#obéir
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@Macron WTF are you doing 😭
#what is happening#heeelp#qu'est-ce qu'il lui prend putain#to delete#rambling into the void#french politics#france#mes 2 interprétations possibles sont:#1. il boude. genre le gosse qui casse son jouet pdt une crise de nerfs.#'Genre 'oh vous votez pas pour moi ? très bien. je vais pas me laisser faire'#ou 2. il est désespéré et tente d'avoir la majorité/plus de députés à l'assemblée#mais pq obéir à Le Pen 💀
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je recherche l'esclave qui saura me servir docilement, obéir à mes moindres désires et volontés.
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quand t es ouvrier dans les espaces vert la premiere chose que t apprend c est fermer ta gueule pour bien ecouter les ordres du chef apres tu dois obéir sans reflechir le chef controle tout si tu fait mal ton boulot il te cogne et tu fera des heures sup pas payé en punition
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Pas encore....
Alors qu'est-ce que tu attends ???
Dépêche-toi de la mettre, 🔐🔐🔐🔒Noël est dans 2 jours seulement....
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Fun BSD French translation details and choices - Episode 27 (by someone who does not understand Japanese but thinks the differences with the English translation/subtitles are fun)
General notes:
The title of the episode is L'Entrée du dieu furieux (The Furious God's Entrance), while the title in English is The God of Fire.
The GSS soldiers call Chuuya "le nabot" (the midget).
When Dazai phones Mori to have him release the Sheep hostages, as he hangs up he says "à plus tard!" (see you later!) in a cute, casual way. It's funny.
While setting up the party in the abandoned shipyard, Dazai wonders if Chuuya knows he set up that party to celebrate his new independence, and if Chuuya knew, would he be touched by this gesture... or not.
Instead of talking about vague "gods" existing, Rimbaud and Chuuya only talk about God with a capital G existing
Today's quotes:
VF: Quel luxe de pouvoir partir sans souffrance! (What luxury to be able to go without suffering!) Eng: This is more than you deserve!
VF: On s'était mis d'accord que le perdant devrait obéir au gagnant comme le plus fidèle et le plus gentil des toutous. (We agreed that the loser would have to obey the winner like the most loyal and most gentle of doggies.) Eng: Remember our promise? The loser has to obey one order from the winner, like a dog.
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Nous sommes en 1996 : Serge de Beketch, illustre journaliste et animateur de radio, explique pourquoi il ne se rendra plus à ses procès. « Je ne suis pas un larbin qui va obéir à des coteries, à des lobbies, à des tribus, à des bandes, à des gangs, à des associations, à des maçonneries qui vont me dire quand j’ai le droit de parler et quand j’ai le droit de fermer ma gueule. Maintenant je l’ouvre, et je leur dis que je les emmerde. Citoyen français, libre dans mon pays, je suis un résistant déclaré. […] J’irai dans vos prisons, mais je n’irai pas dans vos prétoires. […] On ne peut plus être complice de ce système. »
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You're not here to think, you're here to obey. Once caged, you're neither straight, nor gay, nor bi… Just my slave.
Tu n'es pas la pour penser, mais pour obéir. Une fois encagé, tu n'es ni hétéro, ni gay, ni bi... Juste mon esclave.
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La naïveté des gardiens des institutions, autrement dit les médias mainstream de la bienpensance assumée, fait peine à voir. Alors que les assassinats de Français se multiplient et s’accélèrent, alors que les barbares affichent impunément leur haine raciale et revendiquent leur violence sur fond d’islam et d’ethnicité, les proprets sur plateaux nous parlent “de faire société”, “de promouvoir la laïcité”, “de comprendre la nécessaire mutation”. Tout cela les pieds dans le sang d’un gamin de 16 ans, Français, blanc, de souche.
On dira bien ce que l’on voudra. On fera les discours que l’on pourra. Ça ne change rien aux détails du cliché pris à l’instant de la chute de Thomas, le torse percé par une lame. Cette photo nous montre une France qui commence à se chier dessus, mais qui refuse encore le constat et combat toujours la réaction, conspuant les courageux, engeôlant les volontaires. Une France qui continuerait d’aller acheter son rôti du dimanche chez son petit boucher, de manger ses fromages qui puent en se moquant du cousin du Loiret, de railler le voisin qui s’est acheté une voiture pour la frime. Une France qui penserait que le travail est un moyen de se hisser, que l’honnêteté paie toujours, que l’on doit respecter Monsieur le maire et obéir à la police. Une France d’Épinal qui est morte depuis longtemps déjà, entamée par Mac Donald et Drucker, remplacée par KFC et Hanounah, effacée par Doner Kebab et Yassine Belattar.
Pauvres Français ! Que je vous plains d’être devenus ces poireaux mous qui rasez les murs taggés des cités arabophones. Pendant toutes ces décennies de bruit et d’odeurs, on vous a répété que votre colère s’appelait du racisme. Ceux-là même qui avaient acté cette catastrophe grandissante vous ont fracassé, accablé, conspué. Seuls quelques rares résistants ont gardé le doigt collé sur la sonnette, mais la plupart de ceux-là, aussi, ont fini par apprendre par cœur les mots du frontispice de la démocratie : “Übereinstimmung macht Wählbarkeit”... la conformité rend éligible.
S’avance l’ombre du conflit que tout le monde subodorre, mais que personne ne veut voir. “Avant que” et “pourvu que” ouvrent maintenant toutes les phrases des politiqueux cravatés et des observateurs autorisés. Ils avancent à reculons vers l’échafaud de l’Histoire qui a déjà aiguisé sa plume et ouvert son grand cahier couvert de sang.
Thomas se meurt, Thomas est mort. la France non plus.
J.-M. M.
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Plus il y a de lois, plus nous sommes coupables, la volonté d’obéissance aux lois n'est qu'une défense, une manière de tenir à distance le désir qui nous apparaît entaché d'innommables péchés...
La loi trouvant sa structure dans un rapport d’identité spéculative avec le crime, il convient de se demander: à qui profite telle ou telle loi?
Le vrai démocrate est celui qui se demande à quelles lois il doit obéir.
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T'es qu'une chienne, fais pour obéir à mes ordres~
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33. Le solitaire Je déteste autant de suivre que de conduire. Obéir ? Non ! Et gouverner jamais ! Celui qui n’est pas terrible pour lui, n’inspire la terreur à personne Et celui seul qui inspire la terreur peut conduire les autres. Je déteste déjà de me conduire moi-même ! J’aime, comme les animaux des forêts et des mers, A me perdre pour un bon moment, A m’accroupir, rêveur, dans des déserts charmants, A me rappeler enfin, moi-même, du lointain, A me séduire moi-même - vers moi-même.
Friedrich Nietzsche, Le gai savoir
#friedrich nietzsche#philosophie#citations de livres#citation#extrait de livre#extrait#texte#gaité#reconfort
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"Sadia et Cristal, au premier regard, c'était comme le feu et l'eau"
Qui est le feu, et qui est l'eau ? Même si l'ordre dans la chanson laisse penser que sadia = feu et cristal = eau, pour moi, c'est plutôt l'inverse (et mis dans cet ordre là uniquement pour la rime)
Sadia, c'est plutôt l'eau, déjà de part son code couleur (elle est associée au bleu de par ses cheveux, et dans le spectacle actuel, beaucoup de lumières bleues sont utilisées pendant travesti), mais aussi, de par son comportement. Si on découvre l'histoire, on pense que Sadia, même si très imprévisible, est du côté des Étoiles Noires : elle est à leur tête, et semble s'entendre avec Johnny. Mais au dernier moment, on découvre qu'elle travaille pour Zéro Janvier. Comme l'eau qui monte doucement, au point où on ne se rend pas compte de sa dangerosité, jusqu'au moment fatidique, où elle détruit tout sur son passage. Si on ne se méfie pas assez d'elle, on en subit les conséquences.
Cristal, de son côté, est associée au feu, avec ses tenues dorées et ses cheveux blonds (sa tenue bleue est beaucoup moins iconique que la dorée, je pense, donc je ne pensais pas l'évoquer, mais elle rentre techniquement dans le code couleur des flammes, donc pour moi ça passe). Elle est chaleureuse, pleine d'entrain, réconfortante, comme un bon feu de cheminée en plein hiver. Mais dès le moment où elle est libre, elle s'embrase, détruisant elle aussi tout sur son passage, jusqu'à se consumer complètement. Quand Sadia dit à Johnny "tu joues avec le feu", c'est pour la prévenir du caractère de Cristal, qui semble au premier abord belle, calme impossible à toucher et pourtant si attirante, mais qui, une fois lâchée de toute emprise, va se déchaîner, et ne plus obéir à aucune personne.
#j'y ai beaucoup trop réfléchi en étant bloqué sous la tempête#j'y pensais vite fait avant mais là j'ai vraiment analysé les éléments et les métaphores#c'est sûrement complètement claqué mais intéressant à réfléchir#my post#starmania#starmania 2022#sadia#cristal#starmania meta
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Si MA DAME DIANALBA choisit un esclave dans son cheptel pour devenir son poux il devra êtreparticulièrement moderne.Vivre nu.Dormir par terre. manger dans une gamelle. Etre une bonne putain, une gagneuse..Etre encagé bien sûr..Et servir, obéir..
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"Mais voici : l’Eglise et l’Etat ayant été séparés par le simple fait d’une législation athée, l’Eglise a été privée du concours des lois civiles de répression et le pauvre têtard politique appelé bourgeois, sollicité à la fois, comme Hercule adolescent, par le vice et par la vertu, s’en est allé du côté où l’on avait l’air de s’amuser davantage et il est devenu franc-maçon. C’est l’affaire d’un homme de génie de raconter l’histoire des progrès de la bêtise européenne dus à l’extraordinaire diffusion de la lumière maçonnique dans ce dernier siècle. Nous avons tous connu de ces bons imbéciles, fiers de leurs insignes et décrétant à tout propos leur propre importance, contempteur adipeux de la religion et du clergé, parfaitement assurés d’être redoutables à Dieu et aux rois en se reposant des vulgaires soucis de leur boutique et de leur ménage par le fraternel délassement des travaux de table. Ces ruminants ont été montrés dans mille romans et ils ont fait les délices de plusieurs littératures. Mais c’est surtout en province qu’il est agréable de les étudier […] Il ne s’agit pas seulement de sauver les âmes et de sauver les Etats, il faut encore sauver l’intelligence humaine qui est en perdition sur un océan de bêtise et qui va tout à l’heure être engloutie. Mais, hélas ! il est bien tard. Quand les hommes faits pour obéir n’ont plus de maîtres, ils les remplacent aussitôt par des tyrans et se précipitent à l’esclavage."
Léon Bloy, Propos d’un entrepreneur de démolitions, 1884.
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« Dans un passé pas si lointain, le courage à la guerre était une valeur sacrée. Rappelons-nous Léonidas et ses trois cents Spartiates mourant à Thermopyles pour obéir aux lois de Sparte. Le sacrifice de la vieille garde à Waterloo. Le sacrifice du roi Lazare face aux Ottomans. Ou encore le courage des défenseurs de Stalingrad.
C'est ce que l'on appelait l'honneur. Le mot figure sur les drapeaux de la République en France. (…)
Aujourd'hui les disciples de l'OTAN professent le même mépris, chargé de peur et de haine, contre ceux qui contestent leur droit à l'hégémonie. Le racisme est simplement remplacé par l'idéologie des Droits de l'Homme, dans la version exclusive des généraux Westmoreland, Powell et Clark, bourreaux des peuples du Viêt-nam, d'Irak et de Serbie. Le procédé n'est pas nouveau. C'est toujours au nom d'un idéal détourné que les conquérants justifient leurs agressions et leur sauvagerie. … Aujourd'hui c'est au nom des Droits de l'Homme qu'on tue les civils dans les Balkans, qu'on affame les enfants en Irak et qu'on fait refleurir le pavot en Afghanistan. »
Maître Jacques Vergès - L'apartheid judiciaire.
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Les Misérables - 1.1.4 - Les oeuvres semblables aux paroles
So, I didn't post anything yesterday, partly because I was too busy, and because I didn't have much to say about 1.1.3 - except that it was surprisingly short and that I totally didn't remember Victor Hugo directly comparing Myriel to Jesus Christ in actions and manner.
However, for today's chapter I do have Thoughts.
First thought: The French chapter title seems more meaningful and packs more of a punch than the English version.
Second thought: There were a few parts I didn't remember, including the trial of the man who made counterfeit money. Myriel's position of asking who judges the judge was pretty cool, and once again it's nice to see how his ideals ties into Jean Valjean and predisposes Myriel to act the way he does.
As my friend said in reply to my thoughts, "It's a really powerful setup for everything that comes later, for sure."
Third thought: For whatever reason, the narrator's tangent on the guillotine and the scaffold was a bit abrupt. The change from the past tense, describing Myriel, to a present-tense meditation on the guillotine took me by surprise, even though I like the book's conceit of a narrator describing past events while also expounding on things in the present sense, and that's one of the parts I enjoyed most last year. Perhaps it's the audiobook version that made a difference, or the French, but either way, I was taken a bit aback at that part. I guess I'll see how I feel as I continue to read. I do respect that Myriel (and the narrator/our friend Victor Hugo) is against the death penalty.
Fourth thought: the ending was both abrupt, a bit like the transitions between the scenes of Myriel's "oeuvres," but also sweet and quite touching.
Fifth thought: While I understanding what he's saying, I don't love this passage: "
« L’homme a sur lui la chair, qui est tout à la fois son fardeau et sa tentation. Il la traîne et lui cède.
« Il doit la surveiller, la contenir, la réprimer, et ne lui obéir qu’à la dernière extrémité. Dans cette obéissance-là, il peut encore y avoir de la faute ; mais la faute, ainsi faite, est vénielle. C’est une chute, mais une chute sur les genoux, qui peut s’achever en prière."
This sense of the flesh being burden and temptation, and always having to repress it... Especially the wording in original French sounded too preachy in a negative way; as in, our selves and desires are inherently wrong, and we have to watch ourselves all the time? In some ways, we do; we have to decide what our actions will be, regardless of initial impulses.
I do love how Myriel considers himself to be an ex-sinner, however. It says a lot about his past (which we don't know a lot about) and about his beliefs and actions.
Sixth thought: I really appreciated how Myriel in a way does realize that the actions of the poor and the "misérables" are not always their fault, though he specifically blames the fathers and husbands and the masters and the rich and the wise. However, the little aside at the end of that section, where the narrator tells us that Myriel's views are strange and sketchy, but that he probably got it from the Gospel, was both depressing and hilarious.
Final thought: "Le fantôme de la justice sociale l’obsédait." ("The phantom of social justice tormented him.") That line, when Myriel is grappling with his newfound crisis of faith regarding the practice of execution by the state - that hit me hard. In a way, it almost summed up a lot of the book's themes in really poetic way. The ghost of social justice. What so many characters grapple with or are forced to face, the ghost of old wrongs always coming back to haunt the present, the ever-present and oppressive forces so eloquently laid out in the preface...
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