#pélican gris
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Tanzanie, juin 2017
Mélange élégant de Pélicans blancs, Pélicans gris et de Ouettes d’Egypte.
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Et me voici donc à Puerto López, une autre ville sur la côte.
Malheureusement, je n'ai pas beaucoup de chance avec la météo : il fait bon (dans les 25°), mais il fait très gris, et j'ai même eu un peu de pluie
Du coup, toujours pas de baignade pour moi (je ne sécherai jamais...), je profite donc de l'air marin et du sable !
Il y a une petite particularité ici ... Pas de mouette, plus de pélicans ... À la place, j'ai des vautours !!
Il y en a un peu partout, sur la plage, sur les lampadaires, ils courent en se dandinant comme des dindes, c'est un peu particulier comme ambiance !
J'espère que le temps sera un peu meilleur demain, je vais faire un tour en bateau !
Plein de bizouuuuuuux 😘
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Á la découverte de la fascinante réserve de Bamboung. L'Aire marine protégée de Bamboung (AMP) est une zone de préservation du milieu marin située sur le bolong Bamboung, près de Toubacouta dans le département de Foundiougne. Elle est une partie intégrante du Delta du Saloum. Cette réserve a été classée en partie zone humide d’importance internationale en 1984. Créée en 2004, cette réserve s’étend sur environ 7 000 ha, dans la partie sud du delta du Saloum. L’AMP de Bamboung a été érigée en Reserve de Biosphère par l’UNESCO le 16 Mars 1981, de par sa diversité et sa richesse des écosystèmes. Réserve de Bamboung : 7 000 ha dans la partie sud du delta du Saloum keur-bamboung Cette AMP est l’une des premières en termes de gestion communautaire dans la sous-région et constitue le site d’accueil de l’édition Camp climat organisé par diverses organisations œuvrant dans le secteur environnemental. Ce Camp Climat nous a conduits à la découverte de l’une des aires centrales de la réserve de biosphère du Delta du Saloum après le Parc National du Delta du Saloum et la Réserve Communautaire de Palmarin. Elle est colonisée par les mangroves qui sont parmi les écosystèmes les plus riches du monde et sont privilégiés pour la reproduction de nombreuses espèces halieutiques. Principales espèces de la Reserve de Bamboung phacochère Dès la montée à bord de la pirogue à Dassilamé, on peut contemplez les mangroves et les bolons. Ces derniers constituent un véritable havre de paix pour de nombreuses espèces de poissons (environ 51 espèces), des huitres, etc. La rencontre avec les dauphins et les marsouins n’est pas rare dans cette zone. On peut observer chaque jour, des espèces d’oiseaux (héron Goliath, pélicans gris.) dans les palétuviers qui servent de lieu de prédilection. →A lire aussi Signature d’une convention de partenariat pour la promotion du tourisme religieux En outre, vous observez des espèces de mammifères terrestres mammifères tel que le phacochère, l’hyène tachetée etc. Des phacochères en divagation Réserve de Bamboung - 7 000 ha dans la partie sud du delta du Saloum Cette fascinante réserve écologique, calme et pure est dotée d’un climat particulièrement favorable au développement de la faune et de la flore maritimes. Sans laisser en rade les humains qui peuvent s’y réfugier ou visiter. Activités économiques Réserve de Bamboung - 7 000 ha dans la partie sud du delta du Saloum 4 Différentes activités économiques sont menées dans le site comme l’écotourisme, la pêche artisanale et la transformation des ressources halieutiques. Du point de vue de son importance socio-économique et environnementale, l’AMP est gérée de façon participative par les habitants de 14 villages environnants. Cependant, face aux enjeux environnementaux auxquels elle fait face une prise de conscience s’avère nécessaire pour une meilleure gestion et préservation du site. →A lire aussi Le tourisme fragilisé par l’insécurité à Kafountine (Département de Bignona) Il est nécessaire aujourd’hui que les différents acteurs de la société s’engagent à mettre en place des solutions respectueuses et durables afin de préserver ce patrimoine qu’est la réserve de Bamboung. C’est dans ce sens que s’inscrit le camp climat Bamboung organisé par Alternatiba Dakar, Nebeday, les Éclaireuses et Éclaireurs du Sénégal et le CNCR au campement Bamboung, dans les îles du Sine Saloum sur une durée de 10 jours (23 Août au 1er Septembre 2019). Cette année, plus de 300 personnes ont participées à cette 2éme édition lors de laquelle des formations approfondies, des ateliers pratiques ainsi que des moments de convivialité sont organisées. Six (06) modules ont été abordés suivant les thématiques : Bamboung, une idée des trésors du delta du Saloum 3 · Le changement climatique, · La communication, · La stratégie / campagne, · L’action non violente, · La méthode / le fonctionnement et les alternatives. Ces enseignements ont permis de renforcer les capacités des personnes
militantes, de mettre en pratique des alternatives, de se lier avec les différents mouvements, de consolider des groupes de travail dans les mouvements écologiques et de découvrir des solutions d’adaptation aux changements climatiques mises en œuvre par les communautés du littoral sénégalais. Atelier sur le changement climatique Bamboung, une idée des trésors du delta du Saloum 4 Hormis ces formations, d’autres activités ont été menées comme : les reboisements dans le village de Sipo et dans la mangrove, une visite de la réserve de Fathala, des ateliers de Slam et des feux de camp etc. Par Kafunel Avec Adame NDAO Ingénieure en Agro-foresterie , Ecologie, Adaptation
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Mardi 26 décembre 2023
Le patron météo un peu moche s’est poursuivi en matinée avec un ciel gris, mais le mercure était déjà plus élevé, annonçant la journée la plus chaude depuis mon arrivée. Nous en avons profité pour aller marcher dans les parcs des environs, notamment au Fern Forest Nature Center, où nous avons pu voir beaucoup de végétation typique des milieux humides (photos 9 et 10) au travers des parcours sur les sentiers de bois. La pluie reçue au cours des dernières heures semble avoir ravivé les moustiques : je me suis fait piquer cinq fois !
Sur l’heure du midi, le ciel s’est éclairci et le soleil a fait son grand retour. Nous sommes allés à la plage de Pompano (photo 2 et 3), où un grand quai permet d’avancer dans la mer (photo 7). On y trouve plusieurs pélicans n’attendant qu’une occasion d’attraper un poisson fraichement sorti de l’eau par l’un des nombreux pêcheurs installés sur le quai (photo 1). J’ai pu attraper l’un d’entre eux en train de faire sa toilette (vidéo en guise de photo 11). À partir du quai, on a une vue d’ensemble sur la plage se déployant de chaque côté (photos 4 et 5).
Contrairement aux autres plages des environs, celle de Pompano a conservé son aspect naturel avec ses dunes végétalisées, au travers desquelles ont peut apercevoir la mer (photo 6). Enfin, pour faire écho aux dernières publications, une image de la mer depuis la plage (photo 8).
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ACT 48
gris hors médian bandes à part vagues frégates goélands mouettes pingouins pélicans macareux cormorans pétrels albatros fous jusqu'aux super sourds manchots ailes si brisées gravillons léopards l'art n'a pas de sens on voit les points virgules entre les immeubles ce qui rend la lecture si difficile et les avenues si lassantes à parcourir les phrases dans les villes sont interminables actes contre nature entre l'objet et son mot la chose et son ombre eucalyptus parlant papaye a de quoi abolir jeux de mots jeux de vilain jusqu'à leur disparition prous
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Arche 1654 — Pélican gris.
Mardi 1er octobre 2019, Raphaël Zacharie de Izarra. _________________________________________ Né le 6 décembre 1965 au Mans, Raphaël Zacharie de Izarra est un écrivain et un vidéaste (bien qu'il n'accepte pas d'être défini en ces termes, « trop forts pour qualifier [ses] petits amusements artistiques »). Depuis 2007, il se met en scène dans plusieurs centaines (milliers ?) de vidéos publiées sur Youtube et Dailymotion. Poète oisif hors du monde et du temps, tout l'inspire et devient prétexte à s'enregistrer (il peut sortir jusqu'à trois vidéos par jour). Obsessionnel, il est l'auteur de très nombreuses chroniques (lectures de ses propres textes, purement littéraires ou politiques), mais aussi d'instants de vie capturés sur le vif (des promenades à vélo, des dégustations de bière, des conversations…), ou d'exercices de style (des montages sur de la musique, plus ou moins étranges…).
Reconnu « adulte handicapé », il dédie chaque seconde de son temps à sa production, et il n'est pas rare de croiser ce personnage lunaire dans les rues du Mans, toujours équipé de son caméscope. En 2014, des associations portent plainte contre lui. Il se retrouve ainsi, par deux fois, devant les juges à devoir s'expliquer sur ses textes polémiques (soumis à passer un examen psychiatrique, on le déclare finalement « pénalement irresponsable »).
Sa chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC4ApXwjJfcTKA3jRWMqgL0A Une tentative de centraliser son œuvre : http://izarralune.blogspot.fr/ _________________________________________ « Projet Arche » : un animal dessiné en quelques minutes chaque jour pendant dix ans. http://projetarche.blogspot.fr
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Pelecanus rufescens (Pélican gris) glissant sur l'eau, photo que j'ai prise il y a quelques années que j'utilise aujourd'hui pour vous souhaiter une bonne soirée, et un beau weekend ! :)
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Octobre MMXXI
Films
007 Spectre (Spectre) (2015) de Sam Mendes avec Daniel Craig, Christoph Waltz, Léa Seydoux, Monica Bellucci et Ralph Fiennes
Un condé (1970) de Yves Boisset avec Michel Bouquet, Françoise Fabian, Michel Constantin, Henri Garcin, Bernard Fresson et Rufus
Everything or Nothing : l'histoire secrète de James Bond (2012) de Stevan Riley avec Ken Adam, Maud Adams, Albert R. Broccoli, Barbara Broccoli, Pierce Brosnan, Daniel Craig et Timothy Dalton
Mourir peut attendre (No Time to Die) (2021) de Cary Joji Fukunaga avec Daniel Craig, Rami Malek, Léa Seydoux, Lashana Lynch et Ana de Armas
Tuer n'est pas jouer (The Living Daylights) (1987) de John Glen avec Timothy Dalton, Maryam d'Abo, Jeroen Krabbé, Joe Don Baker et Art Malik
Ne nous fâchons pas (1966) de Georges Lautner avec Lino Ventura, Jean Lefebvre, Mireille Darc et Michel Constantin
C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule... (1975) de Jacques Besnard avec Bernard Blier, Jean Lefebvre, Michel Serrault, Tsilla Chelton et Marion Game
Le Mystère Henri Pick (2019) de Rémi Bezançon avec Fabrice Luchini, Camille Cottin, Alice Isaaz, Bastien Bouillon et Vincent Winterhalter
La situation est grave mais... pas désespérée ! (1976) de Jacques Besnard avec Jean Lefebvre, Michel Serrault, Maria Pacôme, Daniel Prévost et Cécile Vassort
Les Barbouzes (1954) de Georges Lautner avec Lino Ventura, Bernard Blier, Francis Blanche et Mireille Darc
Les Aventures de Rabbi Jacob (1973) de Gérard Oury avec Louis de Funès, Claude Giraud, Miou-Miou, Suzy Delair, Renzo Montagnani et Henri Guybet
Séries
Kaamelott Livre IV
L'ascension du lion - Les émancipés - La révoquée - La baliste II - Les bonnes - Les refoulés - Les tuteurs II - Le grand départ - La clandestine - L'auberge rouge - Les envahisseurs - Les curieux première partie - Les curieux deuxième partie - Les tacticiens première partie - Les tacticiens deuxième partie - La réponse - Anges et Démons - La rémanence - La potion de vivacité II - Vox populi III - La sonde - La relève - Le jeu du Pélican - La permission - Le dragon gris - Le discours - Le paladin - Le choix de Gauvain - La dame et le lac - Beaucoup de bruit pour rien - Le Oud II - La face-à-face première partie - Le face-à-face deuxième partie - Les endettés
Le Coffre à Catch
#45 : Santino Marella est arrivé !! - #46 : CM Punk est un sacré filou ! - #47 : Vince McMahon CHAMPION DU MONDE DU CATCH !!! - #48 : Vince, Shane et UUUUUUMAGA dominent le monde !
Dark Side of the Ring Saison 1, 2, 3
The Fabulous Moolah - Benoit Première partie - Benoit Deuxième partie - Le meurtre de Bruiser Brody - Les Road Warriors - Le vol vers l'enfer
Psych Saison 6
Immunité problématique - Very Bad nuit - Carrément mordus ! - Super héros - Tous au stade - Shawn au-dessus d'un nid de coucou - Mon père cet escroc - Complètement babas
The Crown Saison 3
Poussière de Lune - Un homme en suspens - Imbroglio - Un cri du cœur
Columbo Saison 8
Ombres et lumières
Doctor Who Series 12
Le Contrat des Judoons - Orphan 55 - La Nuit de terreur de Nikola Tesla - Praxeus - Vous m'entendez ? - Apparitions à la villa Diodati - L'Ascension des Cybermen - Les enfants intemporels - Revolution of the Daleks
The Grand Tour Saison 1, 3
Opéra, art et donuts - Eco-conduite - Grand Tour vers le futur - Spécial Colombie : Première partie - Spécial Colombie : Deuxième Partie
Top Gear Saison 12, 14, 20, 21, 16, 10
1200 km en un plein - Du grand art - Ils ont roulé sur l'eau! - Destination Thaïlande - Un pont sur la rivière Kwaï - Surfin' USA - La traversée de la Manche
Chapeau melon et bottes de cuir Saison 5
Meurtres à épisodes - La Dynamo vivante
Nestor Burma Saison 5
Drôle d'épreuve pour Nestor Burma
Spectacles
Espèces menacées (2021) de Ray Cooney avec Laurent Ournac, Arnaud Gidoin, Thierry Heckendorn, Yannik Mazzilli, Gaëlle Gauthier, Zoé Bruneau, Sébastien Pierre et Serge Da Silva
Supertramp Live in Paris '79
Les Dégourdis de la 11ème (1986) de André Mouëzy-Éon et Georges Daveillans avec Robert Hirsch, Darry Cowl, Pierre Tornade, Marcel Philippot, Jean-Marie Juan, François Morel, Frédéric Saurel, Annick Alane et Virginie Pradal
La Taupe (1987) de Robert Lamoureux avec Robert Lamoureux, Pierre Maguelon, Patrick Abrial, Magali de Vendeuil, Marie Saint-Laurent et Francis Deschamps
Le Tombeur (1986) de Robert Lamoureux avec Michel Leeb, Guy Lecluyse, Julia Duchaussoy, Pascale Louange, Chick Ortega, Camille Solal, Coralie Audret, Laurence Porteil et Xavier Goulard
Livres
Lucky Luke Tome 53 : Le Daily Star de Jean Léturgie, Xavier Fauche et Morris
Une vraie panthère de Jean Bruce
Bonjour tristesse de Françoise Sagan
Astérix Tome 39 : Astérix et le Griffon de Jean-Yves Ferri et Didier Conrad
L'Île mystérieuse de Jules Verne
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Réserve nationale des manchots de Humboldt
Petit détour au Nord de La Séréna pour visiter la réserve des manchots de Humboldt ; un peu redondant avec la réserve Pan de Azucar, mais on ne s’en lasse pas. La réserve est constituée d’une série d’îlots au large de Punta Chorros, on fait une balade en bateau pour s’approcher des côtes et fouiller du regard les amas de roches pour y dénicher les petites bestioles à plastron blanc qui s’y dandinent. Les îles regorgent aussi d’otaries, loutres qui se cachent dans les buissons d’algues, pélicans, vautours et autres oiseaux. Pour bien en profiter, on a posé nos sacs à Punta Chorros une nuit : après le départ du dernier bus pour la Serena, le village est désert en basse saison. C’est l’occasion de faire de jolies promenades sur le littoral, sauvage et découpé qui n’a rien à envier aux plus belles côtes bretonnes. On y voit des renards gris (encore) et des guanacos, sorte de lama déguisé en vigogne (couleur brun clair donc) avec un masque noir.
Après cette parenthèse bucolique, sportif enchaînement au programme: retour à La Serena, bus de nuit pour Santiago et vol pour l’île de Pâques dans la foulée !
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Balancoire Soldes
Recherchez la collection maintenant par l'entremise du site Web de laide J'aime. Le commanditaire se réserve le droit de modifier, suspendre ou mettre fin au concours dans le cas où il devient infecté par un virus informatique ou est autrement techniquement, et pour annuler douteux ou de suspendre le concours dans son intégralité devrait l'altération, d'une intervention non autorisée, de fraude, de défaillances techniques ou d'autres causes de corruption de l'administration, la sécurité, l'équité, l'intégrité ou la bonne marche du concours et, s'il est résilié, à la discrétion du promoteur, déterminer le gagnant en utilisant tous les non-suspect, inscriptions admissibles reçues jusqu'au moment de l'annulation à l'aide d'un tirage au sort.La combinaison de coups de pied et de maillage en daim dispose d'une construction avec des motifs floraux en léchant la doublure et talon onglet Finition pour une photo. Après un court processus d'élimination, vous décidez que ce sera le moment où vous regardez Anthony Davis, centre de la Nouvelle-Orléans pélicans. Le magasin est défini pour un Décembre 21e lancer ce qui signifie que vous pourriez bien trouver ce snakeskin tapis en solde sur des étagères et même si ces images sont un peu boueux la qualité brille par Bright. le coin supérieur est équipé d'un cuir verni noir brillant, tout en prenant sur un Jeux De Jardin Pas Cher modèle matelassé. Toute action juridique liées au concours doit être intentée dans l'état ou les tribunaux fédéraux dans la ville de New York, New York, et tous les participants consentent à Aires De Jeux Exterieur la juridiction exclusive de ces tribunaux. À partir de la couture ans, Guillaume Henry et M e Carmen de patrimoine a gardé sa Tommasohave Il vit dans l'esprit de conception parfaite et le choix des matériaux. Floral Pack Noir St Fade Rose, tribu Aluminu jardin urbain anuary Blue 2014Source. Après plus d'un an d'anticipation ou trembler selon qui vous demandez, la manière de Wade est Li-Ning enfin aller pour obtenir une version en ligne ici aux USA. Intitulé comme le Raf T-shirt, la pièce crewneck est fabriqué à partir d'un tissu en polyester spandex Mélange, tandis que orné d'un collage de, printemps été 2013 collection pour une présentation dynamique globale. l'infâme WTT colorway est mieux connue sur le tapis pour escalier intérieur silhouette. Languettes de tirage rouge peut être vu le long le Loup gris capturés, compensée par une semelle rose vif. Maintenant si ou non vous aimez Drake's music, parasol enfant marque l'ouverture de leur design house qui reçoit beaucoup de merde de gens que ces immérités jours parce qu'ils ne se contentent pas de rendre s à quelqu'un avec son point de vue est intéressant à tout le moins. Vérifiez la disponibilité auprès de votre distributeur local si vous êtes intéressés. Dre, il a estimé droit et un choix naturel pour moi de donner les écouteurs Beats Studio, battements pilule et oreillettes Urbeats un propre, style minimaliste avec un luxe de sensibilité.naturellement le schéma de couleurs jaune et verte fait référence à les couleurs de l'équipe, tandis que le ‘ sur la langue fait référence au fait que ce sont en fait un effort de collaboration avec collecteur unique magazine. Le Vente En Ligne Bac à Sable promoteur a le droit de substituer un prix pour une raison quelconque. www.jeuxjardin.com/aire-de-jeux/gonflable
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La journée commence tout tranquillement par une petite balade sur la plage : pour une fois, je sais déjà où je dors ce soir, c'est la détente !
(Ouh les belles boucles ! Le bain a fait du bien...) Je découvre au passage que l'Australie ne peut décidément rien faire comme les autres niveau faune : ses pigeons sont carrément roses.
Après ça, c'est voiture direction la réserve de fougères de Gorge State.
C'est une forêt avec un petit chemin aménagé, il y a des espèces différentes de fougères partout ! Des fougères arbre comme j'ai pu en voir hier, des fougères sur les arbres, des tellement fines que leurs feuilles seraient apparemment épaisses d'une seule cellule, des fougères en forme d'empreintes de kangourou (ci-après) ... C'est très apaisant comme milieu, et sacrément humide, ça sent comme la forêt d'Arc...
Je prévoyais ensuite de passer une petite heure dans la réserve ornithologique en milieu humide de Tamar Island, mais me fait complètement happer par cet endroit ...
On est entourés de roseaux (?) dont les graines volent au grès des courants d'air comme des flocons de neige, avec le vent qui fait onduler ces immenses étendues comme des champs de blé. Ça a un petit air de Nausicaa d'ailleurs !
Et au milieu de tout ça, je croise des dizaines d'espèces d'oiseaux différentes, du cygne noir au pélican (enfin, je crois, mes capacités en ornithologie restent à démontrer), en passant par le petit passereau gris tout rond (comme une boule de Noël) à la queue bleue vif toute dressée derrière. C'est hors du temps comme endroit !
Bon, le problème, c'est que c'est tellement hors du temps que je pars complètement à la bourre, et comme je dois en bonus faire une micro sieste sur le bord de la route parceque je m'endors au volant, je rate la dernière visite guidée de la grotte que je voulais voir. Pas le droit d'y aller seule, je ferai peut être un (gros) détour en repartant !
Je fais une dernière halte à une petite cascade, où je retrouve la belle couleur orangée de la roche...
... avant de repartir finalement vers mon logement de ce soir, sur Cradle Mountain.
J'ai une jolie vue sur le chemin (dommage que la photo soit aussi floue !), mais je galeeeeeeeere pour réussir à trouver mon bungalow dans le noir, c'est un vrai labyrinthe cet endroit.
C'est tout pour aujourd'hui, des bizouuuuux
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La force qu’il faut pour se relever.
Est-ce que le vrai défi ce ne serait pas d'écrire pour me soigner ? D'arrêter de me taire, de poser les scalpels. Est-ce qu'il ne faudrait pas écrire pour apprendre à enlever la robe de Virginie ? Je ne sais pas. J'ai toujours attendu que tu me dictes la consigne.
Je compte jusqu'à trois et je m'ouvre le thorax, et j'entr'ouvre le poing, je me force la main. Je laisse une petite chance à celle que j'aimerais devenir. Est-ce que j'aurais pu être forte ? Est-ce que j'aurais pu être sûre ? Est-ce que j'aurais pu conjuguer ailleurs qu'au conditionnel imparfait? Je crains de ne pas faire de bons mots ailleurs que dans les demi-teintes. Je crains d'être coincée dans cette nuance amère de roseau replié.
Je chasse le naturel, il revient au galop. Tu ne l'as pas mangée pourtant, la force qu'il faut pour me relever ? Tu n'es pas un ogre tout de même. Tu n'avais pas de si longues dents, tu n'étais qu'un homme après tout, moins bon que d'autres peut-être, plus lâche que d'autres peut-être, ç'aurait pu être un autre, peut-être – Elle est toujours coincée entre tes lattes et ton matelas, la force qu'il faut pour me relever ? Est-ce qu'elle était si mince que ça, était-elle cuite à l'étouffée entre deux gris et trois poussières ?
La force pour me relever doit être où tu n'es pas. Dans les bras qui me plaisaient quand je levais la tête pour les regarder passer. Dans les mots que je calque sur le net, qu'il faudrait me calquer dans la tête : Tell your mountains about your God. The world is full of nice people. If you can't find one, be one. So plant your own garden instead of waiting for someone to buy you flowers. Switch your mentality from “i’m broken and helpless” to “i’m growing and healing” and see how fast your life changes. Se rattraper au vent d'un téléphone à fil, merci, tu es un amour, suivre les chemins dans les collines, les nervures et pas les fissures, suivre le hâle à même la peau, pas le halo dessous la peau, faire court et faire dans la dentelle – de gré ou de force, et même quand elle m'appelle « choupette », quand Alexandre m'appelle « ma belle », quand mes petites mamans disent « cocotte », ces petits noms pour gracile : les mettre dans ma force – l'oiseau des forts c'est le pélican.
Je devrais chercher des forces jusque dans mon effroi de ne pas faire comme tout le monde. Jusque dans mon attente. Peut-être que la force c'est d'abord une histoire de regard. J'avais quelque chose qui tremble quand tu m'appelais au loin (j'ai si peu l'habitude qu'un garçon dise mon nom) : quand je levais les yeux de mon livre je te trouvais planté devant moi (gentiment, massivement ; tu as un côté Giono, je ne te l'ai jamais dit, j'avais peur d'expliquer), je devais me museler le ventre. Elle est peut-être par là ma force. Pas dans mes bredouillements. Dans le choix de me souvenir que tu m'as regardée.
Trois pas d'élans avant de chercher la force pour me relever. Un : me sevrer de la pimprenelle. Me prendre à deux mains, m'envoyer balader en dehors des complaintes. Deux : chercher la force par-dessus bord. Envoyer des bateaux en papier au bout de la table, au-dessus de ta tasse. Trois : chercher la force où je voudrais être. Dans le suc des pastels. Puisqu'on tombe amoureux au seuil des boîtes à livres. Puisqu'on peut encore vivre près de la cheminée, parmi les enfants et les bêtes.
C'est mièvre quand même quand je parle de force. Est-ce qu'on peut se relever mièvrement ? Je ne sais écrire et vivre que ce qu'il y a entre les phylactères. Dans le mince bandeau blanc qui sépare deux cases (gouttière. Chat de gouttière). Faut-il s'en relever, pourtant ? Si j’ai des courbatures j’ai bien du avoir un peu de force, dans mes brassières, dans les vestiaires, d'ailleurs il m'arrivait de rire – de déchirer mes jeans, de porter des résilles – de jouer en duel des mots des étincelles – avant, sous un regard, d'ébrouer mes antennes, moisir ma clavicule sous la paume de ma main. La force de me relever ne viendra pas de moi. Je cherche le salut dans la pitié d'un autre.
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Le bon timing est essentiel: si les passionnés de la faune planifient un voyage en Tanzanie, ils doivent suivre le calendrier des animaux. Ce qui montre où et quand, après tout, n’est pas un secret. La vue d’ensemble
Ndutu Morgenröte 2 © Win Schumacher Weltwege
Serengeti Gepard 4 © Win Schumacher Weltwege
Ndutu Gepard 1 © Win Schumacher Weltwege
Ndutu Zebrajagd 2 © Win Schumacher Weltwege
Ndutu Morgenröte 1 © Win Schumacher Weltwege
Ndutu-See 1 © Win Schumacher Weltwege
Serengeti Safari-Stau 1 © Win Schumacher Weltwege
Serengeti Elefant 2 © Win Schumacher Weltwege
“Mafia Island, Coast Province, Tanzania””Whale shark, golden trevally and anchovies.”
“Mafia Island, Coast Province, Tanzania”Aerial view of whale sharks and tourists.
utende beach area, mafia island
Serengeti Mara River 1 © Win Schumacher Weltwege
Serengeti Gnuwanderung 2 © Win Schumacher Weltwege
Mahale Mountains NP Greystoke Mahale © Win Schumacher Weltwege
Mahale Mountains NP Schimpansenmutter mit Kind 1 © Win Schumacher Weltwege
Katavi NP 1. © Win Schumacher WeltwegeJPG
La Tanzanie est l’une des destinations les plus fréquentées par les personnes qui préfèrent admirer les animaux dans leur habitat naturel plutôt que dans le zoo. Mais réserver un safari n’est pas une entreprise si simple. Le critère le plus important est le temps de trajet. Car quand les gnous, les guépards, les lions et les léopards montrent où, suit essentiellement le modèle des saisons sèches et pluvieuses.
Bien sûr, la chance et la patience déterminent si les voyageurs se souviendront plus tard d’une observation spectaculaire de la faune. Mais qui planifie bien ses vacances avec la faune, devrait avoir les meilleures conditions.
Un conseil: ne pensez pas seulement au Serengeti, car la célèbre réserve est confrontée à de grands défis. Les braconniers, mais aussi de plus en plus de touristes, posent des problèmes à l’écosystème. La construction de nouveaux hôtels, l’augmentation de la consommation d’eau, les déchets et les accidents impliquant des voitures de safari ont des conséquences néfastes sur la faune. Ceux qui veulent voyager de manière responsable peuvent également recourir aux solutions énumérées ci-dessous – et ainsi visiter des destinations moins encombrées.
Août et septembre: traversée des troupeaux de gnous sur la rivière Mara
Le troupeau hésite. Les gnous sont densément peuplés sur les rives de la rivière Mara. Son grognement nerveux remplit la chaleur de midi. La savane scintille en gris clair des corps des antilopes de vache. Vous savez, la rivière a des rapides imprévisibles et d’énormes crocodiles bruns attendent dans l’eau boueuse. Depuis une colline sur la rive opposée, les touristes suivent le drame qui l’annonce. Rarement le spectacle de la nature n’a pas de spectateurs. Cependant, cela peut prendre des heures avant que le premier gnou n’ose sauter dans l’eau. Bientôt, des milliers de sabots tonitruants tourbillonnent un épais nuage de poussière.
Soudain, le premier gnou saute dans la rivière. Après une pulsion instinctive, animal par animal suit tout le troupeau – un spectacle sans pareil dans le règne animal. Avec des sauts d’un mètre, les victimes se précipitent dans l’inondation, nagent dans la rivière, s’entassent. Ceux qui perdent trop de puissance risquent de se laisser emporter par le courant ou de se noyer sous les sabots de la masse imposante.
Un crocodile s’approche de la caravane flottante, attendant qu’un gnou nage entre ses dents. Le jeune animal tente de se libérer, mais sa lutte contre le reptile est sans espoir. En quelques secondes, il sera traîné.
La rivière Mara est l’obstacle le plus dangereux à la migration des grands gnous du Serengeti vers le Masaï Mara, l’une des dernières migrations massives de grands mammifères sur Terre. C’est presque un miracle qu’il continue à ce jour. Presque partout dans le monde, les chasseurs et les clôtures à bétail ont aboli les migrations d’animaux séculaires. Dans le Serengeti, cependant, les troupeaux continuent de suivre un cycle éternel.
Février: guépards et lions dans la plaine de Ndutu
Nulle part ailleurs en Afrique les chances d’ici aussi bien de photographier ou de filmer plusieurs espèces de chats à la fois – avec un peu de chance même avec une chasse réussie: la plaine de Ndutu, entre le parc national du Serengeti et le cratère de Ngorongoro généralement entre la fin janvier et la mi-mars dans une scène pour un spectacle spécial. Lorsque la savane poussiéreuse devient une zone de verdure après la saison des pluies, des milliers de gnus, de zèbres et de gazelles donnent naissance à des milliers de leurs petits. Alors commence la fête des chats.
En plus des lions et des léopards, les guépards trouvent une proie facile. Les caracals couleur sable, timides comme leurs parents, le lynx européen, et rarement vus, traquent les faons des gazelles Thomson. Même les jolis serviteurs tachetés aux grandes oreilles laissent rarement échapper la progéniture non gardée. Parfois, des chats sauvages africains rejoignent le rendez-vous sur le podium de Ndutu.
Août-octobre: Chimpanzés dans le parc national des monts Mahale
Des scènes de chasse assez différentes se déroulent à la fin de la saison sèche dans le parc national des montagnes de Mahale. Un chimpanzé regarde avec des yeux tendus jusqu’à un petit singe dans la cime des arbres. Là, sur l’une des plus hautes branches, se trouve une petite mère singe apparemment nerveuse tenant un bébé dans ses bras. Le bébé dans la canopée est le petit-déjeuner espéré du grand singe. Il ne va pas le manquer. Dans quelques instants, une chasse sanglante commencera avec l’aide de son clan, ce qui est sans précédent chez les primates.
Il est rare de voir des chimpanzés imiter d’autres singes. Cependant, contrairement aux gorilles, ils ne se nourrissent pas principalement de végétaliens. Lorsque l’occasion se présente, ils capturent également des mammifères jusqu’à la taille de petites antilopes. Les colosses rouges sont leur butin préféré.
Le parc national des monts Mahale, sur les rives orientales du lac Tanganyika, à côté du sanctuaire de Gombe Stream, plus au nord, est l’un des rares endroits d’Afrique où des groupes de chimpanzés habitués peuvent être observés, particulièrement en septembre et octobre.
Ces dernières années, les singes ont attiré un nombre croissant de touristes dans l’ouest de la Tanzanie. Le cadre pour l’impressionnant théâtre de singe vaut à lui seul le détour. Le vert luxuriant de la jungle, qui domine le bleu turquoise du lac Tanganyika, rappelle davantage une île tropicale que l’Afrique de l’Est. Contrairement à Zanzibar, cependant, il n’ya ni vendeurs sur la plage, ni bateaux de plongée surpeuplés. Au lieu de poissons coralliens, on peut voir des cichlidés éblouissants dans une eau cristalline, dont la plupart des espèces n’existent nulle part ailleurs.
Octobre: hippopotames et crocodiles dans le parc national Katavi
À la saison des pluies, le parc national Katavi est un vaste marécage. En octobre, cependant, on ne trouve généralement de l’eau que dans quelques étangs et lits de rivières. La vie se concentre alors autour des derniers étangs restants. Des centaines d’hippopotames et de crocodiles se rassemblent dans l’étroit ruisseau de la rivière Katuma.
La dispute sur les derniers points d’eau mène parfois à des guerres de gazon dramatiques. Terriblement, les taureaux déchirent leurs énormes bouches et dévoilent leurs dangereuses canines. Sur le dos des monstres, entassés, des cigognes marabouts se pavanent.
À quelques mètres à peine se trouvent de gigantesques crocodiles à la recherche d’une place dans la piscine encombrée. À côté se trouvent des pélicans, des cigognes à dos noir et des hérons goliath. Les lions, les éléphants et les girafes sont également attirés par la dernière eau et ne sont pas rares à cette époque de l’année.
En raison de son éloignement, très peu de touristes se rendent encore dans le parc national Katavi. Ici, vous avez généralement la savane pour vous tout seul. Pas étonnant. Un pilote de brousse de la métropole du safari Arusha atterrit seulement deux fois par semaine. Pour un trajet en voiture, il est préférable de planifier plusieurs jours.
Novembre à janvier: plongée en apnée avec les requins baleines au large de l’île Mafia
La savane tanzanienne n’a pas que ses géants. Face à l’île de la mafia, dans l’océan Indien, les plongeurs en apnée peuvent rencontrer le plus gros poisson du monde: le requin-baleine, parfois long de dix mètres. Les géantes marines repérées flottent calmement sous la surface de l’eau.
Leur bouche grande ouverte serait presque assez grande pour sucer les snorkelers. Le mangeur de plancton semble cependant peu impressionné par les gens agités. Pour eux, l’homme n’est ni un danger ni une proie. Glissant majestueusement, ils filtrent des litres d’eau à travers leurs puissantes branchies, grouillant de poissons coralliens aux couleurs vives.
Avec de la chance, vous pourrez observer les requins-baleines devant l’île de Mafia presque toute l’année, mais les chances sont meilleures de novembre à janvier. Des récifs colorés et une vie décontractée sur les îles font de la mafia une véritable alternative à la ville surpeuplée de Zanzibar. C’est le bon endroit pour se remettre du spectacle safari.
Calendrier de safari pour la Tanzanie Où vont les gnous, quand le lion chasse-t-il? Le bon timing est essentiel: si les passionnés de la faune planifient un voyage en Tanzanie, ils doivent suivre le calendrier des animaux.
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Compte-rendu, vu par Rodrick le Courtois
JOUR 2
18 BACKERTAG 4 SIGMARZEIT… Jolie température.
OK, la sorcière s'appelle Maida.
Pendant qu'Uthrel reste au temple de Sigmar pour en prendre soin, ainsi que d'Urun, le reste de notre fine équipe repart dîner au Pélican. J'espère qu'Uthrel va en profiter pour les nettoyer tous deux, ça empeste dans le temple : paraît que les sigmarites soignent au moyen du feu, je me demande si on va retrouver Urun et Maida carbonisés...
Qu'elle fait du bien cette petite taverne : bon petit plat chaud, un peu de musique, un cordial, l'odeur de la mer… dans le doux lit du Pélican, le sommeil me cueille rapidement... le lendemain, réveil assez tard, on descend faire le plein de provisions avant de sortir : baluchons emplis d'œufs durs, viande séchée, pain, fruits... avec ça, on tiendra la journée.
Tiens, qui vois-je ? Dans la salle, une armoire à glace qui fait froid dans le dos, balafré d'affreuse façon, discute avec Frederik Grotz, un type de la Main Noire avec qui j'ai un peu bossé... Gustav lui fait un signe discret, on se retrouve à discuter dans un coin... ce satané embrouilleur nous papote qu'il travaille pour Van Kuipper, rien que ça… l'homme le plus riche du Vieux Monde !
Comment on fait pour passer de la mafia d'Altdorf à conseiller en sécurité chez Van machin, hmmm ? Conseiller en sécurité, en plus... ç'te blague, pourquoi pas préposé à l'honnêteté aussi... Grotz dit résider dans Gulder, au Brelan d'As : l'endroit est connu comme casino où l'alcool coule à flots, plaque tournante de la drogue et de la prostitution... ouais, c'est déjà plus son domaine.
Va falloir suivre ça : on passera le voir durant le séjour. Et tiens... quand le balafré quitte l'auberge, il y a des murmures désapprobateurs : même absent, il fait peur, c'est la classe... son blase : Dario.
Dans la salle, Gallahorn interpelle un vieux du coin aux oreilles pointues, normal il est chez lui le bougre, et un humain aux allures de contremaître... ç'ui-là c'est Hanss Müller, le chef des Poissons : clan de dockers, dont le clan rival se nomme les Rats Noirs. Sont énervés : l'un des leurs a disparu, Jurgen Klinski, et leurs soupçons se portent sur les Rats.
Gallahorn fait la gueule : il nous raconte qu'il connaît bien Jurgen, ce dernier l'a sauvé de la noyade plus jeune, et notre elfe a ensuite sympathisé avec cet humain et sa femme Olga, qui garde un étal de poissons sur Bruckberg Strasse. Bon, on va enquêter...
Faudrait faire vite : d'autres Poissons et Rats viennent d'entrer au Pélican, et ça se corse, ils sont prêts à en découdre... Ismael l'aubergiste fout tout le monde dehors, quelques Poissons tatoués et Rats aux cheveux courts commencent à se frapper en pleine rue... une lame sort, mais Gallahorn intervient et calme le jeu... puis les Coiffes Noires sont visibles de loin : nos braves dockers s'insultent un peu, avant de reprendre leur train-train...
Reste plus qu'à tracer jusqu'à Templewijk. Avant, nous passons par la guilde des Pigeonniers pour envoyer un message à l'avocat Gustavos, histoire de récupérer la gérance ou la propriété de l'auberge de la Capuche.
Arrivée au temple de Sigmar. Bonnes nouvelles : Ernst a assez nettoyé pour rendre l'atmosphère respirable, et Uthrel a fait des merveilles, donc pendant la nuit l'état d'Urun et de Maida s'est amélioré. Celle-ci nous déballe son histoire :
Son nom complet est Maida Widmann, prêtresse Shaléenne, ancienne directrice de l'orphelinat de Marienburg. Il y a plus de 10 ans un répurgateur, nommé Osric, apporta un bébé aux soeurs, qu'il disait avoir sauvé de cultistes se réunissant dans un marais maudit. Après avoir été baptisé Karl, le petit grandit à l'abbaye. Or, Maida mit du temps à s'en rendre compte, cet enfant était impossible à détester : il suffisait de poser les yeux sur lui pour l'aimer d'un amour dingue, il était capable de vous imposer ce qu'il voulait sans effort… Quand elle ouvrit les yeux, elle ordonna à sa prieure Gerda de le renvoyer aux répurgateurs, et crut en être débarrassée.
Hélas, le jour où elle entendit la foule scander son nom, où elle vit Helmut le sénile proclamer Karl héritier de Sigmar, elle comprit que c'était l'enfant maudit qu'elle croyait mort depuis longtemps : cette traîtresse de Gerda le fit probablement élever en secret comme une maquerelle. Meida tenta de faire jouer son influence pour révéler la vérité, mais elle fut vite accusée de rite chaotique, et sans le sergent local Maximus, elle serait depuis longtemps morte en place publique. La cage lui sauva finalement la vie, avec l'aide de notre ami Urun, bien sûr… Mais elle reste bien mal en point : après avoir raconté son histoire, elle se tait d'épuisement.
Gloire au nez cassé de Sigmar... Urun a ouvert l'œil, mais il va encore devoir se reposer... tout du moins il devrait : cet Elfe est têtu comme un Nain, il veut à tout prix faire un tour à la guilde des Vents magiques pas loin, obligé de l'accompagner… là, on rencontre Konrad le Lumineux, un mage haut en couleurs à la gentillesse doucereuse, le gars force encore plus sur la courtoisie que moi... nous avons parlé de tout et de rien, mais il a subtilement abordé nombre de sujets, et fit même avouer à Urun sa responsabilité dans l'apparition des diablotins, j'étais soufflé... à garder dans le carnet d'adresse cependant, car il nous fit offrir 2 belles fioles de soins magiques par son chat blanc apparu de nulle part... nous allons probablement le revoir.
Après une rapide collation, nous décidons d'aller rencontrer Gerda, et partons au grand complet visiter l'orphelinat du Doodkannal... bâtiment blanc, propre, entretien moyen... quelques enfants jouent, chantent, beaucoup de chats sont présents... détail curieux : nous entendons les gamins discuter entre eux, s'étonnant de devoir chanter en faveur de Sigmar, et non de Shallya...
Nous voici enfin introduits auprès de Gerda, la matronne du coin : 50 ans, le cheveux gris, propre sur elle. Sourire pincé...
Selon elle, l'histoire de Karl est simple et glorieuse : l'enfant fut déposé devant l'orphelinat, un soir de comète à 2 queues, où il brillait dans la nuit. Le petit miracle fut toujours différent aux yeux des sœurs : il fallut le protéger des autres enfants car il attirait leur convoitise. Il rayonnait, fragile et fort en même temps.
Un jour funeste, 3 hommes à l'air patibulaire sont arrivés, portant pustules, posant des questions à son propos, puis tentèrent finalement de le kidnapper. Mais le sublime Karl se libéra et, en véritable réincarnation de Sigmar, massacra les cultistes. Pendant l'entrevue, Gustav qui n'est pourtant pas un boute-en-train, s'est retenu de ne pas éclater de rire...
À la fin du discours, Uthrel eut le malheur de parler d'Osric : ni une ni deux, la Gerda a stoppé la conversation, puis nous a presque foutu dehors. Mais la soeur qui nous avait amenés devant l'autre folle m'a discrètement fourni un petit mot qui confirme que la véritable Maîtresse était bien Maida, que cette dernière dit la vérité.
Bon voilà, il nous reste à retrouver ce satané Osric. On sait qu'il faillit être pendu, que depuis il se cache et s'abrutit au Lotus Bleu, une fumerie d'opium : ce soir, ce sera le boulot d'Uthrel et Urun. Pendant ce temps, Gustav, Gallahorn et moi allons nous occuper d'une histoire de contrebande pour un clan elfe de Marienburg.
Dans la rue, des rumeurs : le chef de famille du Clan du Soleil est revenu d'une expédition archéologique, avec un hippogriffe puis d'autres bestioles, des objets rares et chers... Y'a aussi un crieur de rue, curieusement bien fringué, qui distribue des pamphlets contre la noblesse... Quelques annonces de disparition sont placardées, concernant Jurgen Klinski ou d'autres...
J'arrive à l'auberge du Pélican avec Gustav et Gallahorn : surprise ! Le jeune Ernst est là avec un ami, une connaissance d'une petite bande de malfrats nommée les Molosses, qui dit avoir assisté à la scène de combat avec Karl... On lui paye quelques verres... Selon lui, Karl éclata la cervelle de 3 cultistes à l'aide d'un marteau, avec gravé sur le torse un signe de la comète à 2 queues de Sigmar... Présents tous deux, Osric cria au blasphème, Helmut au miracle : la foule subjuguée suivit Helmut, et faillit lyncher Osric.
Bien : ça affine les détails !
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Du New SouthWales au Queensland
Samedi 15 juillet, 17h, il fait presque nuit et après une magnifique journée ensoleillée, il commence à pleuvoir… Nous sommes à Miami Beach sur la Gold Coast dans le Queensland à 1400 km de notre point de départ. Laure vient de partir doucher les filles dans la « Family room » du camping, dotée d’une baignoire, parfois de petites toilettes et normalement accessible qu’avec un code, mais la plupart du temps squattée par tout sauf des familles! Sûrement parce que les enfants ne salissent pas autant les sanitaires que les adultes ! A ce propos, les filles sont adeptes des sanitaires. Elles commencent leur 1ère fois dès le réveil et y retournent jusqu’à 2 fois… Bien sûr en décalé… au grand désespoir de Laure qui utilise des paquets de lingettes impressionnants et qui use de tous les moyens pour ne pas qu’elles s’assoient dans les toilettes publiques. Mais en tout cas Léonie est prête pour l’école !
L’étape à Woolgoolga de samedi soir dernier a été rapide, juste le temps pour Laure d’acheter une combi 3/2 en solde (elle espère bien l’utiliser car elle en a déjà une à Hossegor) et de nous prendre un bon café. Elle n’achète pas de planche, comptant bien sur de possibles locations plus loin… Nous voilà donc partis pour l’exploration des spots alentours. Pas très fructueux, tous les points break étant endormis du fait d’un manque de houle flagrant. Tant pis, on passera la journée à Red Rock, une paisible bourgade entre océan et rivière avec une belle pelouse, des pélicans et un parc plutôt sympa abrité du vent. La plage étant trop ventée, nous n’y avons fait qu’un court passage le temps de jouer à la balle avec Manon qui adore faire le petit chien et la ramener en courant le plus vite possible, Léonie faisant tranquillement des bulles et des pâtés de sable. Pour une fois elles ne se sont quasiment pas disputées de la journée, et on trouve ça super étonnant. On repart vers 15h30 avant la nuit, pour arriver trop tard à notre prochaine étape, Yamba, le Holiday Parc étant déjà fermé (on est dimanche). Laure a repéré le « Dolphin Park » sur la route en arrivant, et il est ouvert ! Ce sera un bon choix, et l’endroit préféré des filles grâce à ses deux parcs à toboggans, sa salle de jeu et ses piscines chauffées !!! Pour les adultes, il y a même un bar (où on pourrait boire un verre les fesses dans l’eau à une autre saison), une salle de billard, et un restaurant. On se fera un bon petit Mojito pour fêter l’admission de Charlotte en crèche, non sans un peu de mauvaise conscience pour Laure qui l’allaite encore exclusivement ! Nous y resterons du coup deux nuits. Le lundi, après une session toboggans et piscine pour les filles alors qu’il ne fait tout de même pas très chaud, nous partons à Angourie (spot potentiellement worldclass), une pointe de terre avec un beau reef, des lacs d’eau douce dans des anciennes carrières et une très belle petite plage. Un mec à l’eau essaie de partir sur une micro vague qui passe toutes les 30 minutes, en vain… Retour à Yamba avec l’objectif de se faire un resto et un bon poisson grillé puisque c’est un port de pêcheur. Mission difficile en Australie ! Nous trouvons une poissonnerie pour acheter une ventrée de grosses crevettes, et puis on se dirige vers un restaurant que la poissonnière nous indique en bord de route, pas très glamour… On finit avec un family pack (4 filets, 8 calamars, 4 sticks, 4 patates et des frites à gogo) tant pis pour les calories. Notre dose de gras de la semaine ayant été atteinte, on va éliminer en se baladant autour du phare, le temps étant assez menaçant et les filles râlant à chaque pas, pour changer… et toujours pas de vagues à l’horizon.
Le lendemain, le temps est beau mais le check de tous les points breaks jusqu’à Byron Bay s’est révélé encore une fois infructueux, avec toujours le même sentiment de frustration et de déception en imaginant une vague dans tous ces magnifiques endroits. On déjeune à Lennox Head, petite ville avec quelques cafés et restos sympas, chose rare en Australie. Histoire de mettre l’ambiance, il y a une compète de surf pour enfants, toujours avec des vagues ne dépassant pas les 50cm alors que ce spot peut se révéler fou… On repère un scooter des mers au large qui à l’air de s’assurer qu’il n’y a pas de requins, pas très rassurant !
Arrivée à Byron Bay sous le soleil de fin de journée (15h !), le temps de choper à temps l’un des 2 derniers emplacements avec vue sur mer (et sur le spot de The Pass) à travers les arbres. L’endroit est magnifique et on décide de rester 3 nuits, dont une gratuite grâce à notre carte de fidélité des North Coast Holiday Parks ! On se balade sur la plage et jusqu’au centre ville, super vivant, plein de petits cafés, restaurants et bars avec du monde dehors en terrasse, on a l’impression d’être à Hossegor ! Laure repère des boutiques qu’elle fera tranquillement demain, même si elle se dit qu’elle n’a vraiment plus de place dans les valises. On admire le magnifique coucher de soleil avec une bonne bière pendant que les filles dînent se font un fish&chips car on a zappé le goûter (à 18h oui…).
Le lendemain, le temps est gris, il a plu pendant la nuit, tout est humide, il fait frais et l’ambiance est bien différente… Pour se réconforter on s’offre un bon latte au Beach, le plus beau café-restaurant que nous ayons vu en Australie pour le moment. Terrasse avec vue imprenable sur toute la baie, les filles ont même droit à un croissant presqu’aussi bon qu’en France ! Le serveur Français est très sympa. Il travaille en Australie depuis trois ans mais va rentrer en France car il n’a pas réussi à obtenir son droit de résidence. C’est très compliqué ici, et pour résumer, il faut prouver aux australiens qu’on peut faire le boulot qu’aucun australien ne pourrait faire… pas facile quand on est serveur. On se promène ensuite sur la plage, et on fait demi-tour avant d’arriver au phare car Manon n’a plus « d’essence » et non pas de « sang » dans les pieds pour marcher… Alors que si on croise un parc, elle va faire un sprint de 1 km pour y arriver avant sa sœur ! On se console avec 800 grammes de crevettes dans la camp kitchen du camping qui a la même vue imprenable que le restaurant puis on passe l’après-midi en ville, au parc et sur la plage entre les gouttes de pluie.
Retour au camping-car à 16h, la soirée va être longue… DVD obligatoire pour passer un peu de temps et coucher les filles à 19h30. Du coup le réveil du jeudi a été très matinal vers 7h mais le temps est splendide ! Après un gros petit déj au Beach (pour la modique somme de 66$...), Benoit part à l’autre bout de la plage pour louer un longboard, histoire de surfer Byron Bay tout de même car des vagues de 50cm déroulent le long de la pointe rocheuse. Benoit puis Laure se font une petite session, l’eau est nettement meilleure, annoncée à 21,5° et ça fait plaisir d’être dans ce magnifique endroit. Benoit a même pris quelques vagues en surf avec Manon qui n’est pas très rassurée. Après 5h sur la plage, on passe la fin de la journée en écoutant un clone de Jeff Buckley au sunset sur Main Beach, toujours dans une super ambiance de vacances.
Vendredi 14 juillet, dernier réveil à Byron Bay sous un beau soleil, dernier latte au Beach et 2ème tentative infructueuse d’admirer la vue du phare, cette fois-ci en camping-car mais impossible de se garer là-haut, le Ranger nous interdisant même d’essayer de rentrer sur une place (je crois qu’il n’aime pas trop les camping-car comme dirait Manon). Après une petite ballade sur la plage de Tallow, on quitte le New South Wales et on met les voiles direction la Gold Coast dans le Queensland à 1h30 de route. Pause course rapide et on arrive à Snapper Rocks, spot de classe mondiale qui est d’ailleurs une étape du World Tour, Benoit est comme un fou même si l’endroit est entouré de buildings ce qui enlève du charme et rend l’endroit plutôt banal et décevant en fait. Après un rapide pique-nique, Benoit se fera quand même une petite session dans un petit mètre venté qui laisse toutefois entrevoir le potentiel du spot. On quitte les lieux direction Burleigh Heads où on se prend un râteau car plus de place au camping. Un mal pour un bien car celui à quelques km de là, à Miami Beach, est encore plus proche de la plage ! Le temps de faire une ballade sur la colline avec vue sur mer qu’il fait déjà nuit.
Réveil à 7h le 15 juillet, grand ciel bleu et Benoit se fait une session matinale sur un petit pic sympa déjà bien peuplé… On décide de rester une nuit de plus et on passera toute la journée sur la plage, le temps étant magnifique et la température de l’eau bien meilleure, On se baigne même plusieurs fois sans combi. En fin de journée et comme prévu par la météo locale, le temps se couvre et un gros orage arrive.
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Un Pélican gris (Pelecanus rufescens) glisse sur l'eau.
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