#paquete en jean
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saga: Soumission & Domination 363
L'effervescence règne à la villa. On se prépare pour la soirée. Epilation toute fraiche, massage respectifs de nos corps avec un hydratant qui nous laisse la peau soyeuse, rasage pour ceux qui en ont besoin, bref on se fait tous beaux.
Marc et Hervé nous regardent d'un oeil goguenard. Jusqu'à ce qu'on s'occupe de leurs cas ! Séparés en deux groupes, nous leur sautons dessus et les immobilisons. Là, ils ont droit à la même préparation que nous, pipe en plus (histoire de se faire pardonner). Au sortir du même régime, ils nous paraissent encore plus canon nos deux quadras. C'est tout juste s'ils font la 30aine dépassée.
Le plus dur, les vêtements. Paco qui connait bien la boite nous dit que nous serons en maillot de bain très vite surtout avec nos physiques de bogosses.
A lui aussi je demande de se préparer car y'a pas de raison qu'il ne nous accompagne pas lui aussi. Dans un premier temps il refuse, argumente qu'il aura plein de rangements à faire après le diner. J'envoie Jesus lui faire des yeux de chat malheureux pour avoir son acceptation. Donc retour au choix des maillots. Pour moi ce sera un Aussiebum un " Lowrider Flower Power ". L'élasthanne présent épouse bien la forme de mon paquet et il est très " court " sur les fesses ! PH et Ludovic optent pour un ES " Barcelona marin " rouge pour l'un et bleu pour l'autre. Ernesto se prend un Addicted de la dernière collection un " sport sailor " pour être en accord avec mes deux autres amours, auquel il a enlevé le mécanisme pack up, ses 24x6 même au repos restent très " visibles " ! La triplette opte pour le même maillot Aussiebum le " League 15 " blanc. Les autres s'équipent aussi " cute ", même nos deux ainés qui enfilent un boxer.
Un jeans plus un marcel et nous descendons à pied. La station est plein de beaux mecs. Notre groupe se fait siffler plus d'une fois avant que nous arrivions à la boite. A la porte un des mecs qui nous avaient " racolés " sur la plage est au tri ! Il nous repère même si nous sommes plus nombreux. Il nous laisse entrer et fait un signe de tête à Paco quand ce dernier passe devant lui. Il me dira plus tard (le mec de la boite) que Paco était assez connu sur la place ! Nous laissons tomber très vite les t-shirt et torses nus, nous nous jetons dans la foule de mec en train de danser. La musique est forte, l'ambiance chaude. Je mate autour de moi. En dehors de la " villa ", il n'y a que du beau mec ! Physiquement pas plus de 30ans musclés bronzé, avec ou sans barbe mais tous baisables !! Les pantalons tombent des fesses même s'ils n'en cachaient pas grand-chose déjà. Les maillots sont pleins et certains ont du mal à tout retenir de ce que leurs propriétaires veulent cacher. Nos deux ibères sont dans cet état. Moi je me retiens encore malgré les nombreuses mains sur mes fesses qui essayent de baisser mon jeans ! Ludovic et Enguerrand sont quand même les plus canons et eux aussi sont collés et appréciés à leurs justes valeurs. Ernesto comme PH et nos deux ainés surveillent notre triplette. Pas question que leur " fraîcheur" ne soit exploitée.
Paco vient me voir alors que je suis en " surveillance " de mon petit monde pour me prévenir qu'il a fait ce qu'il fallait pour que nos jeunes soient en sécurité. Comme je ne comprends pas, il me dit qu'il a fait passer le mot aux mecs de la sécurité pour qu'ils ne leur arrivent rien de fâcheux. Il me désigne discrètement les types. A part les " officiels " reconnaissable, il m'en montre une demi-douzaine d'autre qu'on aurait pu prendre pour des usagers. Un qui me voit en train de parler avec Paco me fait un signe de tête.
Du coup je me lâche. Je rentre dans la mêlée joue des coudes pour m'installer et danse. Mes amours me rejoignent et dans l'ambiance nous n'hésitons pas à nous rouler des pelles. Quand je jette un coup d'oeil panoramique, je vois Marc coller un petit mec mimi tout comme Hervé. Les petits sont toujours ensemble et s'éclatent à l'autre bout de la piste. Alors que je vais pour repartir dans mon trip, j'aperçois un des " sécurités " en civil (càd en maillot de bain) choper un mec plus âgé qui collait un peu trop nos jeunes et le dégager.
En attendant moi je me fais draguer par un mec qu'on croirait sorti d'un film de BelAmi type Kris Evans. Grand, gueule carrée, musclé, imberbe avec un maillot déformé par un paquet volumineux et pesant. Tentant non ?! Ben oui, je suis humain et je me laisse tenter. Ernesto me voit partir avec le mec vers des fauteuils. Il tombe dessus et m'entraine avec lui. J'essaye de me retenir mais je glisse et lui tombe tout cru dans les bras. Pelle ! Langue encore fraîche, impérieuse dans sa façon de vouloir enrouler la mienne. Je ne me laisse pas faire, on est du même gabarit ! Mes mains palpent ses pecs qu'il contracte. Belles masses aux gros tétons sensibles. Comme je suis couché sur lui, mes abdos m'annoncent son érection et l'amplitude de cette dernière. A vue de " peau ", il doit faire dans les 21/22 bien larges au moins 6 ! Tout ce que j'aime chez un type avec qui baiser !! Mais c'est encore un peu tôt. On retourne sur la piste et nous dansons collés, très collés. De nos bouches grandes ouvertes afin de pouvoir gouter la langue de l'autre jusqu'à nos cuisses, on n'aurait pas pu glisser entre nous une feuille de papier à cigarette !! Caliente !! Il connait bien la boite et nous isole dans un recoin. Nos bites en profitent pour sortir de leurs écrins et c'est lui le premier à s'accroupir pour me la bouffer. Il devait être affamé, quoi qu'avec son physique je ne vois pas comment ça se pourrait, car il me l'avale jusqu'aux couilles. Il me donne l'effet d'un mort de faim tellement il met de l'entrain à me bouffer la queue. Mon gland ne sort de sa gorge que pour les respirations que je trouve très espacées ! Mes mains se posent naturellement sur ses épaules et massent ses trapèzes balèzes et descendent titiller ses tétons sûrement travaillé vu leurs tailles. En pinçant les deux " boutons ", je le tire vers le haut et on repart en pelle juste le temps que j'attrape sa bite et ses couilles. A la base ma main ne fait que la moitié du tour ! Et j'ai beau serrer, je ne progresse pas vu la raideur de l'engin.
A mon tour de lui gober le gland. Je lui démontre qu'il n'est pas le seul à savoir faire des gorges profondes !! Ç'est lui qui me redresse avec la même technique que moi. On se roule des pelles pendant que nos deux bites s'apprivoisent.
Nous sommes interrompus par l'arrivée d'Enguerrand. Il me parait tout chafouin !
Sans trop me décoller de ma trouvaille, (faudrait pas qu'il prenne la tangente), je lui demande ce qui se passe. Il me dit qu'ils sont tellement surveillés qu'ils vont rentrer bredouille de la soirée.
Je ne réfléchis pas, je le glisse entre nous deux, dos contre mon torse. Il ne s'y trompe pas et entreprend ma " conquête ".
L'autre se laisse faire. Le roulage de pelle qu'ils se font ne le fait pas débander et je descends avec son short le maillot d'Enguerrand qui commençait à être trop petit.
Je glisse sur le côté et nous pouvons nous lécher le museau à trois. Je garde une main sur le cul d'Enguerrand afin de prévenir toute velléité d'envahissement sauvage, l'autre est occupée à tester la rondelle de l'indigène.
Pas de réticence à la progression de mes doigts de fée vers puis dans le cul de mon " BelAmi ". De l'autre côté, je sens sa main rejoindre la mienne et me demander le passage. Je vérifie que c'est bien la sienne avant de le laisser passer.
Le doigt qu'il enfile dans mon petit beau-frère fait bander encore plus fort ce dernier.
On est bien chauds. J'attrape 2 kpotes dans mon jeans et en tends une à l'inconnu. J'enfile l'autre.
Debout, Enguerrand plaqué contre le mur se prend les 21x6 dûment recouverts alors que j'enfile ma bite dans son enculeur. Trop bon ! Je suis hyper serré et le mec en rajoute en comprimant sa rondelle. Je vois qu'Enguerrand aussi prend du plaisir. La joue écrasée contre le mur, les yeux fermés, il halète sous le labourage en règle de son intimité. Je m'accroche à ses épaules et bascule mon bassin violemment en avant pour prendre et lui faire prendre son pied. C'est chose faite 10mn plus tard. Lui mordant l'épaule pour éviter que je hurle, je rempli ma kpote dans un dernier coup de rein qui l'écrase sur Enguerrand. Aux spasmes qui agitent sa rondelle je conclu qu'il fait de même bien au fond du trou d'Enguerrand. Je récupère au creux de ma main le sperme de ce dernier pour qu'il ne marque pas son territoire avec ses gènes. Sans que je lui dise, il vient lécher sa production pour me nettoyer les doigts.
Notre inconnu le regarde puis me remercie d'avoir partagé ma " salope " avec lui. Quand je lui dis que c'est mon " Ermanastro ", il s'interloque avant d'éclater de rire et de me dire que j'avais trouvé la famille idéale. Il comprend d'autant mieux que Ludovic nous a, à ce moment-là, retrouvé.
Il ne s'éloigne pas alors que je me fais gentiment remonter les bretelles par Ludo qui me dit, en reluquant l'ibère de la tête aux pieds, que je ne pense qu'à moi.
Je me défends que j'aie partagé avec Enguerrand. La confirmation de ce dernier me sauve quelques instants. On se réajuste et j'entraine mes deux partenaires sexuels et mon mec vers le bar nous rafraichir.
Malgré la musique, on en apprend un peu plus sur le mec. Il se nomme Felipe, il est madrilène et en congés. Avec une demi-douzaine de potes, ils ont loués une villa un peu en extérieur avec piscine. 5 mn plus tard il nous invitait tous les trois à passer les voir. Ses potes étant comme lui, homos et pas trop mal foutus.
Dos contre le bar, il les cherche du regard et nous les montre. Je lui dis que nous c'est pareil sauf qu'on est un peu plus nombreux. J'arrive à retrouver la bande sauf Marc qui doit se faire plaisir avec un petit mec dans un coin. A mon tour je les montrer du doigt (je sais, c'est pas poli mais difficile de faire autrement !).
Avec amusement nous voyons nos amis respectifs opérer un mouvement vers nous et nous finissons ensemble. Présentations, amusement de la similitude de nos situations, surtout quand nous leur donnons notre adresse et qu'elle se situe à une rue de la leur ! Ses amis sont du même type que lui, sportifs et musclés imberbes et bien montés (vu les maillots bien remplis).
Quand Marc nous rejoint enfin, on décide que la nuit est assez avancée pour que nous rentrions.
Comme leur villa est sur notre chemin, nous nous y arrêtons.
Plus petite que la nôtre elle aussi est tout confort avec piscine et jacuzzi. Felipe sort les bouteilles du frigo. Vodka, gin, whisky... le choix est vaste et les doses servies conséquentes. Auraient-ils comme des envies d'abuser de nous ?? En attendant ils sont sympathiques et les maillots volent au moment de nous jeter dans l'eau. Quand nous y sommes tous, impossible de nager !! Mais je crois que c'était pas trop le but non plus ! Les corps se frottent les muscles gonflent et les bites entrent toutes en érection. Je laisse Felipe que je connais déjà pour ses potes. Notamment le plus jeune et aussi le plus " développé " coté musculature. Quand j'empoigne ses bijoux de famille, de ce côté là aussi il n'a pas été laissé pour compte. Bonne queue raide accompagnée d'une paire de couilles glabres d'un beau volume aussi. Nos tétons se collent alors que je lui roule un patin. Sa langue goûte encore la vodka qu'il s'est enfilée tout comme moi. Ouf ! On ne va pas faire de mélange d'alcool qui nous donnerait mal à la tête au réveil (lol) ! Sa bite passe sous mes couilles et dans l'eau je m'assois dessus. Elle me tente et j'ai envie de connaitre sa dextérité à s'en servir. Je sors de l'eau et d'un coup de rein, le tire du bassin. Il m'entraine dans la villa. Je n'avais pas fait attention mais plusieurs mecs étaient déjà partis sur des plans " particuliers ". Du coup, on a un peu de mal à trouver où nous poser. On finit par revenir sur la terrasse et on se met au " travail ". On doit avoir le même âge et son physique est nickel. Brun de poil mais totalement imberbe ou épilé sauf la touffe, il est bronzé avec marque de maillot. Ce qui me fait kiffer grave. Sa belle queue rose pâle arbore un gland bien violet et découvert. On passe un bon moment à se caresser, se lécher, s'embrasser (avec la langue évidemment), à se travailler les tétons aux doigts puis avec les dents. Nos bites et couilles ne sont pas de reste puisque souvent nous alternons le reste avec de bons pompages en profondeur. J'aime qu'il prenne mes 20cm sans haut-le-coeur lui non plus. J'aime sa langue inquisitrice. Elle se coule sous mon prépuce pour aller titiller mon gland, elle s'enfonce dans ma rondelle, poussant sa salive dans mes profondeurs pour préparer l'assaut prochain. De mon côté je pompe en fond de gorge ce gland qui va bientôt tester l'autre extrémité de mon tube digestif. Quand je me sens prêt, je lui enfile une kpote, le plaque dos sur la terrasse et enjambe son bassin pour venir m'assoir sur son mat.
Rhh ! Le bien que ça fait !! Il a l'air étonné que je m'enfonce en une seule fois la totalité de ses 21cm mais quand mes fesses touchent ses cuisses, il en ferme les yeux de plaisir ! Je savoure cet envahissement de mon corps avant de chevaucher mon nouvel ami. Ses mains venues se poser sur mes hanches modère ma fougue. Il en libère une pour venir la poser sur mon cou et attirer ma tête vers la sienne. Je lui roule un patin mais c'était pour me dire quelque que chose qu'il m'avait penché.
Il voulait juste me dire que j'avais un cul divin et une rondelle parfaite ! Pour ça il n'était pas obligé de chuchoter ! Je me redresse et fort, je crie à ceux qui veulent l'entendre que sa bite est une merveille et qu'elle me rend fou. Il me rattrape et me dis qu'ils ont des voisins !!
Je lui réponds que jusque-là c'était flatteur pour lui ! Il rit et me fait taire avec sa langue. Pour me laisser moins de choix, il se redresse me bascule sur le dos et tenant par les chevilles mes jambes écartées, s'ingénie à me limer la rondelle avec science. Il me fait décoller grave !
Il alterne quelques positions autres avant de remplir sa kpote au bout de sa résistance. Un petit coup de sa langue sur mon gland et je lui tapisse le visage de mon sperme. Juste la force de se trainer à l'intérieur pour trouver un coin de matelas et je tombe de sommeil. Il est midi quand j'émerge ! A peu près en même temps que tous les autres sauf Paco qui, en bon cuisinier, finissait de mettre en place le " petit déjeuner ".
Les invitants sont surpris mais apprécient l'attention. Comme ils s'étonnent de certains plats, Paco leur avoue avoir dû faire un saut chez nous. On déjeune tous dans une bonne ambiance, les autres habitants de la maison ont trouvé eux aussi leur plaisir dans notre touze improvisée de la veille et matin. Felipe est collé de notre trio ce qui semble lui aller tout à fait. Quand j'éclairci les données, il me dit que ces trois jeunes lui ont asséché les couilles comme jamais encore ça lui était arrivé !!On rentre chez nous avec leur promesse de nous rejoindre à notre villa vers les 20h
Jardinier
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Jamais été au GUD (ni "proche du GUD" comme l'affirme la presse qui s'imagine n'importe quoi).
À bien des égards, je n'ai même rien à voir avec une partie des générations de gudards que j'ai pu rencontrer, souvent plus branchées mythe, teufs et bastons que militantisme, et dont certaines ont produit un paquet d'opportunistes bêtement nazis à 20 ans et servilement embourgeoisés et dans les allées du pouvoir passés les 25, regardant avec mépris le militantisme de terrain qu'ils assimilent à leurs propres frasques juvéniles.
Mais j'y ai croisé des idéalistes sincères, des natios intègres et des anarchistes conséquents, des jeunes au regard clair et n'hésitant pas à enfiler la tunique de Nessus "des heures les plus sombres" autant par goût de la provoc' que par souci de la vérité.
Et cette dissolution d'un groupe médiatiquement cramé s'inscrit dans un contexte plus vaste d'annihilation de toute résistance et de toute initiative concrète, à l'instar de la Traboule, local pionnier de l'enracinement identitaire en France.
Le fait que des politicards patriotes se réjouissent et aient appelé cette persécution de leurs vœux est parfaitement ridicule, et assez dégoûtant.
Les types humains comptant plus que les idées elles-mêmes, il ne fait aucun doute que je suis plutôt "rats maudits" que ramollis. Et "la roche Tarpéienne étant à deux pas du Capitole" les années qui viennent vont être assez dures pour les seconds. Tout à leur griserie médiatique, ils n'ont pas la profondeur historique et philosophique pour l'envisager, mais croyez-moi sur parole.
Jean Eudes Gannat
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"Nous allons tous mourir. Ce n'est qu'une question de patience. Le processus, si l'on peut dire, est déjà engagé. Tout joue contre nous : les statistiques, le temps, et même les places financières. Nous voilà embarqués dans une vraie sale histoire. Alors autant vous la raconter dans ses moindres détails. Elle commence au début des années 1950 avec la germination de l'emblématique génération des baby-boomers. Usée par la friction des conflits, la mort était, à cette époque, tenue pour un sport démodé. Chacun pensait à revivre, replanter, repeupler les nations, passer de la civilisation des cimetières à celle des maternités. C'est ainsi que naquit l'avant-garde de l'après-guerre. Pour ces enfants du regain l'on espérait un mieux. Ils eurent le meilleur. Un futur de fourrure doublé d'un univers en expansion. Le progrès leur offrit un monde de Teppaz et de berlines automatiques pourvues de directions assistées. Cette génération-là, la plus nombreuse de toute l'histoire de l'humanité [...], d'abord joueuse, se révéla très vite avoir une âme de propriétaire et décréta que l'avenir, le monde et ses environs lui appartenaient. Aujourd'hui, la grande armée continue sa marche forcée vers la quête du bonheur éternel. Pourtant, chez les plus informés de la troupe, la cadence a changé. Et c'est du pas de l'explorateur craintif que certains avancent vers l'âge de l'intranquillité. Quinquagénaires recomposés, « viagratisés » et sur la vie assurés, ils sentent que le piège du temps est en train de se refermer sur eux, qu'ils vont bientôt tomber, d'abord par centaines, puis par milliers, par colonnes, par grappes. Bref, en masse. Avec l'extinction prochaine des baby-boomers nous allons entrer dans ce que les économistes spécialisés appellent déjà la « golden era of death ». Cet âge d'or de la mort, Wall Street, les milliardaires, les banquiers, les investisseurs de tous pays l'ont bien sûr anticipé. Aux États-Unis, et dans de nombreux pays occidentaux, les spéculateurs ont racheté les maisons funéraires, les cimetières et toutes les entreprises et services se rattachant à ce secteur d'activité. Une industrie qui, rien qu'aux États-Unis, brasse la somme de 17 milliards de dollars. Les retours sur investissement sont calculés, les statistiques bouclées, les paris ouverts, les dates plus ou moins balisées. La finance a misé contre nous tous. D'énormes paquets. Ce qui n'est jamais bon signe. De cet âge d'or, pour une fois, nous ne verrons pas le bout. Nous n'en serons même pas les figurants ni les acteurs. Seulement les victimes et les vecteurs." Jean-Paul Dubois extrait de: "L'Amérique m'inquiète et autres récits"
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Élections françaises et frontières de l'Ukraine : j'ai une question...
J'ai lu l'annonce du programme du "Nouveau Front Populaire". Et j'ai une question.
Je lis notamment ceci (c'est la version courte, je vous mets la version complète plus bas) :
Nous réaffirmerons notre soutien inconditionnel à l'Ukraine face à l'agression de Poutine, et le respect total des frontières.
Ma question est simple...
De quelles frontières parle-t-on ?
Concrètement, est-ce que les frontières de l'Ukraine englobent la Crimée ?
Attention. Je ne demande pas quelles sont les frontières selon vous, qui me lisez. Ni ce que sont les frontières selon l'ONU, l'OSCE, la diplomatie française ou je sais pas quoi.
Non, dans ce document, dans ce programme politique, ici, dans ce contexte, à quelles frontières se réfère-t-on ?
Parce que c'est pas si clair.
"La Crimée sera russe"
Il se trouve que, si je cherche, pour la principale composante de ce Nouveau Front Populaire, la LFI, la Crimée est russe.
Oui.
Dès la prise de contrôle par les troupes russes, en 2014, Jean-Luc Mélenchon a justifié ce coup de force.
Sur son blog, en mars 2014, il publie un billet intitulé "La Crimée est perdue pour l'OTAN. Tant mieux." Notez l'allusion à la frontière :
Bien sûr la Crimée est « perdue » pour l’OTAN. Bonne nouvelle. ... Avantage : la frontière de l’est est à peu près stabilisée si l’OTAN n’en rajoute pas.
Le billet se conclut par cette formule :
La messe est dite. La Crimée sera russe et l’Ukraine entre dans un chaos aggravé.
Jean-Luc Mélenchon a multiplié les déclarations publiques reconnaissant l'annexion de la Crimée par la Russie.
Il se refuse d'ailleurs à parler d'"annexion", préférant le terme de "adhésion".
Un paquet de déclarations qui vont TOUTES dans le même sens.
Février 2015, sur son blog, fustigeant les sanctions de l'UE il écrit :
Depuis le putch masqué dans le prétexte des manifestations anti oligarchiques sur la place Maïdan puis l'adhésion de la Crimée à la Fédération de Russie, tout un arsenal de sanctions contre-productives ont déjà été déployé.
Dans le même texte, Jean-Luc Mélenchon dénonce l'annulation de la vente des navires de guerre Mistral à la Russie, décidée par le gouvernement français suite à l'annexion de la Crimée.
En mars 2017, le parlement européen vote sur une résolution sur "les prisonniers politiques ukrainiens en Russie et la situation en Crimée". Jean-Luc Mélenchon rejette ce texte qu'il qualifie de "ridicule" sur son blog. Je cite un des reproches adressé au texte :
Un énième rapport pour provoquer la Russie. Il dénonce l'« annexion » de la Crimée par la Russie en ignorant le referendum qui a validé le rattachement de la Crimée à la Russie (...)
Remarquez les guillemets à "annexion"...
Novembre 2016, le parlement européen vote sur une résolution de soutien à un prisonnier politique en Russie. Jean-Luc Mélenchon s'abstient. Il publie un billet de blog, "Condamnation asymétrique de l'emprisonnement politique", dans lequel il explique ce qu'il reproche à cette résolution :
Mais elle en profite également pour exprimer sa solidarité avec « les territoires occupé d'Ukraine » qui ne sont autre que la Crimée, rattachée à la Russie par referendum
Janvier 2022, interviewé par Le Monde, il déclare :
Pour ma part, je pense que la Crimée est russe. Pourquoi ne pas imaginer un référendum sur la péninsule sous l’égide de l’ONU ? En tout cas, la discussion avec la Russie doit être globale. Posons nos limites respectives. Que met-on sur la table, et que proposent-ils ?
Etc. Je ne prétends pas être exhaustif ici.
J'ajoute encore que, jusqu'à l'attaque de février 2022, LFI et son leader affirmaient qu'ils n'étaient pas pro-Poutine, mais qu'ils soutenaient un de ses opposants, Serguei Oudaltsov. L'ennui, c'est que cet "ami russe" de Jean-Luc Mélenchon avait soutenu dès le départ l'annexion de la Crimée, qui n'était pour lui que le premier pas vers une reconstitution de l'URSS.
En mars 2014, sur son blog Serguei Oudaltsov écrivait ceci :
Je suis un patriote soviétique et je considère que la destruction de l'URSS est une grande erreur et un crime. Je considère donc l'annexion de la Crimée comme un petit pas, mais un pas important, vers la renaissance d'une Union renouvelée.
Pendant des années, l'ami russe, grand admirateur de Staline, a multiplié ce genre de propos, reprochant à Poutine de ne pas en faire assez pour reconstruire l'ex-URSS.
En résum��, que ce soit chez Mélenchon lui-même ou chez son ex-ami russe, tous les propos sont allés dans le même sens : la Crimée est russe.
La grande conférence sur les Frontières
Puisqu'il est question de frontières, notons que cette "adhésion" de la Crimée à la Russie a inspiré une idée à Jean-Luc Mélenchon. Une grande conférence sur les frontières de l'Europe.
Une idée dont il a largement parlé au cours des années, avec des formules telles que les "frontières craquent de partout".
Il évoque ainsi pêle-mêle la Crimée, l'Écosse, la Catalogne, la Belgique, etc.
Il n'a pas pensé à citer dans le tas l'Alsace et la Lorraine. Dommage, ça aurait fait bien.
En octobre 2017, par exemple, il développe son idée dans un texte intitulé "Les frontières et l’Europe" :
Pendant la campagne de l’élection présidentielle, j’ai proposé qu’existe une conférence permanente sur les frontières en Europe. À l’époque, le point de départ était la situation créée par l’adhésion de la Crimée à la Russie dans le cadre des événements de l’Ukraine. À l’époque, l’opinion de la caste était chauffée à blanc par le sentiment anti-russe. On ne pouvait parler de rien. Dans la mesure où j’avais été assimilé à un partisan de Vladimir Poutine, tout ce que je disais était immédiatement interprété dans la version la plus fantasque.
"L'adhésion de la Crimée à la Russie"... Encore et toujours.
"Adhésion" ou "annexion" ?
On pourrait se demander si chez LFI on a un problème avec le mot "annexion". Visiblement pas. Ce terme a été largement utilisé.
Pour désigner l'éventualité d'une entrée de l'Ukraine dans l'OTAN.
Et l'expression a été répétée, répétée, répétée, dans les semaines qui précédaient l'entrée des troupes russes en Ukraine, en février 2022.
Le 21 février, il écrit dans un billet :
L’annexion de l’Ukraine dans l’OTAN ne tardera plus
Dans le même texte, il prédit également :
Mais la Russie de son côté ne fera pas non plus la guerre pour l’Ukraine. Elle attendra qu’elle tombe comme un fruit mur, le moment venu.
"Annexion" ou "adhésion", ce n'est pas qu'un détail.
Donc ? Quelles frontières ?
Je vous mets ici la version complète du texte du programme dont je parlais plus haut.
Vous voyez que le texte du Nouveau Front Populaire ne cite pas la Crimée et qu'il n'y a aucune mention du type "frontières internationalement reconnues".
Je ne sais pas si c'est voulu.
En principe, quand on lit "l'intégrité de ses frontières", ça pourrait paraître clair.
Mais il y a le contexte.
Vous avez pu voir que pour le patron de LFI, TOUS les propos tenus sur le sujet depuis des années vont dans le même sens. Le référendum de 2014 était valable et la Crimée a "adhéré" à la Russie.
Et je n'ai pas trouvé propos public de J-L Mélenchon ni d'aucun autre dirigeant indiquant que la Crimée ferait partie du territoire ukrainien.
Si on admet que la Crimée à "adhéré" à la Russie, alors on admet qu'elle se situe hors de ces fameuses frontières ukrainiennes dont on défend ici l'intégrité.
Peut-être que pour vous, il est évident qu'il n'y a pas eu d'adhésion, que ce référendum de 2014 n'avait aucune valeur, que c'est bien une annexion et que lorsqu'on parle de l'intégrité des frontières de l'Ukraine, ça englobe la Crimée.
Mais si c'est évident, pourquoi ne pas l'avoir précisé ?
Pour ne pas contredire le discours que J-L Mélenchon tient depuis 10 ans ?
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"La hideuse explosion de joie, de férocité, d’indécence, d’un peuple d’esclaves tout à coup délivrés et incapables de revêtir avec dignité leur nouvelle condition d’hommes libres, se soulageant dans le fol été de toutes leurs fringales rentrées, hurlant, mendiant, acclamant au hasard les divinités bienveillantes et casquées dont les visages de bois, du haut de leur « Patton » daignaient leur mastiquer un sourire – et qui leur jetaient même parfois du chocolat, des cigarettes, du chewing-gum, des paquets de ration sur lesquels s’abattaient aussitôt des grappes d’enfants, de vieillards et des femmes – tandis que les hommes, après avoir guetté derrière leur volet le départ du dernier camion allemand, enfilé à la hâte un brassard de la Résistance et passé autour de leur épaule la bandoulière au cuir usé d’une mitraillette d’occasion, se jetaient dans les rues bouillonnantes où les avaient déjà précédées, moins lâches ou peut-être plus ivres, des hordes de poissardes – celles-là même dont les aïeules, un siècle et demi plus tôt, avaient castré les Suisses des Invalides – matrones aux chairs violettes de santé et de fureur, aux lèvres rentrées, aux petits yeux rétrécis, luisants comme des têtes d’épingles, qui dénonçaient, traquaient, lynchaient pour assouvir un appétit non de vengeance mais de souillure, de dégradation, d’égalité.
Éric regardait courir et chanter sous le soleil d’août ces gens pour lesquels, trois semaines auparavant, son frère était mort. Il les regardait achever à coups de poing, à coups de crosse, un milicien qui s’était brisé les deux jambes en tombant d’un toit, et chacun de leurs cris et de leurs coups, loin de venger Alain, le trahissait, le déshonorait, rendait ridicule son martyre et sa mort. Il les regardait jaillir d’une maison, tenant dans leurs serres une jeune femme blonde, vêtue d’un corsage blanc et d’une robe verte dont les deux couleurs semblaient mêlées dans ses yeux d’amande pâle. Il regardait leurs mains, des mains de femme surtout, déchirer le corsage, tirer sur la jupe comme sur la peau d’un lapin qu’on écorche, tandis que la jeune femme, nue, muette et molle comme un linge, tournait vers lui un visage exsangue, presque gris, et comme soumis à la pression d’un ouragan – cils chavirant, narines pincées, coins de la bouche tirés, masque aux traits figés par le vertige, l’angoisse, l’abandon, qu’il reconnaîtrait plus tard, en d’autres occasions, sur d’autres visages – et posait son regard sur lui, mais sans le voir, ne percevant sans doute plus, à travers ses paupières défaillantes, qu’une ceinture de têtes cloutée d’yeux.
Quelqu’un tira sur les cheveux blonds, et le buste de la jeune femme, brusquement cassé en deux, se renversa en arrière, tandis que ses seins lourds s’inclinaient sur ses flancs. Elle ne se débattait pas, ne criait même pas, ses yeux maintenant grand ouverts, offerts au ciel d’été avec horreur, avec extase, et la foule autour d’elle était devenue si silencieuse que l’on pouvait entendre le cliquetis de la tondeuse. Éric regardait leurs figures fixes, glacées par l’attention, et il devinait la voluptueuse douleur qu’ils éprouvaient à humilier, non pas cette jeune femme peut-être coupable, mais la race humaine, l’homme, eux-mêmes. A quinze ans, il était assez âgé pour savoir qu’une cause, une patrie, ne suffisent pas à inspirer tant de haine et que cette épave dolente, étendue maintenant sur le trottoir, n’était que la victime anonyme et transparente à travers laquelle chacun déchaînait sa haine de soi. « Arrêtez ! Vous me faites mal ! » cria tout à coup la femme, comme s’il se fût agi d’un jeu où ses adversaires eussent enfreint les règles. « Arrêtez, je vous en supplie ! » hurla-t-elle vers la foule muette dont les têtes, comme atteintes tour à tour par la bourrasque de ce cri, oscillèrent de proche en proche et se courbèrent en avant."
Jean René Huguenin
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Crónica gonzo: A cuatro metros sobre el nivel del mar y uno bajo el infierno
Todo acontece por debajo de una falda. En medio de las piernas, acontece el calor de una ciudad terminándose de evaporar entrando las cinco de la tarde; acontece una brecha de respiro entre cada paso que se da al caminar entre los pasillos. Cuando ninguna cámara ve, acontece la sinvergüencería.
***
Son las cuatro, después de clases, y estoy en el Policentro de Guayaquil, ciudad no menos extraña para mi amiga Ana, que hace poco más de nueve meses se mudó dada la extenuante carga horaria de la universidad. Nuestras semanas en su departamento se resumen vagamente en escribir, conversar y contarnos experiencias chistosas y anécdotas de interés. A los quince años la atraparon robando en una tienda de cadena en Babahoyo: dada la situación económica que atravesaba la familia Coronel en ese entonces, a sus padres se les hacía difícil comprar utensilios para el colegio. Sin embargo, Ana recuerda no haber tenido mucho conocimiento de aquello en el momento que pasó. Cuando la descubrieron, el papá de Ana pagó todo y Ana prometió no volver a hacerlo nunca más
en Babahoyo.
Los años pasaron y ahora estamos sentadas en el Sweet and Coffee sin un centavo. Hablamos de la pasada muerte de Johnny Czarninski y del cierre del comisariato en Avenida 9 de Octubre que ocurrió ese día. Entre el empache de la tarde y la imaginación que le sigue, entreveramos comentarios sueltos intentando darles algún orden.
La primera vez que recuerdo haber robado fue a los cinco años, cuando, sin querer, me llevé un Toni Mix de Mi Comisariato. Se repitió hace no mucho, cuando, a inicios de este año, entré a una Sana Sana a comprar varios Fuze tea y guardé uno en mi bolso porque eran muchos. Al momento de pagar se me olvidó sacarlo. Reaccioné demasiado tarde, porque cuando abrí el bolsillo la bebida seguía ahí. Entendí demasiado tarde por qué las señoras que estaban a mi lado me vieron mal cuando salí por la puerta. Me pregunté, también, sobre el espacio entre una confusión y una simple amagadería.
Poco hace más de dos años, un compañero de la universidad me contó que, cuando se quedaba sin plata, iba al Aki cerca de su casa y cogía tomates, ajos y cebollas para hacerse un refrito. Yo lo acompañé una vez. Luego olvidé lo ocurrido como quien olvida qué comió el día anterior.
Si me esfuerzo más, recuerdo cuando mi novia me contó que, en una ocasión, detuvieron a un señor por haberse agarrado latas de atún para gato. El señor las cogía para dárselas a los animales que viven en la cuadra. El guardia de seguridad del Comisariato, vecino de mi novia, le dijo que, cuando detuvieron al hombre, le preguntaron si este tenía alguna discapacidad, porque parecía responder con tranquilidad al cuestionario de preguntas venenosas que le hacían.
“Usted tiene plata, y me roba todavía así”
“Sí”, contestó.
“¿Por qué lo hace? Me compra una funda de arena para gatos que cuesta 5 dólares, pero me roba 2 dólares en latas”
El Robin Hood se encogió de hombros antes de contestar.
“Porque alimento a los gatitos de afuera también”
Lo dejaron ir con la condición de nunca más volverlo a hacer. De vez en cuando, Keiko lo ve alimentar a una camada de gatitos con latas de comida húmeda.
***
La Favorita está fundada por gringos y El Rosado es sionista, me dice Ana, Se merece que les roben.
Estamos listas para hacerlo.
Qué importa cómo vamos vestidas, de acuerdo a ella, vamos perfectamente bien para la ocasión. Ana usa una falda jean y un abrigo color negro, yo permanezco espectadora hasta que encuentro algo que me llama la atención. Una lata de atún.
En lo que tarda un ojo en pestañear, Ana rodea con su abrigo la lata, y a esta le sigue un paquete de toallas sanitarias. Qué importa por qué lo estamos haciendo, no somos mártires ni revolucionaras, aquí no hay ningún presidente; somos estudiantes de arte que necesitan para el pasaje de la semana. Con precaución de alguna cámara, o Dios, como lo sabe llamar Ana en código, guardamos también un cepillo dental y un shampoo.
Porque todo se esconde a cuatro metros sobre el nivel del mar y uno bajo el infierno.
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Transferts : Jean-Luc du Preez d'accord avec l'UBB
Jean-Luc du Preez va s’engager à Bordeaux-Bègles la saison prochaine En quête d’un renfort dans son paquet d’avants, l’Union Bordeaux-Bègles a obtenu l’accord du troisième ligne sud-africain Jean-Luc du Preez (Sale). International sud-africain, Jean-Luc du Preez (29 ans, 14 sélections) portera les couleurs de l’Union Bordeaux-Bègles la saison prochaine. Le troisième ligne, capable d’évoluer en…
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STRATES 🏔️
CRÉATION 2024
Un spectacle mis en scène et chorégraphié par Maud Marquet avec le travail visuel de Corinne Janier. 2 interprètes danse et 1 interprète musique — scolaire et tout public — 45 min
Le projet STRATES s’inscrit dans les courants du Corps-Paysage, Corps-Décor et du Land Art. Prévue pour le plateau, c'est une création chorégraphique se faisant analogie entre le corps humain et la montagne. Quelles sont les caractéristiques communes, les similitudes entre le corps et la montagne ? Comment le corps peut raconter, traduire la montagne, ses mouvements, son histoire ? L’analogie entre corps et montagne sera renforcée à travers la dimension scénographique et plastique.
C’est un projet qui prend pour appui les spécificités géologiques d’un territoire qui vont être traduites dans un spectacle chorégraphique, scénographique et musical. Le Massif Jurassien a été choisi comme base des observations et études. Dans ce projet il s’agit de s’inspirer des ressources de ce massif, pour élaborer une écriture aux croisements de plusieurs domaines.
• CO-PRODUCTION ET SOUTIENS Bourgogne-Franche-Comté : Le Dancing CDCN Dijon Bourgogne-Franche-Comté (résidence simple 2024), Le VIADANSE CCN Belfort de Bourgogne-Franche- Comté (résidence simple 2024), Le dispositif Hors Limites - Association NA / Compagnie Pernette / Besançon, Le Théâtre de Beaune, La Fraternelle - Maison du Peuple - Saint-Claude, Le Musée de l’Abbaye Donations Guy Bardone et René Genis, L'Atheneum de Dijon, Théâtre de la ville de Morteau Grand Est : La Passerelle Rixheim, Le festival la Quinzaine de la Danse, Le PReO-Scène de Oberhausbergen, Le Nouveau Relax de Chaumont • PARTENAIRES INSTITUTIONNELS - la DRAC Bourgogne-Franche-Comté : résidence territoriale EAC, école primaire de Lavancia et résidence excellence des métiers d’arts, collège et lycée Pierre Vernotte de Moirans-en-Montagne - la DRAC Grand Est : conventionnement sur 2 années 2023 et 2024 - Le département de la Marne aide à la création - L’Agence Culturelle Grand Est - Aide à la Mobilité - la SPEDIDAM aide à la création Chorégraphie et mise en scène : Maud Marquet Interprétation duo : Maud Marquet ou Lysandre Korelis, Marie Sinnaeve ou Angelique Spiliopoulos en alternance Musique en live : Maxim Boubay Scénographie, arts plastiques : Corinne Janier Céramique Accompagnement scientifique, géologique et stratigraphique : Apolline Lefort Recherche et réalisation scénographique : Étudiant·e·s MADE 1 du Lycée Pierre Vernotte de Moirans-en-Montagne Intervention pédagogique 2022 : Sarah Lorenzo et Maud Marquet Intervention pédagogique 2023 et 2024 : Maud Marquet et Corinne Janier Création lumière : Manon Meyer Régie générale : Jean David Regard Extérieur : Nathalie Pernette Graphisme et communication : Alexis Klein Recherche de partenariats : Lou Paquet Administration : Lucas Surrel
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saga: Soumission & Domination 337
Enguerrand et Max-2
Le vendredi, j'ai pris mon après-midi, un peu nerveux quand même. Ok c'est un homo mais c'est aussi un policier. PH rit que ça ne m'inquiète que maintenant.
Max et Enguerrand sont venus directement de leurs lycées. Enguerrand me dit que son histoire s'est rependue dans son lycée. L'état des mecs qui les avaient agressés aussi ce qui fait que son coming-out involontaire a moins été pris en compte que le fait qu'il ait cassé la gueule à 4 cons.
Je les envois se laver avant l'arrivée de notre invité. Ils ont beau être arrivés une bonne heure avant lui, ce n'est que quand il sonne au porche que nous voyons réapparaitre leurs deux têtes !!
Je descends le chercher. Il est surpris de l'aménagement de l'entrepôt. Je le vois mater les voitures et motos qui encombrent le garage alors que je le pousse vers le monte-charge. Il trouve intéressant que nous ayons gardé ce moyen d'élévation. Il mate au travers de la porte moitié bois moitié verre chaque étage. Quand nous arrivons au 4ème, il me dit que j'avais réussi à utiliser tous les niveaux. Je cite : bureau de ma société, salle de sport, espace nuit et espace de vie plus au-dessus la terrasse. Je le débarrasse de son blouson et Enguerrand s'avance pour le saluer. Il salut Ludovic et Max avant que je lui présente PH. Je remarque que là aussi, il note tout d'un seul regard. Sa tête a fait un 360° et s'est figée quelques dixièmes de seconde sur la cuisine. Je suis sûr que c'est plus sur les deux torses nus qui dépassent du plan de travail que pour la piscine qui la surplombe.
Il nous donne des infos sur l'avancée de notre dossier. Puis on passe aux conseils pour lesquels nous l'avons fait venir (entre autre...). Je lui propose de mettre en pratique et nous descendons tous au second.
Il est impressionné par l'installation de muscu qui entoure le tatami central. Les deux petits se mettent en tenue c'est-à-dire avec seulement leurs petits shorts moulants sur les fesses. Notre invité est surpris et son paquet enfle nettement. Les deux trublions se positionnent l'un en face de l'autre et lui font une petite démonstration de leurs connaissances dans l'art de mettre à bas un agresseur. Dans un premier temps c'est Max qui fait le méchant puis c'est le tour d'Enguerrand. Max a plus de mal à se débarrasser d'Enguerrand que l'inverse. Flic s'en rend bien compte et me demande si Enguerrand ne ferait pas de la boxe française. Je confirme son intuition. Il se rapproche des deux protagonistes et leur explique comment dévier les chocs à la tête.
Malins, ils l'obligent à leur démontrer les gestes. Il est vite engoncé par ses jeans et son polo. Je lui propose un short. Il veut bien s'il lui colle moins qu'à ces deux " petites frappes ". C'est dit avec un ton affectueux qui enlève le côté insultant.
Je lui sors ceux que mes deux gamins avaient refusés et les lui tends. Il regarde à droite et à gauche pour se trouver un coin pour se changer mais ne voit que les bancs avec patères qui sont dans l'entrée. Il retire ses vêtements et en slip (Dim sport bien rempli) enfile le premier short. C'était un de ceux que j'avais voulu imposer aux deux gamins et à lui, ça moule bien. Comme il va pour essayer l'autre je lui dis que ce n'est pas la peine, il est de la même taille. Je le sens un peu gêné mais il s'avance pour lutter avec eux. Je profite qu'il commence à se frotter aux petits jeunes pour dire à Ludovic et PH que ce serait dommage de ne pas profiter nous aussi de ses conseils. Il ne nous remarque que quand nous les rejoignons en jocks.
Ça l'arrête et il me demande si c'est un piège. Je fais l'innocent (et ça je le fais très bien) et l'assure que non, c'est juste notre tenue pour faire du sport. Il essaye de me croire et nous passons une bonne heure à intégrer les évitements qui nous laisseront le minimum de marque nécessaire à justifier le cassage de gueule de l'adversaire.
Sa gêne réapparait quand je pousse tout le monde sous les douches. Mais le peu de cas (forcé) que nous faisons de sa mise à poil le rassure et nous nous douchons dans une bonne ambiance. Je note quand même en passant qu'il dispose d'un bel outillage. Il ne semble pas très poilu à moins qu'il ne s'épile le torse lui aussi. Ses couilles sont rasées mais la touffe est broussailleuse. Séchages individuels sauf pour nos deux belligérants qui se sèchent mutuellement.
Sans faire de cas, je lui tends un trunk ADDICTED pour remplacer son slip DIM trempé de sueur. Il accepte tout en me disant qu'il me le rendrait propre. La poche met en avant son paquet d'un plus bel effet. On se rhabille, ses jeans font plus " remplis ". On monte diner.
Il est maintenant complètement détendu avec nous. Il commence, je pense, à bien cerner les liens affectifs qui nous unissent tous. Nous faisons avec lui comme avec un ami homo déclaré. C'est-à-dire que nous n'en parlons pas mais que nous n'écartons aucuns sujets ou gestes qui nous sont propres. L'apéritif le surprend non par les alcools proposés mais par mes hommes de service.
Il prend le parti d'en rire et nous dit que c'est vraiment une drôle de maison que nous formons.
Nous passons une bonne soirée. Nous apprenons qu'il n'a que 28ans. Le vin aidant, sans que nous soyons souls pour autant, il se détend vraiment jusqu'à nous avouer au détour d'une conversation que ce n'est pas toujours évident de rencontrer des mecs vu sa situation. Si ce n'est pas interdit dans la maison poulagas, ça reste encore difficile à dire sans que cela n'amène quand même des réflexions et de la gêne.
Max saute alors sur ses genoux, lui roule un patin qu'il n'a pas le temps d'esquiver et lui dit qu'avec Enguerrand et lui-même, il dispose de deux petits copains discrets, mais très très chauds. Il enfonce le coin en ajoutant qu'il va leur falloir encore quelques cours d'évitements afin de bien les intégrer à leurs techniques de combat.
Il est scié et ne se dégage même pas de Max. Il arrive juste à dire que ce n'est pas possible tout en posant ses mains sur la taille de Max. Enguerrand en rajoute en avançant que même s'ils lui sont redevables de bien plus, il est sûr qu'ils prendront tous du plaisir.
Flic me regarde, cherchant de l'aide de mon côté. Je hausse les épaules dans un geste d'impuissance et appuis en ajoutant que ce n'est plus des enfants que l'on peut dresser mais des jeunes adultes qui maîtrisent leurs vies. Ludovic qui est pris à parti en tant que frère d'un des deux petits tentateurs lui dit la même chose.
Il est évident que la situation le fait bander à mort ! Je le sens prêt à nous quitter de peur de céder à la tentation. Mon petit " beau-frère " me fait signe qu'il veut que nous gardions Flic pour la nuit au moins. Je lui fais comprendre de se débrouiller par eux même. J'aide juste en offrant un Jet 27 sur glaçon après le café.
Il finit par nous dire au revoir et je laisse ses deux " élèves " le reconduire à la porte.
Nous allons nous coucher sans attendre leur retour.
C'est donc très surpris qu'au petit déjeuner, nous voyons apparaitre Flic avec nos deux impertinents pour prendre un café. Il est gêné mais, poussé par Enguerrand et Max, il nous rejoint dans la cuisine.
Je lui souhaite la bienvenue et lui dit que s'il porte plainte pour viol, il aura du mal à convaincre un juge vu ses capacités à maitriser les contrevenants. Ludovic qui voit plutôt l'autre facette, lui garanti que ce n'est pas par nous qu'il sera embêté.
Il arrive quand même à avaler un café. Les deux gamins sont eux tout contents du coup qu'ils lui ont fait. Max ne peut s'empêcher de nous dire que la nuit avait été grandiose.
Comme je sens Flic gêné, je l'affranchis que nous somme rarement pudiques entre nous et qu'un mec arrive à satisfaire ces deux petites " salopes " ne peux être qu'élogieux pour le mec en question. Nous sommes passés avant lui et connaissons l'exigence de ces corps en fin de croissance !
C'est à ce moment-là, je crois, qu'il a décidé de laisser vivre. PH l'a encore une fois assuré que tout ce qui se passait ici n'était jamais arrivé dès qu'on passait la porte sur la rue.
Du coup il accepte des oeufs brouillés, du bacon et des pommes de terre sautées, base de nos petits déjeuners de fin de semaine. Nous échangeons nos cartes de visites avant qu'il ne parte avec la promesse de nous revoir.
Je conduis Max et Enguerrand à la propriété.
Quand je rentre je m'arrête à mon bureau. A cet étage, dès qu'une porte de chambre s'ouvre, les caméras enregistrent tant qu'il y a du mouvement. Le fichier est lourd, signe qu'ils ne se sont pas endormis tôt ou plutôt si mais très tôt ce matin.
Je passe en vitesse rapide et ralenti de temps à autre. Il assure notre Flic. Sans débander il a réussi à mettre sur les genoux mes deux protégés. Max a eu un peu de mal avec son ecchymose sur les côtes. Plusieurs fois je l'ai vu grimacer. Par contre ils sont très complices tous les deux. Je crois bien que Max a appris d'Enguerrand si je comprends bien ce que la vidéo me montre. Ils se complètent et en duo ils ont l'air bougrement efficace. Si après un tel traitement, flic n'est pas accros à nos deux trublions alors je ne comprends pas. Même un hétéro se serait fait plaisir avec eux.
Je crois bien que c'est la première fois que deux mecs arrivaient à l'avaler entier au cours de la même baise. Il a adoré enculer en alternance les deux culs. Je le vois tester plusieurs positions : Enguerrand dans les bras de Max, Max sur le dos d'Enguerrand ou les deux culs positionnés côte à côte les deux petits mecs en levrette collés de l'épaule au bassin. A chaque fois, Flic plongeait dans un cul puis dans l'autre. Pour finalement retirer sa kpote et arroser de jus les deux dos accolés. Puis je vois les regarder se finir en 69. On voit nettement quand ils se " nourrissent " respectivement. D'après le temps qu'ils mettent à se téter, la production est bonne. Si Enguerrand est comme ses deux frères, il " donne " au-dessus de la moyenne.
Flic nous recontacte le soir même. Je l'invite à passer. Ça sonne aussitôt. Il avait appelé de sa voiture devant notre porte.
Il monte nous rejoindre. Il semble embêté par son aventure de la veille. Il me demande où sont les jeunes et si ils vont bien.
J'éclate de rire. Il s'en fait pour ces deux petites salopes qui ont pris un pied d'enfer à se faire défoncer à tour de rôle. Je le rassure, ils ne sont en aucun cas traumatisés par leur nuit passée avec lui. Ça l'inquiétait car pendant un moment ils avaient réussi à lui faire oublier que ce n'était pas des mecs de son âge comme à son habitude. Du coup il avait été fort dans la baise.
Je fais attention à ne pas me couper avec ce que j'ai vu sur l'enregistrement. Ludovic lui dit que c'était leurs désirs à eux aussi. Vu comme ils étaient content ce matin même et d'après ce qu'ils nous avaient confié, lui (Flic) avait assuré et qu'ils avaient trop aimé cela. Ils espéraient même pouvoir recommencer.
Flic nous dit que c'était une première pour lui. En général il trouvait des partenaires dans ses âges et plutôt sur internet pour ne pas tomber sur des mecs du coin. Cette contrainte plus celles dues à son travail, faisait qu'il ne baisait pas tous les jours. Ça, plus leurs corps très excitants, il n'avait pu se retenir avec eux.
Je lui prends l'épaule et je lui dis que s'il le veut, il dispose maintenant de deux petits mecs affamés de sa bite. J'ajoute que s'il a peur de les ramener chez lui, il y a toujours une chambre de libre au premier pour abriter leurs ébats.
PH lui dit qu'il faudra quand même leur laisser le temps de travailler leurs cours !
Flic s'offusque qu'il n'était pas question qu'ils loupent leur année à cause de lui. On est sur la même longueur d'onde.
Ludovic le sent quand même encore en retenue. Il appelle son frère et lui dit que Flic est avec nous. La réaction est directe " il est à nous celui-là ". Max ponctue d'un " pas touche les obsédés " quand Enguerrand lui dit avec qui nous sommes.
Comme il a mis le haut-parleur, Adam, notre " Flic " entend tout comme nous les réactions de ses deux compagnons de jeux.
Il est d'accord avec eux mais les met dans le même sac que nous. Surtout quand je lui dis que le jour où la viande fraîche le sature, on est prêt à prendre la relève.
J'ajoute : t'en a pas déjà assez par hasard ?
Il rit et nous dit qu'il peut attendre quelques jours de les revoir. Le téléphone de Ludovic est encore en ligne avec celui de son frère. Nous entendons en sortir un " vous pouvez venir nous chercher demain soir pas trop tard qu'on passe au blockhaus avant de rentrer chez Max ? " suivit de " au fait t'es libre demain soir Adam ? ".
Je gueule que j'espère qu'ils ont fait leur devoir sinon ça va chauffer pour leurs fesses. Réponse impertinente de Max, " on préfère se les faire chauffer par la police". Je capitule et, d'un coup de menton, signifie à Flic de nous donner sa réponse.
Il se tortille un peu sur le canapé mais se laisse tenter. Max nous supplie alors de venir les chercher vers 16h qu'ils aient quand même un peu de temps avant de regagner leur chez lui.
Samir arrive avec l'apéritif. C'est vrai que c'est l'heure. Nous causons un peu. Nous apprenons qu'il vient du 93. Muté il y a presque un an, il avait passé plus de temps à accumuler les permanences que de WE de liberté. Mais ça le changeait agréablement des racailles du 9.3. Par contre ça ne facilitait pas les rencontres.
On parle études supérieures et sport. Il nous demande qui nous a formés en self-défense. PH lui dit qu'il a été le premier à enseigner le karaté puis que nous avions rencontré un pratiquant de Krav Maga. Depuis nous avions mâtiné nos pratiques de techniques militaires US, de boxe Française avec Ludovic et dernièrement nous avions intégré à notre petit club un pro de Capoeira.
Il comprend mieux notre niveau. Ce qui le surprend c'est ma référence aux techniques américaines. Sans dévoiler comment je lui explique que nous avons deux amis qui ont eu l'honneur de faire un stage auprès d'eux l'été dernier. Ils nous avaient enseigné un peu de ce qu'ils avaient appris.
Il me demande si ce serait trop demander que de les rencontrer. J'hésite. C'est quand même un flic et s'il vient à nos séances d'entrainement, il ne mettra pas longtemps à découvrir le pot au rose. Il y aura bien un de mes escorts pour manger le morceau sans le vouloir. D'un autre côté, il s'est un peu compromis avec Enguerrand et Max et s'apprête à le refaire demain soir. Ça plaide pour lui !
Après 5 minutes de réflexion, je lui dis de passer le mardi soir suivant. Mes deux mecs me regardent comme si j'étais fou.
Je préviens Flic que si tout ce qui se passait ici était top-secret à l'extérieur, ce serait pareil pour tout ce qu'il y verrait et entendrait. C'était la seule et unique condition à respecter de sa part et de notre côté nous la respecterons aussi.
A son tour de réfléchir. Il se doute bien qu'il risque de flirter avec l'illégalité mais je crois qu'il est trop intrigué pour refuser. Ça plus les deux culs de nos " petits frères ".
Il reste diner avec nous, personne ne l'attendait dans son appartement vide. Je prends quand même le temps de textoter à DGSE pour demander le dossier complet du type.
Jardinier
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3 de OCT 2024 JUEVES
Vi en la calle y ahora te lo cuento a ti.
-Señora procede a meter una bolsa de queso en su estrecho bolsillo delantero del blue Jean No quiere que nadie la vea llevando ese cúbico y blandengue paquete. Le avergüenza llevar una bolsa transparente de lonchas.
-Un joven con pañoleta envuelta 4 veces sobre si misma: de manera que el rectángulo de tela blanca bordea su cabeza engelada, camina haciendo paréntesis con las piernas y las manos en los bolsillos. A su izquierda hay un muro grafiteado, bajo sus pies cemento texturizado. Pequeñas hebritas de pasto/maleza y microparticulas de caca y esmog.
-Una pareja de ancianos entra a una panadería del norte. Ella va de primeras, él tiene un parche en el ojo como de pirata y siempre va detrás. Se ven particularmente indefensos. Compran ricos platos acompañados de café. Entran y salen en fila, haciendo preguntas al personal del lugar.
-Familia disfuncional administra y atiende extravagante tienda de sombrillas. Madre sentada en silla corporativa color negro vigila la entrada con ojos de águila. Su hija mayor de pulso tembloroso y tapabocas pospandemico, recorre nerviosamente los mismos 50 cms de suelo libre del local, bloqueando al visitante el acceso al interior de la tienda. Jovenzuelo de 46 años manipula al fondo del espacio caminable, diversos paquetillos y ejemplares como una especie de grúa humana, también repite a destiempo las comunicaciones de dicha madre y hermana haciendo la experiencia del comprador una misteriosa lista de: no se puede, no hay, si hay por 37 mil, no porque esa cuesta 400mil, etcétera.
-Viejo detective comparte local con su esposa peluquera. Academia francesa dice él, señalando un viejo diploma en la pared de la peluquera unisex. La mitad del negocio, el pedazo investigativo, exhibe diversas fotos de periódicos y revistas viejas. Escándalos de infidelidad ventilados y algunas fotos donde su mujer, mucho más joven luce bellos peinados embombados mirando hacia un lugar lejano. La pareja se apoya en sus relatos, aunque ella no dice mucho. El corte de hombre vale diezmil. Se llaman Tulio y Amparo.
-El local de magia, la vitrina más divertida de todas la del centro comercial , expone vómitos plásticos, varios afiches de shows de magia, cigarrillos de mentiras, velas de cumpleaños que suenan música y dedos plásticos para asustar a los amig@s y enemig@s. Su dueño regresa en 20 minutos, dice un cartelito. En realidad solo abre los miércoles.
-Niño de 6 años y movimientos bruscos entra al ARA en bicicleta miniatura (ojo NO triciclo) detrás de su madre . Las piernitas se agolpan al pisotear el suelo y el peinado de hongo se mueve con la velocidad de su alegre estupidez. Es una escena chistosa pero él niño sigue muy serio con sus ojos sobre la carretera.
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Mercredi 18 septembre 2024
Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
Jean 3. 16
L’ami aime en tout temps.
Proverbes 17. 17
Faire avant de dire
Tim vient d’arriver dans une autre région du globe avec ses parents qui sont chrétiens, et il est un peu perdu. Mais il sympathise avec Muhammad, un des enfants de l’immeuble. Un jour, Tim enveloppe plusieurs de ses jouets dans des feuilles arrachées à ses cahiers. Il s’apprête à sortir, les paquets un peu cachés sous le bras. À sa maman qui s’étonne :
– Je veux en faire cadeau à Muhammad. Tu sais, chez lui, ils ont seulement un cheval en plastique… et même cassé. Moi, j’ai des jouets, je veux en donner à Muhammad !
La maman accepte, tout en sachant qu’elle ne pourra pas les remplacer. Elle l’explique à Tim qui prend la mesure du sacrifice qu’il va faire, mais il maintient son projet et court livrer son cadeau. Un peu plus tard, Tim revient avec une fleur à la main. Il la brandit comme un trésor :
– Muhammad a vraiment aimé les jouets. Il est parti dehors chercher des buissons en fleurs. Il en a cueilli une et me l’a offerte !
C’était plus qu’une fleur aux yeux de Tim. C’était le geste sincère de l’amitié de Muhammad. Cette fleur est restée à la place d’honneur sur la table de chevet de Tim, bien après s’être fanée.
Dieu connaissait Tim, et il lui avait offert ce dont il avait le plus besoin dans son nouveau pays : un ami. Mais il avait aussi offert à Muhammad un ami prêt à un grand sacrifice pour lui, et qui pourrait lui parler du Dieu d’amour.
Exemple à suivre, à tout âge. Si nous montrons spontanément l’amour de Dieu à notre prochain, nous pourrons plus facilement lui présenter l’évangile !
la bonne semence
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Mercredi 18 septembre 2024
Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
Jean 3. 16
L’ami aime en tout temps.
Proverbes 17. 17
Faire avant de dire
Tim vient d’arriver dans une autre région du globe avec ses parents qui sont chrétiens, et il est un peu perdu. Mais il sympathise avec Muhammad, un des enfants de l’immeuble. Un jour, Tim enveloppe plusieurs de ses jouets dans des feuilles arrachées à ses cahiers. Il s’apprête à sortir, les paquets un peu cachés sous le bras. À sa maman qui s’étonne :
– Je veux en faire cadeau à Muhammad. Tu sais, chez lui, ils ont seulement un cheval en plastique… et même cassé. Moi, j’ai des jouets, je veux en donner à Muhammad !
La maman accepte, tout en sachant qu’elle ne pourra pas les remplacer. Elle l’explique à Tim qui prend la mesure du sacrifice qu’il va faire, mais il maintient son projet et court livrer son cadeau. Un peu plus tard, Tim revient avec une fleur à la main. Il la brandit comme un trésor :
– Muhammad a vraiment aimé les jouets. Il est parti dehors chercher des buissons en fleurs. Il en a cueilli une et me l’a offerte !
C’était plus qu’une fleur aux yeux de Tim. C’était le geste sincère de l’amitié de Muhammad. Cette fleur est restée à la place d’honneur sur la table de chevet de Tim, bien après s’être fanée.
Dieu connaissait Tim, et il lui avait offert ce dont il avait le plus besoin dans son nouveau pays : un ami. Mais il avait aussi offert à Muhammad un ami prêt à un grand sacrifice pour lui, et qui pourrait lui parler du Dieu d’amour.
Exemple à suivre, à tout âge. Si nous montrons spontanément l’amour de Dieu à notre prochain, nous pourrons plus facilement lui présenter l’évangile !
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J’ai appris ce matin le départ de mon voisin. En sortant de chez moi, j’ai vu la voiture de son propriétaire garée sur le parking du hameau. Et sa porte d’entrée ouverte. Où est il ? Je n’ai pas vu Jean-Paul depuis des semaines… A plusieurs reprises, j’ai voulu aller frapper à sa porte pour savoir si tout allait bien. Je me rassurais finalement en réalisant que je me levais trop tard ces derniers temps pour croiser le retraité. Probablement que nous vivions décalés, à nos âges si éloignés. La dernière fois que j’ai parlé à Jean Paul, c’était une discussion rembobinnée : je sortais de chez moi, j’ouvrais la portière de ma voiture prête à partir au boulot. Il passait devant, s’arrêtait pour fixer la plaque d’immatriculation et disait : “67 ! Oh mais c’est l’Alsace, ça ! Vous êtes alsacienne?” Déboussolée, je me contentais d’affirmer d’une voie enraillée. “Ah ! Moi je viens de Moselle ! Mais ça fait très longtemps que je suis partie. On est bien mieux ici, au soleil.” Et là, mon coeur se serrait. Cette scène s’est produite 2 jours plus tôt, dans le même ordre, au même moment de la journée. C’était un mois après ce soir de Noël où je frappais à sa porte pour lui offrir un verre de Schnaps alsacien et un paquet de chocolats. Un curieux Noël. Les catalans avaient désertés le hameau. Nous étions deux réfugiés de l’Est, auto-suffisants, chacun dans sa maison, à fêter Noël au soleil, l’oeil rivé sur le Canigou. Je m’étais baignée dans la mer, la veille au soir. On ne fait pas ça, là d’où je viens. J’écoutais les souvenirs que me contait Jean-Paul pendant que nous trinquions. Mon voisin me semblait encore très lucide, à cet instant. Mais une chute, puis une autre qui lui valu une épaule cassée, puis la sédentarité qui découlait son poison dans les jambes du vieux loup indépendant, ont fait que tout s’est accéléré. Début des premiers jours de printemps, Jean-Paul traversait le hameau en short, affichant des jambes enflées, striées de varices, et l’épaule en écharpe. Une aide à domicile passait tous les jours. “Eh oui, le corps se détracte.” disait il. A cet instant, je me rassurais de savoir que la tête tenait encore fermement le gouvernail. Et voilà le moment que je ne voulais pas voir venir. En rentrant de ma balade matinale avec ma chienne, je tombe sur François, mon voisin catalan et le propriétaire de la maison de Jean Paul. François voit mon regard inquiet. “Jean Paul déménage, m’explique-t-il. – Déménage? Il va en maison de retraité? – Oui, enfin il rentre chez lui. Sa famille le remonte en Moselle. – Ah. Tant mieux, non? – Ohhh… Ce n’est pas ce qu’il voulait. Mais comme il n’a plus toute sa tête, ce n’est plus lui qui décide. Jean Paul voulait rester en Vallespir. Il aimait se promener au soleil et regarder le Canigou par la fenêtre. C’est tout ce qu’il lui fallait. Mais c’est comme ça. La famille a choisi.” Et nous, voisins, famille du quotidien, nous regardons ça avec tristesse, impuissants. Je réalise à quel point personne n’est libre, tant qu’il est lié sur le papier à d’autres êtres humains. Tout en rédigeant cette dernière phrase, je me rappelle avoir dit à une amie : “Si je ne suis pas encore partie vivre en haut d’une montagne, c’est parce que j’ai une famille et que je ne veux pas m’éloigner encore davantage.” Quelques jours après, je culpabilisais de cette affirmation. N’est-ce pas un peu facile de mettre la faute sur les autres ? D’autres raisons me font rester dans la plaine, comme la flemme ou encore la peur. Mais aussi la famille que j’ai construite ici, faite de toutes les rencontres et amitiés que j’ai tissé depuis mon arrivée dans ce coin du Sud de la France. Et moi ? Est-ce que si je perds la boule, j’aurai envie de rentrer chez moi? Mon ventre se serre à la simple idée de finir ma vie loin des montagnes rocheuses et du bruit des vagues. Ce soir, j’appellerai maman pour lui ...
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12 JUIN 2024
Programme de brèves et de longues.
Échauffement libre en 5 minutes : La visiteuse inattendue.
Le dimanche était lumineux, on se sentait bien. Les urnes se remplissaient, un peu, beaucoup, très beaucoup. Et il a bien fallu les vider, faire de petits paquets, des moyens, des gros. Et du plus gros tas a émergé la tête hideuse, pleine de bave et de dents pointues, d’une visiteuse inattendue, qui s’est mise à hurler : « Je vais dominer le monde ! » Le dimanche s’est terminé dans la sinistrose, la gueule de bois, et un sentiment de gâchis. Il faudra la renvoyer au trou d’où elle est sortie…
1°) Gonflette (5 minutes maximum) : Une phrase de roman. On gonflera de l’intérieur, autant qu’on voudra, cette phrase tirée du roman L’assassin à la pomme verte, de Christophe Carlier, « Peu de gens sont aussi observateurs que les misanthropes.��» On pourra en faire plusieurs phrases, si l’on veut, avec des points ou des points-virgules.
Peu à peu, le temps passait ; de minute en minute, les gens arrivaient à la cérémonie. Dans ces circonstances, il y en a toujours qui sont aussi pressés de déguster les canapés, les petits fours, le crémant. Ceux-là sont les plus observateurs : ils repèrent une place libre que quelqu’un vient de quitter, s’incrustent entre les serveurs en tendant la main pour saisir un nouveau verre de pétillant. Il devrait exister une loi contre ces abus : on n’inviterait aux mariages, aux remises de médailles, que ceux qui détestent tellement leurs semblables qu’ils ne viendraient pas : les misanthropes.
2°) Contrainte collective (10-15 minutes) : un récit à clefs. Un premier participant propose un thème, un second propose une sorte d’action obligatoire, un troisième propose un prénom, un quatrième impose une couleur, un cinquième impose une saison, un sixième impose un moment de la journée. On aura ensuite, éventuellement, un animal, un véhicule. Et chacun devra écrire un texte narratif vaguement mystérieux, qui prendra en compte toutes ces obligations.
Thème proposé : l’été. Action : une promenade. Prénom : Bernard. Couleur : rouge. Moment : l’apéritif du soir. Animal : chat. Véhicule : vélo.
Les vélos, sur la voie verte, se suivaient, dans un bruit de roulement amplifié quand ils passaient dans un des tunnels. Bernard les entendait arriver d’assez loin, s’écartait pour leur laisser le passage. Sa parka rouge, espérait-il, se voyait bien et il comptait sur la prudence des cyclistes. À la sortie du dernier tunnel, le soleil l’éblouit. Bientôt le solstice, pensa-t-il, les feux de la Saint-Jean, et la variante spéciale qui se préparait. Arriverait-il à temps pour embraser le bûcher qu’on avait dressé ? C’était lui le responsable, c’est sur lui que reposait l’effet de surprise. Le mannequin représentant Éric Ciotti avait été soigneusement rempli de paille, cousu, imbibé de white spirit. Il fallait que son embrasement provoque le cri ultime, le cri primal, afin que fonctionne le sortilège d’envoûtement : le cri du chat noir, le cri porte-malheur, le cri de l’animal démoniaque. Finalement, il avait réussi : le panier que lui avait confié la fourrière pesait à son bras, et les miaulements d’une demi-douzaine de chats s’en échappaient. À l’heure de l’apéritif, on verserait le crémant dans de grandes coupes, on lâcherait les chats et il réciterait l’incantation magique « Dissolution ! Combustion ! » en allumant la flamme au pied du mannequin. Si tout se passait bien, du tas de charbon qui en résulterait se dresserait un nouveau dirigeant, en chair et en os, régénéré, chevelu, l’esprit pur. Cet envoûtement réussirait-il comme les précédents ? En tout cas, c’est sûr qu’il allait profiter des petits fours et de rondelles de saucisson.
3°) Haïku sur thème imposé (5 minutes) : Les cheveux fous.
Au sortir du bain, Mèches mouillées, frisottées, Le soleil te sèche. Au soleil couchant Tes mèches à contrejour Font une couronne. Frisés sur la nuque, Tes petits cheveux m’affolent. Je voudrais te mordre.
4°) Exercice double (10-15 minutes) :Réduction en 10-20 mots, puis développement élégant ? On reprendra le contenu d’un court texte narratif, et on le transformera d’abord en le résumant en une phrase entre 10 et 20 mots au maximum, et ensuite en le racontant avec une expression très soignée, en y ajoutant des images qui enjoliveront le récit, un style plutôt soutenu, ce qui allongera beaucoup les trois phrases originales, que voici : « En quittant la mairie, le père de Candide jugea qu’il était grand temps d’arroser l’événement au Bouquet de Voltaire. Il l’arrosa si bien que, à la sortie du bistrot, il ne fit pas attention à la couleur des feux. Un car de touristes s’engageait dans la rue de la Roquette et l’entraîna avec lui jusqu’au cimetière du Père-Lachaise, où l’on décida de le garder pour l’éternité, au grand soulagement de sa jeune veuve qui économisa ainsi les frais de transport. » (Extrait du chapitre I de Candide 2, le retour, de Guy Konopnicki, 1999)
Corbillard gratuit, un car allant vers le cimetière renversa et emmena le jeune papa alcoolisé.
Dans l’émotion indicible de sa nouvelle paternité, le jeune homme, dans l’étourdissement de cette joie, enthousiasmé par le parfum de la liqueur anisée que lui versait d’abondance une accorte serveuse, sortit du bar dans un état second, l’âme pleine de pensées d’avenir. Son destin croisa celui d’un autocar Pullman qui transportait des touristes du Vatican avide de s’agenouiller sur la tombe de Jim Morrison, après la colonne de la Bastille. Dans l’emportement sauvage des trois cents chevaux-vapeur, le père de Candide fit un parcours chaotique, de pavé en pavé, jusqu’à l’entrée du plus célèbre lieu de repos éternel de l’est parisien. Son état final permit une inhumation aisée, réduit qu’il était à de petits morceaux collés sur le pare-chocs chromé. Les cimetières parisiens sont accueillants, et spacieux : on le secoua donc au-dessous d’une fosse récemment creusée, on le recouvrit sans lui compter les frais de déplacement, et l’évêque qui conduisait le groupe de pèlerins italiens prononça une brève oraison. Ce fut tout.
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Conseil des Ministres - Dernier compte-rendu du Communiqué Du Conseil Des Ministres Du Mercredi 05 Juin 2024. Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 05 juin 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, au Palais de la République. Conseil Des Ministres Du Mercredi 05 Juin 2024 Communique Du Conseil Des Ministres Du 05 Juin 2024 A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat est revenu sur la journée nationale d’investissement humain sur toute l’étendue du territoire national autour du nouveau concept inclusif « Setal Sunu Réew ». Le Président de la République a félicité le Gouvernement, le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, les populations, les élèves, les jeunes, les femmes, les autorités administratives, les élus et la communauté des acteurs du cadre de vie pour la mobilisation exceptionnelle et l’engagement remarquable notés partout lors de cette journée. Il a demandé au Gouvernement et aux différentes parties prenantes de veiller à relever le défi de la pérennisation de la journée nationale de mobilisation citoyenne mensuelle qui doit occuper une place primordiale dans l’agenda institutionnel et social du Sénégal. Le Chef de l’Etat a également saisi l’occasion pour magnifier la contribution des Sénégalaises et des Sénégalais, l’esprit de solidarité et l’engagement citoyen qui se sont manifestés lors de la journée nationale de lancement de « Setal Sunu Réew ». Il a insisté sur la nécessité de vivifier cet esprit de communion qui participe à la consolidation de la Nation. Abordant la question de l’éducation nationale, le Président de la République a relevé que le PROJET de transformation systémique du Sénégal passe par le renouveau et le repositionnement stratégique de l’Ecole dans les valeurs et ambitions de notre société. Le Chef de l’Etat a demandé l’évaluation du système éducatif dont les programmes sont en inadéquation avec les réalités nationales, les enjeux du numérique et les besoins de l’économie nationale. A cela s’ajoutent le phénomène de la déperdition scolaire, le manque d’infrastructures et le déficit d’enseignants face à des effectifs d’élèves sans cesse croissants. →A lire aussi JANGÀT avec Jean BANDIAKY , spécialiste en communication | Com’ une impréparation - 29 Mai 2024 Le Président de la République a appelé au renforcement du rôle et de la place de la Faculté des Sciences et Techniques de l’Education et de la Formation (FASTEF), de l’UFR des Sciences de l’Education, de la Formation et du Sport (UFR SEFS) ainsi que des écoles nationales de formation d’instituteurs, en vue de l’amélioration continue de la qualité des enseignements. Le Chef de l’Etat a aussi souligné l’urgence d’évaluer et de restructurer selon les orientations du PROJET, le Programme d’Amélioration de la Qualité, de l’Equité et de la Transparence dans le secteur de l’Education et de la Formation (PAQUET), au regard de la nécessaire prise en compte des langues nationales, de la généralisation de l’enseignement de l’anglais dès l’élémentaire et de l’intégration continue et pragmatique des «Daaras» dans le système éducatif. Dans la même lancée, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre d’accorder une attention particulière: moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 5 au développement systémique du Numérique à l’école avec l’impératif d’accentuer la digitalisation intégrale du système éducatif; à la planification, sur les cinq (5) prochaines années, des recrutements d’enseignants dans toutes les matières face aux besoins exprimés et aux postes budgétaires arbitrés; à l’éradication des « abris provisoires » et à la mise en œuvre avec les Ministres concernés (Education nationale, Formation professionnelle, Urbanisme et Collectivités territoriales, Finances et Budget) d’un programme concerté de réalisation d’infrastructures
scolaires adaptées et d’amélioration de l’environnement pédagogique dans toutes les Académies du pays. Le Président de la République a également demandé au Premier Ministre d’engager une réflexion sur le financement durable et soutenable du système éducatif avec l’implication des Ministres concernés et de toute la communauté éducative. Le Chef de l’Etat a aussi insisté sur l’urgence de réguler l’implantation, l’ouverture et le contrôle du fonctionnement des établissements scolaires privés qui exercent, sur autorisation de l’Etat, une mission de service public. Il a indiqué dans le même sens que les tarifications de la scolarité dans les établissements scolaires privés méritent une réglementation rigoureuse. Par ailleurs, le Président de la République a invité le Ministre de l’Education nationale à veiller à la bonne organisation du Concours général. moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 6 Evoquant la mise en œuvre de la nouvelle politique sportive du Sénégal, le Chef de l’Etat a rappelé le rôle central que la jeunesse, frange importante de la population, doit jouer pour asseoir le développement du sport au Sénégal dans l’esprit d’une citoyenneté assumée. Il a, dès lors, demandé au Gouvernement de prendre les mesures visant à renforcer la pratique du sport dans toutes les écoles et universités du Sénégal et à relancer les compétitions sportives scolaires et universitaires sur l’ensemble du territoire national. Dans la même foulée, le Président de la République a indiqué la nécessité de redéfinir le cadre juridique global du Sport au Sénégal. A ce titre, il a invité le Ministre en charge des Sports à évaluer, quarante ans après son entrée en vigueur, la loi n° 84-59 du 23 mars 1984 portant Charte du Sport et à préparer un projet de loi consensuel codifiant le Sport national dans toutes ses dimensions : scolaire, universitaire, haute compétition, amateur, formation, encadrement et financement. Le Président de la République a demandé au Premier Ministre de mettre en œuvre un cadre innovant et maitrisé de financement des disciplines sportives et des hautes compétitions nationales et internationales. Par ailleurs, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre en charge des Sports de proposer, avant fin juillet 2024, sous la supervision du Premier Ministre, une nouvelle politique efficace et efficiente de construction, de réhabilitation, d’entretien et de gestion de toutes les infrastructures sportives du Sénégal. Le Président de la République a, en outre, invité le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, à rénover le système de fonctionnement et de coordination des activités de Vacances (les « NAVETANES »), en cohérence avec la politique de promotion d’une citoyenneté active et constructive. Il a aussi demandé au Ministre en charge des Sports de prendre les dispositions appropriées en rapport avec le Comité national Olympique et Sportif sénégalais (CNOSS), pour la bonne préparation de la participation du Sénégal aux Jeux Olympiques « Paris 2024 ». Enfin, le Président de la République a demandé au Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture de rendre compte régulièrement du suivi de l’organisation au Sénégal, des Jeux Olympiques de la Jeunesse « Dakar 2026 ». Mobilisation de volontaires dans la réhabilitation des écoles publiques moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais ok Dans sa communication au Conseil, le Premier Ministre a relevé la bonne dynamique impulsée par la journée nationale du « Setal Sunu Réew » en termes de mobilisation citoyenne, en rappelant la priorité à accorder au renouveau du service civique. À cet égard, il compte, en relation avec le Gouvernement, mettre à profit les prochaines vacances scolaires pour ancrer cette dynamique, par la
mobilisation de volontaires notamment dans la réhabilitation des écoles publiques, le reboisement et l’assainissement. Le Premier Ministre a, ensuite, mis l’accent sur un ensemble d’initiatives à mettre en œuvre pour intégrer les bonnes pratiques en matière d’hygiène et de propreté dans les politiques des départements ministériels, afin de conférer au Sénégal le label d’un pays propre. Dans ce cadre, il a souligné la nécessité d’ancrer cette exigence notamment dans les hôpitaux, centres et postes de santé ainsi que dans les secteurs de l’éducation, du tourisme, de l’industrie, du commerce, de la restauration, du transport public et du secteur aéroportuaire. Le Premier Ministre a, par ailleurs, attiré l’attention des ministres concernés sur la vigilance à observer pour éviter toute rupture d’approvisionnement en médicaments essentiels. →A lire aussi Communique Du Conseil Des Ministres Du Mercredi 05 Juin 2024 Il a aussi appelé à prendre toutes les dispositions nécessaires pour régulariser la situation des élèves en classe d’examens ne disposant pas de papiers d’état civil. Le Premier Ministre a également évoqué la nécessité de résoudre la problématique de l’accès au logement dans les campus universitaires, au regard du nombre important d’étudiants recourant à la location auprès de privés. Il a aussi relevé la priorité à accorder aux actions de réduction de la facture d’électricité des administrations publiques. Le Premier Ministre a ensuite fait part des préparatifs de sa Déclaration de Politiquegénérale devant l’Assemblée nationale prévue au cours des prochaines semaines. Il a, enfin, rendu compte de l’état d’avancement des travaux de la Commission ad hoc chargée du Contrôle et de la vérification des titres et occupations sur les anciennes et nouvelles dépendances du Domaine public maritime (DPM) dans la région de Dakar, dont le rapport sera remis au Président de la République dans les délais impartis. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : Conseil Des Ministres Du Mercredi 05 Juin 2024 • Le Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens a fait une communication sur les perturbations notées dans le convoyage, par la compagnie nationale, des pèlerins aux Lieux saints de l’Islam; Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement a fait une communication sur la journée nationale « Setal Sunu Réew » tenue le 1er juin 2024 ; Le Ministre du Tourisme et de l’Artisanat a fait le bilan de la saison touristique 2023-2024 et des perspectives de relance du secteur du tourisme. AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES Journée Mondiale Environnement 2024, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye a planté un arbre 1 Le Président de la République a pris les décisions suivantes : Communiqué du Conseil des ministres du mercredi 5 Juin 2024 Monsieur Matar SENE, titulaire d’un Master 2 en Gestion des Ressources humaines, est nommé Délégué général à la Protection sociale et à la Solidarité nationale en remplacement de Madame Aminata SOW ; ��� Madame Amsatou Sow SIDIBE, professeure agrégée des Facultés de droit de classe exceptionnelle, est nommée Président du Comité sénégalais des Droits de l’homme, en remplacement de Maître Papa SENE ; Monsieur Papa Toby GAYE, ingénieur électronicien, précédemment Secrétaire général de la Société nationale d’électricité (SENELEC SA), est nommé Directeur général de la Société nationale d’électricité (SENELEC SA), en remplacement de Monsieur Papa Mademba BITEYE ; Monsieur Alioune GUEYE, expert-comptable, est nommé Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN Holding SA), en remplacement de Monsieur Adama DIALLO ; Monsieur Mouhamadou DIOP, ingénieur polytechnicien des ponts et chaussées, est nommé Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN Trading and Services SA), en remplacement de Monsieur El hadj Manar SALL ; Monsieur Jean Michel SENE, ingénieur électronicien et énergéticien spécialisé en instrumentation
nucléaire est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise d’Electrification rurale (ASER), en remplacement de Monsieur Baba DIALLO ; Madame Mame Coumba NDIAYE, ingénieur statisticienne et économiste de l’énergie, est nommée Directeur général de l’Agence pour l’Economie et la Maitrise d’Energie (AEME), en remplacement de Monsieur Saër DIOP ; Monsieur Mor BAKHOUM, maître de conférence assimilé en droit de la concurrence, est nommé Secrétaire technique du Conseil national de Suivi du Contenu Local au Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines ; Monsieur Amadou GUEYE, ingénieur automobile, est nommé Directeur général de l’Agence de Promotion des sites industriels (APROSI), en remplacement de Monsieur Momath BA ; Madame Aïssatou DIALLO, ingénieur agro-industrielle, est nommée Coordonnateur du Programme national de Développement des Agropoles du Sénégal, en remplacement de Monsieur Djily LO ; Monsieur Justin CORREA, titulaire d’un Master 2 en Comptabilité et Finances, est nommé Directeur du Centre international du Commerce extérieur du Sénégal (CICES), en remplacement de Monsieur Salihou KEITA ; Madame Rougui Aladji SOW, titulaire d’un Master en Audit et Contrôle de gestion, est nommé Coordonnateur national du Programme de Modernisation et de Gestion des Marchés (PROMOGEM), en remplacement de Madame Yaye Fatou DIAGNE ; Monsieur Sambou BIAGUI, titulaire d’un Diplôme d’Etudes supérieures spécialisées en Communication évènementielle et Planification stratégique, est nommé Directeur général de la Maison de la presse « Babacar TOURE », en remplacement de Monsieur Bara NDIAYE ; Madame Ndeye Fatou NDIAYE, ingénieur en Electronique et en Systèmes de Communication, est nommée Coordonnateur de l’Unité de Coordination et de Gestion du Fonds de Développement du Service universel des Télécommunications (FDSUT), en remplacement de Monsieur Modou Mamoune NGOM ; Monsieur Aliou FALL, titulaire d’un Diplôme d’Etudes Approfondies en lettres modernes, est nommé Directeur de l’Alphabétisation et des Langues nationales, en remplacement de Madame Ndèye Name DIOUF ; Monsieur Abdoulaye NDIAYE, Docteur en droit, juriste-conseil, spécialisé en passation des marchés, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines ; Monsieur Aboubakry BOCOUM, Inspecteur du Trésor, est nommé Directeur de, l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ; Monsieur Al Hassane DIOP, Economiste, spécialiste en Gestion des Entreprises et de projets, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDIAYE, appelé à d’autres fonctions. Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement Amadou Moustapha Njekk SARRE
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