#ok but if this is in the HDT au
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themosthatedbeingg · 2 days ago
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“Oh… well glad I could make you happy! “ he does not remember that night…
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tuyetthienduong · 6 years ago
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Bach and huy is my motivation
E chi dung co dung lai fiu chung 2 tui em dau tim chung phong hxi hxi co biet gi dau. Noi tro tuyet dinh, khiyet siemvo Van Khong bejt bung nao moi goi ma. Huhuhu
E roi hoi nay cainao dung cai nao sai vay team khon jerk goi
Dung heg. Cai nay la new new history luon. Taibthang deamn bo lam cay giong nhu lay nghiep hdt cua chan loai vay a. Ac ac lam twam khon 4 dua tra li du co mit dua deo do vi sChczm cho ab dua doc toi da mit lan a.
Nguyen du nao con song
All teu riom 17
Oi gium team alive
Jerk an ui nguyen ua roi hoi nay sao biet ba em muon cuu em ma noi doc vay bguyen
Nguyen shi
Kerk de anh noi. Tat ca deu dung teu anh ko lai wuan uoc voi dung. Voi lumos. Anh voi ong giet thang do o dau hem ai xung thay het tru nguyen. Co yinh vo phai lam moi nhu tai thay deamn tronf kinh phanxhieu nguyen no muon xu tai cho luon
Jetk con nua deamn no muon giet sung vi no la con ntd a theo ca hai nghia luon
Shiny 21 hay theit. Ba nguyen do
Handsom1 mat y hi nay gio. 13 thii ok nguyen?
E roi nguyen nhieu tuoi
16
Ten gi phan thao nguyen 30/3/2002
Gio n mat coi tui ha??
Ba its tue (ko con tu tin nua huhu no hung du wua huhjhu)
TeM noi tro lo mat that em co nguoi yeu chua, muon cuoi anh ko na, de anh lam dau hu kho tuong coi ca dieu cxong hien xu cham nuoc mat ot hus ngot cho em an ha???
Nguyen no bi mu mat luon foi, tema said
Lunh r nguyen chung nao di?
Team de no song di linh
Xong thang ho coi ba rui chua
Roi hihihi sung danh lac huong hay aus. con mam lumos jerk nam co no 3s roi
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titchotelefrere-blog · 8 years ago
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Mon enfant était borderline et je ne le savais pas (suite)
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L'hospitalisation de Céline à LENS Comment vous expliquer ce que ce « nouveau » rejet a provoqué chez mon enfant. Le soir même elle se droguait. Le lendemain, elle m'appelait, en crise, elle hurlait, elle se cognait dans les murs. Lorsque j'ai enfin pu la calmer, je lui ai fait admettre qu'elle devait immédiatement voir le Docteur Broutin. Vu l'urgence, et pour obtenir si vite un rendez-vous chez notre médecin, c'est Jean-Luc qui prit les choses en main. Il réussit à avoir téléphoniquement le Docteur Broutin, lui-même. Notre docteur était OK pour la recevoir au plus vite. Jean-Luc allât la chercher à Sallaumines pour l'emmener à Hénin chez notre Docteur qui n'eut aucune hésitation et demanda un placement d'office car Céline était en danger. Par contre il envoya Jean-Luc vers Charlon à Hénin Beaumont, là où son «haura » de médecin ne serait pas remise en doute. Mais Charlon n'accepta pas Céline car sectoriellement, habitant à Sallaumines, elle dépendait de LENS. Jean-Luc se rendit immédiatement à l'hôpital de LENS en psychiatrie. L'infirmière psychiatrique eut un entretien avec Céline. Elle nota l'avis du médecin « troubles psychiatriques aggravés nécessitant une prise en charge spécialisée. Céline parla à l'infirmière Mme WOCIKI de ses multiples tentatives de suicide ( pendaison, médicaments...). A 19h25 l'infirmière me contacta. Je lui dis ma terreur de voir ma fille passer à l'acte et je lui donnais mon accord pour une hospitalisation d'urgence en psychiatrie. Je devais revenir le lendemain pour lui apporter ses affaires. Céline fut transférée en PPN 4éme étage. Elle verbalisa une fois encore son envie de mourir depuis son exclusion de la clinique. Elle demanda au Médecin de garde de contacter le docteur C. pour un retour dans sa clinique. Céline s'est endormie vers 23h après la prise de 15 gouttes de tercian. J'appelais le matin le pavillon Neyrac où était ma fille pour savoir dans quel service je devais ramener ses affaires. Il m'a été répondu que la psychiatre n'avait pas encore visité ma fille et que Céline insistait pour un retour à l'Escrebieux. En conséquence j'ai appelé l'Escrebieux pour m'entendre dire que le Docteur C. ne serait pas là avant lundi. J'ai appelé alors mon conseiller juridique qui m'a répondu qu'il m'appartenait de signer une demande de tiers (HDT) Il est bien noté dans le compte rendu de mon nouvel appel au Pavillon Neyrac étage 4 que je demande à signer une HDT et à voir le médecin. Différents examens seront effectués dont une analyse d'urine qui démontre que Céline a repris de la drogue ; Cannabis 135ng/ml 'seuil positif 50 ng mais plus grave il y a la présence de cocaïne 1.5ng. Sur le compte rendu de visite de la psychiatre Mme le Docteur R. il est spécifié qu'elle ne signera pas de HDT car Céline est calme et ne présente aucune agressivité ici. Ensuite il est noté à 13h : visite de la mère et de son concubin. Puis il est noté que je m'insurge, que je demande à voir le médecin responsable, que je refuse d'attendre au rez de chaussée, que je demande un écrit de ce médecin responsable me certifiant que ma fille ne courrait aucun risque en sortant de l'hôpital. Ma version à moi est la suivante : je suis bien arrivée à 13h avec Jean-Luc. Dans le service, une personne m'a accueillie en me disant que je pouvais reprendre ma fille. Il a été répondu à ma demande pour voir le médecin responsable que ce n'était pas nécessaire. Je me suis mise en colère et j'ai dit que je ne bougerai pas de là tant que je n'aurai pas vu le médecin responsable. Céline est arrivée dans le couloir où j'attendais avec Jean-Luc. Je l'ai prise dans mes bras et je tentais de lui expliquer que je ne voulais pas qu'elle sorte, que c'était pour son bien. Bien sûr, Céline était en rage. Cela a fait sortir le Docteur R. qui m'a demandée d'aller m'expliquer avec ma fille dans une chambre disponible. Jean-Luc a carrément été foutu dehors. Il m'a dit qu'il m'attendrait à la cafétéria. Pendant ce temps, j'essayais de calmer Céline et de lui expliquer ma position. Il fallait qu'elle me laisse le temps d'agir pour l'Escrebieux ou ailleurs, mais qu'elle ne pouvait rester sans soin pour l'instant. Bien sûr, Céline n'a pas accepté ma réponse, bien sûr elle s'est énervée. Il sera noté au registre : « relations très conflictuelles entre la mère et la fille ».. Bref, j'étais responsable de tout, c'était tellement insupportable que je me suis enfuie rejoindre Jean-Luc à la cafétéria. Jean-Luc avait à peine eu le temps de me donner un calmant que j'étais rappelée au 4éme parce qu'il ne parvenait pas à calmer ma fille. J'ai tout de suite couru vers elle, elle est tombée dans mes bras, je l'ai cajolée, je l'ai calmée, je lui ai fait accepter de rester. Au Docteur N, témoin de cette scène, je hurlais « vous oserez encore me dire que ma fille est calme et qu'elle peut rentrer chez elle ». Le docteur accepta de la garder « pour une nuit ». Charge à moi de me débrouiller après ! C'est un peu facile non ? Vous appelez à l'aide et on vous répond de se débrouiller tout seul. Après une nuit sans sommeil, en accord avec Jean-Luc, j'ai décidé d'obliger le Docteur R. à prendre ses responsabilités. Jean-Luc alla seul revoir le Docteur R. Céline était déjà là, prête à partir. Jean-Luc annonça calmement au Docteur R. que je n'avais pas pu venir, que comme le Docteur lui avait dit la veille, il n'était rien pour Céline et qu'en conséquence il ne prendrait pas la responsabilité de la conduire chez elle car elle y était en danger. Jean-Luc avait bien sûr apporté un sac et de l'argent à Céline qui l'insulta, Jean-Luc essaya de lui faire comprendre notre position mais en vain. Le Docteur R. eut beau jeu que de noter une fois encore l'attitude conflictuelle du beau père. Ne se sentant toujours pas responsable de Céline, que croyez-vous que le Docteur R. a fait. Elle l'a foutu dehors à 15h 40 exactement sans formulaire de sortie, sans appel à une ambulance ou un VSL. Céline appellera son amie Marie qui vint la chercher aussitôt ; Quand Céline a vu Marie arriver, elle avait un sourire radieux. Comment Marie aurait-elle pu se douter de tout ce qui s'était passé ces derniers jours ? Céline voulut retenir Marie un peu chez elle mais Marie ne pouvait pas rester. Céline m'appela. Je lui répondais en colère « alors, tu es sortie quand même ? » « Maman, je ne pouvais pas rester là bas, c'était impossible » « Je peux te comprendre ma fille mais tu es en danger, viens à la maison si tu veux, on vient te chercher »« non, non, je veux rester chez moi ; ça va aller, je te jure. J'ai bien compris que tu es inquiète mais je vais me débrouiller, je t'assure. Je t'aime, tu sais Maman » « Moi aussi je t'aime mon enfant, je te fais confiance, hein ? »« Oui, je te jure, je gère ! ». Sa voix était sereine, j'y ai cru ! Docteur Jeckyl et Mister Hyde dans la même personne. Qui devais-je croire ? Le docteur N. qui avait parlé de chantage au suicide ??? Le 31 août, mon téléphone portable s'est mis à sonner. C'était Henri, le voisin du dessous à Sallaumines. « Pardon de vous déranger mais je voulais savoir si Céline est avec vous ? »« Non, pourquoi Henri ? » « C'est étrange, je n'entends plus de bruit au dessus... » Je me suis mise à trembler. Jean-Luc a aussitôt repris la communication. J'étais terrorisée et le ton de la voix de Jean-Luc m'accablait plus encore. Sans se tourner vers moi, Jean-Luc a aussitôt téléphoné à la police. Ils ne voulaient pas se déranger « vous vous inquiétez sans doute pour rien » « non, non, par pitié, c'est grave ! Pourriez-vous aller tout de suite à cette adresse ? Heureusement que Jean-Luc connaissait les flics de Lens, ils acceptèrent de s'y rendre. Je pris Jean-Luc par le bras en le secouant : « Tu ne penses quand même pas... ? » Je n'arrivais pas à finir ma phrase, Jean-Luc était blême. Alors j'ai hurlé : NON ! Puis je me suis effondrée... C'est en courant que nous avons quitté l'hôtel de Calais où nous étions. De la voiture qui roulait, je rappelais Henri. « La police est là ! » On ne le laissa pas finir sa phrase, quelqu'un avait pris son appareil. « Il faut que vous veniez au plus vite au commissariat de Lens » « Oui, nous sommes en route, mais dites moi comment va ma fille ? » Je pleurais, je hurlais, je n'en sus pas davantage... Une femme, brigadière de police vint au devant de nous. Je n'avais cessé de pleurer durant tout le parcours et là encore je ne pouvais réfréner mes larmes « Où est Céline ? » « Suivez mois dans mon bureau ». Elle nous fit assoir puis nous relata les faits ; ils avaient dû forcer la porte. Céline s'était pendue. Sa mort devait sûrement remonter à la veille dans l'après-midi. Elle me parla d'un foulard rouge, sans me le montrer ; c'est peut-être bien le mien disais-je entre deux sanglots. Quelques questions, puis : « Voulez vous voir Céline ? » Je fus prise de tremblements compulsifs, j'allais devoir constater sa mort, elle si pleine de vie pendant nos années-bonheurs... Je ne pouvais pas, je n'en avais pas la force. Je voulais garder l'image de vie de Céline. Nous sommes partis du Commissariat et sommes rentrés chez nous. La messagerie clignotait. C'était la voix de Céline : « J'ai appelé l'Escrebieux, Ils ne veulent pas me reprendre. Interviens je t'en supplie... »
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