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#plaisircoupable
laflecheverte85 · 1 year
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Le robot de compagnie, je retiens ça du visionnage de Rocky 4.
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jay-stoner-baner · 3 years
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Aujourd'hui je me révèle encore un peu plus à vous : voici une petite faiblesse qui me perdra, probablement ! Ou peut-être pas. #heman #hemanandthemastersoftheuniverse #masteroftheuniverse #lesmaitresdelunivers #musclor #squeletor #comics #figurine #collectibles #paninicomics #plaisircoupable (à Eternia) https://www.instagram.com/p/CYlTe-oM_Sa/?utm_medium=tumblr
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maquisart · 4 years
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@maquis_art #maquis_art #maquisartwalloffame #Repost @plaisircoupablemagazine ・・・ Julio @julionetapas #yardromance #panel #graffiti #graffitiart #graffitiontrains #trainspottingg #trainart #rollingthunder #yardt #graffititrain #trainspotting #trainloverg #plaisircoupable #bordeauxtrains #trainspottingbordeaux #graffitibordeaux #railpassion #graffitiporn #trainwriting #graffitiontrains #trainbombing https://www.instagram.com/p/CGFrHI0JhFV/?igshid=1xrsncahs1w2a
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karlsigwald · 4 years
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Le problème quand tu as un copain boucher, c’est qu’il te propose des choses irrésistibles. #plaisircoupable #osamoelle #cuisinetraditionnelle #cuisinefrançaise #carnivore #lovecooking #meat (à Oberkampf) https://www.instagram.com/p/CB0_nfdKEtn/?igshid=173k3wmrfkves
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grandesere · 5 years
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Jusqu'à la lie. En plus, ça me déconcentre quand je travaille de changer de musique. Après Gold, il y a eu Sean Paul, et là ça se dirige vers Piazzolla 💃 #plaisircoupable #musique #seanpaul #boucle #loop #dessin #bd #bandedessinee #comics #encre #lesmomentsquejaimebien #lesmomentsque https://www.instagram.com/p/B2rGvtnoJrZ/?igshid=xhs4rzsvo6b1
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happybeurzdisque · 5 years
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13-11-01 // I Get Wet
Putain, la moitié de ma vie!
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Y a quelques semaines, je fêtais mes 37 ans. Une soirée à la gloire de la mixologie, en mode pinte de whisky au Lexomil. Alors que j’étais affalé sur la cuvette des toilettes en attendant que la tempête de bide passe, m’est revenu une mélodie improbable. Le son de ma jeunesse, d’un âge d’or où les CDs étaient encore rois en la demeure… Une musique à ranger éternellement au rayon “Plaisir coupable” de toute discothèque, ou s’il n’y en a pas, à brûler avec les posters de Blink à l’occasion d’un autodafé post puberté.
Cette musique dont je parle, c’est ‘I Get Wet’ d’Andrew W.K. Car, même à l’aube des 40 piges, ‘Party hard’ ou ‘Fun night’ ont encore ce pouvoir mystérieux de te faire taper du pied et remuer le popotin comme un débile. Y a juste un mini détail qui a changé. Alors qu’à l’époque tu pouvais te goinfrer l’album du début à la fin sans cesser de headbanger, là difficile de dépasser 3-4 titres sans crever le plancher du “musicule” (comprendre musique ridicule). Sans compter le risque hautement probable de lumbago.
Ne reste-t-il donc queue de chie du premier Andrew “Doubeul you Kay” pour les trentenaires attardés? Cette question mériterait facile un essai de philo de 15 pages, ou une interview grand format d’un anthropologue dans ‘Bouillon de culture’ (ah merde, on me signale dans l’oreillette que Bernard Pivot a disparu du PAF). Mais concentrons-nous plutôt sur la musique, voulez-vous. Il faut bien avouer que le caucasien exigeant que je suis a du mal avec cet album du père ‘drew. Sûrement que le côté « lourdot » que je n’avais pas remarqué étant ado saute maintenant un peu plus aux oreilles: voix grasse, chant poussif, enrobage de chœurs mielleux que ne renieraient pas les chanteurs de la génération Club Dorothée (‘Take it off’, ‘I Love NYC’)… Les conclusions de track sont faites à la truelle ou sur des bruitages de feu d’artifice comme si c’était l’Independance day. C’est sûr qu’en 35 minutes d’enregistrement on doit pas y aller par 4 chemins. Impossible de ne pas penser à la musique de mi-temps du Super Bowl, quand les spots publicitaires inondent le stade et le ketchup dégouline des hot-dogs.
Le plus craignos, quand on ressort le disque de sa boîte poussiéreuse quelques 18 années après sa sortie, est de ne pas avoir l’impression de s’être fait b… dans les grandes largeurs. La pochette, avec son visuel gore et son lettrage brut de décoffrage, suggère une énergie dark qu’on ne retrouve pas du tout à l’écoute. A nouveau il est où le cacheton Parental advisory de l’oncle Sam, hein? Ok, le mec s’est mis un coup de brique dans l’pif pour les besoins de la photo. Et, comme le résultat n’était pas à la hauteur, le gars aurait balancé du sang de porc dans le mix. Mesdames, quand vous voudrez des lèvres rouge éclatant, pensez à visiter le boucher en bas de chez vous. En 2001, année ô combien glorieuse pour le nu-metal, la pochette d’Andrew W.K. n’a pas manqué de passer pour un appel à la violence et à l’abus de drogue- disclaimer les kidz, la coke fait saigner du nez! Plus d’un teenage a dû se faire avoir en pensant acheter le nouveau Slipknot. Visuellement, ‘I Get Wet’ fleure donc bon la mise en scène, d’un air de dire “regardez le gros thug que je suis, mais quand même mes paroles et ma musique i sont gentils”.
Et effectivement ça ne s’arrange pas du tout avec les paroles. Le titre potache ‘I Get Wet’ (Je mouille ma chemise, ou je mouille tout court, suivant que vous ayez l’esprit plus ou moins mal placé) est trompeur, car au lieu d’une ambiance grivoise, on a droit à une célébration presque puritaine du désir et de l’amour, comme sur ‘She is Beautiful’. Même American Pie avait plus de second degré. Bon, il lui arrive aussi d’évoquer les petites contrariétés de la vie sentimentale, avec une profondeur toute relative. Sur ‘Girls own Love’, Andrew W.K. fait un traitement à la femme inaccessible, un peu garce, qui tire son plaisir à piétiner la gueule des mecs. Suit ce message du Docteur Hitch à ses disciples:
“You've got to make her understand
That you are a man”
Qu’on peut traduire en gros comme, insiste façon gros mâle alpha, ça finira bien par passer. Et tant pis si ça frôle le harcèlement sexuel - ah, qu’on était tranquille dans l’ère pré “me too”. Le pire, c’est encore quand Andrew s’attaque à d’autres thèmes que les parties de jambes en l’air ou la teuf. L’ode à New York ‘I love N.Y.C’, par exemple, est désespérant de vacuité, tant sur le plan musical que lyrique.
Au final, la franchise bas du front qui transpire de ‘I Get Wet’, que certains pourront reprocher au disque, constitue peut-être paradoxalement aussi son plus gros atout. Andrew W.K. n’est rien de plus que ce qu’il parait: un type qui aime la fête, au look uniforme – toujours le T-shirt blanc poisseux et le même jean increvable, visage christique et longue tignasse... Pas étonnant que le mec soit devenu un emblème (d’ailleurs n’oublie pas d’acheter ton café et ton mug ‘I Get Wet’ en cliquant sur ce lien), un gourou de la « psychologie positive »... Voir son courrier des lecteurs dans Village Voice. L’association américaine de prévention du suicide l’a même désigné Personne de l’année en 2018. Il parait que le taux de suicide aux États-Unis a reculé de -15% dans les semaines suivant cette nomination.
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“Andrew W.K., vous venez d’être élu Personne de l’année par l’association américaine de prévention du suicide, une réaction?”  
Heureusement pour lui et nos oreilles, Andrew W.K. n’aura pas oublié d’évoluer après ce ‘I Get Wet’. Non pas que j’ai étudié extensivement la discographie du bonhomme. Il me semble que le successeur ‘The Wolf’ est déjà bien plus complexe et travaillé musicalement. Sois donc prévenu, cher auditeur, si tu ressors la fameuse galette de ta discothèque. C’est fun, pendant 10 minutes max sur les 35 que contiennent l’album. Car au bout d’un moment, impossible de ne pas voir le leader charismatique prendre la forme du grand bêta avec qui tu trainais au collège ou au lycée, qui était très très gentil, mais alors rapidement très très lourd. Sans rancune, Jérémie et Andrew.
Bonus vidéo: regarde comme sieur Doubeul You Kay s’amuse comme un petit fou avec les Jackass
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C’est sûr, le mec est dans son élément...
Francis Skeud B-)
La note complètement méritée de HBD pour ‘I Get Wet’: 3/10 comme « ouhlalala j’ai très mal vieilli »
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emasso · 6 years
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Comment faire plus de place dans l’estomac!? #gourmandise #petitdej #plaisircoupable #cheesecake (en The Cheesecake Factory México) https://www.instagram.com/p/BuhATltgOUYmsb9AiYh_tiRlYjd8-bCkHvtECw0/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=vejihu9mw9q8
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a-room-of-my-own · 4 years
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TILLY pose IMMÉDIATEMENT tout ce que tu tiens et va faire chauffer l'abonnement boulot à Valeurs Actuelles parce qu'ils ont fait un papier incendiaire sur Usul, le héraut auto-proclamé de la Gauche « radicale » (à géométrie variable) ! #plaisircoupable
ON A PAS D'ABO À V-A 😭
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"Plaisirs Coupables #05 - 2 salles 2 ambiances" by Plaisirs Coupables
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frenchkissmagazine · 4 years
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#plaisircoupable (à Bordeaux, France) https://www.instagram.com/p/B_-HhlRIVTb/?igshid=1bzvssamgkekb
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ledeuxiemeshift · 10 years
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Les joies de l'école alternative
Une des raisons les moins socialement acceptables, mais les plus agréables au quotidien, pour envoyer son enfant à l'école alternative: pouvoir se lever à l'heure où le petit voisin est déjà en train de courir après son autobus. 
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rougeprofond · 11 years
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#ootd avant Stallone !!! #plaisircoupable
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Une 8e création spéciale sur mesure pour le resto. Yeah! #décoration #plaisircoupable
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