#parce qu'on va pas se mentir je pense pas que la majorité des gens sur le serveur officiel soient suuuper ouverts à ça
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might fuck around and make a RdA discord server for other fellow brainrotterd out there
#reflets d'acide#des volontaires ?#je sais que ya déjà un serveur officiel#mais comment dire#il en faut un pour partager des trucs plus ferals qu'on ose pas montrer au createur haha#...notemment des AUs et des trucs queers#parce qu'on va pas se mentir je pense pas que la majorité des gens sur le serveur officiel soient suuuper ouverts à ça
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Holà l’internaute - 👍🏼🌈
La pluie, la pluie, la pluie... je vous annonçais précédemment que deux petites personnes nous rejoignaient dans notre aventure...! Bah vla qu'elles nous ont apporté de la pluie celles-ci.
C'est chez Marcos que nous nous retrouvons - Je vous plante le décor les gars... - Monsieur d'un certain âge, habitant à Pucón depuis 30ans, anciennement avocat, reconverti architecte et musicien à ses heures perdues. Nous arrivons dans sa demeure - Ouais... sa demeure, quand t'es dans un remake de la baraque d'Edward Cullen... bon ! - au chaud. Il commence à faire frisquette dans le coin. À cause d'un petit contretemps et de nos escapades montagnardes, la fatigue est là et on décide de ne rien faire pour cette journée d'accueil avec les filles. Rencontre de Marcos, son papa et son frère. Personne tellement gentille et accueillante. Un ami d'une amie de Marielle. C'est dingue comme les gens peuvent être ouverts et hospitaliers sans vous connaître. Est-ce qu'on a déjà été comme ça ?! Est-ce quelque chose qui s'est perdu chez les occidentaux ? Je ne sais pas si on doit apprendre ou réapprendre mais je garde ça dans un coin de ma tête...!
La gentillesse de ce monsieur ne s'arrête pas simplement à son accueil pour déjeuner, puisque nous lui expliquons notre parcours et il nous propose de nous laisser sa petite maison - 3 étages, tour avec vue, Victor le gardien qui vit sur place avec sa femme et ses enfants dans une maison adjointe, 8 chambres, autant de salles de bain, un salon de la taille d'une salle de cinéma... fin un petit truc pour 50 personnes et on est 4 - avec vue sur lac ! Bon bah on va pas se mentir.... on est plutôt bien.. au chaud, protéger de la pluie... une douche et un lit avec couette !.. On décide de faire 3 courses pour le soir et de se faire un vrai dîner - J'oubliais... c'est jour de recensement au Chili.. Tout est fermé. Personne ne travaille ! Niquel -
La pluie ne s'arrête pas, mais on s'en fout parce qu'aujourd'hui on va se tremper le cul dans des piscines naturelles - J'ai quand même des doutes, je reviens là dessus - d'eau chaude perdues dans la montagne.. un petit kiff en fait.
Au Chili, il y a la masse de Volcan, il n'est donc pas étonnant de trouver des sources d'eau chaude naturelles un peu partout. Les chiliens en ont fait des thermes. Nous voilà parti dans l'un des plus structuré et des plus enfoncé dans la végétation. Les Termas Géométricas sont tellement reculés et dans les hauteurs que la route d'accès est un chemin de terre - Complètement défoncé, dans lequel nous avons crevé, Stan est arrivé un peu fatigué et en boitant ! - et de cailloux, très étroit dans une végétation très dense. Pluie, vent, montagne, forcément... froid ! Tout le monde à poils, et go les piscines. Les températures varient entre 37° et 44° en fonction des piscines. Après les trecks pour nous et les bus pour les nanas... c'est vraiment génial de se détendre un petit peu. Le lieu est trop bien, des allées de bois peintes en rouge relient toutes les piscines, 18 au total. La vapeur qui se dégage des piscines donne des airs de film érotique et d'endroit mystérieux. Nous sommes détendus et relaxés après 4h dans ces bains d'eaux chaudes. En revanche... j'émets un gros doute quand à la température de l'eau dites naturel. Qu'elle sorte d'une source, pourquoi pas... par contre on peut clairement voir que l'eau qui va de piscine en piscine est chauffé par un sytème caché en bois... et que la logique, qui voudrait que ça aille du plus chaud au plus froid n'est pas vrai, puisqu'on passe d'une piscine à 37° à 40°... mais cela est un détail comparé à la beauté et à la magie du lieu - Apres t'y vas pas pour une étude H2o et de réchauffement aquatique ! Tu mets ton maillot et tu kiffes ta baignoire à ciel ouvert dans la jungle de King Kong !
Au vu de la super météo, on est moyen en terme de route sous la pluie - Jojo CassDédie - du coup, on se dit qu'on passe la nuit tranquille dans notre méga demeure - Vampire, petite fille… - et qu'on reprendra la route demain... et au petit matin, après les aux revoirs avec Victor, les yeux humides... - Encore une petite claque hein... le type nous connaît depuis 24h, mais il est tellement content de nous voir enjoués et réjouis de ce court séjour... on a rigolé et on s’est occupés de son fils de 5ans et ça... ça a été je pense pour lui un tel cadeau, qu'il en est ému de nous laisser partir ! - c'est direction Valdivia... au bord de l'Océan Pacifique qu'on vient poser notre tente pour la première fois et bien sûr, notre bon vieux Stan - En tant que gentlemen, on laisse les filles dormir dans la tente... - et on part découvrir le petit marché de fruits et légumes, poissons et artisanat. Je trouve le marché de la bouffe très mignon et super beau, de plus nous avons le droit a un vrai spectacle avec les Otaries a Fourrures, qui attendent gentiment que le poissonnier est fini de découper le poisson et de le vider, pour tout manger - Des énormes bêtes, qui se contentent de si peu… Celui-la de régime pour être aussi grosse !… - En revanche, le marché artisanal est très touristique et très peu attirant. Franchement pas à faire. En revanche nous avons pris 3 poissons sur le marché pour le soir et une salade - Un délice ! On a kiffé, au bord du lac, avec les étoiles et tout ! Franchement posés -
Les filles ont eu la joie de prendre leur première vrai douche dans la nature - Tout ce qui est bassine et réchaud... ce soir là on en aura vu des lunes ! - et surtout une nuit 4 étoiles à l'hôtel Quechua...! Malheureusement cette nuit là, il a fait un temps pourri et la pluie est tombée toute la nuit..! Tout le monde a eu froid. On a du mal à se réveiller et je me sens tout rouillé ! La pluie n'est vraiment pas cool. Aucun rayon de soleil pour se réchauffer. Je commence à voir les désavantages d'être en van. La pluie est mon pire ennemi !
On est sur la route, direction l'île de Chiloé... avec un premier stop avant la traversée à Puerto Montt, petite ville de pêcheurs, où un petit port minuscule et super mignon nous attend !... On y découvre un petit marché artisanal bien plus intéressant que Valdivia si on cherche un peu en dessous de toute la marchandise touristique !.. En revanche on se fait alpaguer de tout les côtés pour manger dans les restos au dessus du marché... et c'est plutôt pénible..! On mange donc un resto un peu plus en retrait, un petit peu plus cher, mais tellement meilleur et beaucoup moins touristique - Sociedad Gastronomica Oliva Spa - ! On sent que les clients sont quelques habitués et d'un certain âge et personnellement ca me rassure sur la fiabilité des produits - Ouais les petits vieux, souvent sur la bouffe ils sont pas trop cons ! Et les locaux, vont pas s'emmerder à manger dans des endroits nazes ! Tuyaux de vieux baroudeur les gars ! - Une fois les panses bien remplies, on reprend la route direction Chiloé...
Pas besoin d'attendre longtemps, le ferry est en train de manœuvrer pour accueillir dans son entraille métallique toutes sortes de véhicules. Moto, piétons, van, camion, bus... 30min de traversée et voilà sur la petite îles du Chili ou la petite écosse - Regarde " La Part Des Anges " tu comprendras - de par ses paysages verts et ondulés. Le temps pluvieux et brumeux donne un certain charme à ce bout de terre flottant du Pacifique. Ce soir, on décide de dormir tranquille face à l'océan à côté de Ancud... mais le temps reste encore bien bien relou, et surtout un vent assez important souffle sur nos petites têtes. Grâce à l'application iOverlander - L'application indispensable pour tout voyageur en van ou en sac à dos hyper déter à vouloir faire du camping sauvage... carte du monde qui répertorie tout les spots où l'on peut dormir en mode wild. Vraiment, hyper chanmé - on trouve un petit spot méga déter sur la plage... et sur la route on croise des paysans qui font un bbq ! Marielle ParleAToutLeMonde et nous autres avons pleins de questions. Comment vivent ses gens si loin de tout ? Où vont les enfants à l'école ? Comment gagnent-ils leur vie ? Quel est leur quotidien?... C'est alors que l'un d'eux nous explique qu'ils sont tous en majorité paysans sur l'île, et qu'il ont des troupeaux de vaches, moutons, et qu'ils vivent de leur culture. Certain sont plus " évolués " avec des métiers d'artisan ou mécanicien.. les enfants doivent faire des kilomètres de bus pour aller à l'école. C'est un mode de vie différent et totalement à l'opposé de ce que l'on peut connaître, mais tellement intéressant. Pas motivé à sortir la tente pour les filles... on se tente de dormir à 4 avec Stan - Bah... c'est pas le Ritz c'est certain, mais ça se fait largement. Notre lit est vraiment dingue... un matelas par terre à l'avant et ça passe tranquille et ça tiens surtout chaud !!! - Apres des petits sandwichs chiliens faits par mes soins, nous nous couchons et le lendemain suite aux conseils des paysans rencontrés la veille, nous nous dirigeons sur la plage pour voir les pingouins. Il est 8h10, je suis sur une plage du Pacifique, le soleil se lève... la pluie a cessé quelques minutes, - On s’enflamme pas non plus.. - les couleurs orange et rouge dans le ciel qui se mêlent aux nuages me font penser et réaliser que je suis à des milliers de kilomètres de chez moi, de ma vie en générale, de mon quotidien parisien... et j'apprécie ce réveil matinal à prendre de l'air frais et certainement peu pollué en pleine face et à pleins poumons. C'est une sensation tellement étrangère et nouvelle. Après plusieurs minutes d'attente sur la plage et d'observation... aucun pingouin. On s'en doutait fortement... la plupart des gens nous avait dit qu'ils avaient migré. On a tenté le coup... et c'est grâce au zoom ultra sonic de l'appareil photo... que l'on aperçoit en face, sur la petite île... des tâches blanches, d'abord à l'œil nu et finalement grâce à la technologie, des petits pingouins. Encore une petite satisfaction qui confirme que j'ai bien fait de partir à la découverte de cette planète !... spectacle plutôt inattendu et magique.
(Isla des Pingouins, en tout petit bien-sur..!)
Le temps se gâte réellement, le froid nous glace le sang. Impossible de se réchauffer on décide alors de prendre un Hostel - Ouais là on a fait les petits joueurs des mecs en van...! On a triché - Mais en vrai... il fait tellement froid, humide et on est 4... le van a pris la pluie, nos affaires sont mouillées et une partie du matelas est mouillé - On est pas venu ici pour souffrir ok...! Si c'est pour attraper une pneumonie c'est pas la peine non plus quoi..! - donc on aimerait bien que ça sèche et qu'on puisse reprendre la route tranquille !... Sur des conseils de voyageurs rencontrés sur la route, on s'arrête dans un Hostel et on part découvrir la petite ville de Castro... ni déçu ni content... Chiloé reste très jolie, avec son petit port sur pilotis et ses vieilles maisons en tuiles de bois, qui depuis quelques années sont interdites d'être construites ainsi pour des raisons de sécurité... - Quand tu vois la cathédrale San Francisco au milieu de la place du village... tu te dis que c'est plutôt une bonne décision... parce qu'en vrai à tout moment le truc il s'effondre. On dirait du papier mâché.. - Il n'y a pas grand chose à faire. La plupart des gens y viennent pour se reposer et chiller - Chiloe... Chiller... non ? Je sors... - c'est pour cette raison qu'on décide de repartir assez rapidement. Et qu'on reprend la route direction Barriloche en Argentine ! Nouvelle frontière, nouvelles aventures... et pas des moindres !!
A tôtbien les copains.
Crédit Photo : Marielle & Delphine
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Contre les Gilets jaunes, ‘’il faut sauver la Planète'' (sic !)
Nous parlions hier de la forte probabilité, dans les deux ans qui viennent, de la survenue d'une crise économique et financière dont le monde ne se remettra que très difficilement, tant sont nombreux les signes avant-coureurs de ce qu'il faut bien appeler ''la fin du monde''. Ce danger à l'air démodé est réel, ne serait-ce que parce qu'il est ''politiquement incorrect'' d'en parler (ça vous a des relents qui pourraient faire penser à nos racines chrétiennes, ce qui n'est pas du tout progressiste !). Ce qui est gravissime, c’est qu’une crise mondiale semble assez probable, tant tous les gouvernants ont ‘’tout faux’’. A propos, que font-ils pour l'éviter ou la retarder ?
Devant la perspective de drames qui semblent difficilement évitables, nos dirigeants préfèrent regarder ailleurs et concentrer toute leur énergie sur la lutte contre un autre sujet, sans doute moins grave et certainement moins urgent, mais annoncé dans un charivari et un vacarme rendus assourdissants, obsessionnels, inévitables, inquiétants : ''la Planète est en danger... et il faut la sauver''. Pour nos politiciens, cette attitude peut se comprendre : il est moins dangereux de faire de grands discours dégoulinants de lieux communs, qui racontent les mêmes mensonges et permettent de condamner ceux qui ne partagent pas l'opinion officielle. Autre avantage, pensent nos génies de l'enfumage, cela permet de justifier (?) la multiplication des impôts, taxes, prélèvements, ponctions et autres vols à main armée, car rares sont ceux qui osent se dresser contre une si belle intention : ''Il faut sauver la Planète'' ! On se sent presque obligés d'être d'accord, et nos politiciens jouent donc sur du velours, depuis qu'ils ont inventé ce fantasme.
Ou plus exactement, jouaient. Car dans leur inculture encyclopédique, ils ont oublié la sagesse des nations, et ce vieux proverbe qui les prévient, depuis 1174 et ''le Roman de Renart'', que ''tant va la cruche à l'eau qu'à la fin, elle se casse''. Dans leur mépris pour leurs ''semblables'' (enfin... c'est une façon de parler : eux se sentent très supérieurs à ces ''illettrés'' (dixit Macron) vraiment trop sensibles à ''la lèpre populiste'' !), ils ont oublié que ''il ne faut pas pousser le bouchon trop loin'' (ni ''grand mère dans les orties'', d'ailleurs). Or rien, pour ces écolo-fanatiques, ne doit ralentir un tant soit peu leur folie ''en marche'' vers... le sauvetage de la Planète !
Ces technocrates sans la moindre empathie écrasent donc le citoyen lambda sous des tombereaux de mépris, de manque de considération... et d'impôts et taxes insupportables, le tout au nom d'une mensongère ''transition énergétique'' qui est un faux prétexte pour combler les trous sans fond de leur gestion lamentable. Ils se foutent complètement de ce qu'ils croient être de l'écologie (qui n'est que de la déconologie !), mais ils ont choisi de priver la majorité silencieuse du nécessaire, au profit d'un superflu inutile. Vous n'avez oublié qu'une seule chose, messieurs les cuistres : ''Primum vivere, deinde philosophari'' -il faut d'abord vivre, avant de pouvoir philosopher ! Vos ''administrés'' (si mal !) ont besoin d'exister plus que de combler vos déficits et, majoritairement, ils se foutent de savoir que la Planète pourrait satisfaire un jour des critères théoriques correspondant à vos fantasmes, si c'est au prix de leur joie de vivre, de leur confort, de tout ce qui est bon dans la vie… et de leur vie, même, souvent. A vous écouter, nous devrions abandonner tout ce qui compte pour nous... pour des trucs auxquels on ne peut s'intéresser que si on dispose, d'abord, du minimum... ce qui n'est plus le cas depuis que vous avez déclaré la guerre aux retraités, aux ''français moyens''... et aux autres (qui ne sont pas aussi ''moyens'' que vous le croyez, dans votre prétention hautaine).
Quand à ce qui concerne le trop fameux ''réchauffement climatique'', chacun devrait avoir le droit de ne pas se reconnaître dans l'outrance pessimiste des nuls qui nous gouvernent si mal : ils se trompent sur tout... Pourquoi auraient-ils raison sur ce seul sujet ? Leur fébrilité immature à vouloir ''aller plus vite que la musique'' est inacceptable. Qu'il faille évoluer, c'est la loi de la vie. Mais qu'on doive le faire à des rythmes inhumains... ça ne peut être que mauvais. N'ayez pas peur, comme le recommandait St Jean-Paul II : la Terre vivra longtemps après que le souvenir de vos hystéries inutiles mais insupportables sera retombé, avec vous, dans le néant.
D'après les derniers chiffres de l'Agence internationale de l’énergie (disponibles sur l'excellent site ''Key World Energy Statistics''), la France est au 20 ème rang des pays émetteurs de ce CO² qui pourrait contribuer au dérèglement climatique, mais elle l’émet dans des quantités si minimes qu'elles rendent ridicule la frénésie de nos dirigeants : sur les 32 milliards de tonnes (MMt) émises mondialement, la France émet 0,29 MMt, soit 0,9 % du total, quand la Chine arrive en tête avec 9 MM/t, (28 %), devant les Etats Unis, à 4,83 et 14,9 %, et l'Inde à 2,8 et 6,0 %. Nos théoriciens sans cause nous pourrissent la vie pour 0,9 % des émissions mondiales de ce trop fameux CO² ! Et s'ils arrivaient à interdire toutes les voitures (essence et diesel), l'impact sur le climat serait négligeable, ce qui confirme que tous leurs mensonges ne tendent qu'à une seule chose : colmater les trous de leur gestion catastrophique... Invoquer la ''transition énergétique'' pour augmenter le prix des carburants ou du fioul domestique et toutes les imbécillités dont ils nous abreuvent ad nauseam est assimilable à un ''casse du siècle''. Mais ce qui semble être le plus grave, à l’heure actuelle, c'est que ces nuls se croient investis d'une mission sacrée, voire ''divine'' : sauver à tout prix la planète, contre ses habitants, le contenant devenant alors prioritaire, par rapport au contenu...
Cela fait plus de 10 000 ans que règne une période qui est dite ''interglaciaire'' et l'évolution climatique actuelle est donc à sa place, dans un réchauffement naturel postérieur à la dernière glaciation, il y a environ 125 000 ans, au cours de laquelle le niveau des mers était plus haut qu'aujourd'hui de 5 à 10 mètres alors que le taux de CO² était 30 % inférieur au nôtre... Ou encore : il y a 3 millions d'années, le taux de CO² était comparable au nôtre (sans bagnoles, ni usines, ni etc...), mais l’océan était quelque 30 mètres plus haut... Et si on prend l’année 1945 comme référence (c'est là qu'ont réellement commencé les émissions de CO² dues à l’homme), la différence de température (moyenne) est de… + 0,4° ! Tant d'emmerdements de tant de gens qui n'en peuvent plus... pour une si petite différence ! La sagesse paysanne dirait : ''le dérèglement climatique ? P'têt ben qu'oui... p'têt ben qu'non !''
Dieu sait, pourtant, que l'unanimité officielle (un peu forcée) est loin d'exclure les controverses sur le fonctionnement de leur GIEC et aussi sur la validité de ses conclusions (importance du réchauffement, choix des critères retenus, réalisme des scenarii, sur-estimation des effets négatifs et occultation des effets positifs, choix des politiques à mettre en œuvre et, par dessus tout : arbitrage entre les options politiques destinées à l'éviter ou à en diminuer les effets. Sans oublier la dramatique confusion, volontaire et organisée, entre ''climat'', ''météo'', ''pollution'' et ''environnement'', qui permet de mentir hardi, petit, en citant les mauvais chiffres au mauvais endroit... Mais seule compte, en réalité, leur passion dévastatrice pour les ponctions fiscales : il faut ''taper au portefeuille pour que les gens changent'' disent ces fanatiques, tout en roulant 4x4 et SUV, et en prenant l'avion pour un ''oui'' ou pour un ''mais moi, c’est différent : je peux'' !
Seule explication possible à un tel entêtement dans l'erreur : l'Etat français, ce grand malade qui reste le champion du monde des prélèvements fiscaux, joue sur les craintes injustifiées qu'il a su instiller dans notre ''cerveau reptilien'' : il faut sauver la planète... même si personne ne sera plus là pour raconter comme c'était bien, beau, et bon... avant la grande ‘’macro’’ privation. Et comme on était mieux !
Je reconnais que je suis pris de panique lorsque j'entends un Castaner, un Rugy ou un Philippe raconter sur les chaînes de leur ''service public'' si peu fiable que ''le gouvernement a compris les Gilets jaunes'', et je pense à Frédéric Bastiat qui disait que tout le monde veut vivre aux frais de l'Etat, alors que c'est l'Etat qui vit aux crochets de tout le monde... Combien d'impôts nouveaux ou augmentés vont-ils encore inventer pour éponger les ''détaxations sélectives'', les ''remises gracieuses'' et les ''chèques-cadeaux'' sous lesquels ils vont tenter d'endormir la contestation ?
H-Cl.
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Les faux premiers rendez-vous R&C
Rien de pire, pour mettre de la pression, que d'appeler une première date une “première date”.
J'ai-ti mis mes plusses beaux vêtements? J'ai-ti peigné mes cheveux correctement? J'ai-ti pushpouté mon parfum qui sent bon? Entre le lot d'angoisses absurdes que l'on s'impose, on oublie l'essentiel d'une rencontre: se rencontrer. Si c'est forçant de te préparer pour ta soirée, ça va être forçant de la vivre. Tu seras pas à l'aise. Parce que tu vas être fake.
Évidemment, t’es pas obligé(e) de te présenter avec des jeans troués et un t-shirt avec des spots de peinture. L’apparence, c’est pas l’essence, mais ça compte. Mais des fois, on aime ça être fake. Tsé, essayer d'avoir l'air mieux que ce qu'on est. Parce qu'on est trop poche quand on est nous-mêmes. C'est dur, être soi-même. Ça implique d'être naturel. De laisser les choses aller. De partager nos opinions. D'affirmer nos goûts. De déclarer ce qui nous plait.
D’assumer nos valeurs. Nos différences. De ne pas toujours plaire.
Pas facile facile… Bin plus simple d'essayer de dire ce que l'autre veut entendre, pour plaire. De se mettre beaux et belles pour séduire au premier coup d'oeil. De s'inventer des caractéristiques pour créer des points communs. De déroger de nos idées pour réduire les divergences…
Diantre, qu'elle est grande la pression des premiers rendez-vous!
Mais contrairement à ce que le passé du flirt nous dicte, de nos jours, c'en est quasi mal vu de déclarer une “première date”. Comme un mauvais présage. Une sorte de mauvaise augure qui plane, faisant jaillir la superstition en nous qu'on a tellement honte d'afficher. Aller à une date, ça se fait pus. Aujourd'hui, on appelle ça: “aller prendre un verre”. “Ok ok, donc c’t'une date?” “Nonon, on va juste prendre un verre…” Bin quin. Toutefois, derrière ce déni se cache une raison très légitime: se débarrasser de la pression. Pourquoi s'imposer la terminologie quand on sait qu'on va subir toutes les chiasses qui viennent avec?
Cette propension à nier un certain vocabulaire pour fuir ses implications dérangeantes est directement liée à la fausse pression qu’on s’impose: évidemment, quand tu refuses de nommer les choses telles qu’elles sont, tu te réfugies peut-être dans une zone plus confortable, mais tu augmentes aussi le stress qui est continuellement généré lorsqu’on est incapable d’identifier un problème. On est caves de même, tsé. Au lieu de modifier la définition d'une date pour faire en sorte qu'elle soit plus saine, on laisse le terme moisir et on gravite autour, picossant ça et là quand ça nous semble approprié. Et on le déclare seulement avec recul. Dans le succès, on assume bien la sémantique. Dans l'échec, on n'y a jamais touché. Si ça s'est bien passé, c'était une date. Si non, c'était juste un verre en amis. Mais au final, c'est pas si grave. Qu'on appelle ça comme on voudra, la problématique demeure qu'on se fait croire qu'on veut prendre ça relaxe. On veut pas s'imposer d'attentes, alors on les cache au fond de nos pensées pour éviter de tomber dans les pièges de l'exigeante prétention.
Une grande partie de la pression vient aussi de nos pairs. C’est lassant de devoir se justifier auprès des autres quand les implications ne sont pas définies et encore moins définitives. Mais on aime tout de même y goûter, masochistes que nous sommes. Sous prétexte d'aller simplement prendre un verre, maudit qu'on se met beaux et belles quand même. Pis ça va simplement “adonner” qu'on va sentir pas mal bon en cette charmante soirée. Et tiens, pourquoi ne pas faire l'inventaire des blagues qu'on connait, histoire d'en faire surgir quelques unes, spontanément, sans réfléchir, au cours de la conversation? Et puis, tant qu'à y être, sortons donc cette jolie robe ou cette superbe chemise qui accumulait tellement de poussière au fond… de la boutique d'où l'on sort. Bin non, le problème ne se règle pas. Il se transpose. Parce qu'on n'est jamais capable de se dire les vraies affaires. Parce que la vérité est trop plate, pas assez vendeuse. Le suspense, ça nous excite, parce que ça crée des attentes. Alors on s'en invente un. Pis on se plaint des déceptions qui souvent en découlent. Un peu cynique, mais incontestable. C'est pas difficile à admettre. La très grosse majorité du temps, on va prendre un verre parce que la personne nous plait. C'est évident. C'est comme entrer dans un cabinet de toilettes, constater qu'il y a quelqu'un qui chie à côté, et faire semblant que t'es là pour autre chose. T'es certainement pas là pour faire ton jogging, faque assume ta crotte. Cette comparaison me fait encore rire! Sûrement ma propension masculine à rigoler aux jokes de caca. Même affaire pour une fausse date. Ça sent le flirt, pis c'est normal. Si tu sors un soir avec quelqu'un qui ne t'allume pas un minimum, t'es soit cave, soit hypocrite. Ou les deux. Ou désespéré(e). La personne nous plait, et c'est écrit dans le ciel, noir sur blanc, gros comme le bras pis même plus, qu'on s'en va flirter. Mais on passe les trois quarts de la soirée à essayer de peut-être, subtilement, sans rien brusquer, de manière cachottière, faire savoir à l'autre personne qu'on la désire. C'est stimulant, ok. Ça fait grimper l'appétit, ok. Mais ça demande des efforts! Ne pas en dire trop, déclencher des signaux, doser nos propos, saupoudrer des compliments… On s'impose la même foutue recette qu'on essayait de contourner à la base. Sous prétexte de vouloir prendre ça relaxe, on cherche encore et toujours à se casser le Bixi pour vivre exactement ce en quoi une date consiste. Pis si c'est de même qu'on veut garder ça, fine. Mais faut arrêter de se mentir et de prétendre qu'on est vrais quand ce qu'on aime réellement, c'est justement l'aspect factice. Si on aime ça faire semblant, ok. Mais qu'on vienne pas chialer si la vérité sort et que l'artificiel est brisé. Tu n'as pas le droit de dire d'une fille qu'elle agit en traînée parce qu'elle porte un décolleté. Elle le fait en grande partie pour toi, pour te séduire.
Pour se trouver elle-même séduisante avant tout. Les hommes, on arrive après: une fille qui se trouve séduisante le deviendra automatiquement déjà plus. Et toi, tu n'as pas le droit de dire d'un gars qu'il est déplacé s'il regarde dans ce dit décolleté. De temps à autres, on s'entend. Quand tu vas au restaurant en haut de la Tour Eiffel, oui tu veux manger. Mais avec la belle vue que t'as, c'est l'fun de zyeuter un brin. ED Et ce n'est pas d'objectiver que d'apprécier. Et biologiquement, les hommes sont davantage stimulés aux niveau de la vue que les femmes. Les études ont été menées sur des bébés humains et même des singes. Les mâles montrent continuellement une plus forte réaction aux stimulations graphiques. D’où notre disposition naturelle envers la porno, les décolletés, les formes et le mouvement. Alors oui, on aime davantage regarder, de manière générale. De blâmer un homme pour ça serait l’équivalent de blâmer une femme parce qu’elle aime prendre soin des gens (disposition biologique aussi, et la science se fout de ce que t’en penses). On sait tous qu'on s'en va prendre un verre pour flirter, au moins un minimum. Et si on assumait ce fait, on prendrait plus de temps pour échanger sincèrement et apprendre à se connaitre comme nous sommes et non comme on veut paraître. Essaie pour voir. Dès la bise et l'accolade. “Bien qu'en général tu paraisses bien, ce soir, je suis particulièrement charmé(e). Je dois dire que tu me plais beaucoup.” Est-ce qu'il y a vraiment quelqu'un qui va s'insurger? Contre quoi? L'honnêteté? Le compliment? La douce audace? “Ouin mais là, ça enlève la magie…” Non. Ça enlève l'illusion. Et ça laisse place à la franchise et à la découverte. L'intérêt devient beaucoup plus authentique. Les charmes opèrent en connaissance de cause, et peuvent ainsi se manifester encore plus vivement. Les discussions ne se perdent pas en surface, et creusent plus rapidement pour trouver l'or.
Et ça, c'est pas magique, c'est juste agréable en mautadit.
C’est fascinant à quel point on peut tergiverser longtemps sur des sujets complètement insignifiants en croyant qu’on évitera les malaises, alors que ce flottement semi-assumé est justement la cause d’un malaise à venir (ce blanc de conversation où l’on se sent ridicule, vous savez?). Les vraies questions sincères sont de loin plus structurantes, amusantes et pertinentes. Une conversation profonde rassemble, crée des liens et de la complicité, augmente la confiance et la réciprocité. Au lieu de parler de météo ou du dernier match du CH, essaie de déterminer ce que tu veux réellement savoir de l’autre personne et pose ta question franchement. Moment précieux garanti. M’as te prendre une note: A
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