#pireyre
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clementbenech · 5 years ago
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Journal estival 2019
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06. 07. 2019
Je veux connaître les oiseaux. C’est une fleur que nous a faite le Créateur en découpant le vivant en parties connaissables ; je ne me remets pas du fait qu’il existe une espèce qui s’appelle « le merle » et dont on puisse appréhender plusieurs individus, du fait qu’il n’existe pas d’individu situé entre le merle et la tourterelle, comme un merlo-tourterelle, ou quelque chose comme ça.
 23. 07. 2019 Marseille
J’aimerais voir une bonne phrase aux rayons X. En lisant le nouveau livre d’Emmanuelle Pireyre, Chimère, m’est venu un schéma que l’on trouvait dans Pokémon, et qui montrait l’éventail des qualités d’un Pokémon :
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 (C’était quelque chose comme ça.) Pourquoi ce schéma m’est-il venu aussi spontanément et que puis-je en faire ? Je crois qu’il y a là l’intuition que la phrase pireyrienne – en cela analogue à la phrase humoristique –, pour atteindre son but propre, sa littérarité, cherche à nommer successivement les objets les plus disparates, à créer un effet de disparité par l’accumulation de particularités, tant dans les noms que dans les épithètes. C’est l’effet produit, dans le domaine comique, par des enchaînements tels que « voilà un trans végan unijambiste albinos intermittent du spectacle » ou, dans un autre registre, « un lance-roquettes greffé sur un tank lui-même à cheval sur un sous-marin nucléaire », on voit le procédé. Or il est notable que, dans le domaine de la littérature d’une part, et dans celui de l’humour d’autre part, il ne produit pas le même effet : dans la littérature, c’est ainsi un effet d’éloignement successif de l’objet (je pense au jeu du bonneteau) qui produit l’instant littéraire.
 05. 08. 2019 Spetsai, Grèce
 (Lisant Les Habits neufs du Président Mao de Simon Leys.)
 Peng Dehuai, revenu dans son Hunan natal en 1958, raconte que les casseroles ont été réquisitionnées pour faire fondre l’acier, ce qui est « incommode pour cuisiner ».
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 10. 09. 2019
 Dîner hier soir avec S.-D., qui pète la forme. Toujours toulousain, il s’est mis à l’achat-vente de vélos. Il passe par Le Bon Coin, rachète des perles à des ignorants et les revend via ce même site, en changeant la région. J’essayais de lui parler de mon face-à-face avec John Truby, de l’attirance qu’il exerce sur moi, et aussi des limites de sa théorie, car si je regarde avec lucidité les livres que j’ai aimés dans ma vie, à l’exception notable de Harry Potter, ils ne satisfont pas aux conditions décrites et prescrites par Truby dans son Anatomie du scénario. Difficile de dire qu’Austerlitz puisse être rapporté à une prémisse de deux lignes, ni que La Salle de bain comporte un personnage animé par un « désir fort » qui serait mis en échec par un antagonisme incarné, ni encore que Dino Egger voie son personnage confronté à un « dilemme moral ». Tout juste peut-on admettre que le Tomas de L’Insoutenable légèreté de l’être (attention : spoiler) vit une « prise de conscience » qui amène à un « nouvel équilibre » (la vie rurale, en compagnie de Teresa). Et c’est ici que le bât blesse, car en effet, c’est romancier – « vrai romancier » – que je me rêve…
 Quel imbécile ! Je n’ai pas pris mes Confessions. J’y avais pourtant noté deux ou trois occurrences de « formation d’idées » chez Rousseau. C’est assez fascinant : il vit, ou voit, ou s’entend raconter un événement particulier ; et, celui-ci lui faisant alors forte impression (dégoût, amour, tendresse ?), il en tire une théorie, une idée générale. Voilà une bien étrange manière de procéder : c’est quand la sensibilité est à vif qu’il faudrait fixer une vue de l’esprit ! Il en va de ses théories comme de la photographie : une scène vient impressionner l’âme aux sels d’argent du pauvre Jean-Jacques, et la voilà fixée pour l’éternité comme une parabole qui explique tout. Au lieu que je tente (pour mon humble part) de redresser le biais de ma nature par le poids des données objectives – penser contre moi, plus simplement. De ne pas être le pur pantin de mes passions. De refuser que mes idées soient l’arborescence symbolique de mon tempérament. Parce que je suis doux et tendre de nature, je devrais être pacifiste, humaniste, antimilitariste…? En vérité, une assertion ou une idée qui flatte notre nature devrait être examinée deux fois. Je ne cesse d’y repenser quand je joue au basket, ce qui m’est arrivé ce samedi à porte de Vanves, en compagnie d’Étienne. Car cette correction de la nature que je prône dans les idées, un geste au basket me permet de la modéliser : quand, venant du côté du terrain en dribblant, je prends un tir en tête de raquette ou au-delà de la ligne de trois points (on parle alors de tir en course), je sais que je vais devoir « rectifier le tir », et l’orienter dans la direction contraire à ma course, si je souhaite marquer.
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24sene · 5 years ago
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6 Photos: À la découverte de Miss Sénégal du Canada
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preparedpublic · 4 years ago
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Toog & Emmanuelle Pireyre : "Et ça aujourd'hui"
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literensics · 5 years ago
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Critiques: Chimère par Pireyre Emmanuelle https://t.co/s6Ifcvgs0x @literensics
Critiques: Chimère par Pireyre Emmanuelle https://t.co/s6Ifcvgs0x @literensics
— Literensics (@literensics) October 24, 2019
via Twitter https://twitter.com/literensics October 24, 2019 at 06:43PM
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booksface · 7 years ago
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Pourquoi ces 10 livres-là plutôt que d'autres ?
Je lis beaucoup de livres, au fil des mois. Je suis plutôt bon public, il est rare que je ne trouve pas un petit quelque chose pour nourrir mon addiction à la littérature, à la recherche littéraire, au remuement des neurones dans un bouquin. Bon, je ne lis que du bio, pas de l’industriel formaté, ça trie bien déjà. Pourquoi certains livres me marquent-ils plus que d’autres ? J’en ralentis la lecture pour y vivre plus longtemps, j’y reviens, j’en bassine tout le mond ou alors au contraire pas du tout, je les tais. Je me suis obligée à en choisir 10, c’est peu. Les 10 vers lesquels je vais spontanément, sans réfléchir. Ceux dont je sais qu’ils m’ont faite, cette année, un peu plus que les autres. Ceux que je ne prêterai pas, parce que j’ai besoin de les garder à portée de la main. En désordre :
Une fuite en Égypte, Philippe de Jonckheere.  Bon, j’avais lu Désordre, un journal, chez Publie.net. Impossible à lâcher déjà. Je ne connais pas d’écriture plus nue, plus crue, plus juste. Je voudrais écrire : ce n’est pas un roman c’est une performance, mais dans ce contexte le mot performance est à côté de la plaque. La vie est faite de ces toutes petites choses, Christine Montalbetti. Raconter la dernière virée dans l’espace de la navette Atlantis avec la minutie d’une documentariste décrivant la traite des vaches dans une ferme de l’Aveyron. Sans effet. Une idée simple et magnifique. Et puis, enfin un roman sur lequel nous étions pareillement enchantés, mon astrophysicien maison et moi. C’est assez rare... Rue involontaire, Sigismund Krzyzanowski. Ah, celui-là n’est pas paru en 2017. Je suis tombée dessus par hasard dans une librairie du 18e, il y en avait tout un rayon. J’ai fait confiance au libraire et surtout au titre, parfait. Et découvert cet incroyable écrivain russe des années 30. L’histoire de ce livre est en elle-même un roman, disparu puis retrouvé totalement par hasard... Tout semble fictif, l’auteur, le roman, l’histoire du roman, jeu de miroir d’un Borgès slave... Libido des Martiens, Emmanuelle Pireyre. Emmanuelle Pireyre est mon écrivaine culte à moi, j’aurais aimé l’inventer, bien qu’en étant incapable. Comprenne qui peu. Décor Daguerre, Anne Savelli. Je crois que les romans déambulatoires me plaisent particulièrement. Celui-ci traîne dans Paris, baguenaude dans les films d’Agnès Varda et Jacques Demy (et en parle très bien), prend des RER, va en banlieue, revient dans Paris, s’arrête dans des cafés, les pensées se déroulent au fil des déplacements, jouent avec le passé, vont et viennent : bref, un roman mouvant, émouvant aussi (facile mais vrai), dans lequel je me sens chez moi. Bon, plein d’autres choses à dire sur ce livre, là je reste en surface. Jérusalem, Alan Moore, traduit par Claro. Inutile de déblatérer, ce livre est un  chef d’œuvre, qu’il me marque fortement est juste une preuve de ma conformité littéraire (le contraire du conformisme...). Essai sur le fou des champignons, Peter Handke. Livre enchanté, d’autant plus pour moi qui reconnait certains lieux du roman. Mais au-delà du sujet (les champignons sont l’un de mes thèmes de prédilection en littérature, depuis Rhétorique Fabuleuse d’André Dhotel), il y a, surtout, cette façon d’écrire, d’inventer la phrase au plus près de la sensation. La Maison des Épreuves. Jason Hrivnak. Expérience de lecture, particulière, troublante, créant ce genre de malaise vers lequel on ne cesse de revenir pour tenter de se l’expliquer... Un bout du pré. Caroline Sagot Duvauroux. Pris sur une table au hasard, chez un libraire. Là encore, le sentiment que le livre te choisit. Te lit pour te désapprendre à lire sans être attentive, t’initie au sens des mots, développe ton acuité. Un livre aussi qui parle d’autres livres, d’autres poètes, ouvre tant de portes à la lectrice de poésie très béotienne que je suis. L’hiver de force. Réjean Ducharme. Découverte tardive de cet auteur québecois, déroutant et familier, ses merveilleux personnages parfaitement antisociaux et totalement séduisants. J’ouvre au hasard et je relis, par plaisir. Tiens, c’est une histoire d’addiction, comme dans le Peter Handke.
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edenocube · 7 years ago
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je ne suis pas belle, je suis pire
Emmanuelle Pireyre (comment faire disparaître la terre, seuil)
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thedeathsentences · 8 years ago
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Donc, après avoir bien réfléchi, même si je sais que ça a déjà été fait, j’ai choisi de collectionner les baisers.
Emmanuelle Pireyre, Féerie générale
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lesindiensdunord-blog · 8 years ago
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Pourquoi est-ce qu’on se retrouve ici ?
J’ai créé ce tumblr dans le cadre du cours de médiation culturelle/écriture numérique dispensé par Guénael Boutouillet. Je suis étudiante en information communication option métiers du livre, et ce travail consiste à écrire sur les différents auteurs que nous avons étudié en classe. J’ai choisi trois auteurs, Sylvain Prudhomme, Nina Yargekov et Emmanuelle Pireyre. Au fil des questions que je me pose sur ces personnes et sur ce qu’elles écrivent, j’établis peu à peu des rapports entre eux. 
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cloudsandfields · 9 years ago
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et finissait parfois par peindre la fenêtre.
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preparedpublic · 5 years ago
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Les Plaies d'Egypte
Paroles : Emmanuelle Pireyre Musique : Toog (Gilles Weinzaepflen)
“ Le fleuve sera plein  de grenouilles, elles grimperont  sur la berge, entreront dans les maisons françaises, dans les chambres à coucher des Français et sur leurs lits.
— Je sais, Gilles, les grenouilles grimperont même sur les Allemands.
— Les poissons du fleuve crèveront, le fleuve s’empuantira, et les Hongrois ne pourront plus boire l’eau du Danube.
— La Commission européenne accordera l’autorisation et la végétation alentour sera détruite par les graines vendues avec l’herbicide correspondant. Les mauvaises herbes deviendront tolérantes au glyphosate, les agriculteurs slovènes porteront le chapeau.
— Les cliniques catalanes seront pleines de staphylocoques dorés résistants aux antibiotiques.
— Les espèces voisines seront contaminées. Dans tous les pays baltes, une fine poussière provoquera sur les gens et sur les bêtes des ulcères bourgeonnant en pustules. Et même les magiciens ne pourront rien y faire car ils seront eux-mêmes couverts de pustules, comme tous les Chypriotes.
— Mais pas avant 8 ans, nous rassure la firme Novartis.
Les moustiques et les grenouilles Sur le gazon (pulluleront) Les ténèbres envahiront Le Luxembourg (pendant trois jours)
Un grand vent se lèvera Et la prairie s’effondrera L’eau en sang se changera Mais heureusement, pas avant 8 ans
— Une grêle très forte tombera, comme il n’y en a jamais eu au Royaume uni depuis le jour de sa fondation jusqu’à maintenant. Tout ce qui, homme ou bête, se trouvera sur le trottoir et n’aura pas regagné le domicile, la grêle tombera sur lui, et il mourra.
— Dès demain des sauterelles afflueront sur L’Italie. Les criquets développeront une résistance au gêne producteur d’insecticide et ravageront l’Italie.
— La Commission européenne accordera l’autorisation, et dès demain, les criquets couvriront la surface du sol et on ne pourra plus voir le sol. Ils dévoreront le reste de ce qui a échappé à la grêle. Ils dévoreront tous les arbres qui croissent dans les champs.
— Et la Finlande ?
— Bien sûr en Finlande aussi les maladies bactériennes seront en expansion, le pollen véhiculera le gêne d’un champ à l’autre et le maïs du voisin sera contaminé. Bien sûr en Suède la végétation alentour sera détruite par les nouvelles graines transgéniques vendues avec l’herbicide correspondant.
— D’épaisses ténèbres recouvriront Bruxelles Luxembourg et Strasbourg pendant trois jours. Tous les premiers-nés mourront, aussi bien le premier-né du Président de la Commission européenne que celui du roi des Belges, et que le premier-né du fonctionnaire de base avec sa valise à roulettes, et celui des agriculteurs slovènes, le premier-né des ours dans les Pyrénées et le premier né du bétail dans les fermes.
Les moustiques et les grenouilles Les ténèbres envahiront Un grand vent se lèvera Et le fleuve grouillera
Les poissons flotteront Le soleil disparaîtra L’eau en sang se changera Et la prairie s’effondrera...
Mais par bonheur, pas avant 8 ans.”
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preparedpublic · 7 years ago
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Vieille Place, Wattrelos. Nous sommes au nord de Roubaix à la frontière belge. C’est ici que ma grand-mère Gabrielle Brandelet est née le 25 février 1909. J’aime à me savoir quasi-belge. Il y a une inclinaison de mon imaginaire qui part bien dans cette direction.
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Emmanuelle Pireyre et moi sommes en quête de la maison de ma grand-mère, mais d’abord, pause au café de la Place, à l’intérieur duquel une splendide enseigne en forme de moule géante nous accueille. La serveuse nous explique qu’elle a été récupérée lors de la fermeture d’un célèbre restaurant situé à Lille.
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On trouve un peu de tout au marché de Wattrelos, même un bustier sale et un pull décoré par un bonnet & pompon. A l’arrière plan, l’église Saint-Maclou où Gabrielle a été baptisée. Quel rapport entre les magasins du même nom et ce village ? Le premier magasin Saint Maclou a ouvert à Wattrelos.
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Nous quittons le marché et regagnons la grande place, avec l’église (fermée) et devant l’entrée, un mobilier urbain très intéressant que je daterais fin des années  70 / début des années 1980. Il faudrait que soit protégé ce patrimoine récent qui s’inscrit fortement dans une époque (le brutalisme en architecture).
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Derrière l’église, nous arpentons les petites rues qui nous entraînent dans un secteur où pullulent les micro-maisons ouvrières. C’est très dépaysant et joli à souhait, bien entretenu sans être bourgeois. Une centrale électrique au milieu d’une rue, ça ne doit pas être génial pour la santé des hamsters.
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Un mur végétalisé à l’abandon, ça donne une oeuvre d’art géniale. Emmanuelle a l’oeil, elle me signale un tas de détails du même genre.
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C’est la première fois que nous empruntons un chemin de pain. Quoiqu’étant mangeur de Dieu, on peut dire que je l’emprunte chaque dimanche soir.
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Nous sonnons au 3 rue de la Vieille Place, après avoir discuté avec un policier à la retraite de 95 ans. Les habitants, des négociants en produits bio, ont un stock de pain d’épices qui embaume la maison. Ils me laissent photographier le vitrail qui orne la porte d’entrée depuis l’intérieur. Ils nous montrent une vieille carte postale des années 1900 où l’on voit la maison en construction. Peut-être que Gabrielle a regardé ce vitrail bien des fois avant de partir à l’école.
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preparedpublic · 7 years ago
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Cia Rinne présente ma vidéo « Not available » dans son exposition « Wasting my grammar » (Copenhague, Forlaget Gestus, 29/09). Je co-anime la soirée Poésie et film à la Maison de la poésie de Paris avec Emmanuèle Jawad pour remue.net (Paris, 13/10). Nous donnons « Chimère » avec Emmanuelle Pireyre (Roubaix, théâtre de l’Oiseau mouche, 18/10). Avec Virginie Poitrasson nous créons la performance « Bean shooter » pour l’exposition consacrée à « The House of dust » d’Alison Knowles au CNEAI (Pantin, 29/10 à 19:00). 
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lesindiensdunord-blog · 8 years ago
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Sources
http://www.m-e-l.fr/sylvain-prudhomme,ec,1067
http://www.legrandr.com/programmation/litterature/article/sylvain-prudhomme
http://www.lacauselitteraire.fr/legende-sylvain-prudhomme
http://livre.ciclic.fr/actualites/emmanuelle-pireyre-portrait-de-l-auteure-en-enqueteuse
https://materiaucomposite.wordpress.com/2006/10/10/emmanuelle-pireyre/
https://blogs.mediapart.fr/marie-jeanne-zenetti/blog/290615/emmanuelle-pireyre-pour-une-litterature-pratique
https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-la-vie-moderne/oui-mais-nous-comment-fait-pour-notre-expose-15
http://www.seuil.com/ouvrage/comment-faire-disparaitre-la-terre-emmanuelle-pireyre/9782020819879
https://www.franceculture.fr/personne-emmanuelle-pireyre.html
https://www.youtube.com/watch?v=sjEJvGCe8C8
http://www.terrafemina.com/culture/livres/articles/19221--prix-medicis-emmanuelle-pireyre-distinguee-pour-feerie-generale.html
http://printempsdulivre.bm-grenoble.fr/sylvain-prudhomme/
http://www.babelio.com/auteur/Nina-Yargekov/79167
http://www.elle.fr/Loisirs/Livres/News/Double-Nationalite-le-roman-qui-secoue-la-rentree-litteraire-3311065
https://www.franceculture.fr/emissions/la-dispute/litterature-la-avait-dit-bahi-une-simple-melodie-et-carnets-de-notes
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lesindiensdunord-blog · 8 years ago
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Emmanuelle Pireyre (2)
Elle lit beaucoup avant d’écrire un nouveau livre. Pour elle, un nouveau livre ne doit pas ressembler au précédent, que ce soit bien sûr au niveau du fond mais aussi de la forme. Pour Féerie générale, elle s’est aperçu que “ce qu’on a d’intime et de sauvage, d’irréductible au monde social, est obligé de se mettre en relation avec le monde social”. L’amour, la violence, le rapport à la mort, les enfants... tout cela rentre dans des cadres sociaux. “Comment des œuvres de l’imaginaire permettent de canaliser notre violence et certaines pulsions que nous avons, et permettent de nous rendre corrects dans une vie sociale correcte ?” Le fil conducteur de Féerie générale est la relation de l’intime à la société, dans le monde contemporain, cinq ans après la publication de Comment faire disparaître la terre.
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lesindiensdunord-blog · 8 years ago
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Les médiathèques : ces lieux de l'humanité apaisée et du savoir classé
Emmanuelle Pireyre
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lesindiensdunord-blog · 8 years ago
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Emmanuelle Pireyre
Née en 1969, elle est écrivain et poète.
Elle a publié six ouvrages : Congélations et décongélations (et autres traitements appliqués aux circonstances) en 2000 ; Mes vêtements ne sont pas des draps de lit (2001) ; Comment faire disparaître la terre ? (2006) ; Foire internationale (2012) ; Féerie générale (2012) ; Libido des Martiens (2014).
Elle a reçu le prix Medicis en 2012, pour Féerie générale. Le prix Medicis couronne “un roman, un récit, un recueil de nouvelles dont l’auteur débute ou n’a pas encore une notoriété correspondant à son talent.”
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