#off2016
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itswriterjudy · 8 years ago
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Excited about this film festival in NYC. Check it out!
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°26 : Festi-blues… et un peu plus que des souvenirs
Chronique d’Avignon off n°26 : Festi-blues… et un peu plus que des souvenirs
A l’instar du baby-blues, le retour à la maison est un moment étrange après presque un mois en Avignon. On est soudain envahi d’un grand moment de vide, tout paraît calme (beaucoup trop calme). On garde en nous les bribes de festival, les odeurs, les bruits, les horaires aussi. Comme si on nous projetait violemment dans une réalité qui était pourtant la nôtre, il n’y a pas si longtemps. Une…
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grazianap · 8 years ago
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Giorno numero 13: come prendersi cura della natura!!! Una mega-sciarpa per un albero gigante!!! Questa non l'avevano ancora vista!!! #off2016 #mime #avignonoff #clown #avignon #OFF16 (presso Avignon, France)
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senegallife · 9 years ago
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Comment: rawgram2011 said "#Dak'art 2016 marks the 12th edition of #DakarBiennale of contemporary african art. RAW will present a series of activities in two different places as part of the #OFF2016 programme. Stay tuned! #koyokouoh #kebetu #Dakar #Senegal #Rawmaterialcompany #contemporaryart"  
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moiqua-blog · 8 years ago
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Crédit photo : Fred Pierre
Aujourd’hui, c’est notre dernière. Pas encore l’heure du bilan, ni celle de la nostalgie, quoique… Il y a déjà un goût de départ et de séparation dans l’air d’Avignon. Chacun se fait un peu à cette idée, réagit à sa manière, beaucoup plaisantent, fanfaronnent, d’autres ont la glande lacrymale plus réactive. Il y a bien toujours le blasé de service, sans oublier bien sûr celui qui n’en revient pas. Certains gestes réalisés quotidiennement deviennent soudain très solennelle. Et il y en a toujours un pour rappeler : « ah c’est la dernière fois qu’on fait la vaisselle du repas du soir ! »
L’amertume est là, à l’idée de se quitter, pas si simple de se dire que va disparaître ce qui nous a lié pendant presque un mois, ce travail acharné, cette création, ces coups de cœur, ces coups de gueules (il n’y en a pas vraiment eu, tant mieux pour la vie de groupe, tant pis pour la dramaturgie de mes chroniques). Et surtout cette fête permanente où toute créativité semble possible, où discuter avec un voisin de terrasse est la norme et le sourire une deuxième peau. Lors de la soirée organisée par le théâtre de l’étincelle (où nous jouons encore aujourd’hui Jeux de l’amour et du pouvoir), j’ai rencontré un comédien américain John Paval (jouant en France et en Suède, déjà tout un personnage), qui a eu cette phrase : « Cette année je n’ai pas de spectacle en Avignon, mais je viens ici quand même parce que pour nous artistes, c’est le lieu où nous pouvons être nous sans pour une fois être considéré comme décalé. »
Cécile Billand parade commune crédit Photo : Fred Pierre
Toutefois, il y a aussi chez tous une envie profonde de se poser, se reposer, quitter ce rythme effréné et bien sûr de retrouver nos proches que nous avons quitté trop longtemps. Il est d’ailleurs temps que cela se termine, les festivaliers se font rares, les parades ne sont plus que l’ombre (dans un pays où on la cherche) d’elles-mêmes. Hier, j’ai même croisé dans la rue des teinturiers un groupe chantant leur slogan avec volume sonore proche d’une octogénaire en apoplexie. Peut-être une nouvelle forme d’invitation à voir le spectacle : la pitié. Nous aussi manquons cruellement de conviction dans nos blagues désormais éculées et nos réparties font bien moins mouche que d’habitude. Est-ce que nous faisons aussi pitié, à notre tour ? C’est possible. Hier, pour la première fois, dans cette même rue des teinturiers, la patronne d’un restaurant nous a proposé de nous asseoir et nous a offert de l’eau fraîche pour nous désaltérer. Pour le retour, nous avons trouvé la parade (si je puis dire, en étant sûr que si je me relis, je m’en voudrais d’un si pauvre jeu de mot) en décidant avec l’équipe de l’émule du pape de faire une parade commune. Nos voisins, liés par un tract commun, par un même auteur surtout, Michel Heim, et enfin par la même folie et l’envie de s’amuser, l’idée nous a tous plu, restait à la mettre en place. Ce fut le cas hier soir. Quand la comédie perverse rencontre la comédie pas très catholique. Nous avons bien ri, fait sensation sans doute, même si je doute que nous ayons été très efficaces dans la cacophonie des slogans.
Il nous reste encore une journée à vivre, une ultime parade et surtout un spectacle à donner. La fameuse dernière. Il y a une tradition dans le spectacle vivant, celle des « blagues de dernières ». Des petites plaisanteries entre comédiens dans le but de déstabiliser les partenaires de jeu qui connaissent désormais leur partition par cœur. La règle est simple: tout est permis à condition que les spectateurs ne s’aperçoivent de rien et que le spectacle reste le même. Lors de mon précédent Avignon, nous avions par exemple introduit du Nutella dans le poudrier de Franck Regnier. Surpris à la première utilisation de la texture de la poudre, je ne peux m’empêcher de sourire en me souvenant de sa tête quand pour respecter la mise en scène, il a dû s’en servir une seconde fois. Mais je crois que c’est son air impassible (très professionnel) qui m’a le plus réjoui, quand plus tard je lui ai peloté les fesses tout le long de son monologue. Pour la dernière, il y en a certains qui se lancent des défis, ainsi une comédienne d’une compagnie anglaise qui jouait avant nous en 2010, a eu l’idée de glisser un œuf frais dans son décolleté pigeonnant. Le pari était simple, elle proposait de payer à boire à celui qui parvenait avant la fin de la représentation à écraser celui-ci. Dans le cas où elle arrivait à mener intact l’œuf au bout de la représentation, chacun de ses partenaires devait l’inviter. Je n’ai pas assisté à la représentation (j’étais au maquillage) qui apparemment a été sportive, mais je sais qu’elle a réussi et que dans une ultime fanfaronnade elle a en saluant laissé tomber l’œuf sur scène. Je n’en dis pas trop sur les blagues de dernière afin de ne pas donner des idées à mes camarades qui bien sûr lisent (voir corrigent) cette chronique.
Crédit Photo : Fred Pierre
Il nous reste une dernière représentation. Il y a un peu d’amertume et beaucoup de joie à l’idée de jouer encore cette pièce que nous avons interprétée pendant presque un mois.
Chronique d’Avignon off n°25 : La dernière… Aujourd’hui, c’est notre dernière. Pas encore l’heure du bilan, ni celle de la nostalgie, quoique... Il y a déjà un goût de départ et de séparation dans l’air d’Avignon.
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°24 : Donner mes impressions sur l’Off en Avignon Au risque de passer, hélas, pour un vieux con.
Chronique d’Avignon off n°24 : Donner mes impressions sur l’Off en Avignon Au risque de passer, hélas, pour un vieux con.
Après Alis Guquet hier, cette fois-ci je laisse la plume pour cette chronique à Michel Heim l’auteur des Jeux de l’amour et du pouvoir (et de 5 autres pièces dans ce festival 2016, faisant de lui l’auteur vivant le plus joué  en Avignon cette année) :
Carte Blanche à Michel Heim :
Donner mes impressions sur l’Off en Avignon
Au risque de passer, hélas, pour un vieux con.
Vieux incontestablement…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°23 : Alis de l’autre côté du miroir
Chronique d’Avignon off n°23 : Alis de l’autre côté du miroir
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Carte blanche à Alis Guquet:
Aujourd’hui n’est pas coutume, je m’empare de la plume matinale à la place de mon ami Gaël et m’attelle à la rédaction de la chronique journalière, lui octroyant une pause bien méritée (ou comment dire de manière détournée qu’il est tout simplement fainéant et préfère aller voir un spectacle ce matin). Bien que réticente au début, ce dernier a réussi à me convaincre…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°22 : Petite mise en lumière sur les gens de l'ombre
Chronique d’Avignon off n°22 : Petite mise en lumière sur les gens de l’ombre
Crédit photo Anthony Dall’Agnol
Dernière ligne droite. Il ne reste plus que quatre représentations avant samedi. Et cela se sent dans l’ambiance générale. Les visages, les voix sont marqués, il y a dans certaines parades un peu de lassitude. Nous qui avons vu par quelle énergie et quelle conviction elles étaient habitées au début du festival, nous ne pouvons manquer de voir la différence. C’est…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°21 : Et la famille dans tout ça ?
Chronique d’Avignon off n°21 : Et la famille dans tout ça ?
crédit photo Anthony Dall’Agnol
Ce soir, je suis dans le train et une fois n’est pas coutume, j’écris déjà la chronique qui paraîtra demain matin. Pour la première fois depuis mon arrivée le 5 juillet, je quitte Avignon. Je me rends dans la Drôme afin de vivre un peu de temps en famille. Hier, j’ai eu la joie de revoir mes trois garçons qui sont venus découvrir mon lieu de travail et de vie. Des…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°20 : Le spectre de la première fois
Chronique d’Avignon off n°20 : Le spectre de la première fois
Franck Regnier en parade Avignon off 2010
Mon premier Avignon, je l’ai souvent évoqué en filigrane, il faut dire que tout au long de ce séjour, il m’est souvent revenu en superposition. Me hantant tel un fantôme au coin d’une rue, face à une affiche ou en rencontrant une troupe croisée à l’époque et présente aujourd’hui (comme le Road Movie Cabaret voir chronique n°5 : Non, nous n’avons pas…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°19 : De la différence du festival IN et du OFF
Chronique d’Avignon off n°19 : De la différence du festival IN et du OFF
Crédit Photo Anthony Dall’Agnol
Lorsqu’on explique à des proches que l’on fait le festival d’Avignon vient souvent la question : « Mais tu fais le IN ou le OFF ? » A la réponse : « je fais le off », il y a souvent dans l’interlocuteur l’ombre d’une déception. À l’image de cette autre interrogation : « tu es comédien ? Mais t’es pas connu ! »
Il est vrai que pour des néophytes la différence entre…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°18 : Je ne suis pas qu’un corps !
Chronique d’Avignon off n°18 : Je ne suis pas qu’un corps !
Crédit photo : Anthony Dall’Agnol
Jusqu’où peut-on aller dans l’art ? C’est forcément une question que tout comédien se pose dans l’exercice de sa profession. Sans aller jusqu’aux extrêmes que l’on peut voir sur certains plateaux de théâtre élitistes ou de films d’auteurs, il nous est demandé parfois, selon les mises en scènes, de nous dépasser, physiquement, émotionnellement ou de transgresser…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°17 : Le bruit et les auteurs
Chronique d’Avignon off n°17 : Le bruit et les auteurs
Crédit photo : Anthony Dall’Agnol
Puisque sur cette chronique il est question d’auteur, en exercice de style commençons par la fin. Hier soir, à l’issue du spectacle Quentin, Woody, Steven et moi que je vous recommande particulièrement (un spectacle qui ravira les cinéphiles et pas seulement : Truffé de références sans être indigeste, une écriture efficace, drôle et par endroits plutôt touchante.…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°16 : Concentration, rituels et triple axel
Chronique d’Avignon off n°16 : Concentration, rituels et triple axel
Crédit Photo Calendau Guquet
Nous entrons dans le « ventre mou » du festival. Ce n’est pas encore tout à fait la fin (la fameuse dernière ligne droite), mais nous avons déjà un grand nombre de jours dans les pattes. Le plaisir est toujours là, mais les corps et les esprits commencent à être usés. Cela se voit également chez les autres compagnies dans les parades, où certains craquent (comme hier,…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°15 : Faut-il coucher pour réussir ?
Chronique d’Avignon off n°15 : Faut-il coucher pour réussir ?
« Faut-il coucher pour réussir ? Ou réussir à coucher ? La réponse 15h30 » tel est désormais le nouveau slogan de Michel Valls pour accompagner la formule, déjà efficace : « comédie perverse » pour notre pièce Jeux de l’amour et du pouvoir. Parfois, en mode vilain petit canard, je me glisse derrière-lui et affirme timidement : « Et moi j’aimerai juste réussir pour arriver à coucher. » Notre…
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moiqua-blog · 8 years ago
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Chronique d’Avignon off n°14 : Un jour sans fin
Chronique d’Avignon off n°14 : Un jour sans fin
Vous avez certainement vu l’admirable film d’Harold Ramis Un jour sans fin, avec un Bill Muray qui se réveille éternellement dans la même ville, condamné à vivre indéfiniment le même jour. Faites un mois d’Avignon et vous aurez sans doute la même sensation. Tous d’abord, les jours n’ont plus cours : quelle différence entre un jeudi ou un dimanche lorsqu’on travaille tous les jours ? Très…
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