#participationcitoyenne
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Séance d'Information et de Partage d'Expériences pour les Gouverneurs et Vice-Gouverneurs Récemment Élus
Ce mercredi, une importante séance d’information et de partage d’expériences a été inaugurée au Ministère de l’Intérieur, de la Décentralisation et des Affaires Coutumières. Organisée par l’École Nationale de la Territoriale, cette rencontre a rassemblé les gouverneurs et leurs vice-gouverneurs récemment élus. L’objectif principal de cette séance est de permettre aux nouveaux élus de se…
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Nouvelle culture politique en attente
Cela fait belle lurette que la confiance des citoyens s'érode à l'égard des institutions, des médias et du monde politique surtout. Ce constat a été objectivé par de nombreuses enquêtes fouillées ces dernières années. La question du ré-intéressement des citoyens à la "chose politique", fondamentale, a donc fait l'objet d'initiatives parlementaires, à tous les niveaux de pouvoir, de la Région flamande à la Communauté germanophone. C'est heureux, même si ces initiatives n'ont jusqu'ici pas donné grand-chose. Les raisons sont multiples, bien entendu, et l'idée de mettre en pause ces initiatives sur le plan fédéral entre 6 et 12 mois avant des élections permet de se soustraire aux tentatives d'instrumentalisation. Il ne faudrait cependant pas s'en tenir à ces initiatives.
Une nouvelle culture politique est vitale pour notre démocratie, où la particratie - refrain connu - a pris un poids démesuré. Où les députés - combien ne nous le disent-ils pas - sont devenus des presse-boutons. On ne peut que constater, au travers des "affaires" (Parlement wallon, Quatargate, pour ne citer que celles-ci), des coups bas politiques, des marchandages de tapis au cours des discussions intergouvernementales sur les grands dossiers, que cette nouvelle culture politique ne saute pas immédiatement aux yeux. Ce faisant, les tentatives de réappropriation de la chose politique par les citoyens se compliquent. Mais elles doivent être poursuivies. Et renforcées : les députés, représentants des citoyens, doivent pouvoir assurer et assumer leur rôle. Les exécutifs devront montrer que la volonté était autre que celle de caresser l'électorat dans le sens du poil sur cette question de la gouvernance politique. On nous rétorquera que la "liste des priorités" du prochain gouvernement est déjà bien longue. Certes. Mais une nouvelle culture politique ne doit pas s'arrêter aux éventuels processus d'association des citoyens aux décisions. La légitimité politique passe aussi et d'abord par l'exemplarité et la prise de décisions répondant aux attentes ou interrogations des citoyens. Par un sens retrouvé des responsabilités et de l'intérêt général. Le sentiment prévaut encore trop souvent aujourd'hui que l'essentiel — la baisse des charges sur le travail, l'accès au logement, la création d'emplois, la transition climatique, le pouvoir d'achat, l'instauration d'un système fiscal plus simple, plus cohérent - passe à l'arrière-plan.
Il y a deux ans, tous les partis n'avaient que trois mots à la bouche : "Réenchanter la politique." On en est loin. Un édito de François Mathieu.
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Réinventer nos Villes : Clés pour un Espace Urbain Optimisé et Durable
🌆✨ Découvrez comment nous pouvons transformer nos villes pour un avenir plus durable et vivable ! Notre dernier article "Réinventer nos Villes : Clés pour un Espace Urbain Optimisé et Durable" plonge au cœur de l'#urbanisme innovant et des stratégies pour une #villeDurable. 🌿🏙️ 🔍 Que vous soyez passionné par le #développementDurable, intéressé par les #technologiesUrbaines ou simplement curieux de savoir comment améliorer la #qualitéDeVieUrbaine, cet article est pour vous. Nous explorons l'importance des #espacesVertsUrbains, la mobilité #durable, et le rôle crucial de la #participationCitoyenne dans la conception des #villesDeDemain. 🚀 Rejoignez-nous dans cette aventure vers des #espacesPublics plus accueillants, une meilleure #gestionDesVilles, et l'adoption de pratiques #écoQuartiers. Votre voix peut aider à façonner l'avenir de nos villes ! 💬 Partagez vos pensées et idées en commentaires et n'oubliez pas de partager cet article pour inspirer un changement positif dans nos communautés urbaines. Ensemble, faisons de nos villes des lieux où il fait bon vivre, travailler et jouer. 🔗 https://kingland.fr/reinventer-nos-villes-cles-pour-un-espace-urbain-optimise-et-durable/ #OptimisationUrbaine #ArchitectureDurable 🔄 Partagez ce message pour faire partie de la transformation urbaine ! 🔄
La Vision d’un Espace Urbain Transformé Dans un monde où les villes deviennent le cœur battant de notre civilisation, optimiser l’espace urbain est devenu une priorité absolue. Face aux défis environnementaux, sociaux, et économiques, comment pouvons-nous réinventer nos espaces urbains pour qu’ils soient plus vivables, durables, et inclusifs ? Réinventer nos Villes : Clés pour un Espace Urbain…
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Recherche de participants pour une étude ! Sujet : "Étude sur la perception de la participation citoyenne et le numérique" https://t.co/5s6jLi0sW7 via @SurveyCircle #citoyenneté #numérique #DémocratieParticipative #ParticipationCitoyenne #débat #enquête #surveycircle https://t.co/QJPjWvXb1i
— Daily Research @SurveyCircle (@daily_research) May 10, 2023
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Suivi du projet [événementiel] : de la conception à la réalisation
cARTorgaphie sensible avec FBI Prod.ch — suivi logistique, communication (visuels), relations de partenariat. Août à Octobre 2019
Cartographie sensiblement les usages, histoires et envies des habitants d’un quartier ou d’une ville en utilisant la méthode du Transect. Représentant un tracé de façon originale, une vue sous une perspective différente du territoire est ainsi présentée.
Créant des questionnement, des rencontres, des discussions, la cartographie permet d’envisager le passé, le présent et surtout le futur d’un autre angle de vue pour (qui sait ?) l’améliorer ensemble !
#2019#SoniaMiny#médiationculturelle#participationcitoyenne#projectmanagement#Genève#projetculturel#perspectivedifférente#versatilité#cARTographiesensible
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Balade sensible avec les habitants, 9 juillet
photo by Debezenac
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Aéroport de Nice Participation Citoyenne
Signez notre pétition sur change.org pour favoriser une prise de participation citoyenne dans la privatisation de l'aéroport de Nice.
Aéroport de Nice Participation Citoyenne
www.aeroport-nice-participation-citoyenne.org
Adresse directe sur change org :
https://www.change.org/p/a%C3%A9roport-de-nice-participation-citoyenne
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Participation citoyenne un rapport accablant Selon un rapport de l'ULB-VUB, les démarches de consultation se multiplient, mais rares sont les décisions qui en découlent. De quoi plomber l'opinion publique. Des chercheurs et universitaires, Jean-Benoit Pilet (ULB) et Dave Sinardet (VUB) en tète, ont collecté tout ce qui s'écrit, toutes les études scientifiques qui font autorité dans le domaine, pour dresser un panorama de la participation citoyenne en Belgique, avec "cartographie" des expériences en cours. Ils se sont interrogés au bout du compte sur la façon de rendre tout cela opérationnel politiquement. C'est là que le bât blesse. Notre Constitution, constatent les auteurs de l'étude, est « rétive », en tout cas conservatrice ; quant à la sixième réforme de l'Etat, elle a étendu timidement la possibilité d'organiser des consultations populaires au niveau régional (la Wallonie a adopté un décret en ce sens). Tout cela reste très hypothétique. Nous évoluons sans vrai cadre juridique. Mais, de la pétition à la consultation en passant par les budgets participatifs, les interpellations citoyennes, etc., entre 70 et 80 démarches et initiatives différentes ont cours sur le territoire, des communes aux provinces, des Régions au fédéral. Où des citoyens, donc, sont amenés à délibérer, suggérer, interroger, tout cela au sein d'assemblées, ou dans des panels, ou seulement en ligne, on en passe. Une petite ruche. Sans le miel à la fin. En effet, lit-on, « la plupart des processus participatifs se situent à l'étage de l'élaboration de l'action publique » et très rares sont ceux qui la conditionneront in fine. Un sur-place problématique. De quoi déprimer le peuple qui, s'il a envie d'y croire, se méfie déjà au départ de la « chose politique », ne parlons pas à l'arrivée. On passe vite du : « A quoi ça va servir tout ça ? », au : « A quoi bon ? » Participation citoyenne en Belgique trop peu d'impacts concrets Une équipe d'universitaires ULB-VUB s'est penchée sur la démocratie participative en Belgique. Conclusion beaucoup de démarches, mais dispersées, et sans impact politiquement. Les citoyens délibèrent, leurs options ne sont pas prises en compte. Attention à l'effet boomerang encore moins de confiance dans la démocratie. A un an des élections, vu l'état de l'opinion, c'est un avertissement : attention à exalter généreusement la participation citoyenne puis à s'asseoir dessus... En gros, c'est la conclusion - un appel (au secours) en substance - d'une vaste « étude sur les mécanismes de démocratie participative on Belgique : pratiques, enjeux, perspectives », réalisée conjointement par l'ULB et la VUB, inspirée et financée par la société « Itsme », application d'identification en ligne (le Covid Safe Ticket, c'était elle, l'accès aux déclarations fiscales, c'est elle aussi), ici grosso modo dans un rôle de mécénat, ou présumé tel. Or donc, les chercheurs et universitaires, Jean-Benoît Pilet (ULB) et Dave Sinardet (VUB) en tête, ont collecté tout ce qui s'écrit à ce sujet, toutes les études scientifiques qui font autorité dans le domaine, pour dresser un panorama de la participation citoyenne en Belgique, avec « cartographie » des expériences en cours. Et s'interroger au bout du compte sur la façon de rendre tout cela opérationnel politiquement. Puisque c'est là que le bât blesse. Du moins si l'on estime que le modèle de démocratie représentative est en fin de vie, en tout cas à bout de souffle, et qu'il faut innover. Grandes ambitions, résultats quasi inexistants Notre Constitution, constatent les auteurs de l'étude, est « rétive », en tout cas conservatrice à cet égard ; quant à la sixième réforme de l'Etat, elle a étendu timidement la possibilité d'organiser des consultations populaires au niveau régional (la Wallonie a adopté un décret en ce sens). Tout cela reste très hypothétique. Nous évoluons sans vrai cadre juridique. Mais ça pousse derrière : de la pétition à la consultation en passant par les budgets participatifs, les interpellations citoyennes, etc., entre septante et quatre-vingts démarches et initiatives différentes ont cours sur le territoire, des communes aux provinces, des Régions au fédéral. Où des citoyens, donc, sont amenés à délibérer, suggérer, interroger, tout cela au sein d'assemblées, ou dans des panels, ou seulement en ligne, on en passe. Sans oublier les démarches émanant de ladite « société civile », pensez au G1000 de David Van Reybrouck, aujourd'hui au « We need to talk» sur le financement des partis. Une petite ruche. Sans le miel à la fin. En effet, lit-on, « la plupart des processus participatifs se situent à l'étage de l'élaboration de l'action publique » et très rares sont ceux qui la conditionneront in fine. Un surplace problématique. De quoi déprimer le peuple qui, s'il a envie d'y croire, se méfie déjà au départ de la « chose politique », ne parlons pas à l'arrivée. On passe vite du : « A quoi ça va servir tout ça ? » au : «A quoi bon ? »... Diplomatiquement dit, cela donne, dans les conclusions de l'étude ULB-VUB : « Les expériences étudiées montrent l'existence d'une tension entre processus participatif et résultat. Ainsi, des processus très ambitieux par leur visibilité et leurs moyens, tels le Grand débat national lancé par Macron en France, ou encore la Convention citoyenne, chez nos voisins français encore, peuvent aboutir à des résultats décevants, en créant des attentes importantes en termes de politiques publiques, mais n'aboutissant pas à des mesures concrètes, réellement adoptées ou mises en oeuvre ». Ce qui génère « confusion généralisée », pluie de « critiques », « désengagement ». Tout le contraire de l'effet escompté. Gare à l'abstention La démocratie libérale mal en point, peut en sortir essorée, bonne pour le saut dans l'illibéralisme, et ce n'est pas une aventure. Un opérateur, qui a coaché l'étude, nous l'explique informellement : « Franchement, tout se passe comme si on invitait les citoyens à prendre leur sort en main, mais au moment où il faut passer de leurs avis et conclusions à la mise en œuvre, il n'y a plus personne... La pièce manquante, c'est l'absence de "process" politique au bout du processus de participation, quel qu'il soit. Résultat, vous vous en doutez : beaucoup de frustration, et beaucoup d'antipolitique en plus ! C'est le comble ». Et c'est funeste. Car le terrain est meuble déjà. Dans une étude précédente, la même équipe ULB-VUB, là aussi à l'instigation de la société « Itsme », s'était interrogée gravement : "Une démocratie sans électeurs ?», analysant l'évolution de l'abstention aux élections fédérales en Belgigue (11,6 % du corps électoral en 2019, en progression constante depuis 1975) , malgré l'obligation de vote jusqu'à nouvel ordre. Ajoutez les votes blancs ou nuls, qui avaient reculé un temps sous le régime du vote électronique, mais juste parce que les bulletins, dans ce cas, ne sont pas accessibles physiquement. Invitées par les auteurs de l'étude à soumettre leurs pensées et propositions, les formations politiques s'inquiètent plus ou moins, on attend les programmes électoraux. De même, une série de « grands témoins » ont été sollicités, souvent alarmistes. Tout cela au moment où, à partir de ce 23 mai, près de 300.000 jeunes Belges et Européens de 16 ans résidant en Belgique sont invités à s'inscrire sur les listes électorales, entre une démocratie représentative pas top et une participative pas là. L'optimisme de la volonté nous tirera-t-il de la mauvaise passe ? DAVID COPPI dans Le Soir du mardi 23 mai 2023 Réflexions de Paul Schmitz sur notre temps...
Un tiers des Flamands boycotterait les prochaines élections communales: un signal ?
Selon l’étude « De Stemming » commanditée par De Standaard et la VRT, presque 1 électeur flamand sur 3 annonce qu’il ne se rendra assurément ou probablement pas aux urnes lors des prochaines élections locales. En octobre 2024, pour la première fois, l’obligation de vote sera supprimée pour ce scrutin. Cet assouplissement ne concerne toutefois pas les élections fédérales, régionales et européennes de l’an prochain. D’après le sondage, si la participation à ces scrutins n’était pas obligatoire, le taux d’abstention serait élevé lui aussi.
DaarDaar 12-05-2023
Près de un wallon sur dix n'ira pas voter
Grand Baromètre: à un an des élections, un Wallon sur deux ne fait plus confiance à la classe politique
RTL Info du 11 juin 2023 Élections en 2024 : à quels niveaux d’abstention faut-il s’attendre ? Malgré le fait qu’en Belgique le vote est obligatoire, pas loin d’un électeur sur cinq serait prêt à boycotter d’une manière ou d’une autre les scrutins, selon les résultats du Grand baromètre Ipsos-Le Soir-RTL Info-Het Laatste Nieuws-VTM. À neuf mois des scrutins fédéraux, régionaux et européens du 9 juin 2024, le Grand Baromètre (à l’initiative de plusieurs médias) confirme une certaine désaffectation citoyenne pour la chose politique. En tout cas pour son expression privilégiée dans nos démocraties participatives (à savoir le vote), et/ou pour l'offre actuellement proposée. Moustique & La Libre 1 octobre 2023
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Communales 2018. Et vous comment allez-vous voter ? Montage-détournement.
A Barcelone et Madrid, des maires atypiques ont entamé, en 2015, un difficile travail de renouveau démocratique. Un laboratoire pour l'Europe, présenté parmi d'autres expériences internationales, dans un documentaire. A voir avant d'aller voter : https://www.printempscitoyenlefilm.com/ On peut changer les choses, même lorsque le système semble verrouillé.
Le temps est venu pour la grande guérison de la politique, car elle est très malade. David Reybrouck l'explique parfaitement. Ce dimanche 14 octobre, choisissez pour la guérison et non pour la maladie.
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