#pignatelli
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mykingdommusic · 13 days ago
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ALBUS DIABOLUS: an arcane and mystical musical laboratory
My Kingdom Music is proud to announce ALBUS DIABOLUS' signing. Created and formed by talented and well-known actors of the Italian music scene (for now we won't tell you who they are!), the project aims to be a musical laboratory where merging the gothic and dark aesthetics of extreme music in its most various forms, with an electronic sound deeply influenced by the Synth-Wave and Dark-Wave style of the 80s.
The idea of ��​ALBUS DIABOLUS was born as a project aimed at experimenting with sound imagery with synthesizers, drum machines and atmospheres that evoke lights and shadows, but without ever moving away from the atmospheric roots that characterize the Dark and Ritual scene and the musical bases of Gothic Rock and Metal.
The result is an emotional and immersive journey that evokes soundscapes that oscillate between nostalgia and mystery with a sound that recalls the influences of works such as "Tenebre" by Simonetti / Pignatelli / Morante, EINSTURZENDE NEUBAUTEN, COIL, CURRENT 93, VISITORS, while maintaining a distinctive identity.
And now... let the Sabbath begin!!!
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musographes · 2 years ago
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L’annihilation d’un modèle
César Pignatelli, surnommé Bevilacqua, fut un modèle italien de la Belle Époque qui travailla plusieurs fois pour Rodin ou Matisse. C’est lui que l’on retrouve sous les traits du Serf, sculpture de Matisse que certains ont rapprochée de L’homme qui marche de Rodin, ce qui n’est pas sans importance pour la suite de notre histoire. 
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Rodin, lui, fait de sa première rencontre avec Bevilacqua le récit suivant : "Un matin quelqu'un frappe à la porte de l'atelier. Entre un Italien avec l'un de ses compatriotes qui avait déjà posé pour moi. C'était un paysan des Abruzzes, arrivé la nuit précédente de son pays natal, et il venait s'offrir à moi comme modèle. En le voyant, je fus saisi d'admiration : cet homme rude, chevelu, exprimait dans son maintien et sa force physique toute la violence, mais aussi tout le caractère mystique de sa race. Immédiatement, je pensais à un saint Jean-Baptiste..." Rodin nous conte ensuite que l’Italien, au moment de poser, se mit bien planté sur ses deux pieds, les jambes en compas, le torse redressé, et Rodin dit s’être exclamé : "C’est un homme qui marche !" Il décida alors d’utiliser la posture du modèle quasi telle quelle pour son Saint Jean-Baptiste de 1878. Il mit également le modèle à contribution pour un des Bourgeois de Calais, pour son Ugolin et d’autres encore, puisqu’il employa le modèle plus de vingt ans. Quant à cet "homme qui marche" qu’il avait vu dans cette pose initiale de Bevilacqua, il lui donna finalement matérialité - avec ce titre même - des années plus tard, vers 1900, en retravaillant son Saint Jean Baptiste, accouchant dans le procédé d’une sculpture d’une remarquable puissance. Il se trouve que L’homme qui marche figure justement dans l’exposition Rêve d’Égypte du musée Rodin (du 18 octobre 2022 au 5 mars 2023), qui revient sur l’influence qu’eut l’art égyptien antique sur le sculpteur à partir des années 1890.
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L’exposition bénéficie d’une couverture médiatique non négligeable. C’est ainsi que l’on peut "apprendre", dans divers traitements médiatiques, que L’homme qui marche est le produit évident d’une inspiration bien égyptienne, comme en témoigneraient les figures marchantes de l’Égypte antique qui le voisinent à l'exposition.  Et il y a problème.  Sans vouloir suggérer que Rodin n’ait point eu l’art égyptien en tête en travaillant son Homme qui marche, nous venons de voir précédemment que l’œuvre émane plutôt du Saint Jean-Baptiste, sculpté à une période où l’art égyptien n’avait pas encore fortement envoûté l’artiste. Et voilà également Bevilacqua/Pignatelli effacé de l’histoire dans le même élan.
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Ces commentaires journalistiques erronés illustrent le souci de ce type d’expositions. L’égyptomanie de Rodin est un thème on ne peut plus respectable et on ne saurait accuser les conservateurs et conseillers de l’exposition de ne pas connaître leur sujet. Seulement, l’ambition de muer le thème en sujet d’exposition oblige à traduire des hypothèses esthétiques en scénographies, au sein desquelles on va s’aventurer à des associations visuelles entre des œuvres de Rodin et des antiquités égyptiennes. Ce faisant, ces scénographies invitent malgré elles le visiteur, ainsi que le journaliste souvent pas spécialiste de son sujet, à construire des relations d’inspiration exclusive entre les œuvres, qui n’existent que dans nos rêves. Rodin fit-il un homme qui marche ? Il nous devient évident qu’il s’est grandement inspiré des figures marchantes égyptiennes... Rodin posa-t-il une tête de Claudel sur un bloc ? On s’imagine qu’il s’est grandement inspiré des statues-cubes d’Égypte... Voilà ci-dessus les analyses esthétiques de cour de récré vers lesquelles le lecteur, voire le visiteur, est dès lors tenté de glisser ; un biais dont nous devons d’autant plus nous méfier que, d’après la présentation du musée, "iI s’agit plus pour le sculpteur d’« être égyptien » que d’être inspiré par l’art égyptien", une assertion que l’on peut interpréter de mille manières mais qui nous incite à nous défier de comparaisons trop faciles entre son art et celui de l’Empire du Nil. Parce que si on est un peu taquin, on pourrait imaginer une exposition sur l’influence qu’eut l’art grec sur le travail de Rodin, avant son amour pour l’art égyptien. Et l’on pourrait y construire un parallèle tout aussi exclusif entre L’homme qui marche et les kouros. En réalité les artistes s’abreuvent à de multiples sources et bien malin celui qui saura les départager.  On vous voit venir : ce n’est pas une grosse affaire, et que voilà une récrimination d’esthètes vétilleux ! Peut-être bien. Mais dans ce cas de figure comme dans tant d’autres, il y aura bien davantage de gens pour profiter de l’exposition par le traitement journalistique qu’in vivo. Ce qui se raconte dans les médias et réseaux de l’exposition est donc d’un impact supérieur au propos de l’exposition. Et quand, dans ce propos, on voit se forger l’oblitération d’un modèle, ce processus même que décriait l’historien Ivan Gaskell, eh bien, cela donne forcément envie de prendre la plume.
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voguefashion · 9 months ago
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Truman Capote's infamous Black and White Ball at New York’s Plaza Hotel on November 28th 1966. The masked ball which was labeled the "party of the century", was thrown in the honor of his dear friend Katharine Graham, whose husband died by suicide in 1961, leaving her to run the family media empire. The guest list contained 540 of his closest friends from affluent families, royalty, fashion designers, models, actors, writers, musicians and his famous "Swans".
Photos: 1. Capote with his favourite "swan" Lee Radziwill, 2. Interior designer Billy Baldwin (pictured on the right) with a fellow guest. 3. Princess Luciana Pignatelli, Peter Gimbel and Contessa Consuelo Crespi. 4. Capote chatting with guests. 5. Françoise de Langlade and Oscar de la Renta. 6. Guests dancing. 7. Frank Sinatra and Mia Farrow. 8. Capote dancing with "swan" Gloria Guinness. 9. Candice Bergen dancing with a guest. 10. Capote with guest-of-honor Katharine Graham. 11. Truman socializing with guests.
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oldsardens · 4 months ago
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Luca Pignatelli - Afrodite. 2003
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diioonysus · 1 year ago
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dogs + art
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dozydawn · 5 months ago
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Luciana Pignatelli photographed by Henry Clarke, 1966.
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teenagedirtstache · 3 months ago
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L'Uomo Vogue July/August 2006 photos Greg Kadel fashion editor Giovanna Battaglia
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spilladabalia · 3 months ago
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Goblin - Suspiria - Discoring 1977 - Rai TV
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monsieurcouture · 11 months ago
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Carlo Pignatelli S/S 2007 Menswear Milan Fashion Week
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apilgrimsprogress · 3 months ago
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My God, I do not know what must come to me today. But I am certain that nothing can happen to me that you have not foreseen, decreed, and ordained from all eternity. That is sufficient for me. I adore your impenetrable and eternal designs, to which I submit with all my heart. I desire, I accept them all, and I unite my sacrifice to that of Jesus Christ, my divine Savior. I ask in his name and through his infinite merits, patience in my trials, and perfect and entire submission to all that comes to me by your good pleasure.
Joseph Pignatelli
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comicchannel · 4 months ago
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Marvel Legends Series Luke Cage and Claire Temple Hasbro E2874
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ulfgbohlin · 1 year ago
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The home and atelier of Pignatelli. Luca Pignatelli Studio stages a timeless narrative in his workshop dating back to 1919.
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malefashiontrends · 2 years ago
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(vía Carlo Pignatelli dinamiza al dandy de los 90's con su colección en la Barcelona Bridal Fashion Week)
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lunetaj · 1 year ago
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Nick Alto and Vita Pignatelli dating (1987)
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vitaminwaterwhiteparty · 1 year ago
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wgm-beautiful-world · 2 years ago
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CARLO PIGNATELLI - Bridal Couture
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