#piroplasmose

[passion-whippet]

Piroplasmose du chien : Comment protéger votre Whippet ?

Introduction Pourquoi vous parler aujourd’hui de la piroplasmose du chien ? Parce que, dernièrement, j’ai lu plusieurs articles sur la tique géante qui envahit progressivement le sud de la France. Elle est, en effet, présente dans au moins 11 départements français. Heureusement, cette tique semble n’être dangereuse que pour l’homme et pas pour nos chiens. Cependant, Je me souviens encore de la…

[delorme-goldberg]

Reisen mit dem Hund nach Frankreich

Bei Reisen u.a. nach Frankreich 🇫🇷 sollen Sie Ihr vierbeiniges Familienmitglied gegen die Babesiose (Blutparasiten) schützen. In Frankreich gibt es mehrere Gebiete, in denen diese Erkrankung endemisch ist und häufig vorkommt. Durch die Kollegen und Kolleginnen in Frankreich (Tierärzte) haben wir erfahren, dass dort, sogar jetzt, einmal die Woche einen Fall behandelt werden muss. In Frankreich…

[schlauemaus]

Babesiose

= Piroplasmose

Ursache

Babesien (Blutparasiten):

Übertragung: Zecke nimmt befallene Erys auf -> Vermehrung im Zeckendarm -> Befall von Ovar, Eiern und Speicheldrüse -> erneute Blutmahlzeit -> Sporozoitenvermehrung in Speicheldrüse -> Übertragung auf neuen Wirt (Hund) nach 12-36 Std

Babesien befallen Erys und zerstören sie direkt -> Freisetzung vasoaktiver Faktoren -> gesteigerte Kapillarpermeabilität, Gefäßdilatation, Hämostase und Hypoxie -> DIC mit postthrombotischer Azidose und Gewebenekrosen

große Babesien

B. canis: Überträger Dermacentor reticulatus; klinische Besserung meist innerhalb weniger Tage B. vogeli: Überträger Rhipicephalus sanguineus; Endemiegebiet Südeuropa; weniger virulent, kann für "schwache" Tiere trotzdem tödlich sein

kleine Babesien (selten, vorsichtigere Prognose)

B. gibsoni: bei uns meist Reiseerkrankung B. annae

Symptome

Inkubationszeit 10 Tage- 3 Wochen

(Per)akut:

perakut= Symptomauftritt in 24 Std

Mattigkeit, Inappetenz, Gewichtsverlust, Fieber

Erbrechen

Ikterus

stark vergrößerte Milz

blutiger, dunkler Urin: Hämoglobinurie (wg. massenhaftem Zerfall v. Erys)

Selten: gastrointestinale/ respiratorische Störungen, Ödeme, Aszites, Muskelentzündung, Oberflächenblutungen/ Epistaxis

bei schweren Fällen DIC -> tödlicher Verlauf

Zerebrale Form:

wg. Kapillarokklusionen -> Ischämien

Unkoordiniertheit, Paresen, Muskelzittern

Nystagmus

epileptiforme Anfälle

Bewusstseinsstörungen, Koma

Chronisch:

versch. lange Ruhephasen mit darauffolgenden Krankheitsphasen

rezidivierendes Fieber

Abmagerung, Teilnahmslosigkeit

Leberinsuffizienz, Ikterus

Laboruntersuchung

Blutuntersuchung:

ggr.-mgr. hämolytische regenerative Anämie mit Sphärozytose (wenn perakut noch nicht regenerativ) Thrombozytopenie Leukopenie (3/4tel der Fälle)/ Leukozytose (1/4tel der Fälle) mit Linksverschiebung und Monozytose Hämoglobinämie Hyperbilirubinämie Hypoproteinämie

Harnuntersuchung:

Hämoglobinurie Hyperbilirubinurie evt. Proteinurie mit hylinen Zylindern

Coombs-Test:

kann positiv ausfallen (vorübergehend)

Elektrophorese

wenn chron.: stark erhöhte Gammaglobuline

Diagnose

Anamnese: Auslandsaufenthalte?, Zeckenbefall?

Blutausstrich, Giemsa-Färbung: mikroskopischer Erregernachweis

PCR: am sensitivsten

Serologie: ELISA -> Feststellung von subakuten/ chronischen Fällen

Therapie

Transfusion

bei ausgeprägter Anämie (Hämatokrit <0,20l/l) mit Erythrozytenkonzentrat, Vollblut od. bovinem polymerisiertem Hämoglobin

Infusion

Antibabesien

va. kleine Babesien schwer zu therapieren Imidocarbdipropionat einmalig, wenn notwendig Wiederholung nach 14 Tagen Alternative: Phenamidin einmalig, wenn notwendig Wiederholung nach 48 Std

Prognose

je nach

Babesien-Stamm (B. canis gut, kleine Babesien schlecht)

Schweregrad Verlauf

Impfstatus

ungünstig:

Laktat, Triglyzeride und Phosphat hoch

Thrombozytopenie

mgr.-hgr. Anämie

Leukopenie

niedriges Totalprotein

Prophylaxe

Welpen aus Endemiegebieten: tw. Schutz durch maternale Antikörper

Ausbildung einer stammesspezifischen Immunität nach Krankheit -> hält nur ein Jahr, Hund bleibt Infektionsquelle

Zecken so früh wie möglich entfernen -> Übertragung erst in frühestens 12 Std

Zeckenprophylaxe: Spot-on (Akarizid)

Impfung: zweimal mit Abstand 2-3 Wo., Booster nach 6-12 Mo

Prophylaktische Gabe von Medis: Imidocarbdipropionat wenn zB Reise in Endemiegebiet bevorsteht, Schutz für 4 Wochen

[hospvetsantamarinha]

☀️ Com a chegada do calor, as carraças são mais frequentes, e com elas, algumas doenças que podem afetar o seu melhor amigo 🐶🐾 As carraças podem causar irritação ou infecção no local onde se fixam à pele, mas também podem ser portadoras e transmitir infecções de um animal para outro. Os cães podem ter infestações esporádicas com apenas algumas carraças, ou infestações maciças, dependendo da quantidade de tempo que permanecem no habitat das carraças e da dimensão da população de carraças. Em algumas partes do mundo as carraças são portadoras de: - Babésia (um protozoário que causa a piroplasmose ou babesiose); - Borrélia (uma bactéria que causa a doença de Lyme); - Ehrlichia (uma riquétsia que causa ehrlichiose) e outros organismos, que podem representar sérias ameaças aos cães e seres humanos. ⚠️ Veja quais os sintomas destas doenças e esteja atento! ⚠️ Mais informações em: https://www.hospvetsantamarinha.com/blog/doencas-transmitidas-pelas-carracas/ #carracas #doencas #pets #animais #hospitalveterinario24h #hospvetsantamarinha #picoftheday #info #petcare #vilanovadegaia #dogs #caes https://www.instagram.com/p/BxKimm8HAl2/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=6gkul59bt8o8

[kleckerlabor]

Mittelmeererkrankungen beim Hund – Vorbeugen ist einfacher als heilen

In wärmeren Ländern übertragen Zecken oder Mücken teilweise tückisch verlaufende Mittelmeererkrankungen. Oft treten die Symptome viel zu spät für vollständige Heilungsaussichten auf. Dennoch können Hund und Mensch vor möglichen Ansteckungen schon vor dem Aufenthalt in solch warmen Gebieten geschützt werden.

Babesiose (auch: Piroplasmose oder Hundemalaria)

Erreger der Babesiose sind…

[soinetnature-blog]

Découvrez l’homéopathie pour entretenir votre cheval

Qui parle de cheval parle de sa puissance et de sa vitesse ! Cet animal nous aide non seulement à nous déplacer, mais aussi à pratiquer certains sports. Il a besoin d’être en bonne santé pour réaliser toutes ses tâches.

De nombreux médicaments de la médecine allopathique et traditionnelle ne sont pas indiqués pour soulager ses malaises. Ce qui incite de nombreuses personnes à recourir à la médecine homéopathique pour soigner leurs maux.

Vétérinaire spécialiste en homéopathie, je vous propose des remèdes et des conseils pour permettre à votre animal d’être en pleine forme.

Pourquoi recourir à l’homéopathie ?

J’ai toujours apprécié les animaux, notamment le cheval. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai fait des études de vétérinaires et effectué une spécialisation en homéopathie. Après ma formation, j’ai créé mon cabinet à 20 km de Rennes pour mieux m’occuper de vos compagnons.

L’efficacité des remèdes homéopathiques est prouvée chez les humains comme chez les animaux. Ils sont préparés à partir de substances naturelles, minérales ou végétales, ce qui garantit l’absence de toxicité et d'effets secondaires.

Ce qui me fascine dans cette médecine est sa douceur. Les composants sont dilués et agissent directement sur les symptômes. Je vous rassure que vous pouvez donner les médicaments à votre cheval autant de fois que nécessaire. Vous pouvez l’administrer même avec d’autres remèdes, sans le mettre en danger. L’homéopathie est pensée pour être compatible avec les autres branches de médecine.

Elle est accessible à tous, car les médicaments ne coûtent pas chers et sont faciles à utiliser. En fonction du mal, je vous prescris des granules, des tubes ou des pommades.

Ne croyez pas à l’opinion selon laquelle l’homéopathie serait une médecine des cas chroniques. Elle peut être adoptée en cas d’urgence.

Apprenez à reconnaitre les malaises de votre cheval

Identifier les signes d’une maladie ou d’un malaise chez votre cheval permet de résoudre facilement le problème. C’est simple : si vous remarquez son comportement lorsqu’il est en bonne santé, un changement inexpliqué va naturellement vous interpeller. C’est pourquoi, je demande à mes patients d’observer régulièrement leur animal.

Certains comportements généraux sont synonymes de malaises. Un cheval à sang chaux qui devient flasque n’est pas un bon signe. S’il est relativement calme et qu’il s’agite sans raison, vous devez prendre le temps de bien l’observer.

Un cheval qui semble avoir des raideurs, lorsqu’il se déplace, a certainement mal. Les pattes sont des parties très sensibles. Il importe donc de les inspecter et de vérifier que l’animal ne boite pas.

Contrôlez aussi la morphologie de votre compagnon. Un cheval qui est en bonne santé possède des poils doux et brillants. Le contraire est synonyme d’épuisement de son organisme.

En général, la peau des chevaux est souple et élastique et ne colle pas sur ses muscles. Essayez souvent de pincer l’animal pour voir si sa peau reprend rapidement la forme. Sinon, consultez un cabinet de vétérinaire spécialisé en homéopathie, je suis disponible pour vous recevoir.

Tous ceux qui ont des chevaux apprécient la belle couleur rosée des muqueuses due à une forte concentration des globules rouges. Un changement de tonalité est synonyme d’une infection ou d’une anémie.

Passionné de cet animal, j’insiste beaucoup sur son alimentation. Un cheval puissant est naturellement bien nourrit. Il a un bon appétit, lorsqu’il est en bonne santé. Ce qui revient à dire que le refus de ses gâteries habituelles révèle souvent des malaises.

Une alimentation normale doit lui permettre de faire entre 7 et 10 crottins  par jour. Si votre animal de compagnie vit au pré, ses excréments seront mous et de couleur verte. S’il vit au box, ils seront bien formés avec une teinte foncée. Il peut boire jusqu’à 60 litres d’eau par jour. Les flancs creux sont l’effet de la soif.

Vous pouvez également constater des problèmes au niveau des yeux et du naseau ou des enflements du fourreau et des mamelles.

Des remèdes homéopathiques pour soulager votre cheval

Quel cavalier n’a jamais été gêné par le malaise de son compagnon ? Les maladies et tracas de la race équine sont nombreux et se ressemblent. Il importe de savoir les distinguer, afin de mieux les traiter.

La fourbure est une affection à traiter rapidement. Elle est caractérisée entre autres par la mauvaise circulation sanguine, ainsi que la détérioration des sabots et des onglons. Si votre animal souffre de ce mal, ne paniquez pas ! Des traitements homéopathiques permettent de le soulager facilement.

En fonction des symptômes, je prescris le Belladonna 15CH, Hypericum 15CH, Arnica 7CH, Pyrogenium 7CH ou Hepar sulfur 7CH.

Si vous connaissez les signes cliniques de l’angine chez l’homme, vous pouvez reconnaitre la Gourme chez votre cheval. Les jeunes chevaux sont davantages sensibles à cette maladie que les vieux. Je propose d’abord le Mercurius Solubilis 1000k et le Streptococcinum 1000k pour traiter l’infection. Ensuite, je prescris l‘Hepar Sulfur Calcareum pour combattre les abcès et le Belladona pour soulager la fièvre et l’inflammation de la gorge.

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La Piroplasmose est une maladie parasitaire causée généralement par des insectes vivant dans les haies et les bois. Elle peut provoquer l’anémie, des lésions rénales et même la mort. Lorsque le cas est critique, j’ai l’habitude de proposer des perfusions ou des transfusions sanguines.

Mes conseils de prévention

Pour les maladies virales, on peut administrer des vaccins. Par ailleurs, certains comportements quotidiens permettent d’éviter de nombreuses maladies.

Comme je le dis souvent : pas de sabot, pas de cheval ! Vous devez accorder une attention particulière aux pieds de votre compagnon. Le nettoyage des sabots avant et après chaque travail permet d’éviter certaines infections. Soignez les petites blessures au risque de s’aggraver.

Vous devez hydrater les sabots pour qu’ils restent élastiques. L’entretien se fait en fonction des saisons, ils ne doivent être ni trop humides en hiver ni trop sec en été. Vous pouvez utiliser un mélange de graisse et d'huile pour assouplir ses sabots.

Comme tous les autres animaux, nourrissez correctement votre animal, selon les recommandations du vétérinaire. Une erreur d’alimentation peut troubler la circulation sanguine et provoquer plusieurs infections.

Mon cabinet reste ouvert pour apporter des réponses à vos préoccupations. N’hésitez donc pas à me poser des questions et à me solliciter pour l’entretien de votre cheval.

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Vaccination des animaux de compagnie

Vaccination des animaux de compagnie

Il n’existe aucun vaccin obligatoire pour nos animaux, exception faite du vaccin contre la rage pour les chiens de catégorie 1 et 2, ou pour n’importe quel chien ou chat si vous passez la frontière par exemple.

Pour autant, même s’ils ne sont pas obligatoires, certains vaccins sont vivement recommandés. Il n’y a pas de liste type car cela dépend des conditions de vie de votre animal : un chat d’appartement ne sortant pas de chez lui n’encourt pas les mêmes risques qu’un chat de campagne chassant et mangeant des petites proies. De même, il y a une différence entre un chien 100 % citadin et un chien habitué à courir la campagne et/ou à nager dans les étangs… Plusieurs vaccins pour chats sont recommandés, et peuvent vous éviter bien des soucis.

Les vaccins pour chiens, utiles ou pas ?

Les vaccins pour chats, utiles ou pas ?

Les vaccins pour chiens, utiles ou pas ?

Contre la maladie de Carré ? Les vétérinaires sont favorables à ce vaccin car cette maladie virale, très contagieuse, est souvent mortelle ou source de séquelles neurologiques graves. Une épidémie survient, environ tous les 8-10 ans : c’est peu fréquent, mais comme tous les chiens sortent et croisent des congénères, ils vont forcément être exposés au virus une ou deux fois dans leur vie. De quoi justifier un rappel annuel, vu la gravité de la maladie.

Contre l’hépatite contagieuse canine (ou hépatite de Rubarth) ? Les vétérinaires l’estiment vraiment utile car cette affection d’origine virale entraîne 30 % de mortalité chez les chiots touchés. Comme les épidémies surviennent tous les deux ans, certains vétérinaires le font un an sur deux, d’autres tous les ans.

Contre la parvovirose ? Il s’agit d’une affection virale très contagieuse, à l’origine de gastro-entérites hémorragiques souvent mortelles. Étant donné que le virus en cause est très résistant et qu’en cas d’infection, on n’est pas certain de sauver son chien en dépit de soins intensifs, il est plus sage d’opter pour un rappel annuel.

Contre la rage ? Le risque que votre animal soit un jour contaminé est quasi nul, mais il suffit qu’un cas de rage soit signalé près de chez vous pour que votre chien risque l’euthanasie si on le soupçonne d’avoir été en contact avec le malade, s’il n’est pas vacciné. Et le vaccin est de toute façon obligatoire pour passer les frontières, prendre certains transports et/ou accéder à certains campings.

Contre la leptospirose ? Cette fois, cela dépend vraiment des conditions de vie de votre petit compagnon. En effet, cette infection bactérienne s’attrape au cours d’une baignade dans des eaux stagnantes infestées par des urines de rongeurs. Un chien citadin a donc peu de risques ! L’infection se traduit par une jaunisse et une insuffisance rénale grave. Elle se transmet en outre à l’homme par contact direct avec le chien malade (c’est une zoonose). Les chiens à risque (comme les chiens de chasseurs) doivent faire un rappel tous les six mois.

Contre la piroplasmose ? La piroplasmose est due à un parasite transmis par les tiques. Le chien citadin vivant en appartement qui ne connaît rien d’autre que les gazons tondus à ras, a donc peu de risque d’être touché alors que celui qui fréquente la forêt ou la campagne, même ponctuellement, peut être la cible d’une ou plusieurs tiques. Il existe un vaccin annuel d’une efficacité moyenne et un vaccin plus efficace et plus récent (pour lequel on a donc moins de recul), à faire tous les 6 mois tant que le chien est exposé.

Contre la maladie de Lyme ? Cette infection bactérienne transmise par les tiques reste peu fréquente et même si votre chien venait à être contaminé, un traitement antibiotique existe. La question se pose surtout pour les chiens vivant en zone rurale infestée, ce qui est le cas dans l’est de la France : le rappel est annuel.

Contre la toux du chenil ? Cette affection respiratoire responsable d’une toux sèche et quinteuse, peut être due à différents agents (un virus et une bactérie principalement). Elle concerne principalement les chiens vivant en collectivité - élevage, chenil, pension - ou ceux participant à des expositions et des activités de groupes. Le rappel est annuel et il n’est pas nécessaire de le faire les années où le chien n’est pas exposé.

Les vaccins pour chats, utiles ou pas ?

Contre la panleucopénie infectieuse ou “typhus” ? Les vétérinaires y sont très favorables car même si votre chat ne sort pas de chez vous, vous pouvez ramener le virus sous vos semelles de chaussures. Or les troubles digestifs et neurologiques qui en découlent sont sévères, voire mortels. Le rappel est annuel.

Contre la leucose ? C’est la première cause de mortalité virale chez le chat et même si le vôtre ne sort pas de votre jardin, rien ne dit qu’un chat contaminé du voisinage n’est pas venu uriner chez vous (les urines, la salive et le sang favorisent la transmission). Cette infection virale grave est responsable d’une immunodéficience et de tumeurs souvent fatales et il n’y a aucun traitement susceptible d’en venir à bout. Le rappel est annuel.

Contre le coryza infectieux félin ? Il n’y a pas vraiment de risque si votre chat ne sort pas et ne croise aucun congénère, car la transmission du virus ou de la bactérie en cause se fait par voie aérienne au contact d’un chat malade. Mais en pratique, ce vaccin est souvent couplé au précédent.

Contre la chlamydiose féline ? Si votre chat vit seul et ne croise aucun congénère, le vaccin est inutile. C’est différent si votre chat a accès à l’extérieur et/ou s’il vous arrive d’en ramener un à la maison. Cette affection bactérienne étant à l’origine de troubles oculaires et respiratoires avec 50 % de mortalité chez les jeunes, mieux vaut faire un rappel annuel dans ces situations.

Contre la rage ? C’est préférable si votre chat arpente la campagne. Sinon, le vaccin est surtout exigé pour passer les frontières, prendre l’avion et séjourner dans les campings.

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L’homéopathie vétérinaire

L’homéopathie est une médecine douce, non conventionnelle et alternative qui date de plusieurs années, notamment du 18ème siècle. Elle est actuellement disponible pour les animaux, bien que son fondateur, Samuel Hahnemann, l’ait conçu pour traiter différents troubles chez les humains. Elle est basée sur le principe de similitude. Les granules proposées sont des substances capables de produire une pathologie chez un être vivant, mais seulement dilué à plusieurs reprises pour que les produits toxiques ne soient pas nuisibles à la santé.

Ce terme vient généralement du mot grec « Homoios », qui signifie « semblable », et de « pathos », qui signifie « maladie ». Cette médecine a pour but de traiter les maux à partir d’une substance toxique, hautement diluée. C’est en effet un moyen de traiter le mal par le mal.

Elle peut être aussi utilisée en complément avec les traitements allopathiques pour soigner un trouble chez un animal, c’est pourquoi il ne faut pas la considérer comme étant uniquement une alternative à un traitement classique.

Qu’est-ce que l’homéopathie vétérinaire ?

L’homéopathie vétérinaire est utilisable aussi bien pour un traitement préventif que curatif. Tout comme chez les humains, la réaction du système immunitaire des animaux réagit avec une stimulation venant de l’extérieur.

Le thérapeute, qu’il soit médecin ou vétérinaire, prescrit une substance qui provoque un même symptôme chez le sujet sain lorsque la dose lui est administrée massivement. En guise d’exemple, le café provoque une insomnie, mais utilisé dans cette discipline, il peut aider un patient à mieux dormir. Et il en va de même pour l’ortie qui provoque une démangeaison insupportable.

La médecine allopathique, quant à elle, utilise les substances qui suscitent les effets contraires, par exemple un anti-vomitif pour traiter les vomissements, un anti-inflammatoire traite les inflammations, etc.

L’homéopathie fait usage des substances naturelles qui proviennent généralement de minéraux tel que le mercure, calcaire, phosphore, silice, etc., de plantes comme le thuya, belladone, etc. ou d’animaux (encre de seiche, venin de serpent, de crapaud ou d’abeille, etc.).

Les substances toxiques en quantité infinitésimale dans les granules n’ont pas toutes une action curative, c’est-à-dire qu’elles ne soignent pas le trouble, elles émettent par contre un signal provoquant la réaction thérapeutique de l’organisme.

L’effet placebo n’est pas présent chez les animaux, il n’est donc pas possible de dire que cette médecine alternative fonctionne puisqu’ils croient selon l’explication d’un vétérinaire spécialisé.

La mise en place des remèdes appropriés repose principalement sur l’observation des symptômes physiques et des circonstances d’apparition du trouble chez l’animal, de son caractère (facilement effrayé ou stressé, etc.), de ses habitudes ou de son mode de vie (lieu de couchage, goût alimentaire, nombre de sorties, etc.).

Que peut soigner cette médecine ?

Elle peut soigner divers maux, mais puisque c’est une médecine plutôt personnalisée, cela implique l’individualité des traitements en fonction de plusieurs éléments qui sont propres à l’animal (son tempérament, sa constitution, ses caractères, etc.).

Le traitement d’un trouble peut donc varier d’un animal à un autre, mais elle soigne notamment les gastro-entérites et les différentes maladies digestives bénignes (indigestions, etc.). L’homéopathie vient également en aide à tous les animaux domestiques souffrant de manifestations allergiques et des grossesses nerveuses.

Certains problèmes de peau et affections de leur appareil locomoteur sont aussi traitables à partir de cette thérapie qui soigne aussi les problèmes psychologiques ou le déséquilibre interne en complément avec les soins de routines tels que les vermifuges, les vaccins, etc.

L’homéopathie vétérinaire traite aussi un grand nombre d’autres maladies. Quelques laboratoires ont même développé certaines gammes de remèdes propres aux animaux domestiques, qu’ils soient de rente ou de compagnie.

Attention ! Elle ne remplace toutefois pas la vermifugation, la vaccination ni les autres traitements antibiotiques en présence d’une infection grave. Elle ne peut pas se substituer à une quelconque intervention chirurgicale. Elle ne soigne pas non plus les maladies évolutives telles que les cancers et ne guérit pas un animal atteint d’une maladie mortelle telle que la rage ou la piroplasmose.

Comment administrer le traitement homéopathique chez l’animal ?

Les remèdes sont disponibles sous forme liquide et parfois sous forme de granules. Il est assez facile de les administrer à l’animal lorsqu’il est sous la première forme, c’est-à-dire liquéfié. Il suffit d’utiliser une pipette, une seringue ou encore un compte-gouttes pour lui faire avaler le médicament.

La plupart des médicaments pour les animaux sont donc sous forme liquide qui est administrable plus facilement par rapport à la forme granuleuse. C’est d’ailleurs un grand avantage puisqu’il est possible de la mettre dans de l’eau ou dans les aliments.

Les granules en dose unique ne font même pas la taille d’un bouton selon la confirmation des spécialistes. Le maître peut, par exemple, les faire prendre à un chien qui se montre coopératif, seulement en les lui présentant dans le creux de la main.

Il faut par contre insister un peu et lui ouvrir la gueule si l’animal est récalcitrant. Une fois à l’intérieur, les granules adhèrent aux gencives ou à la langue limitant ainsi le risque de rejet ou les pertes.

Est-ce une médecine sans risque ?

L’homéopathie ne présente aucun risque chez les êtres humains et encore moins chez les animaux selon les experts dans ce domaine. Elle reste douce où le seul risque est lorsque le remède prescrit n’est pas adapté à la maladie du patient.

Les produits sont très dilués pour avoir une dose infinitésimale rendant le risque de toxicité très faible, voire nul. Une ingestion accidentelle peu diluée peut parfois occasionner des symptômes plus ou moins néfastes pour les animaux de rente ou domestiques.

Il faut cependant prendre en note que même si les préparations ne nécessitent aucune ordonnance majeure, il ne faut pas les administrer n’importe comment. Il se peut que les effets cachent d’autres symptômes.

Elles peuvent aussi, dans certains cas, retarder une administration de soin médical indispensable, c’est pourquoi il est toujours préférable de se renseigner et de consulter auprès d’un vétérinaire spécialisé.

Avantages de la médecine homéopathique dans le règne animal

L’homéopathie est basée sur le principe de similitude. Les remèdes proposés peuvent appartenir au règne animal, végétal ou encore minéral.

Ils sont indiqués à des doses dites « infinitésimales », c’est-à-dire que le laborantin ne pèse pas la quantité de substance à administrer comme en allopathie. Elle est mesurée et préparée à l’issue d’une teinture mère subissant des dilutions et des dynamisations successives.

L’adage latin « Primum non nocere » signifiant « d’abord ne pas nuire » reflète le premier avantage de cette médecine douce. Elle est non agressive et agit par l’intermédiaire des granules diluées, privées de toute toxicité.

C’est aussi une médecine énergétique agissant sur la réactivité du système immunitaire de l’animal pour lui permettre régulariser la santé de l’organisme.

Homéopathie et chien

L’homéopathie est généralement une médecine alternative permettant de traiter et de prévenir de manière douce certains troubles chez le chien, c’est-à-dire pas trop agressif pour son organisme. Elle se révèle efficace pour soulager quelques maladies gênantes et non graves telles que l’incontinence ou les allergies saisonnières.

Des remèdes pour chiens « sans indications thérapeutiques » sont disponibles chez les vétérinaires ou en pharmacie. S’ils ne portent aucune indication thérapeutique ou de posologie, il se peut qu’un principe actif puisse venir à bout de plusieurs affections.

Une maladie peut être, inversement, traitée avec de nombreux médicaments différents les uns des autres. Il est cependant préférable de consulter un spécialiste s’il existe une prévention ou un traitement administrable en automédication.

Diverses médications, portant souvent des indications thérapeutiques conçues spécialement pour le monde canin sont aussi disponibles. Une composition peut ainsi associer de nombreux principes actifs pour le traitement d’un trouble donné chez le toutou.

Ils sont proposés dans les cabinets vétérinaires ou en pharmacie, notamment sensibilisés aux médicaments d’origine naturelle et alternative pour animaux. Ils sont disponibles sous diverses formes comme des pommades ou des gels, des solutions, des comprimés ou encore des collyres.

Attention ! Il n’est pas conseillé de les utiliser seuls en automédication ou à la place d’un remède conventionnel indiqué par un vétérinaire. Ils peuvent, en revanche, apporter une aide importante pour atténuer certains troubles.

La plupart des assurances canines remboursent le traitement et la consultation faite chez un vétérinaire spécialisé.

La médecine douce pour les félins

Cette médecine non agressive prend en charge plusieurs pathologies du chat, tout comme pour les êtres humains. Il se peut qu’il soit stressé, blessé, ait un mal de transports ou atteint d’une maladie plus ou moins grave. Les traitements existent pour tous ces cas afin de le soulager.

Un chat peut revenir à la maison accompagnée d’un traumatisme du genre brûlure, fracture ou contusions surtout lorsqu’il passe sa vie dehors. L’Arnica Montana 5 CH peut l’aider à surmonter tout type de traumatismes. L’Apis Melifica 5 CH l’aide en cas de brûlure importante.

Le coryza est la maladie la plus fréquente chez le félin. À la fois virale et bactérienne, elle correspond à une rhinotracéite qu’il ne faut jamais prendre à la légère. L’Allium Cepa, le Nux Vomica et les Belladonna, tous dilu��s à  5 CH, sont les remèdes adéquats en présence de symptômes liés à cette maladie (éternuements, écoulements nasaux, yeux coulants, etc.).

Il peut aussi être piqué par des insectes (surtout par des guêpes, des tiques et des puces) provoquant par la suite une forte démangeaison ou des allergies le poussant à se gratter excessivement.

L’Apis mellifica 5 CH et 7 CH sont les remèdes idéals en cas de piqûre de puce et de guêpe. Le Psorinum 9 CH associé avec le Kalium Arsenucum 5 CH lutte efficacement contre les teignes. Le Rhus Toxidendron 5 CH permet de contrer les démangeaisons dues à une allergie cutanée.

Le chat s’attache très vite à son maître ou à son territoire. Il n’aime pas le changement et il peut être stressé s’il doit changer d’habitat, voyager ou si un « intrus » pénètre dans la maison. Un chat stressé adopte des attitudes différentes et c’est en fonction de celles-ci que les traitements sont prescrits par le spécialiste.

Le Gelsemium Sempervirens 7 CH est le mieux adapté si sa nervosité s’accompagne de tremblement. Les Valeriana 5 CH ou l’Ignatia Amara s’il s’arrache les poils à chaque fois qu’il stresse. Le Lachesis Mutus 15 CH s’il se montre très agressif.

Le rendez-vous chez un vétérinaire spécialisé est nécessaire lorsque la santé du petit animal ne s’améliore pas au bout de 4 ou 5 jours. Une consultation d’urgence s’impose pour la vérification s’il n’a ni fracture ni entorse en cas de traumatisme sévère.

Traitement des chevaux à partir de l’homéopathie

Cette médecine naturelle n’est pas seulement la médecine des cas fréquents. Elle peut devenir dans certains cas un soin d’urgence puisqu’elle est bien adaptée aux symptômes.

Elle ne peut par contre se substituer à une consultation auprès d’un vétérinaire. Le plus important est d’éviter le pire et de soulager le cheval sans nuire à sa santé par des médicaments trop agressifs. Chaque observation des symptômes peut aider le thérapeute à la mise en œuvre d’un traitement et d’un diagnostic adéquats.

La forme galénique la plus appropriée pour un cheval est les granules selon l’explication d’un vétérinaire spécialisé en homéopathie. Il est indispensable de répéter les prises de médicaments plusieurs fois par jour avec une dilution 5 ou 7 CH jusqu’à ce que l’état de l’animal s’améliore.

La dilution 9 CH doit être administrée au moins une fois par jour tandis que la dilution 15 CH  est recommandée pendant un trouble particulier. Un propriétaire de cheval doit avoir au préalable une trousse d’urgence à portée de mains dans le box de l’animal ou dans l’infirmerie.

Cette petite mallette peut convenir pour y déposer les flacons de teintures mères importantes ainsi que les tubes de granules et les tubes de pommade en cas d’urgence. Ces remèdes homéopathiques peuvent soulager la blessure ou les maux quotidiens de l’équidé lorsqu’ils sont accompagnés d’un traitement prescrit par un expert.

La consultation d’un vétérinaire reste la meilleure option surtout lorsqu’il s’agit de traumatisme. Il pourra prescrire le traitement naturel exclusif ou en accompagnement d’un traitement classique dans certains cas.