Tumgik
#oarf
shiryudesign · 4 months
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Finished sergal indoor and outdoor feetpaws for oarf.
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dogplexwoof · 9 months
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just enjoying some good old fashioned lesbian art and then i find out it's scott pilgrim?? im going to oarf 🤢🤢🤮
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blackbird7147 · 4 years
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Chronicles of the Overworld - Licia Troisi
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This trilogy written by Licia Troisi is amongst one of the best fantasy series I’ve ever read (and I’ve read a lot). (I read it in Dutch, so I’m not sure if I have all the names correct in this review, I’m sorry if I get some things wrong.) 
Nihal is an halfelf, the last one of her kind. She lives an easy, normal childhood, but everything changes when the Tyrant burns down her city. Nihal manages to escape, but only after she saw how the enemy murdered her father before her eyes. 
Soon, things change, and the Tyrant becomes the ruler of more and more countries in the Overworld. The free countries can’t do anything but fight back and desperately hope they’ll win. Nihal has decided that she wants to fight for the freedom as well, and starts the training to become a Dragon Knight, the most prestigious fighters of the Overworld. 
But as the Tyrant’s conquer over the free countries seems inevitable, Nihal finally meets her true destiny: only she can stop the Tyrant. Together with the mage Sennar, she tries to fulfill her destiny.
The way Licia Troisi writes is nothing short of amazing. She can keep the focus on the pure human side of the story without losing sight of the events. Nihal has to deal with a whole lot of feelings of vengeance, anger and fear, and these are amazingly described in the story. 
There are two more trilogies about the overworld, the first one about the generation after Nihal and Sennar, and the second one about the generation after that one. Reviews of those will come soon ;) (as soon as I can get hold of a copy to read) 
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oarf selecting which familiar to summon:
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thehoveringbrain · 3 years
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Ma le bici se le so' dimenticate????
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tvonq · 4 years
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nanananerd · 2 years
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Jour 19 : l’eau
    Elle se tenait proche du bord du fleuve. Elle l’observait. L’eau paraissait calme en surface, mais des tourbillons de bouillons blancs se formait par endroit, remontant des profondeurs de l’eau. Elle détestait l’eau. Elle avait appris à la craindre, et à la vénérer à la fois. Comme une femme. Elle attrappa son sac de cuir, et le passa en bandouillière par-dessus son épais plastron de cuir Bourgogne. En dessous de ce dernier, elle portait une chemise de lin noire, qui descendait ju’au haut de ses cuisses. Elle portait un pantalon moulant lui aussi en cuir épais, avec des renforts sur les antérieurs. À ces pieds, une grosses paires de rangers. Elle attacha grossièrement ses cheveux en chignon à l’aide d’une cordelette et repris sa route. Elle continua à longer la rivière. À quelques kilomètres devant elle, elle pouvait voir un petit bourg sur le fleuve. Eux aurait peut-être une solution à son problème.
Le jour commençait à baisser quand elle atteint enfin les premiers bâtiments. Tout semblait désert. Elle ressera la hanse de sa besace plus proche d’elle, la passa dans son dos, et sortit une courte dague de sa poche. Elle n’aimait pas l’eau. Ni les gens qui vivaient de son exploitation. L’eau était changeante et imprévisibles, comme eux, comme une femme. Elle arriva devant un ponton, où un pécheur l’appela :
-”Eh ma jolie, tu veux quelque chose ?”
Elle lui jetta un regard noir et répondit.
-”Un moyen d’aller à Safos, sans passer par le fleuve.” Le marin rigola un grand coup et lui dit : 
-”Ah moins de continuer sur une bonne centaine de kilomètres au Sud, et de payer pour le pont des Céanides, ça va etre difficile.”
-”OU est-ce que je peux acheter une monture ?”
-”Oarf, on en utilise pas beaucoup par chez nous, essaye d’aller voir le vieux Germain, la dernière fumerie de poisson.”. Lui répondit-elle en indiquant du doigts un bâtiment bas et longs en lazur bleus. Elle le remercia, lui jeta une pièce et prit cette direction. Le pécheur resta éberlué devant l’obole donné. Elle atteint rapidement l'entreprise du Germain, et frappa à la porte. Un homme à la peau tannée vint lui ouvrir. 
-" C'est pour quoi ?" lui demanda-t-il d'un ton bourru. 
-"On m'a dit que je pourrais vous acheter une monture." 
-"Pourquoi faire ?" 
-" Rejoindre Safos." Il la détailla, et s'arrêta devant le bracelet qui ornait son poignet : un serpent mordait une bague, planté en lui. Il écarquilla les yeux. 
-"J'ai ce qu'il vous faut Madame, suivez-moi." il attrapa sa canne, ferma la porte à clé et comme ça a contourné le bâtiment. Elle lui emboita le pas jusqu'à arriver à l'écurie. On entendait un cheval piaffer et cogner d'énervement à l'intérieur. Ils entrèrent. Deux gros chevaux de traits broutaient nonchalamment dans un paddock. Dans le second, un cheval à la robe fumé s'énervait. 
-"On m'a échangé cette carne et tout son équipement contre un bateau. J'pensais en tirer quelque chose, mais le bestiaux est têtu. Celui-là est à vendre." 
Elle retira 5 grosses pièces de sa poche et lui donna. 
-"Vous êtes trop généreuse Madame, je vais vous chercher cela, et un repas pour la route." dit-il d'un ton mielleux en repartant avec autant de courbettes que son état lui permettait. La jument se calma quand il quitta l'écurie. Elle l'observer. La Voyageuse tira de son sac une bourse, remplis d'une poudre de la même couleur que le cheval. Elle en souffla une pincée à son museau. La jument souffla, éternua. La Voyageuse s'approcha d'elle et la caressa. La jument ferma les yeux jusqu'au retour du pêcheur. Il portait sur lui la selle et le harnais, et dans ses bras un panier d'où dépasser une miche de pain et des queues de poisson séchés. Elle attrapa l'équipement sans écouter son discours sur le légendaire poisson séché de la région. Elle equipa la jument, et attacha son sac et le panier à la selle, et monta sur cette dernière. La jument piaffait d'impatience. Elle remercia le pêcheur, le coupant dans sa tirade, lui envoya une pièce et partit au trot. 
-"Une vraie Sauvage cette voyageuse." marmonna le Germain. Elle lui adressa un doigt d'honneur. 
Une fois sortie du bourg, elle lança sa monture au galop. La nuit était tombée. Elles chevauchèrent toute la nuit durant. Sauvage flattait régulièrement sa monture. S'ils avaient su quel cheval était en leur possession, ils ne s'en serait jamais séparé. Au petit matin, elles avaient atteint les premières lueurs du pont des Cénaides. Sauvage ralentit l'allure de sa monture et entra au pas dans la file qui sortait du poste de contrôle. Devant, elles, de nombreuses charrettes attendait déjà. Sauvage descendit de sa monture et lui murmura à l'encolure :
-"Je te nomme Nix, et je jure sur le sang de mes ancêtres, de ne jamais t'abandonner ou te vendre.”. La jument fermait doucement les yeux, apaisée. Sauvage sortit sa dague de sa botte, s’entailla la main, et l’en marqua le museau. Une tache noire se forma dans le pelage de la jument.
Le soleil avait déjà bien avancé sa course dans le ciel quand Sauvage et Nix passèrent le poste de contrôle ; en tant que simple voyageuse, elle n’avait à payer qu’une taxe. Deux files avaient été dégagées sur le pont en direction de l’autre rive ; une file piétons et une fille monture. Sauvage remonta sur Nyx, et s’engagea habillement dans le trafic. Elle dépassé rapidement les charrettes les plus chargées pour se retrouver au trop en compagnie d’autres cavalier. À cet endroit du fleuve, l’eau était profonde, et la traversée longue. De nombreuses légendes macabres expliquaient la solidité du pont, fait de cadavres et de sacrifices. En une bonne heure, elles étaient arrivées de l’autre côté. Sauvage fit bifurquer sa jument vers la droite, sur une route pavé déserte, et là lança au galop. Elles continuèrent à longer le fleuve jusqu’à la nuit. Elles n’avaient croisé personne, et aucune lumière n’était visible aux environs. Sauvage descendit de sa monture, la dessella et la laissa libre. De son sac, elle tira un bagage plus grand que le sac, qui une fois déplié s’avéra être une tente. Elle la monta rapidement. Puis, elle fouilla plus profondément et sortie une longue chainette bardé de clochette. Elle les accrocha tout autour de sa tente, et entreprit ensuite d’allumer un feu. Elle avisa le poisson dans le panier et se contenta de manger du pain. Elle regardait les étoiles en mangeant, cherchant les constellations. À la fin de son frugal repas, elle regarda le fleuve en contrebas. Les flots étaient noirs, sombres, inquiétants. Elle esperait que rien ne se passerait cette nuit. Nix était revenue. Sauvage lui souhaita une bonne nuit et rejoint sa tente. 
Le lendemain au aurores, Sauvage commença à pier bagage. Elle appella Nix, qui arriva au galop en hennissant ; son pelage avait changé ; de fumée, elle était devenue nébuleuse, avec des petites taches blanches par endroits. Elle était plus haute, plus musclée que la veille. Sauvage lui sourit. Elle examina le harnais, et en détacha de nombreuses parties avant de la remettre sur la jument. Elle la sella, harnacha son bagage et se mit en selle.
Safos fut visible dans la nuit. Le galop rapide et infatigable de Nix lui avait permis de couvrir cette distance. Mais elle ne voulait pas emmener la jument dans une ville si dangereuse. A quelques minutes d’une des portes d’entrée de la ville, elle avisa une grotte. Elle y déposa la selle et le harnachement et rendit sa liberté à Nix. La jument ne voulait pas partir.
-”J’ai un contrat à honorer dans cette ville, et je ne veux pas qu’on puisse te faire du mal. J’en ai pour une journée tout au plus et je reviendrai. Ne t’inquiète pas. Je te le promets.” La jument tapa du pied et partit en direction opposée à la grotte au pas, boudeuse. Sauvage attrapa son bagage, sortit sa capuche et se dirigea vers la ville. Elle craignait les ports, lieux de débauche, lieux de trafics. Elle entra dans la ville en se mêlant à la foule, et traversa rapidement pour se rendre sur les ports. De là, elle avisa ; des trois mats colossaux se dressaient devant elle. Les mêmes bateaux, qui des siècles auparavant, venait prendre ceux de son peuple pour les vendre au plus offrants. Elle dépassa les monstres ; des deux mats s’alignait à présent. Elle continua de marcher. Elle dépassa le quartier des poissonniers, puant et vulgaire. Les femmes d’ici avaient l’odeur des poissons de là-bas, à moins que ça ne fut l’inverse. Des lampadaires rouges marquaient l’entrée du quartier des prostitués. Elle le traversa aussi rapidement, esquivant les mains qui cherchaient à la caresser, se retenant de sortir son arme. Les bateaux à quai étaient plus modestes, voir de simples rafiots pour certains. Elle trouva enfin sa destination. La moitié d’un bateau servait de pignon sur rue à une sorcière. Elle entra précipitamment dans l’étrange échoppe. Un homme à la barbe longue lui demanda précipitamment, sortant de derrière son comptoir, sa poitrine ballotant dans son corset :
-”Sauvage ?! Mais je ne t’attendais pas avant le mois prochain ! Tu as ma commande ?” 
-”Bonjour Hermas, j’ai tous les produits que tu as demandés ; je suis partie en avance à cause des tempêtes qui se déchainent chez nous.”
-”Le front marin ?”
-”Oui, cette saloperie d’eau”. Elle retira son sac de dessous sa capuche et le posa sur le comptoir. Elle l’ouvrit et commença à en sortir de nombreux bocaux, remplis d’herbes, de fleurs, d’animaux séchés et de liquides étranges. Hermas dansait d’une jambe sur l’autre, ces talons claquant sur le sol.
-”OOOh voilà qui va me permettre de faire fortune !”
-”Tu dis ça à chaque fois… ”
-”Oui, et voilà 150 ans que tous les mortels qui désirent quelques chose de spécifique atterrissent dans ma boutique, pourquoi crois-tu que je reste dans ce rade miteux “ elle rigola. Le comptoir était plein de denrées à présent, qu’Hermas s’empressait de ranger hors de porter. Sauvage profita de ce répit pour examiner les objets de la boutiques; mains de singes à 6 doigts, yeux de tout sortes, en verre et pour voir, des drogues en tout genres. Quand Hermas eut terminé son rangement, il s’accouda au comptoir, reposant son imposante poitrine sur ce dernier et lui tendit une liasse de billet.
-”Et comme preuve de ma réussite déjà florissante grâce à cette ville de débauche, voici le paiement de cette commande et une avance sur le suivant. Sauvage rangea dans son sac et le remis sur son épaule. Elle s’apprétai à quitter l’échoppe quand elle se retourna :
-”Tu n’aura pas quelque chose pour ma monture ?” Hermas lui adressa un sourire énigmatique, et sortit un bouquet d’herbes sèches de son corsage.
-”Tiens, donne lui ça, elle te pardonnera ton absence ! Et c’est la maison qui offre, pour la meilleure coursière que j’ai jamais eue.”. Sauvage lui sourit, rangea le bouquet dans son sac.
-”Oh fait, méfie-toi de l’eau qui dort, elle cache les pires monstres”. Sauvage le regarda une dernière fois, surprise du conseil et quitta la boutique.
À peine sortie, elle réalisa qu’elle n’avait pas eu de repas correct depuis des jours, et estima qu’elle méritait au moins ça. Elle regarda autour d’elle et commença à avancer dans des petites ruelles, moins fréquentés que les quais. Au bout de quelques minutes, un parfum de viande grillée fit gargouiller son estomac. Elle chercha autour d’elle quelle gargote pouvait enfin servir une nourriture correcte dans cette ville de dépravations maritimes, et fut attirée par une minuscule devanture, coincé entre un bars bruyant et un hôtel. Les file de joies allaient de l’un à l’autre. Elle entra dans le restaurant. Trois tables, un comptoir qui donnait sur la cuisine, et trois broches de viandes différentes qui grillaient sur un grand feu. Elle s’assit au fond de la salle, pourtant déserte, et ôta sa capuche. Elle garda son sac sur elle et commença à examiner la décoration ; des paysages marins, à l’eau calme et aux nuages agités, étaient peints. Alors qu’elle se perdait dans la contemplation de ces paysages qu’elle haïssaient pourtant, une voix mélodieuse l’interrompit ;
-’Bonjour, voici la carte, vous savez ce que vous voulez boire ?”. Sauvage resta bouche bée ; la serveuse qui se tenait face à elle était d’une beauté hallucinante. Ces longs cheveux noires encadrés un visage fin à la peau diaphane. Ses yeux, bleus, était soulignés par un épais trait de khôl. Elle portait, elle aussi, un chemisier noir, largement ouvert sur une poitrine généreuse qui faisait disparaitre son tablier blancs. Sauvage n’eut plus qu’une idée en tête. L’avoir. Il lui fallait gouter cette femme au moins une fois. Le désir qui la submergée était impétueux. Elle répondit finalement.
-”Je vous fais confiance. Surprends-moi, et je prendrai de l’eau.” La jeune femme repartit avec un sourire et un dernier regard. Sauvage n’avait pas cessé de la fixer, elle avait des fesses divines et une démarche un peu étrange. On aurait dit qu’elle flottait, glissait sur le sol. Quelques minutes plus tard, la serveuse revint avec un pichet d’eau et une première assiette garni de morceaux de viandes grillés, de légumes crues et d’une purée de pois chiche. Elle déposa tout cela sur la table et déclara :
-”J’allais fermer, vous avez était ma seule cliente du jour, et je n’aime pas les hommes qui viennent ici après une certaine heure. Ça te dérange.” Sauvage sourit en se léchant rapidement les lêvres.
-”Non non, va y.” Elle se servit un verre d’eau et commença à boire. C’était étrange, d’habitude, elle détestait l’eau, mais cette dernière avait un gout différent, pétillant. La serveuse ferma la porte à clé. Dehors, sans que personne s'en aperçu, l’échoppe disparu.
(à suivre)
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jackharkness · 3 years
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Tagged by @jackarthurdavenport! Thanks!!!
MUSIC
fave genre? rock but also pop, and some classic music from soundtracks ( I love movie soundtracks)
fave artist? Frank Sinatra
fave song? Saturn - by Sleeping at Last / also Heat Waves by Glass Animals
most listened song recently? Hell or High Water by Billy Raffoul
song currently stuck in your head? Monsters by Dynoro ft 24kGoldn
5 fave lyrics?
Strangers in the night / Two lonely people, we were strangers in the night / Up to the moment when we said our first hello little did we know / Love was just a glance away, a warm embracing dance away (Strangers in the Night by Frank Sinatra)
I just wanna know what you're dreamin' of / When you sleep and smile so comfortable / I just wish that I could give you that / That look that's perfectly un-sad (Heat Waves by Glass Animals)
There was fire around us, so I should have known why / The touch of his hands were as cold as his eyes / So don't you tell me we weren't hypnotised (We Have it All by Pim Stones)
What a life, what a night / What a beautiful, beautiful ride / Don't know where I'm in five  but I'm young and alive / Fuck what they are saying, what a life (What a Life by Scarlet Pleasure)
Now shut your dirty mouth / If I could burn this town / I wouldn't hesitate / To smile while you suffocate and die (Choke by I DONT KNOW HOW BUT THEY FOUND ME)
radio or your own playlist | solo artists or bands | pop or indie | loud or silent volume I slow or fast songs | music video or lyrics video | speakers or headset | riding a bus in silence or while listening to music | driving in silence or with radio on ( more like my songs on a usb asdfghjkl I’m very picky)
BOOKS
fav book genre? history / biographies / war memoirs / classics / fantasy
fav writer? J.R.R. Tolkien
fav book? With the Old Breed: At Peleliu and Okinawa by E.B. Sledge
fav book series? the lotr trilogy, the hobbit, the silmarillion + all the books by tolkien
comfort book? Seven Pillars of Wisdom by T.E.Lawrence
perfect book to read on a rainy day? anything really. Just the book i have finish at that moment
fave characters? I mean some characters from the lotr series  (like Frodo, Sam and Aragorn) but I mostly read non fiction books now and the characters are... real people so I don’t think it applies
5 quotes from your fave books that you know by heart? 
In his heart he called her Tinúviel, that signifies Nightingale, daughter of twilight, in the Grey-elven tongue, for he knew no other name for her - the Silmarillion
We shouldn't be here at all, if we'd known more about it before we started. But I suppose it's often that way. The brave things in the old tales and songs, Mr. Frodo: adventures, as I used to call them. I used to think that they were things the wonderful folk of the stories went out and looked for, because they wanted them, because they were exciting and life was a bit dull, a kind of a sport, as you might say. - The Two Towers 
“Ti ho mai detto che ho sempre voluto volare via?” “No, ma l'ho sempre saputo” “È per questo che mi sono fatta tatuare due ali: sono di drago perchè Oarf è il mio compagno e i nostri destini saranno sempre uniti; sono chiuse perchè non ho ancora preso il volo. Un giorno troveró la mia strada e le mie ali sulla schiena si apriranno. Allora potró volare via.” - Il talismano del potere
hardcover or paperback | buy or rent | standalone novels or book series (both. Both is good) | ebook or physical copy | reading at night or during the day | reading at home or in nature | listening to music while reading or reading in silence | reading in order or reading the ending first | reliable or unreliable narrator (both again) | realism or fantasy | one or multiple POVS | judging by the covers or by the summary | rereading or reading just once
TV AND MOVIES
fave tv/movie genre? historical / drama / fantasy
fave movie? Lawrence of Arabia (1962) [i never shut up about this movie]
comfort movie? Lawrence of Arabia, Lotr: the two Towers, Back to The Future part II
fave tv show? ghghg so many - top 5: NBC Hannibal, Band of Brothers, Mr. Robot, Torchwood, The Pacific
most rewatched tv show? Band of Brothers I think?
5 fave characters? T.E.Lawrence / Jack Harkness / Evelyn Carnahan / Laura Moon / Legolas Greenleaf
tv shows or movies | short seasons (8-13 episodes) or full seasons (22 episodes or more) | one episode a week or binging | one season or multiple seasons | one part or saga | half hour or one hour long episodes | subtitles on or off | rewatching or watching just once
oof this was long af, I’m sorry :D. Tagging some wonderful mutuals (no pressure) @supervalcsi @waltzingtostars @scamarcio @enniomorricone @crudupbilly @khangs  @madeline-kahn, @hellitwasyoufirstsergeant, @thoughpoppiesblow
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chroniques-dimidium · 3 years
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Chapitre 1
Les lunes de Dimidum étaient pleines en ce soir de Sabbat. Comme à chaque fois, d’immenses fêtes étaient organisées par les Mages et la Faculté n’y échappait pas. Chaque Sororité, même non magique, profitaient de l’occasion pour organiser des fêtes dionysiaques. C’était l’occasion pour les étudiants de toutes les espèces de se mélanger. 
 Nielbek arriva devant le bâtiment de la fraternité Omegomongus. La vielle bâtisse aux portes immenses vibrait déjà de musique. Il tenait sous le bras un balai, orné de motif de flammes, aux brins brulés, fumants encore. Il maugréa. Il était toujours le premier arrivé du groupe, ça devenait fatiguant. Il n’avait qu’une envie ; se saoulé toute la soirée. De toute façon, il ne pourrait rentrer qu’à pied avec son balai en rade. Il se posa sur les marches, sortit sa pipe et commença à la bourrer en regardant autour de lui ; les Omegomongus était une fraternité sportive, qui regroupaient ainsi de nombreuses disciples académiques et tout autant d’espèces. Il savait qu’il y aurait d’autres nains à ce sabbat, mais il n’avait jamais fait partie de ces pousseurs de fonte. Un brin chétif pour un nain, il avait néanmoins un physique types d’Orfèvres, seul son apparence dénoté avec les standards. 
Un Centaure arriva en caracolant, deux Nymphes déjà bien enjoué sur son dos. Ses dernières étaient très peu vêtues, ce qui semblaient être une norme chez elles. Il s’arrêta devant l’escalier et bondit en haut de ce dernier. Les Nymphes criaient. Nielbek se boucha brièvement les oreilles et alluma sa pipe. L’obsession pour l’apparence des membres de Omegomongus le fatiguaient déjà. Une fumée bleue et une forte odeur de cannabis se répandit autour de lui. Il s’amusa quelque instant à faire des figures de fumées ; ça impressionnait toujours dans ce genre d’endroit où le contrôle de sa personne virait à l’obsession. C’était ironique, car leurs sabbats était les plus déjantés de tout le campus. 
Ptolemn apparu devant lui dans un craquement sonore, de la fumée sortant du sol à chacun de ces pas. Putain, paye ta classe. La robe du sorcier dansait en mouvement ample à chacun de ces pas. Il portait des chaussures en cuir à bout pointu, un pantalon cigarette, et un duo chemise blanche et veston aux motifs ondoyant, parfaitement assortie à sa robe. Il avait discipliné son afro en une série de twists, agrémenté en leurs pointes par divers bijoux. Il s’approcha de Nielbek, qui éteint sa pipe.
-”Oh t’inquiète, tu n’étais pas obligé de l’éteindre”
-”Oarf t’inquiète, c’est par respect et puis ça sera déjà bien assez enfumé comme ça à l’intérieur, autant t’épargner ça quand on est dehors.”
-”C’est très noble à toi Nielbek, mais j’ai ma cape comme tu le vois”
-”Attends, c’est une cape en poils de Civette Spatiale ?! Mais ça coute une fortune !” Et dans tes cheveux, c’est des amulettes en Mydrilise ? Damase à ce que je vois ! Et je vois qu’on a sortie les émeraudes allléé!”
-”Bien joué, et je vois que tu as sortie ta tenue des grands soirs !”
-”Eh ouais mon gars ; la classique Bottes TN, tavu, le petit chino, la tit’ chemise, ambiance Lumberjack, la casquette assortie aux détails des lacets, j’ai même était fait faire ma barbe. Ça change de comment je me sape pour aller en cours hein ! ”
-”Attend, là, ta barbe est faite?! Ptolemn s’était reculé d’un pas et dévisageait du regard la barbe de Nielbek, une moue très dubitative sur les lèvres.
-”Quoi.” répondit sèchement Nielbek.
-”Nanan rien, c’est juste que… Ton coiffeur sait que ça  s’hydrate une barbe ?”
-”Mais j’en sais rien moi, je vais chez les Orcs à côté du bâtiment de Minérologie, ils sont pas chers, t’a une bière servie pendant nan c’est tranquille.”
-”Ouais ok, alors déjà, tu vas mettre ça sur ta barbe, c’est un baume d’urgence, ça va t’aider à la discipliner un peu. Ça va sauver les meubles, et ensuite, je t’emmène chez le coiffeur la semaine pro. Laisse-moi t’offrir ça. C’est un centaure. Mais il s’occupe de touts les nains qui ont les cheveux crépus comme toi que je connais, il saura comment sauver… ça”... ajouta-t-il en agitant la main en rond autour de l’amas hirsute qui poussaient au bas du visage de Nielbek. Dans le même geste, il sortit une fiole au liquide ambré.
-”Ok, merci, j’vais essayer de faire genre tu m’as pas insulté, mais pourquoi tu m’offrirais un truc si cher ? J’t’ai fait quoi ? Tu veux quoi en échange ?”
-”OK, je ne vais pas te vannait sur la capacité de ton peuple à repérer les richesses et à se méfier. Mais sans toi, jamais j’aurai connu Eugénie !”
-”Mais gros, t’a connu Eugénie parce que je connais Zéli, c’était ma voisine du dessus, j’ai quasiment grandi avec elle. C’est sa faute si j’aime autant les engins volants. Et juste pour ça, tu veux m’offrir un coiffeur ? Et attend voir, c’est pour ça que tu t’es fait tout beau ce soir ? Wesh t’a le béguin de ouf pour elle !
-”Euh ouais, c’est Zéli qui a arrangé les choses pour ce soir, Eugénie n’aime pas trop les sabbats des Omegomongus, c’est trop décadent. Mais je n’avais pas d’idée de comment me rapprocher d’elle en restant respectueux, on n’a aucun cours en communs, on ne fréquente pas les mêmes bibliothèques, sans vous jamais je l’aurai rencontré”
-”Eh bien tiens, regarde justement qui arrive” l’interrompit Nielbek en montrant la pleine lune ; Zéli faisaient des figures aériennes avec sa Air-Board, tandis qu’Eugénie volait derrière elle, agrippée à un parapluie noir. Ptolemn soupira en souriant. Nielbek grimpa sur l’une des statuts de Sphinx qui ornait les escaliers, sortit des fumigènes de sa poche et les enflamma en sautillant. Zéli lui répondit en lançant moult cris, posant sa planche avec grâce sur le sol. 
-”Yo Ptolemn, bien ou quoi ?!” lui lança Zéli en lui tendant la main. Elle portait sa touffe de cheveux roux en chignon haut maintenu par un bandana. Elle portait, elle aussi, une chemise rouge à carreaux, avec un pantalon cargo aux nombreuses poches. À ses pieds, de grosses bottes. Ptolemn lui rendit son check en souriant.
-”Parer à célébrer ce sabbat de fou ma Grande ?!” lui demande Nielbek du haut de son sphinx, tendant une pipe à son amie.
-”Et comment ! J’avais mon dernier examen écrit aujourd’hui, il me reste juste un oral la semaine prochaine, alors allons mettre fin à cette sobriété !”
Eugénie atterrie en faisant trois petits sauts. Elle portait un chapeau pointu violet, un voile rose pale qui descendait en cascade sur ses épaules et une robe longue droite pourpre. Les yeux de Ptolemn brillait. Nielbek et Zéli échangèrent des petits coups de coude en rigolant. Elle replaça son chapeau, et s’avança vers Ptolemn.
-”Bonsoir, désolé pour le retard, Zéli est une catastrophe quand elle se prépare en fumant, elle a essayé une dizaine de tenues.”
-”Bonsoir Eugénie. Ne t’excuse pas, ça m’a donné l’occasion de discuter avec Nielbek. Tu es très belle ce soir.”. Ptolemn souriait tendrement. 
-”Bon aller, on va pas s’éterniser ici ! Go !” lança Zéli en grimpant les marches.
Les quatre amis pénétrèrent à l’intérieur du bâtiment. La musique était assourdissante. Un immense bar occupé tout un pan de la pièce. De nombreuses créatures y était accoudés, tenant plus ou moins bien sur leurs membres. Dans un coin, avait était aménagés divers fauteuils et canapés, où des sorciers faisaient découvrir des sorts à des Succubes, dans l’espoir de passé une nuit qu’ils n’oublieraient pas de si tôt avec ces créatures à la réputation dangereuse.  Autour d’eux, un petit escalier descendait vers un bassin au centre de la pièce, où Nymphes et Sirènes dansaient en levant les bras. Si les Succubes étaient habillées courts, les Nymphes et les Sirènes étaient pratiquement nues. Un groupe de Sorcières, toutes divinement fines et musclées, se joint à elles en riant, entrainé par deux incubes à la peau pourpres. Des faunes observaient avec une attention toutes particulière la scène. La baie vitrée était ouverte ; dehors, un groupe de Centaures se livraient à un combat de lutte amical contre des Orcs. Près de l’immense feu, des nains s’était regroupés pour faire griller de la viande, assistés par d’autres sorciers. Ils faisaient tourner de longues pipes entre eux. 
Eugénie se rapprocha de Ptolemn, un peu intimidée.
-”On dirait que le sabbat est déjà bien entamé.” lui souffla Ptolemn en lui offrant la protection de son bras. D’un même geste, Zéli et Nielbek allumèrent leur pipe. 
-”Bon, on va vous chercher des soft à boire, vous voulez bien nous trouver un coin où se posait ?”
Ptolemn observa la pièce, ne sachant où se dirigeait. Eugénie tendit le bras : 
-”Regarde, il y à une cursive en haut avec des tables et des fauteuils de libres, et je vois un pentacle de diminution sonore tout autour de la pièce, on devrait y être bien. Mais je ne sais pas où est l’escalier qui y mène.”
-”J’ai la solution lui répondit Ptolemn en souriant”. Ils se téléportèrent dans un craquement. La musique était beaucoup plus discrète en haut. La cursive était en fait en pente douce et monté en spirales vers la coupole du bâtiment. Eugénie éternua.
-”Pardon, je suis un peu allergique à la poussière de Pornaline.”
-”C’est ma faute, j’aurai dû te demander avant, désolé, je suis un peu nerveux.”
“Pourquoi” lui demanda Eugénie en cherchant une table libre. Ils passèrent devant un groupe de faunes qui fumait un étrange narguilé.
-”Euh et bien, je crois que j’essaye de t’impressionner. J’ai pensé à cette soirée toute la semaine, j’ai même failli rater mon examen de Botanique, je n’arrêtais pas de penser à toi. ON s’était vu que deux fois auparavant, au déjeuner, grâce à nos amis communs, mais je serai pas comment te le dire, tu m’a laissé une impression très agréable. Et je te trouve vraiment très jolie” bégaya Ptolemn. Il savait parfaitement ce qu’il voulait lui dire, mais il avait trop peur de la faire fuir en lui parlant de coup de foudre.
-”Oh, c’est mignon” lui répondit elle en souriant, un peu gênée. Elle avait le cœur qui battait la chamade. S’il savait ce qu’elle ressentait pour lui. Ils s’assirent  sur le canapé en cuir foncé. Il y avait deux fauteuils du même cuir qui l’encadrait et une table basse. Cela devrait convenir à leurs deux acolytes.
-”Je vais envoyer Slama indique le chemin à Zéli” expliqua Eugénie en tapotant son chapeau. Ptolemn l’observa avec curiosité. Une petite salamandre sortit du chapeau en baillant. Regarda autour d’elle et s’envola.
-”Est-ce que c’est ton familier ?”
-”Oui, on a toujours eu des salamandres dans ma famille, une sorte d’héritage en hommage au dragon. Beaucoup d’Ihmils ont des reptiles pour familiers.”
-”Sympa. Je t’avoue que je ne connais presque rien  sur le peuple Ihmils. Tout ce que je sais, c’est que vous avez des similarités avec les Asgyres. Il me semble qu’historiquement il y a eu une alliance pour vous accueillir à la suite des guerres, non ? 
-”Oui. Les anciens Asgyres, quand ils ont appris le génocides qui étaient menés contre nous, on mit en place des vaisseaux d’évacuations. C’est la génération de mon arrière-grand-père et de mes grands-parents. Mes parents et moi-même sommes nés sur Dimidium. Nous n’avons pas connu la guerre, nous avons  pu garder nos traditions et notre magies grâce au soutien des Asgyres. Nous remercions Gaïllah pour ça.” 
-”C’était sa volonté de vous amener parmi nous. Si tu en as envie, j’aimerais beaucoup en apprendre plus sur ta communauté, et sur toi aussi si ça ne te dérange pas.” lui répondit Ptolemn. 
-”En général, je n’en parle pas, c’est un peu un tabou. Mais nous sommes de la même religion, et j’en confiance en toi. Je te trouve très respectueux. Et même si j’ai grandi ici, et que je suis allée à l’école des sorciers, je n’ai pas vraiment eux l’occasion de fréquenter des Asgyres. Et surtout, tu es le premier Alchemist que je rencontre.”
Par son compliment. Il enchaina :
-”C’est vrai que les Alchemist ne sont pas nombreux. La plupart ont suivi des prophéties annonçant le Grand Plan et ont fuis dans d’autres galaxies. Mes parents sont Asgyres, ils ne croient pas à ces prophéties. Du coup ma famille est la seule de toute la planète à être Alchemist. J’ai grandi dans un cocon. Mes seuls contacts avec l’extérieur venaient des lieux de prières. Ce n’est pas très courant chez les Alchemist de faire des études en dehors du Cercle, mais j’ai la chance d’avoir des parents très ouverts, qui me soutiennent dans ce choix. Quant aux familiers, nous avons plus souvent des mammifères ici, et c’est le familier qui nous choisit. Du coup, je suis le seul d’une famille qui possèdent des chiens, à être accompagné par un chat. Mais Sumi ne s’est jamais laissé faire, elle à un sacré caractère” rigole Ptolemn. 
Zéli était accoudés au bar et les regardait discuter à l’étage. Ils étaient mignons tous les deux. Elle espérait trouver un jour quelqu’un avec qui partageaient de tels sentiments. La Salamandre d’Eugénie se posa sur son épaule et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Elle acquiesça et chercha Nielbek des yeux. Elle aurait juré qu’il se tenait debout sur le bar, il y à encore quelques secondes ; Slama lui mit un petit coup de tête et indiqua un immense Lycan. Nielbek était en vive conversation avec lui, lui expliquant avec de grands gestes comme correctement utilisé un Erguillet. Le Lycan l’écoutait attentivement, hocha son énorme tête. Il tenta une blague et se prit un coup de bottes sur le museau. Cela ne devait pas l’avoir trop blessé, car il sourit de la réaction de Nielbek, qui continuait de gesticuler. Zéli rigola aussi. Nielbek avait grandi dans les mines, et elle s’étonnait toujours de sa capacités à sympathiser avec des espèces aussi différentes de lui. Elle fit signe à la salamandre de veiller sur lui et de lui indiquer leur emplacement. Un Vipéride s’approcha d’elle. Sa peau jaune reflétait la lumière des candélabres accrochaient au plafond.
-”Qu’essst-ssce que je te sssers ?”
-” Hum, je vais prendre une bière pour le nain qui ai avec le Lycan là-bas, une rousse si tu as, moi je vais prendre un Snake Bite et deux jus de Betteraves s’il te plait. Je peux payer en Or ?”
-”Pas de ssssoucis, j’ai du change. “Il tourna complètement son corps pour attraper deux chopes et commença à tirer les bières, puis regarda Zéli en inclinant la tête. Il sortit sa langue bifide deux fois, posa le verre de bière blonde/cidre devant elle et lui demanda :
-”Sssuplément venin ? Au fait, tu ne sssserai pas l’une des Mages qui a manifesté dans le bâtiment des Volalenns pour les droits LGBTQIA ?”
-”Euh si, on n’était pas trop nombreuses, il y à quasiment une omerta instaurée par les fées sur le sujet. Mais on a eu un sacré renfort de la part des Harpenn et des Manticoreus. J’espère qu’on pourra faire en sorte de rendre notre Sororité plus “friendly”
-”Continue le combat ma ssssoeur. On a réussssi il y à des années chez les Sssmignya, et sssa à impacter tout le monde reptiliens. Une véritable révolussssion. Je t’offre tes cocktails, je te prépare quelque chose de sssympa pour les deux là-haut.”
-”Tu les connais ?” Le Vipéride hocha la tête en commençant à préparer les cocktails. 
-”L’Alchemist est en cours de Posstion avançés avec des doctorants, on est enssemble en TP médisscinale. Très respectueux, très mature pour sson age. Et sssa copine sss’est fait remarquer par sssa réactivité. Une Lizzarde faizzait une crise d’hypothermie pendant un cours de desssin anatomique, et elle l’a tout de ssuite réchauffé avec un ssort. Il n’y avait aucuns autres reptiles dans la salle, et elle a eu la réaction parfaite. Nos essspeces ne cohabite pas vraiment, alors quand quelque chose de poszitif se passent, tout le monde en parle dans la communauté. Tiens, voila tes cocktails, je vais apporter sssa bière au nain, ça fera 0.2ozs.”
 Zéli déposa quelques pépites d’or dans la main écailleuses tendu du barman.
-”Garde la monnaie, on se revoit plus tard”
-”Meersssi”.
 Chargé de ses trois grands verres, elle chercha des yeux un moyen de monté à l’étage. Deux centaures, l’un portant une Naïades sur le dos, le second une Succube, se dirigèrent vers un pentagramme de levage. Elle les héla et monta dessus avec eux. Les filles rigolaient fort, les centaures bandaient leurs muscles, et Zéli regrettait de ne pas avoir rallumé sa pipe pour masquer l’odeur de paille et de testostérones qui se dégageaient d’eux. 
Arrivée à l’étage, elle se dirigea vers ses amis, qui rigolaient ensemble à présent. Elle aimait bien voir Eugénie essayait de contrôler son rire en se pinçant le nez, mais visiblement, Ptolemn prenait un grand plaisir à faire rire cette dernière. Elle s’assit avec eux, sur l’un des deux et rejoint leur discutions sur la mode.
Nielbek fut interrompu dans son explication du meilleur moyen de planer avec un Erguillet par la salamandre d’Eugénie, apporter avec sa bière par le Vipéride. Le Lycan leva son verre pour trinquer avec lui.
-”Au savoir des Nains, qui ont visiblement beaucoup à apprendre à des êtres des forets comme nous !”
-”Au Savoir des Nains” répondit Nielbek qui bu une grande rasade de sa bière et se tourna vers la salamandre ; 
-”Tu peux prévenir les autres qu’on va se poser dehors pour fumer ? “ La Salamandre soupira et prit son envol. Alors qu’il allait descendre du bar pour suivre le Lycan  lui proposa ses énormes pattes velues.
-”Wesh t’es sérieux là ? C’est offensant pour les nains.”
-”Oh pardon, s’excusa le Lycan à la fourrure noir. C’est plus une coutume chez nous, on est pas tous des Lycans Loups, et les grands comme nous propose souvent un coup de pattes aux plus petits, comme les Alotelos.”
-”Ok, j’ai compris la moitié des mots de ta phrase.” répondit sceptique Nielbek en grimpant sur le Lycan.
-”T’inquiète, je vais t’en présenter, tu pourrais bien plaire à mon meilleur ami, c’est un Alotelo, un renard quoi”
-”Wesh, chuis resté dans ma grotte trop longtemps moi, j’en ai jamais vu”
-”Ahaha, c’est presque normale. Lui répondit le Lycan en sortant par la plus grande partie de la porte. En fait, sur ce continent, il n’y à quasiment que des Lycans Loups, moi je viens d’une meute qui vivait dans le Grand Nord, et qui a émigré pour sa sécurité au Sud, du coup j’ai grandi avec des plus petits que moi. Je suis venue avec un de mes frères de meute étudié la Pharmacopée ici. Lui est en école d’Infirmier. Du coup de bases, vous voyez pas beaucoup de Lycan car la plupart font des études plus techniques ou directement dans l’industrie spatial, et on sort pas beaucoup de nos meutes.”
Slama arriva épuisait à la table d’Eugénie. Elle lui fit un signe de la patte avant, debout sur ces pattes arrière. Eugénie sortit de la nourriture de son sac à mains.
-”Qu’est-ce qui se passe ?” demanda Zéli, sceptique.
-”Eh bien apparemment, il y a eu une querelle entre fées qui la forcer à faire un grand détour, et après elle s’est prise une vague projetée par la queue d’un Sirène, et si j’ai bien compris, il est plus difficile de volé au-dessus des Orcs, car leur chaleur corporelle modifie les courants. Ah et Nielbek s’est lié d’amitié avec un Lycan, ils sont dehors et nous invite à les suivre.” répondit Ptolemn calmement. Zéli le regarda, interloquée.
-”Les Asgyres ont aussi des familiers avec qui ils communiquent par Télépathie, je lui ai montré comment faire avec Slama en t’attendant.” Zéli continua à les regarder, interloquée, mais souriante.
-”Tu devrais t’entrainer aussi” argua Eugénie. Tu pourrais peut-être y arriver ?”
-”Non merci, j’ai déjà un démon comme familier lol, et c’est assez spéciale. Il est toujours là, mais on le remarque pas tout le temps. >enfin vous, parce que moi je l’entends et je lui réponds” rigola Zéli.
-”C’est-à-dire ?” demande Ptolemn.
-”Dès que Zéli est là, cherche un chat noir ou un félin noir. C’est la forme de son démon dans cette dimension.” répondit Eugénie. Ptolemn regarda autour de lui, et remarqua que les dessous de verre représentait des chats noirs. L’un d’ntre eux lui fi un clin d’œil.
-”On le rejoint du coup ? Je mangerais bien un morceau ” demanda Eugénie en aidant sa salamandre à regagner l’intérieur de son chapeau.
-”Ooooh j’avoue, j’ai trop faim après cette pipe ! Et je fumerais bien avec des Lycans, ça peut être drôle.” Les trois amis se lèvent et se téléportèrent dans le jardin. Les Lycans sursautèrent en les voyant soudain apparaitre. Nielbek termina de tirer sur l’Erguillet et les accueillis en crachant une épaisse fumée :
-”Yoooo !”
-”Yooooooooo !” lui répondit Zéli en tirant à son tour sur le Erguillet, sortant un sachet d’herbes vertes, accueilli par une slaves d’aboiement et de hurlements de la part des Lycans. Ils étaient une dizaine, des Loups Gris, un immense Loup Noir, quelques Alotelos (Renard) aux pelages allant du gris au noir en passant par le roux et deux Arbiloups arborant encore leur pelage clair d’étés.  
Nielbek, toussotant, présenta son groupe d’ami aux Lycans. Cané se chargea de présenter les Lycans à l’autre groupe. Zéli n’avait pas perdu de temps et commençait déjà à échanger son herbe avec d’autres, avachis sur le canapé. Eugénie était restée accroché au bras de Ptolemn, se sentant ridiculement petite à côté de Cané le géant. Scus, l’Alotelo murmura quelque chose, sur la pointe des pieds à l’Arbilouve et ils se dirigèrent vers eux. 
-”Salut, moi, c’est Scus. Dit moi si je me trompe, mais tu es bien un de ces étudiants de Potionologie qui s’intéresse de près à son utilisation médicale ? Il me semble t’avoir vu réviser dans la bibliothèque universitaire de Médecine il y à quelque temps.” demanda Scus à Ptolemn. Cané releva grand les oreilles, visiblement intrigué. Ptolemn rigola et répondit :
-”Oui, c’est bien moi, je pensais pas mettre fait remarquer ? C’est parce que je ne porte pas la traditionnelle blouse ? J’étais venue chercher des informations sur la Belladone pour mon examen de Botanique.”
-”Tu t’interesse aux propriétés étendues de la Belladone ? “ S’étonna Cané en remuant la queue. Les deux jeunes mâles commencèrent à débattre de ce sujet, Scus les observant d’en bas. Pendant ce temps, son amie Arbilouve s’était approchés d’Eugénie. Elle posa sa main sur son cœur et se présenta :
-”Salut ! Moi, c’est Eya ! J’ai cru comprendre que tu avais faim ?” lui lança-t-elle d’un ton enjoué.  Eugénie la regarda avec un air surpris. Eya était à peine plus grande qu’elle, sa fourrure Ivoire et blé était partiellement caché par des vêtements qui cachaient presque autant son corps que le sien. Et ce geste, elle n’avait jamais vu quelqu’un qui ne soit pas religieux l’effectuer. Elle lui répondit en souriant et en lui rendant son salut :
-”Salut ! Eugénie, comment tu sais que j’ai faim ?”
-”Je te prie de m’excuser, j’ai senti l’odeur de ton estomac et j’ai entendu tes gargouillements, et puis je pensais que c’était une manière sympa de sympathiser, désolé si j’ai commis un impair, l’école d’Inf’ m’a donné des réflexes un peu particulier.”
-”Non non il n’y à pas de mal, et tu as totalement raisons, tu sais où je peux trouver de la nourriture… ”
-”Adapté ?” termina Eya en lui adressant un clin d’œil.
-”Oui, rigola Eugénie”
-”Suis-moi, je vais ‘aider, et puis si ça te dérange pas on pourra en ramener pour les deux là” lui répondit Eya en indiquant de la patte Cané et Ptolemn, qui riaient déjà ensemble. Les deux jeunes femelles s’éloignèrent en direction des barbecues. Ptolemn suivie Eugénie des yeux, bien qu’engagé dans un débat passionné sur les évolutions possible de la Pharma  si plus de travail de collaboration était effectué avec la Potiono. En dehors de Nielbek et Zéli, qu’il avait rencontré au cours de l’année, il n’avait pas beaucoup d’amis sur le campus. Cané non plus, en dehors de la communauté des Lycans. C’était agréable de pouvoir parler avec quelqu’un qui ne remarquait pas votre différence se dire les deux mâles. Zéli de son côté rigolait bien avec Nielbek et les autres Lycans, avachis, tous en tas sur le canapé. Quand elle remarqua une sirène toute seule dans un bassin un peu à l’écart. Elle s’excusa auprès du groupe et se dirigea vers elle. La Sirène la regardait avançait vers elle. Elle était assise sur un rocher, sa queue encore dissimulé dans l’eau. Zéli effectua un petit pas de danse : 
-”Hé, tu es toute seule ?”
-”Oui, les sirènes de ma Sororité tenait absolument à venir, mais le bassin est trop chaud pour moi, j’avais besoin de me rafraichir” répondit-elle en montrant sa queue de baleine.
-”Et puis, dansé avec autant de mâles qui me regarde, j’aime pas trop.” ajouta-t-elle.
-”Je te comprends, c’est pour ça que j’évite de rester trop avec eux. Ils ont faim, c’est dingue. Ça fait quelques heures à peine que je suis arrivée, mais j’ai déjà l’impression que ça vire Bacchanales là-dedans. Mais je suis venue avec des amis qui n’aiment pas  trop ce genre d’ambiance, et on a trouvé le groupe de Lycans là-bas, ils sont plus respectueux.”
-”Je suis entièrement d’accord avec toi. Pour moi, c’est un peu trop “hétéronormé”. Je serai bien venue vous rejoindre, vous avez l’air sympa, mais j’ai vraiment besoin de me refroidir. Je t’ai remarqué dès que tu t’es téléporté dans le jardin, j’aime beaucoup ton parfum.” 
Zéli sortit sa pipe en souriant. 
-”Parfum d’origine naturel : Tu fumes aussi ?”
-”Ça m’arrive, mais je prèfere être en bonne compagnie, comme maintenant par exemple” lui répondit la Sirène en sortant une drôle de pipe à eau. Elles se sourirent en allumant leurs calumets respectifs.
-”Comment tu t’appelles ?” demanda la Sirène.
-”Zéli, et toi ?”
-”Arylenn.”
-”Eh bien Arylenn, puis-je t’offrir une boisson pour accompagner ce moment ?”
-”Volontiers. Est-ce que ça te dérangerait de me ramener aussi une bouteille d’eau ?”
-”Pas de soucis ma belle, un cocktail en particulier te ferait plaisir ?”, lui répondit Zéli avec un clin d’œil. Arylenn lui sourit en ramenant ses longs cheveux verts derrière son oreille. Le regard de Zéli suivit le mouvement, puis coula sur ses clavicules, avant de revenir subitement sur ses yeux. Elle se mordait discrètement la lèvre. Cette sirène était magnifique. Elle avait des yeux bleu foncé qui pétillait, des taches de rousseurs aussi vertes que ces cheveux qui parsemait son visage rond et une bouche à croquer. 
-”Surprend moi.”
Zéli passa sa langue sur ses lèvres et se dirigea à l’intérieur. Arylenn la regarda s’éloignait. Elle sourit en la voyant se retourner. Elle n’aurait pas pensé une soirée aussi agréable. Finalement les anciens avaient raisons, les pleines lunes de Juny étaient propices aux rencontres. Elle remit discrètement les deux gros coquillage qui composé son soutiens-gorge et maintenait son opulente poitrine, lissa son gilet en écailles. Elle profita de l’attente au bar pour se remaquiller discrètement. 
Zéli fendit la foule dénudé à l’intérieur pour atteindre le bar. Tout le monde étaient plus qu’alcoolisé. Elle n’aimait pas ce genre d’ambiance. Le Vipéride qui l’avait servi en début de soirée vint immédiatement à sa rencontre. 
-”Qu’esst-sce qu’il te faut ?”
-”Écoute, j’ai rencontré une sirène et…”
-”Ssssay no more.” la coupa le Vipéride en effectua un petit geste de la main. Il sortit divers bocaux aux couleurs farfelus et lui composa un cocktails. Il déposa le breuvage ainsi qu’une gourde d’eau à côté d’elle.
-”Comment tu a su pour l’eau ?”
-”Une Ssssirène qui sss’éloigne pour rester dans le basssin arctic ? Elle à probablement sssoif en plus d’avoir chaud. Je connais mon métier mademoiszelle !” lui répondit-il en souriant.
-”Je te remercie, combien je te dois ?”
-”Csss’est pour moi. Par contre, j’ai remarqué que vous vous êtes éloignés avec ton groupe d’amis ; restez à l’écart, j’ai entendu parler d’une embrouille qui allait éclater. Je te fais sssigne sssi ssa dégénère, que vous ayez le temps de partir.” Elle le remercia en tapant deux fois sur sa poitrine, et se téléporta dehors. Arylenn sursauta en la voyant revenir si vite, avec une boisson bleu vif.
-”Le Barman nous a composé ça, il m’a dit que tu devrais apprécier.” De minuscules méduses flottaient à l’intérieur de la boisson. Un verre, deux pailles. Arylenn sourit. 
-”Et du coup, tu étudies quoi ?”
-”Je suis en Soins des créatures magiques.”
-”Oh tiens, comme ma coloc !”
-”Et toi ?”
-”Démonologie, j’ai pas vraiment eu le choix, j’ai été choisit”
-”Wow, impressionnant, tu es la première Démoniste que je rencontre ! Tu es une sorcière du coup ?”
-”Et toi la première sirène avec une queue de baleine que je rencontre. Vous êtes toutes aussi belles ?”
-”Ahaha, tu cherches à me séduire c’est ça ? C’est vrai que c’est rare qu’on aille étudier aussi loin de nos tribus, mais on avait vraiment besoins de quelqu’un pour devenir vétérinaire avec out ce qui se passe.”
-”Si j’arrivais à te séduire, ça serai vraiment une bonne soirée. Du coup, tu viens d’où ? ” répondit Zéli. 
-”Du grand Nord, et toi ?”
-”J’ai grandi ici. Nielbek était mon voisin, et j’ai connu Eugénie, la sorcière en pourpre que tu vois là-bas, pendant mes années à l’internat pour Sorcières. Après ça on est venue étudier ici, et ça m’a fait trop plaisir de retrouver mon pote Niel ! Et comme ça j’ai rencontré Ptolemn, il est cool. Et ce soir, on a sympathisé avec les Lycans. Quelques-uns sont en médecine, mais le groupe que tu vois partir en titubant sont tous en études Minéralogie. Mais depuis que je suis arrivé à la Faculté, tu es définitivement la meilleure rencontre que j’ai faite.”  Arylenn lui sourit en regardant dans ses yeux. Elle posa ses lêvres sur l’une des deux pailles, prit une gorgée du cocktail et répondit :
-”Je n’ai pas trop eu l’occasion de rencontrer du monde en dehors des Leukosys, et je suis clairement pas très fan de leur mentalité. Je pense me prendre un bassin à moi en ville l’année prochaine. Histoire de pouvoir me retrouver. Alors faire ta connaissance, alors que j’hésitais à quitter ce clan, ça me conforte dans mon idée qu’il vaut mieux parfois avancé à contre-courant. On y fait de très jolies rencontres.”.
Eugénie observait la conversation au loin, heureuse de voir que Zéli faisait enfin une rencontre qui avait l’air sérieuse. Elles venaient de terminer de manger. Eya et elles n’avaient pas arrêté de papoter, assise sur deux chaises, observant Cané et Ptolemn qui n’arrivaient pas à finir leurs repas tant ils étaient épris dans leurs conversations. Il ne restait du petit groupe d’origine qu’eux quatre, Nielbek et Scus. Les deux petits mâles s’étaient lancés dans une conversations consistant à noter les différents mâles présent à cette soirée, y allant gaiment de leurs petits ragots acerbes. Soudain, Cané, Eya et Scus se redressèrent, leurs oreilles tendus. Cané s’était instinctivement rapproché de Eya, cette dernière tenant par le bras Eugénie. Scus se leva sur l’accoudoir du canapé. Tous trois étaient silencieux et humaient l’air. Ptolemn regarda Eugénie qui semblait désormais inquiète, puis Nielbek, qui fronçait les sourcils. L’ambiance venait de changer radicalement.
-”Mec, ça va ?” demanda-t-il alors à Scus.
-”Non, il y à quelque chose qui cloche. Ça sent pas bon.” lui répondit Cané en lui faisant un signe de la patte pour se regrouper.
-”On devrait partir, où est ton amie, la Sorcière ?” demanda Eya à Eugénie. Eugénie tourna la tête en direction du bassin. Slama sortit précipitamment de son chapeau. Le Vipéride qui les avait servis toute la soirée agitait sa langue en l’air. Slama fonça vers le couple de jeunes femelles. Alors que les deux jeunes femelles se rapprochaient de plus en plus l’une de l’autre, discutant, une nuée de Harpies commença à tourner autour de la fraternité. Slama commença à gesticuler devant elles ; 
-”Je ne te comprends pas, essaye de mimer ce qui se passe.” lui dit Zéli.
-”Pas besoin, j’ai compris le message. Le Vipéride au Bar, il dit : BARREZ-VOUS.”. L’interrompit Arylenn. Slama hocha la tête vigoureusement. Zéli réfléchi une seconde et dit à Slama :
-”Mare des rêves”. La salamandre reparti en volant aussi vite qu’elle le pouvait. Arylenn observait les Harpies descendent avec appréhension. 
-” La mare des rêves est à une vingtaine de minutes d’ici, elle est réputée pour être très froide, et c’est dans un coin tranquille. Il y à sabbat des Raskers pas loin, c’est très tranquille, et on pourra y chercher à boire. Ça te va ? “ Expliqua Zéli en se tournant vers Arylenn. Elle plongea et demanda : 
-”Mais comment tu vas me suivre ? Tu devrais retourner avec tes amis, et on se rejoint au bord de la mare.”. Zéli rit, s’agenouilla à hauteur du bassin :
-”Non ma belle, je te laisse pas toute seule ce soir, j’ai ma planche, je peux voler à tes côtés.” Arylenn s’approcha d’elle et déposa un baiser furtif sur ses lèvres avant de plonger et de réapparaitre dans la rivière qui coulait en direction du campus un peu plus loin.
-”Tu viens ?” Zéli se mordit la lèvre en souriant, appela sa planche d’un geste de la main et se dirigea vers Arylenn. Elle sentait son cœur battre si fort dans sa poitrine ; en un an sur le campus, jamais elle n’avait pu se rapprocher autant d’une autre femelle. Elle se sentait tellement bien avec elle. Ce sabbat avait finalement quelque chose de magique.
Slama arriva en papillonnant des ailes, la gueule grande ouverte vers le groupe. D’une même voix pressées, Eugénie et Ptolemn s’écrièrent ; 
-”On bouge maintenant, la mare des rêves.” Les Lycans levèrent des sourcils interrogatifs.
-”Je sais où c’est, suivez-moi !” répondit Nielbek en se levant du canapé. La troupe s’éloigna rapidement du bâtiment où des cris commençait à remplacer la musique. 
Arylenn sautait régulièrement en dehors de la rivière, toujours au côté de Zéli, qui faisait glisser sa planche à la limite de la surface de l’eau, les deux femelles riaient, l’air et les embruns caressant leurs peau. Elles arrivèrent les premières à la Mare. Cette dernière était située au cœur de la frets, dans une clairière. Bien que les lunes éclairés le campus, des étudiants avaient disposé des lampions remplis de lucioles le long des arbres qui entourés la mare. L’ambiance avec quelque chose de magique. Les deux jeunes femmes s’arrêtèrent, essoufflées. Zéli sauta de sa planche et plongea dans l’eau. Elle était à moitié immergée. Arylenn s’approcha d’elle.
-”Mais, tu vas être trempés si tu coninue à avancer vers moi.” lui dit, surprise Arylenn.
-”Je n’en fiche, je ferai sécher mes vêtements. La mare est à une trentaine de minutes de marches, on a un peu de temps seules avant que mes amis arrivent.” lui répondit Zéli en s’enfonçant dans l’eau. Elle avait à présent de l’eau jusqu’au menton.
-”Mais tu vas attraper froid !” répondit Arylenn en s’approchant de Zéli. Zéli commença à nager doucement vers elle. Elle comprit alors.
-”Alors tu vas pouvoir te réchauffer dans mes bras…” termina Arylenn tandis que Zéli se réfugiait contre elle. Elles n’avaient pas réalisé leurs différence de taille jusqu’à être dans les bras l’une de l’autre. Zéli se détendit alors que la main d’Arylenn descendait le long de son dos. Sa queue l’a maintenant un peu en dehors de l’eau. Elle réalisa qu’elle ne s’était jamais senti autant apaisé que dans les bras de cette sirène. Arylenn caressa les cheveux de Zéli qui s’échappaient en bataille de son chignon. Elle avait l’impression que son cœur allait sortir de sa poitrine. Jamais elle n’avait ressenti d’attirance pour une autre Sirène. Mais cette sorcière lui faisait découvrir des sensations insoupçonnées en elles. Éclairé par la douce lumières des lucioles, les deux femelles s’embrassèrent tendrement.
Cané marchait au côté de Ptolemn. Ils étaient les deux plus grand du groupe et avait décidé de fermer la marche. Ils étaient à présent suffisamment loin du bâtiment des Omegomongus pour être en sécurité. Ils avaient repris leurs discussions avec toujours autant de passions. Ptolemn était heureux de cette soirée. Il s’était beaucoup rapproché d’Eugénie ; elle lui avait jeté des regards toute le soirée, lui souriant, venant lui demander s’il s’amusait autant qu’elle. Il se sentait vivant, amoureux. Jamais encore il n’avait ressenti des sentiments aussi fort pour une femme. Il sourit à Eugénie quand cette dernière se retourna. Cané lui
 demanda :
-”Tu es amoureux de cette jeune sorcière non ?” Ptolemn le regarda avec des yeux surpris. 
-”Désolé, je t’ai vu la regarder en souriant toute la soirée. Ton cœur s’emballe quand elle vient te parler, et tu as une odeur particulière. Et tu a l’air plus serein aussi quand elle est près de toi.” Ptolemn rigola. Il s’assura que les deux femelles étaient suffisamment loin devant eux pour répondre à Cané :
-”Oui, tu as raison, tu m’as eu mon frère. J’ai eu le coup de foudre pour elle quand je l’ai vu la première fois. En fait, Zéli et Nielbek ont pratiquement grandi ensemble, et Zéli et Eugénie se sont rencontré à l’internat. J’ai rencontré Nielbek le premier jour du cursus de Potiono. On a direct accrochés ensemble. Et c’est comme ça qu’il y à trois semaines, on s’est retrouvé à déjeuner tous les quatre ensembles. Et elle m’a éblouie. Je savais pas quoi dire, j’étais subjugué. La seconde fois qu’on s’est vu, c’est à peine si j’ai réussi à faire une phrase complète. Nielbek l’a remarqué, et il en a parlé à Zéli, qui a manigancé pour qu’on puisse se retrouver tous les deux ce soir. Je n’avais jamais autant passé de temps avec elle, j’ai l’impression d’être sur un nuage. ” Cané lui sourit en retour. Mon frère. Ces mots-là avait pour lui un sens fort. Depuis qu’il était arrivé dans la Faculté, il n’avait pas eu l’occasion de discuter avec des êtres à le peau aussi foncé que la sienne. Les codes de sa culture lui manquaient, et il était heureux de pouvoir les partagés avec cet humain, qui l’avait accueilli plus chaleureusement que les Lycans de sa promotion.  
-”Je suis désolé de t’avoir accaparé une partie de la soirée, j’ai rarement l’occasion d’avoir des conversations aussi intéressantes et pointu avec quelqu’un.” lui répondit Canè en baissant les oreilles.
-”Oh non ne t’excuse pas. C’est pareil pour moi, je veux dire en dehors de Nielbek et encore, j’ai rarement l’occasion d’avoir des conversations aussi poussés. Et puis ça fait du bien de pouvoir rire de certaines choses, tu vois ce que je veux dire. Et en parlant de sentiment, tu as remarqué que la Renarde qui parle avec Eugénie a le béguin pour toi au fait ?”
-”Quoi ? Pardon ? Tu délires ? Et ce n’est pas une renarde, mais une Arbilouve. Et non, c’est pas possible, ce qu’elle me trouverait de toute façon non, tu te trompes, je t’assure, c’est pas possible, pas moi non. Je suis trop grand, trop noir pour lui plaire non non.”
-”Ouh là, ça fait beaucoup de mots pour me contredire. Alors primo, de tout les Lycans présent ce soir, y comprit votre ami Scus, tu es le seul à qui elle a apporté à manger. Elle est allée te chercher à boire toute la soirée, et elle te regarde sans cesse. Secundo ; tu n’es pas trop grand ou trop noir. C’est des conneries que les jaloux raconte. Tu es très bien telle que tu es, et c’est probablement parce que tu es si différent des autres Lycans que tu lui plais. Tertio : je vais pas te dire que tu devrais avoir plus confiance en toi. Moi-même il m’a fallu du temps pour m’assumer et me revendiquer. Je sais ce que c’est que d’être “le seul de son sous-genre”. C’est un processus qui prend du temps. Mais si tu as envie d’en parler, et que tu tesens pas de t’ouvrir à tout ça face à tes semblables, sent toi libre de le faire avec moi. Et s’il s’avère que j’ai tort au sujet d’Eya, je te paye un resto ! Et s’il s’avère un jour que j’avais tort, je te paye un resto ?”
-”Ahaha, ça va te couter cher ça mon frère, je suis encore un Lycan en pleine croissance ! Mais tu as peut-être raisons. C’est vrai qu’elle est jolie. C’est Scus qui me l’a présenté, on a grandi ensemble lui et moi, même si on vient de sous-espèces différentes, et qu’on a pris des chemins de vie différent. Ils font l’école d’infirmiers ensemble. J’aurai dû me douter qu’il avait une raison de faire ça”.
Eya et Eugénie avaient papoté toute la soirée. Eugénie adorait sa colocataire Zéli, mais ça n’était pas vraiment la Fille avec qui parlait de cuisine, et de mariage ou de futures familles. Eya partageaient cela avec elle.
-”Eya, je peux te poser une question indiscrète ?”
-”Oui, vas-y”
-”Quand tu m’as parlé la première fois, tu as fait ce geste de la main sur le cœur, et j’ai remarqué que tu t’habillais toi aussi de manière pudique. Il y à une raison à tout ça ?”
Eya rigola doucement : 
-”Je peux bien te le dire, je pense pas que c’est toi qui émettras un jugement de valeurs ; je suis orpheline et j’ai était élevé dans un couvent de Fées Soignantes. Mes sœurs ont décidé d’entrer dans les ordres et sont partis dans le Sud, mais j’ai préféré suivre un cursus d’Infirmière plus classique. J’ai grandi coupés des autres Arbiloups, mais quand je vois la plupart d’entre des miennes... Je sais pas comment expliquez ça, je ne me reconnais pas dans leurs comportements. Je ne comprends pas pourquoi elles sont si bruyantes. La seule personne avec qui j’ai réussi à être ai, c’est Scus. On étudie ensemble. Et à cause de son orientation sexuel, il se fait rejeter comme moi par les Lycans de ce pays.”
-”Je comprends. Merci de t’être ouverte à moi. Je t’avoue que je me sens aussi un peu seule. J’adore Zéli, on se connait depuis nos 11 ans, mais j’ai pas grand-chose en commun avec elle. Je serai très heureuse de pouvoir boire un thé de temps en temps avec toi !”
-”Avec plaisir ! Je termine mes examens le mois prochains. Après ça on pourra se poser en terrasse et nos béguins pour ces grands gaillards” lui répondit enjouée Eya, en se retournant pour sourire à Cané, qui lui rendit maladroitement son sourire.  
-”Qu-est-ce que tu veux dire ?” demanda Eugénie en rougissant.
-”On est capable de sentir ce genre de choses en tant que Lycan. Même si à force je pense que Cané aurait besoin de sous-titres.”
Eugénie vérifia par-dessus son épaule si Ptolemn pouvait l’entendre et confessa :
-”Je crois que j’ai eu un coup de foudre pour lui. C’est Nielbek qui me l’a présenté et je sais pas, mon cerveau s’arrête de fonctionner quand il est là. Je me suis jamais intéressé aux mâles, j’étais trop concentré sur mes études et ma religion, mais lui… Il est parfait.”
Les deux femelles pouffèrent en s’enfonçant dans la forets. 
Nielbek menait la marche, beuglant des chansons paillarde avec son nouvel ami Lycan.
-”On en a encore pour 5 min de marche à partir d’ici.”. Scus sortit deux champignons de sa veste, et en tendit un à Nielbek.
-”Tiens, c’est marrant et pas trop violent, je les gardais pour un moment spécial avec Cané, mais je pense qu’il n’en aura finalement pas besoin ce soir. Et puis j’ai bien envie de voir à quoi tu ressembles quand tu planes ; ça vomit des arc-en-ciel les nain gay ?” lui dit-il en lui enserrant l’épaule. Nielbek lança un regard interrogatif à son nouvel ami ;
-”Comment tu sais ça ?! J’en ai à peine parlé à Zéli. ” lui chuchota Nielbek en mâchouillant.
-”Ne t’inquiète pas, ton secret est bien gardé avec moi. J’en suis aussi. Et je sais pas si c’est pareil chez les nains, mais c’est délicat de faire son coming-out parmi les Lycans de ce continent. Ah et je le sais parce qu’on a passé la soirée à parler de mâles.”
Les deux mâles explosèrent de rire.
Le petit groupe était arrivé à la Mare. Zéli Arylenn se séparèrent dans un dernier baiser. Arylenn transporta Zéli dans ses bras jusqu’a un rocher. Zéli grimpa dessus et s’agenouilla et embrassa une dernière fois la belle Sirène. D’un claquement de doigts, en fi séchés sa robe. Ses cheveux s’échappèrent dans un petit soulèvement de vapeurs en une afro aérés. Arylenn interrompit la tentative de baiser en voyant Nielbek et Scus arrivaient en sautillant :
-”On va se revoir hein ?”
-”Bien sûr que j’ai envie de te revoir, j’ai envie d’apprendre à te connaitre !”
Zéli salua son groupe et leur présenta Arylenn. Cette dernière proposa d’aller chercher des boissons. Eya et Eugénie se proposèrent pour aider, mais Arylenn leur expliqua qu’elle avait accès à un bar secret dans le fond de la mare. Pendant ce temps-là, Cané avait trainé un tronc d’arbres pour en faire un siège, et Ptolemn allumait un feu pour réchauffer tout le monde. Scus et Nielbek courait dans les bois en riant. La soirée se terminait finalement dans une ambiance douce et agréable, qu’aucun n’aurait soupçonnés. 
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selianth · 5 years
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Finished commission for Oarf and Nimorga for Eurofurence :) #dragonart #dragons #digitalart #digitalpainting #own #myart https://www.instagram.com/p/Bwuagl1JIn4/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=jz0wlua742eo
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Getting to Know You Thing
Tagged by: @foxsoulcourt
One/Name: Lea
Two/Birthday: 14 February
Three/Zodiac: Aquarius
Four/Height: 160 cm and according to google that’s like 5 feet and 3 inches
Five/Hobbies: writing, reading, drinking tea, caring a lot about fictional universes, two days ago I did yoga
Six/Favorite colors: purple, and the rainbow
Seven/Favorite Books: The Foxhole Court by Nora Sakavic, Chronicles of the Emerged World by Licia Troisi (as far as I know there is no English translation but damn do I love Nihal and her dragon friend Oarf), The Long Way to a Small Angry Planet by Becky Chambers, Percy Jackson by Rick Riordan, The Abyss Surrounds us by Emelie Skrutskie, Eragon by Christopher Paolini, Come Close by Sappho (poetry), and Of a Linear Circle by flamethrower on ao3
Eight/Last Song I Listened To: This Girl is on Fire by Alicia Keys
Nine/Last Movie Watched: The Hunger Games
Ten/Inspiration for Muse: music & art & stars
Eleven/Meaning of URL: it’s about the space between worlds as much as the spaces between words and the space button on the keyboard
Tagging (24 Jan 2019): @queen-of-seventeen
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nizzasty · 8 years
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Conversation
Oarf: *vine voice* Remember one time... I liked you?
P-Dizzle: No?
Oarf: *vine voice* GOOD because NEVER HAPPENED
P-Dizzle: oh :(
Oarf: *vine voice* AH HA! HO!
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mylovefortomholland · 6 years
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Out of their World – part two
Title: Out of their world - Part two
Type: Series
Pairing: Peter Parker x you
Warnings: during the series: bad words, mention of blood, maybe mention of death,
Summary/Prompt: To start right away: You aren’t from earth. You’re actually a goddess and very aware of that. An unhappy accident caused you to land on a tiny, blue planet, which you’d call your home from now on, with all the problems of a mere human.
Word count: ~770
Note: Well, let’s continue that Series :D
Day two of my Birthday-special. Let me know if you want to get tagged in my upcoming Posts :)
Part one here!
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Your little rescue capsule began to glow on the outside, the heat taking its way through the layer of metal and lack to the inside, to you.
“Prism, slow down!”, you command, but Prism wasn’t reachable. Growling you took one of the snap-on-bracelet and snapping it on your wrist, before you tapped twice on it. “Okay…”, you sighed, as you touched the control unit once again. You couldn’t turn on the autopilot, so you would have to land this little spaceship all by yourself, even if you never flew one of these. “I got this, it’s easy, right?”, you convinced yourself, calming down a bit. You pulled the unit towards your chest, hoping it’s the right decision, and indeed, it was. The capsule slowed down but headed now to a big city.
“Oh shit…”, you gasped in panic, pulling the grey unit harder to you, in high hopes you would go upwards. After every single attempt from you to slow that freaking threat to the species that lives on this planet, failed you gave up. You passed two skyscraper, destroyed a statue and crushed through trees, before you stopped abruptly.
“Mister Stark, it worked out!”, the delighted voice of an unknown human came through one of the broken windows you looked through. Fine strings were attached between two huge buildings and caught your ship.
“Good work, kid. Honestly, I doubt it would go right”
“Then why did you let me try it?”
“I had a backup-plan”
Still under shock you stood up but had to sat down again. Your knees were weak, and wobbly like pudding. You heard footsteps coming near your ship, one of them sounded really metallic.
“Prism, are you here?”, you whispered to you bracelet, double tapping on it again.
“I indeed am, Princess”. The faded green light on your wrist moved to the computerized voice.
“Where am I?”
“Planet E.A.R.T.H., Country U.S.A., State N.E.W. Y.O.R.K., Borough Q.U.E.E.N.S.”, Prism explained.
“You know, we just say the Names and don’t spell it out like that?”, the voice from earlier popped up on your right side, made you jump and punch him on the nose. The masked man trembled, row with his arms but still fell from your ship. All that while you screamed like a small child.
“Mister Stark, there IS someone in there!”, he yelled in pain, holding his face.
“I told you, Mr. Parker, but you didn’t listen”, another muffled voice laughed out.
You stood up, ran to the back of your ship and tapped on the grey control units on the wall, but they didn’t light up.
“Prism, I need power here”
“I’m certainly sorry, Princess, but I can’t control the ship anymore”
“Why not?”
“Because I’m on your wrist now, I only have my installed wisdom with me”
You clenched your teeth, sighing in defeat. Heavily breathing you pushed on a small, red button, pulled the handle and opened the door of the escape capsule. You stepped carefully on the platform which lead down to the ground. The high-pitched sound of a loading machine caught your attention.
“Hello, beauty. What brought you here?” A red hand with a blue light was pointed at you, the owner of this threat wore a red suit.
“Obviously my ship. Are you the ruler here, man of steel?”, you recognized the reaction from the masked man from earlier. He held back a laugh which he failed terribly.
“First of, it’s Iron Man. Second, stop laughing, spiderling. Third, what do you want here?”, he held up three fingers of his other hand, while he talked. The spiderish-man stopped, calmed down and stood next to the Man in the iron suit.
“I am no threat. I was on my way to a wedding, but my ship got caught in a meteor-shower, so we had to do an emergency-landing here on… oarf?”
“Earth”, the spider-boy corrected you, looking down on his feet, clearly embarrassed.
“What do you mean with ‘we’? Are there more of you?”, the older man asked, still pointing his palm towards you.
“I hope, that some of my people survived. I don’t know where they are”, you explained tired. That whole stress just made you really tired, and you only feel that now.
“Princess, your body function is shutting down”, Prism makes you aware of that. “Should I do something?” You didn’t answer the small, green light on your wristband. Instead of that, you took a step forward and spoke,
“Listen, I need to find my people and… go to the… wedding?”, your body fell down, and your eyes shut, leaving you in an unknown darkness.
>>Go to part three>>
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ariyadaivaris · 7 years
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catsi replied to your video “MustafaAliWWE I have a chance to step up instead of taking a step...”
HI THIS MATCH IS GONNA KILL MY ASS DEAD
YEP!!! COUNTDOWN: 8 DAYS UNTIL THE WORLD ENDS 
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nanananerd · 3 years
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Fac#3
Nielbeuk arriva devant le bâtiment de la fraternité Omegomongus. La vielle bâtisse aux portes immenses vibrait déjà de musique. Il tenait sous le bras son balai, les branches de ce dernier fumants encore. Il maugréa. Il était toujours le premier arrivé du groupe, ça devenait fatiguant. Il n’avait qu’une envie ; se saoulé toute la soirée. De toute façon, il ne pourrait rentrer qu’à pied avec son balai en rade. Il se posa sur les marches, sortit sa pipe et commença à la bourrer en regardant autour de lui ; les Omegomongus était une fraternité sportive, qui regroupaient ainsi de nombreuses disciples académiques et tout autant d’espèces. Il savait qu’il y aurait d’autres nains à ce sabbat, mais il n’avait jamais fait partie de ces souleveurs de fonte.
Un Centaure arrivant en caracolant, deux Nymphes déjà bien enjoué sur son dos. Il s’arrêta devant l’escalier et bondit ne haut de ce dernier. Les Nymphes criaient. Nielbeuk se boucha brièvement les oreilles et alluma sa pipe. Une fumée bleue et une forte odeur de cannabis se répandit autour de lui. Il s’amusa quelque instant à faire des figures de fumées ; ça impressionnait toujours dans ce genre d’endroit où le contrôle de sa personne virait à l’obsession. C’était ironique, car leurs sabbats était les plus déjantés de tout le campus.
Ptolem apparu devant lui dans un craquement sonore, de la fumée sortant du sol à chacun de ces pas. Putain, paye ta classe. La robe du sorcier dansait en mouvement ample à chacun de ces pas. Il portait des chaussures en cuir à bout pointu, un pantalon cigarette, et un duo chemise blanche et veston aux motifs ondoyant, parfaitement assortie à sa robe. Il avait discipliné son afro en une série de twists, agrémenté en leurs pointes par divers bijoux. Il s’approcha de Nielbeuk, qui éteint sa pipe.
-”Oh t’inquiète, tu n’étais pas obligé de l’éteindre”
-”Oarf t’inquiète, c’est par respect et puis ça sera déjà bien assez enfumé comme ça à l’intérieur, autant t’épargner ça quand on est dehors.”
-”C’est très noble à toi Nielbeuk, mais j’ai ma cape comme tu le vois”
-”Attends, c’est une cape en poils de Civette Spatiale ?! Mais ça coute une fortune !” Et dans tes cheveux, c’est des amulettes en Mydrilise ? Damase à ce que je vois ! Et je vois qu’on a sortie les émeraudes allléé!”
-”Bien joué, et je vois que tu as sortie ta tenue des grands soirs !”
-”Eh ouais mon gars ; la classique Bottes TN, tavu, le petit chino, la tit’chemise, ambiance Lumberjack, j’ai même était fait faire ma barbe ”
-”Attend, la ta barbe est faite?! Ptolem s’était reculé d’un pas et dévisageait du regard la barbe de Nielbeuk, une moue très dubitative sur les lèvres.
-”Quoi.” répondit Nielbeuk.
-”Nanan rien, c’est juste que… Ton coiffeur sait que ça s’hydrate une barbe ?”
-”Mais j’en sais rien moi, je vais chez les Orcs à côté du bâtiment de Minérologie, ils sont pas chers, t’a une bière servie pendant nan c’est tranquille”
-”Ouais ok, alors déjà, tu vas mettre ça sur ta barbe, ça va sauver les meubles, et ensuite, je t’emmène chez le coiffeur la semaine pro. Laisse-moi t’offrir ça. C’est un centaure. Mais il s’occupe de touts les nains afros que je connais, il saura comment sauver… ça”... ajouta-t-il en agitant la main en rond autour de l’amas hirsute qui poussaient au bas du visage de Nielbeuk. Dans le même geste, il sortit une fiole au liquide ambré.
-”Ok, merci, j’vais essayer de faire genre tu m’as pas insulté, mais pourquoi tu m’offrirais un truc si cher ? J’t’ai fait quoi ? Tu veux quoi en échange ?”
-”OK, je ne vais pas te vannait sur la capacité de ton peuple à repérer les richesses et à se méfier. Mais sans toi, jamais j’aurai connu Eugénie !”
-”Et juste pour ça, tu veux m’offrir un coiffeur ? Et attend voir, c’est pour ça que tu t’es fait tout beau ce soir ? Uech t’a le béguin de ouf pour elle !
-”Euh ouais, c’est Zéli qui a arrangé les choses pour ce soir, Eugénie n’aime pas trop les sabbats des Omegomongus, c’est trop … Mais je n’avais pas d’idée de comment me rapprocher d’elle en restant respectueux, on n’a aucun cours en communs, on ne fréquente pas les mêmes bibliothèques, sans vous jamais je l’aurai rencontré”
-”Eh bien tiens, regarde justement qui arrive” l’interrompit Nielbeuk en montrant la pleine lune ; Zéli faisaient des figures aériennes avec sa planche, tandis qu’Eugénie volait derrière elle, agrippée à un parapluie noir. Ptolem soupira en souriant. Nielbeuk grimpa sur l’une des statuts de Sphinx qui ornait les escaliers, sortit des fumigènes de sa poche et les enflamma en sautillant. Zéli lui répondit en lançant moult cris, posant sa planche avec grasse sur le sol.
-”Yo Ptolem, bien ou quoi ?!” lui lança Zéli en lui tendant la main. Elle portait sa touffe de cheveux en chignon haut maintenu par un bandana. Elle portait, elle aussi, une chemise rouge à carreaux, avec un pantalon cargo aux nombreuses poches. À ses pieds, de grosses bottes.
-”Parer à célébrer ce sabbat de fou ma Grande ?!” lui demande Nielbeuk du haut de son sphinx, tendant une pipe à son amie.
-”Et comment ! J’avais mon dernier examen aujourd’hui, alors allons mettre fin à cette sobriété !”
Eugénie atterrie en faisant trois petits sauts. Elle portait un chapeau pointu violet, un voile rose pale qui descendait en cascade sur ses épaules et une robe longue droite pourpre. Les yeux de Ptolem brillait. Nielbeuk et Zéli échangeant des petits coups de coude en rigolant. Elle replaça son chapeau, et s’avança vers Ptolem.
-”Bonsoir, désolé pour le retard, Zéli est une catastrophe quand elle se prépare en fumant, elle a essayé une dizaine de tenues.”
-”Bonsoir Eugénie. Ne t’excuse pas, ça m’a donné l’occasion de discuter avec Nielbeuk. Tu es très belle ce soir.”. Ptolem souriait tendrement.
-”Bon aller, on va pas s’éterniser ici ! Go !” lança Zéli en grimpant les marches.
Les quatre amis pénétrèrent à l’intérieur du bâtiment. La musique était assourdissante. Un immense bar entouré la moitié de la pièce. De nombreuses créatures y était accoudés, tenant plus ou moins bien sur leurs membres. Dans un coin, avait était aménagés divers fauteuils et canapés, où des sorciers faisaient découvrir des sorts à des Succubes. Autour d’eux, un petit escalier descendait vers un bassin au centre de la pièce, où Nymphes et Sirènes dansaient en levant les bras. Un groupe de Sorcières, toutes divinement fines et musclées, se joint à elles en riant. Des faunes observaient avec une attention toutes particulière la scène. La baie vitrée était ouverte ; dehors, un groupe de Centaure se livraient à un combat de lutte amical contre des Orcs. Près de l’immense feu, des nains s’était regroupés pour faire griller de la viande, assistés par d’autres sorciers. Ils faisaient tourner de longues pipes entre eux.
Eugénie se rapprocha de Ptolem, un peu intimidé.
-”On dirait que le sabbat est déjà bien entamé.” lui souffla Ptolem en lui offrant la protection de son bras. D’un même geste, Zéli et Nielbeuk allumèrent leur pipe.
-”Bon, on va vous chercher des soft à boire, vous voulez bien nous trouver un coin où se posait ?”
Ptolem observa la pièce, ne sachant où se dirigeait. Eugénie tendit le bras :
-”Regarde, il y à une cursive en haut avec des tables et des fauteuils de libres, et je vois un pentacle de diminution sonore tout autour de la pièce, on devrait y être bien. Mais je ne sais pas où est l’escalier qui y mène.”
-”J’ai la solution lui répondit Ptolem en souriant”. Ils se téléportèrent dans un craquement. La musique était beaucoup plus discrète en haut. La cursive était en fait en pente douce et monté en spirales vers la coupole du bâtiment. Eugénie éternua.
-”Pardon, je suis un peu allergique à la poussière de Portolan.”
-”C’est ma faute, j’aurai dû te demander avant, désolé, je suis un peu nerveux.”
“Pourquoi” lui demanda Eugénie en cherchant une table libre. Ils passèrent devant un groupe de faunes qui fumait un étrange narguilé.
-”Euh et bien, je crois que j’essaye de t’impressionner. J’ai pensé à cette soirée toute la semaine, j’ai même failli rater mon examen de Botanique, je n’arrêtais pas de penser à toi.”
-”Oh, c’est mignon” lui répondit elle en souriant, s’asseyant sur le canapé en cuir foncé. Il y avait deux fauteuils du même cuir qui l’encadrait et une table basse. Cela devrait convenir à leurs deux acolytes.
-”Je vais envoyer Slama indique le chemin à Zéli” expliqua eugénie en tapotant son chapeau. Ptolem l’observa avec curiosité. La petite salamandre sortit du chapeau en baillant. Regarda autour d’elle et s’envola.
-”Est-ce que c’est ton familier ?”
-”Oui, on a toujours eu des salamandres dans ma famille, une sorte d’héritage en hommage au dragon.”
-”Sympa. Chez nous, c’est un peu différent ; c’est le familier qui nous choisit. Du coup, je suis le seul d’une famille qui possèdent des chiens à être accompagné par un chat. Mais Sumi ne s’est jamais laissé faire, elle à un sacré caractère” rigole Ptolem.
Zéli était accoudés au bar et les regardait discuter. Ils étaient mignons tous les deux. Elle espérait trouver un jour quelqu’un avec qui partageaient de tels sentiments. La Salamandre d’Eugénie se posa sur son épaule et e lui chuchota quelque chose à l’oreille. Elle acquiesça et chercha Nielbeuk des yeux. Elle aurait juré qu’il se tenait debout sur le bar, il y à encore quelques secondes ; Slama lui mit un petit coup de tête et indiqua un Lycan. Nielbeuk était en vives discutions avec lui, lui expliquant avec de grands gestes comme correctement utilisé un Erguillet. Le Lycan l’écoutait attentivement. Il tenta une blague et se prit un coup de bottes sur le museau. Cela ne devait pas l’avoir trop blessé, car il sourit de la réaction de Nielbeuk, qui continuait de gesticuler. Zéli rigola aussi. Elle fit signe à la salamandre de veiller sur lui et de lui indiquer leur emplacement. Un Vipéride s’approcha d’elle.
-”Qu’essst-ssce que je te sssers ?”
-” hum, je vais prendre une bière pour le nain qui ai avec les Lycan las bas, une rousse si tu as, moi je vais prendre un Snake Bite et deux jus de Betteraves s’il te plait. Je peux payer en Or ?”
-”Pas de ssssoucis, j’ai du change. “Il tourna complètement son corps pour attraper deux chopes et regarda Zéli en inclinant la tête.
-”Tu ne sssserai pas l’une des Ssssorscières qui a manifesté dans le batiments des Volalenns pour les droits LGBTIA+”
-”Euh si, on n’était pas trop nombreuses, mais on a eu un sacré renfort de la part des Harpies et des Manticoreus. J’espère qu’on pourra faire en sorte de rendre notre Sororité plus “friendly”. “
-”Continue le combat ma ssssoeur. On a réussssi il y à des années chez les Sssmignya, et sssa à impacter tout le monde reptiliens. Une véritable révolussssion. Je t’offre tes cocktails, je te prépare quelque chose de sssympa pour les deux là-haut.”
-”Tu les connais ?” Le Vipéride hocha la tête en commençant à préparer les cocktails.
-”L’Alchemist est en cours de Posstion avançés avec des doctorants, on est enssemble en TP médisscinale. Très respectueux, très mature pour sson age. Et sssa copine sss’est fait remarquer par sssa réactivité. Une Lizzarde faizzait une crise d’hypothermie et elle l’a tout de ssuite réchauffé avec un ssort. Nos essspeces ne cohabite pas vraiment, alors quand quelque chose de positif se passent, tout le monde en parle dans la communauté. Tiens, voila tes cocktails, je vais apporter sa bière au nain, ça fera 0.2ozs.”
Zéli déposa quelques pépites d’or dans la main écailleuses tendu du barman.
-”Garde la monnaie, on se revoit plus tard”
-”Meersssi”.
Chargé de ses trois grands verres, elle chercha des yeux un moyen de monté à l’étage. Deux centaures, l’un portant une Naïades sur le dos, le second une Succube, se dirigèrent vers un pentagramme de levage. Elle les héla et monta dessus avec eux. Les filles rigolaient fort, les centaures bandaient leurs muscles, et Zéli regrettait de ne pas avoir rallumé sa pipe pour masquer l’odeur de paille et de testostérones qui se dégageaient d’eux.
Arrivé à l’étage, elle se dirigea vers ses amis, qui rigolaient ensemble. Elle aimait bien voir Eugénie essayait de contrôler son rire en se pinçant le nez, mais visiblement, Ptolem prenait un grand plaisir à faire rire cette dernière. Elle s’assit avec eux et rejoint leur discutions sur la mode.
Nielbeuk fut interrompu dans son explication du meilleur moyen de planer avec un Erguillet par la salamandre d’Eugénie, apporter avec sa bière par le Vipéride. Le Lycan leva son verre pour trinquer avec lui.
-”Au savoir des Nains, qui ont visiblement beaucoup à apprendre à des êtres des forets comme nous !”
-”Au Savoir des Nains” répondit Nielbeuk qui bu une grande rasade de sa bière et se tourna vers la salamandre ;
-”Tu peux prévenir les autres qu’on va se poser dehors pour fumer ? “ La Salamandre soupira et prit son envol. Alors qu’il allait descendre du bar pour suivre le Lycan lui proposa ses énormes pattes velues.
-”Uech t’es sérieux là ? C’est offensant pour les nains.”
-”Oh pardon, s’excusa le Lycan à la fourrure noir. C’est plus une coutume chez nous, on est pas tous des Lycans Loups, et les grands comme nous propose souvent un coup de pattes aux plus petits, comme les Nitcères ou les Alotelos.”
-”Ok, j’ai compris la moitié des mots de ta phrase.” répondit sceptique Nielbeuk en grimpant sur le Lycan.
-”T’inquiète, je vais t’en présenter, tu pourrais bien plaire à mon meilleur ami, c’est un Alotelo, un renard quoi”
-”Uech, chuis resté dans ma grotte trop longtemps moi, j’en ai jamais vu”
-”Ahaha, c’est presque normale. Lui répondit le Lycan en sortant par la plus grande partie de la porte. En fait, sur ce continent, il n’y à quasiment que des Lycans Loups, moi je viens d’une famille qui avait émigré plus au Sud, du coup j’ai grandi avec des plus petits que moi. On est venue étudier la Pharma ici. D’ou aussi le fait que vous nous voyez pas beaucoup, et encore moi à ce genre de soirée.”
Slama arriva épuisait à la table d’Eugénie. Elle lui fit un signe de la patte avant, debout sur ces pattes arrière. Eugénie sortit de la nourriture de son sac à mains.
-”Qu’est ce qui se passe ?” demanda Zéli, septique.
-”Eh bien apparemment, il y a eu une querelle entre fées qui la forcer à faire un grand détour, et après elle s’est prise une vague projetée par la queue d’un Sirène, et si j’ai bien compris, il est plus difficile de volé au-dessus des Orcs, car leur chaleur corporelle modifie les courants. Ah et Nielbeuk s’est lié d’amitié avec un Lycan, ils sont dehors.” répondit Ptolem calmement. Zéli le regarda, interloquée.
-”Les Alchemist ont aussi des familiers avec qui ils communiquent par Télépathie, je lui ai montré comment faire avec Slama en t’attendant.” Zéli continua à les regarder, interloquée, mais souriante.
-”Tu devrais t’entrainer aussi” argua Eugénie.
-”Non merci, j’ai déjà un démon comme familier, c’est assez spéciale. Il est toujours là, mais on le remarque pas tout le temps.” rigola Zéli.
-”C’est-à-dire ?” demande Ptolem
-”Dès que Zéli est là, cherche un chat noir. C’est la forme de son démon.” répondit Eugénie. Ptolem regarda autour de lui, et remarqua que les dessous de verre représentait des chats noirs. L’un d’ntre eux lui fit un clin d’œil.
-”On le rejoint du coup ? Je mangerais bien un morceau ?” demanda eugénie en aidant sa salamandre à regagner l’intérieur de son chapeau.
-”Ooooh j’avoue, j’ai trop faim après cette pipe ! Et je fumerais bien avec des Lycan, ça peut être drôle.” Les trois amis se lèvent et se téléportèrent dans le jardin. Les Lycan sursautèrent en les voyant soudain apparaitre. Nielbeuk termina de tirer sur l’Erguillet et les accueillis en crachant une épaisse fumée
-”Yoooo !”
-”Yooooooooo !” lui répondit Zéli en tirant à son tour sur le Erguillet, sortant un sachet d’herbes vertes, accueilli par une slaves d’aboiement de la part des Lycan.
Ptolem se présenta aux groupes de Lycan, et fut introduit par le Lycan Loup Noir, Cané. Eugénie sourit, elle n’avait encore jamais passé une aussi bonne soirée chez les Omegomongus. Et Ptolem était si gentil, si protecteur. Une Lycane s’approcha d’elle.
-”Salut, je m’appelle Eya, tu veux manger quelque chose ?” Eugénie lui sourit :
-”Volontiers, on va chercher un plateau pour tout le monde ensemble ?”
-”C’est vrai que ça sera plus facile à deux !”. Les deux jeunes femmes s’éloignèrent. Ptolem l’a suivi des yeux, déjà engagé dans un débat passionné sur l’usage de la Belladone. En dehors de Nielbeuk et Zéli, il n’avait pas beaucoup d’amis sur le campus. Cané non plus, en dehors de la communauté des Lycan. C’était agréable de pouvoir parler avec quelqu’un qui ne remarquait pas votre différence. Zéli rigolait bien avec Nielbeuk et les autres Lycan, avachi, quand elle remarqua une sirène toute seule. Elle s’excusa auprès du groupe et se dirigea vers elle. La Sirène la regardait. Zéli effectua un petit pas de danse :
-”Tu es toute seule ?”
-”Oui, les sirènes de ma Sororité tenait absolument à venir, mais le bassin est trop chaud pour moi” répondit-elle en montrant sa queue de baleine.
-”Et puis, dansé avec autant de mâles qui me regarde, j’aime pas trop.”
-”Je te comprend, c’est pour ça que j’évite de rester trop avec eux. Ils ont faim, c’est dingue.”
-”Ouais grave. Tu veux boire quelque chose, ou fumer un peu avec moi ? Tu es littéralement la première personne terrestre qui vient me parler.”
Zéli sortit sa pipe en souriant.
-”Permet moi de t’offrir un verre, qu’est ce qui te ferait plaisir ?”. La Sirène lui sourit en ramenant ses longs cheveux verts derrière son oreille. Le regard de Zéli suivit le mouvement, puis coula sur ses clavicules, avant de revenir subitement sur ses yeux. Elle se mordait discrètement la lèvre. Cette sirène était magnifique. Elle avait des yeux bleu foncé qui pétillait, des taches de rousseurs aussi vertes que ces cheveux qui parsemait son visage rond et une bouche à croquer.
-”Surprend moi. Au fait, je m’appelle Arylenn.”
-”Enchanté, moi, c’est Zéli, je reviens vite”. Arylenn la regarda s’éloignait. Elle sourit en la voyant se retourner. Elle n’aurai pas pensé une soirée aussi agréable. Elle remit discrètement les deux gros coquillage qui composé son soutiens-gorge et lissa son gilet en écailles. Elle profita de l’attente au bar pour se remaquiller discrètement. Zéli revient vite avec une boisson bleu vif.
-”Le Barman nous a composé ça, il m’a dit que tu devrais apprécier.” De minuscules méduses flottaient à l’intérieur de la boisson. Un verre, deux pailles. Arylenn sourit.
-”Et du coup, tu étudies quoi ?”
-”Je suis en Soins des créatures magiques.”
-”Oh tiens, comme ma coloc !”
-”Et toi ?”
-”Démonologie, j’ai pas vraiment eu le choix, j’ai té choisit”
-”Wow, impressionnant, tu es la première Démoniste que je rencontre !”
-”Et toi la première sirène avec une queue de baleine que je rencontre. Vous êtes toutes aussi belles ?”
-”Ahaha, tu cherche à me séduire c’est ça ? C’est vrai que c’est rare qu’on aille étudier aussi loin de nos tribus, mais on avaient vraiment besoins de quelqu’un pour devenir vétérinaire.”
-”Si j’arrivais à te séduire, ça serai vraiment une bonne soirée. Dit m’en plus sur les créatures de ton coin ... ” répondit Zéli. Arylenn lui sourit en regardant dans ses yeux.
Alors que les deux jeunes femmes se rapprochaient de plus en plus l’une de l’autre, discutant, une nuée de Harpies débarqua dans la pièce principale. Les deux jeunes femmes s’interrompirent en entendant le ton monté. Cané vient vers elle :
-”Les filles, désolé de vous interrompre, mais il va y avoir une grosse embrouille. Histoire compliquée, apparemment des gens de chez Omegomongus ont fait des chose pas très cool à des filles de Harpenn. Les Manticoreus vont débarquer pour foutre la merde, on devrait partir.”
-”Ok, tu sais quoi on se retrouve à la Mare des rêves, Nielbeuk vous y emmènera.” Cané acquiesça et rejoint le groupe. Il ne restait plus que Ptolem, Eugénie, Nielbeuk et deux Alotélo, les autres étaient déjà rentrés chez eux. Le groupe se dirigea vers la foret.
-” La mare des rêves est à une vingtaine de minutes d’ici, elle est réputée pour être très froide. “ Expliqua Zéli en se tournant vers Arylenn. Elle plongea et demanda :
-”Mais comment tu va me suivre ? Tu devrais rester avec tes amis”. Zéli rit, s’agenouilla à hauteur de la rivière :
-”Non ma belle, je te laisse pas toute seule ce soir, j’ai ma planche, je peut voler à tes côtés.” Arylenn s’approcha d’elle et déposa un baiser furtif sur ses lèvres avant de plonger et de réapparaitre un peu plus loin.
-”Tu viens ?” Zéli se mordit la lèvre en souriant, appela sa planche d’un geste de la main et se dirigea vers Arylenn. Elle sentait son cœur battre si fort dans sa poitrine ; en un an sur le campus, jamais elle n’avait pu se rapprocher autant d’une autre femme. Ce sabbat avait finalement quelque chose de magique.
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