#pierre daquin
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ON VEUT TUER MA SOEUR ANNE
Rue de Sébastopol
Arila Daquin
La flamme olympique
Pas Action Française
Pas Pierre de Courbertin
Mai le rite Républicain
Jeudi 4 juillet 2024
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(Artist Pierre Daquin's tapestry "La Vue" courtesy of Galerie Chevalier as part of The 13th Floor project)
Several art fairs took over Los Angeles last weekend, two of which used hotels to create temporary galleries and installations.
At the The Hollywood Roosevelt was the first edition of Felix, a free art fair co-founded by Dean Valentine along with brothers Al Morán and Mills Morán (of LA gallery Morán Morán). Galleries took over rooms along the pool, on the 11th floor, and the penthouse. Starting at the penthouse was The 13th Floor (pictured above), a collection of work by French artists curated by writer Andrew Berardini and presented by The French Committee of Art Galleries and the Cultural Services of the French embassy.
Kenny Schachter had some fun pieces in his room on the 11th Floor including Ilona Rich's sculptures, one of which was in the bathroom shower (pictured above), and a framed collection of artist Chris Burden's cancelled checks.
Bodega gallery, from New York's Lower East Side, had a selection of interesting work including paintings by Alexandra Noel (pictured below).
Grice Bench's selections included a collection of lovely watercolors by Roger White and a painting placed above the bed by Lara Schnitger (pictured below).
On the ground floor Marc Selwyn Fine Art presented Jennifer Aniston's Used Book Sale, artist Kristen Morgin's incredibly realistic ceramic replicas of books she imagines might make up the actress' collection (the VHS tape is real).
At a hotel in a completely different part of town was the stARTup Art Fair, taking place at The Kinney in Venice. Here, instead of galleries representing the artists, it's the artists that set up their rooms and sell their art. It made for a great experience as the artists were all very friendly and eager to discuss their work. Below are a few highlights from the fair.
San Francisco artists Lisa Kairos and Melissa Mohammadi's room was filled with really beautiful work. Kairos makes dreamy multilayered paintings based on natural landscapes. She then cuts patterns into the images which adds yet another dimension to the paintings. Mohammadi's work incorporates botanical and marine life into a meditative world where bright pastels stand out among subdued watercolor backgrounds; highly detailed sections mix with the more abstract. The end result for both artists is work you want to spend time looking at.
Husband and wife artists Eric Rewitzer and Annie Galvin of 3 Fish Studios in San Francisco had lots of great, affordable prints. They also teach printmaking and collage classes in their studio.
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Artist Camila Magrane had several pieces in her darkened hotel room that use augmented reality technology to make the works animated and three dimensional when looked at through her Virtual Mutations app. The video above illustrates the effect.
Jeff Horton uses his architecture background to create paintings of urban structures (often larger than what's pictured above), some of which incorporate wax with oil paint for an added layer.
Other artists work not shown but worth checking out- Los Angeles based Margaret Hyde makes ethereal still life photographs of natural objects she finds and combines with water, and Kyong Ae Kim showed a variety of impressive work including her animal skulls cut from multiple layers of drafting film and acrylic paintings combined with hand cut elements.
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Angèle - Balance Ton Quoi [CLIP OFFICIEL] via https://www.youtube.com/watch?v=Hi7Rx3En7-k // "Brol la suite", inclus 7 titres inédits, écoutez-les maintenant : https://lnk.to/BrolLaSuiteYD Instagram : http://www.instagram.com/angele_vl Facebook : http://www.facebook.com/angeleouenpoudre Angèle en concert : https://lnk.to/AngeleConcertsYD Brol Shop : https://lnk.to/AngeleShopYD Écouter tous les titres d'Angèle : https://lnk.to/AngeleDigitalYD -- Réalisation : Charlotte Abramow Scénario : Charlotte Abramow, Ophélie Secq & Angèle Scène de comédie co-écrite par Charlotte Abramow, Ophélie Secq, Angèle & Pierre Niney Avec la participation de Pierre Niney & Antoine Gouy Production : Big Productions (Arthur Catton & Nizar El Tayeb) Directeur de production : Jean-Claude Marx 1ère Assistante réal. : Marie Le Grévellec 2ème Assistante réal. : Charlyne Liquito DOP : Quentin de Lamarzelle 1er Assistant caméra : Arslan Terrien 2e Assistant caméra : Charles Dalodier Data Manager : Louise Autain Steadycam : Ben Groussain Chef Electro : Basile Barniské Electros : Yann Ody, Raphaël Jamot & Vincent Taberlet Chef Machino : Bruno Martin Machinos : William Herrero & Marie-Anouke Chef Deco : Lucie Beauvert 1er Assistant déco : Emmanuel Le Cerf 2ème Assistante déco : Sarah Illitch-Weldon Ripper/Constructeur : Samuel Cochon Stylisme : Alizée Hénot Assistantes stylisme : Elyse Arnout & Florine Da Silva Costumière juge & avocat : Marion Brioullet Uniformes Anti-Sexism Academy : Meuf Paris Costumière seins : Noémie Veissier Make-up : Ophélie Secq Make-up SFX : Alexandra Petry Superviseur SFX: Davide Mendes & Patrick Bennar Assistants make-up : Joanna Faivre, Marie Guillon, Chloé Desmoussis & Alice Cottet Hair : Rimi Ura Assistants hair : Melissa Gaboriau, Ryoya Murakoshi, Marta Tayanoushkaya & Gwen Diakite Illustrations : Cécile Dormeau Ingénieur du son : Mathieu Leroy Perchman : Maxime Dufils Régie : Simon Lech’vien, Kévin Chamaplaune, Vincent Decremps, Canelle Begoug & Tom Marchal Casting : Casting by Charlotte & HO Studio Directrice de post-production : Natacha Dolard Montage : Zoé Sassier Étalonnage : Rémy de Vlieger Mixage sonore : Le comptoir du son Post-production : MIKROS (supervisé par Patrick Bennar) Merci à : Pierre Niney, Nikita Bellucci, Antoine Gouy, Manou Milon, Cécile Dormeau, Florence Given, Valérie Chavanon, Nicolas Boutruche, Anne Issermann, Julie Navarro, Raphaëlle Baux, Marie Yin, Atelier Morse, Sindbad Gillain et CHANEL. Comédien.ne.s & figurant.e.s : Pierre Niney, Antoine Gouy, Elise Hollander, Malik Amraoui, Renata Antonante, Jean-Pierre Avrin, Mariam Baldé, Eléonore & Esther Behiri, Nikita Bellucci, Hermès Brasseur, Nour Caillaud, Raphaël Caraty, Rose Cuenin, Adrien Daquin, Guillaume Delorme, Manesca de Ternay, Jean Donogan, Eden Ducourant, Matthieu Ducrez, Brigitte Dupas, Mathilde Fayoux, Manon Flebus, Claude-Emmanuelle Gajan-Maull, Virgile Gesbert, Renée Gincel, Naima Hadadji, Joëlle Helary, Sylvie Huguel, Yonis Issa, Hortense Kack, Mariah Kanté, Jennifer Karen, Amlan Larcher, Clémence Leclerc, Lexie, Marine Maiorano-Delmas, Andy Mawandy, Gaël Maxime, Nora Moutawahid, Safiétou Ndoye, Catherine Pierre, Baptiste Ramaré, Tommy Sailt, Khadim Sylla, Nathan Selighini, Rémy Thiébaut, Lola Trt, Annecy Ung, David Venkapten, Angeline Verrier, Lisa Villaret, Michel Vivier, Emma Wilkison-Lebfèvre, Beleina Win & Marius Yelolo.
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Auteur d’un nombre considérable de romans, Marcel Aymé a également écrit pour l’écran, tout en cédant les droits de ses œuvres pour de multiples adaptations. Au point de devenir une figure incontournable du paysage cinématographique français.
Marcel Aymé
Dernier-né d’une famille de six enfants, Marcel Aymé voit le jour en 1902 dans l’Yonne. Mais à la mort de sa m��re, deux ans plus tard, il se voit confié à ses grands-parents maternels. L’enfant est alors élevé dans un petit village du Jura, dont la population servira plus tard de modèle à bien des romans. Gagnant Paris, Marcel Aymé se lance dans des études de médecine, qu’il abandonne pour se consacrer à divers petits boulots, dont celui de journaliste. Mais il tombe gravement malade, et met à profit sa convalescence pour s’essayer à l’écriture : en résulte Brûlebois, un récit inspiré de ses souvenirs du Jura. Publié en 1926, l’ouvrage attire l’attention, et le jeune auteur va désormais écrire chaque année un nouveau roman. Satire du monde villageois, La Jument verte scandalise en 1933 la presse bienpensante, ce qui assure le succès du livre. Changeant de registre, mais restant dans l’univers campagnard, Marcel Aymé entame l’année suivante les fameux Contes du chat perché, qui paraîtront régulièrement jusqu’en 1946. Après-guerre, l’écrivain se tourne également vers le théâtre, où des pièces comme Clérambard témoignent de la même ironie mordante. [Collection Gabin – Eric Quéméré – mars 2006]
Marcel Aymé
Profession scénariste
En 1934, le réalisateur Pierre Chenal demande à Marcel Aymé de l’aider à adapter pour l’écran son propre roman, La Rue sans nom. Pour l’écrivain, c’est la découverte d’une nouvelle forme d’expression. Chenal lui offre alors d’adapter deux autres romanciers : Dostoïevski dans Crime et châtiment, et Jack London dans Les Mutinés de l’Elseneur. Marcel Aymé coécrit également, d’après une pièce d’Erich Ebermayer, le scénario du Domino vert, film dans lequel joue la toute jeune Danielle Darrieux. Le cinéaste Louis Daquin lui confie ensuite l’écriture de trois films, dont Le Voyageur de la Toussaint, l’un des films marquants des années de guerre, inspiré de Simenon. Mais à partir de 1943, Marcel Aymé prend ses distances avec le cinéma. Il n’y reviendra qu’en 1954, pour concocter avec Pierre Véry et le réalisateur Jean-Paul Le Chanois le scénario de Papa, Maman, la bonne et moi, comédie à laquelle ils donneront une suite deux ans plus tard. Puis l’écrivain fait une nouvelle pause de dix ans, avant de signer les dialogues d’un film du débutant Jean-Pierre Mocky, La Bourse et la vie. [Collection Gabin – Eric Quéméré – mars 2006]
Marcel Aymé
Jument verte et chat perché
Mais si Marcel Aymé s’est moins intéressé au cinéma au lendemain de la guerre, le cinéma s’est en revanche beaucoup intéressé à lui. En 1951, Jean Boyer lance la mode des adaptations de l’écrivain avec Le Passe-muraille, fable fantastique interprétée par Bourvil (huit ans plus tard, le cinéaste Ladislao Vajda en donnera une version allemande). Suivront La belle image, La Table aux crevés (avec Fernandel), La Traversée de Paris ou encore Le Chemin des écoliers, dans lequel se côtoient Bourvil, Françoise Arnoul, Lino Ventura et Alain Delon. Mais le film le plus retentissant de l’époque sera celui que Claude Autant-Lara tire en 1959 de La Jument verte – le comité de censure décidant même de l’interdire aux moins de 18 ans… Un an après la mort de l’écrivain, survenue en 1967, la télévision diffusera un feuilleton inspiré des Contes du chat perché, et des cinéastes aussi divers que Georges Wilson (La Vouivre) ou Claude Berri (Uranus) continueront encore à puiser dans son œuvre si prolifique. [Collection Gabin – Eric Quéméré – mars 2006]
Auteur d'un nombre considérable de romans, Marcel Aymé a également écrit pour l'écran, tout en cédant les droits de ses œuvres pour de multiples adaptations. Au point de devenir une figure incontournable du paysage cinématographique français. Auteur d'un nombre considérable de romans, Marcel Aymé a également écrit pour l'écran, tout en cédant les droits de ses œuvres pour de multiples adaptations.
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Pierre Daquin - 7. Ribambelle cuivrée, 2017. x
http://daquinpierre.com
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La galerie Lazarew présente Inteface, l'exposition de Pierre Daquin
La galerie Lazarew présente Inteface, l’exposition de Pierre Daquin
Pierre Daquin, habitué des collections publiques prestigieuses du Musée d’art moderne de Paris ou du musée nous présente l’une de ses très rares expositions à la Galerie Lazarew jusqu’au 16 juin.
Un jeu de matière
Pierre Daquin est un peintre et lissier de formation née en 1936 à Paris. Il se fut une renommée avec ses tapisseries blanches épurées et en relief, évoquant les silences en ombres et…
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Pierre Daquin - Interface #12 - Effilé au bleu, 2016. Papier kraft bitumé renforcé d’aluminium, arrachements, peinture / 60 x 60 cm. x
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Pierre Daquin - Potomage papier n°15, 2017. Paper, weaving, paint, liquid copper / 55 x 55cm. x
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http://daquinpierre.com/tapisseries-de-pierre-daquin/
Pierre Daquin - Rémanence
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Pierre Daquin - Interface #24 - Déchiré diagonal, 2014. Kraft paper with asphalt, painting, tearing /50 x 50 cm. x
http://daquinpierre.com/
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