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Incontro centrosinistra, Pd e SBC: "Solo chiacchiere unilaterali..."
Incontro centrosinistra, Pd e SBC: “Solo chiacchiere unilaterali…”
SCICLI – “L’incontro tenutosi venerdì tra le forze del centrosinistra e il sindaco Giannone e le sigle politiche che lo sostengono non ha esplorato alcuna via per ricondurre il governo della città su binari diversi da quelli attuali e, pertanto, non ha raggiunto alcun risultato”.
Nella foto i consiglieri di Scicli Bene Comune Bruno Mirabella e Resi iurato
Partito democratico e Scicli Bene Comune
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L'on. Orazio Ragusa oggi protesta a Palermo: "La nuova programmazione della rete ospedaliera è inaccettabile"
L’on. Orazio Ragusa oggi protesta a Palermo: “La nuova programmazione della rete ospedaliera è inaccettabile” was originally published on ITALREPORT
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« Privé.e de me penser autrement, hors de la norme sociale. »
Depuis quelque temps, les gens se sont ouverts aux questions LGBTQI+, ont commencé à se poser des questions et à déconstruire leurs préjugés. Mais on donne encore trop peu la parole aux concerné.es pour parler de cela, on les laisse encore trop à l’écart dans ce débat social. C’est pourquoi, il est important aujourd’hui de leur redonner cette parole qui est leur, leur donner voix au chapitre. Oliver, étudiant.e en littérature, se considère comme queer et nous a donné son avis sur la position d’une personne queer dans la société française et à l’étranger.
❝ Lorsqu’on utilise le terme queer, c’est politique car c’est une remise en question publique des schémas hétéronormatifs. ❞
Qu’est ce qu’être une personne queer pour toi ?
Je pense que la signification du mot queer varie en fonction de la personne. Si on prenait une définition globale ça serait plutôt toute personne sortant de l’hétérosexualité et / ou de la cisnormativité de notre société.
Cisnormativité ? Tu peux m’expliquer ?
C’est partir du principe que la personne en face de toi est cisgenre. C’est à dire que le genre de la personne correspond à celui qui lui a été attribué à la naissance.
Je vois. Et sachant que toutes les personnes LGBTQI+ ne se considèrent pas comme queer. …
Et bien au début de mon propre questionnement par exemple, je me considérais comme lesbienne et je n’avais pas du tout en tête de me définir comme queer. Je pense qu’il y a vraiment une revendication politique qui est faite lorsqu’on utilise le terme queer, c’est politique car c’est une remise en question publique des schémas hétéronormatifs (ndlr : fait que l’hétérosexualité soit considéré comme la norme) qu’on te donne depuis ta naissance. Actuellement je me considère comme queer non-binaire (ndlr : dont le genre sort du schéma homme-femme), peut-être aussi comme lesbienne mais sur ce point je m’interroge encore. Parce qu’il y a toute une culture lesbienne à prendre en compte et que pour moi être lesbienne c’est aussi faire un pied-de-nez aux hétéros. Je pense que je m’identifie à la culture lesbienne sans pour autant me revendiquer lesbienne et c’est là une nuance importante.
❝ J’ai le sentiment qu’on m’a empêché d’être moi. ❞
Tu as été vivre quelques mois en Italie, comment tu as vécu le fait d’être queer là-bas ?
Je ne pourrais pas parler pour l’Italie entière, mais en tout cas dans la ville où j’étais (ndlr : Scicli au sud-est de la Sicile), c’était un peu le désert queer. J’ai eu l’impression d’être en quelque sorte la seule personne queer de la ville. Et ce qui est dérangeant parfois c’est que les gens ne partent presque jamais du principe que tu peux être queer. Je me souviens surtout d’un gars là-bas, Franso, qui travaillait avec moi au centre du service civique. Je me suis présenté.e la première fois en tant qu’Oliver et il était là pendant plusieurs minutes à me répéter « Olivia ? » et moi je disais « Non non, Oliver ». Il a eu du mal à comprendre. Mais ça ce n’est pas inhérent à l’Italie. Je le retrouve aussi en France. Souvent je donne l’exemple d’un blablacar que j’ai pris ici, où la conductrice m’a demandé si j’avais un copain alors que à ce moment j’avais une copine. Partout, que ça soit en France ou en Italie, les gens partent du principe que tu es cis et hétéro alors que pour toi c’est pas forcément le cas. Et en fonction de la perception qu’ils vont avoir de ton corps, ils vont te genrer comme tel ou tel. Après pour le cas de l’Italie, il faut noter que c’est un pays très religieux. Je pense que ça amène quelque chose de plus qu’en France où on est plus laïque. Là-bas, il y a quand même une forte pression religieuse à être hétéro et bien rester dans la norme, pression que je ne retrouve pas en France.
Tu retrouves quand même une pression en France à entrer dans la normativité ou pas ?
Si, bien sur que si il y a une pression. Moi j’ai cru jusqu’à mes 18 ans que j’étais hétéro et cisgenre. Jusqu’à mes 18 ans je n’ai pas été moi. Un jour, j’ai dit à quelqu'un que justement j’étais en colère pour ça. En colère parce que j’ai le sentiment qu’on m’a empêché d’être moi tout ce temps, que j’ai perdu 18 ans de ma vie. J’ai pas pu explorer qui j’étais. Je n’avais pas de représentations de personnes LGBTQI+ dans les médias auxquelles me raccrocher, à qui m’identifier et qui aurait pu m’aider dans mon processus de compréhension de moi. Je considère que j’ai été privé.e d’être moi. Privé.e de me penser autrement, hors de la norme sociale.
❝ On ne donne jamais la parole aux gens qui savent et qui le vivent. ❞
Tu parles des médias, pour toi la représentation des personnes queer elle est comment dedans ?
Sincèrement c’est pas super. Quand j’étais à Scicli j’ai du lire un seul article sur les personnes LGBTQI+. C’était un article dans le journal car ce jour-là c’était la journée mondiale de la lutte contre l’homophobie. Mais ce qui m’a choqué c’est qu’ils n’avaient interrogés que des parents. La majorité du papier disait que pour les parents c’étaient dur de vivre avec un enfant LGBT, qu’ils avaient du mal avec ça mais qu’ils essayaient d’accepter… Et je me suis encore une fois dit « Mais donnez aussi la parole aux concerné.es ! ». Et ça c’est hyper représentatif de nos sociétés. On ne donne jamais la parole aux gens qui savent et qui le vivent. Mais je pense qu’aucun pays ne représente bien les personnes queer. Il y a certes parfois des initiatives pour une représentation plus juste mais c’est ponctuel et trop souvent beaucoup trop encensé. Et puis, je pense qu’il y a un problème social plus large. On ne parle jamais ou peu des personnes LGBTQI+ à l’école, la représentation de ces minorités est très faible. Dans les dessins animés il n’y a quasiment jamais d’homosexualité, même quand on met en scène des animaux comme dans Madagascar il y a toujours de l’hétérosexualité. Et dans les séries récentes comme on peut voir sur Netflix, même si on tend vers l’inclusif , la représentation n’est toujours pas idéale. Mais je pense que certains font ça pour être dans la tendance du pink washing (ndlr : volonté d’une marque à être inclusif pour mieux se vendre et se donner une bonne image). Trop souvent les personnages LGBTQI+ dans ces séries, sont marginaux, secondaires, meurt, ont des troubles psychologiques … Ce n’est pas toujours une représentation positive.
❝ Je me suis rendu.e compte que j’avais des limites en tant que personne queer. Que je ne pouvais pas aller où je voulais. ❞
Malgré cette pression considères-tu que tu as de la chance d’être en France et penses-tu qu’à l’étranger ça puisse être plus compliqué ?
Lors de ma recherche de service civique j’ai postulé dans différents pays, pour différentes missions. J’avais notamment envoyé mon dossier au Cameroun, et j’étais vraiment enthousiaste parce que la mission proposée était très interessante. Mais à un moment je me suis freiné.e et je me suis dit qu’il fallait que je regarde d’abord où en était les droits LGBTQI+ là bas. Et j’ai vraiment été choqué.e. Les gays sont lynchés, tués en place publique ou peuvent finir en prison. Et je me suis dit qu’aller là-bas pour moi c’était pas safe.
Safe pour toi ça veut dire quoi ?
Quelque chose de safe, c’est une bulle où je me sens en sécurité, sans jugement de qui je suis et où mon identité et ma sexualité ne vont pas être interrogés constamment.
Et donc pour toi certains endroits ne sont pas safe ?
Oliver : Je me suis rendu.e compte que j’avais des limites en tant que personne queer. Que je ne pouvais pas aller où je voulais. Et c’est quelque chose que je n’avais jamais réalisé avant cet instant, et je dois dire que je l’ai vécu comme un choc. Me rendre compte qu’en raison de qui je suis, je ne peux pas aller faire de service civique dans de nombreux pays d’Afrique par exemple, c’était très violent à vivre. Si j’y vais, je sais que je peux potentiellement perdre la vie. C’est là aussi que j’ai réalisé à quel point j’ai de la chance d’être en France. Malgré tout, je fais parti.e des personnes queer privilégié.es dans le monde.
Paloma Cornet
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Une semaine en Sicile : les incontournables de la côte ouest
Par où commencer ? Et non, ce n’est pas une question théorique ! Par la côte ouest avec une arrivée à Palerme ou la côte est, entrée par Catane ? Peu importe le choix, vous n’êtes pas prêts d’oublier ce voyage unique qui vous fera découvrir un pays conquis tour à tour par les Espagnols, les Français, les Arabes et qui proposent des vestiges romains et grecs à couper le souffle !
La Sicile : l’Italie comme vous ne l’avez jamais connue auparavant
Vous aimez l’Italie et vous vous dites, pourquoi ne pas visiter la Sicile ? Soyez prêts à découvrir une région unique qui vous rappellera parfois les charmes de la botte, mais aussi une culture unique, peuplée de gens accueillants, souriants et heureux d’y vivre.
Pour un séjour en Sicile d’une semaine, il est préférable de visiter une côte puis de revenir pour visiter l’autre, lors d’un voyage subséquent. Optons donc pour une arrivée à Palerme et une descente de la côte ouest. Mais avant, petit arrêt obligatoire au nord de l’île a Cefalù.
Cefalù
Situé à 75 km de Palerme, Cefalù est une cité médiévale bâtie sur une ancienne colonie grecque. Au début des années 50, elle n’était qu’une pittoresque petite ville de pêche, mais aujourd’hui, sa longue plage et son impressionnante cathédrale arabo-normande ont fait de Cefalù le principal centre balnéaire et touristique sur la côte nord de la Sicile.
La ville possède une superbe cathédrale, classée au patrimoine de l’UNESCO depuis 2015. C’est l’un des plus beaux exemples de l’art arabo-normand qui a connu sa gloire en Sicile au XIIe siècle. Avec ses deux tours et ses créneaux, on dirait presque une forteresse. Mais c’est l’intérieur qui nous laisse coi devant les mosaïques de style byzantin.
En descendant la côte
Sept jours suffisent à peine pour découvrir la côte ouest sicilienne. Il faudra prendre le temps de s’arrêter à Trapani, mignonne petite ville et ses restaurants en bord de mer, puis à Marsala afin d’y visiter la Cantine Florio où l’on produit le fameux vin dessert, le Marsala.
Par la suite, sur la route qui mène à Agrigento, il faudra prendre le temps de découvrir la plage de la Scala dei Turchi, entourée d’une formation en roche blanche sous forme d’escalier pour géants. Ensuite, dirigez-vous vers la vallée des temples afin d’y gravir une colline sur laquelle se trouve encore d’anciens temples grecs.
Enfin, lorsque vous atteindrez le sud, la beauté de la pierre dorée vous attendra et vous émerveillera dans les villes de Ragusa, Modica et Scicli. Soyez avisés : vous risquez de ne plus vouloir repartir.
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L’operazione antidroga “Agnellino” dell’aprile 2014, coordinata dalla Procura Distrettuale di Catania e condotta dalla Squadra Mobile di Ragusa e dal Commissariato di P.S. di Comiso si era conclusa con la cattura di 20 tra uomini e donne sia italiani che stranieri.
Le indagini avevano avuto inizio nel 2011 e ed il 3 aprile del 2014 era stato effettuato il blitz con le catture dei 20 indagati per il reato di associazione per delinquere finalizzata al traffico di sostanze stupefacenti.
Le indagini sul traffico di sostanze stupefacenti erano da considerarsi un ramo della più vasta attività investigativa che nel mese di settembre di quest’anno ha portato alla cattura di 15 soggetti per associazione a delinquere di stampo mafioso finalizzata alle estorsioni, denominata “SURVIVORS”.
Durante le attività d’indagine erano state sequestrate centinaia di kg di sostanze stupefacenti di diversa tipologia.
Nel 2014 il GIP del Tribunale etneo, ritenuta la sussistenza dei gravi indizi di colpevolezza ed il rilevante traffico di stupefacenti che gli indagati avevano posto in essere, emise l’ordinanza applicativa di misure cautelari, in totale accoglimento della richiesta formulata dalla Procura Distrettuale Antimafia di Catania, che aveva coordinato le indagini poste in essere dalla Squadra Mobile iblea.
La prima fase processuale si concludeva presso il Tribunale di Ragusa con pronunce di condanna per il reato previsto dall’art 73 del DPR 309/90, ovvero per traffico di sostanze stupefacenti in concorso, escludendo (per parte degli indagati) il reato associativo previsto dall’art. 74 DPR 309/90, contestato dal Pubblico Ministero.
A seguito di questa decisione dell’organo giudicante, la Procura della Repubblica Distrettuale di Catania propose subito ricorso in appello.
La Prima Sezione della Corte di Appello di Catania, in virtù del quadro probatorio che conclamava l’esistenza dell’eccezionale gravità delle condotte, del rilevante traffico di sostanze stupefacenti, con ben collaudati canali di approvvigionamento, dello stabile legame esistente tra i sodali, riformava la sentenza e condannava gli indagati per il reato associativo con pene commisurate all’entità dei fatti.
La Corte d’Appello, inoltre, ritenendo sussistente ed attuale la pericolosità sociale ed il pericolo di reiterazione nel reato da parte degli imputati, emetteva nuova ordinanza applicativa di misura cautelare nei confronti dei sotto indicati soggetti:
FIRRISI Emanuele (detto zu Neli) nato a Comiso (RG) il 18.3.1947. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 22 e mesi 6 di reclusione;
FERRANTE Antonino, nato a Palermo il 26.2.1970. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 20 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare in carcere.
BELLASSAI Corrado, nato a Ragusa il 5.11.1970. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 11 e mesi 8 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
BOSCHI Pieruccio, nato a Scicli (RG) il 21.11.1955. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 14 e mesi 4 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari;
CANGIALOSI Rita, nata a Torretta (PA) il 17.4.1947. Condannata alla pena complessiva, riformulata in anni 14, mesi 6 e giorni 20 di reclusione, destinataria di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
ERRIGO Giovanni, nato a Comiso (RG) il 3.7.1960. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 14, mesi 2 e giorni 20 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
FIRRISI Michele, nato a Comiso (RG) il 23.10.1986. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 10 e mesi 4 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
INCREMONA Salvatore, nato a Comiso l’8.3.1954. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 10 e mesi 4 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
LAURETTA Giuseppe, nato a Comiso (RG) il 4.10.1982. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 9 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
MAUGERI Antonio, nato ad Aci Sant’Antonio (CT) il 14.1.1950. Condannato alla pena anni 9 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
OCCHIPINTI Sebastiano, nato a Santa Croce Camerina (RG) il 4.1.1950. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 8 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
XEKA Sheptim, nato in Albania l’8.4.1979. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 8, mesi 10 e giorni 20 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
SACCONE Giuseppe, nato a Torre Del Greco (NA) il 18.9.1972. Condannato alla pena complessiva, riformulata in anni 8 di reclusione, destinatario di Ordinanza di custodia cautelare agli arresti domiciliari.
La Corte d’Appello di Catania ha quindi ripristinato le misure cautelari a carico dei suddetti colpevoli del reato di traffico di sostanze stupefacenti, dando mandato alla Polizia di Stato che ieri mattina ha eseguito le catture dei soggetti destinatari del provvedimento.
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Comiso, operazione “Agnellino bis”: Appello riforma sentenza, Polizia cattura i 13 condannati L’operazione antidroga “Agnellino” dell’aprile 2014, coordinata dalla Procura Distrettuale di Catania e condotta dalla Squadra Mobile di Ragusa e dal Commissariato di P.S.
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Equitalia: inflessibile nel riscuotere, si “DIMENTICA” però di rispettare i termini di pagamento con i fornitori
Visto il ruolo che ha ricoperto in passato, chiunque sosterrebbe che questa società pubblica mai e poi mai avrebbe violato la normativa sui tempi di pagamento. Le cose, invece, sono andate diversamente: nel 2016, infatti, Equitalia Spa (che, ricordiamo, è stata soppressa il 1 luglio di quest’anno) ha saldato le fatture dei propri fornitori in ritardo rispetto ai tempi fissati dalla normativa. La denuncia è sollevata dalla CGIA che ha analizzato la banca dati del Ministero dell’Economia e delle Finanze (MEF) sui pagamenti delle pubbliche amministrazioni. “Quando era chiamata a riscuotere – segnala il coordinatore dell’Ufficio studi della CGIA Paolo Zabeo – non guardava in faccia nessuno. Nei confronti dei contribuenti era rigorosa, inflessibile e non ammetteva alcuna giustificazione. Quando, per contro, doveva onorare gli impegni contrattuali sottoscritti, almeno alla luce di quanto è accaduto nel 2016, questa precisione e meticolosità nel rispettare le scadenze sfumava, al punto tale che liquidava i propri fornitori oltre i termini di legge. In altre parole, praticava bene, ma razzolava male”. Se l’anno scorso sia Equitalia Spa sia l’Inail hanno pagato i propri fornitori con 13 giorni di ritardo medi ponderati rispetto a quanto previsto dalle disposizioni di legge, che prevedono il pagamento fattura entro 30 giorni dalla data di ricevimento, altre Amministrazioni finanziarie si sono “comportate” addirittura peggio: l’Inps, ad esempio, ha onorato gli impegni di pagamento con 29 giorni medi ponderati di ritardo e la Sogei Spa (società di Information technology del Ministero dell’Economia delle Finanze) con 14 (vedi Tab. 1) . Anche per molti ministeri il rispetto dei tempi di pagamento è un optional. Se nel 2016 agli Interni hanno saldato le fatture con 58 giorni medi ponderati di ritardo, il ministero della Giustizia lo ha fatto dopo 52, la Difesa dopo 46 e lo Sviluppo Economico dopo 38. I più virtuosi, invece, sono stati il dicastero dell’Ambiente, che ha anticipato il saldo fattura di 7 giorni, e i ministeri degli Esteri e dell’Economia e delle Finanze che, entrambi, hanno liquidato i fornitori 4 giorni prima della scadenza di pagamento (vedi Tab. 2). A rammentarci che la situazione generale rimane ancora molto delicata è il Segretario della CGIA Renato Mason: “L’avvio della procedura di infrazione dell’Ue nei confronti del nostro Paese risale al giugno del 2014. Questo richiamo ufficiale ci è stato comminato perché la nostra Pubblica amministrazione ha violato le disposizioni della Direttiva europea sui ritardi di pagamento entrata in vigore nel 2013. E sebbene negli ultimi anni ci sia stato qualche miglioramento, nel 2017, secondo i dati di Intrum Justitia, la nostra Pa paga i propri fornitori dopo 95 giorni. In Europa solo la Grecia ha saldato le fatture dopo un numero di giorni superiore al nostro”. Va altresì ricordato che a seguito dell’introduzione della fatturazione elettronica, obbligatoria per tutte le pubbliche amministrazioni dal 31 marzo 2015, escludendo le scuole sono quasi 13.500 le pubbliche amministrazioni che hanno l’obbligo di far transitare i pagamenti sulla piattaforma dei crediti commerciali (PCC) gestita dal MEF. In realtà, ben 6.898 enti, pari al 51,3 per cento del totale, nel 2016 non l’hanno fatto. Pertanto, i risultati di questa elaborazione sono ancora parziali e riconducibili solo alle amministrazioni che hanno adempiuto a questo vincolo di legge. Tra i Comuni, invece, il peggiore pagatore d’Italia è quello di Scicli (Rg) che salda le fatture con 628 giorni di ritardo. Pesantissima anche la situazione dei fornitori dell’amministrazione comunale di Poggio Nativo (Ri) che vengono onorati con 478 giorni di ritardo e per quelli di Torrebruna (Ch) che devono aspettare 415 giorni dopo gli accordi contrattuali intercorsi. Il Comune d’Italia più veloce a onorare i debiti commerciali è Lunamatrona (Provincia del Sud Sardegna): di fatto salda i fornitori immediatamente, visto che anticipa il pagamento di 30 giorni. Bene anche Aiello del Friuli (Ud), che anticipa di 29 gironi: Corzano (Bs), Rogolo (So), Oldenico (Vc) e Cozzo (Pv), invece, anticipano tutti di 28 giorni (vedi Tab. 3). Tra le Amministrazioni provinciali e le Città Metropolitane la maglia nera è indossata dalla Provincia di Verbano Cusio Ossola: in questa realtà territoriale piemontese i pagamenti avvengono con 175 giorni medi ponderati di ritardo. Male anche Ascoli Piceno (111 giorni), Benevento (94) e La Spezia (69). La più veloce a saldare i debiti, invece, è la Provincia di Udine che anticipa la scadenza di 22 giorni. Bene anche a Pordenone (18 giorni), Sondrio (17) e Rovigo (16) (vedi Tab. 4). Tra le Asl, infine, la situazione più difficile si registra nella Capitale: l’ “Azienda sanitaria locale Roma E” liquida i propri fornitori con 270 giorni di ritardo, l’ “Azienda unità sanitaria locale Roma A”, invece, con 237. Presso l’Azienda ospedaliera universitaria Policlinico Paolo Giaccone di Palermo, l’attesa, dopo la scadenza contrattuale, dura 192 giorni. Dalla CGIA ricordano che per gli enti del servizio sanitario nazionale la legge stabilisce che il termine massimo di pagamento dei fornitori avvenga entro 60 giorni. Le Asl più virtuose, invece, si trovano in Lombardia: l’ “Agenzia di tutela della salute della Val Padana” (ex Asl di Mn e Asl di Cr) e l’ “Ats della Montagna” (Valtellina/Alto Lario e Val Camonica) anticipano i pagamenti di 44 giorni. Bene anche l’ “Azienda ospedaliera San Giuseppe Moscati di Avellino” che paga con un anticipo di 43 giorni (vedi Tab. 5). In questa analisi, segnalano dalla CGIA, non è stato possibile realizzare un confronto tra le Regioni per la mancanza di dati omogenei tra le 20 realtà amministrative presenti nel Paese. Al di là dei ritardi nei pagamenti che la nostra Pa continua a registrare, infine, rimane ancora una questione da chiarire: a quanto ammonta lo stock di debito accumulato nei confronti delle imprese ? Sebbene da oltre due anni sia stata introdotta la fatturazione elettronica nelle transazioni commerciali con le amministrazioni pubbliche, ancora adesso non ci sono dati ufficiali. Chi periodicamente ne stima l’importo è la Banca d’Italia. Secondo i dati riportati nella “Relazione annuale”, presentata a Roma il 31 maggio di quest’anno, alla fine del 2016 i debiti commerciali della Pa ammonterebbero a 64 miliardi: di cui 34 riconducibili a ritardi nei pagamenti. Click to Post
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Piattaforma rifiuti pericolosi a Scicli. Musumeci ha incontrato l'on. Dipasquale (PD) e una delegazione della città di Scicli
Piattaforma rifiuti pericolosi a Scicli. Musumeci ha incontrato l’on. Dipasquale (PD) e una delegazione della città di Scicli was originally published on ITALREPORT
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Ritarda la pubblicazione del bando Crias, l'on. Orazio Ragusa sollecita gli assessori regionali Cracolici e Baccei
SCICLI – Che fine ha fatto il bando che la Crias avrebbe dovuto pubblicare per garantire l’acquisto delle scorte agli operatori del settore in vista dell’avvio della campagna agraria che prenderà il via nelle prossime settimane? E’ l’interrogativo contenuto nella lettera aperta che l’on. Orazio Ragusa ha trasmesso questa mattina all’assessore regionale all’Agricoltura, Antonello Cracolici,…
Ritarda la pubblicazione del bando Crias, l’on. Orazio Ragusa sollecita gli assessori regionali Cracolici e Baccei was originally published on ITALREPORT
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Sanità. Nino Minardo: "Nessuno pensi di prenderci per i fondelli"Riceviamo e pubblichiamo
Nessuno pensi di prenderci per i fondelli e men che meno un rappresentante del governo di questa Regione che è anche la nostra! Se l’assessore regionale alla Salute, Baldo Gucciardi, è convinto che la conoscenza sulle dinamiche della sanità, sia una sua esclusiva o di qualche suo adepto o sodale e che per noi sia…
Sanità. Nino Minardo: “Nessuno pensi di prenderci per i fondelli”Riceviamo e pubblichiamo was originally published on ITALREPORT
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Equitalia: inflessibile nel riscuotere, si “DIMENTICA” però di rispettare i termini di pagamento con i fornitori
Visto il ruolo che ha ricoperto in passato, chiunque sosterrebbe che questa società pubblica mai e poi mai avrebbe violato la normativa sui tempi di pagamento. Le cose, invece, sono andate diversamente: nel 2016, infatti, Equitalia Spa (che, ricordiamo, è stata soppressa il 1 luglio di quest’anno) ha saldato le fatture dei propri fornitori in ritardo rispetto ai tempi fissati dalla normativa. La denuncia è sollevata dalla CGIA che ha analizzato la banca dati del Ministero dell’Economia e delle Finanze (MEF) sui pagamenti delle pubbliche amministrazioni. “Quando era chiamata a riscuotere – segnala il coordinatore dell’Ufficio studi della CGIA Paolo Zabeo – non guardava in faccia nessuno. Nei confronti dei contribuenti era rigorosa, inflessibile e non ammetteva alcuna giustificazione. Quando, per contro, doveva onorare gli impegni contrattuali sottoscritti, almeno alla luce di quanto è accaduto nel 2016, questa precisione e meticolosità nel rispettare le scadenze sfumava, al punto tale che liquidava i propri fornitori oltre i termini di legge. In altre parole, praticava bene, ma razzolava male”. Se l’anno scorso sia Equitalia Spa sia l’Inail hanno pagato i propri fornitori con 13 giorni di ritardo medi ponderati rispetto a quanto previsto dalle disposizioni di legge, che prevedono il pagamento fattura entro 30 giorni dalla data di ricevimento, altre Amministrazioni finanziarie si sono “comportate” addirittura peggio: l’Inps, ad esempio, ha onorato gli impegni di pagamento con 29 giorni medi ponderati di ritardo e la Sogei Spa (società di Information technology del Ministero dell’Economia delle Finanze) con 14 (vedi Tab. 1) . Anche per molti ministeri il rispetto dei tempi di pagamento è un optional. Se nel 2016 agli Interni hanno saldato le fatture con 58 giorni medi ponderati di ritardo, il ministero della Giustizia lo ha fatto dopo 52, la Difesa dopo 46 e lo Sviluppo Economico dopo 38. I più virtuosi, invece, sono stati il dicastero dell’Ambiente, che ha anticipato il saldo fattura di 7 giorni, e i ministeri degli Esteri e dell’Economia e delle Finanze che, entrambi, hanno liquidato i fornitori 4 giorni prima della scadenza di pagamento (vedi Tab. 2). A rammentarci che la situazione generale rimane ancora molto delicata è il Segretario della CGIA Renato Mason: “L’avvio della procedura di infrazione dell’Ue nei confronti del nostro Paese risale al giugno del 2014. Questo richiamo ufficiale ci è stato comminato perché la nostra Pubblica amministrazione ha violato le disposizioni della Direttiva europea sui ritardi di pagamento entrata in vigore nel 2013. E sebbene negli ultimi anni ci sia stato qualche miglioramento, nel 2017, secondo i dati di Intrum Justitia, la nostra Pa paga i propri fornitori dopo 95 giorni. In Europa solo la Grecia ha saldato le fatture dopo un numero di giorni superiore al nostro”. Va altresì ricordato che a seguito dell’introduzione della fatturazione elettronica, obbligatoria per tutte le pubbliche amministrazioni dal 31 marzo 2015, escludendo le scuole sono quasi 13.500 le pubbliche amministrazioni che hanno l’obbligo di far transitare i pagamenti sulla piattaforma dei crediti commerciali (PCC) gestita dal MEF. In realtà, ben 6.898 enti, pari al 51,3 per cento del totale, nel 2016 non l’hanno fatto. Pertanto, i risultati di questa elaborazione sono ancora parziali e riconducibili solo alle amministrazioni che hanno adempiuto a questo vincolo di legge. Tra i Comuni, invece, il peggiore pagatore d’Italia è quello di Scicli (Rg) che salda le fatture con 628 giorni di ritardo. Pesantissima anche la situazione dei fornitori dell’amministrazione comunale di Poggio Nativo (Ri) che vengono onorati con 478 giorni di ritardo e per quelli di Torrebruna (Ch) che devono aspettare 415 giorni dopo gli accordi contrattuali intercorsi. Il Comune d’Italia più veloce a onorare i debiti commerciali è Lunamatrona (Provincia del Sud Sardegna): di fatto salda i fornitori immediatamente, visto che anticipa il pagamento di 30 giorni. Bene anche Aiello del Friuli (Ud), che anticipa di 29 gironi: Corzano (Bs), Rogolo (So), Oldenico (Vc) e Cozzo (Pv), invece, anticipano tutti di 28 giorni (vedi Tab. 3). Tra le Amministrazioni provinciali e le Città Metropolitane la maglia nera è indossata dalla Provincia di Verbano Cusio Ossola: in questa realtà territoriale piemontese i pagamenti avvengono con 175 giorni medi ponderati di ritardo. Male anche Ascoli Piceno (111 giorni), Benevento (94) e La Spezia (69). La più veloce a saldare i debiti, invece, è la Provincia di Udine che anticipa la scadenza di 22 giorni. Bene anche a Pordenone (18 giorni), Sondrio (17) e Rovigo (16) (vedi Tab. 4). Tra le Asl, infine, la situazione più difficile si registra nella Capitale: l’ “Azienda sanitaria locale Roma E” liquida i propri fornitori con 270 giorni di ritardo, l’ “Azienda unità sanitaria locale Roma A”, invece, con 237. Presso l’Azienda ospedaliera universitaria Policlinico Paolo Giaccone di Palermo, l’attesa, dopo la scadenza contrattuale, dura 192 giorni. Dalla CGIA ricordano che per gli enti del servizio sanitario nazionale la legge stabilisce che il termine massimo di pagamento dei fornitori avvenga entro 60 giorni. Le Asl più virtuose, invece, si trovano in Lombardia: l’ “Agenzia di tutela della salute della Val Padana” (ex Asl di Mn e Asl di Cr) e l’ “Ats della Montagna” (Valtellina/Alto Lario e Val Camonica) anticipano i pagamenti di 44 giorni. Bene anche l’ “Azienda ospedaliera San Giuseppe Moscati di Avellino” che paga con un anticipo di 43 giorni (vedi Tab. 5). In questa analisi, segnalano dalla CGIA, non è stato possibile realizzare un confronto tra le Regioni per la mancanza di dati omogenei tra le 20 realtà amministrative presenti nel Paese. Al di là dei ritardi nei pagamenti che la nostra Pa continua a registrare, infine, rimane ancora una questione da chiarire: a quanto ammonta lo stock di debito accumulato nei confronti delle imprese ? Sebbene da oltre due anni sia stata introdotta la fatturazione elettronica nelle transazioni commerciali con le amministrazioni pubbliche, ancora adesso non ci sono dati ufficiali. Chi periodicamente ne stima l’importo è la Banca d’Italia. Secondo i dati riportati nella “Relazione annuale”, presentata a Roma il 31 maggio di quest’anno, alla fine del 2016 i debiti commerciali della Pa ammonterebbero a 64 miliardi: di cui 34 riconducibili a ritardi nei pagamenti. Click to Post
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Equitalia: inflessibile nel riscuotere, si “DIMENTICA” però di rispettare i termini di pagamento con i fornitori
Visto il ruolo che ha ricoperto in passato, chiunque sosterrebbe che questa società pubblica mai e poi mai avrebbe violato la normativa sui tempi di pagamento. Le cose, invece, sono andate diversamente: nel 2016, infatti, Equitalia Spa (che, ricordiamo, è stata soppressa il 1 luglio di quest’anno) ha saldato le fatture dei propri fornitori in ritardo rispetto ai tempi fissati dalla normativa. La denuncia è sollevata dalla CGIA che ha analizzato la banca dati del Ministero dell’Economia e delle Finanze (MEF) sui pagamenti delle pubbliche amministrazioni. “Quando era chiamata a riscuotere – segnala il coordinatore dell’Ufficio studi della CGIA Paolo Zabeo - non guardava in faccia nessuno. Nei confronti dei contribuenti era rigorosa, inflessibile e non ammetteva alcuna giustificazione. Quando, per contro, doveva onorare gli impegni contrattuali sottoscritti, almeno alla luce di quanto è accaduto nel 2016, questa precisione e meticolosità nel rispettare le scadenze sfumava, al punto tale che liquidava i propri fornitori oltre i termini di legge. In altre parole, praticava bene, ma razzolava male”. Se l’anno scorso sia Equitalia Spa sia l’Inail hanno pagato i propri fornitori con 13 giorni di ritardo medi ponderati rispetto a quanto previsto dalle disposizioni di legge, che prevedono il pagamento fattura entro 30 giorni dalla data di ricevimento, altre Amministrazioni finanziarie si sono “comportate” addirittura peggio: l’Inps, ad esempio, ha onorato gli impegni di pagamento con 29 giorni medi ponderati di ritardo e la Sogei Spa (società di Information technology del Ministero dell’Economia delle Finanze) con 14 (vedi Tab. 1) . Anche per molti ministeri il rispetto dei tempi di pagamento è un optional. Se nel 2016 agli Interni hanno saldato le fatture con 58 giorni medi ponderati di ritardo, il ministero della Giustizia lo ha fatto dopo 52, la Difesa dopo 46 e lo Sviluppo Economico dopo 38. I più virtuosi, invece, sono stati il dicastero dell’Ambiente, che ha anticipato il saldo fattura di 7 giorni, e i ministeri degli Esteri e dell’Economia e delle Finanze che, entrambi, hanno liquidato i fornitori 4 giorni prima della scadenza di pagamento (vedi Tab. 2). A rammentarci che la situazione generale rimane ancora molto delicata è il Segretario della CGIA Renato Mason: “L’avvio della procedura di infrazione dell’Ue nei confronti del nostro Paese risale al giugno del 2014. Questo richiamo ufficiale ci è stato comminato perché la nostra Pubblica amministrazione ha violato le disposizioni della Direttiva europea sui ritardi di pagamento entrata in vigore nel 2013. E sebbene negli ultimi anni ci sia stato qualche miglioramento, nel 2017, secondo i dati di Intrum Justitia, la nostra Pa paga i propri fornitori dopo 95 giorni. In Europa solo la Grecia ha saldato le fatture dopo un numero di giorni superiore al nostro”. Va altresì ricordato che a seguito dell’introduzione della fatturazione elettronica, obbligatoria per tutte le pubbliche amministrazioni dal 31 marzo 2015, escludendo le scuole sono quasi 13.500 le pubbliche amministrazioni che hanno l’obbligo di far transitare i pagamenti sulla piattaforma dei crediti commerciali (PCC) gestita dal MEF. In realtà, ben 6.898 enti, pari al 51,3 per cento del totale, nel 2016 non l’hanno fatto. Pertanto, i risultati di questa elaborazione sono ancora parziali e riconducibili solo alle amministrazioni che hanno adempiuto a questo vincolo di legge. Tra i Comuni, invece, il peggiore pagatore d’Italia è quello di Scicli (Rg) che salda le fatture con 628 giorni di ritardo. Pesantissima anche la situazione dei fornitori dell’amministrazione comunale di Poggio Nativo (Ri) che vengono onorati con 478 giorni di ritardo e per quelli di Torrebruna (Ch) che devono aspettare 415 giorni dopo gli accordi contrattuali intercorsi. Il Comune d’Italia più veloce a onorare i debiti commerciali è Lunamatrona (Provincia del Sud Sardegna): di fatto salda i fornitori immediatamente, visto che anticipa il pagamento di 30 giorni. Bene anche Aiello del Friuli (Ud), che anticipa di 29 gironi: Corzano (Bs), Rogolo (So), Oldenico (Vc) e Cozzo (Pv), invece, anticipano tutti di 28 giorni (vedi Tab. 3). Tra le Amministrazioni provinciali e le Città Metropolitane la maglia nera è indossata dalla Provincia di Verbano Cusio Ossola: in questa realtà territoriale piemontese i pagamenti avvengono con 175 giorni medi ponderati di ritardo. Male anche Ascoli Piceno (111 giorni), Benevento (94) e La Spezia (69). La più veloce a saldare i debiti, invece, è la Provincia di Udine che anticipa la scadenza di 22 giorni. Bene anche a Pordenone (18 giorni), Sondrio (17) e Rovigo (16) (vedi Tab. 4). Tra le Asl, infine, la situazione più difficile si registra nella Capitale: l’ “Azienda sanitaria locale Roma E” liquida i propri fornitori con 270 giorni di ritardo, l’ “Azienda unità sanitaria locale Roma A”, invece, con 237. Presso l’Azienda ospedaliera universitaria Policlinico Paolo Giaccone di Palermo, l’attesa, dopo la scadenza contrattuale, dura 192 giorni. Dalla CGIA ricordano che per gli enti del servizio sanitario nazionale la legge stabilisce che il termine massimo di pagamento dei fornitori avvenga entro 60 giorni. Le Asl più virtuose, invece, si trovano in Lombardia: l’ “Agenzia di tutela della salute della Val Padana” (ex Asl di Mn e Asl di Cr) e l’ “Ats della Montagna” (Valtellina/Alto Lario e Val Camonica) anticipano i pagamenti di 44 giorni. Bene anche l’ “Azienda ospedaliera San Giuseppe Moscati di Avellino” che paga con un anticipo di 43 giorni (vedi Tab. 5). In questa analisi, segnalano dalla CGIA, non è stato possibile realizzare un confronto tra le Regioni per la mancanza di dati omogenei tra le 20 realtà amministrative presenti nel Paese. Al di là dei ritardi nei pagamenti che la nostra Pa continua a registrare, infine, rimane ancora una questione da chiarire: a quanto ammonta lo stock di debito accumulato nei confronti delle imprese ? Sebbene da oltre due anni sia stata introdotta la fatturazione elettronica nelle transazioni commerciali con le amministrazioni pubbliche, ancora adesso non ci sono dati ufficiali. Chi periodicamente ne stima l’importo è la Banca d’Italia. Secondo i dati riportati nella “Relazione annuale”, presentata a Roma il 31 maggio di quest’anno, alla fine del 2016 i debiti commerciali della Pa ammonterebbero a 64 miliardi: di cui 34 riconducibili a ritardi nei pagamenti. Click to Post
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