#périmètre
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Nouvelle pièce: Foggy Day
En attendant la sortie du prochain EP, voici un extrait de ce sur quoi je travail ces temps-ci.
#electronica#périmètre#electronic music#ambiant#downtempo#quebec city#ep#electro#live act#idm#Bandcamp
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Déplacement des bornes congolaises par l'Ouganda : "Kinshasa suit de près la situation et il est hors de question que les périmètres frontaliers soient modifiés (Patrick Muyaya)
Alors que les inquiétudes et les alertes sont devenues de plus en plus persistantes suite à l’attitude des autorités ougandaises au sujet des bornes frontières congolaises, le gouvernement congolais dit ne ménager aucun effort pour tirer la situation au clair. Mardi dernier, lors d’un briefing de presse à Lubumbashi, Patrick Muyaya a rassuré que Kinshasa suivait attentivement la question via le…
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement épique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rêves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rêves
Dire alors "je vous rêve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage à la fenêtre
Que fixe l'étoile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais être le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-être
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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je suis avec ma sœur et son mec qui regardent leur périmètre de crâne à l’accouchement qu’est-ce que je fais là
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J'ai mal à la tête...
Jusqu'à ces jours derniers, en des temps où ''tout était mieux, avant'' (l faut bien noter que, au fur et à mesure que le tempus fugit de plus en plus irreparabile, tout devient de plus en plus... ''mieux, avant'' !), c'était simple : il me suffisait d'avaler un comprimé de Doliprane... et le tour était joué : moins de dix minutes plus tard, on était prêt à danser la biguine... ou autre chose, à votre choix. Mais c'était trop simple --''C'est comme tout : tout fout l'camp'', dirait ma chère Madame Michu ! Aujourd'hui, n'importe quel ''pseudo-mozart de la finance''(auto-proclamé) tuerait ses ''Parent 1'' et ''Parent 2'' pour 3 fois rien (13 milliards, tout de même, au prix de la Doliprane ''en gros'' !).
A l'issue sans issue (vous verrez : le grand nettoyage par le vide, en France ! Je prends les paris !) du psychodrame dont nous croyons avoir vu la fin, on commence à mieux comprendre ce qui ne s'est pas passé. Si vous n'êtes pas d'accord avec mon analyse, merci d'écrire à tumblr, mon fournisseur d'espace, qui transmettra. Ou pas.En 2 ou 3 mille mots, c'est l'histoire ratée d'un anti-douleur fabriqué en France, c'est-à-dire là où on en a le plus besoin --et en tout cas, plus besoin qu'ailleurs, compte tenu de la nullité crasse de notre personnel politique et de la monstruosité dévorante de nos ponctions fiscales-- que Sanofi, sans doute fatigué que cette authentique machine à cash fasse ''ding-ding'' sans cesse depuis des décennies, a décidé de la vendre à des américains, soigneusement choisis parmi les plus inhumains, les plus radins, les plus insensibles et les plus anthropophages qui puissent être : un ''Fonds de pension'', le prototype du gouffre sans fond plein de fonds, si j'ose.
En fait, c'est pas ça. Ou ''pas exactement ça''. En revenant sur les épisodes précédents et sur les épisodes inconnus, tout en le vendant, les français en garderaient le contrôle, qui deviendrait ipso facto un non-contrôle, étant entendu que les ricains, pas fous, en deviendraient les seuls propriétaires, au ''droit de regard'' près des français, et à l'Etat (qui vient mettre son grain de sel après la bataille, comme les gendarmes de la chanson), d'exercer un droit de veto à la seule condition, bien spécifiée, que ces mêmes ricains seraient libres de faire ce qu'ils veulent, comme ils veulent, quand ils veulent.
La seule condition, c'est que les dits ricains s'engagent à ne pas léser ce qu'ils auront compris que les français considèrent comme des droits non précisés... mais à ne pas léser, bien évidemment ! La formule est si belle que je l'ai recopiée sans en modifier un seul mot, à votre intention : ''Les (américains) auront le droit d'agir comme bon leur semble dans la limite de la préservation de l'autonomie décisionnelle des français à l'intérieur d'un périmètre contrôlé par les américains dans le respect des éventuelles décisions des français concernant de possibles développements envisageables à condition ''bien entendu --sic !'' de maintenir le niveau minimum de valeur ajoutée produit pendant cinq ans''...
C'est-y-pas beau, ça, Madame ? J'imagine les négociateurs US, habitués à rencontrer des gens sérieux, échangeant force clins d’œil et se retenant à quatre pour ne pas pouffer. Je dois dire que, mis à part les deux membres de phrase ''bien entendu'' et ''cinq années'', je n'ai pas compris un traître mot de ce baragouin à la fois illisible et incompréhensible ! Et nos énarques de pavoiser et de cocoriquer ! Ah les cons... I Et il est désormais inutile d'espérer qu'un bon vieux cachet de Doliprane ait la plus petite chance de transformer cette défaite humiliante et victoire éclatante. Et pourtant... c'est ce qu'ils font, et faisant appel à leur vieille technique émoussée : ''Circulez... Y a rien à voir.''. Adieu, veaux, vaches, cochon, couvée, cachets, Doliprane... mais pas maux de tête. Ils auront réussi à assassiner ce beau et grand pays en moins de temps qu'il n'en faut pour comprendre à quel point ils sont stupides, néfastes, mortifères et... prétentieux. A nous, il nous reste les yeux pour pleurer...
H-Cl.
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Février 2009.
Un ghetto.
Cet épisode dans le sud de l'Italie a fait l'objet d'un chapitre dans la bande dessinée d'Emmanuel Guibert et Frédéric Lemercier "Des nouvelles d'Alain"*.
Avec Meiko, un photographe allemand nous sommes rendus en Calabre photographier un petit village peuplé par des gitans. Ce village est entouré par un mur surélevé par les riverains qui ne voulaient pas les voir, par une voie ferrée et un immense parking d'un hôpital.
Le camp est un assemblage de containers et de taudis en dur ou en matériau de récupération. Des raccords électriques de fortune alimentent des télés, des frigos, quelques radiateurs. On est vite repérés. Le peuplement est dense sur un petit périmètre. On repasse toujours par les mêmes ruelles.
Comme d'habitude, les enfants me provoquent pour être photographiés. Arme au poing, s'il le faut. **
* Les arènes XXI
** Une partie du texte est empruntée à la bande dessinée.
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11 Novembre 2024
Cette fois c’est bien fini , la journée d’hier a été notre retour à Paris . Nous avons pris un taxi avec nos deux gros sacs c’était plus simple , le vol de nuit avec Air France s’est très bien passé même si nous avons attendu deux heures de plus; n’ayant pas de correspondance à Paris pour nous , pas de problème, pour certains ça complique toujours les choses . Retour sous un ciel d’automne, il y a encore 8h nous étions en été à New Delhi mais très pollué. Un petit choc thermique nous a contraint à nous couvrir d’une polaire pour Thierry et d’une Doudoune pour moi . Le passage à la douane se fait automatiquement en scannant notre passeport, il n’y a plus d'agent, juste un peu de personnel qui oriente les arrivants sur le chemin à suivre avant de récupérer les bagages. Nous étions au terminal 2. Le taxi a mis un peu plus de 39 minutes avant de nous déposer devant notre porte, avenue d’Italie. Auparavant il y avait une Navette Air France qui amenait les personnes qui le souhaitaient jusqu'aux gares Parisiennes, mais elle a été supprimée, pour une fois qu'il y avait quelque chose de pratique dans cet Aéroport...Pas de trop de circulation en ce dimanche matin. On a réglé la somme de soixante cinq euros que nous avons arrondi à soixante dix euros . Le chauffeur semble être un gros fumeur, l’habitacle sentait le tabac froid . Un détail qui peut avoir son importance pour certains . Arrivés à l’appartement ça été le grand déballage 😞 , machine à laver mise en route , évidemment beaucoup de linge à laver … c’est le rituel des retours . Nous nous sommes offert un masque qui vient compléter la série que nous avons déjà. Là aussi c’est devenu un rituel. À chaque endroit où nous essayons d'en rapporter un, heureusement qu’on ne part pas chaque mois sinon nous serions envahis …. Pour résumer . Nous sommes partis le 24 octobre, après la déception du 19 et revenus le 10 novembre au matin . Ce treck dans le Haut Mustang fut une belle découverte, difficile pour moi, pour Thierry ce fut plus facile. Les paysages sont grandioses ,désertiques avec peu de végétation, l’érosion des roches crée de véritables tableaux , les couleurs de celles-ci passent de l’ocre au gris avec beaucoup de déclinés, de nuances. Ces villages composés de maisons traditionnelles au murs blancs au style Tibétain, toits terrasses, où le bois ramassé est stocké pour le chauffage et la cuisine, ainsi que certains aliments, couronne le périmètre ,de petites ouvertures. Nous sommes à plus ou moins trois milles mètres d’altitude, l’hiver, il fait très froid . Souvent il y a un monastère qui donne l’importance de la religion Bouddhiste dans cette région . Le panorama des sommets enneigés des Annapurna donne une dimension grandiose , impressionnante qui nous renvoie à notre petite condition humaine . Pour finir et cela a son importance nous avons rencontré deux compagnons de route qui nous ont accompagnés avec beaucoup de professionnalisme et de chaleur humaine . Nous en avons déjà parlé . Autre chose . Ramji ,Chhiring et Tina nous ont demandé de faire en quelque sorte de la publicité autour de leur petite agence qu’ils viennent de créer (www.nepalvacance.com), bien sûr nous leur avons dit que nous le ferions, de plus nous resterons en contact pour suivre le développement de leur affaire . Nous leur avons dit que peut-être des personnes de notre famille, peut-être, seraient un jour intéressées de suivre l’exemple des tontons .
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Ah, le joli mois d’octobre ! La déplorable situation au Proche-Orient – disons en Palestine pour préciser les choses –, révèle, en Occident essentiellement, les peurs, les lâchetés, voire les renoncements de bien des populations et de leur gouvernement. Ce que j’observe, avec amusement autant qu’avec inquiétude, c’est l’immaturité des réactions de la plupart des nations de “l’Occident global” face aux derniers développements de problèmes pourtant vieux comme Mathusalem. Le fond, comme la forme, sont désespérants. L’Europe, et la France en particulier, attestent l’effacement définitif de leur rôle historique dans le bassin Levantin. Les médias, comme c’est leur habitude, hystérisent les événements et prennent aveuglément le parti de leurs actionnaires. “Israël ! Israël ! Israël !” entends-je partout, à tout bout de champ, tout le temps. Il faut défendre Israël avec les Israéliens, parce qu’Israël, c’est le rempart de notre civilisation contre les sauvages musulmans. Quand Israël sera tombé, c’est tout le continent qui sera attaqué, la nuit, à l’aube, au couteau, à l’AK. Nous serons tous pogromisés, kippa ou pas, pour le seul crime d’être des kafirs.
Je résume là ce qui me semble être, plus ou moins explicitement, plus ou moins bruyamment, le mot d’ordre – ou plutôt la “parole de panique” – qui s’installe sous nos latitudes. Et je joins quelques capsules mnésiques liées à ces événements :
• Il est navrant le spectacle de cette aube automnale si belle qui dévoile le défilé des assassins à moto, bouchers amateurs partis massacrer des familles endormies. Éternel recommencement de l’insupportable injustice frappant les populations prises à parti, flinguées, étripées, égorgées – cadavres et scènes de crimes arrangés à des fins de terrorisme par l’image. “Allah u-akbar”, comme toujours, ici ou là-bas. Tout a été filmé, par les caméras d’inutile surveillance des victimes et les go-pros des instigateurs. Tout a été montré. • Scènes à peine croyables – je dis bien “à peine croyables” – des commandos palestiniens faisant détonner des explosifs contre des murs en béton et des rideaux de barbelés pour pénétrer des périmètres de sécurité placés sous surveillance automatique 24/7. Les drones qui ont largué leurs charges explosives au-dessus des relais de communication et autre appareil de détection, volent sans ambage d’un pylône à l’autre. Pouvait-on être plus prévisible ? Des ailes volantes motorisées sillonent le ciel, ouvrant le feu sur tout ce qui court en dessous. Pouvait-on être moins discret ? Et pourtant, la petite base armée prise d’assaut regorge de cadavres en slip, tirés du lit dans la panique, la plupart n’ayant même pas eu le loisir de défendre leur peau face aux assaillants brailleurs.
• Grand rassemblement décadent, scènes et chapiteaux. Les fumeurs de oinjes, les raveurs, les filles et fils de bobos, les zoneurs à dreadlocks et leurs meufs à cheveux bleus fuient dans le désert pour échapper au flinguage venu du ciel. Grand Bataclan à ciel ouvert. On a tous rêvé de débarquer dans une rave en Hummer pour remettre un peu d’ordre. Mais là, je vois courir tous ces hébétés et je pense aux parents qui, dans quelques heures, recevront qui un coup de téléphone, qui la visite d’amis ou d’officiels venus leur annoncer ce qu’aucun parent, jamais, ne devrait être contraint d’entendre.
• Un prof a été égorgé dans un lycée français, le deuxième et certainement pas le second. Héros, hommage, hugs. Les trois “H” du cancre élyséen. À la lumière des “massacres du Hamas”, de nombreux chroniqueurs ne peuvent s’en empêcher : mais combien sont-ils chez nous, nous les braves et pacifiques Français, à attendre le grand soir et son fameux croissant de lune ?
• Prendre parti. Ceux qui déplorent les Palestiniens écrasés sous leurs immeubles à coups de bombes sont d’infects islamo-collabos. Les chroniqueurs, chefs de plateau et autres inutiles s’agitent bruyamment, distribuent des bons points et offrent à qui en veut une tournée de moraline. Ça va de “j’ai d’excellents amis Juifs” à “et la Shoah alors, vous en faites quoi ?”. Pathétiques agitations, pitoyables guignolades.
• Je n’entends quasiment personne rappeler ce qu’était encore la diplomatie française d’après guerre. Ce que nous avions perdu en puissance militaire, nous pouvions encore le compenser en influence. Le refus d’être inféodé, comme l’obsession de la souveraineté, allait favoriser l’émergence d’une autre voie – le non-alignement ���, unique chemin vers la préservation d’une forme d’indépendance géopolitique dans un monde violemment bi-polaire. L’exceptionnel domaine ultra-marin de la France lui conférait alors une dimension internationale quasi naturelle, préservée des affres d’une décolonisation dramatique. Que reste-t-il de tout cela ? Rien. Absolument rien. La France a perdu partout, elle qui est maintenant devenue une colonie du tiers-monde, le champ d’expérimentation européen du globalisme assassin.
• Pathos, pathos, pathos ! J’ai du pathos à pas cher, en voulez-vous ? L’heure est donc à l’effroi et à l’indignation. Idéal pour nous rappeler que le peuple juif est un peuple héroïque. Légèrement dominateur – comme nous le rappelait le grand Charles – mais courageux, combattif, résolu. Idéal aussi pour déshumaniser le Palestinien de base et fermer les yeux sur les tonnes de bombes balancées sur des gens qui rêvaient sans doute d’égorger des Juifs mais qui, étant donné leur condition physique nouvelle, n’auront pas le temps de passer à l’acte. Je sais, je fais du mauvais esprit. Précisément. Ce qui est triste, là-dessous, c’est le cautionnement inconditionnel de la scénarisation tous azimuts. Ces gens-là, Monsieur, n’ont honte de rien. Ceux qui montrent avec le regard fixe, la mâchoire d’acier, le geste calme, et ceux qui regardent, le teint livide, la bouche ouverte, l’œil mouillé et la gorge nouée. Images de salle à manger transformée en abattoir, de jardinet jonché de tripaille, de trainées de sang chaud dans les couloirs. Ça change des parents gris qui beuglent comme des bougres avec le cadavre tout cendré de leur môme de quatre ans et demi dans les bras. “Oui, mais en même temps, il y a les agresseurs et les agressés, hein, non ?”. Et dire qu’ils sont payés pour oser proférer de telles ignominies.
• François Cevert est mort le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen. C’était le jour du commencement de la guerre du Kippour. Un demi-siècle plus tard, alors que je raconte à qui veut bien m’écouter la carrière fulgurante et la mort tragique de celui qui fut mon idole, le Hamas fourbit ses armes pour son attaque du 7 octobre. Coïncidence ? Je crois bien, oui.
J.-M. M.
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«Les français et les touristes fuient les périmètres de sécurité, les contrôles et les QR code ! Il reste encore du bon sens. Malheureusement les dégâts sont là. Dommage que @UMIH_France ne se soit pas emparé du sujet #passjo2024 !»
(David Guyon, avocat en droit public)
La seule leçon que les trumains tirent de l’histoire, c’est qu’ils ne tirent aucune leçon de l’histoire.
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Nouvelle pièce: Breathless
En attendant la sortie du prochain EP, voici un extrait de ce sur quoi je travail ces temps-ci.
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Déplacement des bornes congolaises par l'Ouganda : "Kinshasa suit de près la situation et il est hors de question que les périmètres frontaliers soient modifiés (Patrick Muyaya)
Alors que les inquiétudes et les alertes sont devenues de plus en plus persistantes suite à l’attitude des autorités ougandaises au sujet des bornes frontières congolaises, le gouvernement congolais dit ne ménager aucun effort pour tirer la situation au clair. Mardi dernier, lors d’un briefing de presse à Lubumbashi, Patrick Muyaya a rassuré que Kinshasa suivait attentivement la question via le…
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Le mois des fiertés est passé mais regardez ces belles photos de moi "dans le placard".
(Littéralement)
Je dois enregistrer de l'audio pour le vlog que je monte, et procrastine depuis 4 mois. Et l'isolation phonique n'empêche pas les bruits de voitures, d'ambulances ni de démolition dans le périmètre de 500m de ma coloc.
#jezatalks#jez au japon#my face#j'espère finir le vlog aujourd'hui#en vrai je dois juste enregistrer et monter l'audio#my agender ass qui se sent pas assez légitime is here
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« L'espace a une limite : le périmètre d'une prison. Le corps a une limite : son éternel désir de contact et d'amour. » Lenonetta Bentivoglio
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Je crois que ce qui me gène le plus avec les actes de méchanceté gratuite telle que la tromperie, le chantage, la violence verbale et physique, ect, c'est qu'au delà de nous affecter à l'instant t, ça va nous affecter bien plus longtemps. Je ne sais pas si les personnes auteures de ça peuvent se rendre compte de tout ce qu'elles brisent chez l'autre. C'est à dire, que par le biais d'une tiers personne, moi, et mes relations futures vont être entachées. C'est tronquer des parties énormes de notions piliers comme la confiance, le fait de se sentir désirable, la démonstration, la sentimentalité. À cause de quelqu'un je vais être privée de beaucoup de choses et devoir travailler à la place dun.e autre. Je sais que c'est comme ça pour à peu près tous les traumatismes, et c'est d'un égoïsme si pur que ça me rend malade. Tu sais que tes actions vont créer des blessures si profondes qu'elles seront visibles dans les mots, les comportements, la gestion des émotions des autres, et tu le fais quand même. Pour soulager ta propre existence tu es capable d'en briser une autre. Ça me paralyse d'effroi de réaliser que ce sera comme ça toute ma vie, peu importe la personne en question, elle finira toujours par contaminer ma vision de moi car elle n'aura pas eu le cran et le désir de faire attention. C'est l'illusion faussée qu'on ne peut rien donner sans perdre bien plus. Ce serait alors être perdant d'avance au change. Je crois que le plus dur pour moi ça a été d'être blessée juste après avoir guérie car j'ai fraîchement en tête le temps que ça m'a pris de ramasser mes morceaux de cœur, de m'assoir et de les coller entre eux avec tout ce que je trouvais. Certains avec de la confiance, certains avec du plus tard, certains avec des larmes, certains avec de la réflexion, certains avec l'envie de faire mieux, certains grâce à d'autres. Ça ne peut pas fonctionner de colmater des endroits avec ce que peuvent nous donner les autres, c'est trop fragile comme structure, c'est trop ébranlable pour que ce soit une solution durable. Alors aujourd'hui, plus que jamais, je suis découragée et déçue, de voir que peu importe l'endroit, la personne, la chaire ou le cœur, les schémas se répètent et pètent tout sur leur passage. Tout ça c'est une boucle, je suis seulement navrée d'en voir la petitesse du périmètre.
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Si le périmètre de sécurité est mis en place une semaine avant les jeux et ces derniers durent 2 semaines alors que l'on ferme les locaux une semaine, comment on gère les déplacements ?
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Je sais que de n'importe quelle pierre tu peux faire une fleur dans le périmètre de mon esprit.
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