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Pose de pavés en Granit – Coin Nature, entreprise Française spécialisé en la pose de pavés portugais
La pose de pierre naturelle comme les pavés granit remonte au siècle 19, la raison de çà c’est toujours actuel, c’est un matériel très durable, naturelle et très belle, avant la pose de pavés était utilisé sur les routes communes pour les véhicules à cheval, et après pour les voitures.
Maintenait en 2019 la pose de pavés en granit est fait surtout sur les entrées de villas, et par entreprises professionnelles comme nous Coin Nature, nous intervenons dans la région PACA, principalement sur 83 VAR et 06 Alpes Maritimes, ou on peut trouver des merveilleuse villas, qui avec nos pavés en granit en provenance du Portugal, posé par des professionnels, vont être encore plus merveilleux quand ils ont des pavés de granit sur son sol, dans l’Allee de entrée ou parking.
Et vous ? avez-vous déjà choisissez si votre merveilleuse villa, va être encore plus merveilleuse avec nos pavés en granit?
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Lamego - Portugal - Visite à pied
Il y a un grand stationnement situé à proximité de l'escalier qui monte vers le sanctuaire Nossa Senhora dos Remédios. Celui-ci est gratuit. C'est là que nous avons garé notre voiture.
Nous avons tout d'abord procédé à notre enregistrement à la maison d'hôtes Huga Home et nous nous sommes dirigés par la suite vers le Jardin de la République (Jardim da República).
En cours de route, nous avons remarqué la statue du pompier volontaire (Estátua ao Bombeiro Voluntário). Elle représente le geste héroïque d'un soldat de la paix qui sort d'une fenêtre avec un enfant dans ses bras, lui sauvant ainsi la vie.
Juste à côté du Jardin de la République se trouve la statue d'un guerrier située au sommet de la fontaine monumentale "Le Lamego" (Estátua e Fonte Monumental “O Lamego”).
Cette fontaine a d'abord été érigée en 1830 dans le Jardin de la République, mais a dû être déménagée à son emplacement actuel en 1924 en raison des travaux d'agrandissement du jardin.
Le Jardin de la République est un petit espace vert aménagé avec une belle fontaine et plusieurs blancs ont été installés pour la détente.
L'Hôtel de Ville se trouve juste en face de ce jardin.
Comme nous marchions en direction du château, nous avons aperçu la maison des Pinheiros de Aragão, un manoir érigé à la fin du 17e siècle. Aujourd'hui il abrite entre autres un centre de jour pour personnes âgées. Les armoires sont toujours présentes au-dessus de la porte principale.
L'entrée au château de Lamego est gratuite. Il n'y a rien à voir à l'intérieur des murs. Cependant, on peut grimper sur les remparts et ainsi avoir une magnifique vue sur la ville de Lamego et les environs.
Il y a également une grande tour dans laquelle nous pouvons entrer. Un escalier mène au sommet de la tour duquel nous avons également une superbe vue panoramique da la région.
Nous nous sommes dirigés par la suite vers le centre historique de Lamego où se situent de beaux bâtiments dont celui qui abrite le Théâtre Ribeiro Conceição.
Sa construction remonte au 17e siècle. Ce fut d'abord un hôpital et puis une caserne de l'armée jusqu'à ce qu'un incendie survienne à la fin du 19e siècle et qu'il demeure abandonné durant plus années.
Le commandant Ribeiro Conceição a acheté ce bâtiment et y a fait construire un beau théâtre qui a ouvert ses portes en 1929. Il est demeuré ouvert au public jusqu'en 1987.
Plus tard, le conseil municipal a acquis ce bâtiment. Des travaux de réfection ont débuté en 2005 et l'inauguration du nouveau théâtre a eu lieu en 2008.
Tout près se situe le Musée de Lamego (Museu de Lamego) qui fut jadis le Palais épiscopal (Antigo Paço do Bispo). Il présente des expositions permanentes qui couvrent la période romaine à nos jours.
Devant ce musée se trouve la statue de D. Miguel du Portugal qui fût évêque de Lamego de 1635 à 1644, année de sa mort.
L'ancien séminaire (Antigo Seminário) se trouve également dans ce secteur. Sa construction s'est terminée au tout début du 18e siècle. Ce bâtiment a été ensuite sous l'administration de l'armée et il a servi entre autres de mess d'officiers.
Sé, la cathédrale de Lamego, a été érigée au 12e siècle. De style gothique, elle a subi de nombreuses transformations entre les 16e et 18e siècles, d'où l'observation de styles différents autant sur la façade qu'à l'intérieur de la cathédrale.
De superbes fresques du 18e siècle tapissent les plafonds de la cathédrale.
En sortant de la cathédrale, nous sommes allés en direction de l'avenue Visconde Guedes Teixeira. De magnifiques jardins agrémentés de fontaines et statues jalonnent cette avenue.
Tout près se situe la Chapelle du Saint-Esprit (Capela do Espírito Santo) qui fut érigée au 16e siècle. De petite taille, son intérieur est richement décoré et ses murs sont partiellement recouverts de beaux carreaux d'azulejos.
La Fontaine du Saint-Esprit (Fonte do Espírito Santo) est située à côté de cette chapelle. Elle possède deux robinets d'où jaillit une bonne eau de source.
Nous avons ensuite pris la rue Mazeda qui mène jusqu'au cimetière de Santa Cruz situé dans la partie supérieure de la ville. Du haut de cette rue, à l'intersection de la route N226, nous avons un excellent point de vue de la ville de Lamego ainsi que du château qui surplombe la ville.
Le cimetière de Santa Cruz est situé en face de l'église du même nom qui date de la fin du 16e siècle et qui n'est plus accessible au public (usage exclusif de l'armée).
Il est très facile de circuler dans le cimetière puisque les corridors ont été pavés. On y retrouve encore de très anciens monuments.
Nous sommes retournés en direction du centre historique par la rue 15 de Março qui passe dans le Largo Dr. João de Almeida.
On y retrouve de jolis bâtiments dont la Maison des Vilhenas ainsi que la Maison Serpas (Maison Santa Cruz) qui datent toutes les deux du 18e siècle.
A l'intersection des rues Desterro et Cardoso Avelino se trouve la Chapelle de l'Exil (Capela do Desterro) érigée en 1640. Nous ne l'avons pas visité car elle était fermée. Cependant, elle vaut certainement le détour avec son plafond à caissons peints ainsi que ses murs recouverts de carreaux d'azulejos.
Nous avons pris la rue da Cardoso Avelino qui mène au centre historique. De jolis bâtiments typiques bordent cette rue.
Cependant, elle change de nom peu avant la maison des Brolhas et devient la rue Macário de Castro.
La Maison des Brolhas, construite au 18e siècle, est un des plus grand bâtiments de Lamego. Sa façade présente 21 fenêtres ainsi que plusieurs ornements architecturaux sculptés dans le granit. On y retrouve un imposant portail ainsi que les armoiries de la famille situées tout au haut de celui-ci.
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Bretagne mégalithique
Impossible de parler de la Bretagne sans aborder le dossier conséquent des mégalithes.
Menhirs, dolmens, cromlechs, alignements, tumuli, cairns, quadrilatères, allées couvertes : les multiples formes de mégalithes abondent en Europe occidentale en général et en Bretagne en particulier. Il aurait aussi existé des pyramides en Armorique (comme celles des villes englouties de Nazado/Reginea ou Ys).
On estime que 80 % de ces monuments ont disparu : d’une part en raison de la montée postglaciaire des mers (de quelque 120 mètres tout de même), d’autre part sous l’action idéologique des chrétiens, soucieux d’effacer ces témoignages grandioses du paganisme druidique, conjuguée à celle des paysans qui ont « nettoyé » leurs champs et construit leurs maisons.
Gardons à l’esprit que nous voyons actuellement des vestiges, privés de leur contexte d’origine, dépouillés de leur aménagement initial (tumulus, cairn, fossés, dallages et chaussées de pierres, peintures, structures en bois, etc.).
Les Pierres Droites de Monteneuf
Un site magnifique s’étalant sur 7,5 hectares dans une belle forêt, découvert récemment et joliment réhabilité par une association qui a redressé une quarantaine des 400 menhirs mis au jour. Son intérêt est que les mégalithes, de formes variées, sont implantés à proximité immédiate de leur lieu d’extraction, en groupe ou en ligne. L’alignement traverse un tertre aplati. Certaines dalles plantées sur chant font penser à des constructions disparues. Les pierres furent volontairement abattues, enterrées dans des tranchées, puis envahies par la végétation et oubliées, vraisemblablement sur l’injonction des autorités religieuses dans le cadre d’une campagne d’envergure visant à détruire le paganisme.
Allée couverte de Tréal
Située sur une crête rocheuse à proximité de l’impressionnant complexe mégalithique des Landes de Cojoux, en Ille-et-Vilaine, cette allée couverte à entrée latérale (ce qui l’apparente aux monuments d'Europe du Nord - Danemark, Nord de l'Allemagne) mesure 15,50 m de long pour 1,20 m de large. Le fond de la chambre est pavé de petites dalles, la couverture et les piliers sont en poudingue de Monfort, une roche fragile. Le tout était recouvert d’un cairn.
Les allées couvertes sont des sortes de dolmens allongés. Elles se composent d’une grande chambre en longueur, couverte de dalles placées à la même hauteur, contrairement au dolmen à couloir dont la hauteur sous plafond décroît progressivement du fond de la chambre jusqu’à l’entrée. La fonction des allées couvertes semble liée aux rites de passage et au culte des ancêtres. Leur nom en anglais est passage grave : bien qu’elles ne soient pas des tombes, on a bien l’impression de passer une porte, d’entrer dans autre chose lorsqu’on y pénètre à genou. L’allée couverte est un lieu de mi-chemin où l’âme du trépassé, pas encore totalement mort, fait la liaison entre l’esprit des vivants et le monde des morts.
Menhir de Kergornec (Saint-Gilles-Pligeaux, Côtes d’Armor)
Surnommé « la chandelle », ce faux solitaire – son acolyte est situé en contrebas dans une prairie – de 7 mètres de haut à l’ombre de son gardien, est comme un clin d’œil aux éoliennes modernes en arrière-plan et témoigne de millénaires de présence humaine en quête d’énergie !
Cairn de Barnenez (Plouézoc’h, Finistère) : ce « Parthénon de la préhistoire » selon André Malraux, est le mégalithe connu le plus ancien au monde et préfigure les pyramides à degré (2 000 ans avant Gizeh). Construit en dolérite et en granite à deux époques différentes, ce monstre de pierre long de 75 m, haut de 8 m et large de 28 m, a failli disparaitre en 1955, après la destruction complète du cairn voisin long de 30 m.
Les onze dolmens à couloir qu’il contient s’ouvrent tous sur la façade sud. Certains couloirs et dalles qui les composent sont ornés de gravures aux formes stylisées. Une technique étonnante dite de la « fausse coupole » assure une stabilité remarquable à l’ensemble, en maîtrisant la poussée de cette énorme masse de pierre. Plusieurs chambres ainsi voûtées sont intactes 6 000 ans après leur construction.
Le cairn se dit aussi galgal, qui vient du vieux français gal qui signifie caillou. Cette racine a donné : Gaule, Galles, Galatie, Galilée, Galice, Galicie... et même Portugal (« port gaulois »). Autant de lieux riches en mégalithes !
Le cairn ou galgal est un monticule de pierre qui recouvre un ou plusieurs dolmens. Lorsqu’il est constitué de terre et forme une colline artificielle, c’est un tumulus. Cette conception évoque les cavernes sacrées des âges anciens. Ou encore des caissons sensoriels coupés du monde dans lesquels s’enfermaient les chamanes ou les candidats à l’initiation pour affronter les démons de l’obscurité...
Menhir christianisé de Saint-Uzec (Pleumeur-Bodou, Côtes d’Armor)
Superbe spécimen en granit rose haut de 7 mètres (hors du sol) et large de 3,10 m à sa base, ce menhir vieux de 6 000 à 7 000 ans illustre bien la tentative de « récupération » de l’Église qui missionna un jésuite pour le détruire. Faute d’avoir pu le faire disparaître, on décida de l’affubler d’un placître, d’une croix et de bas-reliefs gravés et peints représentant les instruments de la Passion du Christ et divers symboles chrétiens, le soleil et la lune, et même un Christ peint en couleurs aujourd’hui effacé.
Sources : Marie Cachet, Howard Crowhurst, Christian Robic, Xavier Séguin
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