#pardon mais ça m'aide pas
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moi, observant fixement la pire phrase que j'ai écrite de toute ma vie de rpgiste après deux heures à essayer de pondre une réponse potable:
#blabla#((((juste pas de remarques ou d'encouragements condescendants svp))))#la dernière fois on m'a servit ça et#pardon mais ça m'aide pas#genre je sais que ça part d'un bon sentiment mais#je suis française alors laissez moi juste râler un gros coup#et après ça ira mieux#et par contre je partagerais pas la phrase en question parce que#J'AI TROP HONTE mdrrrrr
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Il y a quelques posts de ça, je parlais des décisions que l'on peut prendre au sein de notre vie et qui peuvent nous faire ressentir de la honte lorsqu'il s'agit de les assumer. Si j'ai eu cette discussion avec mon père ce n'est pas par hasard, je l'y ai volontairement amené parce que dernièrement j'ai pris une décision sur laquelle j'ai menti à bon nombre de personnes. J'ai failli même mentir sur tumblr mais au final, pour quoi faire ? Je me suis officiellement mise en couple avec le garçon qui m'a trompée lorsque nous étions en relation officieuse mais bien exclusive. Après avoir fait les tests pour m'assurer que cette erreur n'avait pas déteint sur ma santé, et vu qu'ils étaient négatifs, je me suis sentie soulagée. Soulagée au point de me dire que le vrai problème n'était pas qu'il soit allé voir quelqu'un d'autre mais qu'il ne se soit pas protégé avec ce quelqu'un d'autre. J'ai toujours été quelqu'un de particulièrement angoissée vis à vis des MST, bien plus que la majorité des gens. Ça en est quasiment obsessionnel, d'où la trahison vécue particulièrement mal. Une fois les tests revenus clean, j'ai décidé de pardonner. Et en fait, je ne sais toujours pas ce que ça signifie pardonner. Recevoir des excuses ne m'a jamais fait me sentir mieux, pourtant des fois, j'en attendais beaucoup mais finalement, elles ont toujours été creuses. La plupart des choses pour lesquelles on s'excuse sont seulement dues à un cruel manque d'empathie et de conscience de l'autre. Je me suis toujours plus sentie désolée pour l'autre que la personne ne l'était pour moi. En réalité, ça ne change rien des excuses et donner un pardon est tellement abstrait que ça ne fait pas de sens dans ma tête. Normalement, on ne devrait pas en arriver là pour la majorité des actions faites et regrettées par des tiers personnes. Donc par pardonner, j'imagine que je veux dire que je suis passée dessus parce que j'ai estimé que ses regrets étaient supérieurs ou au moins égaux aux miens. Voir les gens souffrir d'avoir été irrespectueux m'apporte plus de réconfort que des mots maladroits là pour réparer des trucs brisés à jamais. Et, au delà de ça, étant passée si facilement dessus après avoir reçu les tests clean, je ne peux que me dire que je ne l'aime pas. De toute évidence, quand on aime vraiment quelqu'un, on ne lui laisse pas d'autres moyens de se rattraper, du moins, ça devrait être comme ça. Jai pleine conscience qu'on pense/fait souvent l'inverse: accepter car on aime. Ce qui me fait tolérer ce qu'il a fait, c'est pas l'amour que je peux avoir à son égard aussi conditionnel soit-il à l'heure actuelle, non, c'est ce sentiment d'avoir rien à perdre si ça s'avérer vraiment être un mauvais choix. Je ne perds pas quelqu'un que j'aime éperdument, pas un fragment de mon être, ni de la présence car je me sens déjà si constamment seule et abattue. Autant le laisser animer mes week-end. Et comme une expérience sociale, je regarde comment il réagit face à ma tolérance, je le vois faire des efforts. Lui non plus ne m'aime pas réellement car, quelqu'un qui aime n'attend pas un drame pour devenir meilleur, si ? Remarque, peut-être que si mais ça me fait pitié. Pitié de réaliser qu'il m'aide, m'écoute et fait des choses plutôt rudimentaires juste parce que j'e l'ai remis tellement fort à sa place qu'il a décidé de faire mieux. C'est humiliant, surtout pour lui en fait. Comme s'il se sentait obligé de rattraper tous ces mois où il a été médiocre si ce n'est pas simplement insuffisant.
En vrai, je ne dis pas grand chose dernièrement, je me ratatine très fort pour qu'on oublie mon existence ou même de prendre de mes nouvelles. Je fais les cents pas dans mon appartement en attendant le cours suivant. Ma vie est rythmée par ça, je n'ai jamais été aussi régulière, pas parce que ça m'intéresse mais parce que ça comble le temps. Je me suis rarement autant ennuyée dans ma vie, ce sera peut-être bénéfique pour plus tard, j'ose espérer réfléchir au moins aux bonnes choses. La seule chose que je fais en dehors de prendre des notes, c'est être là pour ma maman. Aujourd'hui, elle a appris qu'elle aurait une chimio. Son regard, d'une tristesse presque indécente, m'a fait mal au cœur toute l'après midi. J'en parle à personne de ça. Pour quoi faire encore une fois ? Je n'ai même pas l'énergie, ni l'élan d'expliquer quoique ce soit à qui que ce soit. Je me sens profondément vide et épuisée, tout me coûte et la peur que tout ça ne perdure ne fait que me rattraper et lentement me ronger. Depuis des années, je sais que le réel problème larvant et latent est le manque d'intérêt et d'implication dans ma propre vie. J'ai compris que peu importe le lieu, les études, les gens dans ma vie, mon âge, ect, je ne grandirai jamais assez pour vouloir trouver un sens à tout ça. Je continuerai de me plaindre des années jusqu'au jour où je réaliserai que c'est réellement pénible et irréversible. Chaque jour me donne une raison de mettre fin à ma vie de manière définitive. Je me sens particulièrement monstrueuse dans ma manière de ressentir les choses, ou de ne pas les ressentir, au choix. Quand je vois que mes décisions ne tiennent qu'à une prise de sang, je me demande réellement si un jour je vais pouvoir fabriquer à nouveau des émotions valides et viables. J'aimerais que les choses m'affectent d'un point de vue émotionnel, pas seulement pragmatique. Je suis très mal à l'aise avec moi même parce que j'ai l'impression qu'aucun individu n'arrive à trouver grâce à mes yeux, si c'est hautain à lire, alors c'est aussi hautain à ressentir.
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Après tout ce drame, un seul mot, désolé
S'il te plaît, je n'ai pas besoin d'aucune de tes victimes
Je suis bien comme je suis !
Parfois, le pardon guérit
D'autres fois, ça fait encore plus mal
À quoi ça sert, ça n'a pas de sens
Je n'arrive pas à comprendre !
Le pardon ne guérit pas la blessure
Le pardon ne calme pas la colère
Le pardon ne me rend pas plus heureux
Le pardon n'arrête pas l'hémorragie
Alors pourquoi s'excuser ?
Tu t'excuses et tu t'en vas
Je suis toujours là, jusqu'à maintenant
J'étais en train de traiter le passé
Maintenant, ce pardon, ça n'a aucun sens !
Tu fais semblant de t'excuser ou tu le fais vraiment
Ça ne me guérit pas et ça ne m'aide pas
D'aucune façon possible
Il me provoque pour me venger
Comment as-tu pu mettre fin à tout ça avec un seul mot ?
Il pourrait être facile pour toi de partir et de revenir
Par un seul mot désolé
Mais c'est moi qui passe par la rupture !
Je veux plus que des excuses
Tu pourrais être d'accord avec ce seul mot
Parce que ça n'a pas d'importance pour toi
Mais c'est toujours le cas pour moi
Je ne suis pas d'accord avec ce que je suis !
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Anniversaire Simeon 1-1 à 1-9
Demande d’anniversaire de Simeon
Luke – MC, j'ai besoin de te demander quelque chose ! Tu sais que l’anniversaire de Simeon approche à grands pas, non ? Il, euh… m'aide toujours, alors j'aimerais lui organiser une fête… pour lui dire merci. Est-ce que tu souhaites en faire partie ? MC - Je serais ravi d’aider ! / Est-ce une fête surprise ? Luke - Merci ! Je sais que nous pouvons réussir ensemble ! Cela doit rester entre nous, d'accord- Aah! Asmo – MC ! Pour dîner ce soir… Oh, bonjour Luke. Luke - Les démons ne frappent jamais ?! J’ai presque fait une crise cardiaque ... Asmo – Tu tombe à pic. Joins-toi à nous pour le dîner ! Luke - Hein ? Asmo - Tada ! Le fabuleux menu de ce soir se compose de concombre de mer d'ombre géant dans un ragoût de lait ! Mammon - Mec, ça a l'air génial ! Luke - La-La-La chose bouge toujours ! Asmo - Mange de tout ton cœur ♥ Luke - Ugh… Mammon – Tu fais quoi ici tfaçon, Luke ? Asmo - À ce sujet, vous ne le croirez jamais ! Luke et MC avaient une réunion secrète derrière notre dos ! Mammon – Quoi ? T’es un ange. Qu'est-ce que tu complotes ? Luke - Je ne suis pas comme vous les démons ! Je suis juste en train de préparer un anniversaire surp-… Oups. Lucifer - Ah, oui. L’anniversaire de Simeon approche. Luke -… !
Lucifer -… je vois. Tu souhaites donc remercier Simeon pour sa gentillesse ? Luke - Oui, mais ne lui parle pas de ça ! Simeon – Ne lui parle pas de quoi ? Luke - DAAAH ! Simeon ? Simeon - Bonjour, Luke. Satan m'a dit que tu étais ici, alors je suis venu te chercher. Ta réunion secrète avec MC, est-elle terminée ? Luke - Comment est ce que tu peux être au courant ? Simeon - Hehe. Je peux généralement deviner ce que tu penses, Luke. MC - Qu'allons-nous faire, Luke ? / Il n'y a pas eu de réunion secrète. Luke - Merci, MC. Mais ça va. Je vais lui dire. Ton anniversaire approche, non, Simeon ? Je parlais à MC d'organiser une fête pour toi. Je voulais que ce soit une surprise, mais… Simeon - Vraiment… ? C’est tellement attentionné de ta part, Luke. Merci. Satan - Puisque tu a perdu l’élément de surprise, pourquoi ne fait tu pas un anniversaire de demande à la place ? Luke - Qu'est-ce qu'un anniversaire de demande ? Satan - C’est assez simple. Simeon fait des demandes… et nous les remplissons le jour de la fête. Belphie - Gotcha. Cela me semble bien. Lucifer - Simeon, tu as aussi fait beaucoup pour mes frères. Ce serait une excellente occasion pour nous de démontrer notre gratitude. Simeon - Demandes… ? Je ne sais pas quoi dire. Luke - Je… je sais déjà ce que tu veux ! Tu n’as pas à me le dire ! Je vais te concocter quelque chose de très spécial, prépare toi bien !
Simeon -… Alors, c’est ce qui s’est passé. Tout le monde est si attentionné que je commence à me réjouir de mon anniversaire. Barb – Un anniversaire de demande, dis tu ? Quelle magnifique idée. Diavolo – Tu va, bien sûr, nous faire des demandes aussi, je présume ? Simeon - Pardon ? Barb - Nous souhaitons également célébrer avec toi. Nous sommes camarades de classe, n'est-ce pas ? Simeon – Vous aussi les amis… Merci. Je vous en suis reconnaissant. MC - Quelle est ta demande pour Diavolo ? / Quelle est ta demande pour Barbatos ? Simeon - A propos de ça… J'ai une idée, mais je te le ferai savoir un peu plus tard. Diavolo - Très bien. Je serai patient. As-tu déjà fait des demandes aux autres ? Simeon - Pas encore. Je devrais probablement me dépêcher, mais rien ne me vient à l'esprit. Diavolo - Il n'y a pas de précipitation. Prends le temps de réfléchir à ce que tu veux vraiment. Barb - L'important n'est pas la demande elle-même, mais de savoir si elle te fait sourire. Simeon - Hmmm… Vous avez raison. Mais que demander ? Héhé, j'ai tellement d'options.
Simeon - Je dois dire que le thé et le gâteau de Barbatos ne déçoivent jamais. Cependant, je suis surpris que lui et Diavolo aient accepté de participer à la fête. MC – Tu peux leur demander n'importe quoi. / La fête devrait être animée avec eux en plus. Simeon - Oui. C'est un honneur. Et tout cela grâce à Luke… Oh, tu veux bien regarder ça. Un nouveau magasin de variétés a ouvert ici. Il y a une paire d'animaux en peluche dans la fenêtre. Leurs pulls à carreaux assortis sont adorables, non ? C’est ça. MC, de ta part, je voudrais quelque chose qui forme une paire. MC - Une paire ? / C'est parfait ! Simeon - N’est-ce pas ? En prime, Ça me dira comment tu aimerais passer du temps avec moi. Je peux difficilement attendre. MC - C’est beaucoup de pression. / Je ferai de mon mieux ! Simeon - Hehe. C'est bon. Tu peux y aller doucement… Hmm ? Qui vient par ici ? Belphie - Oh ? MC. Simeon aussi. Beel - Est-ce que vous êtes sortis quelque part ? Simeon - Nous avons été invités au château du seigneur démon pour prendre le thé. Je suppose que vous êtes sur le chemin du retour du RAD ?
Belphie - Ouais. J'attendais la fin du cours supplémentaire de botanique du Devildom de Beel. Il a fini par finir assez tard. Simeon - Botanique du Devildom… Je pense que j’ai décidé ce que j’aimerais de vous deux. Belphie - Oh, pour la fête, hm ? Quoi ? Simeon - Connaissez-vous les fruits du crimson dogwood ? Beel - Je n'en ai jamais entendu parler. Belphie - Moi non plus. Simeon - C’est un fruit rouge avec des bosses noires qui brillent comme l’obsidienne. La rumeur veut qu'il pousse dans la forêt du sud. C’est soi-disant l’un des fruits les plus délicieux du Devildom, alors j’ai toujours voulu en essayer un. Je voudrais que vous en preniez pour le dessert à la fête. Beel - Allons-y, Belphie. Belphie - Hein ? Beel - Si c'est aussi bon, alors nous devons le trouver tout de suite. Belphie - H-Hey, attends ! Beeeeeeeeel! Simeon - Beelzebub est partie en portant Belphegor… Est-ce que ça ira ? MC - Ça arrive tout le temps. / Je suis un peu inquiet. Simeon – Vraiment ? Bon, je considère ma demande pour eux comme complète. Au fait, es-tu disposé à t’arrêter au Purgatory Hall ? J'ai une faveur à demander.
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Salut Tumblr,
Je suis toujours très peu actif ici, bébé m'aide beaucoup dans ma vie, mais j'ai vraiment l'impression de te délaisser et je crois que je m'en veux un peu, tu m'a tant aidé quand ça n'allait pas, et depuis que tout va mieux je disparaît peu à peu...
J'ai un peu l'impression ces derniers temps que j'arrive à une période charnière, du genre conclusion d'une époque, j'arrive à pardonner aux gens qui m'ont fait le plus de mal tout en avançant avec les gens qui me rendent heureux.
Je crois que ces pardons signifient que j'ai évolué positivement même si il me reste des choses à conclure.
Aujourd'hui j'ai pardonné mon ancien meilleur ami, je n'ai plus vraiment d'animosité envers lui et je suis prêt à assumer les tors dans notre relation. J'ai grandi depuis l'année dernière. C'est positif.
Vient alors une question, est ce que ce compte, ainsi que tous mes autres ici ont encore un intérêt.
Au fond je crois pas, mais ne soit pas triste petit réseau social, tu as malgré tout toujours un place dans ma vie. Tes couleurs sont gravés définitivement en toi, c'est pour ça que j'ai choisi ton bleu profond pour mes cartes de visite. Pour mon site. Pour tout.
Mais je crois que, en tant que réseau social et en tant que journal intime je n'ai plus besoin de toi. C'est un au revoir, ou plutôt un adieu. Merci de m'avoir accompagné tous ce temps.
Merci.
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J'arrive un après-midi rue de Longchamp à Neuilly. Immeuble assez banal. Je monte dans l'ascenseur, la gorge un peu serrée : je l'ai sentie autoritaire. On m'ouvre la porte, on m'introduit au salon, je le trouve un peu trop rose, un peu trop bonbonnière. Elle entre. Pas très maquillée, elle porte un pull à col cheminée, son corps n'a plus la fermeté de mes souvenirs. Reste le port de tête. C'est elle, mais elle est une vieille femme.
Aujourd'hui, je suis sûre qu'elle a vu tout cela, en une seconde, dans mon regard. Alors elle a sorti le grand jeu. Elle me fait asseoir sur un canapé et s'assied tout à côté, cuisse contre cuisse, quasiment. Je me recule. Elle hausse le sourcil et dit seulement :
“Vous êtes très mal assise, appuyez-vous sur les coussins. - Pardon, mais je ne peux pas travailler comme ça. - D'accord, je vous retire les coussins.”
Et on démarre. Elle répond, mais très vite m'interrompt et approche son visage du mien.
“Ah, maintenant que je vous vois avec mes lunettes… Mais vous avez de très jolis yeux verts…” Avec cette voix à faire frémir tous les écrans.
Je ne sais plus où j'en suis. Je reprends le fil tant bien que mal…
“Vous avez lu mon livre ! Vous êtes bien la première journaliste qui vient me voir pour ce livre à l'avoir fait.”
Je bafouille. Je suis de plus en plus mauvaise. Je me penche pour retourner la cassette du magnétophone. Elle me relève le visage, touche mes cheveux, sur le front, à droite.
“Mais vous avez une mèche de cheveux blancs… C'est naturel ou vous le faites exprès ?”
Là, je sens que je me trouble, peut-être même que je rougis, je patauge, je m'enfonce. Ça m'apprendra à avoir trahi du regard que, dans son pull, je ne retrouvais plus du tout celle que j'avais placée sur un piédestal. Je suis furieuse contre moi, mais contre elle aussi. Voilà qu'elle voudrait me faire manger des chocolats. Et qu'elle me raconte qu'elle est une grande lectrice. Tu parles ! Je me demande bien quelle littérature elle aime. Je n'ai pas envie de creuser, je veux partir. Elle va chercher mon vêtement, une veste en cuir noir, elle m'aide à l'enfiler et me passe la main tout le long du dos, en disant — toujours sa voix :
“J'adore la sensation du cuir.”
D'accord, elle a soixante-dix-sept ans, j'en ai trente-trois, mais elle a pris le pouvoir et m'a couverte du ridicule que je méritais. Fuyons.
Première rencontre entre Edwige Feuillère et Josyane Savigneau, qui seront ensuite amies jusqu’au décès d’Edwige Feuillère.
Point de Côté de Josyane Savigneau, Stock, 2008.
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“There’s no reason for this hostility ! I come in peace.” || “You love him ?” || “I am never leaving you again !” || “Did she say anything about me ?” || “Breakfast of champions. Want some ?” || “I can’t protect you. I can’t even protect myself.” (give me give me shermann brothers after midnight)
“There’s no reason for this hostility ! I come in peace.”
“Casse-toi,je viens de te dire!” La voix de Connor est juste audible alorsqu’il enfouit un peu plus sa tête dans le coussin pour que sonfrère n’aperçoive pas son visage affaibli.Mais Isaak commence à être interpellépar son état. Il ne manque que quelques minutes avant qu’il lèvela couverture et qu’il surprenne les tremblements de son frère. SiConnor n’arrive pas à le virer d’ici là. “Fermecette foutue porte et laisse moi.” Les sourcils d’Isaak sefroncent avec inquiétude. Il ferme bien la porte, mais c’estderrière lui, une fois qu’il est rentré dans lachambre. “Explique-moi ce qui t’arrive là.” Connoraimerait bien, mais ilne sait pas lui-même ce qui est train dese passer.Il a juste l'impression là de suite que son sang s'est transforméen poison.Sesdents claquent violemment et contenir leurmouvement causeune contraction douloureuse à sa colonne vertébrale.“Isaak…Pars.” Il souffle entre ses dents. Le plus vieux se rapproche d'unmètre,et là impossible de ne pas remarquer les quasis secousses du drap.Il s’avance alorsjusqu’àdevant son frère pour le regarder, et celui-ci sort sa tête ducoussin, résigné.“Donc t’es malade. J’appelle ta mère.” Connor attrape lebras d’Isaak avec une volonté de fermeté qu'ila du mal à appliquer dansson état. “Non.”Etavant même que le grand frère puisse riposter quoi que ce soit, unesauveuse blonde rentre dans la chambre. “Elleest en rendez-vous, onverra quand elle sortira.” Dit Athéa, faisantlâcher à Connor le bras de son frère puisqu'il sait maintenantqu'il n'y a pas de risque qu'il aille voir sa mère. Il laisseéchapper unsoupir rassuré. La jolieblondevient s'approcher de Connor à son tour et va jusqu'à s'asseoirdevant lui sur le lit pour poser sa main sur son front, nonsans arracher un sursaut au garçon depart la différence de la température de leurs deux peaux. “Isaak, tu peux aller récupérer un gant d'eau froide?” Elle demande gentiment. Le joueur lâche un “Hmm.” unpeu soucieux, maiss’exécute,et sors donc de la chambre pour aller chercher le gant en question.Athéale suit des yeux jusqu'à ce qu'ildisparaissedel'embrasure de la porte. C'est le moment dont elledoit profiter. “J'appelle Matthew, d'accord?” murmure-t-elle à Connor, quilui répond directement par un court hochement de tête. C'estvraiment une sauveuse. Parce que là, elle vient de lui offrirexactement le soulagement dont il avait besoin.
“You love him ?”
Lecoin des lèvres de Connor se redresse dans un sourire en coin unpeu amusé. “Oui.Je l'aime.” Le loup-garou se laisse surprendre par l'absencede crainte dans sa voix quand il dit ça, et aussi par lajoieque ça lui procure de le dire. Parce que c'étaitpas si mal, en fait,d'aimer quelqu'un. C’était pas toujours facile, évidemment, mais c’était pas si terrible. Le regard que son frère jette sur lui estmi-surpris mi-amusé. Surpris non pas parce que Connor estamoureux, ça sûrement qu'il l'avait compris depuis un bon bout detemps.Mais surpris du naturel avec lequel lesmots sont sortis de sa bouche. “Je dois m'inquiéter ? Parceque tu viens de dire que t'aimais quelqu'un, là.” Dit Isaakd'un ton taquin en remplissant le verre de son frère et le sien avecdu whisky. “Mais tais-toi.” Le loup-garou répond en riantlégèrement, récupérant le verre qui venait de lui être servipour le porter à ses lèvres, avant de reposer son dos dansle canapé. Enmême temps, la remarque de son frère a du vrai. Qu'il aimequelqu'un. Lui. Il y a encore quelques mois ça sonnait comme uneblague. Leregard d’Isaak vient se poser sur lui, plein de bonssentiments. “Je suis content pour toi, p'tit con.” Son grand frère estsincère, Connor le lit clairement dans ses yeux. EtsiConnor avait juste envie de le remercier, il restait quand même lui. “Tu vas pas te mettre à chialer non plus.” Et c'étaitplutôt çason genre de remerciement. Ca fait lever les yeux d'Isaak vers leciel et ça le fait rire un petit peu. Le grand frère pose à sontour son dos dans le canapé, etrécupère son air plaisantin. “Acroire que Ephram avait pas qu'un pénis magique alors.” Connor se met à rire en repensant à cette discussion. Et le sourire que ça trace reste marqué, parce que maintenant ses pensées repartent directement vers le vampire. Il répond avec un air malicieux: “Pasque, non.”
“I am never leaving you again !”
Lecerveau de Connor fonctionne à trois à l'heure, comme anesthésié.Il va chercher à tâtons son boxersur le sol, roulant sur le canapé pour se remettre sur le côté.Il ouvre les yeux pour découvrir la maison dans un état pitoyable.Des bouteilles un peu éparpillées, des vêtements un peu partout,et pleins d'autres choses suspectes qui lui rappelaient qu'il avaitpassé une bonne soirée. Un sourire satisfaitse dessine sur ses lèvres, qui s’étale un peu plus quand il croise le regard exaspéré de son frère. “Aucontraire. Heureusement que t'es parti parce que t'aurais pas aimévoir ça.” Comme seule réponse, un rouleau de sac poubellevient frapper le torse du loup, arrachant à celui-ci un grognement. “Tu ferais mieux de ranger ça si tu veux que les parentsacceptent encore de quitter la maison ne serait-ce que cinqminutes.” Dit le joueur d’un ton agacé. Le rabat-joie est bien de retour. Connor pousse unlong soupir alors qu'il se frotte un peu les yeux pour se réveiller. “50 dollars si tu m'aides.” Connor décrète. Leregard d'Isaak inspecte la pièce pour faire le tour des dégâts. Il réplique: “70 dollars.” Leloup soupire et lève son dos du canapé pour se mettre en positionassise, plantant son regard dans celui de son frère comme un vrainégociateur. “60 dollars.” Isaak sourit légèrement en signe de validation. “Deal.” Connor se lève finalementducanapé, enfilant son boxer par la même occasion. “Je vaisvirer ton meilleur pote de ta chambre ou tu t'en charges ?” Ildemande avec un sourire narquois. Levisage du plus vieux se décompose et là il a vraiment un air désespéré. “T'es pas sérieux,Connor ?” Le loup lâcheun rire jubilatoire qui suffit pour répondre.
“Did she say anything about me ?”
Il y a une pointe d'hésitation maissurtout d'espérance dans la voix d'Isaak quand il pose cettequestion, et son frère la perçoit directement. Connor pousse un soupiralors qu'il s'assoit à côté de lui dans le canapé. Le loupaimerait lui répondre, mais en vérité Pandora n'avait pas dit tantde choses que ça. Juste les mêmes choses que d'habitude, comme quoicette histoire était passée et qu'elle n'avait pas envie de laressasser plus longtemps. Si elle avait montré un soupçon d'espoirque la situation change dans ses propos, Connor aurait pu en fairepart à Isaak. Mais là, il n'avait rien à lui donner. “Ont'a mentionné, mais c'est tout.” Il dit en haussant lesépaules pour prendre un air détaché, mais en réalité quand ilvoit la déception dans le regard de son frère Connor ne peut pass'empêcher d'avoir mal au cœur pour lui. Plus il envisage lesraisons qui n'étaient pas des excuses mais qui l'avaient poussés àfaire ce geste-là, plus il plaint son frère. C'est dans ces momentsqu'il se dit que si Pandora connaissait la vérité sur ce qui étaitarrivé à son frère avec son ancienne petite-amie ça auraitpeut-être fait une petite différence. Qu'elle aurait peut-être puenvisager qu'il avait simplement cherché à la retrouver quelquepart après son traumatisme. Mais enfin, ce n'est pas ses histoireset ce n'est pas son rôle de communiquer toutes ces informations. Etpeut-être même qu'elles seraient inutiles finalement, parcequ'elles ne justifieraient pas un quelconque pardon de la jolie blonde. Il n'en sait rien. Mais il aurait aimé pouvoir faire quelquechose. “Pourquoi tu essaies pas de lui en parler, toi ?” Connor demande innocemment même si il sait qu'il y a un million deraisons qui pourraient empêcher Isaak de revenir vers la jeunefemme. “Et qu'est-ce-que je lui dis, hein?” Isaakrépond dans un souffle, ramenant la bouteille de whisky entaméevers ses lèvres, l'air résigné. Connor fait une recherche dans ses souvenirs et ça lui permet d’offrir à son frère une première réponse : “Que c'est absolument pas elle leproblème pour commencer. Et après, que t'as commis une énormeerreur.”
“Breakfast of champions. Want some ?”
Connor hoche la tête froidement alors qu'il va pour s'asseoir à table, son frère divisant la portion d’œufs brouillées à moitié dans leurs deux assiettes avant de s'asseoir en face de lui. C'est un de ses matins d'après guerre entre frères où ils sont naturellement supposés faire comme si de rien n'était et laisser leurs différents de côté. Pourtant la tension est encore bien présente à ce réveil. Le jeune loup jette un coup d’œil rapide vers Isaak qui lui ne le regarde pas non plus. Sa lèvre a à peine commencée à cicatriser que le plus jeune n'a lui plus aucune marque sur le visage. Sa condition lui offre quelques avantages, même si il aurait aimé offrir les mêmes à Isaak pour ne plus avoir son œuvre de brutalité sous les yeux. Et surtout, plus le rappel de ce qui l'avait engendré. “Je pensais pas ce que je t'ai dit hier.” Isaak lui sort, comme un cheveu sur la soupe, bien qu'ils sachent tous les deux de quoi ils parlent. Le plus vieux doit sentir assez bien que la tension n'a pas disparu si il relance le sujet. Il fait un geste. Mais Connor est trop en colère pour le prendre en considération. “Alors je suis pas qu'un gosse égoïste, immature, irresponsable, trop occupé à emmerder le monde pour se rendre compte des conséquences de ses actes?” Le ton sarcastique et brutal de Connor montre bien que l'éponge est loin d'être passée aujourd'hui. Et le fait qu'il ait mémorisé chacun des mots de ce que lui avait dit son frère, ça, ça traduit bien qu'ils l'ont blessé plus qu'il ne l'aurait voulu. “Et toi, tu penses aussi que ta vie était bien mieux quand papa savait pas que j'existais? Que t'aurais aimé qu'il me fasse jamais venir dans cette famille?” Isaak lui renvoie ses propos sur le même ton. En fait, d'un côté comme de l'autre, c'était allé trop loin. Peut-être que le loup en avait fait encore plus que son frère. Ce rappel fait revenir un peu le calme chez Connor. Il se tait un instant, et serre les dents. Il se doit de lui dire lui aussi ses regrets : “Je le pensais pas, moi non plus.” Isaak hoche la tête en réponse. Ni l'un ni l'autre n'a l'air complètement convaincu des excuses de l'autre. Mais au moins elles sont dites. Ca ferait son chemin dans quelques temps.
“I can’t protect you. I can’t even protect myself.
Enmoins de temps qu'il ne le faut pour le dire, les genoux de Connorregagnent le sol où s'est échoué son frère. Il vient faire unecompression à l'endroit où le couteau a frappé Isaak, dansl'épaule. Il y a un bain de sang sous les mains du loup mais il nepourrait pas être plus heureux qu'il n'y ait que ça. Mais il estaussi très en colère de l'idiotie du geste du joueur et du dangerdans lequel ça l'avait mis. “Je t'ai jamais demandé de meprotéger, Isaak!” En même temps qu'il lâche ça dansun cri, Connor arrache sans d'unseul coupla manche de sa chemise blanche préférée pour en entourer laplaie. Putain,sa chemiseThomBrowne.Qu'est-ce-qu'Isaak lui ferait pas faire… Cedernier serre maintenant les dents dans l'apparente douleur que luiarrache le geste de Connor. “Je voulais la tuer.” Isaakrépond, en saccadant les mots à cause de l'accélération de sarespiration. Connor s'était souvent lui-même dit prêt à tuer pourson frère. Ca lui arrache quand même un sourire que cet espèce de con ait luivoulu mettre la théorie en pratique. Rien que pour enlever uneennemie de sa route. “Et si c'est elle qui t'avait tué,hein?” Il demande l'air taquin,mais toujours énervé.Il ne veut même pas imaginer que ça ait pu arriver. “Penseau frère malheureux que t'aurais pu laisser en voulant jouer leshéros.” Un peu plus de sarcasme dans sa voix encore, c'estcompliqué pour lui de faire autrement quandune situation dégénère.Mais quand il recroise le regard d'Isaak en entourant sa blessured'un nouveau nœud, c'est comme si il venait de réaliser qu'ilaurait vraiment pu le perdre.Il pose sa main sur l'autre épaule de son frère en lui faisantface, tentantd'imposer son regard dans le sien et regagnant furieusement sonsérieux. “Je t'aime mais si tu tentes une nouvelle fois un truc commeça, je te garantie que je te tue de mes propres mains.”
#ooc: gimme gimme shermann brothers after midnight#ça marche trop bien parce qu'il est plus de minuit LOLOLOL bravo marine#bon je les aime énormément que ce soit dit#prompts#prompts: isaak
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Aujourd'hui, j'écris pour un adieu, un pardon, une fin.
Je fais taire mon mental et mon passé dans un derniers écris qui fera disparaître toute mes peines.
N'ayez pas de pitié à apprendre tout cela, mais voyais en moi, comme la guerrière des temps modernes, un soldat qui ne baissera plus jamais sa garde.
À toi, génétique, je te pardonne et j'oublie. J'oublie que tu ne voulais pas savoir que j'était vraiment ta fille dans le ventre de ma mère.
J'oublie que tu lui as frapper dans le ventre.
J'oublie que ta casser son nez.
J'oublie que tu l'as abandonner au bord du suicide en lui disant que de toute façon personne sauras qu'il savait puisque son boulot le couvrirait.
J'oublie que tu m'as ignorer et mis sur le dos des problèmes de grand.
J'oublie que tu es tout le temps saoul et tu mens constamment, un peu comme l'air que tu respire.
J'oublie que tu n'as jamais étais présent et que tu nous a laisser seul face au destin.
Je te pardonne et je laisse couler de mon corps cette sève de poison que t'as injecté dans ma bombe humaine dès ma naissance.
À vous, chers enfants, je vous pardonne de toute votre méchanceté qui vous permettaient de me juger, me frapper, me haïr et qui m'as poussée au bord du suicide mental et de la solitude. Mon bras en sera à jamais graver de toute votre méchanceté mais mon cœur et mon âme vous pardonne. Je sais combien de fois, on ne comprend pas ce qu'on fait quand on est enfant. Vous m'avez menée au combat depuis que j'ai 5ans, mais je vous pardonne aujourd'hui et espère que vous avez changer.
À toi, professeur, je te pardonne ta méchanceté et ton jugement de haine sur moi, qui t'as poussée à détruire mon bulletin et anéantir ma confiance, qui t'as fais dire toutes ces horreurs sur moi. Je ne sais toujours pas ce qui t'as poussée à faire ça, mais aujourd'hui je te pardonne et j'espère que tu te souviens, du mal que ça m'a procurer.
À vous, hommes de sa vie, je vous pardonne les disgrâces et la méchanceté que vous m'avez fait voir sur elle. De stresser pour rentrer, d'entendre vos injures, vos violences et vos abus. D'avoir essayé de nous jeter dans le ravins, d'avoir tenus son corps à travers une fenêtre, de l'avoir frappé devant mes yeux à l'âge de 3 ans, on ne pense pas comme ça, mais l'esprit est grand et mémorise des choses choquantes très rapidement, et je te pardonne à toi aussi d'avoir roulé et cassé l'épaule de mon parrain. Sortez de ma memoire et laissez moi croire qu'un homme peut être bon.
À vous, hommes de passage, ceux que je voyez comme des amis, ou même de la famille, je vous pardonne, d'avoir pensé que mon corps était un jouet et que l'on peut l'utiliser à sa guise comme on le souhaite. A tous ces endroits qui resteront bloquée dans ma tête, dans la chambre de ton fils, dans un local poubelle, dans une cave lors d'un mariage, dans ta chambre quand tu te croyais roi, dans ton appart quand tu pensés que j'était ta poupée... Oui beaucoup à citer mais j'en ai garder ma confiance pour me dire que vous étiez des pourris mais qu'ils ne sont pas tous comme ça. J'y crois encore et vous pardonne, de m'avoir fais vivre ça.
À toi, maman, avec qui ça n'as pas toujours étais facile, avec qui, il y a eu des coups de gueules hard au point où ta colère t'as fais me frapper au sol comme un sac de boxe, à toi que j'ai retrouvées dans la baignoires les bras en sang, où j'ai dû defoncer la porte parce que personne venez, à toi qui a souvent trop aimée, trop fais, mais à qui le passé est tout autant brisée, je te pardonne, je souhaite ta guérison et que tu trouves ma voie de la lumière, que tu calmes tes colères et que tu vois le monde de manière un peu plus légère.
À toi, homme, qui a crus que j'était à sa merci et qu'il suffirai de claquer des doigts pour m'avoir, qui m'as fais vivre le pire premier amour de ma vie, je te pardonne, je me delis de toi, et j'avance dans le bonheurs. Je te pardonne d'avoir pensé que le contrôle était tellement total que tu m'en ferais perdre mon caractère, je te pardonne de m'avoir collée au grillage, un point frôlant mon visage et des gens qui observe sans rien dire, je te pardonne d'avoir brisée mon cœur en me laissant en plein milieu d'une rue, et je te remercie de la belle leçon que tu m'as offerte qu'est ne jamais laisser autrui s'emparer de ton coeur.
À toi, connaissance du passé, je te pardonne de m'avoir entraîner dans les bas-fonds sans lueurs, d'avoir rendu mon corps qu'un tas de cendre, et de m'avoir laisser bloquer dans des nuages que tu m'offrais régulièrement. J'ai failli tout abandonner cette année là, mais j'ai arrêtée et repris du poils de la bête, tu m'as appris qu'on peut s'évader mais pas s'enfuir de la réalité. Je te pardonne.
À toi, big, je te pardonne ta méchanceté, je te pardonne ta maladie, même si je crois que s'y cacher te vas bien, je te pardonne cette soirée. Je vais l'expliquer une dernière fois, car je me rend compte que je n'y arrivais plus, plus à le dire à haute voix, donc pour la dernière fois, je vais l'écrire, afin qu'elle puisse disparaître de ma mémoire. Un soir, tu as débarqué à ma porte cherchant ton pote, qui était au travail, tu t'es installé sans poser de question et d'ailleurs moi non plus, mais le cœur sur la main, je voulais t'aidée te voyant dépités. Tu as alors parler de contrat de musique pour notre groupe, et tu m'as fais comprendre que ce serais possible ensemble à conditions que je commence à fermer ma gueule et que j'accepte tous ce que tu dis. Par la suite, tu as bu 2 verre de whisky pur cul sec et t'as commencé à parler de mon corps, que tu aurais dû le defoncer un soir ou t'avais pu, et que je suis rien qu'une pute qui sera à ta merci. Pour me protéger, j'ai fais appel à des amis, mon meilleur ami est arrivé mais qu'aurait il pu faire, face à toi, si tu avais frappé sa maladie. Tu t'es ensuite installer dans mon lit, nu, et ta fais en sorte que je vienne et ta fermer la porte en me disant que tu étais là maintenant et qu'il suffisait que je te dise oui. Je t'ai dis non à trois reprise pour que tu le comprenne et tu m'as checké la main comme si j'avais réussi un test. Ton amis est ensuite arrivé, et au lieu de t'en coller une il a parlé calmement avec toi dans la cuisine. J'ai passée 3 mois à marcher avec des écouteurs où ma mère était à l'autre bout du fil, et j'ai portée plainte contre toi face à la violence dont ta fais preuve une fois en dehors de l'appartement. Je te pardonne et oublie ce souvenirs et je pardonne à ton amis de ne pas m'avoir protéger. Et je vous laisse ensemble, entre deux bon vieux pourris.
À toi, 3ans, je te pardonne de ne pas m'avoir aidé, de tes injures pour me blesser qui m'as values 3 point de sutures, je te pardonne de m'avoir rendus soldat à nouveau, je te pardonne d'avoir chercher à me quitter par le jeu, et de t'être jeté dans ces bras sans même me regarder, et de ne pas chercher à discuter. J'oublie ce sentiment et de ce fais j'oublie avec la cohésion qu'on avait et je la brûle aux enfers.
À toi, petit, je te pardonne les 3 ematomes que j'avais sur le corps, je te pardonne ton excès de colère, je te pardonne toute les fois où tu m'as empêcher de sortir, je te pardonne le fait que tu m'as empêcher de vivre, je te pardonne tout ce que tu m'as voler, je pardonne ton ego, et je suis heureuse d'avoir réussi à m'enfuir. J'oublie ce souvenirs.
À toi, mon amis, qui s'est pris la vie, je te pardonne la souffrance que tu m'as causé. Je pardonne ton geste et espère que tu es mieux là où tu es..
À toi, '' belle'', je te pardonne d' avoir refusée d'inscrire mon nom, je te pardonne les maillots de bains de mec parce que je ne méritais pas plus, je te pardonne les différences, je te pardonne les fois où tu m'as abandonnée sur la plage, je te pardonne ta méchanceté.
À toi, meilleure, je te pardonne ton abandons et tes mensonges, tu m'as anéantis quand tu m'as dis que c'était finis, j'ai pleurer pour le deuil de 13 ans d'amitié, tu as préférer les gens qui volent et qui mentent, alors que je t'aidé à t'en sortir. Je te pardonne pour ta cruauté mais je garde en mémoire, tous ces bons souvenirs de fêtes et de délires qu'on a pu avoir un jour.
Aujourd'hui, quand on me demande les bons souvenirs, j'ai souvent du mal à en trouver, je déteste quand je parle d'un souvenirs car il est souvent tâché de noir, de drogue, de sang, d'alcool, alors c'est vrai, je m'enfuis beaucoup dans la fêtes, parce que c'était mon moyen de détresse, la petite barque qui m'as tenue hors de l'eau, celle qui me faisait être comme les autres. J'ai choisie en ce jours un métier d'ordre et qui est dur, car il fallais des personnes qui guident mes pas, et m'aide quand je pense que tout est mal. Quand bien même certains pensent que j'ai une confiance absolus et que je suis aggressive, c'est parce que le chat que vous connaissez a grandis sauvagement et surtout seule, avec la croix rouge, les colis alimentaires, les vêtements dans des caves de l'école, et puis avec un rien qui deviens tout. Et surtout faire ces repas seule, ces devoirs seule, se coucher seule, se lever seule, rentrer seule, depuis mes 7ans. Aujourd'hui, je me suis forgé une abondance, pour que plus jamais je revois ces sentiments.
J'avais besoin de l'écrire une dernière fois, comme pour fermer un vieux cahier.
J'avance dans la joie et avec le sourires et n'en parlerais en totalité dans les moindres détails à celui qui prendra ma main me diras que c'est fini et que je peut avancer avec une epaule sans qu'il disparaisse comme les autres.
Cela fait une heure que j'écris avec les yeux humides pour dire au revoir à tout ça, et plus jamais me poser de question sur la personne si je peut avoir confiance ou non.
Je refuse de souffrir encore, je refuse d'être à la merci de ce qui m'est arriver et de ce fais je crois encore que l'homme est bon et intégre.
Adieu, sentiments d'il y a longtemps.
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Le titre est accrocheur mais n'est pas mensonger. Il y a vraiment 3 mots qui m'aident quand je suis tenté de me mettre en colère ou de tomber dans la rancune quand on m'a causé du tort.
Je. Suis. Responsable
Oui, ce sont ces 3 mots là: « je suis responsable » qui me gardent. Pourquoi? Parce qu'ils m'empêchent de tomber dans l'accusation et me placent devant mes responsabilités. Je ne sais pas vous, mais moi, j'ai tendance à savoir assez vite ce que les autres devraient faire. Me dire « je suis responsable » m'aide à d'abord medemander ce que moi je devrais faire.
Écrire un article sur l'ensemble de nos responsabilités en tant que chrétien serait impossible. Le Nouveau Testament regorge de commandements et d'injonctions destinés à orienter notre éthique. Mais je voudrais souligner 2 aspects qui m'ont particulièrement aidé au fil des années.
Je suis responsable de ma manière de réagir
Paul, dans sa lettre aux Colossiens, les invite à (1) se supporter et (2) se pardonner:
Supportez-vous les uns les autres et, si l'un de vous a une raison de se plaindre d'un autre, pardonnez-vous réciproquement. Tout comme Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi.
Col 3.13
Souvent, on (je) confond ce qu'on doit supporter et ce qui demande notre pardon. Confondre les deux est grave. Si je ne supporte pas un frère alors qu'il n'a pas péché, je pèche. Mais si je supporte un frère qui a péché, je pèche aussi. Je peux facilement confondre ce qui m'irrite chez quelqu'un et taxer ça de péché. Ce n'est pas parce que mon frère porte un tee-shirt qui ne me plait pas qu'il a péché contre moi. Ce n'est pas parce que sa manière de faire la vaisselle n'est pas la même que la mienne qu'il a péché contre moi. Ici, on parle d'un péché, qui mérite le pardon, pas d'une irritation qui mérite qu'on la supporte. Beaucoup de choses peuvent nous irriter, mais attendre une demande de pardon pour autre chose qu'un péché banalise le pardon.
Il y a des situations où nous devrons supporter nos frères et sœurs et exercer notre patience et d'autres où nous devrons leur pardonner leurs offenses. Mais il ne faut pas confondre les deux. Tout n'est pas un péché, tout ne demande pas qu'on pardonne. Mais tout n'est pas supportable, et parfois, le pardon est nécessaire parce que le péché a créé une offense et brisé une relation.
Dans tous les cas, je suis responsable de ma manière de réagir. Que l'autre m'irrite ou m'offense, je me dois de bien réagir. Souvent, les situations dégénèrent parce que celui qu'on offense s'énerve et pèche à son tour. Quelle que soit la situation, la manière dont on m'a parlé, ce que l'on m'a fait (ou pas), je peux même être victime d'injustice ou d'abus, je suis responsable de ma manière de réagir. Parfois, je suis tenté de balancer ce passage aux autres, après tout, eux aussi doivent me supporter et me pardonner. Mais je me souviens que je suis responsable de ma manière de réagir. Le reste ne m'appartient pas.
Je suis responsable d'aller voir l'autre
Comparez:
Si donc tu présentes ton offrande vers l'autel et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse ton offrande devant l'autel et vad'abord te réconcilier avec ton frère, puis viens présenter ton offrande.
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Bonjour! ~🌞 (ou bonsoir! ~🌛), quelle(s) est ou sont ta ou tes chanson(s)/musique(s) préférée(s) et pourquoi (si ce n'est pas trop demander 😳🎶)? (Cette phrase est difficile à lire mea culpa) Aurais-tu aussi des films ou livres à recommander (et pourquoi pareil)? Merci ôô reine 👑 super blog 😋
Bonjour ! Alors, au niveau musique, j'ai récemment découvert le groupe “les yeux d'la tête”, et donc je suis plutôt à fond sur ce groupe là ^^ Si je ne devais te conseiller qu'une de leurs chansons ce serait “des bouts de papier”, mais elles sont toutes super ! Ça m'aide beaucoup à avoir un état d'esprit positif, c'est très vivant comme musique. Sinon Dionysos, le groupe que j'aime d'amour ! Le dernier album (vampire en pyjama) est très doux, très poétique. Au niveau films, je ne suis pas super calée (plein d'incoutournables que je n'ai jamais vu pardon, ô communauté cinéphile), mais j'ai adoré “Submarine”, “Donnie Darko”, et pour t'en donner un troisième, “Imitation game”. Ces trois films sont très différents mais je les aime parce qu'ils ne sont pas “vides”, il y a des tas de choses que tu découvres en les regardant plusieures fois. Niveau livres : “Chambre 411” de Simona Vinci, parce que ça m'a donné des tas d'idées pour le bouquin que je suis en train d'écrire, et que c'est très beau à lire. Pour l'école, j'ai dû lire “Fahrenheit 51” (de mémoire je crois que c'est ça) de Ray Bradbury, j'ai adoré. Et puis de la poésie hein ! Apollinaire, Rimbaud, Baudelaire, les grands classiques ^^ Je suis en vacances actuellement, mais à mon retour je songe à faire des articles sur mes livres/films/chansons de coeur ;) Reine, carrément ! Je rougis… Merci à toi pour ta question, petite princesse ♥
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Jumeaux de la Nuit 3/??? [OS -en plusieurs parties- sur Dream et Nightmare]
1) Undertale a été créée par Toby Fox
2) DreamTale, Dream et Nightmare: @jokublog .
3) Dust!Sans est la création de ask-dusttale
4) Killer!Sans est à @rahafwabas
5) Cross!Sans appartient à Jakei
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Chapitre 3
*****************
Ce fut son propre cri qui le réveilla
"NIGHTMARE!"
Il se redressa dans l'obscurité, des larmes coulant sur ses joues, sa main tendue en avant comme pour rattraper quelque chose. La douleur qui tordait son âme, la dernière vision qu'il avait eu. Les paroles résonnaient toujours dans son esprit. Comme un poison blessant son cœur.
"Je te déteste."
"Tu me dégoûte."
Un sanglot le secoua. Il tenta de chasser les souvenirs qui le hantaient bien trop souvent. La mémoire d'une vie heureuse qui avait prit fin si brutalement. Un passé perdu qui ne pourrait pas être retrouvé, peu importait combien il le voulait.
Son monde ravagé...les gens qui étaient morts, son frère corrompu.
Comment pourrait-il au moins sauver...
Un gloussement lui parvint, le faisant se figer, son âme bondissant dans sa cage thoracique.
"Aww tes cauchemars sont sur moi? Je suis flatté petit frère."
Non.
Dream chercha son arme mais ne la trouva pas. Il était désarmé face à son jumeau. Il posa presque instinctivement la main au niveau de son âme, la lueur dorée de celle-ci brillant faiblement.
Il ne devait pas y toucher.
Il ne pouvait pas...
Un claquement résonna et une légère lumière envahit la pièce. C'était une petite cellule étroite. Sans fenêtre. Avec un simple lit, une petite table et une chaise. La porte était en barreaux.
Ce n'était pas comme la première fois.
L'être des cauchemars haussa les épaules, et signala nonchalamment "Cette fois, inutile d'amadouer mes serviteurs car ta prison est derrière ma chambre. Personne ne viendra ici à part moi."
Son jumeau eut alors un léger sourire "Peut-être n'aurais-je pas réussi à l'amadouer si tu les avais traité correctement."
Nightmare eut un sourire mauvais. "Tu ne voudrais pas qu'ils subissent les conséquences de tes actes?"
Comme si tu les tuais pas dans un moment de mécontentement. Mais il ne dit rien. Il valait vraiment mieux ne pas le mettre en colère alors qu'il semblait anormalement de bonne humeur. "...C..que s'est-il passé?
- Killer t'a capturé en te droguant. Décevant petit frère. Notre "mère"' nous avait pourtant appris à ne rien accepter d'inconnu. Ou de personnes louches. "
Ignorant les paroles envers "elle", et son pincement au cœur, il réfléchit, cherchant dans ses souvenirs. Il n'avait pourtant pas vu ce Sans si fou. L'avait-il eu discrètement? A quel moment? Il se souvenait avoir acheté une crème glacée à ce lapin après une "mission" et...
"Pourquoi ne m'as-tu pas changé en statue de pierre?
- Quoi? Tu aurais préféré?"
Dream frissonna. "Non. Mais pourquoi me gardes-tu ici?
- Parce que te garder sous mes yeux est la meilleure façon d'être certain que tu ne te mets plus en travers de mon chemin." Et il s'avança, jusqu'à être juste devant son frère, ses tentacules lui maintenant les poignets. "Hey. Je me demande si Cross serait prêt à tuer encore plus, sachant que tu es entre mes mains.
- ...Il ne le fera pas. Il ne veut plus tuer.
- Alors ce sera la preuve qu'il ne tient pas à toi." répliqua Nightmare, un sourire mauvais sur le visage, sa main froide caressant la joue de son jumeau. "Cela te briserait le cœur, n'est-ce pas?"
Ton froid. Ton plat.
Dream eut un frisson. "Grand frère...ne mêle pas Cross à tout ça. S'il te plaît.
- Tss. C'est mon subordonné, même s'il semble préféré jouer les déserteurs.."
L'autre chuchota quelque chose, à voix basse, serrant les poings. Son geôlier haussa cessa de sourire "Pardon?
- Tu ne peux pas posséder les gens. Ils ne t'appartiennent pas. Cross, Horror, même Dust et Killer...ils ne sont pas à toi. Ce sont des Sans qui ont tellement souffert. Qui sont devenus fous pour certains tant la douleur qu'ils ont ressenti était immense. Tu n'as pas le droit de les torturer davantage.
- Et pourtant ils m'obéissent. Ils sont terrifiés de ce que je pourrais leurs faire. La peur de ne plus jamais dormir en paix.
- Tu ne sais faire que ça, contrôler par la peur?'" Il n'était même pas en colère, juste triste, résigné. La sensation de la paume de Nightmare ne lui procurait pas de la peur mais de l'amertume, comme un goût nostalgique qu'il pourrait ne jamais retrouver. "Tu seras toujours seul à faire ça. Au final, tu n'auras jamais personne."
Excepté moi.
Je ne t'abandonnerais jamais.
Je ferais n'importe quoi pour te sauver.
Un soupir. Un haussement d'épaule. Il chuchota d'une voix sombre "Tu n'as pas changé petit frère.
- Je..." Il gémit alors que les tentacules s'enroulaient plus fermement autour de ses poignets, le clouant au "lit" sur lequel il était assit jusque là. L'étreinte était si serrée. Ça faisait tellement mal, à la limite de faire craquer l'os. L'incarnation des émotions négatives le fixait, son unique œil brillant d'un éclat glacial.
Sa main tenait à présent son col, mais le plaquait et l'immobilisait, en même temps, où il était.
Elle était si froide.
Son frère, se pencha, lui susurrant à l'oreille "Tu dis ça. "je serais toujours seul", c'est ça? Mais et toi, n'es-tu pas entouré par du mensonge? Ces personnes que tu veux protéger sont si hypocrites.
- Je...
- Elles ne s'intéressent qu'au bonheur que tu propage de part ta nature. Ink n'a pas d'âme mais tu lui fais ressentir des émotions positives malgré tout. Blue est comme ça avec tout le monde."
Non.
Il savait que des personnes étaient parfois troublées par ses pouvoirs. Comme dans sa jeunesse, quand l'enfant heureux qu'il était ne comprenait pas pourquoi tant de gens venaient le voir ou étaient gentils avec lui.
Il ne comprenait pas "l'addiction" de certains à son aura. Son frère avait souffert à cause de lui, à cause de la négativité que pouvait provoquer cela.
Mais il se maîtrisait mieux maintenant, non?
"Elles veulent juste se sentir heureuses. Elles te manipulent pour que tu restes avec eux. Pour qu'elles continuent à être heureuse."
Les mots pouvaient tellement blesser.
Il le savait. L'émerveillement sur le visage de Ink quand il avait senti ces émotions positives pour la première fois, sans passer par ces étranges potions de couleurs. Les larmes qui lui étaient montées aux yeux. Ressentir. Pour lui qui était sans âme, c'était...
Non il savait que ses deux meilleures amis l'aimaient tel qu'il était, pas à cause de son aura.
N'est-ce pas?
"Arrêtes."
"Et si ils savaient que te tuer était la façon la plus simple de se débarrasser de moi? Combien serait prêt à te sacrifier Dream?"
Sa voix trembla "Qu'est-ce que ça peut te faire?
- Je ne comprends pas que tu protèges tant ces hypocrites." il ricana. "Des faibles qui ne peuvent se défendre eux même. Qui se réfugient derrière toi. Puis qui se sentent bien à être avec toi. Qui veulent que tu restes, qui te retiennent et te font promettre de revenir...mais qui te détestent aussi pour leur faire ressentir ce bonheur gratuit pour le retirer quand tu pars."
Un doigt caressa la joue de son petit frère "Remarque, tu m'aides en faisant ça. Tu laisses de la négativité dans ton sillage en faisant ça. Amertume, rancœur, tristesse, colère. J'apprécie beaucoup ce coup de main Dream.
- ...
- Tu n'es jamais triste de ne pas avoir comment les gens se sentent réellement envers toi? Comment ils te verraient sans cette aura de positivité? Si peu de gens t'aiment pour ce que tu es.
- ...
- Après tout, tu peux ressentir de la douleur non? Tu peux être malheureux." Un sourire mauvais "Les détesterais-tu pour ça?"
La douleur.
Il n'avait jamais compris comment il pouvait en ressentir.
Comment il pouvait ressentir du chagrin...
...mais il était heureux que ça soit le cas. Il pouvait pleurer en pensant au passé, à ce qu'était son frère avant. Il pouvait pleurer parce qu'il lui manquait, que leur vie d'avant lui manquait.
Ce chagrin...il était heureux de pouvoir le ressentir.
"Arrêtes, s'il te plaît."
"Ha mais oui c'est vrai, tu n'est pas capable de haïr. J'en suis la meilleure preuve non?" Il relâcha son frère et tourna les talons, s'apprêtant à quitter la pièce, savourant la douleur qu'il ressentait venant de son jumeau.
Dream hocha la tête "Je ne pourrais jamais te haïr Nightmare.
- Tsss c'est parce que tu ne peux pas." Railla l'être des cauchemars, sans un regard en arrière. Il posa la main sur les barreaux de la porte, prêt à l'ouvrir.
" Non. Je te pardonne." Il frissonna "Je te pardonnerais toujours."
Je sais que ce n'est pas de ta faute.
Tu es corrompu.
Je suis le seul qui peut te sauver.
"Peu importe ce que tu me feras ou me diras.." souffla-t-il, des gouttes roulant sur ses joues, luttant contre les sanglots.
Je dois te sauver,
Je veux te sauver.
Silence.
Les épaules de Nightmare tremblèrent "Héhéhé…Quoi? Me pardonner? Es-tu stupide? J'ai détruit l'arbre et je t'ai emprisonné dans la pierre si longtemps. J'ai tué certaines des personnes que tu voulais protéger." Il se retourna, un éclat dangereux brillant dans son œil "Notre monde n'est plus qu'un champs de ruines et de plantes mortes ou desséchées."
Gloussement.
"Es-tu si...stupidement émotif...pour..."
L'humeur amusée disparut, remplacée par une soudaine colère.
Une tentacule jaillit et frappa Dream, le clouant au mur, au dessus du lit.
"Alors…Arrête. ARRÊTE DE DIRE QUE TU ME PARDONNE!" Il cracha, tremblant de colère "Je ne veux pas de ta pitié!"
Si Dream n'avait pas été ce qu'il est, il aurait craqué devant le flot d'émotions négatives qui déferlait autour d'eux. Il se serait brisé au lieu de juste se mettre à pleurer silencieusement. Mais il n'avait jamais été vraiment sensible à l'aura de son frère, contrairement aux autres.
Peu importe ce que tu me feras.
Je ne renoncerais jamais.
Le maître des lieux grimaça "Que faut-il que je fasse pour que tu abandonne l'idée que je ne serais plus jamais ce que j'étais? Que tu cesse d'avoir cette stupide affection pour moi?
- Night…
- Je ne redeviendrais JAMAIS ce faible que j'étais. Le passé est révolu. Tu peux tout aussi bien penser que l’ancien moi est mort!
- Tu n'étais pas faible." protesta son jumeau, les larmes aux yeux. “Tu ne l’as jamais été!”
Nightmare le laissa tomber, serrant les poings. Et se détourna, sifflant entre ses dents "Stupide optimiste. Si tu crois m’atteindre, tu te trompes, tu ne réussis qu’à me dégoûter!
- Même si je pouvais haïr, je ne ressentirais jamais cette émotion envers toi.
- Des paroles tout ça."
Et il sortit, laissant son frère seul.
Seul avec ses larmes.
“Même si je le pouvais...Je ne te haïrais jamais....jamais”
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15 novembre 2019:
"La douleur muette est davantage à redouter" (Beckett, Molloy)
Comment une idée aussi fausse de moi a-t-elle pu s'immiscer dans mon esprit et ne finir parfaire qu'un avec ma façon d'être au monde, au point de détruire mon rapport au monde?
Je garde un souvenir tellement amer de cette époque, elle représente pour moi une sorte de renouveau avorté, un échec profond sur le plan à la fois social, académique et personnel.
Si j'ai réussi à donner le change pendant deux ans, trois ans plus tard je paie encore le prix de ce que je me suis infligée.
Car je n'accuse personne; j'ai compris, lors de ces longues tortures mentales, que je suis l'unique responsable de cette souffrance. Pourtant, savoir cela ne me libère pas. Pour m'en libérer, il faudrait supprimer les quatre dernières années de ma vie. Et peut-être même remonter plus loin.
Des journées entières sans aucune action. Je ne sors pas de mon lit et passe mon temps à pleurer. Je ne dors plus.
C'est insoutenable
Je te hais pourquoi tu ne veux pas comprendre
Sale conne prends-toi ça je ne t'appartiens pas va te faire foutre à part pour remplir tes dossiers de merde est-ce que tu te soucies de moi ?
Je vous déteste tous et je me déteste autant que je vous déteste
Connards vous auriez dû me laisser crever
J'ai beau lire des dizaines de livres je suis incapable d'exprimer quoi que ce soit de profond et suis renvoyée sans cesse à ma médiocrité
Je te hais
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Pardon , je suis complètement à plat, redescendue. Comment expliquer cet ascenseur émotionnel?
Je suis fragmentée, rien ne fait sens parfois j'ai du mal à me protéger car la menace vient de moi-même.
--
La souffrance la haine l'envie de tout détruire autour de soi , aucune consolation dans l'idée de mon existence
21/10:
Même si je n'ai commencé à l'écrire qu'aujourd'hui (lundi 21 octobre 2019) , cela fait trop longtemps que les mots tournent dans ma tête sans trouver la forme juste pour essayer de vous faire comprendre que ça n'ira jamais.
Je sais que ces mots n'apaiseront pas ma douleur, car elle est tellement grande que je ne ressens plus rien d'autre et que je veux juste que tout cela cesse, j'aimerais tellement réussir à vous la faire comprendre et que vous l'acceptiez mais je sais que c'est impossible. Que vous me détesterez probablement pour toujours alors que votre amour est la seule chose que j'aimerais garder.
Car rien n'est irréfléchi, entre la pensée et l'acte se sont écoulés au moins six ans. Je n'agis pas dans l'instant. Je vais essayer d'écrire la généalogie de cette descente aux enfers, comment toute ma vie mentale est gouvernée et détruite par l'impression que laissent en moi le moindre événement qui semblerait insignifiant vécu de l'extérieur mais prend toujours des proportions dramatiques lorsqu'il est filtré par ma conscience.
La vérité est que je suis incapable de vivre, que je suis devenue un fardeau pour moi-même et que le contact avec les autres ne m'aide pas mais me détruit au contraire chaque jour davantage.
Je sais que cette situation n'aura jamais d'issue, que je suis la seule à pouvoir y mettre un terme. J'ai eu le temps ces dernières années de m'observer et de m'apercevoir que je suis incapable de trouver la force en moi d'essayer de faire changer les choses. Je suis épuisée d'essayer, de voir ma vie défiler devant moi sans réussir quoi que ce soit et de voir la déception que je cause et que je me cause avant tout à moi-même.
J'ai peut-être fait les mauvais choix mais je ne peux plus revenir en arrière, à quoi me sert maintenant de me dire que tout aurait pu être différent? On m'a donné ma chance et j'ai échoué, tout aurait été plus simple si je n'avais jamais existé ou si j'avais été une autre personne, mais je sais désormais que je ne m'adapterai jamais nulle part, que je n'apporterai jamais rien à personne car je ne peux me lier avec personne.
Les années se seraient écoulées et je vous aurais déçus chaque jour un peu plus. Si je n'ai pas la force en moi pour changer ma vie à 21 ans, je ne la trouverai pas à 25, 40 ou 60 ans. Et personne en dehors de moi ne peut me donner cette force. Je ne peux pas vivre pour les autres.
Je suis un échec à mes yeux et je sais que cela ne changera jamais car je suis coincée avec moi-même et je ne le supporte plus. La seule façon de me libérer de moi est de disparaître.
Ma vie ne mérite pas d'être vécue. Cela fait trop longtemps que j'y pense. Je suis vraiment désolée de vous avoir déçus.
J'aimerais tellement que vous puissiez être heureux sans moi.
23/10:
Tout le problème vient du corps.
L'origine de la communication et de la déception.
Être un principe purement spirituel sans attaches terrestres.
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La réalité des choses.
Quand on est au bout, vous savez, genre au point où on est face au mur, celui dont on est obligé de faire face et de regarder la réalité des choses.
C'est la où j'en suis aujourd'hui. J'me démène pour les gens, je me saigne, me sacrifie pour les gens mais les gens ne font jamais le quart pour moi. Parce que je suis la uniquement quand ils ont envie, quand ils ont besoin.
C'est dommage. C'est blessant, frustrant, humiliant. Je suis désabusé, frustrée, meurtrie. Et aujourd'hui, je me sens seule, je suis seule plus que jamais.
J'ai pas de soutient, j'ai pas la main tendue pour me rattraper sur cette pente tellement glissante. Mais malheureuse vous me poussez dans le précipice, et vous pleurerais quand ce sera trop tard. Quand je serais tomber au plus bas.
J'ai mal et rien n'apaise la chose, rien ne me comble, rien ne m'aide. Mais bordel, j'ai tout donné pour vous, j'ai tout fait pour vous et vous osez me regarder sans aucun regret ? Sans aucune gêne ?
Je suis triste de ce monde, de ce monde si dur, si méchant. C'est dommage parce que je mérite pas ça, sans me vanter, mais je ne mérite absolument pas ça.
Je pense que je vais devoir me retirer de tous ça, m'éloigner de vous, pour me guérir, pour me sauver. Parce que vous avez beau dire que c'est moi, moi qui est trop fragile, trop sensible etc, mais nous ne faites rien pour me protéger de tous ça.
Ne me demander pas pardon, il est trop tard.
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Kagami Taiga and Aomine Daiki interview of a gay couple
Auteur: Kuro-Hagi – 02/12/2017
Genre: Romance - Yaoi
Disclaimer: Tout ce monde et ces personnages appartiennent à Tadatoshi Fujimaki.
Note: Attention, présence de parler cru et évocation d’acte sexuel
Remerciements: Merci à PerigrinTouque pour la relecture ! ^_^
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Kagami Taiga and Aomine Daiki interview of a gay couple
Interviewer : Bonjour Kagami-san, Aomine-san. Je travaille pour le magazine 'Indiscrétion' disponible sur WouTube.
Kagami : Bonjour.
Aomine : 'Jour.
Interviewer : C'est vraiment un plaisir de vous rencontrer. Comme tous vos fans je me pose énormément de questions sur votre vie privée, toutes plus indiscrètes les unes que les autres. Nous avons donc fait un petit sondage auprès de nos auditeurs… Et nous avons rassemblés trente questions, auxquelles aujourd'hui, vous avez accepté de répondre. J'ai l'honneur d'être la personne qui vous posera toutes ces questions ! *rire niais et parle un peu dans sa barbe* Uhuhu j'en mouille déjà ma petite culotte. *reprend son sérieux* bien. Vous êtes prêts ?
Kagami : Let's go.
Aomine : *hoche la tête*
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Question 1 :
Interviewer : Alors ma première question est très banale. Et beaucoup de vos fans pensent connaître la réponse mais… Je la pose quand même. Dans votre couple qui cuisine ?
Kagami : Sans surprise. Moi.
Aomine : Taiga. *sourire et coup d'œil complice à Kagami* Et il le fait bien.
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Question 2:
Interviewer : *toute émoustillée* Oh mon dieu ce regard. *se tourne vers les caméras* Vous l'avez bien ? *on confirme retourne vers les deux garçons* Hm… pardon. Donc ma deuxième question. Qui fait le ménage ?
Kagami : *éclate de rire* Moi… mais Dai m'aide beaucoup.
Aomine : *soupire* Si je l'aide pas… il fait la grève du sexe.
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Question 3 :
Interviewer : *rigole* J'adore ! *s'évente* ok ok. Hm… Qui fait les courses ?
*échange de regards*
Kagami : Nous deux.
Aomine : ça dépend qui rentre en premier… si j'ai envie d'un truc particulier je fais les courses pour que Taiga puisse préparer… Mais ça nous arrive souvent de les faire ensemble.
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Question 4 :
Interviewer : *qu'ils sont meugnons* Bien. Bien. Alors quelle est la soirée de couple parfaite pour vous ?
Kagami : Un bon repas…
Aomine : *l'interrompt* cuisiné par Tai
Kagami : *rigole* … un match de basket à la télé avec massage de Dai, parce qu'il fait juste les massages les plus merveilleux du monde.
Aomine : *sourit* massage qui dérape : pour une soirée VRAIMENT parfaite.
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Question 5 :
Interviewer : *rigole bêtement* Ok. Vous êtes vraiment trop mignons. Hm… Qui a fait le premier pas ?
Kagami : *sans hésiter* Dai
Aomine : *sourit*
Interviewer : Allez donnez-nous un peu plus de détails !
Kagami : *regard vers son compagnon*
Aomine : C'est moi qui ai fait le premier pas… Mais c'est Taiga qui m'a avoué le premier être amoureux de moi.
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Question 6 :
Interviewer : *un peu frustrée par cette réponse trop courte mais n'insiste pas… pour l'instant* Vous êtes bi ou gay ?
Kagami : Gay.
Aomine : … *hésite* J'crois que je suis Taigasexuel
Kagami : *rit*
Interviewer : Là il faut nous donner plus d'explication !
Aomine : *regarde son amant en souriant tendrement* Notre relation n'a pas toujours été facile. A la base, je préfère les femmes. Mais quand on s'est séparé, lors d'une période particulièrement difficile… Impossible de laisser quelqu'un d'autre me toucher. J'en conclus donc… Que le seul spécimen humain qui puisse me satisfaire aujourd'hui c'est Tai.
Interviewer : Oh my god ! C'est une très belle déclaration d'amour ! *facepalm* Sauf qu'on parle de sexe.
Kagami : Moi elle me va très bien cette déclaration. C'est mon Dai quoi.
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Question 7 :
Interviewer : Depuis quand sortez-vous ensemble ?
Kagami : Dernière année du lycée. C'était au printemps. Deux semaines avant que je parte pour les USA.
Aomine : …
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Question 8 :
Interviewer : Depuis quand vivez-vous ensemble ?
Kagami : Officiellement depuis notre retour des USA. En réalité, aux states comme Dai était en chambre étudiante il venait squatter mon appart'.
Aomine : …
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Question 9 :
Interviewer : Vous vous disputez beaucoup ?
Kagami : Non pas vraiment.
Aomine : On se dispute pas… même si c'est vrai qu'au début on avait du mal à communiquer…. On ne se disputait pas pour autant.
Interviwer : Pourtant… avant de sortir ensemble vous étiez rivaux. Vous vous disputiez tout le temps.
Aomine : *se gratte la nuque* On se testait. Et on se cherche toujours un peu… mais on se dispute pas vraiment.
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Question 10 :
Interviewer : Est-ce que vos familles sont au courant pour votre couple ?
Kagami : Oui.
Aomine : Oui.
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Question 11 :
Interviewer : Ok. Et comment ont-ils pris la nouvelle pour votre couple ?
Kagami : *hausse les épaules* Mon père sait depuis longtemps que je suis gay. Il n'a pas été surpris que je lui présente un mec. Et encore moins que ce soit Dai. Il savait que je l'admirais et on a la même passion pour le basket.
Aomine : *se gratte la nuque* Ben moi… Comme je suis passé direct à l'étape. 'Salut papa, maman je vous présente mon petit ami'... ça a été un peu chaud. Mais maintenant ils adorent Tai et c'est cool.
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Question 12 :
Interviewer : Quel trait de caractère vous aimez le plus chez votre petit ami ?
Aomine : *devance sans hésiter Kagami* Sa sincérité, son honnêteté
Kagami : *blush mais sourit*
Interviewer : Vous pouvez expliciter ?
Aomine : Taiga est la personne la plus honnête que je connaisse. S'il ne l'était pas… Il ne m'aurait jamais avoué ses sentiments et je ne vivrais pas un tel bonheur aujourd'hui.
Kagami : *facepalm, rouge jusqu'aux oreilles* Dai ! Dis pas des trucs comme ça… c'est gênant.
Aomine : C'est vrai.
Interviewer : *amusé* Mais vous êtes plutôt du genre honnête vous aussi Aomine-san.
Aomine : Non. C'est différent. Déjà je m'améliore beaucoup depuis que je suis avec lui… mais longtemps je me suis beaucoup menti à moi-même. Et pour les trucs vraiment important… qui pourrait me faire paraître faible… J'ai beaucoup de mal.
Interviewer : Eh bien merci pour cette honnêteté ci. Kagami-san ? Le trait de caractère que vous préférez chez Aomine-san ?
Kagami : *sourit* sa générosité, au sens large. Dai n'est pas avare, il offre beaucoup de lui-même pour les personnes qu'il aime.
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Question 13 :
Interviewer : Et maintenant quel trait de caractère vous détestez chez lui ?
Kagami : *rigole* Aucun. Il n'y a rien que je déteste. Mais j'aime moins qu'il soit… bordélique.
Aomine : Hey ! J'fais des efforts quand même !
Kagami : J'ai pas dit le contraire. Mais uniquement parce que je te menace !
Interviewer : Et vous Aomine-san ?
Aomine : *se gratte la nuque et rougit* hmm… *marmonne un truc incompréhensible*
Interviewer : Désolé mais je n'ai pas compris.
Aomine : *soupire* Rien. J'le trouve parfait.
Kagami : *rougit, ému et se cache le visage dans ses mains* tu es obligé de dire des trucs comme ça ?!
Aomine : Mais c'est vrai ! Et c'était le but de cette interview.
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Question 14 :
Interviewer : *rigole* Ok. Quelle est la chose que vous préférez qu'il vous fasse ? En dehors du sexe pour l'instant.
Kagami : un massage ! Dai est juste trop doué ! Il a des mains de fée !
Aomine : *sourit* Evidemment il y'a ses teriyaki burgers qui sont à tomber… mais si je dois choisir vraiment un truc… un baiser.
Kagami : *surpris, mais un peu ému de la réponse de son petit ami rosit*
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Question 15 :
Interviewer : Qui est le plus romantique ?
Kagami : Dai.
Aomine : Moi. Mais Taiga l'est lui aussi.
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Question 16 :
Interviewer : Quel est SON plat préféré ?
Kagami : Teriyaki burger
Aomine : Cheeseburger
*rires*
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Question 17 :
Interviewer : Quel est le moment de vos journées de couple que vous préférez ?
Kagami : Hm… j'aime beaucoup de choses… Mais je crois que ce que j'aime le plus c'est m'endormir avec lui. Déjà… sur les périodes où nos horaires ne sont pas du tout compatibles, dormir ensemble c'est parfois le seul moment que nous passons à deux. Et puis partager nos nuits, je trouve que c'est assez symbolique de la signification d'être en couple, de vivre ensemble… Et enfin Dai est très câlin, même s'il n'en a pas l'air… et j'aime comme il se blottit contre moi pour s'endormir.
Aomine : *sourit* C'est vrai que j'aurai pu choisir ce moment aussi, j'aime vraiment dormir dans les bras de Taiga. *réfléchit* Mais, je dirais… Quand on prend notre douche et notre bain ensemble… Le fait de partager un bain ou une douche, c'est aussi un symbole de notre intimité. Taiga est le seul avec lequel j'ai fait ça depuis mes parents quand j'étais gosse. Et puis pour nous c'est un moment de détente et d'échanges. *rigole* on a pris beaucoup de décisions importantes dans le bain.
Interviewer : Ah oui ? Comme quoi ?
Aomine : Euh… Notre retour au Japon. De vivre ensemble… D'annoncer notre relation à nos amis… Et sûrement d'autres encore.
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Question 18 :
Interviewer : Ok ! Là je vois votre côté romantique. Quel est le plus beau cadeau qu'il vous ait fait ?
Kagami : Un cadeau matériel ?
Interviewer : *grand sourire* Eh bien disons les deux ?
Kagami : Accepter de me suivre aux US. Et sa paire de basket pour que je gagne la Winter Cup.
Aomine : *rigole* ouais mais là on était pas encore ensemble !
Kagami : C'est pour ça que c'est le plus beau. C'était ton premier cadeau.
Aomine : La première fois qu'il m'a dit qu'il m'aimait. Et… la clé de son appart.
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Question 19 :
Interviewer : *émotion* Vous êtes si mignons ! Quelle particularité physique vous aimez le plus chez lui ?
Kagami : *regarde son amant comme s'il cherchait une réponse* Hm… Son sourire… sa nuque et son dos magnifiquement sculpté.
Aomine : *sourit* Ses yeux et… son cul !
Kagami : Bah voyons ! Venant de toi de toute façon...
Aomine : Désolé ! Mais tu as un cul magnifique c'est comme ça !
Kagami : *rigole*
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Question 20 :
Interviewer : Qu'est-ce que vous trouvez mignon/craquant chez l'autre ?
Aomine : Quand il laisse échapper des mots en anglais. J'adore sa voix… mais quand il parle anglais elle se module différemment et c'est HYPER sexy. Il aime beaucoup jurer en anglais. *rit*
Kagami : Qu'il soit très demandeur de câlins. *reprend pour clarifier* Euh… je parle bien de câlins chastes ? Pas de câlins sexuels. Ça aussi il aime beaucoup… mais c'est pas de ceux-là dont je parlais.
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Question 21 :
Interviewer : *rigole* On a bien compris. Avez-vous eu le coup de foudre ? C'est tellement électrique entre vous...
Kagami : Non. C'était pas un coup de foudre. La première fois que je l'ai vu oui je l'ai trouvé canon. Mais je tombe pas amoureux d'un mec juste parce qu'il est beau… Surtout quand après il m'insulte. Non. Ça s'est fait doucement. Son basket m'hypnotisait. L'affronter me procurait des sensations grisantes. Et à force de jouer ensemble… D'avoir des amis communs, particulièrement Kuroko, on a commencé à se voir fréquemment… Aomine venait de plus en plus fréquemment chez moi. Je sais pas trop quand je me suis rendu compte que j'étais attiré par lui physiquement et que je voulais le voir toujours plus souvent.
Aomine : *se frotte la nuque* Pas un coup de foudre non plus. Mais j'ai réalisé un peu plus violemment ce que je ressentais. J'ai surpris Tai avec un mec, son petit ami à l'époque. J'ignorais qu'il était gay… Mais ce n'est pas ce qui m'a choqué sur le moment. Non. J'étais furieux… Furieux parce que je voulais pas que Taiga voit un autre gars que moi aussi intimement. J'étais jaloux et ça m'a fait un choc. Le fait que Tai soit gay… au final j'ai jamais eu le temps de m'en étonner.
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Question 22 :
Interviewer : ça m'amène à la question suivante… ça tombe bien. Comment avez-vous commencé à sortir ensemble ?
Kagami : *sourit un peu gêné* Ok… OK on a dit qu'on jouait le jeu. Hm… Donc je me suis rendu compte que j'étais amoureux de Dai. Et environs six mois plus tard, j'ai eu cette opportunité de partir aux US. Dai… était vraiment important pour moi. Il est une des premières personnes que j'ai prévenues de mon départ. On a fait un basket comme presque chaque soir. Et à la fin de notre match, je lui ai annoncé que je partais. Ça a plombé l'ambiance évidemment. J'avais prévu de lui dire aussi que je l'aimais et que je voyais ça comme une occasion pour moi d'oublier mes sentiments qui commençaient à me faire souffrir. Mais j'ai pas pu. On est rentré chacun chez soi… un peu abasourdi. Et puis, j'ai regretté de rien lui avoir dit alors je lui ai envoyé un message pour lui expliquer.
Aomine : *sourit tendrement en regardant son petit ami. Ses doigts glissent doucement sur son avant-bras.* Quand je suis sorti de ma douche et que j'ai lu son message, je suis resté un moment sous le choc. Je savais que j'étais amoureux, mais j'aurais jamais osé lui avouer, comme il l'avait fait aussi simplement. Je n'ai rien répondu pendant trois jours. Il me manquait tellement, mais j'avais juste pas les couilles d'aller lui dire que c'était réciproque, et ça faisait tellement longtemps que je voulais pas y croire. Combien de fois, j'ai écris un message, effacé, réécris… Finalement, il m'a renvoyé un message en s'excusant, me disant qu'il ne voulait pas que ça change quoique ce soit et où il me demandait que je lui accorde un dernier match avant son départ. Ça m'a mis furieusement en colère. J'ai débarqué chez lui sans prévenir et j'ai laissé éclater ma colère.
Kagami : *sourire et regard nostalgique* Ouais… Je me souviendrais toujours de sa réponse. 'Comment ça tu veux pas que ça change quoique ce soit ? J'suis pas assez bien pour toi c'est ça ? Je veux que ça change ! Je veux être avec toi ! J'veux pas que tu partes putain !' Je l'avais jamais vu comme ça, il avait l'air effrayé, triste et complètement perdu. Avoir dit tout ça l'a calmé et il m'a embrassé.
Interviewer : *yeux brillants d'extase* Ce n'était pas gagné cette histoire ! Mais c'est SO CUTE !
Aomine : *sourit fièrement* Je vous avais dit que sans son honnêteté, on en serait pas là. J'vous garantis qu'il n'aurait pas fallu compter sur moi pour bouger sans savoir que Tai m'aimait.
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Question 23 :
Interviewer : Bien passons aux choses moins mignonnes… Quel est l'endroit le plus… étrange où vous ayez fait l'amour ?
Kagami : Sur la plage
Aomine : Nan, les toilettes d'une aire d'autoroute… Quand on s'est fait un roadtrip aux states.
Kagami : *rigole* Ah oui ! Exact.
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Question 24 :
Interviewer : Quelle est votre marque de lubrifiant préférée ?
Kagami : *rigole* Peu importe celle disponible
Aomine : *hausse les épaules*
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Question 25 :
Interviewer : Avec ou sans préservatif ?
Kagami : Sans. *se tourne vers la caméra et ajoute d'une voix de professeur* Mais uniquement parce qu'on est en couple, que nous n'avons pas d'autres partenaires sexuels et qu'on a fait les tests avant bien-sûr.
Aomine : Indubitablement sans.
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Question 26 :
Interviewer : Hm… alors une question vraiment indiscrète… mais nous sommes là pour ça donc… Beaucoup de fans se déchirent à ce sujet. Dans un couple comme le votre de deux hommes dominants. Qui est seme ? Qui est uke ?
Kagami : *Gêné. Échange de regards plus que complices avec son petit ami* Hm… On échange.
Aomine : *Rigole* Alors si c'est une question de savoir qui la met à qui… effectivement on le fait tous les deux. Mais en réalité c'est Taiga le seme dans notre couple c'est évident. Déjà, même quand c'est moi qui le prends il aime être au-dessus. Et j'aime qu'il le soit. Et… je préfère quand il me la met.
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Question 27 :
Interviewer : *en PLS, le nez en sang et la culotte trempée* Merci… pour ces réponses honnêtes. Hm… la suivante donc… Quelle est votre position préférée ?
Kagami : *fait la moue* Difficile de faire un choix… Mais globalement je préfère qu'on se fasse face. J'aime voir le visage de Dai quand on fait l'amour.
Aomine : *sourit* Tout fait d'accord avec ta bite dans mon cul
Kagami : *sourire attendrit*
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Question 28 :
Interviewer : *a quitté son corps* nnnnnniiieeeehhhh *se reprend* pardon j'ai déconnecté quelques instants. Question suivante… Est-ce que vous aimez utiliser des accessoires ?
Kagami : *hoche négativement la tête* j'ai horreur de ça. *fronce des sourcils menaçant envers son amant*
Aomine : *immense sourire* j'adorerai ! Mais Taiga n'aime pas ce genre de choses. Mais je lui en veux pas. Il accepte quand même de temps en temps ! Et il est tellement doué avec sa bouche, ses mains et sa bite que je suis entièrement satisfait.
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Question 29 :
Interviewer : *rigole* Ok. Quand il s'agit de sexe. Qu'est-ce que d'après vous l'autre préfère que vous lui fassiez ?
Kagami : *rigole* J'hésite… Dai adore que le lui bouffe le cul.
Aomine : *sourit* Exact.
Kagami : Mais il aime aussi juste me regarder…
Aomine : *rigole* Pas faux. Choix difficile… surtout que tu kiffes que je te regarde en plus !
Kagami : *gêné* Ouais.
Aomine : Hm… *réfléchit à son tour* … Il adore que je lui lèche et morde les tétons.
Kagami : Vrai aussi.
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Question 30 :
Interviewer : Et que préférez-vous lui faire ?
Kagami : *réfléchit* La question est difficile… *se gratte la tête vraiment embêté* J'aime juste lui donner du plaisir et tous les moyens sont bons. Je dirais que j'ai une préférence pour le faire avec ma bouche…
Aomine : *sourit* Et tu es doué pour ça ! *se passe une main dans les cheveux* J'aime lui faire une fellation. Parce que c'est un des rares moments où il me laisse entièrement maître de la situation… Je vous dis qu'il est le seme et ça me va bien. Mais j'aime bien aussi m'occuper lui.
Kagami : *rigole* Et toutes les fois où tu me masses ?
Aomine : Ah oui, mais là on parlait de trucs cochons !
*rires*
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Interviewer : Et nous voilà arrivé au bout de cette interview… Un immense merci à vous pour vos réponses honnêtes. J'espère que la curiosité de vos fans aura été satisfaite.
Kagami : De rien. C'était un plaisir.
Aomine : J'suis un peu déçu je croyais qu'on aurait plus de questions cochonnes…
Kagami : *tape sur la tête de son petit ami pour le réprimander* n'écoutez pas cet Aho !
Interviewer : *rigole* En tout cas, c'était vraiment un plaisir pour moi aussi. Et j'espère avoir l'occasion de vous convier pour une prochaine interview.
Aomine : On parlerait de cul cette fois ?
Kagami : *le bâillonne* Ce serait évidemment avec grand plaisir.
Interviewer : *immense sourire* Au revoir.
Kagami : Bye bye.
Aomine : Salut.
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