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Apres un an et demi de célibat, je me suis remise sur un site de rencontre. L’angoissée chronique que je suis à beaucoup de mal avec ça, mais je dois me rendre à l’evidence que, quand on plaque tout pour déménager ailleurs, loin, ben on recommence aussi ses relations à zero et c’est difficile de rencontrer de nouvelles personnes..
Les sites de rencontre deviennent donc nécessaire mais en même temps c’est anxiogène au possible. Rencontrer quelqu’un n’a jamais été trop un soucis, mais faire confiance, ça c’est compliqué. Comment savoir qu’on peut faire confiance, que notre intuition est correcte, qu’on ne se fourvoie pas, qu’on ne va pas se faire manipuler…?
Débuter une relation dans ces conditions oblige à aller lentement dans un monde ou tout doit aller vite. Ça m’oblige à ressentir moins fort ce que mon coeur hurle, prendre le temps, freiner des 2 pieds, se méfier aussi un peu, quand c’est trop beau, trop simple, trop facile.
Peut-être est ce sincère et beau, peut-être est ce de la manipulation, peut-être est ce lui, peut-être est un manipulateur.
Ce sont beaucoup de questions sans réponses, et mon petit coeur angoissé à du mal à survivre à ce genre de commencements, lui qui fait toujours tout trop fort, trop vite, trop trop…
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A picture @deinonychusdinner took of me and the doggos. #pitbull #petitebull #pibble #germanshepherd #mastiff #malamute #mutt #puppy #dog #dogsofinstagram #pets https://www.instagram.com/p/B3nMmZmlYEn/?igshid=4jepbw0wvnw6
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Nouveauté !!! #hochet #hochetdedentition #bebe #creationbeb...
Nouveauté !!! #hochet #hochetdedentition #bebe #creationbeb…
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Nouveauté !!! 😋 #hochet #hochetdedentition #bebe #creationbebe #passion #petitebulle #besoindecreer #madeinfrance #ideecadeau #cadeaunaissance #cadeaubebe #ideebebe #naissance #bonheur #jouetsenbois #jouetbebe
Prime coloré loading, please one munite.
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Un jour à la fois, petit pas..
J’ai morflé sentimentalement, mais j’ai grandi aussi.. à croire que j’avais besoin de ça pour ne plus rien anticiper, ne plus rien attendre de l’autre, sauf de me sentir bien avec lui.
Il ne sait pas tout, il devine qu’il y a quelque chose sous la surface, il se doute de quelque chose. Faut il lui dire que je suis fracturée de partout, que ma peau est morcelée et mon coeur avec? Faut il lui dire que j’ai peur de l’autre, que j’ai peur d’avoir confiance, peur d’être heureuse avec lui? Que trop de jours heureux me font me méfier de tout?
Aimer je sais faire, ça on ne me le prendra pas. Aimer je sais faire, trop fort évidemment, trop vite assurément. Aimer, putain, ca je sais faire. Porter l’autre, l’aider à guérir, je ne sais faire que ca. Arrêter de penser à moi. Lui d’abord, on verra pour moi. Aimer ça je sais faire…
Mais aimer à en avoir peur, aimer à en flipper, aimer à vouloir tout plaquer et arrêter, aimer à se briser..
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On m’a demandé de qui je parlais dans mes textes, peut-être que je parle de quelqu’un mais peut-être que je parle simplement d’un idéal.
Etre hypersensible c’est avoir cette facilité de pouvoir mettre des mots sur ses propres émotions, mais aussi de faire preuve d’empathie et de comprendre celles des autres, de pouvoir nommer les ressentis sans pour autant avoir vécu la même chose.
Parce que pendant un instant T, une connexion s’est faite, un passage vers l’autre qui me permet d’avoir accès à des informations qui m’aident à comprendre.
Alors mes textes parlent de quelqu’un, oui, ils parlent de moi beaucoup, mais ils parlent de mes proches aussi. Ils parlent de mes attentes, de mes désirs, mais parfois j’y glisse des bulles de vie que j’ai glané ça et là. De ces choses qui ont fait écho, ces moments qui m’ont fait vibrer, ces histoires qui m’ont passionné, ces envies de ressentir à nouveau, ou de ces emotions que j’aimerais découvrir par moi-même…
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bleu
Il me serre encore dans ses bras, m’embrasse, me laisse profiter. Il me laisse ce moment comme trois points de suspension au bout d’une phrase... comme une réalité que j’attends mais que je ne fais qu’effleurer à chaque fois. Il m’embrasse dans la nuque, me caresse l’épaule et s’en va, laissant mon cœur en vrac et son parfum partout chez moi. Il me rejette souvent doucement, il me fait comprendre que je suis déjà privilégiée, que pour lui c’est suffisant. J’entends, j’écoute et je me meurs dans son silence qui suit, invariablement, nos moments. J’aimerais lui raconter ce que je ressens à son contact, ce que les autres que lui ne me font pas, ces émotions que je ne connaissais pas, ces pensées qui naissent en moi et m’empêchent de me reconnaitre dans un miroir. J’aimerais lui dire que quand j’embrasse quelqu’un d’autre ça ne me plait pas, que le seul souvenir de ses baisers me gâche tout et rends le reste insipide. « Être bleu de toi » c’est comme un gros hématome au niveau du cœur, un truc douloureux, qui prends de la place, qui lance et qui mets du temps à se résorber. Et mes peurs reprennent le dessus, peur d’être trop présente, trop collante, trop sentimentale, trop, trop pour lui… La seule chose que je peux faire c’est attendre, l’attendre et espérer qu’un jour l’hématome ne fasse plus mal.
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On me dit souvent que j’ai de la chance d’avoir la fibre artistique. Que sans avoir pris de cours, je suis capable de faire de jolies choses en argile ou à la peinture. Que c’est super de pouvoir écrire et donner sens aux mots. Qu’avoir le sens du détail est important. Que capter correctement un instant en photo ce n’est pas donné à tout le monde.
Quand on me dit ça, je souri doucement et répond vaguement « oui ».
Parce que la partie visible est effectivement très belle, et c’est toujours un bonheur de recevoir ce genre de compliments. De voir les autres s’émerveiller sur mes créations, de créer le voyage en eux.
Mais l’envers du décor est tout autre. La créativité et le processus de création peuvent être complètement absents pendant des jours, voir des semaines. Puis d’un coup, sans crier gare, débarquer et devenir omniprésent, hurlant.
C’est toujours gratifiant de voir une idée germer sur le papier, mais pour ça, l’inspiration à du taper dur. Elle débarque sans prévenir, souvent dans les moments ou on ne sait pas lui donner sa place. Elle tabasse, elle crie. Elle empêche de parler, de réfléchir, elle couvre tout.
Que ce soit des phrases qui tournent en boucle jusqu’à commencer à ressembler à un texte. Que ce soit des images, des souvenirs, qui se superposent pour créer un tableau. Que ce soit une idée à mettre en valeur sur une photo, a l’instant T parfait. Que ce soit l’argile qui prenne vie dans un coin de la tête pour arriver à une forme précise. Tout ça débarque et matraque. Ça prend toute la place dans la tête, le reste des pensées tourne en sourdine. La concentration est impossible à retrouver dans ce flux incessant d’idées. La plupart du temps, même déposer les idées dans un carnet pour essayer de s’en détacher et pouvoir penser à autre chose, c’est impossible. Parce que c’est justement le mouvement des pensées qui sculpte, qui colore, qui dessine, et sans ce mouvement, l’idée couchée sur le papier s’éteint comme une bougie dans le vent. Elle perd sa magie et il est très difficile de la lui redonner.
Alors oui, être artistique c’est chouette, c’est merveilleux. Pouvoir colorer ses pensées, pouvoir exprimer autrement. Mais la plupart des gens ne se rendent pas compte de l’effort intense que ça implique en moi et du temps de repos dont j’ai besoin après tout ça, pour profiter du vide de création qui suit la tempête de ma créativité, quand j’ai pris le temps de la laisser exploser.
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Ça devient difficile à gérer tous ces sentiments que je ressens en sa présence.
D’une phrase, il fait écho, d’un regard, il fusionne, d’un geste, je papillonne.
J’aimerais savoir s’il ressent la même chose. S’il pense autant à moi sur une journée que moi à lui. Si le temps passe vite en sa présence et que nos moments se terminent toujours trop tôt pour lui aussi. S’il attends avec autant d’impatience la fois d’après.
Les allusions qu’il lance ne m’aident pas, parce que je ne sais pas si c’est moi qui focalise dessus ou si elles ont réellement un sens pour lui. Peut-être que je m’emballe pour un rien, qu’il est charmeur comme ça avec tout le monde, qu’il ne se rend pas compte de l’effet que ça peut avoir sur moi.
Peut-être qu’à l’inverse, il le fait avec un but précis, celui de m’envoyer des messages subtils. Espérant que je vais prendre les devants. Sauf que la fille paumée sentimentalement que je suis devenue n’ose pas prendre ça pour des subtilités, et ose encore moins prendre les choses en main. Trop peur de se planter, d’être rejetée, d’avoir imaginé des choses qui n’existaient pas, trop peur de souffrir encore…
C’est compliqué pour moi de savoir, parce qu’il parle peu. Les allusions que moi je peux faire tombent souvent sur un silence. Et séparer les silences voulus des silences habituels, c’est au-dessus de mes capacités d’empathie. De toute façon, je suis une antenne brouillée, ce que je veux ressentir empêche ce que je ressens d’être clair et limpide.
Mon égo à le dernier mot dans cette histoire…
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J’aime quand la tempête se déchaîne dehors. Voir les éléments reprendre leur dû.
Le vent qui siffle, la pluie qui gicle sur les vitres, le tonnerre et les éclairs qui illuminent le ciel, la grêle et son tempo tribal, les rafales qui dessinent dans les torrents d’eau, tout ca m’apaise.
C’est comme si voir tout ca à l’extérieur, calmait la tempête que j’avais moi à l’intérieur.
Tempête de ressentis, tempête de sentiments, tempête d’emotions, tout se calme à l’echo du dehors…
Le vent souffle sur tout, fait tomber mes protections, la pluie nettoie le trop plein et les émotions néfastes, l’orage fait disparaitre mes peurs, la grêle refroidi mes colères. Et tout ça fait, pour une fois, le temps d’un tempête, j’ai l’impression d’avoir accès à mon coeur sans mes sabotages…
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Il est là, à portée de message, à portée de main et moi je ne suis capable de rien… J’aimerais lui dire que je rêve de l’embrasser, que j’ai envie de me blottir dans ses bras. Que j’ai envie de me réveiller de temps en temps à ses côtés, que lorsqu’on sera en congé, j’ai envie de me balader main dans la main, de discuter de tout et de rien, de geeker dans le canapé.
J’ai envie de lui dire qu’il me plait, qu’il à éveillé en moi des sentiments que je croyais avoir étouffé. Que j’aime ce qu’il est et ce qu’il m’apporte déjà sans le savoir. Quand il me parle droit dans les yeux, je me sens toute pétillante. Quand il me fait des compliments, même un peu cachés, j’ai le cœur qui danse.
J’aimerais lui dire que j’aime son aura, ce qu’il dégage. Mais que j’aime aussi celui sous la carapace, qui apparait par moment quand il n’y fait pas gaffe. Le sensible qui a morflé et qui se cache bien sous ses airs de gros dur. La vie n’est simple pour personne et j’ai parfois peur que ce qui m’attire chez lui, ce soit nos blessures en commun. Je me rassure apres, parce que non, il n’y a pas que ça. J’aime les extrêmes qui émanent de lui. Son calme bouillonnant, sa force douce, son rire taquin, sa sensibilité piquante.
Je m’en veux parfois, de ressentir autant de chose pour quelqu’un, si vite si fort. Être hypersensible n’a pas que des avantages, même quand on a appris à fonctionner avec ce don, tout ressentir intensément, c’est épuisant. Cela crée aussi des situations comme celle-ci, ou j’ai peur d’être dans le trop et à l’inverse, peur de me retenir et dans les deux cas, de le perdre.
Finalement, j’aimerais n’être que timide, pas tout le reste et pouvoir affronter mes sentiments et les dire sans aucune retenue. Un jour peut-être…
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lui
Il me manque, c’est indéniable. Il n’y a aucune raison à ce manque. Nous ne partageons rien, nous sommes des connaissances, rien de plus. Il n’y a rien entre nous, peut-être juste des espoirs, des attentes, des possibilités, encore rien d’écrit, ni même tracé. Pas d’esquisses, à peine juste une pensée. Pourtant il me manque…
C’est étonnant cette façon qu’on à tous de laisser une trace chez les autres, sans le savoir. Lui il m’a laissé une griffe bien profonde, mais il n’en sait absolument rien.
J’aime le regard qu’il pose sur moi, un rien coquin. J’aime ses mots quand il parle de moi, cette façon qu’il à de me voir comme personne, cette manière qu’il à de voir mes points faibles comme des qualités. Il ne fait rien, et pourtant je me sens être moi quand je suis avec lui, sans carapace.
Il n’est pas beau à proprement parler, ce n’est pas un mec qui finira un jour dans un magazine, mais il à ce je-ne-sais-quoi qui, à mes yeux, lui donne un charme certain. Je ne saurais pas vous le décrire, sauf qu’il à cette force tranquille qui émane de lui. Il est grand, sécurisant, enveloppant. Je me sens petite à coté de lui, mais pas vulnérable.
Ce vide qu’il laisse en moi, au début je ne voulais pas lui attribuer. Comme si accepter cette information allait lui donner de l’emprise sur moi, mais ma raison à dû prendre le dessus, si, il à ce pouvoir sur moi et il ne le sait même pas.
J’attends ses messages avec tellement d’impatience. Lorsqu’à peine mon gsm s’allume, je regarde si c’est de lui. Si pas, ça attendra. Les autres ont perdu toute leur importance à mes yeux depuis lui. Un message de sa part me donne des papillons, alors qu’ils ne disent jamais rien de ce que j’attends de lui. Je voudrais qu’il m’invite, qu’il me dise qu’il me veut, qu’il me dise que je suis la seule, qu’il m’attendait depuis toujours. Mais il ne me parle que de son quotidien, de futilité, alors que dans ma poitrine, mon cœur se tord...
J’aimerais lui dire tout ça, mais j’ai peur de tout briser, alors je l’écris en espérant que ça puisse me retirer un poids.
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14 février
Il était là, face à moi, ses yeux envoutants plongés dans les miens. Je n’osais ni bouger, ni respirer. J’étais tétanisée, comme à chaque fois, telle une adolescente lors de son premier baiser. Il prit doucement ma main, et à l’inverse, me tira brutalement contre lui pour me prendre dans ses bras. Du bout des lèvres, il m’embrassa la nuque, remonta vers l’oreille, me mordilla le lobe doucement. De ses mains il me plaquait contre lui comme pour m’empêcher de partir, de toute façon je n’aurais rien fait pour arrêter ce moment. Sentir son odeur me donnait des papillons dans le ventre. En cet instant, rien ne comptait d’autre que lui.
Il était de ces hommes que l’on n’oublie jamais, de ceux qui laissent une marque dans votre vie à tout jamais. Je me sentais tellement bien à son contact, il était rassurant, sincère, viril. Il savait lire en moi comme personne et était toujours de bon conseil. Un sage dans le corps d’un homme.
Avec lui je trouvais mon équilibre. Nous étions un couple en confiance, nous avions nos moments à nous, ensemble, ainsi que d’autres seuls, chacun son espace. Nous faisions de longues balades dans les bois, main dans la main, à refaire le monde, à se confier. Nous nous connaissions par cœur, parce que nous n’avions aucun tabou ni aucun secret l’un pour l’autre. En rentrant il cuisinait et ensuite on se lovait devant un film, heureux et amoureux comme au premier jour. Se rassasiant des bonheurs simples que la vie nous offrait et débordant d’amour pour l’autre, nous n’avions besoin de rien d’autre.
Seulement, cet homme-là, je ne sais toujours pas qui il est…
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Mais lâchez moi l’utérus !
- Ça viendra, ça vient toujours, c’est dans tes gènes ! … euh, non, la seule gène que je vois c’est celle que je ressens en ce moment pour tes propos…
- T’as pas encore trouvé le bon père. … Aaaaah voilà ! Dites-lui de m’appeler hein !
- D’ailleurs il serait temps parce qu’a 33 ans tu commences à atteindre la date limite ! … Wait, what ?!?...
- Tout le monde veut des enfants, sinon ce n’est pas naturel, tu es née pour ça ! …Nan mais je viens d’une galaxie lointaine, très lointaine…
- c’est parce que t’en as pas encore à toi! … Encore heureux !...
- Tu verras, les bébés c’est magnifique ! … Je vais retourner voir mon ophtalmo, je dois avoir un problème de vue important...
- Moi aussi je n’en voulais pas, pourtant maintenant je ne sais pas m’en passer. … Dixit celle qui n’a plus de vie sociale, est en pleine séparation et embrasse ses gosses sur la bouche parce qu’elle compense...
- Tu verras comme ta vie va changer ! … C’est drôle, une maladie grave aurait l’air de me faire le même effet…
Bref, au-delà de cette totale incompréhension de leur part, moi je dois pourtant être totalement open à leur vie de maman, aux détails répugnants de l’accouchement, à leur vie qui ne tourne plus qu’autour des enfants, des couches et de la consistance des selles. Compréhension totalement à sens unique, cherchez l’erreur.
Parce qu’au-delà de ce non désir, se cache chez moi une phobie, classée, répertoriée, tout ce qu’il y a de plus officiel : la tocophobie. Qui désigne la peur panique, autrement dit la phobie, de l’accouchement et plus généralement de la grossesse. Pour certaines femmes, elle peut aussi s’accompagner d’une aversion ou d’un dégoût de la grossesse.
Vous avez vu, je vous apprends des trucs, je suis sympa quand même !
En gros, lorsque je vois votre ventre arrondi, la seule image que j’ai en tête c’est un énorme truc dégueu qui essaie de sortir par votre nombril en prenant soin d’écraser tous vos organes internes avant et d’en faire de la bouillie. Dans ma vision, ce truc qui tente de sortir est gluant, à des dents pointues et un air méchant, style ver solitaire version stranger things. Vous visualisez ? C’est cadeau…
Du coup, c’est totalement inutile de venir avec vos conseils à la con, de demain, bon père et j’en passe. En soi, vous admettrez que ce n’est quand même pas compliqué d’essayer éventuellement, peut-être, d’admettre que je peux penser différemment de vous ? Le souci ici c’est surtout le fait qu’entre femme, on peut quand même être de vraies chiennes au sujet des sacro saints enfants.
Mais après tout, même sans un bébé, je suis tout aussi heureuse et épanouie que vous dans ma vie. C’est tout ce qui compte non ? D’être heureuse dans nos propres choix ? Meme si… Quand je vous vois courir dans tous les sens, j’avoue que je jubile un peu de pouvoir vivre en prenant mon temps, mais ça, je me garde bien de vous le dire.
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«C’est quand je vous ai vu rire avec les personnes que vous avez critiqué, que j’ai compris qui vous étiez »
C’est fou cette facilité avec laquelle les gens peuvent, en fait, devenir de vraies ordures… Se cachant sous le masque de la franchise, alors qu’en fait toute vérité est d’office modifiée a leur meilleur avantage. Ces gens n’hésitant pas à prêcher le faux pour avoir matière à racuspoter après, pour se faire la meilleure place ensuite. Réussissant à démolir les gens pour ensuite tenter d’influencer leurs pensées.
Ces gens sont purement malsain, ce sont des gens toxiques qu’il est bon de remettre à leur place dès les premiers signes, quand on sait les voir tôt. Parce que ces gens sont des manipulateurs nés, pratiquant leur art depuis des années, petit à petit, discrètement, gagnant d’abord la confiance des gens avant de pouvoir assouvir leur cruel destin et injecter leur venin dans les veines de ceux qui y avaient cru…
Je me demande parfois si ces gens là sont heureux quand ils font le point sur leur journée ? Quel bénéfice émotionnel ils en retirent, a part de se dire que le monde qu’ils façonnent est aussi bancal que la tour de Pise durant un tremblement échelle 7 de Richter…
Moi je suis heureuse de voir les gens rirent, d’un rayon de soleil un jour de pluie, d’un bourgeon au début du printemps. Eux quoi ? Ils sont heureux d’avoir fait pleurer quelqu’un ? Heureux d’avoir retournés deux amis l’un contre l’autre ? Heureux d’avoir gâché la vie des gens ? Heureux de mentir a tour de bras et de vivre dans une utopie permanente ? Heureux d’avoir écrasé quelqu’un pour prendre sa place et profiter de la vue ?
C’est un processus que je ne comprends vraiment pas, et que malheureusement je vis dans mon quotidien professionnel. J’ai mis le temps a ouvrir les yeux mais maintenant que j’ai vu, je ne peux qu’être dans l’incompréhension. J’essaie de tourner la situation à l’envers mais j’en suis même incapable, je ne suis pas assez vicieuse...
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alors? heureuse?
Aujourd’hui il m’est arrivé un truc étrange… Une dame parfaitement inconnue m’a souri, et ça, sans aucune raison, juste comme ça, en sortant du magasin.
Inconsciemment, je n’ai pu m’empêcher de me demander pour quelle raison souriait elle ainsi :
- y avait il une méga promo sur les alcools forts et le vin ?
- Est elle secrètement amoureuse du boucher et se sont ils échangés quelques mots ?
- A t’elle peté dans un rayon bondé et à accusé une vieille (coucou karma)?
- A t’elle foutu le bordel dans une étagère, niark niark ?
Eh ben en y réfléchissant bien, elle était peut-être juste heureuse ?
Elle fait probablement partie de cette espèce en voie de disparition, vous savez, ceux qui sont heureux et qui le rayonnent autour d’eux…
N’empeche, ce qui fait du bien, c’est que c’est contagieux !
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Je fais partie de ces femmes indépendantes, qui aiment leur solitude, ont besoin de souffler régulièrement. Ces femmes qui peuvent parfois paraitre distantes, quitter un endroit soudainement parce qu’elles manquent littéralement d’air, parce qu’il y a trop de monde, trop d’échanges insignifiants, pas d’intérêt. A notre époque, rencontrer quelqu’un est déjà compliqué, mais j’ai parfois l’impression que cette facette d’indépendance, chez moi, c’est comme tenter de battre un dragon avec un cure-dent.
Je ne comprends pas non plus les hommes qui un jour disent qu’ils n’aiment pas étouffer avec une fille trop présente, qui va les obliger a se voir régulièrement, a changer leur vie du tout au tout pour elle, et qui le lendemain me disent que moi, je n’ai pas besoin d’un homme pour exister, que ça leur fait peur, qu’ils ont la frousse de ma facilité a ne pas avoir « besoin » d’eux, qu’ils se sentiraient inutiles.
Mais où est le problème ? en réalité, si vous lisez entre les lignes, je n’ai pas besoin d’un homme pour vivre correctement, pour me faire la vaisselle, pour aller au resto, pour dépendre de lui. J’ai besoin d’un homme pour vivre quelque chose de profond, pour partager, pour échanger, pour ressentir. Un homme qui ne sert pas de sparadrap, ni de bouche trou. Un homme qui s’épanouira à mes côtés, pendant que je ferai de même. La cerise chantilly sur un gâteau qu’il n’a pas eu besoin de cuisiner parce que je l’ai fait toute seule. Pendant que lui, pourrait cuisiner son propre gâteau aussi, comme il l’entend, avec les ingrédients et les gouts qu’il veut. Ça donne l’eau a la bouche, vous ne trouvez pas ? eh bien apparemment pas assez…
Nous vivons toujours sous cette légende qui veut qu’une femme dépend de son homme, c’est tellement ancré dans nos mœurs que celles qui dérogent à la règle sont vues comme des glaçons. Pourquoi un homme seul célibataire c’est super, et une femme seule, une « célibattante » (LOL), ça fait pitié : « la pauvre, elle est seule pour tout gérer, elle doit être tellement malheureuse » ?
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