#peut-être ce n'est que mon italien est.......pire. mais je sais pas
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rearranging-deck-chairs · 8 months ago
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il m'a fallu une année d'atteindre le même niveau de la compréhension du français parlé que j'ai atteint en moins qu'une semaine en italien
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claudehenrion · 5 years ago
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''Coronavirus : la déferlante submerge les hôpitaux de l'Ile de France'' ...
 Ce titre (pas anxiogène du tout, et de nature à rassurer les populations) barrait hier la ''Une'' de mon quotidien favori... Déferlante'', dites-vous ? Après tout, les vagues déferlent, si je me souviens bien, par vents supérieurs à 6 sur l'échelle de Beaufort ou par la rencontre de la masse d'eau avec des fonds marins, et la combinaison de ces deux facteurs augmente la puissance de la vague, ce qui oblige les marins à être particulièrement vigilants lorsque la tempête s’annonce ou lorsque des hauts fonds sont signalés. Tempête ? ''6 Beaufort'' ? Hauts fonds ? Seul ''Hic'' : je ne pense pas que ce soit ce qu'a compris une seule des personnes qui ont lu ce titre !
  Je dois vous avouer ma perplexité grandissante, qui n'a jamais cessé depuis le premier jour de cet épisode qui massacre notre ''quotidien''. Je ne sais quoi penser et si je dois plutôt croire les chiffres et ma raison (et le ''calme des vieilles troupes'' !)... ou l'affolement des ''sachants'', leurs prévisions terrifiantes, la mini fin du monde qu'annonce pratiquement tout le monde... sans convaincre ''tout le monde'', jeu de mots compris.  Réfléchissons ''tout haut'' (ce qui, en ces temps d'enfermement incontournable, passe obligatoirement par l'écrit et le ''net'' !) :
  Tout d'abord, ce satané virus est là, c'est un fait. Et il n'est pas ''de passage'', donc il faut ''faire avec'', bene volens, male volens. Et c'est là que tout se corse : ''faire avec'', d'accord, mais comment ? Comme les chinois (mentir sur tous les chiffres et raconter ce que le politique veut), comme les italiens (être débordés mais en chantant du Verdi), comme les allemands (avoir un taux de mortalité quasi-nul), comme les japonais (l'éviter malgré des contacts très étroits avec la Chine), comme la Corée du Nord (lancer des missiles balistiques, comme d'hab'), comme sa voisine du Sud (le néantiser à grands coups de ''big data'' ), comme les anglais, les hollandais ou les scandinaves (laisser faire la nature), comme les américains (acheter tout ce qui passe à portée de dollar), ou comme le gouvernement français (changer de discours tous les 2 jours en moyenne --ex.: le dépistage--, foutre l'économie par terre, s'endetter au delà du raisonnable, mentir sur tous les points (nombreux) où il est en faute --masques, respirateurs, lotion, lits, effectifs...--, exagérer les dégâts, les morts, les ''touchés'', affoler tout le monde au delà du possible, et condamner à 6 mois de prison quiconque met le nez à son balcon...    (= la possibilité d'un résultat peu probable devient plus sévèrement punie que le mal s'il avait été commis ! Un cauchemar juridique digne des pires tyrannies !)
  En second lieu, ce tout petit machin de rien du tout (adulte, il mesure dans les 25 à 30 kilobases et comme personne de normalement constitué n'a la moindre idée de ce que c'est qu'une kilobase -car c'est féminin, ce truc-là. C'est Marlène qui va être contente !-, j'ai été à la pêche : ''la kilobase est une unité de mesure en biologie moléculaire, représentant une longueur de 1 000 paires de bases d'ADN bicaténaire ou de 1 000 bases d'ARN'' (sic !). Vous en savez autant que moi, et on peut donc continuer sans problème !) possède un force insoupçonnée : en trois coups de cuillère à manque de pot, il a bloqué toute l'économie, foutu par terre l'activité, l'industrie et la distribution, mis sur les rotules notre ''le meilleur système de soins du monde'', permis à notre gouvernement de se sortir des guêpiers des gilets jaunes, des manifs contre la diminution prévue des retraites, et de toutes les vraies colères corporatistes, anti-sociétales et sécuritaires (qui continuent à ronger le pays... mais tant que ''ça'' ne se voit pas, c'est toujours ‘’ça’’ de gagné !), étouffé tous les scandales qui font que ''le nouveau monde'' fait très fort regretter l'ancien, et permis à l'exécutif de remonter dans les sondages ! Alors... What else ?
  Plus sérieusement, d'où vient ma gêne persistante ? Mais des chiffres, tout simplement. Reprenons à la base : toutes causes confondues, il meurt chaque année en France environ 600 000 personnes, et quelque 60 000 000 dans le monde (contre respectivement 675 et 15300 pour le Covid 19 au total, à ce jour !). En chiffres statistiques, cela fait 1700/jour en France et 170 000/jour au monde. On n’est même pas dans l’ordre de grandeur (on dit ‘’le trait de la fraction’’) ! J'écris cela en pensant, à titre individuel, à l'horreur qu'est la perte d'un être cher : à mon âge, j'ai eu mon lot de chagrins immenses... Mais ce n'est pas une façon d'aborder un problème de santé publique, pardon d'oser écrire ça : demain, ce peut être moi ou l'un de mes proches qui sera frappé.  ''Tu ne sais ni le jour, ni l'heure'' !
  Confiné dans mon appartement parisien, je suis terriblement inquiet : cette crise du coronavirus révèle que notre pays... n'est pas au mieux de sa forme, pour affronter les ''tempêtes'' et les ''déferlantes''... Mais ça, il y a longtemps que ceux qui ont le courage d'appeler ''chat'' un chat, l'ont compris ! Mais jusqu'à ce 24 mars 2020 inclus, rien ne permet d'accorder le moindre crédit à tous les chiffres qui ont été et sont balancés : le total des malades et celui des décès sont statistiquement infimes. ‘‘Pourvou qué ça doure’’, ajoutait sagement Letizia Romolino, Madame Mère !     Les cicatrices, en revanche, vont être infiniment plus terribles que ce qui est arrivé jusqu'à maintenant. Les plus hautes autorités (qui n'en ont plus aucune... ce qui s’explique facilement !) citaient des ''300 à 500 000 morts en France'', pas encore en vue ! La seule bonne nouvelle c'est que, à ce jour, ils se sont mis le doigt dans l’œil jusqu'à ce coude où ils voudraient qu'on se mouche -contre nature !
  La vie n'a pas de prix, a dit notre Président dans un de ces truismes dont il a le secret. Mais ''le jour d'après'' (dont nous parlerons sous peu), tout le monde va ''encaisser en pleine poire'' le montant exact de ce ''non-prix'' ! Le coût économique potentiel s'élève déjà à des centaines de milliards d'Euros (et non à ''des dizaines'' comme le raconte l'ineffable Bruno Le Maire : 45 mrds pour le monde économique, 5 mrds pour la recherche, 750 mrds promis par la Banque européenne, sans compter les aides, le soutien, les garanties, les manques d’impôts (temporaires : l’Etat ne fait pas de cadeaux, Il ‘’reporte ). Avec les 1000 mrds d'aide au business US, ce n'est plus à pigeon, vole, que nous jouons,  c'est à ''milliard, vole''..
  ''Gouverner, c'est prévoir '' … Vraiment ? Alors, masques ou Euros, il faut  chasser la bande d'imprévoyants qui nous enferme chez nous, faute d'avoir fait ce qu'il fallait. La déferlante actuelle, dont notre système de santé au sens large du terme supporte le poids énorme (jusqu'à quand ?), est celle de l'incompétence de toute une classe dirigeante de politiques et de journalistes qui ont toujours milité pour essayer de faire durer un peu plus longtemps un système pourri... auquel, dans leur nullité, leur inculture profonde et leurs prébendes, ils croyaient, les fous...
H-Cl.
PS : Dans le même numéro du Figaro, un médecin parlait des signes annonciateurs (ou avant-coureurs) de le contamination au Covid 19. La liste est courte : 3 mots. ''Anosmie'', ''Agueusie'', et ''Lymphopénie''. Ouf ! On en déduit que seuls ceux qui parlent grec vont savoir s'ils vont mourir ! Je traduis, pour les non-hellénisants, soit environ 99,95 % de la population : perte de l'odorat, perte du goût et perte... des lymphocytes. L'Edit de Villers-Cotterêts (1539) rend l'usage du français obligatoire ! καλή τύχη ! (= kalí týchi !) ! Ça veut dire : ''Bonne chance'' ! Nous en avons besoin.
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claudehenrion · 5 years ago
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Mi-mandat… en mi-teinte
  Déjà deux ans et demi… En théorie, le temps “fugit irreparabile”, comme disaient les romains. En revanche, pour nous qui supportons les conséquences de cette fuite, tout se passe comme s'il prenait son temps, le temps ! C'est à croire qu'il a le temps ! La tentation est donc grande de “faire le point”, au moment où notre Président cherche à nous faire croire qu'il entamerait “une phase 2” de son quinquennat, c'est-à-dire la même chose, mais avec un petit “chouya de taqqyia’’ (ce ’‘mensonge pour la bonne (?) cause”) en plus, histoire de vivre avec ce qu'il croit être “son temps” : un peu plus d'islam saupoudré sur tout). Où en est la France, après 30 mois passés dans ce “monde nouveau” qui nous était promis ?
 La lecture de nos quotidiens et un regard sur notre petit écran aux heures des “JT” suffisent à nous faire paniquer. Rien ne va plus, tout foire, tout le monde est “vent debout” contre tout le monde, les uns contre les autres, la société est disloquée, le verbe remplace le réel, et, comme dit le brave populo, “C'est chaud, devant” ! Anniversaire rituel des Gilets jaunes et des Black Boks (pas plus acceptable pour autant), menace d'une grève illimitée à partir du 5 décembre, villes bloquées par des paysans injustement mal aimés, grogne confirmée des Maires de France, flics et hôpitaux au bord de l'attaque d'apoplexie, pompiers, retraités, étudiants, paysans, nounous, villageois, habitants les villes ou pas, infirmières, avocats, contribuables, “matons”, riches trop ponctionnés et pauvres pas assez gâtés, automobilistes et motards, artisans, commerçants… la liste est interminable des catégories de français qui n'en peuvent plus de tant d'incurie et de mensonges, de tant de mots creux, de tant d'arrogance mal placée, de tant d'erreurs d'analyse, de tant d'argent dépensé là où il ne faudrait surtout pas… Et marre, peut-être plus encore, d'un pouvoir hyper concentré et hyper technocratique où rodomontades, coups de menton pseudo-mussoliniens et promesses intenables camouflent une réelle impuissance et une aboulie faite d'asthénie, d'apragmatisme et d'ataraxie devant tous les défis qui ne peuvent plus attendre sans dommages… parfois irréversibles : le “a -privatif” du grec ancien semble être la clé de toute analyse !
 Sur le plan intérieur, la réforme des retraites, ce “chantier du siècle”, est en train d'être repoussée aux calendes grecques. C'est simple : on dirait que plus les rapports s'accumulent qui insistent sur l'urgence, plus les dates d'application se dissolvent dans un futur irréaliste : la fameuse “clause du grand-père” renvoie la soi-disant solution-miracle dont personne ne veut aux alentours de 2050… voire 2065 (pour le moment), et ne fait que créer un nouveau régime de retraite, le 43 ème, tout en continuant à chaparder en douce le résultat de la bonne gestion de certaines caisses au profit, comme toujours, de tout ce qui touche à la fonction publique, ce grand méchant loup de la gestion de père de famille. Avec 140 milliards d'euros détournés, ce sera le plus gros hold-up de tous les temps !
 Au delà de cette catastrophe annoncée, la main-mise de l'Administration et de la fonction publique sur l'appareil d'Etat multiplie les situations intenables… A la SNCF, le départ de Guillaume Pépy laisse enfin voir l'immensité du désastre qu'a été la gestion déplorable de ce haut fonctionnaire typique : promettre n'importe quoi, ne pas tenir les objectifs, céder aux syndicats les plus anti-sociaux, laisser aller l'entretien et tout ce qui ne se voit pas, et jouer sur ses relations à tous les niveaux pour renflouer ce qui ne devait pas l'être… et se maintenir en poste ! Et malgré tout, on se demande si la situation de l'hôpital n'est pas encore plus désespérante ! Un soi-disant “Plan de refondation des urgences” a coûté 250 millions sans autres résultats que négatifs. (Il faut dire que dans le genre “ministre indigne de ses responsabilités”, la mère Buzyn (si j'ose !) se pose là, elle aussi. C'est à croire qu'on se donne du mal, en haut lieu, pour sélectionner les plus nuls !)
 Chaque paragraphe étant plus désespérant que les précédent, il y a aussi l'état déplorable des Finances publiques, où le déficit et la dette nous éloignent sans espoir de retour de nos voisins européens -qui sont aussi nos concurrents les plus redoutables..Le Président en est réduit, dans ses efforts désespérés pour “sauver la face”, à se raconter à lui-même que les “garde-fous” que l'Europe s'est imposée à elle-même pour tenter de survivre à la nullité de ses membres sont… “d'un autre siècle” (sic !). On croit rêver, mais c'est un cauchemar ! Vous vous demandez pourquoi il est si important de faire, comme disent nos amis italiens “belle figura” ? Mais pour la politique internationale, voyons ! Quand on s'est rêvé en sauveur du monde et en patron de fait de l'Union européenne, ça doit être difficile de se retrouver seul, rejeté et/ou moqué de tous (car rater à ce point le redressement de son pays ne donne pas envie à d'autres de tenter la même expérience d’échec).
 Et l'ouverture en grand des vannes pour les clientèles, les corporatismes et les dépenses de nature idéologique (fausse écologie, vraie immigration incontrôlée, pompes aspirantes pour une migration mortifère, renvois d'ascenseur et petits copains, dépenses dites sociétales mais toutes perverses, toutes mauvaises, toutes à arrêter vite, ou encore multiplication de sinécures, des comités Théodule, des dépenses inutiles pour acheter sans succès une caricature de paix sociale… tout cela interdit toute possibilité de redressement économique… et partant, politique.
 La situation a atteint un tel niveau de répétition dans l'échec qu'on est en droit de se demander si  notre Président n'aurait pas la “Scoumoune’' (pour utiliser pour une fois mon vocabulaire pied-noir) ! Mais d'un autre côté, ’'on n'est jamais si bien servi que pas soi-même”… et la méthode du coup d'éclat permanent, de l 'annonce pour l'annonce, de la provocation, de la volonté d'aller contre les désirs du “populo”… peuvent parfois réussir. Mais n'est pas Trump qui veut, et le résultat est là, à mille lieues des intentions et des espérances : société au bord de l'effondrement, violence individuelle et collective devenue la norme… la France a perdu toute crédibilité sur la scène internationale. Le Président est l'otage de sa propre démagogie et de son déni des réalités, et, comme le suggère avec cruauté mais juste raison Nicolas Baverez, il est la victime de son détestable système de lecture du monde, des temps actuels, des évolutions en cours et de l'état des autres pays.
 Et pendant que la France est sommée de se passionner pour une “marche contre l'islamophobie”, (factices, toutes les deux), il faut rappeler que “une phobie, c'est la peur d'un danger qui n'existe pas”. Or, s'il y a un danger qui est mortel et même d'une monstrueuse brutalité, c'est bien DAESCH, l'État Islamique et le terrorisme : prisonniers brûlés vif dans des cages, chrétiens crucifiés, non respect du ramadan entraînant la mort, égorgements en place publique télévisés sans honte… et, en France seulement, quelque 300 assassinats… Mais les chiens de garde de la démagogie veillent : on ne nous parle que d'amalgame, de djihadistes rapatriés (les pauvres ! Ils n'ont pas où aller !), et on nous invite à fantasmer sur une éventuelle “Phase II du quinquennat” aussi pire que l’autre ! Pauvre France !
 Mais ce n'est absolument pas ça, qui est en cause ! La dernière porte qui reste ouverte (car les  choix se resserrent) est ce que les skieurs appellent “une conversion’' : un virage à 180°. L'idéal serait de tout effacer et de repartir à zéro, sur des bases totalement nouvelles, complètement différentes, donc ’'moins pires”, par définition. Est-ce possible ? Est-il temps, encore ? Je ne sais pas, et ce n'est pas mon rôle : simple “blogueur”, j'essaye d'observer, de lire entre les lignes, et de comprendre. Mais j'ai oublié l'âge du “passage à l'action” il y a bien longtemps !
H-Cl.
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