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Contra (Konami, 1988)
Calvasse, j’te dis que ça part fort ce blog là. Environ le premier jeu que j’ai clearé en 2021, c’est Contra. J’me suis acheté le Contra Collection (sur Xbox One) durant la période des fêtes parce qu’en spécial et j’avais un drôle de craving de rétro. C’est plutôt rare dans mon cas. Y’en a comme une dizaine dans le bundle, soit les versions arcades, européennes, asiatiques ou celle qu’on connais plus ici. J’t’allé dans le ben ben classic pis j’me suis tappé celui du NES, sans cheat, comme un homme esti. C’est la première fois que j’me force autant pour clearer un jeu de même. Pas que c’est si dur, c’est que mon intérêt pour la chose fade aussi rapidement qu’elle est venue. J’ai pas la patience d’apprendre la run flawless pis je fini toujours par me tanner midway through. J’en suis enfin venu à boutte. C’est principalement du par-coeur infusé d’une dose de réflèxes. La plupart des tableaux sont groundés avec très peu d’éléments RNG, mais t’as toujours des p’tites sections qui vont te spawner un (ou trois) troopers qui font généralement juste te courrir après. C’est tight, ça se joue facile. Les jumps feelent corrects, le gunning aussi malgré la limite de balles dans l’écran. D’ailleurs, les p’tits projectiles blancs ennemis, ça gosse parce que tu peut vite les perde pis t’en manger un. Attache-la parce que tu va t’en manger souvent. Rien qui frustre trop par exemple, y’a pas d’obstacle ou de design qui feel vraiment cheapshot. Y’a des stages en third person pis je trouve ça pointless ben raide mais ça fesait spécial à l’époque i guess. Sont pas particulièrement agréables pis c’est souvent juste des credit eater parce qu’ils te spamment de trucs à éviter plus que d’autres choses. J’peux pas croire que je review Contra comme premier post. C’tun bon 8/10. Tight gameplay, soundscape assez historique, un coop classique. I mean, you know this game.
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Il manque que la robe et je vais pouvoir commencer à sacrifier des mecs ingrats.
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#Repost with @Repostlyapp @adilrami Tellement content d’avoir retrouvé mR @patrickkluivert9 #legende depuis le @losclive #honneur #fierté #joie ... 😃😃😃 10 ans après #plusoumoins rencontrer la première star avec qui j’ai joué 🤩 et retrouvé le jour de son anniversaire #1juillet2020 alors joyeux anniversaire 🎊 mon pote en te souhaitant longue vie et le meilleur pour la suite 🥳🥳🥳🥳 🏆🏆🏆 @senequiersainttropez https://www.instagram.com/p/CCHii4ppUM5diRUH1bNttcb8QYsEJQLVb7xQnQ0/?igshid=1ptjiig284eqg
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¿Dónde està el coup de foudre ? Aquí ! 🇪🇸💕 #Amigos #españa #masomenoserasmus #dueitalianeeunfranceseinspagna #dueitalianeDISADATTATEeunfranceseinspagna #dóndeestálabiblioteca #jevousaimes❤️ #plusoumoins
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C'était ce soir au manding art ! #lambdaimpro #mandingart @atelier.mandingart #improv #plusoumoins #improdirigée
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Picnic time ☀️#healthy #plusoumoins #chicken #drpepper #salad
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Silent Hill (Konami, 1999)
La dernière (et première) fois que j’ai touché à ce jeu-là, j’avais environ 14-15 ans, je restais chez mes parents en campagne à Bellecombe. C’est un de mes amis qui l’avait loué. On s’est tappé une grosse session de genre 3h pm jusqu’au petite heure du matin. Mon chum restait à une 20aine de minutes à pied de chez nous. C’est mon souvenir le plus marquant de ça, la marche du retour, dans le noir, pas de sons apart les chiens des maison que je passais devant qui beuglent. Esti que j’avais la chienne, j’avais juste Silent Hill dans tête avec toute son creepyness, ses sons malaisant pis son vibe eerie. Ça pis me semble qu’on battait un ver de terre géant. Y’en a pas fuck all.
22 ans plus tard (gasp), j’machète le bundle de Silent Hill HD collection (ce review-là va venir) pis je me tappe le 2 et le 3. J’ai envie d’en faire plus pis un ami à moi me fait réaliser que c’est possible d’acheter le premier sur le store du PS3. Ça part ben en esti, j’les fait même pas dans l’ordre. Coudonc. J’ai déjà les autres dans le corps fec c’est un peu difficile de backtracker sur un support plus vieux. Étonnament, quoi que ben carré (plateforme oblige), c’est moins laid de ce que je m’attendais. C’est assez regardable même. Les personnages sont plus animés que j’aurais cru, les lieux mieux définis que j’espèrais. Évidemment, quand tu te promène en ville c’est vide sur un temps, mais c’tai une pas pire gagure dans ce temps-là. J’tai plutôt surpris que la plupart des pièces des landmarks que tu visite sont pas copy-pasted et ont chacune leur touches personnelles. Je sais pas ça fait combien de temps que j’ai pas touché à un jeu de PS1 par contre fec ma mémoire est probablement éronnée sur la qualité et le stock qu’un jeu peut contenir, mais ça m’a satisfait. Les cutscenes sont crissement off et mise à part une en particulier, j’ai plutôt ris du cringyness. Le jeu aurait facilement pu faire sans mais c’tai la mode dans ce temps-là aussi, d’autant plus que le dude qui les a fait était seul et s’est fendu le cul pour les faire. Coudonc. Le gameplay en tant que tel c’est ... Resident Evil. Y’a rien d’autre à rajouter. Tu t’promène, tu sors painfully ton arme quand tu vois de quoi pis tu pèse jusqu’à temps que ça tombe à terre. Resident Evil a la décence de te laisser dégainer, rengainer et te positionner rapidement. Icit, t’es mieux de commit parce que le temps que tu te rende compte que c’tai pas une bonne idée pis que tu veux mieux te placer, c’est pratiquement certain que tu te mange un hit. Ça pis les tabarnacs d’oiseaux quand tu te promène en ville; quasiment inévitable. Bat toé pas contre ça, ton bonhomme track pas assez ben si yé pas a 2 pieds de toé, le temps que tu sorte ton gun c’tun hit assuré pis y s’en mange plusieurs avant de dropper le batârd ! Anyway, apart ça, c’est jouable pis j’ai toujours ben aimé la méchanique de pouvoir les stomp une fois qu’ils sont à terre. Très satisfaisant quand y’en a un qui t’as faite chier plus que les autres. Les ennemis design sont correct, voir cool (les infirmières sont pas pire devenus iconiques). L’inventaire est facilement gérable pis c’pas trop bourré de cossins. Tes guns, tes medpack, tes clés ou key item. J’aime ça straight de même. Gros props à la map que ton personnage prend des notes au fur et a mesure. J’aime ben ça qu’il hachure les endroits que je peux pu passer, qu’il laisse un note genre ‘‘music box’‘ dans une pièce, qu’il souligne différement les portes barrés de celle qui ne peuvent être ouverte. Le puzzle devrait être le puzzle en tant que tel, pas comment t’y rendre. Les puzzles par exemple... esti. À mon souvenir, c’était un peu ce qui fesait la force du jeu entre autre. Aujourd’hui eeeehhhh j’sais pas. C’est cool le choix de difficulté des puzzles au début mais c’est toute. Au début je me forcais pour essayer de les solver moi-même pis des fois les solutions était tellement genre ‘’’ahhhhh ouin de c’te point de vue-là ça fait du sens’’ que j’ai fini par me tanner. Ils sont out of context ben raide, super cryptic pour rien pis te donne pas la sensation d’avoir été intelligent, juste gosseux. J’ai fini par checker sur le net la plupart du temps. Le storyline lui, c’est autre chose. J’te rappelle que j’arrive de faire SH2 et 3, pis je sais que le 3 c’est la suite directe du premier. J’embarque pas ben ben dans l’histoire du culte pis du bébé dieu. C’est tellement mal conveyed anyway. C’pas clair clair, les dialogues des personnages c’est environ irrelevant 9 phrases sur 10 en plus d’être amené de manière tellement drabe que quand une discussion est terminé, t’es rarement plus avancé dans ta compréhension des affaires. Oui oui, on le sais que vous trouvez ça ben spécial ce qui se passe mais pourriez vous arrêter d’imiter que ‘’vous parlez dans un rêve’’. Ça pis Harry tout ce qui trouve à dire c’est ‘’Have you seen a little girl, this tall, black hair’’ à environ tout ce qui est doté d’un sens de compréhension. Y’a plusieurs fins dépendamment de certaines action que t’as accomplies durant le jeu, ce qui est plutot neat parce que c’est actions-là, tu les sais pas vraiment donc une game normale pour toi peut être différente chez quelqu’un d’autre sans qu’il en ai fait le choix ‘’conscient’’. Évidemment, ces fins-là sont vraiment pas à se pitcher sur les murs, surtout qu’y’en a juste une canon. Y’ont même eu l’audace d’en faire une que c’tun rêve ! Les gros gros plus de ce jeu-là, c’est l’ambiance qu’ils sont su y mettre. Les angles de caméra sont efficaces autant pour le player que pour mettre le ton, d’autant plus que tu peux jouer avec, ce qui a un sérieux edge sur celles de RE. Le sound design est STELLAR. Sans que ça soit too much ou trop cliché, des p’tits sons de metal qui cogne ensemble, de trucs qui craquent sans que tu comprennent d’où ça viens, d’acier qui grince, c’est ce qui fait la plus grande force du jeu. Ça absorbe ton attention et multiplie la tension ben raide quand t’entre dans une nouvelle pièce, tu sais pas si t’as affaire a un ennemi que t’as jamais vu, un hazard ou simplement un son ambient. C’est très engaging à ce niveau là. Mettons, en tout et partout, je lui donne un Huh sur 10. Mon souvenir était meilleur que le jeu.
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