nous avons aussi fait notre, et puis retournons vers d’où l’on vient pour défendre ce qui demeure, où défendre veut vivre et faire grandir ce qui n’a pas encore été assassiné, j’entends sous-jacent : soyons vigilant,es soyons très vigilant,es à ne pas nous faire endormir par le système qui endort et se répand, soyons attenti,f,ves, y être, être dans ce système est dangereux, mais ne pas y être ça veut dire que, pur, notre assassinat va continuer, et que nous ne ferons rien, mais ce n’est que ce que, depuis l’endroit d’où je suis, à partir de cette remarque, depuis blanche, française, femme, classe moyenne x milieu intellectuel, à la langue amputée par l’économie, c’est projection
Je t’écrirai tout ce que je crierai les toits de toutes les cités je réciterai braise mémoire nitei mak utassi mes pieds sales chantant la beauté le sable parmi les sabliers du temps Perdons à stagner basculons fou à mourir au bout des routes 138 irréprochables Folle à mourir au bout de la route territoire Ma mère faiblit mes pieds ne l’atteignent plus.
Natasha Kanapé Fontaine, Manifeste Assi, éd. Mémoire d’encrier, 2014 (p.25)
je pense au livre de Niviaq Korneliussen, Homo Sapienne, qui d’emblée affirme :quelque chose comme vous n’aurez rien de ce que vous pensez pouvoir trouver d’exotique, votre rêve de Groenland blanc n’est pas notre réalité, j’y pense en lisant le Manifeste Assi, j’y pense car si des immeubles apparaissent, si la ville figure, ne cesse l’entremêlement avec d’autres mots qui résonnent paysages qu’il s’agisse de noms d’animaux, ou de rites, de luttes, de corps, de routes, corps et routes et paysages deviennent les uns les autres comme dans une mythologie que je connaîtrais par ailleurs, je connais pas celle innu, connais les bribes de celles qui résonnent, ici et là, comme dans Les enfants vers d’Olga Tokarczuck, ou dans le Kalevala qu’écrit Elias Lönnrot (!), ce que je connais ce sont des fragments qui se mêlent et qui se combinent, par l’essentiel se recombinent comme dans ce Manifeste Assi, qui s’il est un chant de lutte est aussi une oeuvre littéraire, un chant de lutte comme pourrait l’écrire Lauren, de The parabole of the sower, comme l’écrit, essentiel Octavia E. Butler, elle comme peut-être Natasha Kanapé Fontaine écrit cet essentiel-ci, Manifeste Assi, comme Livre des vivants, recombinaison de ce qui a été hérité, transmis, s’élève la question de ma propre réappropriation culturelle : fait-elle mur à ma lecture ?, fait-elle mur pour me faire désirer une épopée, un chant épique ?, est-ce donc cette épopée que je souhaitais continuer à entendre ce Manifeste Assi ? Si c’est un chant épique, c’est un chant épique en fragments, des fragments d’un chant qui doivent être reconstruits entre eux, entre ces fragments il faut tisser, tout un travail : tout n’est pas dit, tout n’est pas clair, il y a la langue, et la langue rugit, est calme, rugit, se déverse, ralentit, au milieu de multiples décalages qui m’en font réceptrice toujours un peu en décalage, appréciant ce décalage, encore un espace pour réfléchir à ce qui parvient, vient de parvenir, va parvenir encore relisant plusieurs fois les mêmes lignes : galoper avec le Manifeste Assi c’est à la fois être enchantée par une beauté, une rudesse, et à la fois devoir réapprendre à comprendre,
Je me retire écorce les mots où la colère a sué ou la colère a bûché brave j’ai pelé l’ivresse et l’écume et la mousse d’une seule main l’hiver ne vous a pas éprouvé comme il devait ne vous a pas démontré la racine la plus vive il est dit que le monde a couru jusqu’ici des bâtons marquent d’un trait le sol gelé sous la dérive des peuples qui concassent les yeux bandés le chemin à garnir : ma grand mère gravit les montagnes la baie est un fleuve dans un seul fruit je lave mes vêtements dans un cercle de métal je m’appellerai à nouveau braise et écorce reprendrai le nom de mon père me souviendrai de la naissance des cieux mon peuple je prendre les anguilles les redonnerai à la mer je redeviendrai le pays que mes ancêtres ont bâti jadis sur les abords du fleuve
Natasha Kanapé Fontaine, Manifeste Assi, éd. Mémoire d’encrier, 2014 (p.45)
peut-être, peut-être que l’écriture de Natasha Kanapé Fontaine résonne en moi, or la possible connaissance de contes, de mythes, de chants, or ce par devers, résonne peut-être en moi au point précis de la lutte où, l’autrice le dit-elle même sur le site de son éditeur, Mémoire d’encrier : “Mémoire Assi est d’abord une terre de femmes”, cette lutte pour une terre, pour un peuple, n’est pas un peuple où homme vaut supérieur à être, est une terre comme les femmes et la terre sont prises par les hommes blancs, avec violence, en violant, en violant la terre et les femmes, en tuant, stérilisant, avec toute l’arrogance du pouvoir et de l’argent les forêts sont ouvertes, déracinées, replantées carrées, rentabilisées par devers elles les forêts comme les terres plantées comme les femmes sans cesse colonisées, parce que femmes, et la lutte est celle de générations en générations celles des femmes, le corps des femmes comme le corps du monde, lutter pour le préserver, contre qui l’envahit, contre tout colon, lutte de génération en génération, c’est présence mère et grand-mère, leur importance, toujours leur importance quand elles ont été contre la colonisation de leur peuple, de leur corps, de leur esprit, de leur terre, quand ces quatre mots peuvent faire un, de façon qu’encore chacune est soi, c’est ce que réussit, et nous dit qu’à côté d’elle, on peut se tenir droit, et lutter, c’est, je crois ce que réussit Natasha Kanapé Fontaine dans son Manifeste Assi,
https://innovationsenconcert.ca/event/manifeste-assi/?lang=fr
* Natasha Kanapé Fontaine, Manifeste Assi, éd. Mémoire d’encrier, 2014 (p.44)
#natasha kanapé fontaine#manifeste assi#poésie innu#poésie québécoise#poésie contemporaine#mémoire d'encrier#octavia butler#The parabole of the sower#lauren#kalevala
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Very touching poems by students from Teueikan elementary school in Mingan 💕 #minganmonvillage #minganmyvillage #mingan #poetry #poésie #innu https://www.instagram.com/p/BqyxHNAlvn8/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=190wxpww6vk4
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Poésie innue
Uiesh Quelque part
Joséphine Bacon ; Edition Mémoire d’encrier ; Parution 2018 ; 126 pages
“Je n’ai pas la démarche féline J’ai le dos des femmes ancêtres Les jambes arquées De celles qui ont portagé De celles qui accouchent En marchant”
“Apu tapue utshimashkueupaniuian pemuteiani Anikashkau nishpishkun miam tshiashishkueu Nuatshikaten Miam ishkueu ka pakatat Miam ishkueu ka peshuat auassa pemuteti”
Uiesh Quelque part est un recueil de poésie écrit par Joséphine Bacon, une auteure Innue. Ce sont de très beaux textes simples et authentiques qui parlent de liberté, de territoire et de la dureté de la vie nomade au plus proche de la nature. J’ai adoré le fait qu’il y ait la traduction de chaque texte en innu-aimun.
Un thé dans la toundra
Joséphine Bacon ; Editions Mémoire d’encrier ; Parution 2013 ; 102 pages
Encore un magnifique recueil de poésie de Joséphine Bacon où chaque texte est traduit en innu-aimun. Je ne me lasse pas de son écriture. Cette fois elle nous invite dans la toundra au Nord du Québec. Sous les aurores boréales, à la chasse au caribou, à la rencontre des aînés et très loin de la ville, elle dévoile toute la beauté de son identité. C’est sublime.
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KUESSIPAN - Après la trilogie bien remuante sur trois femmes “à part”, formée de Benedita, Annette, et Titane, je m’en suis retournée en salle pour savourer un autre film sur une femme exceptionnelle, mais par opposition méditatif. Kuessipan joue sur de la vie des Innus de “La Réserve” dans les grands espaces au Canada. Le film montre ces lieux peu connus ou est implantée une population minoritaire originaire de ces terres encore un peu sauvages.
Pour son premier long métrage de fiction, la réalisatrice québécoise Myriam Verreault a donc choisi d’adapter le roman “Kuessipan”, paru en 2011 et écrit par Naomi Fontaine, une jeune romancière de 23 ans, membre de la nation innue d’Uashat. Myriam et Naomi ont associé leurs forces et leurs talents pour l’écriture du scénario, un livre dont elle se sont souvent éloignées, mais sans jamais en trahir l’esprit.
À Sept-Îles, sur les bords du Saint-Laurent, la population innue est donc “parquée” dans des réserves. Deux enfants, Mikuan et Shaniss y ont grandi, la première dans une famille unie, la seconde séparée de ses parents violents et alcooliques, y sont devenues inséparables. Mais au sortir de l'adolescence, leurs chemins semblent emprunter des chemins différents. Mikuan, éprise de littérature, ne rêve que de quitter une communauté qui l'étouffe tandis que Shaniss s'y est retrouvée piégée par un compagnon toxico et l'enfant qu'il lui a fait.
En toile de fond, un très large et émouvant propos sur l’amitié dans sa plasticité à résister au temps, aux changements, et au développement familial des protagonistes en question. Mais ce fil conducteur se fait par moment plus discret au profit d’un propos classique mais toujours extrêmement juste et bien senti sur la différence, l'adolescence, la beauté des langues, les difficultés et la puissance que donne l’appartenance à une communauté autochtone, et le poids des traditions que cela coute aussi…
Kuessipan n’est pas un film «sur» les innus, c’est un film «avec» des innus dans le but parler de toutes ces choses si sensibles à propos desquelles le débat est sans cesse à renouveler, que ce soit à l’échelle du groupe, ou au niveau du combat de chacun. La façon dont chaque individu choisit de prendre sur lui la part de l’héritage collectif, n’est évoquée que lorsqu’il s’agit de s’en émanciper, et nous laisse sur notre faim. On peut aussi regretter que les traditions dont il est question, et la façon dont elles constituent ce ciment indélébile dans la communauté Innue ne soient que survolées.
L’ensemble reste prenant, émouvant, authentique et à tout moment instructif. Avec cet opus, une nouvelle preuve est apportée qu’un film de fiction peut nous apprendre autant de choses sur un sujet, voire davantage, qu’un documentaire pur et dur. En nous intéressant à l’évolution de l’amitié entre deux jeunes filles fort différentes l’une de l’autre et en posant les bonnes questions quant aux limites entre ce qui ressort de la protection de la culture d’un peuple et un repli identitaire, Kuessipan devient un témoignage incontournable.
NOTE 15/20 - Une belle chronique, âpre et sensible, de deux amies amérindiennes : l’une s’accroche aux traditions innues, l’autre veut s’adapter au Québec moderne.
Poésie des images, délicatesse du style : Myriam Verreault, la réalisatrice, a un passé de documentariste et capte avec finesse les flux sous-jacents de sentiments: la mélancolie, la quête d’identité, et quelques bribes sur les rites de passage. Son film est une ode à une culture menacée, mais aussi une belle leçon d’amitié.
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La poète Noémie Pomerleau-Cloutier présentera des extraits de son nouveau recueil le 21 avril !
Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) propose ce mercredi, 21 avril, une lecture en ligne avec la poète Noémie Pomerleau-Cloutier dans le cadre de sa série De vive voix.
Originaire de la Côte-Nord, l’autrice lira des extraits de son tout nouveau recueil, La patience du lichen (La Peuplade, 2021). Elle nous fera voyager avec sa poésie dans les villages de la Basse-Côte-Nord et partagera avec nous des bribes de vie des Coasters (Innus, francophones et anglophones) vers qui elle est allée à la rencontre.
Noémie a publié auparavant Brasser le varech (La Peuplade, 2017). La patience du lichen est son deuxième recueil de poésie.
En collaboration avec le Salon du livre de la Côte-Nord
En un coup d’oeil
Quoi : Série De vive voix | Lecture en ligne avec la poète Noémie Pomerleau-Cloutier
Quand : le mercredi 21 avril 2021, à 17 h
Où : en ligne sur le site de BAnQ
Prix: gratuit
Information et accès à l’événement : https://bit.ly/3uMiRkU
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Matshinanu
Des textes de la grande poétesse Joséphine Bacon, à lire et à entendre en innu comme en français, inspirés des photographies illustrant le quotidien de son peuple, l’un des derniers groupes nomades en Amérique du Nord. En attendant de venir vous imprégner de l’esprit des lieux, profitez de ce moment que l’auteure innue nous a offert. Joséphine Bacon. Exposition Matshinanu — Nomades au Musée des…
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Maudit silence
Avec le livre-disque Maudit silence, Chloé Sainte-Marie pousse encore plus loin les frontières de son répertoire poétique mis en musique. Plain Song Song of a Plain Man » donne à entendre les mots de Nancy Huston ; un texte inédit inspiré de son roman « Cantique des plaines » et porté en français et en anglais par la voix de Chloé Sainte-Marie. La composition musicale sensible et riche d’Yves…
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